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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 15:30
Crédits DCNS - STX

Crédits DCNS - STX

 

Paris, le 10 octobre 2015 par DCNS Group

 

Le 10 octobre, DCNS a signé avec le Ministère de la défense de la République Arabe d'Egypte un contrat portant sur la fourniture de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) MISTRAL. Après la réalisation en cours de quatre corvettes GOWIND® 2500 la livraison d’une frégate FREMM, cet accord renforce les relations stratégiques initiées par le Groupe depuis 2014 avec la Marine égyptienne. D’ici 2020, la Marine égyptienne mettra en œuvre une flotte d’au moins sept navires de combat conçus et réalisés par DCNS.

Hervé Guillou, Président Directeur Général de DCNS, déclare : « Après les contrats portant sur la fourniture de quatre corvettes GOWIND® et d’une frégate FREMM, nous sommes fiers que la Marine égyptienne nous renouvelle sa confiance en signant ce jour un contrat pour la livraison de deux BPC MISTRAL. Avec déjà 7 navires de combat commandés à ce jour et une frégate de dernière génération déjà en service dans la Marine égyptienne, DCNS participe ainsi à la modernisation de son outil de défense.»

Les deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) commandés à DCNS par la Marine égyptienne rejoindront leur port de base dès l’été 2016 après la formation des futurs équipages. Celle-ci interviendra principalement au 1er semestre 2016, à Saint-Nazaire.

Au titre de la batellerie associée aux BPC, DCNS fournit notamment quatre chalands de transport de matériel de nouvelle génération (CTM NG), conçus par le Groupe comme un système intégré à une force amphibie organisée autour des navires MISTRAL ainsi que deux engins de débarquement rapide (EDAR) conçus et réalisés par la société CNIM.

 

Un partenariat à long terme avec la Marine égyptienne

Alors que la première des quatre futures corvettes GOWIND® de la Marine égyptienne est déjà en cours de réalisation, que les trois autres corvettes seront assemblées en Egypte à Alexandrie et que la frégate FREMM Tahya Misr a été livrée à la Marine égyptienne le 23 juin 2015, la signature de ce nouveau contrat renforce encore le partenariat stratégique développé entre DCNS et la Marine égyptienne.

D’ici 2020, le Groupe aura fourni au moins sept navires à l’Egypte, participant ainsi à la modernisation de son outil de défense.

Ce solide partenariat entre la République arabe d’Egypte et la République française est renforcé par l’engagement de DCNS d’être à plus long terme aux côtés de la Marine égyptienne, grâce en particulier, à un soutien sans faille des équipes de services dédiées à la maintenance des principaux navires armés. Le Groupe inscrit également cette présence dans un projet plus large de coopération industrielle avec la partie égyptienne dans le domaine de la construction et de la maintenance d’unités majeures.

Une nouvelle fois, grâce à cet accord historique, DCNS s’inscrit dans une logique de partenariat avec la Marine égyptienne, mais aussi avec les chantiers navals égyptiens avec qui le Groupe compte bâtir une coopération pérenne. C’est ainsi que DCNS a décidé d’investir auprès de l’industrie égyptienne pour développer conjointement les compétences et les outils indispensables au soutien d’une Marine de premier plan.

 

Caractéristiques techniques des bâtiments de projection (BPC) MISTRAL

D’une longueur de 199 mètres, d’un déplacement de 23 000 tonnes et d’une vitesse supérieure à 18 nœuds, le BPC MISTRAL est caractérisé par sa grande capacité d’emport.

Destiné aux opérations de projection de force, de maintien de la paix comme de support humanitaire le BPC MISTRAL est doté d’un centre de commandement et de contrôle particulièrement modulaire et doté de moyens de communications performants s’adaptant à toutes les configurations d’état-major embarqué.

Bénéficiant d’un hôpital embarqué, il peut mener des missions humanitaires de grande ampleur. Son système de communication performant en fait un navire bien adapté au commandement d’une force navale.

 

A propos de DCNS

DCNS est un leader mondial du naval de défense et un innovateur dans l’énergie. Entreprise de haute technologie et d’envergure internationale, DCNS répond aux besoins de ses clients grâce à ses savoir-faire exceptionnels, ses moyens industriels uniques et sa capacité à monter des partenariats stratégiques innovants. Le Groupe conçoit, réalise et maintient en service des sous-marins et des navires de surface. Il fournit également des services pour les chantiers et bases navals. Enfin, le Groupe propose un large panel de solutions dans les énergies marines renouvelables. Attentif aux enjeux de responsabilité sociale d’entreprise, DCNS est adhérent au Pacte Mondial des Nations Unies. Le Groupe réalise un chiffre d’affaires de 3,1 milliards d’euros et compte 13130  collaborateurs (données 2014).

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 12:55
Protéger la mer : une priorité pour les équipes d’évaluation et d’intervention de la Marine

 

09/10/2015 Actu Marine Nationale

 

Les 1er et 2 octobre 2015, la préfecture maritime de la Méditerranée, en partenariat avec le centre d’expertise pratique de lutte antipollution (CEPPOL) de la Marine nationale, a organisé un stage de formation au profit d’une vingtaine d’officiers de l’arrondissement maritime Méditerranée composant les équipes d’évaluation et d’intervention sur navire en difficulté (EEI).

 

Les équipes d’évaluation, envoyées sur place par hélitreuillage dès lors qu’un navire se signale en avarie grave au large des côtes françaises, sont « les yeux et les oreilles » du préfet maritime (PREMAR). Elles sont chargées de fournir une expertise indépendante sur la situation rencontrée par le navire en difficulté. Elle peuvent être amenées à notifier au capitaine du navire une mise en demeure, prise par le PREMAR sur le fondement du droit international et du code de l’environnement, de faire cesser le danger que la situation du navire représente pour l’environnement. 

 

Si le préfet maritime décide une action d’office, l’équipe prend alors le nom d’équipe d’intervention. Elle peut être renforcée, notamment, par des experts dans tous les domaines requis : manœuvre des navires, lutte contre les incendies et les voies d’eau, risques technologiques et sanitaires. L’action peut déboucher sur un remorquage imposé, réalisé par le remorqueur d’intervention, d’assistance et de sauvetage Abeille Flandre.

 

Intervenant le plus tôt possible en amont de la survenance d’un accident, les EEI font partie du dispositif de prévention des atteintes environnementales aux côtes françaises et aux eaux maritimes que pourrait occasionner le naufrage ou l’échouement d’un navire.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

12/10/2015 Sources : Marine nationale

 

Le 6 octobre 2015, le général de division aérienne Hervé Rameau, directeur de la sécurité aéronautique d’État, a visité les installations de la base aéronautique navale (BAN) de Lanvéoc-Poulmic. À cette occasion,  il a remis au capitaine de vaisseau Marc Gander, commandant la BAN, le certificat d’agrément FRA-145.

 

Cette certification FRA-145 valide la capacité de la BAN de Lanvéoc-Poulmic à réaliser la maintenance et la réparation de l’ensemble des hélicoptères affectés à Lanvéoc ( NH90 Caïman Marine, EC225, Lynx et Alouette III).

 

La direction de la sécurité aéronautique d'État (DSAÉ) est un service à compétence nationale placé auprès du ministre de la Défense et est au service de l’aviation d’État (armée de l’Air, armée de Terre, Marine nationale, DGA essais en vol, gendarmerie nationale, sécurité civile, douanes). Elle offre un double bénéfice : garantir la sécurité (préservation des vies humaines et des matériels) tout en favorisant les aptitudes opérationnelles de chaque exploitant. Ses missions sont réalisées au travers de ses trois domaines d’expertise :

 La circulation aérienne militaire ;

 La navigabilité étatique ;

 La formation des personnels navigants et l'exploitation des aéronefs.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 12:50
Series 30 SOM (Search Optronic Mast) - photo Sagem

Series 30 SOM (Search Optronic Mast) - photo Sagem

 

 

Boulogne Billancourt, le 12 octobre 2015 par Sagem

 

A l'issue d'un appel d'offres international, Sagem (Safran) vient de signer avec le chantier naval suédois Saab Kockums un important contrat portant sur l'acquisition des mâts optroniques destinés à quatre sous-marins de la marine suédoise.

 

Ce programme prévoit l'équipement de deux sous-marins de future génération de la classe A26 et de deux bâtiments de la classe Gotland déjà en service, chaque unité recevant un mât optronique de veille (MOV) de type Sagem Series 30. Ce contrat comprend également les fournitures logistiques initiales.

 

Le choix de Saab Kockums pour le mât optronique de veille de Sagem a été motivé par la très haute performance de ses capteurs optroniques, son intégration aisée au système de combat des bâtiments, et une interface homme-machine permettant d'exploiter de façon optimale ses fonctions d'imagerie de haute définition.

 

Les mâts optroniques de Sagem font appel à la technologie moderne des mâts de type « non pénétrant » dans la coque épaisse du sous-marin. Ils se caractérisent par leur compacité et une architecture multi-capteurs très intégrée, tout en répondant aux exigences les plus sévères de furtivité.   

 

Les mâts optroniques de veille destinés à la marine royale suédoise sont issus de la famille de mâts Série 30 que Sagem développe et produit pour les sous-marins Scorpène de DCNS et pour les futurs sous-marins nucléaires d'attaque de la classe Suffren de la Marine nationale (programme Barracuda). En 2014, les mâts optroniques de Sagem ont été sélectionnés et commandés par le chantier sud-coréen DSME pour les futurs sous-marins océaniques KSS-III.  

 

A travers ce nouveau succès, Sagem confirme sa position de référence nationale et internationale sur le marché de l'optronique sous-marine. Leader technologique de ce segment particulièrement pointu, Sagem développe et produit en France pour ses partenaires une famille complète de périscopes d'attaque, de mâts optroniques et de mâts radars pour sous-marins. Ils sont conçus par Sagem à Massy puis intégrés dans son établissement de Dijon, les caméras infrarouges étant produites dans celui de Poitiers.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 11:55
source delegfrance-omi.org

source delegfrance-omi.org

 

11.10.2015 par JDD

 

La France vient d'étendre son domaine maritime d'une surface presque équivalente à celle de l'Hexagone. C'est une aubaine pour Paris qui espère que l'exploitation future du sous-sol marin sera fructueuse.

 

Deuxième pays du monde en termes de puissance maritime juste derrière les Etats-Unis, la France vient d'étendre son domaine maritime de 579.00km2. Selon Benoît Loubrieu, cette surface qui correspond quasiment à la taille de l'hexagone pourrait attendre au "moins un million de km2", si toutes les demandes soumises par la France dans le cadre de la convention de l'ONU sur le droit de la mer sont validées. La convention de Montego bay permet aux pays côtiers d'étendre leur plateau continental au-delà des 200 milles marins (environ 370 km) de leur ZEE - jusqu'à une limite maximale de 350 milles - s'ils démontrent que leur territoire terrestre se prolonge sur le fond des océans. Les droits d'un Etat sur cette zone ne s'exercent cependant que sur le sol et le sous-sol marin et non sur la colonne d'eau, qui reste du domaine international.

 

Suite de l'article

 

Note RP Defense : Voir les décrets nos 2015-1180, 2015-1181, 2015-1182 et 2015-1183 du 25 septembre 2015 définissant les limites extérieures du plateau continental au large du territoire de la Martinique et de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Nouvelle-Calédonie et des îles Kerguelen

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 11:55
Les Groupes Lourds honorés sur la base aérienne 106 de Bordeaux

 

09/10/2015 Sources : Sirpa air / BA 106 - Armée de l'air

 

Les 70 ans du retour des Groupes Lourds d’Angleterre ont été commémorés, jeudi 8 octobre 2015, sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac.

 

Cette journée de commémoration a débuté par une cérémonie militaire solennelle, rendue en hommage aux vétérans et aux proches des groupes de bombardement II/23 «Guyenne» et I/15 «Tunisie», dits Groupes Lourds. Dix vétérans sur les douze toujours en vie avaient spécialement fait le déplacement.

 

À cette occasion, le colonel Christophe Michel, commandant la base aérienne 106 de Bordeaux, a procédé à la lecture d’un vibrant ordre du jour, saluant la mémoire des aviateurs français ayant combattu «au service de la France et de la liberté».

 

«Les 20 et 29 octobre 1945, les Groupes Lourds se posent sur le sol français, sur la base aérienne de Bordeaux-Mérignac. Ils constituent la 21eescadre de bombardement et sont dignement fêtés, le 26 novembre, sur la place des Quinconces, où la Croix de guerre vient orner leur drapeau. Sur une base aérienne sévèrement endommagée par les bombardements, le «Guyenne» et le «Tunisie» s’installent et appréhendent leur nouvelle mission. (...) Saluons ici nos Anciens dont la présence nous honore. Leur exemple est l’étoile qui nous guide sur le chemin de la réussite dans l’accomplissement de nos missions.»

 

Au terme de ce premier hommage, une cérémonie des couleurs était également organisée sur le tarmac de la base girondine. Pour l’occasion, deux Rafale de la 4e escadre de chasse de Saint-Dizier, entité héritière des traditions des Groupes Lourds, étaient disposés sur le parking bordelais.

 

Pour clore cette journée riche en célébrations, une rencontre a été organisée entre les vétérans, les 120 membres de l’association des anciens et des amis des Groupes Lourds, ainsi que 200 collégiens originaires de Mérignac. Après la projection de documentaires consacrés à l’histoire des groupes français, une série de questions-réponses a été entamée entre les jeunes élèves et les aviateurs français.

 

Suite de l'article

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 11:55
L'adjudant Caviglioli décore le Général Lyautey de la Médaille Militaire - Photo Flandrin, Casablanca

L'adjudant Caviglioli décore le Général Lyautey de la Médaille Militaire - Photo Flandrin, Casablanca


12.10.2015 source SHD
 

12 octobre 1492 : Christophe Colomb découvre l’Amérique tout en s’imaginant avoir atteint les Indes.

 

12 octobre 1915 : Exécution d’Edith Cavell (Schaerbeck – Belgique). Infirmière à Bruxelles quand la Première Guerre mondiale éclate, la britannique Edith Cavell soigne les blessés des armées alliées et allemandes. Elle profite des opportunités que lui offre sa situation pour reprendre un réseau d’évasion initié par des Belges de la région de Mons. Ce réseau aidait les soldats alliés blessés à s'évader de la Belgique occupée vers les Pays-Bas neutres. Il fusionne ensuite avec un autre réseau créé par plusieurs femmes dans le nord de la France (la comtesse de Belleville, la princesse de Croy, Louise Thuliez et Louise de Bettignies). Le 31 juillet 1915, elle est arrêtée puis conduite devant une cour martiale par les Allemands qui la fusillent à l’issue de son procès pour couper court aux protestations internationales. Une place lui est dédiée à Lille (quartier de Lille-Sud). Un monument à sa mémoire avait été inauguré dès 1920 dans le jardin des Tuileries mais fut détruit le 14 juin 1940 à l’entrée des troupes allemandes dans Paris.

 

12 octobre 1915 : Lyautey reçoit la Médaille Militaire des mains d’un adjudant (Sidi Lamine – Maroc). Encore général, le futur maréchal Lyautey demande à l’adjudant Caviglioli de lui remettre la médaille afin d’honorer le corps des sous-officiers et en signe de reconnaissance pour leur participation à l’œuvre accomplie au Maroc. Plusieurs ouvrages très intéressants sur le maréchal Lyautey : chez Lavauzelle, la réédition de la biographie par Maurois Lyautey dans la collection la pensée préservée.  Et bien sûr, Lyautey, les sables et le ciel sont grands d’Arnaud Teyssier.

 

12 octobre 1940 : fin de la bataille d'Angleterre. Hitler ajourne l'opération Otarie. Les bombardements sur les villes anglaises vont toutefois se poursuivre sporadiquement, motivant l'évacuation de tous les enfants vers les zones rurales.

 

12 octobre 2000 : attaque contre l’USS Cole (Yemen). Une embarcation piégée pilotée par deux commandos suicides percute la coque du destroyer américain alors qu’il est à l’ancre. 17 marins sont tués. Les commandements français ALINDIEN et à Djibouti organisent sur ordre présidentiel un appui dans le cadre des secours qui sera particulièrement apprécié par les autorités américaines. Un transall des Forces françaises de Djibouti évacue les blessés. Revendiqué par Al Qaida, cet attentat représente l’acte de naissance de l’organisation terroriste dans les médias.

 

12 octobre 2002 : attentat à Bali (Indonésie). Plusieurs bombes explosent en quelques minutes à l’intérieur d’une boite de nuit et aux abords immédiats, tuant 197 personnes principalement australiennes. Les liens avec Al Qaida sont avérés.

 

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 11:55
Goumiers marocains avec leur train muletier, sur la route de Marseille, le 19 août 1944 - source SHD

Goumiers marocains avec leur train muletier, sur la route de Marseille, le 19 août 1944 - source SHD

 

09/10/2015 Ministère de la Défense

 

Monsieur Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, inaugurera mardi 13 octobre 2015 une stèle en hommage à la mémoire des goumiers marocains, place Denys-Cochin à Paris (VII°). Le secrétaire d’État sera accompagné de Madame Anne Hidalgo, Maire de Paris, de Son Excellence Chakib Benmoussa, Ambassadeur de Sa Majesté Le Roi du Maroc en France, du contrôleur général des armées Claude Sornat, président de l’association de La Koumia, et de Madame Rachida Dati, Maire du VII° arrondissement de Paris.

 

Ce geste mémoriel rend un double hommage au Maroc : le premier destiné aux unités de goums marocains qui se sont particulièrement illustrées pour la Libération de la France dans le second conflit mondial, et le second au sultan du Maroc, Mohamed V, « Compagnon de la Libération », qui appela en 1939 à soutenir la France sans restriction lorsqu’elle entra en guerre. Alors que l’année 2015 a été marquée par le 70e anniversaire de la seconde guerre mondiale, cette initiative illustre la volonté du Gouvernement de rendre hommage à l’ensemble des mémoires de ce conflit.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 10:55
photo Ministère de la Défense

photo Ministère de la Défense

 

12.10.2015 par Ministère de la Défense

 

Dans toute forme de combat, surprendre son ennemi est un avantage considérable. Pour réussir cette phase délicate, il est impératif de s’approcher au plus près de son adversaire et de l’observer sans se faire repérer. Sur le terrain, le fantassin doit se fondre dans l’environnement ambiant. Il va devenir indécelable grâce au camouflage, l’art de la dissimulation.

 

Reportage photos

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 10:50
Drone - UAV (photo Armée de l'Air, Armée de Terre, Onera,Dassault Aviation)

Drone - UAV (photo Armée de l'Air, Armée de Terre, Onera,Dassault Aviation)

 

12 oct. 2015 Ministère de la Défense

 

Over the last decade, it has become an essential asset in military interventions. Now the preferred means of carrying out reconnaissance and observation, the drone is a source of fascination. As France and the UK prepare to work together to develop futuristic drones capable of carrying out strikes on the enemy, the Journal de la Défense takes a closer look at this rapidly evolving military resource.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 08:30
photo Armée de l'Air (archives)

photo Armée de l'Air (archives)

 

12 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Amman - Des jihadistes français ont probablement été tués par des frappes françaises en Syrie, a-t-on indiqué lundi de source gouvernementale française, en marge d'une visite du Premier ministre Manuel Valls en Jordanie.

 

Les frappes françaises ont tué des jihadistes (en Syrie, ndlr). Il pourrait y avoir des jihadistes français, a déclaré une source gouvernementale. Le chiffre de six a été annoncé probablement par une ONG syrienne. A cette heure, nous ne pouvons rien confirmer, a-t-on précisé.

 

Interrogé par l'AFP, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une ONG syrienne qui dispose d'un vaste réseau de sources dans ce pays en guerre, n'a pas pu confirmer qu'il y avait des Français parmi les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) tués lors des dernières frappes françaises.

 

La France a décidé de frapper Daech (un acronyme en arabe du groupe EI) au nom de la légitime défense puisque Daech prépare depuis la Syrie des attentats contre la France, avait souligné dimanche Manuel Valls qui effectue une tournée au Moyen-Orient.

 

Nous frappons Daech et tous ceux qui, au sein de Daech, quelles que soient leurs origines ou leurs nationalités, ont décidé de frapper la France et donc de frapper leur propre pays, avait poursuivi le Premier ministre devant la presse, en référence aux filières jihadistes françaises.

 

Ces filières concernent 1.700 personnes dont cinq à six cents sont en Syrie ou en Irak et y connaissent un nombre grandissant de décès, a-t-il indiqué.

 

Tous ceux qui rejoignent ces camps d'entraînement, tous ceux qui rejoignent Daech doivent savoir qu'ils peuvent demain être frappés. Nous ne demandons pas le passeport à telle ou telle personne mais nous frappons ceux qui préparent les attentats contre la France, avait-il poursuivi.

 

Dimanche, des sources au ministère de la Défense français avaient indiqué que le camp d'entraînement du groupe jihadiste Etat islamique visé par des raids aériens français en Syrie dans la nuit de jeudi à vendredi abritait des combattants français et francophones.

 

Cette présence de combattants étrangers avait été identifiée par le renseignement français, à travers notamment des interrogatoires de jihadistes liés à la Syrie.

 

Des chasseurs Rafale français ont visé pour la deuxième fois dans la nuit de jeudi à vendredi un centre d'entraînement de l'EI dans la région de Raqa (est de la Syrie), après une première frappe le 27 septembre sur un objectif de même nature.

 

Le Premier ministre a annoncé dimanche à Amman qu'il se rendrait lundi sur une base militaire jordanienne d'où décollent une partie des chasseurs français qui mènent des frappes aériennes contre l'EI en Syrie.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 08:30
photo Armée de l'Air (archives)

photo Armée de l'Air (archives)

 

11 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Amman - Le Premier ministre français Manuel Valls a annoncé dimanche à Amman qu'il se rendrait lundi sur une base militaire jordanienne d'où décollent une partie des chasseurs français qui mènent des frappes aériennes contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie.

 

Nous aurons demain (lundi) l'occasion avec le ministre (français) de la Défense d'aller sur une base. (...) Nous partageons avec la Jordanie (...) les mêmes objectifs de paix, de sécurité et de stabilité pour la région, a déclaré M. Valls lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue jordanien Abdallah Nsour.

 

Il s'agit d'une base d'où partent des avions français qui mènent des frappes en Syrie, selon une source diplomatique française.

 

La France et la Jordanie sont engagées au sein de la coalition internationale emmenée par les Etats-Unis contre le groupe EI.

 

Paris a déployé en Jordanie des chasseurs-bombardiers qui participent à la campagne aérienne contre l'EI en Irak depuis plus d'un an, et en Syrie depuis quelques semaines.

 

La France a décidé de frapper Daech (un acronyme en arabe du groupe EI), au nom de la légitime défense puisque Daech prépare depuis la Syrie des attentats contre la France, a souligné Manuel Valls.

 

Nous frappons Daech et tous ceux qui, au sein de Daech, quelles que soient leurs origines ou leurs nationalités, ont décidé de frapper la France et donc de frapper leur propre pays, a poursuivi le Premier ministre devant la presse, en référence aux filières jihadistes françaises.

 

Ces filières concernent 1.700 personnes dont cinq à six cents sont en Syrie ou en Irak et y connaissent un nombre grandissant de décès, a-t-il indiqué.

 

Le nombre de ces tués s'établit à 136, a précisé Manuel Valls.

 

Nous ne frappons pas une nationalité en particulier. Nous frappons tous ceux qui aujourd'hui préparent des attentats contre la France, a précisé un peu plus tard Manuel Valls devant des journalistes.

 

Tous ceux qui rejoignent ces camps d'entraînement, tous ceux qui rejoignent Daech doivent savoir qu'ils peuvent demain être frappés. Nous ne demandons pas le passeport à telle ou telle personne mais nous frappons ceux qui préparent les attentats contre la France. Nous n'avons pas à ce stade à donner plus d'informations et plus d'explications, a-t-il poursuivi.

 

Le Premier ministre a indiqué par ailleurs qu'il n'y avait pas de consultations avec les Russes pour mener des frappes françaises en Syrie.

 

Les avions de la coalition volent dans un espace aérien de plus en plus encombré depuis le début de l'intervention russe le 30 septembre, avec des risques croissants d'incidents, même si les chasseurs russes opèrent surtout au nord et à l'ouest de la Syrie.

 

Manuel Valls s'envolera lundi pour l'Arabie saoudite, dernière étape de sa tournée régionale qu'il l'a conduit au Caire où s'est finalisée la vente de deux navires militaires Mistral.

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 07:55
FLIGHT DECK OPS 2


9 oct. 2015 par Chasse Embarquée

 

Vidéo non disponible ? cliquez sur le lien/ Video not available ? click the link : https://vimeo.com/141897242

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 07:55
Crédits photos © MIKA / GIGN

Crédits photos © MIKA / GIGN

 

09.11.2015 GIGN

 

Des gendarmes du GIGN ont effectué une séance de sauts autour du site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.

 

A l'occasion de la traditionnelle fête des parachutistes de la Saint-Michel, un détachement de gendarmes du GIGN a participé à une séance de sauts au-dessus du Mont-Saint-Michel, mercredi 7 octobre 2015.

 

Cette séance de sauts a été marquée par la présence d'Andy, chuteur opérationnel au sein de l'unité, qui effectuait son dernier saut avant son départ du GIGN.

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11 octobre 2015 7 11 /10 /octobre /2015 11:35
FANC : Exercice Mhãnüü 2015

 

09/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 28 septembre au 2 octobre 2015, les militaires des Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) implantés sur la Base aérienne 186 (BA 186) Lieutenant Paul Klein ont conduit l’exercice Mhãnüü 2015 qui s’est principalement déroulé dans la région de Poum, au Nord de la Nouvelle-Calédonie, à 400 km de Nouméa.

 

Cet entraînement visait à entretenir la capacité opérationnelle de la base aérienne dans le cadre des missions réalisées par l’armée de l’Air au profit de l’armée de Terre, de la Société nationale de secours en mer (SNSM) et du Centre de coordination de sauvetage maritime (MRCC) de Nouméa. L’exercice, pour lequel une soixantaine de militaires a été déployée sur le terrain, a associé les moyens de la BA 186 (deux Puma, un Casa et l’escadron de protection), un groupe de combat du régiment d’infanterie de marine du Pacifique Nouvelle-Calédonie, des moyens humains et un camion avitailleur du service des essences des armées, une équipe du centre médical interarmées, des moyens de la SNSM et du MRCC. Lors de cet exercice, une base opérationnelle avancée aéromobile a été projetée dans la région de Poum. Cela a aussi été l’occasion pour les aviateurs de réaliser les missions et entraînements suivants : vols en formation de jour et de nuit, infiltration de nuit, levée de doute sur piste sommaire, posé d’assaut de jour et de nuit sur piste sommaire, largage de parachutistes de nuit, navigation tactique avec menace sol/air et largage de petits colis, recherche et secours sur terre et en mer avec la SNSM et évacuation sanitaire.

 

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 16:45
photo Ministère de la Défense

photo Ministère de la Défense

 

10-10-2015 Par RFI

 

Des combats ont été signalés aux alentours de Sibut en Centrafrique ce samedi 10 octobre entre la force française Sangaris et des miliciens armés issus de l'ex-Seleka. On ignore le bilan mais il y a des morts. Les forces internationales voulaient manifestement empêcher une colonne de descendre vers Bangui.

 

ll est environ 13h30 ce samedi à Sibut quand retentissent au loin des détonations. En ville tout le monde comprend de quoi il s'agit. « Depuis hier matin, un important groupe d'hommes armés est signalé à une douzaine de km vers l'est aux abords de la route qui mène à Bambari », nous explique une source bien informée sur place.

 

Selon nos informations, il s'agit d'éléments du FPRC, branche de l'ex-Seleka conduite par Nourredine Adam. Depuis plusieurs jours, des dizaines d'hommes du FPRC en provenance du Nord étaient bloqués à Dékoa par la Minusca. Ils seraient donc finalement parvenus à contourner Dékoa et se sont retrouvés là, en espérant pouvoir descendre vers Bangui.

 

Ce samedi matin, des discussions avaient été engagées entre les chefs de cette colonne, conduite par un certain général Adoum, les autorités de Sibut et le chef du contingent deCasques bleus qui y sont déployés. Négociations qui n'ont rien donné.

 

En début d'après-midi donc, une patrouille des forces internationales repère ce groupe d'environ 150 à 200 hommes et leurs pick-up. Un hélicoptère de combat français pris à partie ouvrira le feu provoquant d'importants dégâts humains et matériels sur le convoi Seleka.

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:55
Amarante s'allie à Seris qui a repris les 44% de Pierre-Antoine Lorenzi


09.10.2015 par P. Chapleau - Lignes de Défense
 

Guy Tempereau et Alexandre Hollander ont annoncé, ce vendredi, la reprise par le Groupe SERIS  (créé en 1958 à Saint-Nazaire) de la participation de 44 % du capital d’Amarante (280 employés, créée en 2007), jusqu’alors détenue par Serenus Conseil, la société de Pierre-Antoine Lorenzi.

Comme l'explique le communiqué des deux entreprises, "fort d’un chiffre d’affaires de près de 400 M€ exclusivement réalisé dans les métiers de la sécurité et de la sûreté, le nouvel ensemble entend capitaliser sur la complémentarité des domaines d’expertises mais aussi des zones d’activités des deux groupes".

SERIS (Guy Tempereau en est le PDG) qui compte près de 11 000 collaborateurs et affiche un CA 2015 de 360 M€, est donc "l'acteur dimensionnant" que recherchait Amarante depuis près d'un an.

Cofondateur et actuel Directeur Général, Alexandre Hollander devient le nouveau Président du groupe Amarante.

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

7 Octobre 2015 Marine nationale

 

Du 21 septembre au 2 octobre 2015, l’École de spécialisation sur hélicoptères embarqués (ESHE) a accueilli et formé à l’appontage 12 pilotes d’hélicoptères de provenance diverse (armée de Terre, armée de l’Air, Gendarmerie).

 

Ce stage, effectué sur hélicoptère Alouette III, a permis aux stagiaires d’être formé au survol maritime et aux techniques de treuillage, de VERTREP (vertical replenishment – ravitaillement vertical) et d’appontage sur petite plate-forme. Le travail de l’ensemble du personnel de l’escadrille 22S, techniciens et membres d’équipage, a permis de réaliser pendant ces 2 semaines plus de 90 heures de vol et 350 appontages. Avec ce certificat d’aptitude à l’appontage, les stagiaires peuvent désormais participer à des missions héliportées sur des bâtiments croisant sur toutes les mers du monde.

 

L’ESHE est située sur la base aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic, et a pour vocation de former les pilotes de la Marine nationale à l’appontage, avant qu’ils ne rejoignent leurs flottilles. Elle est également un passage obligé pour les pilotes des autres armées qui souhaitent embarquer ponctuellement sur un bâtiment de la Marine.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:45
Djibouti: Marines et chasseurs à l'Ecole du désert

 

08.10.2015 par P. Chapleau - Lignes de Défense

 

L'exercice Ouerka 2015 a pris fin mercredi, au Centre d’entrainement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Conçu et conduit par le 5e régiment interarmes d’Outre-mer de Djibouti, il avait débuté le 21 septembre avec la mise en place d'une Base Avancée Temporaire Désert (photo ci-dessus Adj Veron).

Ce type d’exercice, reconduit tous les quatre mois, vise à entrainer les unités au combat interarmes en zone désertique, dans un contexte interarmées et interalliés.

Outre un sous-groupement tactique interarmes français, articulé autour de l’escadron blindé du 4e Régiment de Chasseurs, près de 160 Marines de la 15th Marine Expeditionnary Unit de l'US Marine Corps ont également participé à cet exercice, soit plus de 300 soldats équipés d'AMX10 RCR, de mortiers de 120 mm et de LAV 25.

Petite innovation: l'intégration à l'exercice de l’équivalent d’un SGAM franco-américain (Puma, Gazelle, Huey et Cobra) apportant une capacité aéroterrestre (photo ci-dessous d'un tir de Hot par une Gazelle CC Roux).

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Enfin, l’intégration d’un élément des forces spéciales françaises a permis de travailler la coordination avec les forces conventionnelles.

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:35
Scorpene photo DCNS

Scorpene photo DCNS

 

09.10.2015 Pacific Sentinel
 

Jakarta is interested in bolstering its deterrence capabilities.

 

Indonesian defense official have expressed interest in purchasing French-built Scorpene-class 1000 diesel-electric attack submarines (SSK) IHS Jane’s Navy International reports.

 

Representatives of the French shipbuilder DCNS, the company offering the boats, confirmed Indonesian-French government-to-government talks at this year’s Pacific 2015 International Maritime Exhibition currently taking place in Sydney, Australia.

 

“The talks are going on at the government-to-government level, mostly to discuss the needs of the Indonesian Navy,” according to a DCNS representative interviewed by IHS Jane’s Navy International.

 

“So far, what the Indonesians have identified is the need for a complementary submarine fleet that can fill in the gaps of their new ocean-going submarines, and they are considering the Scorpene 1000.”

 

Read the full story at The Diplomat

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:55
FREMM Languedoc photo DCNS

FREMM Languedoc photo DCNS

 

07.10.2015 par DCNS

 

Le 7 octobre, la FREMM Languedoc, troisième frégate de la série destinée à la Marine nationale, a effectué sa première sortie à la mer. Ce jalon industriel marque le démarrage des essais en mer du navire qui se dérouleront au large des côtes bretonnes. Avec trois frégates multimissions FREMM actuellement en cours de construction sur le site de Lorient, DCNS aura livré six FREMM avant mi-2019 à la Marine nationale, conformément à la loi de programmation militaire 2015-2019, ainsi que deux FREMM à l’export.

 

DCNS a réalisé ce jour, sur son site de Lorient, la première sortie à la mer de la FREMM Languedoc, troisième de la série commandée par l’OCCAR* au profit de la Direction générale de l’armement (DGA) pour la Marine nationale. Lors de cette première sortie à la mer, le principal objectif poursuivi est de tester les performances de la propulsion et du système de navigation du navire.

La FREMM Languedoc va bénéficier d’une réduction sensible de la durée de ses essais en mer par rapport aux FREMM précédentes : six semaines contre huit auparavant. Cette durée d’essais optimisée illustre le passage en « mode série » des frégates multimissions.

Les équipes de DCNS et de ses partenaires, fortes de l’expérience acquise sur les FREMM déjà livrées, ont ainsi pu procéder à l’intégration des senseurs et des armements du système de combat avant la première sortie mer de la FREMM Languedoc. Cette rationalisation du planning permet d’optimiser la durée et le nombre de sorties en mer de la frégate et donc in fine de réduire la durée totale des essais du navire.

«L’accélération du planning d’essai sur la FREMM Languedoc témoigne de la capacité de DCNS à assurer une production en série performante », explique Anne Bianchi, Directrice du Programme FREMM chez DCNS.

 

 

 

FREMM Languedoc photo DCNS

FREMM Languedoc photo DCNS

 

Huit FREMM réalisées sur le site DCNS de Lorient d’ici 2019

Pour DCNS, le programme FREMM représentera à terme la construction de dix frégates, dont huit pour la Marine nationale. Six d’entre elles seront livrées d’ici 2019 et deux frégates dotées de capacités anti-aériennes renforcées seront livrées avant 2022. Deux autres unités ont été vendues et livrées à des clients internationaux : la Marine Royale du Maroc et la Marine égyptienne.

  • La FREMM Aquitaine, tête de série, livrée en 2012.
  • La FREMM Mohammed VI, livrée à la Marine Royale du Maroc en 2014.
  • La FREMM Provence livrée en juin 2015.
  • La FREMM Tahya Misr, livrée à la Marine égyptienne en juin 2015.
  • La FREMM Languedoc qui réalise sa première sortie en mer.
  • La FREMM Auvergne, qui a été mise à flot le 2 septembre
  • La FREMM Bretagne, dont l’assemblage se poursuit.

 

Caractéristiques techniques des FREMM

Fortement armées, les frégates FREMM mettent en œuvre, sous maîtrise d’œuvre DCNS, les systèmes d’armes et équipements les plus performants, tels que le radar multifonction Herakles, le Missile de Croisière Naval MdCN, les missiles Aster et Exocet MM 40 ou encore les torpilles MU 90.

 

  • Longueur hors tout : 142 mètres
  • Largeur : 20 mètres
  • Déplacement : 6 000 tonnes
  • Vitesse maximale : 27 nœuds
  • Mise en œuvre : 108 personnes (détachement hélicoptère inclus)
  • Capacité de logement : 145 personnes
  • Autonomie : 6 000 nautiques à 15 nœuds

*OCCAR : Organisation Conjointe de Coopération en matière d’ARmement, , est une organisation internationale qui a pour cœur de métier la gestion des programmes d’équipements de défense en coopération qui lui sont confiés par les Etats membres. L’OCCAR assure, entre autres, la maitrise d’ouvrage des frégates multi-missions FREMM destinées à la France et à l’Italie.

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:55
Prix armée de l’air 2016 : vos écrits nous intéressent

 

09/10/2015 Sources : CESA - Armée de l'air

 

Chaque année, l’armée de l’air récompense les meilleurs mémoires traitant de l’« Air et espace » dans le cadre des prix « Clément Ader » et « René Mouchotte ».

 

Ces prix ont été créés afin d’encourager, de susciter et de promouvoir des études ou des travaux de recherche en relation avec les préoccupations de l’armée de l’air. Conduits dans les milieux universitaires, les instituts de recherche ou au sein du ministère de la Défense, ces travaux aborderont des questions de stratégie, d’histoire, d’emploi des forces, de ressources humaines, d’équipement ou de droit aérien.

 

Plus d'informations

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:45
EFS : Formations en artillerie, infanterie et blindé

 

 09/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 7 au 18 septembre 2015, les Détachements d’appui opérationnels (DAO) « feux dans la profondeur », « blindé » et « commando » des Éléments français au Sénégal (EFS), se sont rendus au centre d’entraînement tactique n°7 de Thiès pour former plusieurs éléments des Forces armées sénégalaises (FAS). Ces DAO étaient réalisés en vue de leur projection au Soudan et au Darfour au sein de la Mission des Nations Unies et de l'Union Africaine au Darfour (MINUAD).

 

Le DAO « feux dans la profondeur » des EFS a conduit une action de formation artillerie à la section de mortiers lourds au profit du bataillon sénégalais SENBAT 12. Il s’agissait de remettre à niveau son personnel et de former les chefs de section des trois compagnies d’infanterie aux demandes de tir et aux techniques d’observation de tirs indirects.

Le DAO « blindé » quant à lui, a formé pendant dix jours un peloton blindé des FAS. La première semaine a été consacrée à l’instruction théorique en salle de cours et au drill(exercices répétitifs) sur la zone technique du bataillon blindé. Pendant la deuxième semaine, ils ont poursuivi les exercices pratiques en effectuant une manœuvre de niveau du détachement interarmes. À l’issue de cette instruction, le peloton a participé à un exercice de synthèse avec les compagnies d’infanterie avec lesquelles ils partiront en mission au Darfour.

 

Suite de l’article

EFS : Formations en artillerie, infanterie et blindé
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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:45
photo J Marces - Armée de l'Air

photo J Marces - Armée de l'Air

 

09/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 24 septembre au 4 octobre 2015, un équipage mixte des Escadrons de transport (ET) 1/62 Vercors et 3/62 Ventoux, accompagné de mécaniciens de l’escadron de soutien technique aéronautique 2E.062 stationnés sur la base aérienne 110 de Creil, ont rejoint Djibouti à bord d’un CN235 pour une période d’entraînement logistique et tactique.

 

Cette instruction organisée sur la BA 188 visait à assurer le maintien en condition opérationnelle des équipages et la formation du personnel en menant des missions tactiques, en coopération avec différentes unités françaises stationnées à Djibouti.

 

Le programme d’entraînement prévoyait des exercices variés : atterrissages sur des terrains sommaires de jour comme de nuit, posés d’assaut avec l’escadron de protection 1G.188, aérolargages de petits colis, sauvetages aéroterrestre et aéromaritime dans le cadre des missions SAR (Search and rescue – recherche et sauvetage). Les militaires ont également réalisé des missions tactiques à plusieurs appareils, incluant du vol en formation avec le C160 de l’ET88 et des missions de Slow Mover Protection (protection d’aéronefs) avec les Mirage2000 de l’escadron de chasse 3/11.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) apportent régulièrement un soutien logistique aux escadrons de transport de métropole qui viennent s’entraîner dans un environnement interarmées, exigeant et complexe. Djibouti, avec son climat chaud et ses paysages désertiques, s’apparente à de nombreux théâtres d’opérations actuels et présente un cadre d’entraînement très réaliste.

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:35
photo DGA

photo DGA

 

08 octobre 2015 Par Pierre Monnier –Usine Nouvelle

 

Le gouvernement indien a refusé la demande de l’Air Force India. L’armée de l’air indienne souhaitait rajouter 44 Rafale à la commande initiale, qui comptait 36 avions de combat fabriqués par Dassault.

 

La commande s’arrête à 36. D’après The Indian Express, il n’y aura pas de rallonge du gouvernement indien pour acheter plus de Rafale. L’armée de l’air indienne, l’Air Force India, avait pourtant demandé 44 avions supplémentaire. Selon un responsable, le ministre de la Défense indien, Manohar Parrikar, a affirmé qu’il n’y avait pas assez de fonds.

 

L’Air Force estime qu’il faudrait 45 escadrons d’avions de chasse afin de contrer la menace sur les deux fronts du Pakistan et de la Chine. Les pilotes indiens devront se contenter d’une version améliorée des avions légers de combat maison, le Tejas-Mark 1A. Cette solution convient d’ailleurs parfaitement au premier ministre indien Narendra Modi dont la politique est de favoriser les fabrications "made in India".

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