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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 17:25

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/02/73398770.jpg

 

26.10.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Le montant des exportations françaises dans le secteur de l'armement a atteint 5,12 milliards d'euros au cours de l'année 2010, en baisse notable par rapport à 2009 (8,16 milliards d'euros). La France maintient toutefois sa position au 4e rang mondial des exportateurs du secteur.

 

Pour lire le rapport, cliquer ici.

 

Les espoirs de passage à la 3e place exprimés l'an dernier, par les industriels et le DGA, avec des ventes espérées de plus de 10 milliards d'euros, sont donc douchés. La France reste talonnée par Israël et derrière les États-Unis, la Grande-Bretagne et la Russie. Le ministère de la Défense se réconforte comme il peut, en rappelant que, malgré une conjoncture "un peu dépressive", compte-tenu de la crise financière, le niveau des exportations françaises d'armement en 2010 reste toutefois supérieur à son niveau des années 2004-2005. Cocorico!

 

A Noter. Comme toujours l'identité de certains acheteurs et surtout le type d'équipements achetés ne sont pas divulgués. On s'y fait; mais ça ne m'empêche pas de réfuter l'argument de la confidentialité absolue (parce que si on l'accepte sur ce sujet, on nous le mettra en avant à chaque question un peu indiscrète) et d'adhérer aux propos de quelques ONG qui ont réagi voilà quelques minutes.


Extraits ci-dessous de leur communiqué de presse:


Commentaires d'Oxfam France, CCFD-Terre Solidaire, Amnesty International France:


"
Contrairement à l'objectif de transparence qu'il est censé atteindre, le rapport 2010 au Parlement confirme l'opacité de la France en matière d'exportations d'armes et limite inévitablement la possibilité d'un contrôle suivi des exportations françaises.  Publié plus d'un an après les ventes d'armes dont il rend compte, le rapport comporte un nombre insuffisant de détails sur les matériels livrés ou refusés, leurs destinataires et les garanties obtenues quant à leur utilisation".

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 16:45

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/00/344485597.jpg

 

26.10.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Lu dans nos éditions d'Ille-et-Vilaine ce matin ce court article sur une prise de commandement à Rennes. Le capitaine Eastwood (à droite sur la photo ci-dessous) vient de prendre les commandes des 8 TBM700 de l'escadrille un peu oubliée basée sur l'aéroport de Sauint-Jacques de la Lande.

tbm700.jpg

 

L'unique escadrille avions de l'armée de terre, en France, est basée en Ille-et-Vilaine, à Saint-Jacques-de-la-Lande. Elle est désormais commandée par le capitaine David Eastwood qui vient de succéder au capitaine Cyril Vazquez dont il était l'adjoint depuis plus de deux ans.

Armée de 8 TBM700 et de 10 équipages, cette unité permet la réalisation de 3 500 heures de vols au profit de plus de 2 000 passagers par an et assure le transport des plus hauts échelons du commandement partout en France, mais également sur l'ensemble de l'Europe et du bassin méditerranéen.

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 12:05

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-des-breves/panther-au-coucher-de-soleil/1425859-1-fre-FR/panther-au-coucher-de-soleil.jpg

photos Marine Nationale

 

26/10/2011 Actu Marine

 

Du sud de la mer Rouge, jusqu’à l’entrée du canal du Mozambique, et s’étalant sur plusieurs centaines de miles nautiques vers l’Inde, la zone d’action de la mission de lutte contre la piraterie Atalante  s’étend sur plus de quatre millions de km². L’action seule des bâtiments d’Atalante et des autres coalitions ne permet pas de couvrir tout ce champ d’intervention. La présence d’hélicoptère embarqué devient, dans ce contexte, un atout de poids et un avantage certain dans la lutte contre la piraterie.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-des-breves/treuillage-au-dessus-du-petra-1/1425893-1-fre-FR/treuillage-au-dessus-du-petra-1.jpg

Basée à la Base Aéronautique Navale d’Hyères  (BAN) dans le sud de la France, la flottille 36F  fournit régulièrement aux bâtiments de la Marine nationale, présents en océan indien, son hélicoptère embarqué. Accompagné d’un détachement de dix personnes (4 militaires volants et 6 techniciens), le Panther  est l’une des composantes aériennes des forces françaises engagées au sein de cette opération. Avec une autonomie de plus de quatre heures, il assure la sécurité nautique du navire de jour comme de nuit. Doté de puissants radars, l’hélicoptère Panther  a une zone de couverture aérienne par vol de plusieurs milliers de kilomètres carrés, l’équivalent d’un département français comme le Var. Ce qui multiplie considérablement les chances de retrouver un navire ou de pister des zones de présences de skiffs. Il devient alors véritablement les « yeux » du bâtiment sur lequel il est embarqué.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-des-breves/chien-jaune-panther/1425849-1-fre-FR/chien-jaune-panther.jpg

La force d’un hélicoptère est aussi de pouvoir se rendre rapidement sur une zone d’attaque. Une attaque à plusieurs nautiques du bâtiment peut être gérée avec plusieurs moyens. L’intervention d’un hélicoptère, souvent couplée à une équipe de visite ou d’intervention, constitue une plate-forme d'observation, et si nécessaire, d'appui-feu, très efficace. Grâce à sa rapidité de couverture d’une zone géographique, le Panther  assure des missions de reconnaissances. Enfin, l’hélicoptère permet également de remplir diverses autres missions: évacuation médicale, sanitaire, transfert de personnel ou de matériel lors de liaisons entre bâtiments, ou avec la terre, et, parfois, réalisation d’une couverture photographique aérienne des événements.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/marine/photos-des-breves/treuillage-du-panther-petra-1-scf/1425844-1-fre-FR/treuillage-du-panther-petra-1-scf.jpg

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 11:50

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e6/PARS3LR.jpg    

photo by KrisfromGermany

 

25 October 2011 domain-b.com

 

Naples, Italy: European missile making consortium MBDA has said the field evaluation trials of its Pars 3 LR fire-and-forget anti-tank guided missile (ATGM) is slated to get underway soon. The ATGM has been shortlisted alongside Rafael Advanced Defence System's Spike-ER for the Indian Army's weaponised Advanced Light Helicopter (ALH) 'Rudra.'

 

''We are waiting for the Hindustan Aeronautics Ltd (HAL) to give us the schedule for trials. Hopefully, the dates will be finalised soon,'' MBDA's Peter Meuthen told a group of Indian journalists at the company's facility at Fusaro, north of Naples, Italy.

 

MBDA is a four-nation European missile making consortium which is eyeing a strategic partnership with India in defence development and production.

 

Besides jointly developing a short-range surface-to-air missile (SR-SAM) with India's Defence Research and Development Organisation (DRDO), it has also offered nearly a dozen tactical weapon systems for deployment with the Indian armed forces.

 

The Pars 3 LR, Meuthen said, is a high precision weapon system with a broad target spectrum. ''It is highly effective against mobile and stationary targets equipped with latest armour protection, field fortresses and bunkers, besides other high-value targets,'' he said.

 

Pars 3 LR boasts a maximum operational range of seven kilometres and is said to possess high resistance to jamming.

 

In a salvo mode, it can fire up to four missiles in 10 seconds.

 

The missile, in service with the German Army on its UH-Tiger helicopters, was tested at Vidsel in Sweden in April this year. ''The successful firings matched all Indian operational requirements, but an Indian delegation could not witness it due to administrative reasons,'' Meuthen said.

 

A Bangalore-based Indian company has been co-opted by MBDA to design and develop a twin launcher, a derivative of the quad launcher fitted on the German Tiger helicopter, for the launch of the missile from ALH Rudra.

 

''The twin-launcher has been developed by the Indian company and its production will be done there.''

 

Simultaneously, MBDA has come out with an eight-missile configuration for the under-development indigenous Light Combat Helicopter (LCH).

 

Pars 3 LR is also in contention to weaponise the 22 attack helicopters being acquired by the Indian Air Force to replace its ageing fleet of Mi-25. MBDA has proposed Pars 3 LR for the Russian MIL Mi-28 helicopter which competes in the IAF evaluation along with the 'Hellfire' anti-armour missile-equipped Apache AH-64 D manufactured by Boeing.

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 07:55

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e2/FS_Surcouf.jpg

photo Franck Dubey - netmarine.net

 

25/10/2011 Par Jean Guisnel - Le Point.fr

 

Les armées françaises soutiennent l'offensive kényane contre les militants shebabs somaliens, qui détiennent notamment un officier français de la DGSE depuis le 14 juillet 2009. Les Français ne sont pas engagés dans les combats, affirme-t-on à l'état-major des armées à Paris, où l'on confirme par ailleurs qu'un Transall C-160 a été mis à disposition de Nairobi. Un peu juste en moyens logistiques. Mais de participation aux combats, nenni ! On dément avec vigueur, de même source, que des navires de combat de la marine nationale soient présents au large de la zone des combats, et qu'ils aient a fortiori tiré contre des objectifs à terre.

 

On précise de même source que l'aviso Premier maître l'Her, qui a quitté Brest le 1er octobre, se trouve actuellement en passe de rejoindre la Task Force 150 déployée dans le golfe d'Aden, sous commandement américain. La frégate Surcouf, qui participe pour sa part à la mission européenne Atalante contre la piraterie, se trouve depuis plusieurs jours au large de la ville somalienne d'Harardhere, très loin de la zone des combats entre l'armée kényane et les milices shebabs.

 

Bateau espion

 

L'état-major des armées n'avait en revanche "rien à dire, vraiment" sur la présence dans le port kényan de Mombasa, rapportée au Point par des sources fiables, du très gros navire français Dupuy de Lôme. Ce navire de 3 600 tonnes arbore la coque blanche des bâtiments scientifiques, et appartient officiellement à la catégorie des "bâtiments d'expérimentation et de mesures".

 

Mais un énorme mât chargé d'antennes et deux gros radômes abritant de "grandes oreilles" ne laissent pas le moindre doute sur sa nature exacte : c'est un bateau espion, certes armé par la marine nationale, mais qui travaille 350 jours par an au profit de la Direction du renseignement militaire, nous apprend l'indispensable annuaire Flottes de combat. Lequel précise qu'il embarque un équipage de 30 hommes, auxquels s'ajoutent 80 "techniciens". Qu'en termes pudiques ces choses-là sont dites ! Les Français qui font circuler ce navire dans le monde entier disposent avec lui d'un exceptionnel outil de renseignement, dont ils ne parlent jamais, bien qu'il soit très officiellement recensé dans la flotte des AGI (Auxiliary General Intelligence), dont dispose l'Otan. Conclusion : bien que les Français demeurent discrets sur le sujet, ils assistent les Kényans dans leur offensive en leur apportant des moyens logistiques aériens. Il paraît plausible qu'ils fournissent aussi du renseignement. Mais sans tirer un coup de feu...

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 07:40

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/111025-la-reunion-dio-parachutiste-au-profit-de-l-academie-militaire-malgache/la-reunion-dio-parachutiste-au-profit-de-l-academie-militaire-malgache-1/1425983-5-fre-FR/la-reunion-dio-parachutiste-au-profit-de-l-academie-militaire-malgache-1.jpg

 

25/10/2011 Sources : EMA

 

Du 29 septembre au 18 octobre 2011, les FAZSOI (forces armées de la zone sud de l’Océan indien) ont assuré un détachement d’instruction opérationnel (DIO) au profit d’élèves officiers malgaches.

 

Il s’agissait du premier DIO des FAZSOI dédié aux forces malgaches et conduit à La Réunion depuis trois ans.

 

44 Malgaches de la 33ème  promotion d’élèves officiers de l’académie militaire malgache (ACMIL) d’Antsirabe ont suivi l’instruction : 40 cadets, 3 autorités d’encadrement (lieutenant-colonel, commandant et capitaine) et un adjudant moniteur TAP (troupes aéroportées). Le détachement était conduit par le 2ème  régiment de parachutistes d’infanterie de marine (2ème  RPIMa) avec des moniteurs de l’école des troupes aéroportées (ETAP).

 

Le programme du stage de coopération a été perturbé par des conditions météorologiques défavorables, notamment par d’importantes rafales de vent. Après une semaine d’instruction au sol, les stagiaires de l’ACMIL ont réalisé durant deux jours un total de cinq sauts.

 

Parallèlement, 15 jeunes français, engagés dans une préparation militaire parachutiste, ont sauté aux côtés des cadets malgaches.

 

37 cadets ont reçu le brevet parachutiste militaire lors de la cérémonie présidée par le général Jean-François Hogard, commandant supérieur des FAZSOI, en présence du général Béni Xavier Rasolofonirina, commandant l’académie militaire et du colonel Jean Ernest Randriampeno, directeur de cabinet du chef d’état-major général de l’armée malgache (CEMGAM).

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/111025-la-reunion-dio-parachutiste-au-profit-de-l-academie-militaire-malgache/la-reunion-dio-parachutiste-au-profit-de-l-academie-militaire-malgache-2/1425988-6-fre-FR/la-reunion-dio-parachutiste-au-profit-de-l-academie-militaire-malgache-2.jpg

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 07:35

2011-06-22 16.32.17

photo RP Defense

 

25 Oct 2011 By PIERRE TRAN DefenseNews

 

TOULOUSE, France - Industrial consortium Europrop International (EPI) is fixing the compressor blades on the engines of the A400M military airlifter in a bid to reduce wear, said President Simon Henley.

 

In the intensive flight test program of the Airbus Military A400M, EPI identified in the second and third quarter of this year unusual fatigue on the high pressure compressor blades of the TP400-D6 engine, Henley told journalists.

 

Rolls-Royce, part of the EPI group, identified a "resonance issue," or unwanted vibration when the engine was operating in a tight speed range. EPI is working on a "double fix," with a software patch as a short-term solution for the flight test program and a permanent hardware upgrade, Henley said.

 

EPI declined to say how much the hardware upgrade would cost.

 

EPI is a consortium comprising ITP of Spain, MTU Aero Engines of Germany, Safran's Snecma of France and Rolls-Royce of Britain.

 

The group estimates the TP400 turboprop engine will be worth more than 4 billion euros ($5.5 billon) over the life of the program. The A400M program is Europe's largest common defense program at a revised 23.5 billion euros.

 

EPI installed a temporary software fix for the high pressure compressor for the four test aircraft flying and is developing a full software fix that will be available for the next software release in the first quarter of 2012, the company said.

 

The hardware upgrade would be available "early in the production run," EPI said. The first production engines are due to roll off the assembly line for the French Air Force later this year.

 

The upgrade will be on "the first four production aircraft in the first quarter 2012," an EPI spokesman said.

 

EPI also has identified and fixed the cause of the gearbox problem which prevented the A400M from flying aerial displays at the Paris Air Show in June, Henley said.

 

The engine and gearbox were taken off the aircraft and run on a test rig to reveal fatigue cracks on the gear tooth, due to a particular "resonance," Henley said. EPI has redesigned and upgraded the idler gear on the Avio gearbox and the problem has not recurred, he said.

 

Airbus has installed 16 engines on four operational test aircraft, flying an intense rate of six to eight sorties a day, Henley said.

 

Four engines have been installed on the fifth A400M unit, dubbed MSN6. The TP400 was certified in May and has some 11,600 operating hours.

 

The TP400 engine is a source of contention between the French government and Airbus Military. French defense procurement chief Laurent Collet-Billon told the National Assembly's defense committee Oct. 5 that negotiations with industry for an A400M service contract were "more than difficult," mainly because of the turboprop engines.

 

"We still have not received a satisfactory proposal from Airbus, notably for the engine," Collet-Billon said. "I have told industry that, without a service contract, I won't accept the aircraft and I won't pay for them."

 

France wanted to sign a common A400M support contract with Britain, but as deliveries to the French Air Force were due earlier than those to the British Royal Air Force, it would be difficult to reach agreement in time, Collet-Billon said.

 

France would in that case sign specific service agreements for the first deliveries, he said.

 

"Airbus Military is working to reach an agreement on the service contract," company spokeswoman Maggie Bergsma said.

 

EPI was working on the same lines, a company spokesman said.

 

Industry aimed to have a service support in place when the A400M is delivered, an industry source said.

 

Regarding flight tests, Airbus was on track to deliver the first A400M by the end of 2012, said Fernando Alonso, head of flight operations.

 

"That is still the case," he said.

 

The aircraft is four years late, largely due to development problems with the engine, the largest turboprops built in the West, and the flight management system from Thales.

 

The target is to achieve an initial operating clearance by mid-2012, the standard agreed with the seven customer countries under a deal signed in April, which involved the governments injecting an extra 3.5 billion euros to partially cover cost overruns.

 

The test flight program will include heavy military content in 2012, as engineers and pilots work to secure certification by the program manager, the Organisation Conjointe de Coopération en Matière d'Armement.

 

Among the tests to be completed in the coming year are:

 

■ Airdrops with 114 paratroopers, using single and double static lines, and gravity drops of loads.

 

■ Loading and unloading heavy equipment, such as NH90 and Puma helicopters and big trucks.

 

■ Inflight refueling with a British Royal Air Force VC10 tanker, with dry and wet contacts.

 

■ Helicopter refueling, working with Eurocopter.

 

■ Landing on unprepared runways, initially a grass runway at a former MiG fighter base, Cottbus, near Berlin.

 

■ Tests with defensive aids, ejecting flares and chaff.

 

■ Passive and active sensors for missile warning.

 

■ Military communications, including satellite links, UHF, MIDS and Link 16, encrypted.

 

■ Military mission management system, an onboard computer that acts as an interface between civil and military networks and is vital for low-flying operations using a digital terrain database and ground collision avoidance.

 

The A400M also has to qualify for type certification with the civil authorities, the European Aviation Safety Agency.

 

A first for the civilian agency is certification of the pilot head-up display as the primary cockpit display, said Ed Strongman, chief test pilot.

 

The test pilots have flown low-level night flights with the TopOwl type 2 visor and forward-looking infrared sensors.

 

Under the flight test program, the four test aircraft have flown nearly 2,400 hours, with 165 takeoffs and landings. Some 60 pilots have flown the aircraft, including British, French, German and Turkish, as well as staff of the civil and military certification agencies.

 

Overall, the flight test program "has demonstrated it is working to our full satisfaction," Alonso said.

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 20:40

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/harmattan/110714-libye-point-de-situation-n-34/point-de-situation-n-34-4/1310058-2-fre-FR/point-de-situation-n-34-4.jpg

photo defense.gouv.fr

 

25/10/2011 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Avec l'opération Harmattan, les états-majors ont dû se résoudre à faire des arbitrages en raison de certaines lacunes en termes de capacités et des contraintes budgétaires.

 

Cocorico ! La France s'en est tirée avec les honneurs en Libye où les avions de l'armée de l'air et de la Royale avaient réalisé à fin septembre environ 4.500 sorties et les hélicoptères de l'armée de terre une trentaine de raids sans aucune perte. Soulagés par le succès de leurs hommes et des matériels sur le terrain, les états-majors sont actuellement tout sourire à l'heure des retours d'expérience (retex) de Libye. Pour autant, l'opération Harmattan a révélé certaines lacunes capacitaires des armées au moment où elles étaient déjà engagées dans de nombreux conflits (Afghanistan...) et soumises à une lourde restructuration.

 

C'est le cas notamment pour la marine. L'intervention en Libye « démontre que le format de notre marine est aujourd'hui juste suffisant pour répondre aux ambitions de défense et de sécurité de notre pays », a regretté le chef d'état-major de la marine, l'amiral Bernard Rogel, devant la commission de la Défense. Très clairement, il a dû faire des arbitrages et n'a pu honorer « toutes les demandes, notamment certaines prévues par le contrat opérationnel de la marine ». Par exemple, la France n'a pas pu compter pendant quatre mois sur des sous-marins d'attaque (SNA) patrouillant dans les eaux de l'Atlantique. La marine a retiré de l'opération contre la piraterie Atalanta (l'avion de patrouille maritime à long rayon d'action), l'Atlantique 2, et a dû annuler deux missions sur quatre de lutte contre le narcotrafic en Méditerranée.

 

Le délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon, a également constaté que la Libye a « fait aussi apparaître quelques insuffisances [...] prévisibles dans la mesure où elles correspondent à des opérations différées en raison d'arbitrages budgétaires ». Les principales lacunes ont été identifiées dans les drones de surveillance dits MALE (Moyenne altitude, Longue endurance) et les avions ravitailleurs, les États-Unis ayant assuré 80 % des missions de ravitaillement en vol en Libye. Paris a d'ailleurs commandé à Dassault Aviation un nouveau système de drones MALE, sur la base du Heron TP fabriqué par la société israélienne IAI, en vue de le livrer aux armées françaises en 2014. En revanche, le premier exemplaire du programme MRTT (avion multirôle de ravitaillement en vol et de transport) ne sera livré qu'en « 2017 au lieu de 2010, et le dernier en 2024 », selon le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Jean-Paul Paloméros.

 

L'armée demande des bonus

 

Mais c'est le maintien en condition opérationnelle (MCO) des équipements qui a le plus préoccupé les états-majors. « Cette bataille du MCO, nous l'avons en partie gagnée, a expliqué le général Paloméros. J'en veux pour preuve le fait que depuis près de sept mois, nous volons en permanence en Libye et en Afghanistan et sur tous les théâtres, avec une disponibilité de l'ordre de 95 % ». Mais « cet effort a un prix et une influence sur l'entraînement et la régénération de nos forces. Ainsi nos jeunes ont-ils moins volé que nous l'avions prévu : de 110 à 130 heures pour les pilotes de chasse alors que les objectifs sont de l'ordre de 180 heures, conformément aux standards OTAN ». L'armée de l'air demande un bonus de 120 millions d'euros pour rattraper ce retard. C'est aussi le cas pour la marine qui revendique 100 millions en raison d'un « surcroît de dépenses inhabituel sur les périmètres MCO naval et aéronaval », selon l'amiral Rogel, qui déplore que « la disponibilité des forces n'a pu être maintenue qu'au prix d'une tension extrême sur nos moyens de soutien ».

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 18:20

http://defencesummits.files.wordpress.com/2011/10/french-air-force-reuters-640x480.jpg

 

Source: Reuters

 

10/25/2011  Richard de Silva - defenceiq.com

 

This past summer, Defence IQ spoke with Lieutenant General Friedrich Wilhelm Ploeger, the Deputy Commander of NATO’s Allied Air Command Ramstein, who joined us on the line direct from Ramstein Airbase in Germany.  For some background, Lt Gen Ploeger has a long and coloured history within airpower dating back to his enlistment in the German Air Force in 1967 up to his current position in this senior leadership role.  Throughout his career, which has seen him take up numerous command and staff assignments, he’s been awarded the Silver and Gold Cross of Honour of the Bundeswehr, the Order of Merit on the Ribbon of the Federal Republic of Germany, and the Black Eagle Order Third Class of the Republic of Estonia…

 

Defence IQ     A very good afternoon General, it’s a pleasure to have you with us today.

 

FWP      Yes.

 

DIQ      I trust you’re well?

 

FWP      Pretty well, accustomed to the European Time Zone again after a lengthy stay in the US for very important cause at Maxwell Air Force Base and then ten days of I think at least some leave!

 

DIQ      Excellent, well we’re glad to have you back on this side of the Atlantic.  For now, thank you very much for making some time for us.  I think for those who perhaps need clarification, could you just start by telling us how important a role does the Alliance play in both European defence and in global defence?

 

FWP      Yes.  The answer is quite obvious.  When we look at the new strategic concept we see that the Alliance is and remains the cornerstone of defence for its member nations and the importance of Article V has been highlighted again.  The Alliance started as an alliance of necessity during the Cold War period when we faced a common Russian threat but it changed after the collapse of the Soviet Union and the fall of the Iron Curtain to an alliance of choice.  But we again see a change in the Alliance as an alliance of necessity because of the changed financial environment we are moving into and I will come to that field again when I look at Alliance air power and sea power. 

 

When you look at the history of the Alliance, NATO has always been a sea and air power Alliance and these are of course very expensive and critical capabilities that require a lot of financial investment and when we look at the current situation, due to the high costs of state of the art technology, the Alliance, especially in the area of air and sea power, will continue to be an alliance of necessity because otherwise we will not be able to achieve the required capabilities to cope with the current and future challenges in front of us.

 

DIQ      Well looking at these current and future challenge, being that much of the air power focus has been towards irregular warfare of late, what developments have been made in recent years in the way air support actually provides reliable ISR, specifically for counterinsurgency operations.

 

FWP      I think ISR is that field where we see the most dramatic developments, especially technologically both in process and in experience.  The most obvious signs of this are through the introduction of new assets with vastly improved capability, whether that’s through better product, that is vastly improved sensors, better loiter time, extended loiter time through those unmanned systems like Global Hawk and Predator or survivability by the introduction of stealth capabilities.  While overall processes continue to develop, particularly through experience gained in recent and ongoing operations, when we look at Afghanistan and Libya, our ability to exploit this capability has developed in parallel with the technological changes giving us a truly networked capability to exploit in real time.  Traditional ISR is the primary role of unmanned area systems, but full motion video capability makes it more than competent in filling, especially for a time sensitive targeting or coined missions, and furthermore changed detection software allows an effective use in any coined scenarios, especially when we look at the threat posed to our forces in Afghanistan by IEDs.

 

DIQ      Okay, what about the use of electronic warfare with modern airborne operations? I think it’s known that the ISAF mission has recognised a lack of EW assets to meet the necessary requirements – that’s on public record – but do you think the reaction to this should simply be a drive to increase EW assets or are there alternative options open in insuring that we have that required capability?

 

FWP      I think we should be aware of the fact that we will always have a demand for additional assets.  So the demand for electronic warfare assets will always outstrip our ability to provide them and looking at the financial situation we are in, there is at the moment no light at the end of the tunnel that we would be able to procure more specialised electronic warfare systems.  So we need to look for alternative options and there is one option that looks into the area of increased availability of electronic warfare assets.  Because they are getting a bit older we need to look at ways how to make them more available for our operation, we need to look at the way we use those assets, whether we do it really effectively enough or whether there are ways we improve them. And we need to look at a more balanced and effective mix of the systems, that is airborne systems as well as ground systems that are helping our forces in Afghanistan to cope, especially with the IED [threat] and with the threat by the Afghan Taliban forces.  So a mix of those measures should help us to overcome that problem.  In the end, there is also the way to acquire additional capabilities in the Alliance through cost sharing and common procurement but that is still an area that needs to be debated in Brussels in the political fields.

 

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DIQ      Just curious…does the deficit in the use of EW stem at all from a concern over inadvertently disrupting civilian systems?  I mean is it just that there’s a need to be as cautious as possible?  Is that holding us back at all in terms of either acquiring the technology or knowing when best to use it?

 

FWP      No, definitely not.  It needs to be well coordinated with all parties involved in such an operation, but of course we also need to maintain operation security, so there are various fields that need to be observed and the necessity not to overly disrupt civilian communication systems does not really impact on our mission.  I think we can cope with the situation.

 

DIQ      Yes, good to know.  Just going back to your mentioning earlier of Libya, the operation there is of course primarily an Allied air mission, can I ask what have been the key lessons learned to date on dealing with an adversarial air and ground force from the perspective of the Alliance and are there any gaps that you can point to, either technological or tactical, that have been identified in the needs of the Allied forces?
[eventodf]

 

FWP      When we look at the Libyan operation, the air mission of course is in focus also and especially in the media.  We should, I think however, not forget that the operation Unified Protector as it is called in NATO is an operation that also encompasses embargo operations performed by our fellow comrades at sea.  When I look at the threat posed by Libyan air forces I can state that they do not pose a real challenge because air superiority and air dominance was quickly achieved already during Operation Odyssey Dawn that proceeded Operation Unified Protector when we started to implement the no-fly zone, thus the Libyan Air Force is no longer a factor of ours.  The Libyan ground forces have demonstrated the capability to quickly adapt in tactics.  For instance they are copying opposition tactics thus making NATO’s air-to-ground operations to protect civilians from attack by Gaddafi forces very demanding and very complex.  Operation Unified Protector [brought to light] the importance of the enablers, that is especially to add to our refuelling, ISR, unmanned area systems and last but not least, low CDE weapons, weapons with a very low collateral damage factor.  The contribution of the US Air Force in those fields for mission success is essential and is vital because the European NATO nations alone do not possess enough capabilities.

 

Another lesson learned from Libya operations was that air operations of that type require a robust Air-Sea II organisation that could only be built up in the Libyan case by heavy augmentation from throughout the NATO command structure, thus highlighting the need to adjust personnel feelings for Air-Sea II in our new NATO command structure that was agreed upon by our defence ministers – thank God – in their footprint decision in early June. So an earlier, let’s say ‘lack of personnel’ was properly corrected when our defence ministers decided on the footprint of the NATO command structure in early June, this was already I think the most important lesson identified and then learned and corrected by the Alliance.

 

DIQ      Are there any particular examples that you could possibly give us in terms of the Libyan forces adopting ground tactics from others in order to make the lives of your officers in the air a lot more difficult?

 

FWP      Yes, it is quite obvious when they learned that whenever they used their normal tanks, their normal weapon systems, which the Libyan Gaddafi forces used for attack against Libyan civilians, they were constantly under attack.  They quickly changed by applying opposition forces tactics, that is, that they also used pick-up trucks and mounted their howitzers and mortars on those, and rather than running around in uniform, they started running around in civilian clothes, et cetera, et cetera, thus making life for us really difficult.

 

DIQ      Okay, we’ll look at that in a moment, but I just wanted to pick up on this topic of air superiority first and I think it’s perhaps a given to say that UAVs are still being seen by most as the future of this domain.  But can you tell us what the inherent challenges are in actually rolling out an increased unmanned capability and how is this likely to shape the future of the Alliance?

 

FWP      Let me start with some principles.  The basic elements of air power still remain the same and they are the key to air power superiority.  These are the characteristics: speed, range, flexibility, and with the UAVs now we add a new dimension to those basic three characteristics, and that is persistence – beyond the physical limits of an air crew – so that should be kept in mind.  That’s the typical areas for unmanned systems are the so-called Dirty, Dull and Dangerous missions, provided that that is at the moment an area that needs to be kept in mind, provided that they are operating in an uncontested environment.  Thus, especially when you look at persistence capability of unmanned systems, the concentration on ISR in developing UAV capabilities revolutionised this field, and it will continue to influence the development of tactics, techniques and procedures in the Alliance.

 

The increased use of unmanned systems of course has impacted on our Air-Sea II processes and especially the training of personnel to start with the simple operation of the UAVs, that is the pilot or the ground crew and the maintenance crew, to employ the UAVs in their operations to exploit the capabilities of the UAVs to their limits and finally to do command and control of UAVs in air operations.  The key tasks however will still be the domain of manned systems that is gaining and maintaining air superiority, especially in contested environments.

 

DIQ      And of course UAVs hosting electronic warfare systems are at present primarily being used to disrupt communications as you said, is this likely to mature soon to a more focused attempt to disrupt weapons or IEDs or those types of ordinance?  In other words, how long before you see UAVs contributing more than the relatively modest role that they seem to be playing at this time?

 

FWP      I think the main driver will be the demand and the requirement coming from ongoing operations and when ongoing operations continue to require development in these fields there will be more specialisation.  When you look at the development in the Israeli Air Force, they also developed their capabilities following the requirement coming from their operations to deal with insurgents, to deal with certain threats and thus they developed their unmanned systems capability to a very tremendous capable air force.

 

DIQ      So I suppose it has to be, from what you’re saying, an organic process.  We won’t know until we know.  I am also curious, in going by the recently publicised accounts of successful air operations, such as with Prowlers apparently being used in the elimination of key Al Qaeda targets, the ongoing air operations in Libya as we’ve been discussing, or the effectiveness of airborne COIN in Afghanistan specifically, does this all suggests the need for a rethink by those defence ministries who are scaling back their air forces as to whether that really is appropriate – and is it possible for us to see these types of achievements that we’re witness to today with less varied air capability in terms of, for example, a single platform like the Joint Strike Fighter or indeed a predominantly unmanned fleet?

 

FWP      This is indeed a very interesting question and the answer is not easy.  I think most of our defence ministers are fully aware of the needs, but they need to find the middle way between what is required by the mission they give to their defence forces and what is financially available and then there is the second argument that scaling back in numbers does not necessarily mean that it is also a scale back in capability.  The capabilities when you look at the new weapons systems are today far more superior than those capabilities that we used during the Kosovo air campaign for instance just over a decade ago in terms for instance of targets destroyed per mission.  When you look at those times, eleven years ago in March ‘99, we were able as a rule to attack one target with one aircraft.  Now with more modern aircraft and more modern air to ground weapons we can attack several targets with one sortie, with one mission, so this multiplies the capability of forces.

 

With regard to new platforms such as the Joint Strike Fighter, they bring enormous capability to our inventory, not least of which is through their ability to network and that is complimented by the versatility of their enhanced technology.  An unmanned fleet is not, and I repeat what I said before, is not a stand alone item but complimentary to the very capable platforms we currently have and will acquire in the future with for instance the joint strike fighter and our challenge will be to use these new assets as effectively as we can and again this may require the Alliance look at its members, member states, specialising for instance in particular roles and capabilities and probably working to new areas of role and responsibility sharing.

 

DIQ      It’s good to have an authoritative voice on that subject.  Just to retread very quickly on an issue you raised earlier with ground forces reportedly exploiting civilian populations and the difficulty that air forces have in perhaps identifying combat adversaries …given the intensity with which civilian casualties are again reported in the press and the huge impact that this can sometimes have on missions overall, particularly when adversaries may seek to exploit these incidents to build up public pressure, is a more focused effort needed do you think to enhance combat identification and situation awareness in general, and how are strikes coordinated from the ground to actually minimise these risks?

 

FWP      You can believe me – and this is a true, honest answer – that especially civilian casualties is an area of greatest concern for us, for the air forces, especially when we look at our Afghanistan mission.  Because this field has a huge impact on public opinion and how NATO forces are in total seen in Afghanistan and thus we try and do our best to reduce any collateral damage during incidents and enhance our ability to distinguish between friend and foe.  Although this is a highly challenging task we can for instance point to the Libya operation where we achieved the best success rate ever …and the occasional weapon that was going astray because there was a technological problem was quickly identified by us and we came forward with the announcement that this was a weapon going astray due to a technical failure, so that Gaddafi was not able to really exploit this mishap.

 

DIQ      Right.

 

FWP      On the other hand we try to perfect really – we can not say ‘to enhance’ – we try to perfect our processes to 100% non-failure process so that any weapon that is delivered to a target is under full control, both by the air crew as well as by the ground crew and to achieve this goal we invest a lot in intensive training for especially our forward air controllers and technical air control parties on the ground in Afghanistan to make sure that no unintended collateral damage is really achieved so that there is the risk of civilian casualties reduced to zero if possible and the achievement over the last one and a half years was really immense, immense and we are now, when you look at the bare figures, only responsible for a very, very small fraction of the number of civilian casualties we see in Afghanistan.

However, there is still this challenge and we have to cope with any situation where a ‘civ/cas’, civilian casualty, even occurred and we will investigate every event to learn from these events and to exclude any mistakes in the future.

 

DIQ      Is there one thing that you would put that success down to?

 

FWP      I think the most important element is our enhanced training of the ground crews, the forward air controllers and of course the enhanced distribution and availability of equipment, modern equipment available to the forward air controller crews like rover equipment so that both the air crew and the controllers on the ground have the same picture.

 

DIQ      Outstanding.  Well it does make sense for it to be a priority and we’re delighted to hear that it’s having such great progress in such a short time.  Lieutenant General Ploeger we do have to end there for now, but may I say it’s been a privilege sir to hear your thoughts on these issues.  Thank you very much indeed for your time and I wish you all the best of luck to you and all of those serving at the Alliance.  Thank you.

 

FWP      Yes, thank you very much for the opportunity to speak to you and to answer your questions.

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 18:15

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-mars-2011/le-fennec-a-l-honneur-au-bourget/1120844-1-fre-FR/le-fennec-a-l-honneur-au-bourget.jpg

 

25/10/2011 Sources : Armée de l'air

 

Le premier examen de navigabilité d’un Fennec AS-555 s’est déroulé avec succès, du 12 au 16 septembre 2011, sur la base aérienne 115 d’Orange. Cet examen a été conduit par l’unité de contrôle de navigabilité (UCN) de la base aérienne 120 de Cazaux sur un aéronef préparé par l’unité de gestion et de maintien de la navigabilité (UGMN) d’Orange.

 

Cette première certification de navigabilité Fennec vient clôturer un processus global de mise en conformité de l’exploitation technique de cette flotte de 41 hélicoptères légers, déployés en métropole et en outre-mer.

 

Depuis août 2011, deux unités navigantes mettent en œuvre des Fennec sur la base orangeaise: l’escadron d’hélicoptère 5/67 «Alpilles» et le centre d’instruction des équipages d’hélicoptères (CIEH) 00.341 «Maurienne». La maintenance de leurs appareils est effectuée par l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) d’Orange, en charge également de la flotte des Mirage 2000 de la base.

 

L’armée de l’air a débuté la certification de ses aéronefs en septembre 2007, s’inscrivant dans la démarche «navigabilité».

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 18:10

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-octobre-2011/retour-des-pilotes/1425324-1-fre-FR/retour-des-pilotes.jpg

 

25/10/2011 defense.gouv.fr

 

Lundi 24 octobre 2011 après-midi, quatre Mirage F1 en provenance de la base grecque de La Sude en Crète se sont posés sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, leur base d’affectation.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-octobre-2011/mirage-f1-de-retour-a-mont-de-marsan/1425314-1-fre-FR/mirage-f1-de-retour-a-mont-de-marsan.jpg

 

Sur le tarmac montois, un comité d’accueil attendait le retour des quatre pilotes aux commandes de leurs appareils. Le colonel Guillaume Letalenet, commandant la base de Mont-de-Marsan, a tenu à féliciter ces aviateurs de retour d’opérations, en compagnie de pilotes de l’escadron de reconnaissance 2/33 «Savoie».

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-octobre-2011/mirage-f1-alignes-sur-le-parking/1425319-1-fre-FR/mirage-f1-alignes-sur-le-parking.jpg

 

Le même jour, deux autres appareils de l’armée de l’air, des Mirage 2000D, ont également été redéployé de La Sude, à destination cette fois-ci de la base aérienne 133 de Nancy. Prochainement, d’autres aviateurs doivent être, à leur tour, redéployés, notamment sur les bases aériennes de Cazaux et d’Istres.

 

La France est engagée dans les opérations militaires en Libye, dans le cadre de l’opération Harmattan, depuis le 19 mars 2011. Le dispositif mobilisé a été adapté en permanence depuis le début des opérations avec des redéploiements successifs pour se rapprocher de la zone d’opérations (à La Sude puis à Sigonella en Italie).

 

Un point sur le dispositif français en Libye sur le site de l’état-major des armées

 

http://www.defense.gouv.fr/operations/autres-operations/operation-harmattan-libye/actualites/libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais

 

Retrouvez également le dossier complet de l’opération Harmattan

 

http://www.defense.gouv.fr/operations/autres-operations/operation-harmattan-libye/dossier/l-operation-harmattan

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 17:05

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/dga/l-cat/le-eda-r-est-un-engin-de-debarquement-unique-au-monde-credit-cnim/1016679-1-fre-FR/le-eda-r-est-un-engin-de-debarquement-unique-au-monde-credit-cnim.jpg

source defense.gouv.fr - ctrédits photo CNIM

 

25 October 2011 by CNIM - naval-technology.com

 

The first vessel of the L-CAT family, the EDA-R n°1 (Engin de Débarquement Amphibie - Rapide / Fast Amphibious Landing Catamaran) made by CNIM for the French Navy entered the harbour of La Seyne sur Mer (Var) at the end of June where the sea trials started in the context of the contract of 8 ships made by the French Army in 2010.

 

The trials which began end of August will be followed, in the forthcoming weeks, by loading and off-loading trials with different military vehicles on various sites (beaches, ramps, quays) as well as connection trials in relation with different ship types (Landing Barges (ex. Foudre) or TCP (ex. Mistral). The EDA-R n°1 will be delivered to the French Navy for admission in the month of October.

 

The EDA-R n°2 will arrive in La Seyne sur Mer soon and deliver to the French Navy by the end of the year. The two remaining EDA-R vessels of this series of 4 vessels will be delivered in 2012.

 

The delivery of the first EDA-R to the French Navy is the result of CNIM's major effort covering several years and the strong implication of CNIM's teams to create new and innovative landing crafts in order to place EDA-R as the best in its category.

 

The vessels extraordinary performances, in terms of ships speed, manoeuvring and loading/unloading capabilities, have been confirmed by the first of series are decisive for the next target, an EDA-R in service with a foreigner navy.

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 12:55

http://www.sudouest.fr/images/2011/10/25/les-pilotes-devant-les-mirage-f1-qu-ils-viennent-de-ramener_544158_460x306.JPG

 

Les pilotes devant les Mirage F1 qu'ils viennent de ramener à bon port. Le colonel Letalenet (à droite) les a félicités un par un. photo Pascal Bats

 

25.102011 François Renaut -sudouest.fr

 

Quatre Mirage F1 et autant de pilotes engagés en Libye dans le cadre de l'intervention de l'Otan sont rentrés hier. Un moment d'émotion.

 

La perspective se faisait imminente depuis la mort du colonel Kadhafi la semaine dernière. Secret oblige, l'information n'est tombée qu'hier en fin de matinée. À 14 h 15, quatre Mirage F1 de la base aérienne 118 vont se poser à Mont-de-Marsan en provenance de Libye.

 

Une petite réception se monte en toute hâte. Le champagne est mis au frais. Un rassemblement se crée aux abords du tarmac.

 

« C'est super émouvant ces moments-là », commente un officier. « Ils retrouvent leur famille. »

 

En attendant le retour des guerriers, le colonel Guillaume Letalenet, commandant de la base, savoure le moment. C'est forcément un moment particulier. « C'est surtout le sentiment du devoir bien fait et accompli. Pendant que les autres prenaient des vacances, l'armée de l'air était là nuit et jour. »

 

Il souhaite que la fierté qui l'anime « se propage à l'ensemble de la ville et de l'agglomération. Cette mission a été très médiatisée, parce qu'elle était à risques, parce que ça se passait à nos frontières. »

 

À 14 h 20, les Mirage survolent la base une première fois. Leur deuxième passage est ponctué d'un « break tactique » (comprenez une dispersion aérienne). « Ils sont contents de rentrer », apprécie Ben (1), le commandant en second de l'escadron. Un escadron nouvellement basé à Mont-de-Marsan puisque venu de Reims au mois de juillet consécutivement à la fermeture de la base locale.

 

Une bombe, un pictogramme

 

La mission de ses hommes en Libye -ils étaient basés en Grèce- était double. Appui aérien et frappes au sol d'un côté, reconnaissance de l'autre. Ils peuvent prendre des images de jour comme de nuit. Dans le cadre de la guerre électronique dans laquelle sont impliqués d'autres militaires de la base, ils sont également à même d'enregistrer les fréquences des systèmes d'armement de l'ennemi.

 

Les frappes au sol ont une traduction directe sur la carlingue des appareils désormais impeccablement rangés sur le tarmac. Chaque bombe larguée est symbolisée d'un pictogramme. Un F1 en cumule plus d'une douzaine, un autre aucune, les deux autres se situent au milieu.

 

Sous chaque appareil, une forme ovoïde qui ressemble à de l'armement mais qui n'en est pas puisqu'il s'agit d'un réservoir de carburant complémentaire.

 

Ben a attendu que les moteurs cessent de vrombir. « C'est toujours sympa de les voir rentrer. Ils étaient absents depuis un bon moment. Avec leur retour, l'escadron est de nouveau au complet. On a été beaucoup engagés ces derniers temps, c'est la première pause depuis longtemps. »

 

Un à un, les pilotes sont descendus de leur Mirage. Ces jeunes hommes ont l'air détendu, ils sont souriants, contents de rentrer à la maison. Autour d'eux un petit attroupement se fait. Bises, poignées de main, tapes voire bourrades dans le dos… Les signes amicaux sont divers, sincères surtout.

 

Champagne sur le tarmac

 

Les coupes de champagne trinquent. Tout le monde pose pour une photo de famille devant les avions. « On n'a pas monté un show pour vous (la presse, NDLR) », sourit Ben. « Ça se passe toujours comme ça dans ces cas-là. Maintenant, ils vont partir pour une ou deux semaines de perm. »

 

Parmi les valeureux qui vont partir en perm, il y a Cox (c'est son nom de guerre). Les bras encombrés de son bardage, des cartes plein les poches, il dit son bonheur d'être rentré à défaut des détails de sa mission qu'il n'est de toute façon pas autorisé à divulguer.

 

Il y a du soulagement chez lui. « Tant qu'on n'est pas posé, on n'est pas arrivé. »

 

De l'émotion aussi. « C'est toujours un grand moment de revenir dans son escadron après une guerre, si on peut appeler ça comme ça. Dans ces cas-là, ça peut très mal se passer ou très bien. Ça s'est très bien passé. »

 

Le temps d'une pause, il poursuit pour souligner « l'accueil des collègues, leur joie qu'on soit toujours en vie, qu'on ait ramené les avions entiers… Là, en plus, on sent qu'on a participé à quelque chose d'important. »

 

(1) Par souci de confidentialité, il nous a été demandé, autant que faire se peut, de ne pas faire figurer d'identité.

 


La BA sur de nombreux fronts

 

Le colonel Letalenet ne rentre pas dans les détails mais il livre les grandes lignes de l'intervention de la BA 118 en Libye. « Le 17 mars, l'ONU a voté la résolution d'une intervention militaire contre Kadhafi, le 19, les premiers avions de combat français y sont partis. » L'escadron néo-montois encore à Reims à ce moment-là a envoyé des avions dès le 28 mars.

 

« Depuis le 1er jour du conflit, des personnels de la base sont mobilisés. Pas que des avions, du soutien, de la logistique, des spécialistes de la guerre électronique aussi qui ont été dépêchés dans la plus grande urgence. » L'évolution de la situation en Libye a fait qu'il a été décidé un redéploiement des forces engagées. D'où le retour à Mont-de-Marsan des quatre Mirage F1. « Ils restent en alerte », précise le colonel.

 

En Libye et sur les bases de l'Otan en Grèce et en Italie, une soixantaine de personnels de la base reste encore engagée. On en retrouve dans d'autres endroits du monde : en Afghanistan, au Gabon, au Sénégal…

 

« Au total, aujourd'hui, on doit avoir environ 120 militaires de la base en opérations extérieures. »

 

J.-F. R.

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 12:55

http://www.meretmarine.com/objets/500/12424.jpg

Le BPC Tonnerre

crédits : JEAN-LOUIS VENNE

 

 

24.10.2011 MER et MARINE

 

Le 22 octobre, au lendemain de la mort du colonel Kadhafi et de la prise de Syrte, la Task Force 473 a quitté la zone d'opérations, au large de la Libye, pour regagner Toulon. La TF s'articulait autour du bâtiment de projection et de commandement Tonnerre, qui embarquait des hélicoptères Tigre, Gazelle et Puma de l'armée de Terre, ainsi que des Caracal de l'armée de l'Air. Le BPC était accompagné des frégates Chevalier Paul et Montcalm, ainsi que d'un sous-marin nucléaire d'attaque, les unités de surface étant soutenues par un train de pétrolier-ravitailleurs. Seul l'aviso Commandant Birot demeure sur place, intégré à la composante maritime de l'OTAN. A Toulon, la TF 473 est néanmoins prête, en cas de besoin, à reprendre la mer : « Suivant l'évolution de la situation au sol, le rythme des opérations de la coalition a été adapté ce qui entraîne un redéploiement des moyens français en France, où ils restent en alerte, prêts à être réengagés dans les opérations en Libye en cas de besoin. Jusqu'à 4200 militaires français ont été engagés dans les opérations en Libye. La France maintient aujourd'hui son engagement auprès de ses alliés et partenaires dans le cadre de l'opération Unified protector de l'OTAN et en protection de la population Libyenne avec 2400 militaires mobilisés, qui opèrent sur zone et depuis la France, ou en alerte », souligne l'Etat-major des Armées.
Concernant le dispositif aérien, l'EMA précisait le 24 octobre que la France maintenait 6 Mirage 2000D, 4 Mirage 2000N et un avion de patrouille maritime Atlantique 2 à La Sude (Crète) ; ainsi que 5 Rafale Air et un drone Harfang à Sigonella (Italie). S'y ajoutent des avions radars E-3F et de ravitaillement C135 opérant depuis le territoire français.


(© : MARINE NATIONALE)

La France est engagée depuis le 19 mars en Libye dans le cadre de l'opération Harmattan, sous mandat de l'ONU. En plus des forces aériennes, la Marine nationale a eu un rôle déterminant en engageant, au fil des mois, la quasi-totalité de ses moyens disponibles, à commencer par le porte-avions Charles de Gaulle et son groupe aérien embarqué (Rafale Marine, Super Etendard Modernisés, Hawkeye), les BPC Mistral et Tonnerre, les frégates antiaériennes Forbin, Chevalier Paul, Cassard et Jean Bart, les frégates anti-sous-marines Dupleix, Montcalm et Jean de Vienne, les frégates furtives Courbet, Guépratte et Aconit, ainsi que plusieurs sous-marins nucléaires d'attaque (sans oublier les avisos, ravitailleurs et ATL2). Ces unités ont assuré à la maîtrise de l'espace aéromaritime libyen, participant aux frappes contre les forces terrestres et aériennes kadhafistes, pilonnant les unités côtières, repoussant plusieurs raids nautiques et maintenant l'embargo maritime sur le pays, tout en protégeant des convois humanitaires au profit des populations libyennes.

 

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 12:20

http://www.ordredelaliberation.fr/images/compagnon/bordas.jpg

photo ordredelaliberation.fr

 

25/10/2011 Communiqué de monsieur Marc Laffineur, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants

 

Marc Laffineur, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants, a appris avec une profonde émotion le décès samedi, à l’âge de 90 ans,

 du général Henri de Bordas.

 

Avec sa disparition, la France perd l’une des figures héroïques de la Libération, dont le courage, la bravoure et le sens de l’engagement exemplaires ont sauvé de nombreuses vies et contribué aux succès des Forces françaises libres.

 

Marc Laffineur salue ce pilote d’exception qui mit sa vie au service de la Nation. Détaché à l’état-major particulier du général de Gaulle à la présidence de la République, puis général de division aérienne et conseiller du Gouvernement pour les questions de défense, Henri de Bordas n’a eu de cesse d’œuvrer pour la modernisation et l’excellence de notre défense nationale.

 

A sa famille et à ses proches, le secrétaire d’État adresse ses condoléances les plus attristées.

 

 


 

Biographie d'henri de Bordas - par l'Ordre de la Libération

 

http://www.charles-de-gaulle.org/media/la-fondation/exposition_itinerante/chevalerie-7.jpg

 

Henri de Bordas est né le 4 octobre 1921 à Montpellier. Grand blessé de 1914-18, son père était officier en retraite.


Encore étudiant, il choisit d'embarquer le 24 juin 1940, à Port-Vendres, sur l'Apapa qui, via Gibraltar, le conduit début juillet 1940 en Angleterre.


Arrivé à Liverpool, il rejoint la France libre le 25 juin 1940. Incorporé dans les Forces aériennes françaises libres le 15 juillet 1940, il est envoyé dans les écoles de pilotage de la Royal Air Force.


Pilote de chasse à partir de juin 1942 dans les Squadrons de la RAF (242–131-91), puis FAFL (340-341-329), il participe à toutes les opérations aériennes, en particulier à Dieppe en août 1942, aux attaques de navires ennemis et à la chasse aux V1 en 1944.


Lieutenant en septembre 1943, il prend part au débarquement allié du 6 juin 1944, puis aux campagnes de Hollande et d'Allemagne.

Promu au grade de capitaine en septembre 1944, Henri de Bordas termine la guerre au commandement du Squadron 329 (Groupe de chasse 1/2 « Cigognes ») et totalise plus de 480 heures de vol de guerre comportant plus de 140 missions offensives et 180 missions défensives.

 

 

Il est titulaire de 11 victoires aériennes dont 10 V1 abattus.


De 1946 à 1951, il est successivement affecté à la 2e escadre de chasse, à l'inspection de l'aviation de chasse, au centre d'essais en vol de Brétigny, à la Délégation française au Comité permanent de l'Europe occidentale à Londres.


De 1952 à 1954, il commande le Centre de Transformation des avions à réaction de Mont-de-Marsan puis devient, de 1955 à 1958, attaché de l'Air à l'Ambassade de France à Washington.


Conseiller technique au cabinet du général de de Gaulle, président du Conseil, de juin 1958 à janvier 1959, le lieutenant-colonel de Bordas sera détaché à deux reprises à l'Etat-major particulier du Général à la Présidence de la République.


Promu colonel en 1960, il est de nouveau attaché de l'Air mais à l'Ambassade de France à Londres de 1962 à 1966. Promu au grade de général de brigade aérienne en juillet 1966, il commande en 1969 la IVème région aérienne (Aix-en-Provence) puis le transport aérien militaire. Il reçoit ses étoiles de général de division aérienne en 1971 puis de général de corps aérien en 1976.


Henri de Bordas devient conseiller du gouvernement pour les questions de défense et inspecteur technique de l’Armée de l’Air. Il préside la Fondation pour les Etudes de Défense nationale de 1977 à 1983.


Il est nommé membre du Conseil de l'Ordre de la Libération (décret du 16 mars 1995).


Henri de Bordas est décédé le 22 octobre 2011 à Saint-Mandé dans le Val de Marne.


• Grand Croix de la Légion d'Honneur
• Compagnon de la Libération - décret du 28 mai 1945
• Grand Croix de l'Ordre National du Mérite
• Croix de Guerre 1939-45 (7 citations)
• Médaille de la Résistance avec rosette
Croix du Combattant 39/45

• Médaille Commémorative des Services Volontaires dans la France Libre
• Médaille de l'Aéronautique
• Distinguished Flying Cross (GB)
• Air Medal (USA)
• Commandeur de l'Ordre du Nicham Iftikar
• Commandeur de l'Ordre de l'Etoile Noire du Bénin

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 12:00

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/01/766790683.jpg

 

25.10.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Puisque "la menace d'attaques organisées contre la population civile a disparu", comme l'a déclaré, lundi, le général canadien Charles Bouchard, qui dirige l'opération Protecteur unifié depuis Naples (Italie), le dispositif militaire allié va être revu à la baisse.

 

L'EMA a ainsi annoncé un "redéploiement des moyens français en France, où ils restent en alerte, prêts à être réengagés dans les opérations en Libye en cas de besoin." Selon les éléments diffusés par l'EMA (cliquer ici pour aller le site de l'EMA), le dispositif militaire français s'articule désormais autour :

 

-  d'un dispositif sur zone :

  • 16 aéronefs déployés à La Sude (6 Mirage 2000D et 4 Mirage 2000N) et à Sigonella (5 Rafale et un drone Harfang) ;
  • un bâtiment engagé au sein de la force navale de l'OTAN.

-  d'un dispositif d'appui et de soutien qui opère depuis la France (E3F et C135F) ;

 

-  d'un dispositif en alerte en France :

  • une force navale, la TF 473, avec son état-major, le BPC Tonnerre, un groupe aéromobile, un plot RESCO, deux frégates, un SNA et un bâtiment de soutien ;
  • un détachement de Mirage 2000D et un détachement de Mirage 2000N ;
  • un ATL2.
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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 07:55

http://www.e-alsace.net/documents/site/actiboximage/smallnews-News/115-170/jean-marie-bockel.jpg

 

24 octobre 2011 e-alsace.net

 

Le sénateur Jean-Marie Bockel a été chargé de rapports, sur la cyber défense et sur le soutien à la politique de défense, par la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat.

 

Les deux rapports concerne d'une part la cyber défense, tandis que l’autre concerne le soutien à la politique de défense de la France. Ce dernier point couvre le sujet du nouveau siège du ministère de la Défense dont la construction a été annoncé en milieu d'année. Le projet est baptisé "Pentagone Français" en référence au Pentagone américain car il va regrouper  toutes les administrations sur un même site de plus de 30.000 m².

 

Le point du rapport du sénateur alsacien concerne également l’administration centrale, les musées, les services d’archives et la communication des armées.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 21:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/harmattan/111024-libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais/libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais-12/1423563-2-fre-FR/libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais-1.jpg

 

24/10/2011 Sources : EMA

 

Le 24 octobre 2011, le dispositif militaire français engagé dans les opérations maritimes et aériennes en Libye commence son redéploiement.

 

Suivant l’évolution de la situation au sol, le rythme des opérations de la coalition a été adapté ce qui entraîne un redéploiement des moyens français en France, où ils restent en alerte, prêts à être réengagés dans les opérations en Libye en cas de besoin.

 

Le 22 octobre, la TF 473 (articulée autour de l’état-major embarqué sur le BPC Tonnerre, le BPC, le groupe aéromobile et le plot RESCO, deux frégates, un bâtiment de soutien et un sous-marin nucléaire d’attaque) ont quitté la zone d’opérations et rallient Toulon où elle prendra l’alerte à partir de demain.

 

A La Sude en Grèce, un avion de surveillance maritime Atlantique 2 a été redéployé, 2 Mirage 2000D et 4 Mirage F1 CR sont redéployés aujourd’hui en France.

 

Le dispositif militaire français s’articule désormais autour :

 

-  d’un dispositif sur zone :

 

    12 aéronefs déployés à La Sude (6 M2000D et 4 M2000N) et à Sigonella (5 Rafale et un drone Harfang) ;

    un bâtiment engagé au sein de la force navale de l’OTAN.

 

-  d’un dispositif d’appui et de soutien qui opère depuis la France (E3F et C135F) ;

 

-  d’un dispositif en alerte en France :

 

    une force navale, la TF 473, avec son état-major, un BPC, un groupe aéromobile, un plot RESCO, deux frégates et un bâtiment de soutien ;

    un détachement de Mirage 2000D et un détachement de Mirage 2000N ;

    un ATL2.

 

La France est engagée dans les opérations militaires en Libye, dans le cadre de l’opération Harmattan, depuis le 19 mars 2011. Le dispositif mobilisé a été adapté en permanence depuis le début des opérations avec des redéploiements successifs pour se rapprocher de la zone d’opérations (à La Sude puis à Sigonella), et l’engagement de capacités adaptées aux missions (engagement du porte-avions Charles de Gaulle et du groupe aérien embarqué jusqu’en août 2011, engagement d’un BPC et du groupe aéromobile depuis début juin, engagement d’un drone depuis août 2011 etc.).

 

Jusqu’à 4 200 militaires français ont été engagés dans les opérations en Libye. La France maintient aujourd’hui son engagement auprès de ses alliés et partenaires dans le cadre de l’opération Unified protector  de l’OTAN et en protection de la population Libyenne avec 2 400 militaires mobilisés, qui opèrent sur zone et depuis la France, ou en alerte.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/autres-operations/harmattan/111024-libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais/libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais-22/1423563-3-fre-FR/libye-point-de-situation-dispositif-militaire-francais-2.jpg

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 21:15

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-octobre-2011/la-fusee-soyouz-au-decollage/1423292-1-fre-FR/la-fusee-soyouz-au-decollage.jpg

 

La fusée Soyouz au décollage

 

24/10/2011 Armée de l'air Source : CDAOA

 

La fusée russe Soyouz a décollé, pour la première fois, du centre spatial guyanais de Kourou, vendredi 21 octobre à 12h30 (heure de Paris), en emportant à son bord deux satellites probatoires du système de navigation européen Galileo, futur concurrent du GPS américain.

 

Afin de garantir au lancement une sécurité totale, un dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA) a été mis en œuvre par le commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA). Ce dispositif était composé d’un radar de détection et d’hélicoptères Fennec de la base aérienne de Cayenne, ainsi que de systèmes de défense sol-air Mistral, armés par le 3e régiment étranger d'infanterie (REI) de Guyane.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-octobre-2011/un-helicoptere-fennec-survolant-le-pas-de-tir-de-kourou/1423297-1-fre-FR/un-helicoptere-fennec-survolant-le-pas-de-tir-de-kourou.jpg

Un hélicoptère Fennec survolant le pas de tir de Kourou

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:15

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/02/00/1677312164.jpg

 

24.10.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Lu en dernière page d'Ouest-France ce matin. Mon confrère Yan Duvivier (avec la photographe Béatrice Legrand) sont allés à la rencontre de deux bérets verts, l'un de 89 ans (Léon Gautier), l'autre de 44 ans (Gérard Wille). Particularité: le premier est le grand-père du second. Portraits croisés de deux commandos marine.

 

Le béret vert unit le grand-père et son petit-fils

 

Léon Gautier est un héros de la Seconde Guerre mondiale, ancien membre du commando Kieffer. Gérard Wille forme les commandos fusiliers de demain. Ce week-end, le grand-père a honoré son petit-fils, coiffé du même béret vert. Entre Bretagne et Normandie, une histoire de famille au sein d'un corps d'élite.

 

« Mon petit-fils avait 4 ans, peut-être 6... Un jour où je participais à une cérémonie commémorative chez moi, à Ouistreham, il s'est planté devant la stèle du commandant Kieffer, l'a salué et a lancé : 'Je serai commando, comme mon papy, et comme lui, j'aurai un Béret vert.' Et Gérard a tenu parole », s'enorgueillit Léon Gautier, né à Rennes il y aura bientôt 89 ans.

 

« C'était la réflexion d'un petit garçon », tempère l'intéressé, Gérard Wille, grand gaillard de 44 ans au regard bleu acier.

 

Ce vendredi, sur la place de Lanester, dans le Morbihan, siège de la base des commandos depuis 1856, ce fils de gendarme fait face à son papy : Léon Gautier, l'un des douze survivants de l'emblématique commando Kieffer.

 

Le 6 juin 1944, commandés par le capitaine de corvette Philippe Kieffer, ces 177 soldats qui ont rejoint les Forces françaises libres en Angleterre entre 1940 et 1942 ont été les premiers à poser le pied en Normandie. Durant la longue campagne de reconquête qui a mené à la Libération de la France, 27 ont été tués au combat. Seuls 24 ont terminé la guerre sans être blessés.

 

Parmi eux : Léon Gautier, ce petit homme au visage jovial qui claudique maintenant jusqu'à son petit-fils d'un bon mètre quatre vingt-dix. Une centaine de fusiliers marins ont déjà reçu leur fourragère, cette cordelette tressée portée à l'épaule gauche de l'uniforme. C'est au tour du lieutenant de vaisseau d'être décoré. Tout en sobriété, le grand-père lui accroche la Croix de la valeur militaire sur la poitrine. Elle vient récompenser les missions de renseignement que son petit-fils a conduites dans l'océan Indien en qualité de chef d'une équipe de Forces spéciales.

 

Protocole respecté. Rien n'a trahi leur émotion. Mais plus tard, à l'écart de la cérémonie, Gérard Wille confiera : « C'était un honneur à titre militaire et sur le plan affectif, c'était quelque chose de grand »...

 

Pourtant, lorsqu'il est entré dans les commandos, il a caché sa filiation, « par pudeur ou humilité ». Aujourd'hui, il l'assume mais se défend : « Je n'ai jamais essayé de faire aussi bien que mon grand-père, jamais recherché l'identification. On ne peut pas comparer mes actes avec les siens. Lui a évolué dans un contexte de guerre, même si dans le nôtre, la menace est toujours présente... »

 

« J'ai caché cette filiation »

 

Et puis, résume Patrick, proche de la famille et commando lui-même : « Léon Gautier, c'est le monument de la spécialité, le président de tous les commandos de France ». Un homme d'honneur sur tous les points puisqu'il a aussi tenu la promesse faite à celle qui devait devenir son épouse.

 

« C'était en 1943, à Douvres, j'étais ingénieure du téléphone lorsque nous nous sommes fiancés, se souvient Dorothy, avec son accent so british. Je lui ai dit : 'Si tu ne reviens pas blessé, on se marie' ». Ce qu'ils ont fait, le 14 octobre 1944. « Depuis, Léon dit que je suis son butin de guerre », s'esclaffe-t-elle du haut de ses 86 années.

 

Elle a traversé la Manche, s'est investie avec son époux et leur fille Jacqueline - la maman de Gérard - dans leur petit musée d'Ouistreham, baptisé n° 4 Commando. Là, sept mois dans l'année, ils accueillent notamment des scolaires. Histoire « de maintenir la flamme, de transmettre la mémoire ». À la grande satisfaction d'André Ledran, maire de la commune normande : « Lors des visites, la présence de Léon apporte une charge émotionnelle que ne véhiculerait aucun autre intervenant. »

 

Quant au petit-fils, il forme les commandos de demain au sein de l'école des fusiliers marins. Au nombre de 400, ils exécutent des opérations spéciales partout dans le monde, dans toutes les conditions. Le lieutenant de vaisseau compte lui-même « vingt-six années de service, dont vingt-et-une opérationnelles sur tous les théâtres d'opérations connus ».

 

Ce père de quatre enfants sait pouvoir être rappelé à tout moment. Ce que comprend mais craint son grand-père : « Il faut toujours être vigilant car la guerre, c'est la misère. » Son petit-fils lui parle-t-il de ses missions ? « Même lorsqu'il est monté en grade, sourit Léon Gautier, je ne l'ai pas su. » Fort de ses multiples qualifications, Gérard Wille est aujourd'hui « certifié commando à vie ». Rien ne pourra jamais empêcher le petit-fils et son grand-père de continuer à respecter la devise de leur corps d'élite : « Commando un jour, commando toujours... ».

 

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:10

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/f/f0/Logo_Gendarmerie_Nationale_Francaise.jpg

 

Oct 24, 2011 ASDNews Source : European Aeronautic Defence and Space Company EADS N.V.

 

One of the stages in the modernisation of the RUBIS network has led the Cassidian teams onto the highest radiocommunication site in France which is located on the Aiguille du Midi in the Mont Blanc mountain range at an altitude of more than 3,800 m.

 

The RF links were successfully deployed with no operational disruptions affecting the security forces, despite of the harsh environment and difficulty in working at this altitude, where physical capacities are reduced by 30 to 40%.

 

These operations come under the framework of the ICSFH contract (Infrastructure de Communication Securisee par Faisceaux Hertziens - Secured Radiofrequency Communication Infrastructure), awarded by the French Ministry of the Interior on 11 August 2010. This four-year contract envisages the installation of a new high-resilience broadband communication network to cover the current and future needs of the French National Gendarmerie force and the Ministry of the Interior in terms of voice and data communications in Metropolitan France and its overseas territories.

 

Lieutenant Colonel Gilles Martin, who manages the National Gendarmerie's operational communication systems, emphasises the importance of this project: "The development of the RUBIS network towards 'all IP' and particularly the development of its national RF component is fully in line with the strategy of enhancing existing infrastructures and preparing for the future as economically as possible, with ICSFH paving the way for future technologies."

 

The Ministry of the Interior has reaffirmed its confidence in Cassidian by selecting it as industrial prime contractor for the deployment and through-life support of the RF connections linking the RUBIS radiocommunication sites operated by the French National Gendarmerie As part of this contract, Cassidian has teamed up with Aviat Networks, market leader in the design and implementation of RF equipment.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 11:55
Smart-SIC Analyzer : la crypto-analyse au service de la sécurité


24/10/2011  Clémentine Lerat-Vivien

 

Protéger les secrets et vérifier la fiabilité des systèmes de cryptographie embarqués, voici les missions du Smart-SIC Analyzer développé par la société Secure-IC, en collaboration avec la DGA. Commercialisé depuis mars 2011, ce logiciel est une parade aux attaques des « crypto-criminels ».

 

Téléphones, cartes bancaires, passeports électroniques, missiles… tous les produits qui contiennent des informations sensibles sont aujourd’hui protégés grâce à la cryptographie. Cette science permet d’encoder des informations pour les protéger. Cependant, qu’ils soient civils ou militaires, ces crypto-systèmes sont des cibles de choix pour des personnes mal intentionnées. Il est donc indispensable de vérifier leur robustesse face aux attaques.

 

DGA, Secure-IC, un partenariat gagnant-gagnant

« Dans le cadre d’une procédure Rapid avec la DGA sur un projet qui consistait à concevoir des mécanismes de protection pour des passeports électroniques, nous avons dû réfléchir à un moyen de vérifier la robustesse de ces mécanismes », explique Guillaume Poupard, responsable du pôle sécurité des systèmes d'information à la DGA. En 2009, Secure-IC a donc décidé de développer, en collaboration étroite avec la DGA un système permettant de répondre à ce besoin exprimé. Deux ans plus tard, en mars 2011, le Smart-SIC Analyzer était né.

 

Une plate-forme logicielle très performante

« Dans la plupart des réseaux de haut niveau de sécurité comme celui de la défense, on utilise des chiffreurs dans le but de masquer l’information afin de la rendre non intelligible par quelqu’un qui l’intercepterait », explique Guillaume Poupard. Le Smart-SIC Analyzer permet de vérifier que les composants cryptographiques, comme ces chiffreurs, sont inviolables. « Par exemple, pour tester une carte à puce, on l’insère dans un lecteur spécial appareillé de différentes sondes. Nous envoyons simultanément des commandes à la carte et nous regardons via ces sondes comment elle réagit », détaille Guillaume Poupard. « Nous allons même plus loin ! complète Hassan Triqui, cofondateur et président de Secure-IC. Il ne faut pas se contenter de dire si le système est sûr ou pas ! Notre analyse permet de quantifier la fuite du système, avec une précision en bits par seconde. » Effectivement, chaque équipement appareillé d’un système de carte à puce émet plus ou moins de « bruit », c’est ce qu’on appelle la fuite. Une des attaques les plus critiques consiste à enregistrer et analyser ces émissions électromagnétiques (consommation et variation de courant d’une puce) car leur simple étude peut amener à la découverte des informations qu’elle renferme. Ce logiciel analyse ainsi toutes ces mesures afin d’observer si de l’information intelligente, compréhensible et exploitable peut en être extraite. Une analyse très précise en termes de « métrique sécurité » qui quantifie l’ampleur de la fuite et permet de mettre en échec les « crypto-criminels » qui rivalisent d’imagination pour extraire des informations sensibles (conversations téléphoniques, coordonnées bancaires, coordonnées géographiques stratégiques…).

 

Toujours en pointe

Face aux énergies considérables qui sont déployées par les attaquants, Secure-IC doit soutenir un effort constant de R&D afin d’être en pointe et proposer toujours plus de sécurité. C’est pourquoi l’achat de ce système inclut la maintenance et les mises à jour. Le Smart-SIC Analyzer permet de tester les algorithmes de chiffrement avant qu’ils ne soient embarqués à bord d’un missile comme d’un téléphone, mais ces systèmes doivent être constamment remis en question. « Nous avons très récemment vendu le Smart-SIC Analyzer à un opérateur télécom. Cette société pourra ainsi proposer très prochainement à ses clients plus de sécurité, en matière de communications ou de paiements électroniques. Nous l’accompagnerons tout au long de sa démarche », explique Hassan Triqui.

 

Coopérer sans tout divulguer

Hormis la précision du logiciel et l’assistance à sa clientèle, Secure-IC se démarque de la concurrence par sa simplicité d’utilisation. « Nous avons énormément travaillé sur l’ergonomie avec, par exemple, la mise en œuvre d’applications tactiles sur nos appareils », indique Hassan Triqui. Toujours dans un souci de satisfaire sa clientèle, Secure-IC a conçu le Smart-SIC Analyzer de façon à ce qu’il soit parfaitement adapté à chaque demande. Les utilisateurs peuvent ainsi enrichir eux-mêmes le logiciel grâce à des interfaces modulables et la possibilité d’y apporter leurs propres algorithmes. Ainsi les secrets de fabrication des produits testés sont bien gardés. Seul l’industriel en garde les clefs. Un atout non négligeable pour le Smart-SIC Analyzer qui est déjà promis à un brillant avenir !

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 06:55

http://defense-update.com/wp-content/uploads/2011/10/gowind590.jpg

 

L’Adroit was handed over to the French Navy on October 21, 2011 for a period of three years. DCNS is also offering this OPV class for the South AFrican Navy, through a cooperation with the South African shipyard KND. Photo: DCNS

 

23.10.2011 DEFENSE UPDATE

 

GOWIND class Offshore Patrol Vessel (OPV) designed and built by DCNS as a company funded program is leading the company’s vision of future maritime safety & security (MSS) and counter-piracy vessels.

 

The lead ship of this class, L’Adroit has a length of 87 metres, an at-sea endurance of 3 weeks and a range of 8,000 nautical miles. With a top speed of 21 knots, the vessel has a helicopter flight deck accommodating a vertical take-off and landing (Schiebel S-100) supporting unmanned aerial vehicle (UAV) operations. It is designed for reduced crewing, with a complement of 30 and space for 30 passengers.

 

The ship features a number of major innovations for navies, commandos and coastguards: 360° panoramic visibility from the bridge, a single integrated mast for 360° radar coverage, covert deployment of fast commando boats in less than 5 minutes and provision for UAVs and USVs (unmanned surface vehicles). The vessel is also equipped with teleconferencing facilities and long-range acoustic devices.

 

In addition to its autonomous operation at sea, GOWIND class ships are also designed with network enabled information technology extending area surveillance and control through shore-based control centers and other networked ships, sharing workload and mission data to automatically detect suspicious behavior by ships and other craft.

L’Adroit was handed over to the French Navy on October 21, 2011 for a period of three years. The vessel will be under the command of Captain Loïc Guyot, while remaining the property of DCNS. With two French Navy crews rotating every four months, L’Adroit is expected to offer a high level of at-sea availability, spending 220 days a year on operational missions performing maritime security missions including fisheries surveillance, counter-piracy, drug interdiction, environmental protection, humanitarian aid, and search & rescue.

 

In September 2011 DCNS and KND have signed a memorandum of understanding (MoU) for the promotion, construction and sale of offshore patrol vessels (OPVs) in South Africa. The purpose of the agreement is to win new OPV contracts, first in South Africa and subsequently in other sub-Saharan African nations. KND operates industrial facilities at the Simon’s Town naval dockyard, near Cape Town. The company has full proficiency with the production methods associated with this type of vessel and is currently building six fast patrol boats for a West African nation.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 06:40

http://s2.lemde.fr/image/2011/04/13/540x270/1507171_3_1eb3_un-rafale-decolle-du-porte-avions.jpg

 

Un rafale décolle du porte-avions "Charles-de-Gaulle" pour une mission en Libye, le 12 avril 2011.AP/Christophe Ena

 

23.10.11 LEMONDE.FR avec AFP

 

Le ministre de la défense, Gérard Longuet, a donné une estimation du coût direct pour la France de l'opération militaire internationale en Libye contre les forces du colonel Kadhafi. "On va tourner à un petit peu au-delà de 300 millions d'euros en coût direct", soit "un tiers du budget" des Opérations extérieures (Opex) de l'armée françaises pour 2011, a-t-il déclaré au "Grand rendez-vous" Europe 1, Itélé, Le Parisien.

 

M. Longuet a estimé que les incertitudes qui demeurent sur les circonstances de la mort jeudi de Mouammar Kadhafi n'arrangent "personne". "Au contraire, nous aurions aimé tout comprendre et tout savoir. Pourquoi cet homme qui en 2003 avait accepté de renoncer au terrorisme, avait été réintégré dans l'ordre international (...) a basculé dans le délire total ?", a-t-il demandé.

 

Interrogé sur les images de Kadhafi peu avant sa mort, M. Longuet a estimé que "le visage ensanglanté ne doit pas faire oublier tous les visages ensanglantés depuis 40 ans", et l'instauration du régime de Kadhafi.

 

Le ministre a rappelé que "la commission des droits de l'homme de l'ONU a demandé une enquête" sur les circonstance de la mort de l'ancien leader libyen". "Nous faisons partie des Nations-Unies, nous bénéficierons de cette enquête". "Ce qui s'est passé à terre, nous ne le savons pas. Puisque par définition, depuis le 19 mars nous ne sommes pas à terre. Il y a une demande des Nations-Unies, faisons en sorte que le CNT réponde à cette demande", a-t-il poursuivi.

 

M. Longuet s'est déclaré "très attentif" aux divisions au sein du CNT : "Un pays qui se reconstruit après 40 ans de dictature, qu'elle est sa structure sociale, politique (...) ? Nous ne le savons pas vraiment", a-t-il confié. "Nous aurons avec la nouvelle Libye des relations d'Etat à Etat. Ca n'interdit ni la coopération, ni l'échange d'information, ni même l'échange de conseils. Nous ne sommes pas en Libye pour organiser l'Etat", a-t-il souligné.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 05:40

http://www.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_43_large/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/Patrouilleur%20Hermes_0.jpg

 

23 octobre 2011 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

C’est une première, cette semaine, le constructeur de navire de guerre DCNS a confié à la marine française son dernier né, le patrouilleur de haute-mer (Oversea Patrol Vessel) Hermès... Un navire conçu en moins de deux ans... Les marins français sont maintenant chargés d’évaluer ce bateau, et aussi d’en faire la publicité à l’étranger !

 

Référence : Radio France Internationale

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