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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 08:40

Marianne-Mindef.JPG

 

22 novembre 2011 by Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2 à Paris)

 

C’est le leitmotiv qui est revenu le plus souvent dans la bouche des intervenants à l’ouverture d’une conférence « regards sur une année d’engagements opérationnels« . Tirant les leçons des interventions en Côte d’Ivoire et en Libye essentiellement, le ministre français de la Défense qui ouvrait la réunion  a salué la « force que donnent nos institutions ».

 

Etre membre du conseil de sécurité demande des responsabilités


« La France tient son rang d’un des cinq membres permanents du conseil de sécurité » a expliqué Gérard Longuet, profitant de l’occasion pour expliquer combien il fallait être prudent sur l’élargissement des membres permanents du Conseil de sécurité. « Pour en être membre, il faut certaine expérience internationale et un réflexe de responsabilité, réflexe qui se diffuse très lentement ». 

 

L’atout français : un patron clair, une chaîne de commandement réactive 

 

La Constitution est aussi un atout par rapport aux armées parlementaires où « toute décision d’engagement est soumis à l’aval du parlement. C’est quand même bien lors d’une crise d’avoir un patron clair », explique le ministre. Et pan dans les dents de l’Allemagne. 

 

La french touch dans l’opération de l’OTAN en Libye


L’exemple libyen le prouve. Pour la Libye, « on a commencé à planifier dès février une intervention - explique le chef d’Etat-Major, l’Amiral Edouard Guillaud. Nous nous étions engagés à ce que les les premières frappes aient lieu dans les 5 minutes de la décision. Cela suppose que nos avions étaient déjà en vol depuis. Mais ils pouvaient faire demi-tour à tout moment. C’est une chaine extrêmement courte, réactive de la chaîne de commandement qui permet d’éviter de discuter du sexe des anges quand il faut agir »

 

La politique de la canonnière n’existe plus


Le ministre a dénié en revanche toute volonté expansionniste française. « La politique de la canonnière n’existe plus. Nous ne faisons plus croiser (avec) le Panther au large d’Agadir. C’était du temps de Guillaume II, avant 1914. L’objectif aujourd’hui est de mettre en œuvre des décisions de droit international ». Au besoin, la France provoque ces décisions. « la politique du président (Sarkozy) est très claire : obtenir une décision internationale, mais nous n’intervenons que sur une décision internationale. » Selon lui, il y a deux risques : « décider seul sans décision internationale ou obtenir des décisions sans être capable de les mettre en œuvre ».


Le retour dans le commandement de l’OTAN utile


Quant au retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN, il n’a pas produit les effets redoutés estime le ministre Gérard Longuet. L’opération en Libye a montré que nous pouvions « être solidaires et continuer à prendre les initiatives qui étaient nécessaires pour apporter la plus value ajoutée sur le théâtre d’opération sans attendre qu’il y ait consensus ». 

 

… mais encore tout à fait au point


Pour autant tout n’est pas encore parfait. Il faut un peu d’huile dans les rouages à écouter les militaires. Parmi les leçons de la crise, pour le général Didier Castres, « On doit encore apprendre l’OTAN, placer nos officiers pour être en situation de pouvoir avoir l’influence qu’on peut. » Le Général de corps aérien Antoine Noguier, commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes  est plus direct. Il faut éviter de refaire certaines erreurs « et entrer directement dans la chaîne de commandement. Ne pas aller avec les Britanniques puis les Américains à Ramstein pour arriver à Naples un peu trop tard, les places étant prises. »

 

Prêt à repartir


Ces interventions ont-elles épuisé les capacités d’intervention. Le Général de division Didier Castres, sous-chef d’Etat-Major Opérations, n’y croit. « Dès décembre, on aura reconstitué l’essentiel de nos capacités de munitions, le Charles De Gaulle aura (récupéré), il faudra encore 1-2 mois pour refaire la formation des pilotes. Dès l’année prochaine, on est capable de refaire face à une succession de crises comme cette année. »

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 22:16

thales-logo-lg

 

22/11/2011 CercleFinance.com

 

L'IGN (Institut Géographique National), qui agit en tant que maître d'ouvrage délégué pour le compte de la Direction Générale de l'Armement (DGA), a confié à Thales et Cassidian la seconde phase de l'opération TopoBase Défense.

 

Cette opération a pour objectif la production de données pour l'alimentation des bases de données géographiques du ministère de la défense.

 

Ainsi, la préparation et la conduite des opérations militaires nécessitent que les forces armées puissent s'appuyer sur une référence cartographique pertinente et accessible à tous pour pouvoir avoir une appréciation juste et commune de la situation opérationnelle.

 

C'est dans ce cadre que l'IGN a sélectionné le consortium Thales-Cassidian, dont Thales est mandataire, comme maître d'oeuvre de l'opération TopoBase Défense.

 

Le consortium Thales-Cassidian a la responsabilité de l'ensemble du processus, depuis l'analyse des besoins de l'état-major, jusqu'au contrôle qualité des produits livrés.

 

Ce processus intègre également l'entretien des spécifications, la définition du référentiel de production (procédures, outils, contrôle), et le pilotage des sous-traitants, de façon à garantir la cohérence et l'homogénéité sur l'ensemble des produits TopoBase Défense.

 

Ce marché aura une durée totale de six ans.

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 22:13

http://www.aeroplans.fr/images/aeroplans/drones/milipol_2011/1_-_Drone_sur_le_pont_m.jpg

 

22 Novembre 2011 Aeroplans

 

Analyse – Toujours suite à notre visite lors de la dernière édition du salon Milipol à Paris, nous évoquions la montée en puissance des drones à décollage (et atterrissage la plupart du temps) vertical, dénommés VTOL. Ces drones semblent particulièrement à l'aise dans un environnement maritime, mais nous verrons qu'ils ne sont pas les seuls. C'est notamment à l'accueil des équipes de Thales que nous essaierons d'en faire une description.

 

Un environnement contraignant pour un engin volant.


Surveiller les vastes étendues d'eau de son territoire a toujours été un énorme défi pour des pays comme la France, dont l'ouverture à la mer est importante. Comptant parmi les plus grandes et les plus efficaces Marines de la planète, la France a elle aussi le besoin d'aller observer au loin. Alors que c'est une demande importante de la part des marins que nous simplifions aujourd'hui, les industriels souhaitent répondre à cette attente avec des drones qui serviraient de jumelles déportées. Reste alors à savoir de quel type sera ce drone : un VTOL ou plutôt un drone à voilure fixe ?

 

Nous parlions déjà des avantages qu'un drone à voilure tournante peut apporter à l'action dans le domaine maritime. Il est clair que remplacer un hélicoptère par un drone est une idée séduisante. Ceci alors qu'un drone ne peut pas (encore) être dévolu à toutes les missions d'un hélicoptère piloté, ne serait-ce que pour le sauvetage. Reste que son coût est moindre, un argument important. Malheureusement, les Marines du monde ne sont pas encore équipées de ces engins à faible coût d'évolution, ce qui aurait été un formidable atout en cette période de fuite budgétaire. Mais le coût d'investissement pour se procurer ces machines risque d'être difficile à prendre en charge.

 

Aeroplans - Fulmar

 

Les drones à voilure fixe, mais comment ?


Lors du salon Milipol, Thales aura pris le temps de nous présenter en détail son dernier projet de drone dédié à l'action en mer. Baptisé Fulmar, il s'agit d'un drone de moyenne taille mais de longue endurance. N'oublions pas que l'un des gros problèmes pour un marin est d'aller voir loin malgré la courbure de la Terre. Le Fulmar semble tout indiqué pour faire ce travail. Développé entre Thales et Aerovision, le Fulmar représente le désir de l'Espagne de développer son industrie aéronautique, et notamment des drones.

 

Dans ce projet, Thales est en charge de l'intégration du système d'observation. La caméra à bord de l'engin peut voir à 360° et ne pèse que 1kg. Elle peut résister à l'eau car, comme la vidéo ci-dessous le montre, le drone peut être récupéré de deux façons différentes. Soit à l'aide d'un filet, soit directement suite à un amerrissage. Question décollage, on utilise une catapulte, qui peut d'ailleurs être montée à bord d'un navire. Le système est facilement transportable puisqu'il tient dans une grande remorque, et il peut être intégré à une solution plus globale de surveillance grâce au savoir-faire de l'entreprise française dans le traitement des données.

 

Dans d'autres pays et dans d'autres entreprises, on a également des idées sur la question. Des solutions comparables au Fulmar existent et sont même parfois bien rodées. C'est le cas du Scan Eagle proposé par Insitu, une filiale de Boeing. Le produit est peut-être le plus répandu sur la planète, mais des systèmes de plus grandes tailles sont aussi à l'étude. Cassidian proposait lors du salon une démonstration grâce à un outil interactif des capacités de surveillance maritime de son futur (enfin espérons le) drone Talarion. Contrairement aux petits drones, le système est comparable à un avion et pourrait remplacer ce bon vieux Atlantic 2 pour nombre de ses missions. Reste que nous sommes en présence d'un système que l'on ne peut pas embarquer à bord d'un navire et nécessite une toute autre organisation.

 

Tout comme le Talarion, le Global Hawk encore plus gros - puisque nous sommes maintenant dans la catégorie des HALE - peut lui aussi jouer un rôle en mer. Ces drones peuvent couvrir une grande distance sur une longue période. Pour cela, ils seraient équipés de charges utiles (le nerf de la guerre car il s'agit des équipements d'observation, détection, etc.) bien plus fournies et volumineuses. Le besoin est alors différent car l'on passe d'un besoin tactique à une permanence sur zone plus poussée. Reste à savoir de quoi nous avons besoin, et surtout combien nous avons dans nos poches. Mais l'avenir est en marche !

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 08:25

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/teld-campagne2/1454514-1-fre-FR/teld-campagne.jpg

 

21/11/2011 Armée de l’Air

 

Du 12 au 26novembre 2011, une quinzaine de commandos parachutistes de l’air (CPA 10, 20 et30) participe à une campagne de tireur d’élite longue distance (TELD) sur le champ de tir de Solenzara, en Corse.

 

Dédiée à des commandos parachutistes de l’air qualifiés TELD et tireurs confirmés, cette campagne vise à maintenir les compétences spécifiques de ces aviateurs de terrain. «Le tir à longue distance s’exerce toujours par binôme explique le capitaine Michel Homber, de la brigade aérienne des forces de sécurité et d’intervention. Il y a le tireur,celui qui tient l’arme, et le spotter. Ce dernier doit repérer les objectifs,télémétrer les distances d’engagement, calculer les paramètres de tir, comme le vent ou la pression atmosphérique, et enfin, apporter les corrections à son tireur.» Le tireur est qualifié pour atteindre une cible qui se trouve entre 500 et 1800 mètres de distance.

 

Durant la campagne, la première semaine est consacrée aux aspects techniques du tir. Lors de la deuxième partie, les binômes sont plongés dans des scénarios qui répondent aux conditions réalistes d’un théâtre d’opérations, afin d’aborder les aspects tactiques de leur mission. Cette période de maintien des compétences offre également l’occasion à ces spécialistes d’expérimenter l’utilisation d’un fusil de type HK 417. De calibre 7/62, le HK 417 offre davantage d’efficacité dans le tir à longue distance, notamment en tirant plusieurs coups sans avoir besoin de réarmer. Il équipe déjà des aviateurs du CPA 10 et son utilisation devrait, à l’avenir, s’entendre à d’autres unités.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 19:25

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/cmcc-reims/1454327-1-fre-FR/cmcc-reims.jpg

photo Armée de l'Air

 

21/11/2011 Actus Air

 

Jeudi 17 novembre 2011, une expérimentation a officiellement été lancée au sein du détachement militaire de coordination (DMC) de Reims. Pendant six mois, il deviendra un centre militaire de coordination et de contrôle (CMCC) de type II.

 

De nombreuses autorités ont fait le déplacement à Reims pour assister à la signature, entre les acteurs militaires et civils, des protocoles qui encadrent le projet. Parmi elles, le général Philippe Adam, directeur de la circulation aérienne militaire, le général Philippe Lafond, commandant la brigade aérienne du contrôle de l’espace (BACE), ou encore le lieutenant-colonel Michel Charlot, commandant le centre de détection et de contrôle de Drachenbronn ont été accueillis par le lieutenant-colonel Jérôme Durieux, commandant le DMC et par le chef du centre en route de la navigation aérienne de Reims (CRNA), monsieur François Guignier.

 

Interface privilégiée entre les autorités de défense aérienne et l’aviation civile, les DMC sont composés de contrôleurs aériens insérés dans les cinq CRNA. Celui de Reims a donc en charge tous les aéronefs « en route », c’est-à-dire qui ne sont pas en phase de décollage ou d’atterrissage, de la zone est de la France. À partir de lundi 21 novembre, le détachement champenois entame donc l’expérimentation d’un CMCC de type II, pour une durée de six mois. L’objectif est d’intégrer les cabines de contrôle dédiées aux aviateurs dans les secteurs de contrôle civil. Dorénavant, les contrôleurs militaires travailleront à partir de cabines civiles, en sectorisation de l’espace aérien, à l’instar de leurs homologues. «Nous nous adaptons à la façon de travailler des CRNA car nous sommes chez eux, explique le lieutenant-colonel Philippe Barou, à la BACE, à Metz. En revanche, un contrôleur militaire englobera à lui seul plusieurs secteurs civils sélectionnés en fonction des flux d’aéronefs militaires. » Les procédures et l’activité de contrôle resteront, quant à elle, militaires. Le passage à un CMCC de type II vise clairement à optimiser la coordination entre circulation aérienne militaire et civile.

 

Sur les cinq implantations militaires, trois sont déjà passées CMCC de type I : Bordeaux, Brest et Aix-en-Provence. Si à Athis-Mons comme à Reims, les aviateurs travaillent toujours au sein d’un DMC, l’ambition de l’armée de l’air est de transformer tous les détachements en CMCC de type II à l’horizon 2015.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 13:55

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/0/2/6/000143620_5.jpg

21 novembre 2011 par Astrid Gouzik – L’USINE NOUVELLE

 

 

Le chef d’état major de l’armée de l’air, le général Jean-Paul Palomeros, a expliqué samedi 19 novembre, que l’Etat espérait acquérir à terme 14 A330 MRTT (multi-role tanker transport).

 

C’est sur le site internet du mensuel Aviation International News que Jean-Paul Palomeros lâche l'information. Il a révélé que le choix du ministère de la Défense s’est finalement arrêté sur les avions ravitailleurs d’Airbus.

 

En effet, le conflit en Libye a démontré l'urgence de renouveler la flotte de 14 avions ravitailleurs KC-135 de l'armée de l'air.

Le contrat serait signé en 2013 avec le constructeur aéronautique européen, pour une livraison rapide.

 

En revanche, le général Palomeros a indiqué que le drone franco-britannique Telemos n’entrerait pas en service avant 2020.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 08:55
 

http://www.meretmarine.com/objets/500/38770.jpg

 

crédits : MARINE NATIONALE

 

21.11.2011 MER et MARINE

 

Basée à Toulon, l'escadrille des sous-marins nucléaire d'attaque (ESNA) a célébré samedi les 30 ans du Rubis, premier SNA construit pour la Marine nationale. A cette occasion, une journée de présentation aux familles des personnels travaillant au profit des sous-marins et aux anciens membres de l'équipage du Rubis a été organisée. Au sein de l'ESNA, un village avait été installé, avec des stands dédiés aux différents acteurs qui participent à la mise en oeuvre et au soutien du bâtiment. Aujourd'hui près de 2000 personnes travaillent en effet directement ou indirectement à la mise en oeuvre ou au maintien en condition des SNA basés à Toulon.


On notera que cette manifestation a, en fait, été organisée en avance de phase par rapport au véritable anniversaire du Rubis, mis en service ebn février 1983. La marine a, en effet, été contrainte de jongler avec le calendrier, en tenant notamment compte des périodes opérationnelles et des arrêts techniques du bâtiment.


A l'occasion du (bientôt) trentième anniversaire du Rubis, nous vous invitons en tous cas à lire, ou redécouvrir, les dossiers que nous avons consacré aux premiers sous-marins nucléaires français, les SNLE du type Le Redoutable et les SNA du type Rubis.
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- Lire l'article sur les Redoutable

- Lire l'article sur les Rubis

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 08:50

http://www.meretmarine.com/objets/500/37565.jpg

crédits : DCNS

 

21.11.2011 MER et MARINE

 

Il a salué une dernière fois sa ville natale, la rade de Lorient et le clocher de Larmor-Plage. Le patrouilleur L'Adroit a quitté samedi Lorient pour rejoindre Toulon, son port d'attache. Il devrait rejoindre son quai méditerranéen dans la journée de vendredi.


Commandé par le capitaine de frégate Loïc Guyot, à la tête d'un équipage de 32 hommes, le nouveau patrouilleur français, construit sur fonds propres par DCNS dans le cadre du programme Hermès, a été mis à disposition de la Marine nationale pour une durée de trois ans. Après son arrivée à Toulon et une période de prise en main et d'entrainement, L'Adroit effectuera l'an prochain des missions au profit de d'Action de l'Etat en Mer en Méditerranée (surveillance maritime, police des pêches, narcotrafic, lutte contre l'immigration clandestine...). Un déploiement au large des côtes africaines est également envisagé. Puis, en 2013, L'Adroit devrait être envoyé en océan Indien, où il participera notamment à la lutte contre la piraterie.


Prototype de la nouvelle gamme de patrouilleurs hauturiers (Offshore Patrol Vessel - OPV) et corvettes de la gamme Gowind, conçue par DCNS, L'Adroit mesure 87 mètres de long et affichera un déplacement d'un peu plus de 1400 tonnes. Pouvant embarquer 27 passagers (dont des commandos), il pourra mettre en oeuvre deux embarcations rapides par le tableau arrière, ainsi qu'un hélicoptère (plateforme pour un appareil de 10 tonnes et abri pouvant accueillir une machine de 5 tonnes) et un drone aérien Camcopter S-100.


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- Voir notre reportage sur L'Adroit

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 08:45

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-breves/leclerc-du-12e-rc/1452702-1-fre-FR/leclerc-du-12e-rc.jpg

Leclerc du 12e RC

 

18/11/2011 Armée de Terre

 

Plus de 300 soldats du 12e  RC  ont été déployés durant 4 jours lors d’un exercice en terrain libre (EXTEL) sur une zone de manœuvre de 50km sur 25km, entre Orléans et Gien.

 

Au programme : déploiement et contrôle de zone, reconnaissance offensive, raid blindé, utilisation de la numérisation de l’espace de bataille  (NEB). L’occasion pour les soldats de s’entraîner sur des missions de cavalerie blindée offensives, défensives et de stabilisation, dans des conditions au plus proche de la réalité .

 

« Cet exercice prouve si besoin en est qu’un régiment blindé sur Leclerc  peut s’entraîner efficacement et sans difficulté, ailleurs que sur des terrains de manœuvre  », a déclaré le colonel Christophe Hintzy, commandant le 12e  RC.

 

Et de fait, cet EXTEL aura aussi été l’occasion de faire découvrir à la population  du Loiret les matériels et techniques opérationnelles du 12e  RC. Les habitants ont suivi les manœuvres avec curiosité, et les escadrons ont présenté leurs matériels organiques dans 23 communes de la région.

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 13:40

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/espace-collaboratif/redaction-dicod/mdmphoto2/1447086-1-fre-FR/mdmphoto2.jpg

photo bernard Hennequin - defense.gouv.fr

 

20.11.11 estrepublicain.fr

 

Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, participera mardi à l’Ecole militaire à Paris à un colloque sur «une année d’engagements opérationnels» de la France, destiné à tirer les enseignements des opérations notamment en Afghanistan, en Côte-d’Ivoire et en Libye.

 

De hauts responsables militaires, dont le chef d’état-major des armées, l’amiral Edouard Guillaud, et de l’industrie de Défense s’exprimeront également sur «les aspects politico-militaires des opérations» ou la diversité des crises auxquelles les armées ont été confrontées.

 

Les enseignements en termes d’armements, de matériels et de capacité de projection, seront évoqués au cours d’une rencontre sur la synergie entre les armées, la Direction générale de l’armement (DGA) et les industries de Défense.

 

La France a conduit en 2011 trois opérations extérieures (Opex) majeures, mobilisant une dizaine de milliers de militaires. En Afghanistan, elle a subi, avec 24 morts, ses plus lourdes pertes depuis le déploiement de la coalition internationale en 2001, et engagé en octobre le retrait de ses forces.

 

En Côte d’Ivoire, la force Licorne a permis au président élu, Alassane Ouattara, d’accéder au pouvoir, après le départ de Laurent Gbagbo. En Libye, elle a été de mars à octobre l’un des piliers, avec la Grande-Bretagne, de l’opération internationale qui a entraîné la chute du régime du colonel Kadhafi.

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 13:35

http://www.army-guide.com/eng/images/renault1321563704.jpg

 

20 novembre 2011 vendrealadefense.com

 

Le projet PPB a pour objectif de regrouper au sein d’un marché unique les trois familles pneumatiques, piles et batteries. Ces rechanges consommables ont un impact direct sur la disponibilité des parcs des armées, et les plus pondéreux en quantités et également en coûts.

 

L’objectif sera triple : expertise technique, taux de service et bien entendu réduction des coûts de MCO.

 

En métropole une livraison devra être effectuée en 72 heures, voire 48 heures pour une commande urgente. En opérations extérieures et en outre-mer, les rechanges seront acheminés et stockés sur les théâtres.

 

La maitrise des prix du marché passera par la mise en place d’une comptabilité analytique permettant à la fois une meilleure gestion des dépenses et une meilleure corrélation activité opérationnelle/consommation des rechanges.

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 08:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/2c/Royal_Air_Force_Airbus_A330MRTT_Bidini.jpg/800px-Royal_Air_Force_Airbus_A330MRTT_Bidini.jpg

Royal Air Force Airbus A330MRTT - photo Aldo Bidini

 

19 Nov 2011 By PIERRE TRAN DefenseNews

 

PARIS, Nov 19 - France will buy the new Airbus A330 MRTT tanker aircraft from 2013, French air force chief Gen. Jean-Paul Palomeros was quoted as saying Saturday by an aviation website.

 

But he added that the Telemos unmanned drone being developed by France and Britain would not enter service until 2020, Aviation International News (AIN) said.

 

Palomeros said France's missions during the NATO-led action in Libya had shown the need to replace its fleet of 14 Boeing KC-135s for in-flight refueling.

 

Paris planned to buy a similar number of Airbus multi-role tanker transport (MRTT) aircraft, beginning with five to seven in 2013 for speedy delivery, he said.

 

A second batch also would have the role of replacing France's A340 and A310 VIP and transport fleet.

 

The French defense ministry denied in September that it had fixed on the Airbus, and said that deliveries of a KC-135 replacement were not planned for earlier than 2017.

 

One option introduced was to lease A330s purchased by Britain under the two countries' 2010 military cooperation agreement.

 

Regarding the Telemos drone being developed by Britain's BAE Systems from its Mantis prototype in partnership with French Dassault Aviation, "We need to define the operational requirements and develop a clear roadmap," Palomeros said.

 

"The Mantis is a good platform, but we have real work to do regarding systems and communications."

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 20:13

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/espace-collaboratif/redaction-dicod/2011ecpa411m001_082/1453427-1-fre-FR/2011ecpa411m001_082.jpg

 

19/11/2011 Opérations – Ministère de la Défense

 

Un hommage a été rendu au caporal Goran Franjkovic, mort au combat en Afghanistan. La cérémonie s'est déroulée à Saint-Christol, en présence du ministre de la Défense et des Anciens combattants.

 

La cérémonie nationale d’hommage au caporal Goran Franjkovic, du 2e régiment étranger de génie (2e REG), a eu lieu samedi 19 novembre à Saint-Christol (Vaucluse), en présence du ministre de la Défense et des Anciens combattants, Gérard Longuet, et du chef d’état-major de l’armée de terre, le général Ract-Madoux.

 

Un premier hommage avait été rendu jeudi 17 novembre, à l’hôtel national des Invalides, par le général de corps d’armée Bruno Dary, Gouverneur militaire de Paris. Les honneurs avaient été rendus en présence de la proche famille et d’une délégation régimentaire. La dépouille avait précédemment été escortée par une garde d’honneur de la Garde républicaine. 

 

Le caporal Franjkovic est mort à la suite d’un accrochage avec des insurgés, lors d’une opération de sécurisation de l’axe Vermont et d’escorte d’un convoi logistique franco-afghan.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/espace-collaboratif/redaction-dicod/2011ecpa411m001_044/1453432-1-fre-FR/2011ecpa411m001_044.jpg

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 13:35
"Afghanistan: en sortir ou pas?", une conférence le 30 novembre

19.11.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Le 30 novembre 2011, à 17h30, 29 quai Voltaire, Paris 7e,dans le cadre des« Mercredis de la Documentation française », aura lieu une conférence débat sur le thème « Afghanistan : en sortir ou pas ? ».

 

Jean de Ponton d'Amecourt, ancien ambassadeur de France en Afghanistan, Yves Boyer, professeur à l'École polytechnique et directeur adjoint de la FRS, Gérard Fussman, professeur au Collège de France,  Jean-Luc Racine, directeur de recherche CNRS au Centre d'études de l'Inde et de l'Asie du Sud de l'Ehess, et Isabelle Saint-Mezard, docteur en sciences politiques et enseignante à l'Inalco, feront un bilan, dix ans après le début du conflit afghan, et à la lumière de ses multiples facettes, de l'état des forces en présences et analyseront les perspectives d'avenir de la zone Afpak.

 

Plusieurs parutions récentes de la Documentation française sont consacrées à cette thématique:


AfPak Afghanistan - Pakistan, n° 50 de la revue Questions internationales de la Documentation française, juillet-août 2011.


- La politique étrangère de la France, « De la fin de la guerre froide au printemps arabe », par Frédéric Charillon, publié en juin 2011 dans collection les Études de la Documentation française. 

 

Pour s'inscrire :  bernadette.guilloux@dila.gouv.fr ou par tél au 01 40 15 71 74

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 08:00

http://www.electroniques.biz/photos/415928.jpg

 

18/11/2011 Jacques Marouani, ElectroniqueS

 

Le FSI sécurisera ponctuellement le capital d’entreprises jugées stratégiques et les accompagnera dans leur développement à court et moyen termes : à travers 221 fonds régionaux, le FSI injectera un milliard d’euros dans les PME chaque année.

 

A l’occasion du troisième anniversaire du Fonds stratégique d’investissement (FSI), le président de la République, Nicolas Sarkozy, a annoncé le renforcement du programme France Investissement en faveur des PME innovantes.

 

Reconduit pour huit ans (2012-2020), le programme France Investissement vise à soutenir la croissance des PME en facilitant leur accès aux financements et en ciblant plus particulièrement l’innovation et l’export.

 

A ce titre le FSI, détenu à 51 % par la Caisse des dépôts et à 49 % par l’Etat, sécurisera ponctuellement le capital d’entreprises jugées stratégiques et les accompagnera dans leur développement à court et moyen termes : à travers 221 fonds régionaux, le FSI injectera un milliard d’euros dans les PME chaque année.

 

Nicolas Sarkozy a par ailleurs annoncé un renforcement de l’apport public au programme France Investissement en le portant de 300 à 500 millions d’euros par an.

 

Pour améliorer sa proximité avec les chefs d’entreprise, le FSI sera regroupé avec l’ensemble des dispositifs de financements régionaux au sein d’un guichet unique FSI-Régions, dans chaque territoire, dans le cadre d'un partenariat avec Oseo. Le but est d’encourager et de faciliter les investissements directs et de faire en sorte que le FSI soit plus proche du terrain. La Caisse des dépôts détiendra 80 % du capital de FSI-Régions, Oséo détenant le solde.

 

Enfin, Nicolas Sarkozy a annoncé la création de trois nouveaux fonds d'investissement sectoriels, dans l'aéronautique, la santé et le nucléaire, avec le concours du FSI.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 13:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/le-pilote-francais-remporte-la-majorite-des-suffrages-au-dubai-air-show/1450598-1-fre-FR/le-pilote-francais-remporte-la-majorite-des-suffrages-au-dubai-air-show.jpg

Photo : adjudant Anthony JEULAND - Sirpa Air

18 novembre 2011 par Thibaut de Jaegher – L’USINE NOUVELLE

Corée, Pays-Bas, Singapour... Toutes les campagnes commerciales menées par le Rafale se sont soldées par des échecs. A chaque fois, le même scénario se met en place : le Rafale fait la course en tête, accumule les bons points et trébuche à quelques mètres de l’arrivée. Le contrat en cours de négociation à Abu Dhabi ne devrait pas y échapper.

Combien de pays peuvent afficher sur leur carlingue le cadavre du Rafale ? Depuis son premier vol réalisé en 1986, l'avion de combat développé par Dassault, qui vient d’être humilié par Abu Dhabi, accumule les échecs. Les Pays-Bas et la Corée du Sud en 2002, Singapour en 2005, l’Arabie saoudite en 2006, le Maroc en 2007… Toutes les campagnes qu’il a menées se sont soldées par des échecs. A chaque fois, le même scénario se met en place : le Rafale fait la course en tête, accumule les bons points (excellence technologique, polyvalence…) et il trébuche à quelques mètres de l’arrivée. Les raisons avancées par les clients ? Son coût d’utilisation jugé trop onéreux, l’arrogance de ses équipes commerciales ou ses technologies trop en avance pour son temps. Le dernier argument est assez amusant pour un avion qui a volé pour la première fois il y a 25 ans...

 

Pour Dassault, toutes ces excuses sont évidemment irrecevables. Selon l’avionneur, la vraie raison de ses défaites n’est pas à chercher du côté financier, managérial ou technique mais sur le plan diplomatique. La puissance de feu des Etats-Unis en la matière suffirait à renverser les batailles les mieux engagées pour son avion. Et c’est vrai qu’aux Pays-Bas, au Maroc, en Corée ou à Singapour, ce sont des avions américains qui se sont imposés sur le fil (F15, F16 de Boeing ou F35 de Lockheed Martin). Mais l’argument ne tient plus lorsque l’on regarde le tableau de chasse des autres adversaires du Rafale : l’Eurofighter d’EADS et le Gripen de Saab. Le premier, qui dispose d’un marché intérieur important puisque Royaume-Uni, Allemagne, Italie et Espagne l’ont porté sur les fonts baptismaux, a réussi à se placer en Arabie Saoudite et au sultanat d’Oman. Quant au Gripen suédois, il a déjà remporté quelques batailles : Afrique du sud, Hongrie, République Tchèque et Thaïlande.

 

Comment font-ils pour s'imposer là où le Rafale échoue alors ? Après avoir listé un à un les reproches formulés par ses clients, il ne reste qu’une caractéristique propre à cette avion à creuser : sa nationalité. Le fait qu’il embarque presqu’exclusivement des technologies françaises pourraient-ils constituer un handicap lors des négociations ? Sans doute.L’Eurofighter (porté par 4 pays) ou le Gripen suédois (qui embarque 30% des composants anglais ou américains) disposent de l’appui de multiples réseaux diplomatiques pour jouer les VRP. Le Rafale, lui, ne peut compter que sur les consuls et ambassadeurs français. En clair, pour affronter la machine de guerre américaine, Dassault ne disposerait pas de divisions suffisantes. On peut le regretter mais notre pays et l’avionneur ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes. En 1985, ce sont eux qui ont décidé de la jouer en solo en quittant le programme qui allait donner naissance à l’Eurofighter. La France pensait alors avoir gagné une bataille mais elle a oublié qu'un coup d'éclat n'a jamais permis de remporter une guerre, fut-elle commerciale.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 08:50

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-des-breves/dauphin-n3-polynesie-en-virage/1451448-1-fre-FR/dauphin-n3-polynesie-en-virage.jpg

 

17/11/2011 Actu Marine - Marine nationale

 

Arrivé à Tahiti le 28 août 2011, le premier Dauphin N3 +  a été mis en service opérationnel par la Marine nationale le 15 novembre 2011.

 

L’État a acquis par financement interministériel (Défense, Finances et Intérieur) deux hélicoptères de type Dauphin N3+ en remplacement du Super Puma  et du Fennec  de l’armée de l’Air. Destinés à opérer en Polynésie française, la Marine nationale est chargée de leur mise en œuvre. Cette acquisition permet à l’État de disposer d’un hélicoptère neuf, polyvalent et parfaitement adapté à la collectivité polynésienne, en particulier vis-à-vis de son espace maritime équivalent à la taille du continent européen.

Placés sous le commandement opérationnel du chef d’état-major des armées, et sous le contrôle opérationnel du commandement supérieur des forces armées en Polynésie française, les Dauphin N3+ assureront à terme des missions de défense, d’action de l’État en mer, de service public, et des missions au profit d’autres administrations.

 

La permanence est assurée sans discontinuité, le détachement assure une alerte à 1h de jour (6h – 18h) et à 2h de nuit.

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 08:30

http://www.army-guide.com/eng/images/renault1321563704.jpg

 

Logistic transport vehicle (VTL) of the French Army

 

18.11.2011 Renault Trucks - army-guide.com

 

In late October 2011, the SIMMT (Structure Integree du Maintien en condition operationnelle des Materiels Terrestres - Integrated Through-Life Support Structure for Terrestrial Equipment) awarded Renault Trucks Defense the fourth batch of the heavy vehicle through-life support (MCO) contract worth 25 million euros.

 

This budget provides for the support of a fleet of 8,000 trucks (including 4,000 GBCs, 2,000 TRM2000s, and the majority of the fleet of logistic transport vehicles (VTL)). The MCO contract enables the French Army to substantially reduce its stocks of spare parts outside theatres of operations, as the contract holder is committed to delivering spare parts in less than five days.

 

This contract will also call upon the Renault Trucks network to perform on-demand routine servicing operations for the vehicle fleet in question. These operations – classified as NTI (technical intervention level) 1 and 2 – are carried out in the civil dealerships and branches of Renault Trucks. The manufacturer will in fact provide the entire support services for some of the vehicles, especially the specialized micro-fleets. The Renault Trucks network, which has 320 customer service points in France, is going to increase its teams for the ramp-up of this operation.

 

This contract is implemented by the SIMMT and the manufacturer with a view to maintaining costs within the assigned budget.

 

To achieve this, all the trucks in the fleet are tracked by their registration number. Given the success of the first annuities of this contract, the system is going to be extended to the DOM-COM (French overseas departments and communities) and countries in which France has prepositioned troops, as well as to the other armed forces and services supported by the SIMMT.

 

This arrangement will increase the operational availability of the fleet, enabling the armed forces to focus on their core activity (i.e. operations) by reinforcing the SIMMT's role as through-life support contract coordinator.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 12:35

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-des-breves/cb_2981/1451363-1-fre-FR/cb_2981.jpg

 

17/11/2011 Marine Nationale

Cols Bleus vous propose cette semaine un numéro spécial entièrement consacré à l’opération Harmattan.

 

Au fil des pages, découvrez des focus sur différents aspects de l’opération, retrouvez une fiche sur chacun des moyens marine engagés ou encore un témoignage du contre-amiral Coindreau, commandant de la Task Force 473.

 

À découvrir également une interview exclusive de l’Amiral Rogel, chef d’état-major de la Marine, qui revient sur l’opération.

 

Cliquez sur le magazine pour le lire

 

cb_2981
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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 09:00

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/le-rafale-est-au-roulage-avant-sa-demonstration/1450593-1-fre-FR/le-rafale-est-au-roulage-avant-sa-demonstration.jpg

Photos : adjudant Anthony JEULAND

 

16/11/2011 Actus Air - Texte : lieutenant Karim DJEMAI

 

Il remporte la majorité des suffrages ! De l’avis de nombreux spécialistes du Dubaï Airshow 2011, le Rafale propose la présentation en vol la plus impressionnante du salon aéronautique émirien.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/le-presentateur-avant-le-decollage-est-pret-a-assurer-sa-demonstration/1450552-1-fre-FR/le-presentateur-avant-le-decollage-est-pret-a-assurer-sa-demonstration.jpg

 

L’avion de chasse français devance à l’applaudimètre de nombreux autres appareils (F15, F16, Typhoon, Mirage 2000-9, …). « Le but du Rafale Solo Display est de démontrer aussi bien le savoir-faire des pilotes de l’armée de l’air française que la qualité de cet avion de chasse , explique le capitaine Mickaël Brocard, présentateur officiel du Rafale. Je dois réaliser le meilleur vol possible, tout en assurant un maximum de sécurité. Pour cela, je pousse mon avion jusqu’à ses limites. »

 

Pour le capitaine Brocard, cette limite se situe autour des dix G. En effet, les figures acrobatiques les plus spectaculaires lui imposent un facteur de charge équivalent à plus de dix fois son poids : un seuil que ni lui, ni l’appareil ne peuvent dépasser.

 

 

Pour réaliser de telles performances, une préparation mentale rigoureuse est indispensable. Ainsi, avant de monter à bord de son avion, le présentateur Rafale se prépare intérieurement, mimant au sol et en silence les gestes qu’il répètera ensuite en vol.

 

Une fois dans les airs, le capitaine Brocard tire la quintessence de son avion. « Si la présentation est si dynamique, c’est d’abord grâce aux commandes de vol. Ces dernières permettent d’évoluer dans un espace très restreint et d’enchaîner les figures très rapidement. La puissance des deux moteurs rend également possible l’alternance de passages très rapides et d’autres plus lents.  »

 

Alors que la saison des présentations touche à sa fin (une dernière date est fixée au salon international de Malaisie en décembre prochain), le capitaine tire un bilan très positif des vols réalisés. « Nous avons enchaîné les meetings aériens tout au long de l’été. C’était merveilleux de rencontrer autant de passionnés d’aéronautique et de constater l’engouement du public pour les vols que nous effectuons . »

 

En spectateur avisé, le général Jean-Paul Paloméros, chef d’état-major de l’armée de l’air, a d’ailleurs, lors de sa visite au Dubaï Airshow , salué le travail réalisé par les pilotes. « Le présentateur Rafale démontre admirablement les qualités de son appareil. Le Rafale, c’est l’avion du 21e  siècle. Au sein de l’armée de l’air, il est devenu indispensable. Lors des récentes opérations extérieures au-dessus de la Libye, il a démontré son efficacité en assurant des missions très variées, le tout en maintenant une disponibilité de plus de 95% ! »

 

Plus d’informations sur le Dubaï Airshow

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 08:50

http://www.meretmarine.com/objets/500/38707.jpg

 

Le second EDA-R a été débarqué par le SE Pacifica

crédits : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE

 

17/11/2011 MER et MARINE

 

Construit par le chantier Socarenam de Boulogne-sur-Mer, le second engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R) destiné à la Marine nationale a été débarqué hier au port de Brégaillon, à La Seyne-sur-Mer. Il était arrivé la veille sur le pont du cargo SE Pacifica, qui l'a convoyé jusqu'en rade de Toulon et l'a débarqué au moyen de ses deux grues. Le premier EDA-R, qui a débuté cette semaine des essais d'enradiage à bord du bâtiment de projection et de commandement Mistral, doit être livré d'ici la fin du mois à la marine française. Il sera suivi par l'engin débarqué hier, puis par deux autres unités, livrables en 2012. Conçu par la CNIM, les EDA-R sont appelés à remplacer les actuels chalands de débarquement de la flottille amphibie.

 

http://www.meretmarine.com/objets/500/38709.jpg

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 08:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/75/FS_Redoutable.jpg

photo Guillaume Rueda

 

17 novembre 2011 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Le présent décret structure une gestion patrimoniale des matières nucléaires nécessaires à la défense qui permet de connaître avec précision, en toutes circonstances, leurs stocks quelle que soit l’installation, civile ou militaire, intéressant la dissuasion ou non, dans lesquelles elles sont détenues et qui garantisse que les transferts de matières nucléaires entre les activités soumises ou non au contrôle de sécurité d’Euratom soient directement liés aux besoins de la défense.

 

Le texte du décret est disponible :

- au format HTML,

- au format PDF.

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 19:00

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/simu-au-cfami/1449228-1-fre-FR/simu-au-cfami.jpg

 

15/11/2011 Armée de l’Air

 

Le 25 octobre 2011, le centre de formation aéronautique militaire initiale (CFAMI) des écoles d’officiers de l’armée de l’air (EOAA) de Salon-de-Provence a réalisé la première mission d’instruction sur le nouvel entraîneur de vol « 6Mouv » .

 

Le CFAMI a fait l’acquisition de cinq exemplaires du simulateur « 6Mouv »,  un entraîneur de vol équipé du Basic Instrument Device  (système d’instrument basique), mettant en œuvre une technologie adaptée pour placer les élèves en situation réelle dès le début de leur formation. Les jeunes élèves des EOAA, pilotes ou navigateurs, disposent désormais d’un visuel projeté sur trois écrans offrant notamment l’apprentissage de la navigation à vue, des procédures de pannes élémentaires et du vol aux instruments. Le simulateur de vol multi-axes « 6Mouv »  offre ainsi une qualité visuelle des détails et un mouvement de grande amplitude proche du réel, condition indispensable pour une formation de qualité. De plus, les élèves pourront comptabiliser chaque heure passée sur le simulateur   dans le total d’heures de vol demandées pour valider leur formation.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/simu-cfami-02/1449233-1-fre-FR/simu-cfami-02.jpg

 

Un sixième simulateur est destiné au service d’information et de relations publiques de l’armée de l’air qui offre au grand public, lors des manifestations organisées dans la France entière comme l’exposition itinérante « Des ailes et des hommes », une occasion de se mettre aux commandes d’un monomoteur TB-20, le temps d’un vol.

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 13:50

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-breves/le-legionnaire-de-1re-classe-goran/1448526-1-fre-FR/le-legionnaire-de-1re-classe-goran.jpg

 

Mesdames, Messieurs,

 

Lundi 14 novembre, une unité française engagée dans une opération de sécurisation d’axe en vue du passage d’un convoi logistique franco-afghan, a été prise à partie par des tirs d’insurgés au cours d’accrochages en Kapisa.

 

Au cours de ces combats, le légionnaire de 1re classe Goran FRANJKOVIC du 2e régiment étranger de génie de Saint-Christol (Vaucluse), a été mortellement touché par un tir d’arme légère tandis qu’un second légionnaire était légèrement blessé.

 

Les deux militaires ont été immédiatement évacués vers la base de Tagab et héliportés vers l’hôpital militaire français de Kaboul, où le légionnaire de 1re classe Goran FRANJKOVIC est décédé des suites de ses blessures.

 

Dans le cadre du plan Hommage, le corps de notre camarade arrivera à l’Hôtel national des Invalides le jeudi 17 novembre, escorté par une garde d’honneur de la Garde Républicaine. La proche famille et une délégation régimentaire leur rendront alors les honneurs au cours d’une cérémonie placée sous le signe de l’intimité.

 

Le général de corps d’armée Bruno DARY, Gouverneur militaire de Paris exprime à la famille et aux proches du défunt sa grande émotion et ses sentiments de sympathie. Ses pensées vont également au légionnaire blessé et à ses compagnons d’armes.

 

Il invite tous ceux qui souhaitent s’associer à la mémoire du sacrifice de notre héros, mort pour la France en Afghanistan, pourront le faire en manifestant leur présence sur le pont Alexandre III, si possible avec un drapeau français. Le passage du convoi funéraire est prévu entre 13h40 et 13h55.

 

Cette présence, qui doit rester silencieuse, digne et fraternelle, ne doit pas avoir d’autre but que de montrer notre solidarité à l’égard de nos jeunes frères d’armes et de témoigner devant la communauté nationale de l’engagement des jeunes Français qui risquent chaque jour leur vie en opérations extérieures, pour défendre les intérêts du pays.

 

La cérémonie nationale d’hommage aura lieu le vendredi 18 novembre après-midi à Saint-Cristol dans le Vaucluse.

 

Général de corps d'armée (2s) André SOUBIROU - Président de l'ANOPEX

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 08:20

http://www.meretmarine.com/objets/500/38647.jpg

 

L'EDA-R vu du radier du BPC Mistral

crédits : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE

 

15/11/2011 MER et MARINE

 

Le nouvel Engin de Débarquement Amphibie Rapide (EDA-R) de la Marine nationale a réalisé avec succès ses premiers essais d'enradiage. Retardées en raison des conditions difficiles qui ont régné dans le Var la semaine dernière, ces manoeuvres se sont finalement déroulées le 10 novembre, à la faveur d'une fénêtre météo favorable. Après avoir embarqué un groupe de véhicules militaires tactiques, composé de camions et de P4 de l'armée de Terre, l'EDA-R a rejoint le Bâtiment de Projection et de Commandement Mistral en rade des Vignettes. A plusieurs reprises, le BPC a accueilli l'EDA-R dans son radier, qui peut être immergé grâce à des ballasts afin d'accueillir des engins de débarquement. « Disposant de rampes à l'avant et à l'arrière, l'EDA-R a pu ainsi démontrer ses capacités uniques à l'enradiage en marche avant ou arrière. Cet avantage majeur permet aux véhicules embarqués de ne faire que des manoeuvres en marche avant, facilitant, en les réduisant dans le temps, le déroulement de manoeuvres toujours délicates à la mer », explique la CNIM, qui a conçu l'EDA-R, dont la construction a été réalisée par Socarenam à Boulogne-sur-Mer. On notera qu'en plus des équipes de la CNIM et de l'équipage du Mistral, les personnels de la Flottille Amphibie, dont le futur équipage de l'EDA-R 1, a participé aux manoeuvres, y compris les personnels assurant le guidage des véhicules et l'arrimage dans le BPC.

 

Livraison prévue d'ici la fin du mois

 

Par rapport aux anciens chalands de débarquement, dont il est appelé à assurer la succession, l'EDA-R est également plus rapide, grâce à sa configuration en catamaran, et peut embarquer plus de matériel (dont des chars de bataille de type Leclerc).

 

Après les essais de plageage sur les divers sites exigés par la Marine nationale, la validation de la capacité d'enradier dans un BPC est une étape majeure avant la livraison du premier engin de série, qui doit intervenir avant la fin du mois de novembre. Pendant ce temps, le second EDA-R a quitté Boulogne sur le pont d'un cargo, dont l'arrivée à Toulon est prévue demain. Deux autres engins suivront dans les prochains mois, la marine envisageant, à terme, de se doter de huit EDA-R pour remplacer sa batellerie actuelle. Chaque BPC (deux sont en service, un troisième le sera début 2012 et un quatrième est prévu après 2015) pourra embarquer deux EDA-R.

 

Pour mémoire, l'EDA-R a été développé à partir du Landing Catamaran, prototype réalisé sur fonds propres par la CNIM et qui a réalisé de nombreux essais à partir de 2008. Francis Lucas, qui a imaginé ce concept très novateur, a d'ailleurs reçu, le 8 novembre, le prix scientifique du Génie maritime.

 

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