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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 20:32

DGSE_logo.png

 

05/12/2011 Le Point.fr (AFP)

 

Les services de renseignements ont été préservés des coups de rabot dans les crédits de la Défense.

 

Dans un contexte de rigueur et de coups de rabot budgétaires, les services de renseignements ont été préservés dans le projet de budget de la Défense pour 2012, avec une hausse annoncée de 9,11 % des crédits de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Comme l'an dernier (+ 14 %), la DGSE - les renseignements extérieurs - est l'un des rares organismes de défense dont les crédits sont en forte hausse, suivie de loin par la Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD), dont les crédits augmentent de 3,7 %. Ancienne sécurité militaire, la DPSD est spécialisée dans le contre-espionnage et la sécurité des personnels et installations relevant de la Défense nationale.

 

Priorité est donnée aux services de renseignements depuis la publication du Livre blanc de 2008, qui fixe les grandes lignes de la politique de défense. Les autorisations d'engagement de la DGSE s'élèvent ainsi à 592,8 millions d'euros pour 2012, contre 543,3 millions l'année précédente, selon un rapport de la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat. Celles de la DPSD s'élèvent à 97,4 millions d'euros, contre 93,9 en 2011. La loi de programmation militaire prévoit un renforcement des moyens de la DGSE, avec notamment un recrutement de 690 personnes supplémentaires sur la période 2009-2014. 130 emplois, civils et militaires, seront ainsi créés en 2012. Ingénieurs, techniciens supérieurs, linguistes ou surdoués de l'informatique : les services recrutent pour étendre leur capacité d'écoute et de surveillance.

 

Rattraper le retard

 

La DGSE a notamment pour mission "de rechercher et d'exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France" et "de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d'espionnage dirigées contre les intérêts français". Ses agents ont notamment été mis à contribution ces derniers mois dans les pays du Sahel, où six Français, ainsi que plusieurs ressortissants d'autres pays européens, sont retenus en otages. La DGSE ne fait aucun commentaire sur les opérations qu'elle conduit.

 

L'effort budgétaire entrepris en 2009 doit permettre à la France de rattraper un retard dans le domaine du renseignement constaté au milieu des années 2000. Dans des situations comparables, les effectifs des services de renseignement britanniques sont ainsi environ deux fois supérieurs à ceux de la DGSE. Adoptés le 29 novembre en première lecture au Sénat, les crédits de la Défense doivent à présent retourner devant l'Assemblée nationale.

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 19:15

Rafale by mrg78

photo par mrg78

05 décembre 2011 par Guillaume Lecompte-Boinet – L’USINE NOUVELLE

 

L'avion de combat de Dassault, qui vient d'essuyer un échec en Suisse, coûte plus cher que prévu : son prix unitaire atteint désormais 152 millions d'euros, compte tenu de l'inflation et des nouveaux développements comme le standard F3.

 

C'était passé inaperçu. Mais dans le rapport présenté le 17 novembre dernier par la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat sur le projet de loi de finances pour 2012, mais récemment révélé, les auteurs du document, Xavier Pintat et Daniel Reiner, donnent de nouveaux chiffrages sur le programme Rafale.

 

"Le coût total du programme, actualisé aux prix de 2011, est de 43,56 milliards d'euros pour l'Etat avec le développement", indiquent les sénateurs. Et non plus de 40,7 milliards lors de la dernière évaluation. Ce qui porte donc le prix unitaire d'un Rafale payé par la France à 152 millions d'euros (pour 286 appareils), contre 142 millions auparavant.

 

Ces 10 millions supplémentaires résultent à la fois de la prise en compte de l'inflation, mais surtout, de la mise au standard F3, réalisée sur 48 avions entre 2008 et octobre 2010. Un standard plus moderne incluant entre autre une nouvelle version du moteur M88 de Snecma, le Pod de désignation laser Damoclès, le radar à antenne active RBE2, la nacelle de reconnaissance Reco NG.

 

Besoins de paiement supplémentaires


Cette montée en gamme du Rafale va d'ailleurs se poursuivre jusqu'à fin 2012 et même au-delà. Le programme Rafale absorbe à lui seul plus de 35 % des crédits de paiement dans le projet de loi de finance pour 2012 (plus de 1,57 milliard d'euros), devançant largement le sous-marin nucléaire d'attaque Barracuda et les frégates multi-missions Fremm.

 

On le sait, l'absence de contrat export pour le Rafale a conduit les pouvoirs publics à la livraison anticipée de 17 avions supplémentaires sur 2009-2014, soit un total de 69 avions livrés sur cette période. "Ces anticipations conduisent à des besoins de paiement supplémentaires d'environ 1,1 milliard d'euros courants sur la période 2011-2013", soulignent les sénateurs.

 

"Cela a donc ponctuellement grevé le budget des équipements et a conduit au report du programme de rénovation des Mirage 2000D. Or, en matière d'équipements militaires si la qualité est importante, la quantité ne l'est pas moins. Il faut prendre garde à ne pas aboutir - pour des raisons industrielles - au format d'une armée de poche", préviennent-ils.

 

La réévaluation du coût du Rafale, aussi nécessaire soit-elle, risque de ne pas arranger les affaires du fleuron de Dassault à l'export.

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 12:50

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/repertoire-images/deces-militaires-et-honneurs/cne-barek-deligny/362597-1-fre-FR/cne-barek-deligny.jpg

photo Ministère de la Défense

05.12.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

Après le lieutenant Jean-Yves Alquier en 2009, puis le colonel Jean Sassi en 2010, le parrain des élèves de la nouvelle promotion du 4e bataillon de l'ESM Saint-Cyr -Coëtquidan sera le CBA Christophe Barek-Deligny. Cet officier du 3e RG a été tué le 22 mai 2010 (il avait 38 ans), alors qu'il servait au sein d'une OMLT dans la province d'Oruzgan.

La cérémonie de baptême aura lieu le 8 décembre au camp de Guer (la tradition veut qu'elle se déroule le 1er jeudi du mois de décembre); à cette occasion aura lieu la remise des sabres aux élèves. Le 4e bataillon constitue la quatrième école de Saint-Cyr Coëtquidan, l'école des stages courts. Il conduit la formation, essentiellement militaire et humaine, dans de multiples stages, et accueille environ 800 stagiaires par an.

 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/02/01/958833204.jpg

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 17:20

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-articles/journees-nationales-de-l-infanterie-2011/1466129-1-fre-FR/journees-nationales-de-l-infanterie-2011.jpg

 

01/12/2011 Armée de Terre

 

Manifestation annuelle de cohésion organisée dans la maison mère de l’arme, les journées nationales de l’infanterie (JNI) se sont déroulées les 22 et 23 novembre 2011 à Draguignan.

 

Présidées par le général de corps d’armée Charpentier, commandant des forces terrestres  (CFT), les JNI 2011 ont réuni chefs de corps, officiers d’infanterie dans des postes de responsabilité, officiers généraux et commandants de brigade de cette arme.

 

Elles étaient suivies, le jeudi 24 novembre, par une journée spécifique pour les référents des ressources humaines des régiments et directeurs des ressources humaines des groupements de soutien des bases de Défense (GSBdD).

 

Les JNI permettent de présenter un point de situation de l’infanterie  dans l’armée de Terre. Elles représentent l’opportunité de conduire des réflexions, de faire part de témoignages, et de diffuser des informations récentes, sur une arme largement représentée  sur tous les territoires où nos armées sont déployées. Cette année, elles furent en particulier l’occasion de présenter de nouveaux équipements comme le VAB ULTIMA ou de mettre en lumière le FELIN qui sera très prochainement déployé en Afghanistan.

 

VAB-ULTIMA-jni2011eicom098.jpgsource materiel-militaire.com

 

En phase avec les évolutions et les engagements de l’armée de Terre, l’infanterie et ses programmes sont aujourd’hui au cœur de la modernisation de l’outil de Défense.

 


 
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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 20:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/harmattan/110320-libye-poursuite-des-operations/libye-poursuite-des-operations-1/1126165-1-fre-FR/libye-poursuite-des-operations-1.jpg

photo Armée de l'Air - sources EMA

 

02/12/2011 Par Jean Guisnel -  Le Point.fr

 

La Suisse n'a pas voulu de l'excellentissime Rafale. Un échec de plus que le consortium français impute... au client !

 

Quand un commerçant rate une vente, deux attitudes s'offrent à lui. La première consiste à faire son autocritique, à disséquer les raisons de son échec avant de changer de stratégie. Tout simplement pour que les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets la fois suivante. La seconde option est plus risquée. Elle impose de faire porter le poids du revers au client, qui a si mal évalué ses propres intérêts qu'il en est venu à opter pour une solution ne les satisfaisant pas.

 

Après son récent échec en Suisse le consortium français (Dassault Aviation, Snecma, Thales), qui proposait son avion Rafale face à l'Eurofighter Typhoon (BAE Systems, EADS et Finmeccanica) et au Gripen NG de Saab - le vainqueur -, a joué les mauvais perdants. Dans un communiqué, il reprend les déclarations du ministre de la Défense Ueli Maurer exprimant sans langue de bois le point de vue du gouvernement qui a "sciemment décidé de ne pas positionner la Suisse au plus haut niveau européen s'agissant des performances des nouveaux avions de combat". Et on peut la comprendre : la Confédération helvétique s'est-elle trouvée une seule fois ces dernières années en nécessité de disposer d'une aviation de combat aux performances les plus élevées ? Jamais ! Cette position changera-t-elle à l'avenir ? Certainement pas...

La meilleure armée du monde ?

Là où la plupart des pays européens ont engagé des forces aériennes pour afficher leurs multiples solidarités avec les autres puissances (Afghanistan ou Libye, pour ne prendre que les plus récentes), les Suisses sont restés calfeutrés dans leurs montagnes. En raison de leur neutralité, ils ne participent d'ailleurs logiquement à aucune alliance (Otan ou Europe de la défense), n'envoient jamais de troupes où que ce soit, ne considèrent pas l'action militaire comme un vecteur de puissance. Ils préfèrent laisser accroire qu'ils possèdent la meilleure armée du monde, attitude facile quand on ne se confronte jamais avec personne, et exercent autrement leur influence internationale sur les terres de conflits : avec le Comité international de la Croix-Rouge, par exemple, ou bien en agissant diplomatiquement pour imposer des règles de bonne conduite aux sociétés militaires privées. Pour se défendre et protéger ses bastions, l'armée suisse a évalué deux critères : les performances - celles du Gripen lui paraissent suffisantes - et le prix. Ses arguments ont été longuement expliqués, qui expriment un choix souverain.

Conjonction de facteurs

"Les États n'ont pas d'amis, ils n'ont que des intérêts", disait le général de Gaulle. La Suisse indépendante a parfaitement défendu les siens en choisissant l'avion de combat qui lui semble le mieux adapté à ses besoins. Il ne manquerait plus que Paris lui dicte ses choix ! D'ailleurs, à force de faire valoir cette bien curieuse conception voulant qu'acheter le Rafale soit une obligation pour tout pays prétendant au soutien de notre pays, on se tire des balles dans le pied ! La preuve... En cas d'échec de la vente, les relations changeraient-elles d'un iota ? Évidemment, non... Où a-t-on vu que la France a modifié son attitude après l'échec de cet avion aux Pays-Bas, au Maroc, en Arabie saoudite, à Singapour, ou ailleurs ?

 

Paris ne peut ignorer que les échecs des grands contrats commerciaux (comme celui des réacteurs EPR aux Émirats, par exemple) sont liés à une conjonction de facteurs. La qualité des produits (de ce point de vue, le Rafale est inattaquable) en est un. Leur prix - mais la qualité se paye ! - et leur conformité aux besoins sont deux autres critères. L'une des spécialités des Français consiste à expliquer aux clients qu'ils ont tort, que c'est le vendeur qui a le bon point de vue. Peine perdue ! Possédant déjà des avions très haut de gamme (les F/A-18 C/D Super Hornet préférés au Mirage 2000-5 voici quelques années), les Suisses se dotent d'avions moins performants, moins chers, moins puissants. De ce point de vue, le Gripen est le choix qui leur convient. En renonçant à produire l'excellentissime Mirage 2000, la France et ses industriels ont fait leur choix. Ils n'ont plus aujourd'hui qu'un seul avion de combat à vendre, et à ce jour, aucun pays n'en a voulu. Est-ce vraiment la faute du client ?

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 18:05

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/43/FS_Amethyste_%28S_605%29.jpg/800px-FS_Amethyste_%28S_605%29.jpg

photo US Navy

 

2 décembre 2011 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

L’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine, procèdera samedi 3 décembre à 10h30 aux monuments des sous mariniers, situé Tour royale à Toulon, à la remise de la croix de la valeur militaire au SNA Améthyste.

 

Le sous-marin Améthyste s’était distingué lors de l’opération Harmattan au large de la Libye. Des décorations individuelles seront également remises.

 

La cérémonie est ouverte à tous.

 

Source : Marine Nationale (CECMED)

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 17:40

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/afghanistan/afghanistan-le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-8/1468869-3-fre-FR/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-8.jpg

 

02/12/2011 Sources : EMA

 

Les 20 et 21 novembre 2011, l’armée nationale afghane (ANA) a conduit l’opération Crossbow  en Surobi, une opération de contrôle de zone aux alentours de l’axe HW7 participant à la sécurisation de la « Loya Jirga ».

 

Commandée par l’état-major de la 3e brigade afghane, l’opération engageait des éléments du Kandak 32 et ses OMLT (operationnal mentoring and liaison team ), des appuis de la coalition, le tout en coordination avec la Task Force  américaine déployée dans la zone voisine.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/afghanistan/afghanistan-le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-9/1468874-2-fre-FR/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-9.jpg

Les enjeux de coordination entre les différentes unités engagées étaient importants, notamment parce qu’il s’agissait d’une opération héliportée de nuit. Une instruction spécifique a été dispensée par les OMLT français aux compagnies du kandak 32 (bataillon de l’ANA) sur la manière d’embarquer et de débarquer des hélicoptères Chinooks.

 

Pour suivre l’opération, l’OMLT avait installé son poste de commandement auprès de celui du général Nazar, commandant la 3e Brigade afghane, sur la FOB (base opérationnelle avancée) de Naghlu.

 

Aux côtés de deux compagnies du kandak 32, le BG 152 a engagé deux DLAS (détachements de liaison, d’appui et de soutien) français déployés pour fournir à l’ANA des appuis feux et des capacités d’observation. En attente sur la FOB Gwan, des troupes de réaction rapide (QRF) françaises et afghanes du kandak 36 étaient prêtes à être héliportées.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/afghanistan/afghanistan-le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-10/1468879-2-fre-FR/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-10.jpg

Après la mise en place par hélicoptère, les DLAS et les compagnies ANA ont débuté la phase d’infiltration et de surveillance avant de reconnaître le village d’Angurtak. Les forces afghanes en ont profité pour prendre contact avec la population et expliquer l’opération au cours d’une shura (assemblée de responsables locaux)

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/afghanistan/afghanistan-le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-7/1468864-2-fre-FR/le-battle-group-quinze-deux-appuie-l-armee-nationale-afghane-7.jpg

 

L’opération Crossbow a contribué une protection efficace de la « Loya Jirga » qui se tenait à Kaboul, en renforçant la surveillance des abords de l’Higway  7. La 3e brigade et le 32e Kandak ont pu s’initier à la planification et à la réalisation d’une opération héliportée.

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 13:00

http://www.estrepublicain.fr/fr/images/5326A4E8-3F9C-4C26-ACBB-6F1B5AF0C173/LER_15/par-chance-l-equipage-n-a-pas-ete-blesse-photo-franck-lallemand.jpg

 

Par chance, l’équipage n’a pas été blessé. Photo Franck LALLEMAND

 

02.12.11 estrepublicain.fr

 

Au décollage, une Gazelle du 3 e Régiment d’hélicoptère de combat est tombé au sol, hier, dans un champ, à Rouvres-en-Woëvre.

 

Fin d’après-midi, hier près d’Étain, en Meuse. Les militaires du 3 e Régiment d’hélicoptères de combat de Rouvres-en-Woëvre-Etain ont l’estomac noué. Ils viennent d’apprendre qu’une Gazelle de leur base, avec à bord un commandant de bord et un pilote - un capitaine et une sous — lieutenant d’une trentaine d’années, vient de se crasher dans un champ, quelques minutes après le décollage. Très vite, la tension retombe : l’équipage est sain et sauf.

 

Suite de l'article

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 09:00

Austerlitz-baron-Pascal.jpg


RP Defense souhaite un bon 2S aux Très Vénérables Anciens de la Très Bahutée Corniche Mac Mahon, et à ses lecteurs Saint-Cyriens.

 

RP Defense wish a happy 2S (Austerlitz celebration) to the French Saint-Cyriens, in particular to former Corniche Mac Mahon Cadets.

 

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 08:50

http://www.meretmarine.com/objets/500/38910.jpg 

crédits : SAGEM

 

02/12/2011 MER et MARINE

 

Sagem vient d'achever une nouvelle campagne d'essais en vol de son système de drone de surveillance de grande endurance Patroller. Réalisés depuis la base aérienne d'Istres entre le 19 septembre et le 21 octobre, les 14 vols de cette campagne ont permis d'atteindre la qualification des performances de vol du véhicule aérien, incluant les atterrissages automatiques à forte pente. Ils ont également permis l'intégration d'une nouvelle liaison de données pour les phases de roulage et d'une nouvelle chaine image offrant des performances accrues en termes d'identification d'objectifs. Et enfin la qualification de nouvelles fonctions de contrôle du vol permettant des modes de fonctionnement dégradés, et le posé automatique, en cas de panne d'actionneurs et de panne de propulsion. Le Patroller a été mis en oeuvre au-dessus de la Méditerranée dans le cadre de scénarios opérationnels de surveillance maritime et côtière représentatifs de missions de sécurité territoriale et de lutte contre l'immigration clandestine.


(© : SAGEM)


(© : SAGEM)

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 08:00

http://www.shephardmedia.com/static/images/article/patroller.jpg

 

01 December 2011 - by the Shephard News Team

 

Sagem has announced the successful completion of a series of flight tests of its long endurance surveillance UAV, Patroller. According to the company, 14 tests were carried out in total from September 19 to October 21 at the Istres air force base in southern France.

 

The testing confirmed a of the aircraft's in-flight performance, including automated landings at a steep glide slope; integration of a new data link for taxiing, and a new, higher-performance imaging chain for target identification; and qualification of new flight control functions supporting degraded operating modes, as well as automated touchdowns in case of actuator or propulsion system failure.

 

According to the company, the redundant avionics suite showed a significant improvement in flight safety, enabling Patroller to receive authorization from French authorities to overfly densely populated zones in controlled airspace.

 

During the test programme the UAV was also operated over the Mediterranean Sea to test operational maritime and coastal surveillance scenarios, representing missions for homeland security and to combat illegal immigration.

 

The Patroller UAV is designed for a wide range of defense and homeland security long-endurance surveillance missions. It is a medium-altitude, long-endurance (MALE) drone in the 1-ton class, based on an EASA-certified (European Aviation Safety Agency) aircraft. It capitalizes on technologies already developed by Sagem for the Sperwer Mk.II tactical drone, and field experience in Afghanistan. Patroller features a modular design, allowing it to carry different pod-mounted payloads, and offers flight endurance of 20 to more than 30 hours, at a maximum altitude of 25,000 feet.

 

According to the company, Sagem now expects to be able to deliver a complete, fully operational Patroller system within 12 to 18 months.

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 07:45

http://www.lepoint.fr/images/2011/12/01/rafale-449253-jpg_302186.JPG

 

La Suisse a préféré le Gripen suédois au Rafale français tout en reconnaissant

que l'avion de Dassault était "le meilleur". © Ibo/Sipa

 

01/12/2011 De notre correspondant à Genève, Ian Hamel - Le Point.fr

 

Le gouvernement helvétique a finalement préféré l'avion suédois au français. Paris paye-t-elle ses attaques contre le secret bancaire ?

 

En accusant la Suisse d'être toujours un paradis fiscal, lors du G20 à Nice en novembre dernier, Nicolas Sarkozy a-t-il définitivement torpillé le Rafale de Dassault ? Depuis quatre ans, l'avion français était en concurrence avec le Gripen du suédois Saab et l'Eurofighter d'EADS pour remplacer les vieux chasseurs Tiger datant des années soixante-dix. Un marché estimé entre 2,5 et 3,3 milliards d'euros pour livrer à la Confédération, d'ici 2015, 22 avions de combat. Mercredi 30 novembre, le Conseil fédéral (gouvernement) a tranché en faveur du Gripen, tout en reconnaissant qu'à défaut d'être l'avion le plus performant, il avait essentiellement pour avantage d'être le moins cher.

 

Ueli Maurer, le ministre suisse de la Défense, n'est peut-être pas un fin stratège, mais il est au moins sincère. Il a reconnu que le gouvernement a "sciemment décidé de ne pas positionner la Suisse au plus haut niveau européen s'agissant des performances des nouveaux avions de combat". En clair, Ueli Maurer, dirigeant de l'Union démocratique du centre (UDC), la formation la plus à droite de l'échiquier politique, reconnaît que son pays se contente d'un second choix...

 

Vengeance contre Paris

 

En effet, de l'avis des évaluations menées par des pilotes, le Gripen était l'appareil le moins performant. Il n'aurait obtenu que 6,2 sur 10, contre 8,2 pour le Rafale (et 6,2 pour l'Eurofighter). Dès l'annonce du choix gouvernemental, Fernand Carrel, le commandant des forces aériennes, s'est précipité au micro de la radio suisse romande pour lancer que "tous les spécialistes savent que le Rafale de Dassault est le meilleur". En revanche, il était le plus cher et aurait coûté un milliard de francs suisses (800 millions d'euros) supplémentaires au budget de la Défense.

 

La presse n'est pas dupe. Dans son éditorial daté du 1er décembre, le quotidien Le Temps explique l'échec du Rafale "en raison des agressions verbales et de l'attitude arrogante des dirigeants français envers la Suisse". Berne n'a jamais pardonné à Éric Woerth, l'ancien ministre du Budget, d'avoir brandi des données volées dans une banque genevoise. Encore moins à Nicolas Sarkozy d'avoir montré du doigt la Suisse lors du dernier G20, coupable de refuser de procéder à l'échange automatique d'informations avec les autres autorités fiscales européennes.

 

Projet de référendum

 

La Tribune de Genève va plus loin encore en écrivant : "La France et son Rafale ont-ils payé le fait qu'il y a un contentieux fiscal avec la Suisse ? Ueli Maurer n'a pas caché hors conférence de presse qu'il avait tenté de lier les deux dossiers." Dassault, qui essuie un nouvel échec après celui infligé il y a quelques jours par les Émirats arabes unis, n'avait pourtant pas lésiné pour emporter la décision. En sponsorisant notamment le Solar Impulse, l'avion solaire du Suisse Bertrand Piccard, et en finançant le musée de l'aviation militaire de Payerne.

 

Le remplacement des F5 Tiger obsolètes, qui divise la classe politique suisse depuis déjà des années, risque de connaître d'autres soubresauts. La gauche et les écologistes ne sont guère convaincus de l'utilité, pour un si petit pays, de se doter d'avions de chasse qui quittent l'espace aérien helvétique en un quart d'heure ! Cet achat à 3 milliards de francs suisses (2,5 milliards d'euros) risque donc d'être soumis à un prochain référendum.

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 21:10

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/dga/1-materiels-divers/un-casa-cn-235-de-l-armee-de-l-air-credit-sirpa-air/353557-1-fre-FR/un-casa-cn-235-de-l-armee-de-l-air-credit-sirpa-air.jpg

photo Sirpa Air

 

01/12/2011 Bruno Daffix - DGA

 

La Direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné le 17 novembre 2011, avec 2 mois d’avance sur le calendrier contractuel, le premier des 8 avions cargos légers de type Casa CN235 commandés à Airbus Military en 2010. D’un montant de 225 millions d’euros, le contrat prévoit que les livraisons s’étaleront jusqu’en avril 2013.

 

Les 8 appareils complèteront la flotte de 19 CASA CN235 actuellement en service dans l’armée de l’Air. Ils permettront d'optimiser la répartition des missions entre les trois flottes de transport Transall C160, Hercules C130 et CASA CN235 pendant la montée en puissance de la flotte d’A400M qui débutera en 2013.

 

En service dans l'armée de l'air depuis 1993, le CASA CN235 est un avion de transport tactique léger qui réalise des missions logistiques et de largage de parachutistes. Il peut emporter jusqu’à  6 tonnes de fret ou 40 passagers.

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 21:05

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-decembre-2011/samp-mamba/1467621-1-fre-FR/samp-mamba.jpg

photo Sirpa Air

 

01/12/2011 Armée de l’Air

 

Le lundi 14 novembre 2011, l’armée de l’air a réalisé avec succès son premier tir de défense anti-missile balistique, à partir du système sol-air moyenne portée (Samp), appelé Mamba.

 

Le tir a été réalisé par le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) sur le centre d’essai de la direction générale de l’armement (DGA) de Biscarrosse.

 

La cible, tirée à partir d’un avion de chasse, représentait les caractéristiques d’un missile balistique de théâtre. L’une des deux sections de tir du Mamba a intercepté la cible, à une altitude d’environ 10 km alors quelle se déplaçait à plus de 1000 mètres/seconde.

 

Ce tir d’un missile Aster 30 à partir du Mamba constitue une étape importante pour la modernisation de la défense sol-air confiée à l’armée de l’air. La DGA avait réalisé le premier tir contre une même menace en octobre 2010. Cette réussite complète celle du 1er  septembre, date à laquelle l’escadron de défense sol-air « Servance » de la base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains avait procédé à l’interception d’une cible représentative d’une menace conventionnelle.

 

Le Mamba est un système franco-italien, le premier européen à offrir de telles capacités. Il permettra ainsi à l’armée de l’air, dès l’été 2012, d’assurer dans une logique interarmées la responsabilité de la protection de la force opérationnelle terrestre à l’extérieur de notre territoire. Il sera aussi utilisé sur le territoire national afin de protéger des sites à haute valeur ajoutée. Dans le cadre du programme SAMP, la DGA livrera dix systèmes à l’armée de l’air française.

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 19:00

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/1/1/1/000146111_5.jpg

 

01 décembre 2011 par Guillaume Lecompte-Boine L’USINE NOUVELLE

 

Selon un porte parole du ministre de la Défense, l’échec de la vente d’avions Rafale à la Suisse n’aura aucune conséquence sur les commandes de l’avion de combat de Dassault par la France.

 

"Nous prenons acte de la décision de la Suisse, mais celle-ci n’entrainera aucune rupture dans la chaine de production du Rafale. Celle-ci est sécurisée", indique ce porte-parole. On se souvient que l’an dernier, la France avait dû commander par anticipation des Rafale pour 800 millions d’euros afin de compenser l’absence de commandes export. Or la loi de programmation militaire 2009-2014 prévoyait d’intercaler des Rafale "export" dans la chaine de fabrication de l’avion de combat français, ce qui aurait permis de décaler des livraisons de Rafale destinés à la France. Et par la même occasion, soulager les finances publiques.

 

La décision suisse, ainsi que le report sine die d’une commande des Emirats arabes unis (EAU), éloignent un peu plus les chances d’un premier succès à l’export pour le chasseur de Dassault. Du coup, la question budgétaire va inévitablement se reposer, surtout dans le contexte de rigueur actuel.

 

Pour qu’elle fonctionne normalement, la chaine Rafale doit produire au minimum 11 avions par an, la cadence de livraison actuelle aux forces armées françaises. Dassault, comme les militaires français, n’ont plus qu’à espérer une décision positive de l’Inde. Ce  pays doit normalement indiquer d’ici à  mi-décembre quel avion, entre  le Rafale et le Typhoon d’Eurofighter, il choisit.

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 18:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/harmattan/111201-libye-fin-du-desengagement-du-detachement-francais-a-la-sude/fin-du-desengagement-du-detachement-francais-a-la-sude-1/1466825-1-fre-FR/fin-du-desengagement-du-detachement-francais-a-la-sude-1.jpg

 

01/12/2011 Sources : EMA

 

Le 28 novembre 2011, le détachement aérien français déployé à La Sude en Grèce dans le cadre des opérations qui ont été conduites en Libye, a achevé la manœuvre logistique de son désengagement avec l’embarquement de plus de 80 conteneurs sur un navire affrété par le ministère de la Défense.

 

Le lieutenant-colonel Girard, commandement le détachement français de La Sude, a officiellement remis la clé du détachement au général grec Evangelou, commandant la base aérienne crétoise, qui accueilli les éléments français pendant 9 mois.

 

Les premiers avions français avaient été projetés à  La Sude le 24 mars 2011, moins de 6 jours après le lancement de l’intervention internationale en Libye. Le déploiement d’aéronefs en Crète permettait de renforcer l’efficacité du dispositif aérien en réduisant le temps de transit pour se rendre sur la zone d’opérations et de réduire ainsi les délais d’alerte et d’accroître le temps de présence des aéronefs sur les zones d’opération.

 

Au fur et à mesure des avancées de l’opération Harmattan et de l’évolution de la situation au sol en Libye, le dispositif aérien français à La Sude avait été adapté. Initialement le détachement comptait 4 Mirage 2000-5, qui ont été engagés dans le ciel libyen aux côtés des avions de chasse qatariens également déployés à La Sude. Puis il a été renforcé par 6 Mirage 2000D en avril et 6 Mirage 2000N en mai. En juillet, les Mirage 2000-5 ont été désengagés, 4 Mirage F1 CR/CT ont été déployés pour renforcer les capacités de reconnaissance. Enfin, en août, un détachement Atlantique 2 a été redéployé d’Italie à La Sude.

 

Au total, le détachement aura mis en œuvre jusqu’à une vingtaine d’avions simultanément, armés par près de 400 militaires.

 

La manœuvre logistique de désengagement, après les redéploiements et retraits successifs des aéronefs aura nécessité la mise en place d’une équipe de 25 militaires spécialisés.

 

Au terme de la mission du détachement aérien français à La Sude, quelques militaires français sont restés sur place dans le cadre du soutien technique aux militaires qatariens qui achèveront bientôt leur désengagement.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/harmattan/111201-libye-fin-du-desengagement-du-detachement-francais-a-la-sude/fin-du-desengagement-du-detachement-francais-a-la-sude-2/1466830-2-fre-FR/fin-du-desengagement-du-detachement-francais-a-la-sude-2.jpg

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 18:15

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-juin-2011/le-systeme-sol-air-de-moyenne-portee-terrestre-samp-t/1271363-1-fre-FR/le-systeme-sol-air-de-moyenne-portee-terrestre-samp-t.jpg

 

01/12/2011 DGA

 

Le lundi 14 novembre 2011, l’armée de l’air a réalisé avec succès sa première interception d’une menace de type missile balistique de théâtre grâce aux moyens de la Direction générale de l’armement (DGA) sur son centre de Biscarrosse.La DGA avait réalisé le premier tir contre une même menace en octobre 2010.

 

Ce tir d’un missile Aster 30 à partir d’un système Sol-air moyenne portée terrestre (SAMP/T), mis en œuvre par le Centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), constitue une étape importante pour la modernisation de la défense sol-air confiée à l’armée de l’air. Cette réussite complète celle du 1er septembre, date à laquelle l’escadron de défense sol-air « Servance » de la base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains avait procédé à l’interception d’une cible représentative d’une menace conventionnelle.

 

Le SAMP/T est un système franco-italien, le premier européen, à offrir de telles capacités. Baptisé MAMBA dans l’armée de l’air, il permettra ainsi dès l’été 2012 à l’armée de l’air d’assurer dans une logique interarmées la responsabilité de la protection de la force opérationnelle terrestre à l’extérieur de notre territoire. Il sera aussi utilisé sur le territoire national afin de protéger des sites à haute valeur ajoutée. Dans le cadre du programme SAMP-T, la DGA livrera 10 systèmes à l’armée de l’air française.

 

SAMP-T-photo-Sirpa-Air.jpg

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 13:30

http://www.asdnews.com/data_news/ID39835_600.jpg

 

Dec 1, 2011 ASDNews Source : Zodiac Milpro

 

Paris, France  - Zodiac Milpro (Military and Professional) International has become the first inflatable boat manufacturer to make a commitment to training with the introduction of a full year syllabus of training courses. The programme was launched with two Zodiac courses in October. The first took place during the Genoa Boat Show where daily sessions on boat care, commissioning and operation were held for Zodiac agents and distributors. This was followed later in the same month by the first formal course in helicopter deployment and drop techniques. It was held near Moscow for the Russian armed forces and dealt with loading the packed boat into the helicopter and all of the technical and safety aspects needed for its airdrop, inflation and subsequent recovery.

 

The groundbreaking new Zodiac 2012 training syllabus has been developed to enable anyone, regardless of whether they are customers or not, to learn how to operate RIBs (Rigid Inflatable Boats) and other types of inflatable craft efficiently, safely and economically.

 

The courses on offer include commissioning a new boat and its optimisation, helmsmanship to advanced standards, repair and maintenance and a range of special techniques relevant to military or safety service users. These can include air drop or helicopter launch, underwater cache deployment, search and rescue and ship assault. The syllabus also includes training for jet-ski operations as part of a search and rescue capability.

 

The courses have been devised to cover a wide range of Zodiac-related activities and are intended to enable users to maximize their boats' abilities, to extend their service lives and operational readiness while also taking account of each trainee's specific requirements. Depending upon the topic, the courses may be held at a Zodiac factory or at a client's premises where Zodiac instructors can provide valuable guidance and personal tuition.

 

The course instructors employed by Zodiac MILPRO are all experts in their field and are drawn from industry, the military and special forces and from national coast guard services and typically have over 20-years of operational or technical experience.

 

Students are likely to participate as groups from organizations that have identified a need or perceive that positive benefits will come from their gaining a better understanding of their boats and how to use them. With better knowledge customers will maximize their boats' working lives while an ability to undertake maintenance tasks in-house will provide a measurable cost benefit. An additional incentive is being offered by Zodiac with the provision of an extended warranty and free replacement parts for any new customer who participates in one of the maintenance courses.

 

Following the results of the first courses Zodiac is confident that there are numerous armed forces and government agencies that will recognize benefits from the availability of such training. Besides enabling them to gain maximum value from their boats and to reduce running costs, they gain access to the highest standards of training whenever they need it and without any costly investment in training infrastructure of their own.

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 12:50

http://www.defpro.com/data/gfx/news/6e102e42ff36ce651507fd3a516c5e52361a6e27_big.jpg

FREMM frigate Aquitaine during sea trials in November 2011. (Photo: DCNS)

 

December 1, 2011 defpro.com

 

Lorient | FREMM frigate Aquitaine berthed at DCNS’s Lorient shipyard on Friday 25 November after three weeks of successful sea trials, during which DCNS teams pursued integration and testing of the combat system under the supervision of the French defence procurement agency (DGA). The ship is to be delivered to the French Navy in the third quarter of 2012.

 

The trials were conducted in the Atlantic off Lorient and off Groix Island in the Bay of Biscay. The Aquitaine was crewed by French Navy personnel, with staff from DCNS conducting the tests under the supervision of representatives of the DGA and of OCCAR , the contracting agency for the FREMM programme. The work included further testing of the combat system, in particular to verify the performance of the sonar suite and continue integration of the communication systems.

 

Following the trials, the ship made its first call at its future home port of Brest to test interfaces with the port’s communication systems and mooring facilities.

 

“This fourth series of trials confirms that the first FREMM frigate is meeting its milestones: all the systems tested to date have met the customer’s requirements,” said Vincent Martinot-Lagarde, FREMM programme manager. “Each successive series of tests with the Aquitaine has confirmed that the programme is on track in every respect.”

 

The success of the Aquitaine’s latest trials comes as DCNS continues to ramp up construction of the state-of-the-art FREMM frigates. With the first steel now cut for the Languedoc, a total of five FREMM frigates (Aquitaine, Mohammed VI, Normandie, Provence and Languedoc) are now at different stages of construction at the DCNS shipyard in Lorient.

 

“With five FREMM frigates under construction at the same time, DCNS is successfully stepping up to another major challenge in naval shipbuilding,” added Vincent Martinot-Lagarde. "Importantly, the programme is also proceeding exactly on schedule and on budget as we move into full-scale series production."

 

FREMM, A MAJOR PROGRAMME FOR DCNS AND PARTNERS

 

The French FREMM programme calls for 12 ships – 11 for the French Navy and one for the Royal Moroccan Navy.

 

FREMM frigates are among the most technologically advanced and competitively priced on the world market. These heavily armed warships are being built under DCNS prime contractorship to carry state-of-the-art weapons and systems including the Herakles multifunction radar, MdCN cruise missiles, Aster anti-air missiles, Exocet MM40 anti-ship missiles and MU90 torpedoes.

 

These innovative multirole frigates are designed to respond to all types of threats with unparalleled flexibility and availability. The contract to build a FREMM frigate for the Royal Moroccan Navy demonstrates that the type also meets the needs and expectations of international client navies.

 

FREMM technical data:

• Length overall: 142 m

• Beam: 20 m

• Displacement (approx.): 6,000 tonnes

• Max. speed: 27 knots

• Complement: 108 (including helicopter crew)

• Accommodation: 145 men and women

• Range: 6,000 nm (at 15 knots).

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 12:30

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/8/4/0/000146048_5.jpg

 

30 novembre 2011 par Astrid Gouzik L’USINE NOUVELLE

 

Alors qu’il partait favori, le Rafale de Dassault n’a visiblement pas séduit nos voisins helvètes. Le Gripen de Saab l'emporte notamment en raison de son faible coût d'acquisition et d'entretien.

 

Après quelques heures d'attente et de rumeurs, le Conseil fédéral l'a confirmé : il a bien choisi le Gripen de Saab pour remplacer les chasseurs F-5 Tiger vieillissants des forces aériennes suisses. Il laisse ainsi sur le tarmac le Rafale de Dassault et l’Eurofighter du consortium EADS-Cassidian.

 

Derrière ce choix de la Suisse, c'est le remplacement de la flotte de Northtrop F-5 Tiger qui est en jeu, mais aussi un contrat industriel dont le groupe national Ruag pourrait profiter. L'entreprise nationale, confrontée à des difficultés économiques fae à la hausse du franc suisse, serait en effet associée à la construction des 22 chasseurs commandés pour les forces aériennes suisses.

 

Avec ce contrat évalué par le ministère de la Défense à 3,1 milliards de francs suisses (2,5 milliards d'euros environ), Saab signe là une belle victoire pour son chasseur JAS-39 E/S Gripen NG. L'appareil était donné bon dernier dans les deux rapports d'évaluations techniques établis en 2008 et 2009 face à ses concurrents, le Rafale et l'Eurofighter. Son premier atout reste son prix catalogue, le plus bas de tous : une cinquantaine de millions d'euros selon des estimations diffusées par la presse suisse, contre 110 millions environ pour le Rafale. Ses prix s'entendent avion nu, sans pièces de rechange et armements.

 

Dans un communiqué, le Conseil fédéral suisse précise d'ailleurs les arguments économiques de son choix : "le Gripen est sensiblement plus avantageux que les deux autres offres, non seulement à l'acquisition mais aussi en ce qui concerne les coûts d'entretien. Cette décision permet d'acquérir un avion performant sans compromettre d'autres domaines de l'armée ni leurs équipements indispensables."

 

Reste que le Gripen proposé par Saab est un modèle encore en développement. Il s'agit du NG, version améliorée du Gripen C/D testé en 2008 par les pilotes suisses. Le constructeur suédois le dote d'un nouveau radar notamment et d'un nouveau moteur plus puissant fourni par l'américain GE. Saab Group doit maintenant régler les modalités de la commande avec ses interlocuteurs suisses. Le contrat final étant soumis pour validation au Parlement du pays en février 2012.

 

Outre l'armée suédoise, Saab a déjà livré son Gripen en Afrique du Sud et en Thaïlande. Il reste en compétition au Brésil face au Rafale et au F/A-18 Super Hornet de Boeing.

 

Pour le français Dassault, le choix suisse obscurcit encore davantage les chances d'exportation de son Rafale. En effet, pour le moment le seul acheteur pour son avion de combat est l’Etat français… Les gros espoirs qui reposaient sur les épaules de la Suisse sont aujourd’hui déçus.

 

La chance la plus proche maintenant est en Inde. Dassault attend en effet une décision des autorités indiennes qui devrait intervenir d’ici à la mi-décembre pour un duel entre le Rafale et l'Eurofighter.

 

Le Gripen en démonstration en Suisse en septembre 2011

 

 


 

 

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 09:00

http://www.meretmarine.com/objets/500/38888.jpg

crédits : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE

 

01/12/2011 MER et MARINE

 

Mer et Marine vous propose un reportage photo exceptionnel au plus près des Rafale Marine de la flottille 12F, actuellement en détachement sur la base aéronavale de Hyères. Les sept Rafale Marine vont décoller des pistes varoises jusqu'au 16 décembre prochain. Le programme est chargé puisque les avions vont à la fois effectuer des entraînements avec des bâtiments de la Marine nationale ainsi qu'avec le centre d'essais du Levant.
En tout près de 135 personnes de la base bretonne de Landivisiau ont pris leurs quartiers à Hyères pour cet entraînement.

VOIR LE REPORTAGE VIDEO DE JEAN-LOUIS VENNE


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

La flottille 12F a été créée le 1er août 1948 à Hyères. Elle a volé sur Seafire, F6F Hellcat, F4U-7 Corsair, F8(FN) Crusader et depuis 2001 sur Rafale marine. Cette flottille de l'aéronautique navale s'est illustrée en Indochine, en Algérie, à Djibouti, au Liban, en Ex-Yougoslavie, en Afghanistan et très récemment en Libye. Lors de l'opération Harmattan, du 20 mars au 12 août, les Rafale F3 de la 12F ont effectué près de 1000 sorties opérationnelles, totalisant plus de 2100 heures de vol dont près de 900 heures de nuit. Ils ont délivré avec succès tous les types d'armes air-sol conventionnelles, mener des missions de reconnaissance, d'interdiction aérienne et de ravitaillement, démontrant ainsi la pleine polyvalence du Rafale. Le 11 novembre, la 12F a reçu des mains du président de la République la croix de la valeur militaire pour son action en Libye et pour sa participation à l'opération Pamir en soutien des opérations de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) en Afghanistan en décembre 2010. La 12 F est actuellement commandée par le capitaine de frégate Jean de Larivière.


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 08:55

http://supersonique.blogs.challenges.fr/media/01/02/3842685044.jpg

 

30.11.2011 Vincent Lamigeon, journaliste à Challenges – Blog Supersonique

 

Gripen.jpgC’est désormais officiel : ce mois de novembre finissant aura été un des plus pourris de l’histoire de Dassault. Dix jours à peine après le Scud du prince héritier d’Abu Dhabi sur le Rafale, offre jugée « non compétitive et ne pouvant pas constituer une base de travail », deux jours après le coup du semonce du Sénat qui a coupé les financements du drone israélien Héron TP que l’avionneur devait franciser, c’est la Suisse qui a porté le coup de grâce au constructeur français en choisissant d’acquérir 22 chasseurs Gripen, construits par le suédois Saab, pour remplacer ses antiques Northrop F-5, livrés en 1976 et 1981. « Le Gripen est sensiblement plus avantageux que les deux autres offres, non seulement à l'acquisition mais aussi en ce qui concerne les coûts d'entretien », explique le Conseil Fédéral dans un communiqué.

 

Pour Dassault, candidat malheureux avec le consortium européen Eurofighter, le coup est d’autant plus dur que le Gripen ne semblait pas jouer dans la même catégorie que le Rafale et le Typhoon. Monomoteur, de conception relativement ancienne, le chasseur souffrait également de la santé précaire du constructeur suédois, qui interroge certains prospects. Pas de quoi effrayer le Conseil fédéral suisse, qui assume le choix d’un matériel technologiquement moins avancé. « Le choix du Conseil fédéral traduit sa volonté d'investir dans la sécurité de notre pays, en restant toutefois raisonnable en terme de politique financière et sans perdre de vue la viabilité du système dans son ensemble, indique le communiqué officiel. Il a sciemment décidé de ne pas positionner la Suisse au plus haut niveau européen s'agissant des performances des nouveaux avions de combat. »

 

La qualité du Rafale, éprouvée sur le théâtre libyen, n’est pas en cause. Encore une fois, c’est l’argument économique qui a fait mouche. « Entre les pays qui développent leurs propres appareils (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Italie, Russie, Chine) et le marché beaucoup plus conséquent de ceux qui se contentent sans problème de monomoteurs plus rustiques, parfois d’occasion (F-16, le chasseur le plus vendu du monde), le marché des bimoteurs type Rafale est réduit à la portion congrue », souligne un ancien dirigeant de groupe aéronautique français. Affirmant même que la poursuite de la production du Mirage 2000, monoréacteur vendu à 286 exemplaires à l’export (Grèce, Brésil, Egypte, Emirats Arabes Unis, Inde, Pérou, Qatar et Taiwan), aurait permis de garder des résultats autrement plus concluants à l’export… Le Gripen affiche en tout cas de biens meilleures performances commerciales que le Rafale : il a déjà été vendu, outre la Suède, à la République Tchèque, à la Hongrie et à l’Afrique du Sud.

 

Ce nouveau revers, dans un pays où le Rafale avait des chances sérieuses de l’emporter, marque-t-il la fin des espoirs d’export ? Ne crions pas avec les loups : une victoire sur le gigantesque contrat indien (126 appareils, soit six fois la commande suisse…), où le Rafale est en finale face à l’Eurofighter Typhoon, et Dassault serait relancé pour un bout de temps sur un marché où même Boeing lutte pour sa survie. En revanche, un nouveau revers du côté de New Dehli serait une catastrophe, tant les prospects solides se font rares. Outre le point d’interrogation brésilien, il resterait le Koweit, peut-être le Qatar, voire la Malaisie, qui semble plus portée vers l’Eurofighter et le F-18. A moins que là encore, le Gripen ne crée la surprise…

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 08:55

Rafale by mrg78

photo by mrg78

 

30/11/2011  Par Julie de la Brosse – .lexpress.fr

 

Nouveau revers pour le Rafale en Suisse. Le Conseil fédéral lui a préféré le suédois Gripen pour le renouvellement de 22 avions de chasse. Un coup dur pour l'appareil tricolore dont les chances de s'exporter sont désormais quasi-nulles.

 

Encore raté. Le Rafale, avion de chasse du français Dassault, ne s'exportera pas en Suisse. Le Conseil fédéral lui a préféré le Gripen du suédois Saab pour remplacer ses chasseurs F-5 Tiger vieillissants, laissant une fois de plus le Rafale et l'Eurofighter sur le bord de la piste.

 

A en croire la presse helvétique, le Gripen aurait été le moins cher des trois avions en lice. Les 22 appareils commandés par l'armée suisse coûtaient environ 3 milliards de francs suisses (2,5 milliards d'euros), soit 1 milliard de moins que pour les deux autres concurrents. "Le Gripen est sensiblement plus avantageux que les deux autres offres, non seulement à l'acquisition mais aussi en ce qui concerne les coûts d'entretien. Cette décision permet d'acquérir un avion performant sans compromettre d'autres domaines de l'armée ni leurs équipements indispensables", indique ainsi le communiqué.

 

Le coup est dur pour l'avion tricolore qui n'a encore jamais réussi à s'exporter. Surtout que ce n'est pas faute d'avoir essayé. A plusieurs reprises Nicolas Sarkozy s'est rendu au Brésil pour vanter les mérites de l'avion multi-combat "omnirôle", mais toujours sans succès. On se souvient aussi des échecs accumulés de ces dernières années en Corée du Sud, au Maroc, et à Singapour, où un contrat semblait acquis. Récemment les atermoiements brésiliens ont donc fini de décourager Serge Dassault. Pour y vendre ses 36 Rafale, l'industriel était même prêt à transférer à 100% sa technologie aux autorités brésiliennes. Mais manque de chance, le dossier est reparti à zéro après l'élection de Dilma Rousseff. Et aujourd'hui, il semblerait que la nouvelle présidente brésilienne préfère le F-18 de Boeing au Rafale pour équiper son armée de l'air.

 

Le contrat de la dernière chance

Résultat, la Suisse apparaissait un peu comme le contrat de la dernière chance pour le Rafale. Certes, l'avion de chasse attend toujours des réponses à des appels d'offre en Inde et aux Emirats arabes unis, mais ses chances de succès sont minces. Récemment, les Emirats arabes unis ont douché les espoirs du Français jugeant le Rafale "non compétitif", c'est-à-dire trop cher par rapport à ses concurrents. En signe de désaveu, Abou Dhabi a même demandé au Royaume-Uni, utilisateur de l'Eurofighter, de l'informer des ses capacités afin de remettre l'avion européen du consortium européen en lice, à côté des avions américains.

 

Reste maintenant l'Inde, où le Rafale est aussi en compétition avec l'Eurofighter pour une méga-commande de 126 appareils. Mais là encore rien n'est gagné. Selon les spécialistes, le candidat le moins-disant remporte généralement les contrats. Or le Rafale est justement souvent critiqué pour son coût trop élevé. Outre son prix, les effets de change euro-dollars n'ont jamais été très favorables à cet avion qui s'est souvent retrouvé en compétition à l'exportation face à des avions américains comme le F-18 Super hornet de Boeing ou le F-16 de Lockheed Martin.

 

Pour le moment, le seul acheteur du Rafale reste donc l'Etat français. Pas sûr que cela change un jour. D'autant qu'à mesure que le temps passe, sa technologie risque elle aussi d'être dépassée...

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 08:50

http://www.meretmarine.com/objets/500/38889.jpg 

crédits : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE

 

01/12/2011 MER et MARINE

 

Dans quelques jours, la flottille 33 F sera recréée à Lanvéoc-Poulmic. Elle accueillera les hélicoptères Caiman Marine, appellation "marine" des hélicoptères NH-90. Et en attendant, c'est le Centre d'expérimentations Pratiques et de réception de l'Aéronautique navale qui s'occupe des appareils livrés à la Marine nationale. Le CEPA/10S compte deux détachements NH90, un sur la base aéronavale d'Hyères, près de Toulon, et l'autre, fraîchement créé, sur la BAN de Lanvéoc-Poulmic. Il a pour mission d'expérimenter les machines et de préparer la mise en service des différents équipements, avant de les remettre à leur flottille.


Le Caïman doit remplacer, au sein de l'aéronautique navale, deux types d'hélicoptères : Le Super Frelon pour les missions SECMAR et CTM, ainsi que le Lynx pour la lutte anti-sous-marine et la lutte antinavire. Avec 27 machines attendues, les anciens appareils ne seront pas remplacés nombre pour nombre, loin s'en faut. Ainsi, en 2004, la marine comptait, en parc, 9 Super Frelon et 32 Lynx. Aujourd'hui, aucun Super Frelon vole et il ne reste plus que 22 Lynx en parc, alors même que la menace ASM se développe dans le monde et que les hélicoptères sont, plus que jamais, des outils très précieux et très sollicités -notamment lutte contre le narcotrafic et la piraterie, transport opérationnel, surveillance maritime et sauvetage, lutte ASM et antinavire. Pour faire la « soudure » entre le retrait, en 2010, des Super-Frelons et l'arrivée de son successeur, il fut donc décidé, pour maintenir une capacité de sauvetage hauturier au large de la Bretagne, d'acquérir deux EC225 neufs pour équiper la flottille 32F. Ces machines, livrées en 2010, donnent aujourd'hui toute satisfaction et poursuivront leurs missions au moins jusqu'à ce que le Caïman Marine soit capable d'opérer à partir de trois sites différents, à savoir Lanvéoc-Poulmic, Hyères et Cherbourg.


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


(© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 08:45

http://www.meretmarine.com/objets/500/32035.jpg 

crédits : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE

 

01/12/2011 MER et MARINE

 

Jeudi 17 novembre, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul a détruit, à l'aide d'un missile anti-aérien Aster 30, une cible aérienne volant à grande vitesse. Ce tir avait pour but principal de valider l'emploi de ces missiles à très grande distance. D'une longueur de 4,9 m et d'une masse de 450 kg, atteignant une vitesse supérieure à mach 4, l'Aster 30 dispose d'un autodirecteur électromagnétique. Il peut être utilisé contre des missiles ou des aéronefs hostiles et contribue ainsi à la défense d'un groupe aéronaval ou amphibie. Il équipe les frégates de la classe Horizon (France et Italie) et type 45 (Grande-Bretagne). Le tir de la frégate Forbin en 2008 avait validé l'intégration du système PAAMS (Principal Anti Air Missile System) à la frégate.

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