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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 13:30

SNA-photo-Marine-Nationale.jpg

photo Marine Nationale

 

13 mars 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Pendant près d’un an, une équipe de télévision a partagé le quotidien d’un équipage de sous-mariniers français. De la base maritime de Toulon où ils s’entraînent jusqu’à leur mission quelque part dans l’Océan Atlantique, les réalisateurs Yves Azéroua...

 

Video : NRJ 12

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 08:25
Côte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirien

 

12/03/2012 Sources : EMA

 

Du 25 février au 4 mars 2012, un détachement interarmes du bataillon Licorne a effectué une mission dans la région de Dimbokro, à l’est de Yamoussoukro afin d’effectuer une évolution de la situation dans cette région.

 

La mission a débuté par une manœuvre sur le champ de tir de Lomo Nord, au cours de laquelle un exercice d’évacuation sanitaire a été réalisé au moyen d’un hélicoptère Fennec .

 

Composé d’une section d’infanterie, d’un peloton blindé, d’un élément de soutien logistique, le détachement interarmes a effectué plusieurs actions au profit de la population ivoirienne, en collaboration avec les autorités civiles et militaires locales.

 

Il a participé à la réfection du dispensaire de la ville d’Abigui, à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest de Dimbokro. Il a également effectué une séance d’assistance médicale au profit des habitants, au cours de laquelle le médecin qui accompagnait le détachement a réalisé une trentaine de consultations.

 

Au cours de cette semaine, le chef de détachement a pu prendre contact avec les autorités administratives et militaires afin d’évaluer la situation sécuritaire locale.

 

La force Licorne , qui comprend environ 450 hommes, accompagne le retour à la normale de la République de Côte d’Ivoire (RCI), en soutien de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) et des forces ivoiriennes.

Côte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirienCôte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirien
Côte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirienCôte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirien
Côte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirien
Côte d’Ivoire : mission dans le centre du territoire ivoirien
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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 21:48
Sénégal : instruction franco-sénégalaise sur le combat en localité

 

12/03/2012 Sources : EMA

 

Du 27 février au 1er mars 2012, les Éléments français au Sénégal (EFS) ont conduit, en appui d’instructeurs sénégalais, une instruction opérationnelle sur le combat en localité au profit d’une trentaine d’officiers élèves de l’Ecole d’application de l’infanterie (EAI) de Thiès, située à 70 km à l’Est de Dakar.

 

Durant ces 4 jours, les techniques de combat en zone urbaine ont été enseignées aux officiers stagiaires : déplacement en trinôme, ouverture d’angle, passage devant les habitations, positionnement et technique d’investigation dans une pièce ainsi que méthode de progression dans des escaliers.

 

 

Les instructeurs français et sénégalais ont alors transmis aux futurs chefs de section les savoir-faire indispensables à l’exercice du métier de fantassin.

 

Une quinzaine de jours auparavant, les stagiaires avaient suivi une formation sur les techniques de tir de combat avec les EFS.

 

 

Par sa participation à la formation d’officiers issus de 15 nationalités africaines, les Eléments français au Sénégal contribuent pleinement à la montée en puissance de l’architecture africaine de paix et de sécurité dans un dispositif de coopération militaire opérationnelle bilatérale et régionale.

Sénégal : instruction franco-sénégalaise sur le combat en localitéSénégal : instruction franco-sénégalaise sur le combat en localité
Sénégal : instruction franco-sénégalaise sur le combat en localité
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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 21:35
Extension du 150e escadron de l’armée de l’air singapourienne à Cazaux

 

12/03/2012 Sources : Armée de l'air

 

Le jeudi 8 mars 2012, le général Huat Sern Wong, chef  de l’état-major « air » des forces aériennes singapouriennes et le général Jean-Luc Crochard, délégué aux relations extérieures de l’armée de l’air française ont présidé la cérémonie de «la première pelletée de terre» symbolisant la prochaine construction du centre d’instruction au sol des pilotes de la Republic of Singapore Air Forces , sur la base aérienne 120 de Cazaux.

 

« La première pelletée de terre » symbolisant la prochaine construction du centre d’instruction au sol singapourien

 

La société Singapore Technologies Aerospace  a été mandatée pour superviser l’ensemble du projet destiné à assurer la formation des pilotes sur les douze avions d’entraînement avancé M346 qui équiperont le futur centre d’instruction.

 

Le bâtiment comprendra deux étages et abritera des simulateurs de vol, des équipements et matériels d’instruction, des salles de classes interactives et des salles de briefing. Ces outils contribueront à parfaire les compétences au combat aérien des élèves-pilotes singapouriens.

 

En partenariat avec l’armée de l’air, la première phase des travaux de construction débutera prochainement et le site devrait voir le jour fin 2013, consolidant ainsi les liens d’amitié et de coopération franco-singapouriens.

 

Installé à Cazaux depuis plus de douze ans, le 150e  escadron assure la formation d’une douzaine de pilotes chaque année. Avec l’arrivée des M346, c’est une nouvelle ère qui commence!

 

Le général Huat Sern Wong et le général Jean-Luc Crochard ont présidé l'inauguration du futur bâtiment singapourien

Le général Huat Sern Wong et le général Jean-Luc Crochard ont présidé l'inauguration du futur bâtiment singapourien

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 17:45

logo DGA

 

12.03.2012 EDA - DGA

 

L’objet de la demande d’informations est de réunir des éléments d’information relatifs à la détermination des conditions générales de réalisation et de soutien de véhicules blindés faiblement armés.
Il est attendu de la part des opérateurs économiques des informations notamment sur les solutions techniques.

(The purpose of this request for information is to collect information to determine the general production and support conditions of lightly armed armoured vehicles.
The economic operators are expected to give information particularly about the technical solutions.)

 

Click here for documentation

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11 mars 2012 7 11 /03 /mars /2012 17:30
Les marines djiboutienne, américaine et française partagent les meilleurs pratiques maritimes

 

9 mars 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Des marins de 3 pays étaient réunis du 27 au 29 février à l’état-major de la marine nationale djiboutienne pour évoquer les meilleures pratiques pour garantir la souveraineté des mers autour de la Corne de l’Afrique.

 

C’est la première fois que la marine djiboutienne organisait un événement de ce type, qui réunissait aussi les marines américaine et française.

 

Dans cet échange, les 3 marines ont partagé les meilleures pratiques sur la mise sur pied d’opérations de soutien et sur l’amélioration de la connaissance du domaine maritime.

 

De plus, le lieutenant Ali Elmi Bouh, officier opérations à l’état-major de la marine de Djibouti, a indiqué que tous les participants avaient discuté de la capacité d’intervention et de prise de responsabilité de la zone d’opération.

 

« La marine djiboutienne est une marine jeune, qui n’a que 3 ans, » a indiqué le lieutenant Bouh. « Nous voulons grandir et devenir complètement opérationnels. »

 

La marine djiboutienne a déjà de nombreuses réactions prédéfinies pour des situations d’urgence maritime. Ces réactions couvrent les domaines du sauvetage, des activités illégales et des incursions à terre.

 

Pour améliorer leur connaissance maritime, les Djiboutiens prévoient de s’appuyer sur un hybride des systèmes français et américains, pour « améliorer leur compréhension de ce qui est en dehors de leurs eaux territoriales. »

 

Le capitaine de frégate Eric Mignot, officier de liaison auprès de la marine djiboutienne, a indiqué qu’il était important de travailler ensemble, car les Djiboutiens partagent les mêmes objectifs que leurs homologues français et américains : garantir que la mer est une place sûre pour le commerce et la liberté.

 

Référence : allAfrica

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 12:05

retour-du-ctm-a-bord-du-bpc-dixmude-c-marine-nationale-ghs.jpg

 

09/03/2012 Sources : Marine Nationale

 

Le 7 mars 2012, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude et la frégate anti-sous-marine (FASM) Georges Leygues ont participé à une manœuvre amphibie (Pélican 126) sur la base aérienne 126 de Solenzara en Corse.

 

Le scénario de « Pélican 126 » : intervenir depuis la mer pour localiser et extraire des ressortissants d’un village puis permettre le débarquement pour les mettre en lieu sûr, localiser puis neutraliser la menace blindée en contrôlant l’aérodrome.

 

l-edar-c-marine-nationale-ghs.jpg

 

Chaque unité mobilisée a rempli une partie de la mission :

-         Les deux bâtiments ont assuré la protection de la zone d’opération amphibie pour permettre le débarquement et le rembarquement des troupes et l’évacuation des ressortissants.

-         Le groupe tactique embarqué (GTE) a saisi la plage, reconnu et s’est emparé de la totalité de l’aérodrome en interdisant l’accès afin de sécuriser les ressortissants et les extraire par hélicoptère vers le BPC Dixmude .

-         Le sous-groupe aéromobile depuis le BPC a appuyé la mise à terre du GTE par des actions aéromobiles de feu et de mouvement et a assuré une capacité d’évacuation sanitaire.

 

Le groupe Jeanne d’Arc 2012 a obtenu la qualification amphibie lors de la manœuvre réalisée.

 

la-fasm-georges-leygues-c-marine-nationale-ghs.jpg

 

Les moyens mobilisés :

-         BPC Dixmude

-         FASM Georges Leygues

-         GTE du 2ème Régiment d’Infanterie de Marine

-         2 Gazelle

-         2 Puma

-         1 Super Puma

-         1 engin de débarquement amphibie rapide (EDAR) et deux chalands de transport de matériel (CTM)

 

soldats-en-position-d-entrainement-c-marine-nationale-ghs.jpg

 

L’entraînement a mobilisé 3 médecins officiers élèves intégrés à l’équipe évacuation sanitaire, 10 sous-lieutenants des Écoles de St Cyr-Coëtquidan et 87 officiers élèves intégrés à la manœuvre à bord du BPC Dixmude et de la batellerie

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 21:16

appontage-caiman-marine-sur-fremm-aquitaine-2.jpg

 

09/03/2012 Sources Marine nationale

 

Le 5 mars 2012, quelques semaines après les premiers essais de la plate forme hélicoptère de la Frégate Européenne Multi Missions (FREMM) Aquitaine , les équipes de DCNS, la Marine nationale et la Direction Générale de l’Armement (DGA) ont mené une nouvelle campagne d’appontage avec le Caïman Marine  au large de la Bretagne.

 

Les essais d’appontage de jour comme de nuit, contribueront à l’obtention de l’homologation de la plateforme des FREMM pour la mise en œuvre d’hélicoptères de classe 10 tonnes. La présence du Caïman Marine  à bord, a permis de valider les dispositifs d’accueil de l’hélicoptère en matière de maintenance et de stockage.

 

Le Caïman Marine , dernier hélicoptère reçu par la Marine nationale est destiné à l’ensemble des missions de combat aéro-maritimes (lutte anti-sous-marine, anti-surface et contre terrorisme maritime) et a vocation à être embarqué sur les bâtiments de la Marine nationale.

 

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Appontage Caiman Marine sur FREMM Aquitaine

 

Pour DCNS, le programme FREMM représente douze unités, soit onze pour la Marine nationale et une pour la Marine Royale Marocaine. Les frégates FREMM, navires les plus fortement armés, mettent en œuvre sous maîtrise d’œuvre DCNS les systèmes d’armes et équipements les plus performants tels que le radar multifonction Héraclès, le Missile de Croisière Naval, les missiles Aster et EXOCET MM40 ou encore les torpilles MU90.

 

Dans les prochains jours, l’Aquitaine  reprendra la mer pour une nouvelle période d’essais dédiés au système de combat.

 

survol-du-caiman-marine-de-la-fremm-aquitaine

Survol du Caiman Marine de la FREMM Aquitaine

 

appontage-caiman-marine-sur-fremm-aquitaine-1.jpg

Appontage Caiman Marine sur FREMM Aquitaine

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 17:30

Manurhin-logo.jpg

 

9 Mars 2012 Paul Hastings & Veil Jourde - cfo-news.com

 

Fondé à Mulhouse en 1920, le Groupe Manurhin, connu pour sa production de revolvers, s’est depuis recentré sur la conception et la fabrication de machines à produire des munitions militaires de petit et moyen calibres, domaine dont il est aujourd’hui le numéro 1 mondial. Le Groupe Manurhin est coté sur le marché Nyse-Euronext à Paris.

 

Le Groupe Manurhin, confronté à des difficultés de trésorerie, aggravées par une réduction du crédit-fournisseur et une remise en cause des garanties bancaires sur les marchés en cours, a mené, sous l’égide du CIRI, des négociations réussies avec ses différents partenaires. Ces négociations ont également permis l’entrée au capital d’un industriel slovaque de la défense, Delta Defence, et d’un pôle public avec un investissement financier minoritaire de SOFIRED (Société de Financement pour la Défense et le Développement) et de Giat Industries, et le soutien de la Région Alsace et de SODIV.

 

Cette restructuration réussie, avec un actionnariat stabilisé et un renforcement des fonds propres, devrait désormais permettre au Groupe Manurhin de conforter sa place de leader sur son marché.

 

Galileo Finance conseillait SOFIRED avec Michel Jacob.

 

Paul Hastings a conseillé Giat Industries sur son entrée au capital du Groupe Manurhin, avec Olivier Deren et Lionel Spizzichino (associés).

 

Veil Jourde a conseillé le Groupe Manurhin dans le cadre de sa restructuration. L'équipe de Veil Jourde était composée de Pierre-François Veil, Laurent Jobert (associés) et Jérémie Swiecznik (collaborateur). Le Groupe Manurhin était également conseillé par Ludovic Moitié.

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 13:25

manurhin-photo-denis-sollier-lalsace.fr.jpg

 

8 mars 2012 — lextimes.fr

 

L'État vient de prendre le contrôle du groupe Manurhin [FR0010976746, MLMNR] via la Sofired-Société de financement pour la défense et le développement (22 %) et Giat industries (22 %), aux côtés d'un industriel slovaque, Delta defence (34 %), à l'occasion d'une augmentation de capital réservée de 7,25 millions d'euros. Le management se partage 10 % et 12 % sont entre les mains de petits actionnaires.

 

Recentré depuis 1999 sur la conception et la fabrication de machines à produire des munitions militaires de petit et moyen calibres, le groupe mulhousien fondé en 1920 était confronté à de graves difficultés de trésorerie, accentuées par une réduction du crédit-fournisseur et une remise en cause des garanties bancaires sur les marchés en cours. Avec un effectif 130 personnes, le groupe avait terminé l'année 2010 avec une perte de 1,8 million d'euros pour un chiffre d'affaires de 18 millions d'euros.

 

Le dernier cours coté de la société de 10,50 € sur le marché libre d'Euronext remonte au 17 janvier dernier, une reprise de cotation était prévue pour le 27 février 2012 mais elle n'a pas encore eu lieu.

 

Dans le cadre de cette restructuration, Sofired était conseillé par Galileo finance, Giat Industries par le cabinet Paul Hastings et le groupe Manurhin par le cabinet Veil Jourde. ■ (A.A.)

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 08:55

Caiman-Marine-sur-FREMM-Aquitaine-DCNS-200x300.jpg

 

March 8, 2012 DCNS defpro.com

 

Lorient | A few weeks after the first helicopter landing trials on board the FREMM Aquitaine frigate, DCNS, the French Navy and the French defence procurement agency (DGA) have successfully completed a new series of deck landing trials, this time with new Caiman Marine (NH90) heavy lift helicopter which recently entered operational service with the French Navy.

 

Having successfully conducted deck landing in January to qualify the FREMM Aquitaine flight deck for a Lynx five-tonne class helicopter, DCNS, the French Navy and the DGA organised the first deck landings of a Caiman Marine ten-tonne class helicopter on board the same frigate. As in the previous trials with the Lynx, French Navy pilots appreciated the absence of turbulence above the flight deck in all landing positions.

 

"This first deck landing with the new Caiman helicopter is an important milestone in the FREMM programme: the helicopter, together with the combat system designed and developed by DCNS, will bring the FREMM frigates unprecedented capabilities for a warship," said Vincent Martinot-Lagarde, FREMM programme manager at DCNS. "Staff from DCNS, the French Navy and the DGA stepped up their efforts to ensure the success of these trials."

 

The deck landing trials, conducted in daylight and at night, are part of the procedures required to qualify the FREMM frigates for deployment of 10-tonne class helicopters. In addition, the campaign was an opportunity to test the onboard maintenance and stowage facilities with a Caiman helicopter.

 

The Caiman Marine (NH90) is one of the flagships of Europe's helicopter industry. It is designed for all types of naval and maritime missions (anti-submarine warfare, anti-surface warfare and anti-terrorism operations at sea) and will be deployed by French Navy vessels.

 

The FREMM Aquitaine frigate will leave port again in a few days for combat system trials. The vessel is scheduled for delivery to the French Navy in the third quarter of 2012.

 

FREMM, A MAJOR PROGRAMME FOR DCNS AND PARTNERS

 

The French FREMM programme calls for 12 ships — 11 for the French Navy and one for the Royal Moroccan Navy.

 

FREMM frigates are among the most technologically advanced and competitively priced on the world market. These heavily armed warships are being built under DCNS prime contractorship to carry state-of-the-art weapons and systems including the Herakles multifunction radar, MdCN cruise missiles, Aster anti-air missiles, Exocet MM40 anti-ship missiles and MU90 torpedoes.

 

They are inherently versatile to provide a response to all types of threats. World-leading innovation ensures that they offer unparalleled levels of interoperability and readiness. The contract to build a FREMM frigate for the Royal Moroccan Navy demonstrates that the type also meets the needs and expectations of international client navies.

 

FREMM technical data:

• Length overall: 142 m

• Beam: 20 m

• Displacement: 6,000 tonnes

• Max. speed: 27 knots

• Complement: 108 (including helicopter crew)

• Accommodation: 145 men and women

• Range: 6,000 nm (at 15 knots)

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 08:45

Le-Caiman-Marine-a-l-appontage-sur-l-Aquitaine--photo-Mar.jpg

Le Caïman Marine à l'appontage sur l'Aquitaine

crédits : MARINE NATIONALE - MAEL PRIGENT

 

09/03/2012 MER et MARINE

 

Comme nous l'écrivions mercredi, la nouvelle frégate de la Marine nationale, l'Aquitaine, a réalisé cette semaine ses premiers essais d'appontage avec un Caïman Marine, version française du NH90 NFH (Nato Frigate Helicopter). La rencontre s'est déroulée mardi au large de Lorient, où les frégates multi-missions (FREMM) sont réalisées par DCNS. La veille, de premiers appontages étaient intervenus alors que la frégate était à quai à Lorient. Tout comme lors des précédents essais menés avec un hélicoptère Lynx il y a quelques semaines, les pilotes de la Marine nationale ont, d'après DCNS, tout particulièrement apprécié l'absence de tourbillons sur la plateforme quel que soit l'angle d'appontage. « Ce premier appontage du nouvel hélicoptère Caïman est une étape importante dans le déroulement du programme : cet appareil, couplé aux capacités du système de combat conçu et réalisé par DCNS, conférera aux FREMM des capacités inédites pour un navire militaire », affirme Vincent Martinot-Lagarde, directeur des programmes FREMM au sein de DCNS. Les essais d'appontage, menés de jour comme de nuit, contribueront à l'obtention de l'homologation de la plateforme des FREMM pour la mise en oeuvre d'hélicoptères de classe 10 tonnes. Au-delà, la présence du Caïman à bord a permis de valider les dispositifs d'accueil de l'hélicoptère, en matière de maintenance et de stockage.


Dans les prochains jours, l'Aquitaine reprendra la mer pour une nouvelle période d'essais dédiés au système de combat.


Premier d'une série de 11 bâtiments destinés à remplacer les frégates anti-sous-marines et antiaériennes du type F70, l'Aquitaine doit être livrée cet été à la marine française. Elle sera basée à Brest et mettra en oeuvre un Caïman, notamment pour les missions de lutte anti-sous-marine et antinavire.


Le Caïman et l'Aquitaine (© : MARINE NATIONALE - MAEL PRIGENT)


Le Caïman et l'Aquitaine (© : DCNS)

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 08:40

l-adroit.jpg

 

08/03/2012 Marine nationale

 

Après une semaine d'essais et d'entraînement individuel, le PH L'Adroit  accostera le 9 mars 2012, au quai du commerce du port de Calvi. Il s’agit de sa première escale hors du continent depuis sa prise en charge par la Marine nationale en octobre 2011.

 

En escale à Calvi jusqu’au 11 mars, il sera ouvert aux visites samedi 10 de 14h à 17h.

 

Le patrouilleur hauturier reprendra, dimanche 11 mars, le chemin de son port base, Toulon, pour y conduire, dès la semaine prochaine, la dernière phase de sa qualification opérationnelle avant une admission service actif très attendue.

 

Il entrera alors dans le cycle opérationnel des bâtiments de la Marine nationale et prendra part à ses premières missions de sauvegarde maritime en Méditerranée.

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 08:35
Atalante : la frégate Aconit fait escale en Tanzanie

 

08/03/2012 Sources : EMA

 

Du 29 février au 3 mars 2012, la frégate Aconit a fait escale en Tanzanie, à Dar es Salam, alors que le bâtiment est actuellement engagé au sein du dispositif maritime de l’opération Atalante de lutte contre la piraterie.

 

Son Excellence M. Marcel Escure, ambassadeur de France en Tanzanie a été accueilli à bord. Il a pu s’entretenir avec le capitaine de vaisseau Olivier de Saint Julien, commandant l’Aconit, et rencontrer l’équipage.

 

Cette escale a également permis d’échanger avec les autorités civiles et militaires locales pour faire le point sur la menace de la piraterie au large de la Tanzanie.

 

Avec l’élargissement de la zone d’action des pirates qui attaquent de plus en plus loin de leurs côtes, cette région a été plus exposée à cette menace. Les visites des bâtiments de la force européenne, comme l’Aconit , permettent de renforcer la coopération entre Atalante  et la Tanzanie pour lutter contre la piraterie dans l’Océan Indien.

Atalante : la frégate Aconit fait escale en TanzanieAtalante : la frégate Aconit fait escale en Tanzanie
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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 20:58

Caiman-Marine-sur-FREMM-Aquitaine_web.jpg

 

08/03/2012 DCNS

 

Quelques semaines après les premiers essais de la plateforme hélicoptère de FREMM Aquitaine, les équipes DCNS, la Marine nationale et la Direction générale de l’armement (DGA) ont mené avec succès une nouvelle campagne d’appontages, avec cette fois-ci un hélicoptère lourd, le Caïman Marine (NH90), nouveau fleuron de la Marine nationale.

 

Après avoir démontré en janvier la capacité de la FREMM Aquitaine à recevoir un hélicoptère Lynx de la classe 5 tonnes, DCNS, la Marine nationale et la DGA ont mené à bien début mars les premiers appontages sur FREMM d’un Caïman Marine, hélicoptère de classe 10 tonnes. Tout comme lors des précédents essais menés avec le Lynx, les pilotes de la Marine nationale ont tout particulièrement apprécié l’absence de tourbillons sur la plate-forme quel que soit l’angle d’appontage.

 

« Ce premier appontage du nouvel hélicoptère Caïman est une étape importante dans le déroulement du programme : cet appareil, couplé aux capacités du système de combat conçu et réalisé par DCNS, conférera aux FREMM des capacités inédites pour un navire militaire », souligne Vincent Martinot-Lagarde, directeur des programmes FREMM au sein de DCNS. « La réussite de ces essais a été rendue possible grâce à l’implication des collaborateurs de DCNS, de la Marine nationale et de la DGA qui ont redoublé d’efforts pour permettre ce succès ».

 

Les essais d’appontage, menés de jour comme de nuit, contribueront à l’obtention de l’homologation de la plateforme des FREMM pour la mise en œuvre d’hélicoptères de classe 10 tonnes. Au-delà, la présence du Caïman à bord a permis de valider les dispositifs d’accueil de l’hélicoptère, en matière de maintenance et de stockage.

 

Le Caïman Marine (NH90), l’un des fleurons européens de sa catégorie, est destiné à l’ensemble des missions de combat aéro-maritimes (luttes anti sous-marine, anti surface et contre-terrorisme maritime) et a vocation à être embarqué sur les bâtiments de la Marine.

 

Dans les prochains jours, la FREMM Aquitaine reprendra la mer pour une nouvelle période d’essais dédiés au système de combat. Le navire sera livré à la Marine nationale au cours du troisième trimestre 2012.

 

Le programme FREMM : un programme majeur pour DCNS et ses partenaires.

 

Pour DCNS, le programme FREMM représente douze unités, soit onze pour la Marine nationale et une pour la Marine Royale Marocaine.

 

Les frégates FREMM sont les navires les plus avancés technologiquement et les plus compétitifs du marché. Fortement armés, ils mettent en œuvre, sous maîtrise d’œuvre DCNS, les systèmes d’armes et équipements les plus performants, tels que le radar multifonction Héraclès, le Missile de Croisière Naval, les missiles Aster et Exocet MM 40 ou encore les torpilles MU 90.

 

Polyvalentes, les FREMM peuvent répondre à tous les types de menaces. Innovantes, elles offrent une interopérabilité et un niveau de disponibilité inégalés. Flexibles, elles sont capables de répondre aux attentes de très nombreuses marines, ainsi que le démontre le premier contrat FREMM de DCNS au Maroc.

 

Caractéristiques techniques des FREMM

•          Longueur hors tout : 142 mètres

•          Largeur : 20 mètres

•          Déplacement : 6 000 tonnes

•          Vitesse maximale : 27 nœuds

•          Mise en œuvre : 108 personnes (détachement hélicoptère inclus)

•          Capacité de logement : 145 hommes et femmes

•          Autonomie : 6 000 nautiques à 15 nœuds

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 18:10

flotte-navale-franaise.jpg

 

8 mars 2012 Michel Vuillemin - portail-ie.fr

 

Le Comité ministériel des investissements de défense (CMI), vient d’annoncer le lancement du projet de renouvellement de la flotte. Il fait suite à l’amendement au projet de loi de finances 2012 proposé par les députés du Finistère Marguerite Lamour et de Haute-Marne François Cornut-Gentille. Celui-ci prévoit une enveloppe de 5 millions d’euros au PLF 2012 pour mener les études préalables au projet.

 

Les missions de la Marine Nationale sont très longues, en raison de la distance et du temps nécessaire aux navires pour se rendre sur les zones de conflits. Les bâtiments de guerre doivent donc posséder une grande autonomie mais ont également besoin de ravitaillements réguliers : nourriture pour l’équipage, munitions, carburant,  pièces de rechange ainsi que divers matériels d’équipements.

 

Ce soutien logistique permanent, essentiel aux missions,  est réalisé par une flotte logistique dédiée. Celle-ci, composée de navires ateliers, de pétroliers ravitailleurs, de navires magasins, de navires hôpitaux, constitue l’allonge de la flotte de combat. Américains et  britanniques,  deux des  flottes  les plus puissantes au monde, ont ainsi développé une deuxième Marine spécialement responsable de la logistique Navale : Le Military Sealift Command et la Royal Fleet Auxilary.

 

La Marine Nationale Française dispose de quatre bâtiments logistiques, le pétrolier-ravitailleur Meuse, ainsi que les bâtiments de commandement et de ravitaillement Var, Marne et Somme, entrés en service respectivement en 1980, 1983,1987 et 1990.

 

Or, la durée de vie d’un navire de guerre est d’environ 30 ans et ceux-ci doivent également se conformer aux normes européennes :

"Ces bâtiments sont des monocoques, c'est-à-dire qu'ils ne sont plus conformes aux normes en vigueur. Au moindre incident, la France pourrait se voir reprocher ce point et s'expose donc à des risques forts. Nos alliés pourraient même s'opposer à ce que nous déployions ces navires dans des opérations internationales. Par ailleurs, au moindre incident, toute la flotte de ravitailleurs devra rester au port, limitant fortement la capacité d'action de la marine" - Marguerite Lamour, Députée du Finistère, devant la Commission de la Défense.

 

DCNS positionne sa nouvelle frégate BRAVE

 

De plus, l’accentuation des conflits dans certaines régions requiert une implication accrue de la flotte, augmentant le taux d’utilisation et d’usure des bâtiments : « Le déploiement de forces à l'étranger et l'utilisation intensive du groupe aéronaval conduisent à un emploi soutenu de ces bâtiments dans des zones de combat. Pour éviter toute rupture capacitaire, il est nécessaire d'engager dès aujourd'hui les études pour envisager le remplacement ou la modernisation de ces navires »

 

Pour la construction des futurs bâtiments, des collaborations avec les voisins européens ont été envisagées. Un partenariat avec l’Angleterre, un temps envisagé,  se retrouve mal engagé, puisque les besoins des deux nations ne sont pas en phase: les anglais désirent des bâtiments spécialisés et donc plus nombreux, alors que la France souhaite investir dans un nombre limité de navires polyvalents.

 

Pour construire les futurs navires, la France pense évidemment à DCNS qui a notamment développé un nouveau concept de bâtiment logistique baptisé Brave. Respectant la réglementation maritime internationale, Brave est un navire à double coque conçu pour intégrer des normes OMI comme MARPOL (pollution). Il mesure 198 mètres pour un déplacement de 30.000 tonnes. Selon les prévisions de la DGA, la construction du premier navire, destiné à remplacer la Meuse, devrait intervenir en 2015

 

Le projet de renouvellement de la flotte logistique semble bien engagé, et  DCNS est en pôle position avec sa nouvelle frégate BRAVE. C’est une bonne nouvelle pour la Marine Nationale, en pleine lutte contre la piraterie et engagée dans pas moins de 15 opérations extérieures.

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 17:55

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08/03/2012 Armée de l’Air

 

Le caporal-chef M. du commando parachutiste de l’air n°20 (CPA n°20) de Dijon a obtenu, vendredi 02 mars 2011, la qualification de Forward Air Controller (FAC), devenant ainsi le premier militaire technicien de l’air (MTA) à décrocher ce précieux sésame.

 

Engagé en 2005 et arrivé en 2006 au CPA n°20, le caporal-chef avait déjà été déployé à deux occasions en Afghanistan, en 2009 et en 2011 au sein d’OMLT (Operational Mentor and Liaison Team , équipe de liaison et de tutorat opérationnel). Ces détachements menés au sein d’équipes spécialisées dans le guidage aérien rapproché lui ont permis d’accumuler une expérience précieuse.

 

Après avoir démontré ses compétences sur le terrain et fait preuve d’une grande maturité, le caporal-chef M. a été proposé à cette formation par son commandement. Cette qualification de FAC marque donc la reconnaissance de ses mérites individuels et démontre des qualités personnelles indéniables, dans un cursus jusqu’alors réservé aux officiers et aux sous-officiers.

 

«J’ai participé en Afghanistan à de nombreux guidages aériens en tant que transmetteur , explique le commando. Grâce à cette expérience, j’ai pu obtenir une excellente connaissance du travail d’un FAC. Cela m’a permis d’obtenir de très bons résultats. J’en suis très fier d’autant que le stage est très sélectif. La pression est importante, la charge de travail est conséquente, mais j’ai persévéré parce c’est un domaine d’activité qui me passionne. »

 

L’instruction initiale d’un FAC dure environ six semaines. Elle se déroule au centre de formation à l’appui aérien (CFAA) sur la base aérienne 133 de Nancy. Après un premier volet théorique et la découverte du guidage via un simulateur, la formation pratique se déroule au-dessus de terrains militaires en France ou en Allemagne. La qualification de FAC est obtenue au terme d’une vingtaine de guidages réussis de jour et de nuit. En outre, les stagiaires doivent maîtriser la langue anglaise, une compétence rendue indispensable dans des théâtres d’opérations multinationaux où la langue de Shakespeare est la référence.

 


Zoom sur le CFAA, l’école française des contrôleurs aériens avancés

 

 

Le centre de formation à l’appui aérien se trouve sur la base aérienne 133 de Nancy, à quelques pas des escadrons de chasse de Mirage 2000 D avec lesquels il s’entraîne régulièrement. Cette unité franco-allemande compte une vingtaine de cadres permanents. Le CFAA forme chaque année entre 60 et 80 contrôleurs aériens avancés (Forward Air Controller  – FAC) toutes armées confondues. Ces derniers sont en majorité des commandos parachutistes de l’air, des artilleurs de l’armée de terre ou des membres des forces spéciales.

 

Le CFAA dispose de moyens de formation adaptés : plusieurs salles de cours, un simulateur d’initiation au guidage aérien, ainsi que l’ensemble du matériel nécessaire à l’appui aérien rapproché (désignateur laser, jumelles de télémétrie, moyens radiophoniques…).

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 17:54

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08/03/2012 armée de Terre

 

Au Kosovo, les militaires de l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI) ont perçu le nouveau treillis FELIN T4.

 

Mi-février 2012, les militaires de l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI), basés au nord du Kosovo, ont reçu leur nouvel équipement individuel : le treillis FELIN  T4.

 

242 vestes et pantalons de treillis, 121 paires de chaussures Goretexe type grand froid et 121 paires de gants leur ont été livrés par le centre interarmées de coordination de la logistique des opérations (CICLO) et le centre d’expertise du soutien du combattant et des forces (CESCOF).

 

Les militaires du 1er  escadron du 3e  régiment de hussards  (3e  RH), qui arment l’EEI depuis novembre 2011, pourront ainsi poursuivre leurs missions au sein de la KFOR (Kosovo force) dans les meilleures conditions, malgré des conditions météorologiques difficiles.

 

Le treillis FELIN T4 fait partie de la gamme des nouveaux équipements étudiés pour mieux répondre aux conditions extrêmes dans lesquelles les soldats sont parfois engagés.

 

300 soldats français sont actuellement engagés au Kosovo : une centaine au sein du battle group multinational Est (BGMN-Est), environ 175 au sein de l’élément de soutien national, les autres étant insérés au sein de l’état-major de la KFOR.

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 13:25

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08/03/2012 Par Véronique Guillermard – LeFigaro.fr

 

Le groupe de défense et de hautes technologies compte exploiter les liens capitalis­tiques noués avec DCNS dans le naval et, bientôt, dans le terrestre avec Nexter.

 

Après deux ans de perte, Thales a renoué avec les bénéfices en 2011. Le groupe de défense et de hautes technologies a dégagé un résultat net de 566 millions d’euros à partir d’un chiffre d’affaires stable de 13,03 milliards. Sa marge opérationnelle ressort à 5,7%, contre 5% prévus. Luc Vigneron, PDG de Thales, estime qu’il engrange les premiers fruits de la vaste réorganisation engagée voilà un peu plus d’un an . Le marché a apprécié ces résultats, meilleurs qu’attendu: le titre a clôturé en hausse de 2,73%, à 27,09 euros.

 

Pour 2012, les objectifs sont prudents. Thales prévoit une hausse de ses revenus et une amélioration de sa marge opérationnelle à 6%. «Il n’est pas certain que la baisse de l’activité défense en Europe soit totalement compensée à l’exportation », a expliqué Luc Vigneron mercredi. Il précise que les objectifs 2012 s’entendent «hors gros succès commercial à l’export tel qu’un contrat Rafale» auquel Thales fournit les équipements électroniques et les radars.

 

Des relais de croissance très convoités

 

Hors d’Europe, la compétition se durcit, tous les acteurs occidentaux y cherchant des relais de croissance. Dans ce contexte, les liens capitalis­tiques noués avec DCNS dans le naval et, bientôt, dans le terrestre avec Nexter doivent être un atout à l’export. «Ce lien facilite la coopération qui nécessite l’échange d’informations sensibles», insiste le PDG de Thales qui détient 35 % de DCNS. Il souhaite une «participation significative» dans Nexter. À l’export, il faut jouer avec une «Équipe France plus resserrée» sur certains marchés cibles comme l’Australie. «DCNS s’intéresse au marché du renouvellement des sous-marins conventionnels de la marine australienne. Thales est le numéro deux de la défense en Australie. Une démarche en coopération renforcerait les chances de la France, avec des retombées positives pour les deux groupes», assure Luc Vigneron.

 

Autre domaine de coopération rapprochée, la conception des futurs produits. «Il faut prendre le bon pli dès le départ: DCNS, en pensant très en amont aux équipements à intégrer dans ses plates-formes (navires, sous-marins, etc.), et inversement pour Thales.» Cela, dans une optique de meilleure adéquation aux besoins du client.

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 09:45

Cybercriminalite-source-LaTribune.fr-AFP.jpg

latribune.fr (AFP)

 

08/03/2012 latribune.fr (Reuters)

 

Attaques de pirates, espionnage industriel et virus destructeurs ont fait de l'internet la cinquième dimension de la défense, et les industriels se bousculent sur ce marché en plein boom.

 

Les Etats-Unis ont inculpé mardi cinq pirates, dont certains affiliés au groupe de hackers Anonymous, accusés d'attaques qui auraient fait au total un million de victimes, dont des gouvernements et de grandes entreprises. Les pertes causées par ces attaques ont renforcé la prise de conscience de la vulnérabilité des réseaux et l'importance de la cyber-sécurité. La firme britannique Ultra Electronics évalue à 50 milliards de dollars par an le marché mondial de la cybersécurité. "Et ce marché croit de 10% par an, deux fois plus vite que l'ensemble du secteur des technologies de l'information", souligne Denis Gardin, directeur de Cassidian Cyber Security Solutions, une unité du géant européen EADS.

 

Coût moyen pour une entreprise : 2 à 3 millions d'euros

 

Gouvernements et grandes entreprises sont les premiers clients. Cassidian évalue de 2 à 3 millions d'euros le coût moyen d'une défaillance de sécurité dans une société de plus de 500 personnes. "Certains clients ne réalisent pas qu'ils sont attaqués depuis des années. La remise en état est extrêmement compliquée et extrêmement couteuse", explique Denis Gardin. C'est presque une ruée sur le secteur, baptisé cinquième dimension de la défense, après la terre, la mer, l'air et l'espace.

 

"Depuis un an, les industriels de la défense ont acquis des firmes de technologie à un rythme frénétique pour renforcer leurs capacités dans la cyber-sécurité", relève Guy Anderson, analyste en chef chez Jane's IHS. "La cyber-securité a été perçue commme un bateau de sauvetage pour l'industrie quand les dépenses de défense dégringolaient dans les pays occidentaux: c'était une des derniers secteurs de croissance", explique-t-il.

 

Quand l'Otan a lancé un modeste appel d'offres de 50 millions de dollars pour renforcer ses capacités de cyber-défense, "pour la réunion d'information la salle était pleine à craquer, il y avait au moins 80 sociétés intéressées", raconte un des participants, Stanislas de Maupeou, du groupe français Thales. Le contrat a été attribué en février à un consortium formé par l'Italien Finmeccanica et l'Américain Northrop Grumman.

 

Une arme de guerre

 

L'Otan a pris conscience du problème quand des attaques lancées de Russie ont saturé les sites du gouvernement estonien en 2007, lors d'une crise entre Moscou et Tallinn. La même année, Israël avait piraté le réseau de défense anti-aérienne syrien: il avait pris le contrôle de ses écrans radars pendant que l'aviation israélienne détruisait une centrale nucléaire en construction, affirme dans son livre Cyberwar Richard Clark, ancien conseiller de la Maison Blanche.

 

Depuis, les attaques sont de plus en plus sophistiquées, passant aux vols de propriété intellectuelle et à la destruction physique de machines. "A partir de 2009, on va recupérer de l'information en pénétrant dans les systèmes les plus sensibles", relève Philippe Cothier du Centre d'étude et de prospective stratégique. En 2010, le mystérieux virus Stuxnet va s'attaquer aux centrifugeuses du programme nucléaire iranien. "C'était une bonne idée", a commenté un ancien directeur de la CIA, Michael Hayden. mais elle a créé un précédent dangereux. "Aux yeux du reste du monde, elle a légitimé ce type d'activité".

 

Les gouvernements occidentaux renforcent donc leurs défenses, le Pentagone s'est doté d'un "cyber-command", et les chiffres les plus fantastiques circulent sur des bataillons de hackers formés par la Chine. La cyber-sécurité ne concerne pas seulement la défense. "Les réseaux sont les systèmes nerveux de la société", souligne Stanislas de Maupéou, de Thales. "Le monde du cyber est devenu absolument énorme", dit Philippe Cothier. Même les réfrigérateurs ont des adresses IP (Internet Protocol), numéro d'identification attribué à chaque branchement d'appareil relié au réseau internet. "En 2008 il y avait dans le monde 2 milliards d'adresses IP, aujourd'hui il y en a 30 milliards, quatre fois la population mondiale", souligne-t-il.

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 08:50

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07/03/2012 Ministère de la Défense

 

Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, s'est rendu à Toulouse (Haute-Garonne), mardi 6 mars 2012, pour un déplacement sous le thème de l'espace. Il a visité les sites industriels d'Astrium et de Thalès Alénia Space. Le maintien en conditions opérationnelles de la composante terrestre "utilisateurs" du système spatial d'observation optique Hélios 2 est désormais assuré par la reconduction du contrat par la direction générale de l'armement (DGA) à Astrium.

 

Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, s'est rendu à Toulouse, le mardi 6 mars 2012, pour visiter les sites d'Astrium et de Thalès Alénia Space, entreprises de l'industrie spatiale européenne, présentes dans les domaines civils et militaires. Après la visite d' Astrium, filiale d'EADS, et en particulier de la salle d'intégration des satellites de télécommunication, le ministre de la Défense et des Anciens combattants s'est rendu sur le site Thalès Alénia Space pour visiter le pôle télécommunications et navigation, et assister à une présentation du rôle de Thalès dans le domaine du renseignement d'origine spatiale.

 

Les deux entreprises Astrium et Thalès Alénia Space sont des partenaires privilégiés du secteur spatial de la Défense. Elles réalisent des satellites de communications, de navigation et d'observation de la Terre et fournissent des services satellitaires de "géo-information" et de télécommunications sécurisées. La coopération entre la Défense et ces deux entreprises industrielles présentes dans le domaine spatial s'était concrétisée notamment en décembre 2011 par le lancement des 4 démonstrateurs Elisa. Ce projet est issu d'un programme de recherche et technologie de la DGA. Concrètement, aujourd'hui, la DGA s'occupe de l'instrument, du "cœur des satellites" et des outils d'utilisation du démonstrateur. Le Centre national d’Études spatiales (CNES) est responsable de la plateforme des satellites et de leur moyen de commande.

« La défense est un partenaire exigeant mais de long terme »

Le ministre a ensuite fait une allocution sur "la politique spatiale de défense et sa relation à la filière industrielle", à la chambre de commerce et d'industrie (CCI) de Toulouse devant des institutionnels et des dirigeants de PME du domaine spatial et militaire. Il a ainsi déclaré "La Défense est un partenaire exigeant mais de long terme ". Sur le sujet de la construction de satellites d'observation militaire successeurs d'Hélios, Gérard Longuet a annoncé : "Quelques 400 M€ sur un total de 795 M€ seront mobilisés pour achever la construction de deux satellites d'observation. " Ils seront lancés en 2016 pour une mise en service prévue en 2017.  Il s'est aussi exprimé sur le maintien en conditions opérationnelles de la composante terrestre "utilisateurs" du système spatial d'observation optique Hélios 2, notifié par la DGA à la société Astrium le 23 février 2012 au nom des 5 pays partenaires du programme que sont la France, la Belgique, l'Espagne, l'Italie et la Grèce, et dont la pérennité est désormais assurée jusqu'en 2018. Le ministre a également donné une impulsion au programme CERES(1)  : "La DGA doit engager les premières études et définir les spécifications du futur satellite dans la perspective d'une mise en orbite en 2020. "

 

(1) Le programme CERES (capacité de renseignement d'origine électromagnétique spatiale) a pour objectif de détecter, localiser et caractériser depuis l'espace les signaux envoyés par les systèmes adverses, notamment les émetteurs de télécommunications et les radars.

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 19:51

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07/03/2012 Michel Cabirol – Latribune.fr

 

Le groupe d'électronique a annoncé les résultats 2011 du groupe naval, dans lequel il s'est récemment renforcé dans le capital passant de 25 % à 35 %. Son PDG Luc Vigneron a "en tête" des coopérations à l'exportation et sur la future ligne de produit dans le naval.

 

DCNS appréciera très certainement. Thales, qui est récemment monté de 25 % à 35 % dans son capital pour un montant de 265 millions d'euros, a communiqué mercredi lors de la présentation des comptes de l'électronicien, les bons résultats du groupe naval qu'il consolidera à hauteur de 35 % en 2012... et que DCNS n'annonce plus depuis l'arrivée en 2009 de son PDG, Patrick Boissier.

 

Clairement, Thales se sent comme chez lui dans DCNS. Ce qui va faire très certainement bondir au sein du groupe naval, où la montée en puissance de Thales dans son capital, suscite au mieux de la méfiance, au pire un rejet. En revanche, la question de devenir majoritaire « ne se pose pas », a expliqué le PDG de Thales, Luc Vigneron.

 

Pas de hold-up sur la trésorerie

 

Selon Thales, le chiffre d'affaires de DCNS s'est élevé en 2011 à 2,6 milliards d'euros (2,5 milliards en 2010) pour un résultat net de 198 millions d'euros en hausse de 43 % par rapport à 2010. Soit une marge opérationnelle de 7 %, a précisé l'électronicien, qui a donné le montant du très bon carnet de commandes du groupe naval (14,8 milliards). En fait 7,1 %.

 

Les prises de commandes de DCNS en 2011, que Thales n'a pas communiqué, se sont élevées à un peu plus de 3 milliards d'euros. Enfin, le groupe naval dispose d'une trésorerie de plus de 2 milliards d'euros, le groupe d'électronique ayant annoncé qu'il consolidait 700 millions. « Mais, a précisé Luc Vigneron, DCNS garde ses sous ». « Il n'y aura pas de hold-up sur la trésorerie de DCNS », indique-t-on dans son entourage.

 

Echanger des informations sensibles

 

Sur DCNS, Luc Vigneron, qui est entré en janvier au sein du conseil d'administration du groupe naval, a « en tête » des projets de coopération, qui exige « d'échanger des informations sensibles ». Le patron de l'électronicien voit « deux domaines de coopérations mutuellement bénéfiques » entre son groupe et DCNS, qu'il relègue au rang de plate-formiste (constructeur de navire) à l'exception de ses compétences dans les systèmes de combat naval (CMS ou Combat management systems).

 

A cet égard, il a estimé qu'il n'y avait « pas de compétition » entre Thales (Thales Nederland) et DCNS dans le domaine des CMS. Y compris en Malaisie où pourtant les deux groupes se sont déchirés pour imposer leur produit, Tacticos (Thales) et Setis (DCNS), qui a fini par gagner et équipera les frégates malaisiennes (design Gowind de DCNS). Au sein du groupe naval, on estime même qu'il ne pourrait plus présenter avec succès des offres intégrées et optimisées à tous ses clients si d'aventure, Thales souhaite intégrer l'ensemble des activités électroniques des deux groupes.

 

Nouvelle ligne de produits en coopération

 

Le premier projet de coopération est en « aval à l'exportation », où Luc Vigneron aimerait constituer « une équipe de France ». Il souhaiterait que les deux groupes « partagent des informations sur certains marchés cible ». Il a notamment cité l'Australie, qui a exprimé l'intention d'acheter des sous-marins à propulsion classique. « Nous devons avoir une démarche entre les deux groupes », a-t-il précisé. Il a rappelé que Thales était le deuxième industriel de la défense australien, Thales Australia, qui emploie 3.000 personnes et qui pourrait « récupérer une part de travail ».

 

Le second projet concerne le futur. Luc Vigneron verrait bien les deux groupes « réfléchir ensemble aux nouveaux concepts de produits » du futur. Il entend « faire dialoguer les ingénieurs » des deux maisons pour « prendre le bon pli ». « C'est important car  une fois qu'il y a un mauvais pli, cela demande du temps pour retrouver le bon ».

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 14:05

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07.03.2012 Les Echos.fr

 

Les discussions porteraient entre 10% et 25% ducapital-sourcesThales apportera en échange à Nexter sa division demunitions, TDAUne prise de participation majoritaire dans DCNS pas àl'étude actuellementThales monte en Bourse après ses résultats 2011 supérieursaux attentes

 

Thales souhaite une participation "significative" dans le capital du groupe d'armement terrestre Nexter en échange de l'apport de sa division de munitions, esquissant ainsi un timide mouvement de consolidation dans le secteur français de la défense.

 

L'équipementier pour l'aéronautique, la défense et la sécurité, dont l'action monte mercredi en Bourse au lendemain de la publication de résultats 2011 supérieurs aux attentes et de la confirmation de ses perspectives pour 2012, négocierait entre 10% et 25% du capital du fabricant du char Leclerc, selon diverses sources sectorielles.

 

"Il clair qu'il faut quand même, pour instaurer la confiance entre les deux entreprises, que le lien soit suffisamment significatif", a déclaré le PDG de Thales, Luc Vigneron, lors de la conférence de presse des résultats, en réponse à une question sur le fait de savoir si 10% lui paraissait suffisant.

 

"Je ne veux pas sortir de pourcentage, mais je rappellerai simplement que quand nous sommes entrés pour la première fois chez DCNS, c'était à 25%", a-t-il ajouté, faisant référence à l'arrivée de Thales au capital du constructeur naval en 2007.

 

Thales, qui a porté sa participation dans DCNS à 35% juste avant Noël dans le cadre d'une option qui expirait en mars, consolide dans ses comptes à partir de cette année le fabricant du porte-avions Charles de Gaulle, dont le carnet de commandes s'élevait à 14,8 milliards d'euros fin 2011.

 

Charles Edelstenne, PDG de Dassault Aviation, deuxième actionnaire de Thales derrière l'Etat, avait même évoqué au printemps 2011 l'hypothèse d'une poursuite de la montée de Thales dans DCNS pour en devenir majoritaire.

 

"La question ne se pose pas aujourd'hui", a indiqué Luc Vigneron.

 

DCNS a réalisé en 2011 un chiffre d'affaires de 2,624 milliards d'euros, avec 3,168 milliards de prises de commandes et une marge opérationnelle courante de 7%.

 

Luc Vigneron n'a pas souhaité s'exprimer sur le calendrier des discussions entre Thales et Nexter, mais Philippe Burtin, le PDG de Nexter, a dit la semaine dernière à Reuters espérer une conclusion à l'été.

 

La fusion de munitions avec TDA et de Nexter Munitions donnerait naissance à un ensemble au chiffre d'affaires annuel de 250 à 300 millions d'euros.

 

CONSOLIDATION EUROPÉENNE

 

La présence de Thales chez DCNS, et peut-être demain chez Nexter, est de nature à faciliter la consolidation européenne attendue de longue date dans les secteurs naval et terrestre, a également observé Luc Vigneron.

 

"Je sais d'expérience qu'il n'est pas facile pour une société privée d'accepter des schémas de partenariats capitalistiques forts avec un Etat parce que le rapport d'un Etat et d'une société privée, c'est le pot de fer contre le pot de terre", a dit celui qui a dirigé Nexter, ex-Giat Industries, avant de prendre les rênes de Thales au printemps 2009.

 

Des rumeurs - démenties - ont régulièrement fait surface sur un éventuel rapprochement entre DCNS et l'allemand Atlas Elektronik - coentreprise entre ThyssenKrupp et EADS - , qui coopèrent déjà dans la production de torpilles.

 

Le PDG de Nexter Philippe Burtin a déclaré de son côté à Reuters la semaine dernière discuter avec les allemands Rheinmettal et Krauss-Maffei Wegmann (KMW), l'italien Oto Melara (Finmeccanica ) et le finlandais Patria en vue d'une alliance, après avoir tenté l'an dernier un rapprochement avec les français Renault Trucks Defense (groupe Volvo ) et Panhard.

 

Luc Vigneron n'a pas souhaité s'exprimer sur l'intérêt éventuel de Thales pour Oto Melara, évoqué mardi par Les Echos.

 

Thales a confirmé mardi soir viser une amélioration de sa marge opérationnelle courante à 6% en 2012, après 5,7% en 2011, avec une hausse de son chiffre d'affaires et un ratio "book-to-bill" inférieur à 1, des prévisions n'intégrant ni DCNS ni un éventuel succès à l'export du Rafale.

 

L'Inde a annoncé fin janvier l'ouverture de négociations exclusives en vue de l'achat de 126 avions de combat français, un contrat évalué à quelque 11 milliards d'euros, tandis que la perspective d'une commande de 60 unités de la part des Emirats arabes unis a récemment refait surface, avec par ricochet un éventuel intérêt du Qatar et du Koweït voisins.

 

Thales équipe l'avion construit par Dassault Aviation en radars, équipements de communication et calculateurs, soit à peu près un quart de la valeur de chaque appareil.

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 13:55

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March 6, 2012 Spacewar.com  (AFP)

 

Paris, France  - French defence electronics company Thales said Tuesday it has climbed back into profit following two years of losses, and that it would meet its profit margin target for 2012.

 

Thales posted a 2011 net profit of 566 million euros ($742 million), erasing losses of 128 million euros in 2009 and 45 million euros in 2010.

 

The group, which makes electronics for aircraft manufacturers such as Airbus, Dassault and Sukhoi, maintained its 2012 profit margin target of 6.0 percent.

 

A statement quoted chief executive Luc Vigneron as saying: "A marked upturn in our results is now underway, driven by better contract execution, the momentum of the Probasis plan and our stronger footprint in growth regions.

 

"On the basis of this strong performance, which confirms the relevance of our strategy, we are confident in our ability to continue to improve our results, despite the serious economic uncertainties in Europe," he added.

 

Thales' sales slipped by 1.0 percent to 13.03 billion euros but new orders gained the same amount to 13.21 billion, the statement said.

 

Company directors will propose a dividend of 78 euro cents per share for 2011.

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 08:55
Gérard Longuet chez Astrium et Thales Alenia Space pour renforcer les liens entre défense et spatial

G. Longuet, ministre de la Défense et F. Auque, PDG d'Astrium

 

06/03/2012 Wilfried Pinson — ObjectifNews.com

 

Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, était aujourd’hui à Toulouse. Il a visité les sites d’Astrium et de Thales Alenia Space et réaffirmé l’importance des liens entre la défense et le spatial. Lors de son discours à la Chambre de commerce et d'industrie, Gérard Longuet a notamment annoncé le renouvellement du marché d'Hélios-2 de 204 millions d'euros.

 

« Le sens de ce déplacement chez Astrium se trouve dans les liens entre la défense et l’espace », a souligné Gérard Longuet, ce mardi à Toulouse. Le ministre a pu en avoir l’illustration en débutant par une visite chez Astrium. En début d’après-midi, il a assisté à la démonstration de « Spirale » (dont Thales Alenia Space est maître d'oeuvre) , un système d’alerte par satellites qui permet de détecter les tirs de missiles. Puis rapidement, Astrium lui a présenté Gaia,  un satellite doté d’immenses miroirs qui doit permettre de cartographier la galaxie en 3D pour le compte de l’Agence spatiale européenne (Esa).

 

Gérard Longuet s’est ensuite attardé dans la salle des satellites de télécommunication où se déroulent l’assemblage et les tests finaux. Le ministre a écouté les explications de François Auque, PDG d’Astrium. La visite s’est terminée dans la salle « Alecoïde »,  sorte de "simulateur d’infini" qui permet de tester les signaux des satellites. Le ministre a souligné alors « la très  forte implication »  du secteur de la défense dans le spatial. Avant de réagir à la vue d'une photo de Paris prise par un satellite, la commentant d'un « C’est très joli, il y a une vue sur les jardins de l’Élysée… »

 

La visite s’est ensuite poursuivie chez Thales Alenia Space où des systèmes de télécommunication par satellites lui ont été présentés.

 

Un marché de 204 millions d'euros renouvelé

 

Gérard Longuet s’est également exprimé sur la lettre de Peter Hintze, coordinateur de l'aéronautique et de l'espace pour le gouvernement allemand, qui a récemment écrit au futur président exécutif d'EADS Tom Enders au sujet du déplacement du siège du groupe à Toulouse. « Je serais un élu local allemand, sans doute aurai-je cette réaction. Quand on a un  grand projet européen à l'image d'EADS, certes de culture française, mais de dimension mondiale avec une assise européenne, il faut dépasser cela. Le choix de Tom Enders est l'expression de la simplicité, de l’efficacité et je dirai en termes opérationnels de bon sens. Les Allemands n'en manquent pas, je pense qu'ils seront de nouveau en accord avec nous », a affirmé le ministre.

 

Gérard Longuet a ensuite prononcé un discours à la CCI Toulouse 31. Il a annoncé le renouvellement du marché de maintien en condition opérationnelle d'Hélios 2, système spatial d'observation optique pour le domaine militaire. Ce marché, attribué à Astrium, se chiffre à 204 millions d'euros pour une durée de six ans. Le programme  européen MUSIS, un système d'observation qui nécessite trois satellites recevra également un "appui substantiel" du ministère de la Défense. Deux des satellites nécessaires devraient pouvoir être terminés grâce à cette aide. Gérard Longuet a finalement évoqué un environnement international de plus en plus concurrentiel qui demande une coopération renforcée au plan européen.

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