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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 12:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/68/FS_Monge.jpg

 

28 avril 2011 par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Un bâtiment de la marine nationale, disposant d’équipements ultra-modernes, est actuellement en escale dans le port de Montevideo (Uruguay). Sa mission est de suivre la trajectoire de missiles en vol et de surveiller des lancements spatiaux. Il s’agit d’un bâtiment unique dans le monde entier.

 

Les instruments de mesure dont il est équipé lui permettent de suivre par exemple une pièce de monnaie à plus de 1.000 km de distance. Le Bâtiment d’Essai et de Mesures Monge parcourt pour la première fois les eaux de l’Atlantique Sud et c’est sa première escale dans le port de Montevideo.

 

« Au 1er trimestre 2011, il a terminé ses essais. c’était une opportunité de venir dans l’Atlantique Sud pour une mission de 2 mois et demi, » explique le capitaine de vaisseau Daniel Fanjour, commandant le BEM Monge.

 

Ce bâtiment militaire effectue la majorité de ses missions au profit de l’agence spatiale française : le CNES [1]. En 2010, il a participé aux essais des missiles balistiques M51. Par ses caractéristiques — le bâtiment dispose entre autres de 3 puissantes et gigantesques antennes radar construites par Thales —, il s’agit d’un centre mobile d’essais et de mesures, unique au monde. Parmi les taches qui lui sont attribuées, il suit pour le CNES la trajectoire des satellites et fusées spatiales. « On étudie les orbites, par exemple pour signaler les risques de collision avec un satellite, » indique le commandant Faujour.

 

En revanche, il n’effectue que peu de missions militaires. Mais le BEM Monge peut apporter une aide humanitaire. La marine nationale l’avait mis à disposition à cette fin lors de la catastrophe en Haiti.

 

Compte-tenu de l’aspect délicat des missions du bâtiment, son instrumentation doit avoir des marges d’erreur minuscules. « La précision est capitale, » souligne le commandant Faujour. C’est pour cette raison que le bâtiment est peint en blanc : il peut ainsi réfléchir plus de lumière pour les instruments optiques.

 

Lundi prochain, le BEM Monge appareillera en direction de Rio de Janeiro, puis ensuite vers Dakar avant de rentrer à Brest.

 

Notes :[1] Centre Nationale d’Etudes Spatiales.

 

Référence : El Pais (Uruguay)

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 11:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/48/Belgian_C-130_aircraft_arrives_at_McChord.JPG/800px-Belgian_C-130_aircraft_arrives_at_McChord.JPG

photo SrA Dayton Mitchell USAF

 

28/04/2011 Belga - lalibre.be

 

Ce "transfert d'autorité", déjà effectué fin 2010 par l'Allemagne, la France et les Pays-Bas, a été retardé par des "problèmes informatiques", selon le ministère de la Défense.

 

La Belgique a transféré jeudi, avec près de quatre mois de retard sur ses partenaires, le contrôle de ses avions de transport militaire au commandement européen du transport aérien européen (EATC), un état-major multinational installé aux Pays-Bas et qui chapeaute ainsi une flotte de plus de 150 appareils de quatre pays, a-t-on appris de sources militaires. Ce "transfert d'autorité", déjà effectué fin 2010 par l'Allemagne, la France et les Pays-Bas, a été retardé par des "problèmes informatiques", selon le ministère de la Défense.

 

Il a été réalisé jeudi et concerne les onze C-130 "Hercules" de la composante Air de l'armée et l'unique Airbus A330, ainsi qu'"à la demande", les quatre Embraer ERJ-135 et ERJ-145, deux Mystère 2O et un Falcon 900 du 15ème wing de Melsbroek, a précisé l'EATC dans un communiqué.

 

Cet état-major européen installé à Eindhoven (sud des Pays-Bas) vise à une utilisation plus efficace des moyens de transport aérien et de ravitaillement en vol dont disposent les quatre pays membres, ou du moins certains d'entre eux. Il aurait dû atteindre une capacité opérationnelle initiale (IOC) fin 2010 - ce qui n'a pas été réalisé, mais devrait être le cas dans les prochains jours. Il sera pleinement opérationnel dans les prochains mois.

 

Il occupera à terme quelque 200 militaires provenant de ces quatre pays - dont 22 Belges -, mais avec la possibilité de s'élargir à d'autres, comme l'Espagne qui suit ce projet de près et le Luxembourg, des pays qui ont également commandé le futur avion de transport militaire Airbus A400M.

 

Ce QG supervisera ainsi quelque 70.000 heures de vol annuelles, selon son commandant, le général-major allemand Jochen Both. Depuis sa création, le 1er septembre dernier, il a déjà exécuté près de 3.500 missions de transport, dont 70 de ravitaillement en vol, et a coordonné l'évacuation médicale aérienne de plus de 400 patients.

 

L'Allemagne y apporte une flotte de 77 avions de transport, dont quatorze "à la demande", la France 56 appareils, dont 32 C-160 "Transall" et cinq Airbus A330-A340. Quant à la Belgique, elle a versé dans le pot commun dix de ses onze C-130 ainsi que ses huit avions pour passagers, dont sept "à la demande". Les Pays-Bas fournissent deux C-130, deux Fokker 50, deux ravitailleurs KDC-10 et, à la demande, un Gulfstream IV.

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 06:00
La torpille MU90 sur Atlantique 2

crédits : MARINE NATIONALE

 

28/04/2011 MER et MARINE

 

Le premier tir d'entrainement d'une torpille MU90 depuis un avion de patrouille maritime Atlantique 2 s'est déroulé le 5 avril au centre d'essais de lancement de missiles (CELM) de la Direction Générale de l'Armement (DGA) à Toulon. Ce tir a été réalisé par l'un des appareils de la flottille 23F. Durant cet entrainement, réalisé « dans des conditions proches de la réalité », précise la Marine nationale, l'Atlantique 2 a d'abord pisté et identifié une cible autonome (CALAS) simulant un sous-marin, à l'aide de ses capteurs acoustiques, avant de l'attaquer. « Mission pleinement réussie. La MU 90 franchit ainsi avec succès une ultime mais importante étape depuis sa mise en service opérationnel le 2 juillet 2010 : le premier tir d'essai, effectué par un équipage opérationnel », souligne la marine. Cette dernière précise qu'à ce jour, pratiquement tous les ATL2 ont été modifiés afin de pouvoir tirer la MU90. Remplaçant les anciennes torpilles américaines du type Mk46, la MU90, un engin de nouvelle génération développé par DCNS, Thales et WASS, renforce considérablement les capacités anti-sous-marines des avions de patrouille maritime français. Longue de 2.96 mètres pour un diamètre de 324mm et une masse de 295 kilos, la MU90 aurait une vitesse de 50 noeuds et est efficace en eaux côtières (environ 25 mètres), comme à grande profondeur (plus de 1000 mètres). Sa distance d'engagement est supérieure à 12 kilomètres et elle dispose de capacités de détection et de résistance aux contre-mesures très importantes. En configuration aérolargable, elle peut être lancée à 900 mètres d'altitude et à la vitesse de 400 noeuds. Chaque ATL2 peut mettre en oeuvre jusqu'à 6 torpilles de ce type, les armes étant stockées en soute. On notera que la MU90 est également embarquée sur certaines frégates du type F70 ASM, ainsi que sur les Horizon et le sera sur les futures FREMM, ainsi que sur les hélicoptères Lynx et NH90 de l'aéronautique navale. Commercialisée par le consortium Eurotorp, la torpille MU90 s'adapte à différents types de navires et d'aéronefs (hélicoptères Panther, AW159, S70B, MH-60R et MH92 ; avions ATL2, C295, ATR72, Dash8, P-3C et P-8A). En tout, un millier d'exemplaires a déjà été vendu à l'Allemagne, l'Australie, le Danemark, la France, l'Italie et la Pologne.

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 17:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/actualites/images-actu/administrateur-sicf/1187986-1-fre-FR/administrateur-sicf_article_demi_colonne.jpg

 

27/04/2011 par Linda Verhaeghe MINISTERE DE LA DEFENSE

 

Le Conseil des systèmes d’information et de communication de la Défense et de communication de la Défense s’est réuni mardi 26 avril 2011, sous la présidence du ministère de la Défense.

 

Le Conseil des systèmes d’information et de communication de la Défense (CSIC) s’est réuni sous la présidence de Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, pour étudier la réforme des Systèmes d’information et de communication (SIC), mardi 26 avril 2011. Avec un budget d’environ 3,5 milliards d’euros, soit 10% du budget de la Défense, et 30 000 personnes employées, les SIC constituent en effet un enjeu majeur, et leur réforme une priorité, pour le ministère. Présidé, soit par le ministre de la Défense, soit par le directeur général des systèmes d’information et de communication, l’Amiral Christian Pénillard, le CSIC se réunit au moins deux fois par an. Ses principales missions consistent à émettre des avis sur les grandes orientations proposées par le Direction générale des systèmes d’information et de communication (DGSIC), de déterminer les projets à mener et de suivre la réalisation des objectifs fixés à la DGSIC.

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 12:30

safran GROUP THALES GROUP

 

27.04.11 LEMONDE.FR avec AFP

 

Des discussions ont repris entre Thales et Safran en vue d'un éventuel rapprochement entre les deux groupes français, affirme, mercredi 27 avril, Les Echos, alors que des négociations entre le groupe d'électronique et l'équipementier aéronautique avaient échoué en 2010. "Des équipes travaillent sur le sujet au sein des deux entreprises", a confié au journal économique une source industrielle non identifiée. "Les discussions ont repris sur un mode constructif", dit aux Echos une autre source. Malgré la pression de l'Etat, actionnaire des deux groupes français, Thales et Safran n'étaient pas parvenus, en 2010, à s'entendre pour rapprocher certaines de leurs activités. Actionnaire important des deux groupes, l'Etat est aussi l'un de leurs gros clients.

 

OPTRONIQUE ET NAVIGATION INERTIELLE

 

Début mars, le PDG de Thales, Luc Vigneron, avait déclaré que son groupe était "ouvert à parler avec Safran car nous sommes deux grands groupes  internationaux, à base française, qui ont mutuellement intérêt à se renforcer par échange d'actifs complémentaires". Les précédentes discussions portaient sur les activités "optronique" et "navigation inertielle", deux technologies utilisées dans les domaines militaire et aéronautique. Ces perspectives avaient suscité des inquiétudes au sein des deux groupes, où les salariés craignaient un démembrement de leur activité.

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 12:30

http://www.hpc-project.com/images/logo.png

 

Meudon la Forêt, 26 avril 2011 –source GICAT

 

Le lieutenant-colonel (ER) Loïc Gernigon rejoint la société HPC Project où il vient renforcer l’équipe dédiée à simulation pour la défense et la sécurité. Fort de l’expérience de ses fondateurs, de son positionnement technologique innovant et de son expertise dans le domaine de la simulation virtuelle, constructive ou numérique, la société HPC Project développe aujourd’hui son positionnement en tant que fournisseur de solutions de simulation.

C’est pour aider à la définition de ces solutions que HPC Project a recours à l’expertise de Loïc Gernigon.

 

Loïc Gernigon est expert dans le domaine de la simulation militaire. En particulier, il a été chef de centre d’instruction simulation technico-tactique à l'EAABC (Ecole d’Application de l’Arme Blindée Cavalerie). Il a ensuite occupé divers postes tant à l’étranger qu’en France : officier simulation à l’EAABC, chef de centre JANUS, puis conseiller militaire à la DGA au sein de la Direction Expertise Technique.

 

Avant de rejoindre HPC Project, le LCL (ER) Gernigon a été expert technico-opérationnel au sein de la société RUAG, où il a notamment participé au projet STES (Simulateur de Tir d'Equipage et de Section) pour le VBCI, et a été conseiller pour l’emploi pédagogique des simulateurs.

 

Pour Emmanuel Chiva, Directeur Général Délégué de HPC Project, « l’intégration de Loïc Gernigon dans l’équipe est un atout majeur. Son savoir-faire et son expérience sont un gage de qualité et de compétitivité dans le développement de simulateurs d’un haut niveau de technicité et d’un haut degré de qualité et de pertinence opérationnelle».

 

 

Fondée en décembre 2007, HPC Project (www.hpc-project.com) est un pionnier dans le développement d'outils et de stratégies pour le calcul haute performance et la simulation. Les produits de la société sont destinés à être utilisés par l'ensemble des professions devant faire usage de modèles complexes et de leurs simulations associées.

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 12:30

http://www.electroniques.biz/photos/414002.jpg

source electroniques.biz

 

26/4/2011 par Frédéric Rémond, ElectroniqueS

 

Le français présente un prototype de capteur infrarouge refroidi fonctionnant jusqu'à -123 °C, donc moins gourmand et plus léger.

 

Sofradir va profiter du symposium SPIE 2011 Defense and Security, qui se déroule du 25 au 29 avril à Orlando, pour présenter un prototype de son dernier détecteur infrarouge refroidi Scorpio HOT MW. Ce capteur utilise la bande 3-5 µm et fonctionne à une température de 150 K (-123 °C). Il se distingue par une consommation inférieure à 2 W, soit le tiers environ des solutions existantes, selon le fabricant. Les autres imageurs planaires du français fonctionnent par exemple sous des températures bien inférieures (typiquement -183 °C à -196 °C) et nécessitent donc davantage d'énergie. Allégé par ce redroidissement réduit, le Scorpio HOT MW convient notamment à l'équipement de fantassins.

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 08:00

http://www.meretmarine.com/objets/500/32399.jpg

Le BPC Dixmude lors de son appareillage, hier, à Saint-Nazaire

crédits : BERNARD PREZELIN

 

27/04/2011 MER et MARINE

 

Construit par les chantiers STX France, le bâtiment de projection et de commandement Dixmude a appareillé hier, de Saint-Nazaire, pour ses premiers essais en mer. Jusqu'à samedi, le navire effectuera différents tests de propulsion et de plateforme. Mis sur cale en janvier 2010, le Dixmude, commandé en avril 2009 au titre du plan de relance de l'économie, devrait rejoindre Toulon au mois de juillet. Depuis la base varoise de la Marine nationale, DCNS travaillera à la mise au point du système d'armes et du système de combat, en vue d'une livraison du navire début 2012. Le Dixmude rejoindra alors les deux premiers BPC de la flotte française, les Mistral et Tonnerre, qui avaient été assemblés à Brest (avec une moitié avant construite à Saint-Nazaire) et furent livrés en 2006 et 2007 par DCNS. En dehors du montage industriel, le Dixmude se distingue de ses aînés par diverses améliorations, notamment l'ajout d'un propulseur d'étrave supplémentaire et une visibilité améliorée au niveau de la passerelle de défense à vue. Longs de 199 mètres pour un déplacement de 21.500 tonnes en charge, les BPC peuvent embarquer16 hélicoptères lourds, deux engins de débarquement du type EDA-R (dérivé du L-CAT de CNIM), 70 véhicules (dont 13 chars Leclerc) et 450 hommes de troupe. Doté d'importantes infrastructures de commandement, avec un PC pouvant accueillir 150 postes d'opérateurs, ils disposent aussi d'un hôpital embarqué. Un quatrième navire de ce type doit être construit pour la marine française. Sa mise en service est prévue en 2019/2020 pour succéder au transport de chalands de débarquement Siroco. Son aîné, le TCD Foudre, sera quant à lui remplacé par le Dixmude. DCNS et STX cherchent, par ailleurs, à vendre le concept de BPC à des marines étrangères. Un accord a, notamment, été signé en janvier dernier avec la Russie, qui souhaite se doter de quatre bâtiments de ce type. Les négociations se poursuivent en vue d'aboutir à un contrat.

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 06:00

http://www.meretmarine.com/objets/500/32260.jpg

La frégate Courbet et sa première EDO-NG

crédits : MARINE NATIONALE

 

26/04/2011 MER et MARINE

 

Livrée par Zodiac Marine en janvier dernier, la première des 35 Embarcation de Drome Opérationnelle de Nouvelle Génération (EDO-NG) a été remise le 13 avril à l'équipage de la frégate Courbet, basée à Toulon. Dérivée du type d'embarcation affecté sur les Bâtiments de Projection et de Commandement (BPC) Mistral et Tonnerre, ainsi que sur les frégates de défense aérienne Forbin et Chevalier Paul, l'EDO-NG mesure 6.7 mètres et peut accueillir 14 passagers, soit l'équivalent d'une équipe de visite ainsi que son armement. Sa vitesse peut atteindre 30 noeuds (avec 5 personnes) ou 20 noeuds avec 14 personnes à bord, l'autonomie étant de 4 heures à 30 noeuds. Cette embarcation semi-rigide, qui compte un support pour la mise en oeuvre d'une mitrailleuse, est conçue pour différentes missions allant de la visite ou l'arraisonnement de navires, en passant par l'assistance et le sauvetage en mer. « Le choix de l'industriel, la conduite des essais et la livraison de la première unité ont été réalisés en un temps record. L'objectif a été atteint grâce aux efforts combinés de l'équipe DGA et d'EMM Expertise, soutenus par les moyens de la base navale de Toulon et le Service Logistique de la Marine », souligne le capitaine de frégate Pascal Huet, chargé des essais et de l'intégration de l'EDO-NG au sein de la Force d'Action Navale (FAN). Après la mise en service de la tête de série, la Marine nationale va réceptionner 34 autres embarcations, qui seront livrées par Zodiac Marine d'ici la fin 2012. Les EDO-NG équiperont la plupart des frégates actuellement en service, ainsi que les futures frégates multi-missions (FREMM).

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 18:30

http://www.presseocean.fr/photos/2011/04/25/110425152019481_21_000_apx_470__w_presseocean_.jpg

Photo STX Bernard Biger

 

25 avril 2011 PresseOcean.fr

 

Le porte-hélicoptères actuellement en construction pour la Marine nationale au chantier STX à Saint-Nazaire doit faire sa première sortie en mer cette semaine. Le navire devrait quitter le bassin C du site naval mardi entre 13 h 30 et 14 h 30 à la pleine mer. Cette campagne doit durer cinq jours pour effectuer différents tests avec à son bord une partie de l’équipage du bâtiment de projection et de commandement (BPC) et les équipes du chantier STX. Le « Dixmude » doit ensuite appareiller en juillet, direction le site DCNS de Toulon où sera mis au point son système de combat. Sa mise en service est prévue au début de l’année 2012.

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 06:00

http://defense-update.com/wp/wp-content/uploads/2011/04/mica_vl.jpg

MICA VL launched on one of teh recent tests. The recent developer funded test, followed on the recently concluded evaluation by the French Air Force, as part of their Sol-Air à Lancement VErtical (SALVE) technical demonstration program. Photo: MBDA

 

April 24, 2011 DEFENSE UPDATE

MBDA has recently tested the MICA VL land-based short range air defense system intercepting a target representing a guided weapon. The recent test was the 17th test of the MICA VL system. It took place on the 13th April 2011, at the French DGA-Essais Missiles test centre in Biscarosse, South West France. The developer funded test followed on the recently concluded evaluation by the French Air Force, as part of their Sol-Air à Lancement VErtical (SALVE) technical demonstration program. The objective of the recent test firing was to demonstrate the capabilities of the VL MICA system against precision weapons launched from a stand-off range. The firing was carried out using a ground based Conteneur Lanceur Autonome (Autonomous Launch Container) vertical launcher conforming to a standard series production model. Controlled by the MBDA developed Tactical Operations Centre (TOC), the missile quipped with an active electromagnetic seeker intercepted a maneuvering target flying at medium altitude and at a range greater than 15 km.

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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 11:30

http://www.aerocontact.com/actualite_aeronautique_spatiale/images/head200411rg2.jpg

 

20/04/2011 par Adrien Prévost AEROCONTACT

 

La base aérienne de La Sude en Crète (Grèce) accueille, depuis le 25 mars dernier, quatre Mirage 2000-5 français et quatre Mirage 2000-5 qataris qui effectuent conjointement des missions d’interdiction aérienne au dessus de la Libye. Ces derniers jours ils ont reçu le renfort de plusieurs appareils français. Partis lundi 18 avril la base de Solenzara en Corse, quatre Mirage 2000D, qui eux effectuent des missions de frappes au sol et d’interdiction aérienne, ont rejoint la base crétoise après avoir achevé leur mission au-dessus de la Libye. Ils ont été rejoints hier par deux nouveaux Mirage 2000D. Le redéploiement en Crète permet de renforcer l’efficacité du dispositif français et d’économiser les appareils qui ne sont plus qu’à 45 minutes des côtes libyennes. Ainsi les ravitaillements pour l’aller et le retour sur zone ne sont plus obligatoires. Les Mirage 2000D seront normalement opérationnels aujourd’hui quand l’ensemble du détachement achèvera sa montée en puissance, avec le ralliement du personnel de soutien, transmission, imagerie etc., mis en place par A340 et C160. Désormais ce sont dix appareils français, quatre Mirage 2000-5 et six Mirage 2000D qui sont disponibles sur la base aérienne de La Sude.

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 16:45

http://www.meretmarine.com/objets/500/24976.jpg

Source meretmarine.com

 

21 April 2011 naval-technology.com

 

CNIM has released two white papers to showcase the capabilities and specifications of their L-CAT (landing catamaran) and MPC (multipurpose patrol craft) vessels. The L-Cat is a high speed sea connector that can be used for military operations, including the transportation of heavy equipment such as tanks and trucks. The vessel can also be used in humanitarian and logistic support roles, thanks to a number of innovative features that make it versatile and flexible. The MPC is the perfect craft for coastal patrol missions but is also suitable for logistics and relief operations.

 

For more information on these products, download the two white papers from naval-technology.com. They are both available via the white papers section or CNIM's company profile page.

 

MPC - April 2011

 

L-CAT - April 2011

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 11:30

Ligne de defense P Chapleau

 

20.04.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Les députés de la commission de la Défense vont effectuer plusieurs auditions au cours des semaine à venir. Le thème? Les externalisations dans le domaine de défence. C'est le signe que le sujet est d'actualité... Je rappelle que les députés Ménard et Viollet vont aussi travailler sur un sujet très proche dans le cadre de leur rapport d'information sur les SSP et SMP.
Il est intéressant de noter qu'aucun spécialiste du droit du travail, qu'aucun syndicaliste, pas plus que l'un des universitaires qui planchent sur ce sujet, ne figure encore dans la liste des personnes auditionnées. On peut aussi s'étonner de l'absence de représentants des PME du secteur.

 

Mardi 26 avril 2011, Mission d'évaluation et de contrôle, à 9 heures (salle no 6403) :

Auditions, ouvertes à la presse, sur les externalisations dans le domaine de la défense :

- à 9 heures : audition conjointe sur le marché de l'habillement du commissaire général Jean-Marc Coffin, directeur central du commissariat des armées, du commissaire général Alain Ribes, sous directeur soutien, et du commissaire général Bernard Chassac ;

- à 10 heures : audition sur les sociétés militaires privées du colonel François de Lapresle, sous-directeur de la politique et de la prospective à la délégation aux affaires stratégiques (DAS) du ministère de la défense ;

- à 11 heures : audition de M. René Lancien, président-fondateur de la société de restauration collective Ansamble, et de M. Dominique Raut, responsable de projet.

 

Mercredi 27 avril 2011, Mission d'évaluation et de contrôle, à 8 h 30 (salle no 6403) :

Auditions sur les externalisations dans le domaine de la défense :

- à 8 h 30 : audition de représentants de la société THALES : M. Didier Brugère, chef de cabinet du président, directeur des relations institutionnelles, et M. Hervé Multon, directeur de la stratégie ;

- à 9 h 30 : audition de représentants de la société EADS : M. François Desprairies, directeur des affaires publiques France, M. Eric Béranger, président-directeur général d'EADS-Astrium Services, le général Georges Ladevèze, conseiller défense, et Mme Annick Perrimond du Breuil, chargée des relations avec le Parlement ;

- à 10 h 30 : audition de l'ingénieur général de l'armement Philippe Genoux, chef de la mission PPP (partenariats public privé) du ministère de la défense ;

- à 11 h 30 : audition de M. Philippe Jost, directeur plans, programmes, budget à la direction générale de l'armement (DGA).

 

Mardi 10 mai, à 16 h 15 (salle no 6403) : Auditions, ouvertes à la presse, sur les externalisations dans le domaine de la défense :

- à 16 h 15 : audition de M. Bruno Vieillefosse, délégué pour le regroupement des états-majors et de services de la défense, responsable du projet « Balard » ;

- à 17 h 15  : audition du commissaire général Emmanuel Legendre, chef du pôle performance et synthèse à l'état-major des armées ;

- à 18 h 15 : audition de M. Christian Piotre, secrétaire général pour l'administration du ministère de la défense.

 

Mardi 31 mai 2011, Mission d'évaluation et de contrôle, à 16 h 15 (salle no 6403) :

- audition, ouverte à la presse, du général Eric Rouzaud, sous-chef soutien à l'état-major des armées, sur les externalisations dans le domaine de la défense

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 18:30

DGA.jpg

 

13/04/2011 par Laurent Collet-Billon, Délégué général pour l'armement

 

Après une année 2009 marquée par le plan de relance de l’économie et des engagements exceptionnels, l’année 2010 aura été une année de transition.

 

Bilan d'activités 2010

 

" Transition sur le plan financier, à la fois parce que le basculement du ministère vers le progiciel de gestion financière Chorus s’est révélé plus délicat que prévu et parce que l’effort de maîtrise de l’endettement de l’État n’a pas été sans conséquences sur la programmation budgétaire triennale 2011-2013.

 

Transition aussi sur le plan de la modernisation du ministère de la Défense, avec la mise en place du comité ministériel d’investissement présidé par le Ministre, et la finalisation des textes instaurant la nouvelle gouvernance.

 

Les principaux jalons programmes franchis en 2010 illustrent la contribution de la DGA à la modernisation de l'outil de défense et son rôle de partenaire des armées au quotidien. Pour la dissuasion, le SNLE NG Le Terrible a ainsi été réceptionné tandis que le M51 et l’ASMPA ont été mis en servic e opérationnel.

 

Dans le domaine conventionnel, la composante spatiale optique de MUSIS, qui succédera à Helios 2 en décembre 2016, a été commandée ainsi que la première adaptation d’un SNLE NG au M51. Les négociations sur l’avenant au contrat A400M avec les États participants, l’OCCAR et Airbus Military ont été menées à bien, cet avenant devrait être notifié début 2011. Les premiers hélicoptères NH90 NFH pour la Marine ont été livrés… Enfin, je souligne que, comme prévu, nous étions au rendez-vous pour la réception début décembre des 1009 systèmes Félin qui doteront le 13e bataillon de chasseurs alpins.

 

Investisseur avisé de la Défense, la DGA s’est aussi fortement impliquée dans l’analyse des projets devant bénéficier du programme d’investissement d’avenir ainsi que dans le renforcement de la base industrielle et technologique de défense. De la même façon, la DGA porte une attention constante au développement des PME innovantes, que ce soit par le biais du dispositif Rapid, des pôles de compétitivité, du Pacte PME, du plan PME export, des partenariats avec des chambres de commerce et d’indus trie ou la région Aquitaine.

 

Sur le plan de la coopération, 2010 restera bien sûr marquée par l’accord majeur de coopération, signé par la France et la Grande-Bretagne le 2 novembre dernier et incluant un traité de coopération en matière de défense et de sécurité, un traité spécifique sur des installations nucléaires conjointes ainsi qu’une feuille de route pour le pilotage des initiatives concrètes de coopération.

 

À un moindre niveau, la signature d’une lettre d’intention avec l’Allemagne visant à favoriser des rationalisations dans le domaine des essais, le lancement de revues systématiques de coopération avec l’Italie et l’Allemagne, et l’entrée en service des échanges opérationnels entre les systèmes d’observation spatiale Helios 2 et Cosmo-Skymed, et entre Helios 2 et Sar-Lupe constituent autant d’exemples illustrant une construction européenne réaliste !  D’autre part, il faut souligner la pleine participation de la DGA dans la préparation de la réforme de l’Otan et une présence accrue de nos équipes dans les instances de l’Alliance. La nomination de Patrick Auroy, qui était directeur général adjoint de la DGA, au poste de « secrétaire général adjoint de l’OTAN pour les investissements de défense » est évidemment emblématique à c e titre.

 

À l’exportation, reconnaissons-le, les prises de commandes 2010, à hauteur de 4,2 milliards d’euros, sont sensiblement en-deçà de nos attentes. Les effets de la crise économique de 2008-2009 et la fin des plans de relance de 2009 ont contribué à ce résultat. Dans ce contexte, aucun des dossiers majeurs en cours de négociation ne s’est encore concrétisé, à ce stade, par un contrat signé et entré en vigueur, contrairement à l’an passé. Au-delà de cette conjoncture difficile, une partie des négociations actuelles pourraient aboutir favorablement en 2011.

 

La DGA  a, par ailleurs, poursuivi son évolution pour renforcer son expertise technique tout en adoptant le format resserré issu de la révision générale des politiques publiques (RGPP) : nous sommes sur ce point parfaitement en ligne avec les objectifs ambitieux qui nous ont été as signés.

 

En conclusion, je me contenterai d’insister sur deux points en ce qui concerne 2011 :

 

- cette année sera tout d’abord une année d’anticipation des grands rendez-vous. Il nous faudra en effet préparer, en liaison avec les armées, les choix qui seront à opérer à l’avenir avec la révision du Livre blanc et la préparation de la LPM 2013-2018.

 

- Le deuxième point n’est pas aussi anecdotique qu’il y paraît : 2011 sera l’année des 50 ans de la DGA ! 50 ans d’innovations, de ruptures et d’avancées technologiques, de préparation de l’avenir, de grands programmes, de dissuasion, de coopération… au service d’une défense - française et européenne - forte, indépendante, souveraine, reconnue et respectée ! "

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 18:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/dga/1_fremm/premiere-sortie-a-la-mer-de-la-fregate-multimissions-aquitaine/1178649-1-fre-FR/premiere-sortie-a-la-mer-de-la-fregate-multimissions-aquitaine.jpg

Source DICoD

 

19/04/2011 DIRECTION GENRALE DE L’ARMEMENT

 

La frégate Aquitaine a appareillé ce jour, lundi 18 avril 2011 en fin d’après-midi, pour effectuer sa première sortie à la mer au large de Lorient.

Première sortie à la mer de la frégate multimissions Aquitaine

 

L’Aquitaine  est la première des 11 frégates multimissions (FREMM) commandées sous responsabilité de la direction générale de l’armement (DGA) pour la Marine nationale. Le programme franco-italien FREMM prévoit la livraison de 21 frégates aux 2 pays. La première sortie à la mer, jalon important du programme, marque le début des essais de qualification et d’intégration qui seront conduits jusqu’à la réception de la frégate par la DGA en 2012.

 

Les frégates multimissions, qui porteront des noms de régions françaises, constitueront à terme l’ossature de la flotte de surface dans les différents domaines de lutte à la mer (anti-sous-marine, anti-aérienne, anti-navire et asymétrique). D’un tonnage de 6 000 tonnes pour une longueur de 142 m, pouvant atteindre une vitesse de 27 nœuds, servies par un équipage réduit de 108 personnes, elles sont fortement armées : missiles mer-mer 40 Exocet, missiles antiaériens Aster, torpilles MU90. Les 9 premières frégates, à dominante anti-sous-marine, disposeront en plus de la capacité de frappe dans la profondeur grâce au futur missile de croisière naval qui entrera en service en 2014. Les 2 dernières frégates, spécialisées dans la lutte anti-aérienne, sont conçues pour protéger un groupe aéronaval ou amphibie contre les aéronefs et les missiles.

 

Toutes les FREMM pourront mettre en œuvre un hélicoptère NH90 Caïman , ainsi que des forces spéciales et leurs équipements.

 

Le programme de frégates multimissions  représente une cinquantaine de millions d’heures de travail pour plusieurs milliers de salariés français. Jusqu’en 2022, la réalisation des FREMM assurera une part très significative de l’activité de DCNS (principalement sur son site de Lorient mais également sur ses sites de Brest et Cherbourg) et de nombreux sous-traitants, essentiellement des PME. Concernant l’exportation, une frégate vendue au Maroc est actuellement en construction à Lorient et d’autres états ont marqué leur intérêt pour le concept innovant des FREMM.

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 16:45

http://www.asdnews.com/data_news/ID34892_600.jpg

 

Apr 19, 2011 by ASDNews - Source : DCNS

 

One month early, DCNS begins the sea trials of the Aquitaine, the first ship built under the FREMM multimission frigate programme. The campaign takes place off the Brittany peninsula and is expected to last several weeks including return trips to DCNS's shipyard. Delivery to the French Navy is scheduled for 2012. The joint crew comprising French Navy personnel, customer representatives and employees of DCNS and its partners will demonstrate the ship's seakeeping and other nautical qualities as well as the performance of the propulsion and navigation systems. "These trials represent the culmination of the combined efforts of many people working towards common goals, including teams employed by DCNS and its partners and suppliers, the trials crews and customer representatives," commented FREMM programme manager Vincent Martinot-Lagarde.

 

Day and night, test will follow test at a sustained pace. The next three days are known as the familiarisation phase. This will be used by the Navy crew and DCNS specialists to test the vessel's safety systems and equipment, including fire-fighting, flood control and emergency response systems and evacuation procedures as well as manoeuvrability and mooring performance. The next phase will focus on the propulsion system. The FREMM's high-performance hybrid CODLOG (COmbined Diesel eLectric Or Gas) power package combines a gas turbine for high-speed mechanical propulsion and electric motors powered by four diesel-alternator sets for low-speed propulsion. The system will be tested in all configurations from low-speed silent-mode all-electric propulsion to high-speed gas turbine-powered mechanical propulsion, including runs at maximum speed. The trials also call for extensive testing of the ship's navigation system (log, position, heading), inertial platforms (for positioning) and other basic systems. Over the coming weeks, over 200 people, including 60 Navy men and women, will spend time on FREMM frigate Aquitaine. To save the ship returning to port, many will be ferried out and back. Close cooperation between the French Navy crew in charge of the ship proper and specialists working for DCNS and its partners will ensure that all basic systems are thoroughly tested. On completing these preliminary trials, FREMM frigate Aquitaine will return to DCNS's Lorient shipyard for several weeks of quayside work. In June, the ship will put to sea for a second campaign of trials focusing on the combat system.

 

FREMM, a major programme for DCNS and partners

 

The French FREMM programme calls for 12 ships - 11 for the French Navy and one for the Royal Moroccan Navy.

 

For DCNS and partners working at the Lorient centre, this is the biggest programme in progress. The Lorient job catchment is the leading beneficiary. Each year, the FREMM programme will provide 3 million hours of employment for a total of almost 50 million hours between 2006 and 2022. Each FREMM frigate represents twice the work hours that went into the spectacular Millau viaduct near the eponymous town in southern France.

 

FREMM frigates are among the most technologically advanced and competitively priced on the world market. These heavily armed warships are being built under DCNS prime contractorship to carry state-of-the-art weapons and systems including the Herakles multifunction radar, MdCN deep-strike cruise missiles, Aster anti-air missiles, Exocet MM40 anti-ship missiles and MU90 torpedoes.

 

FREMM multirole frigates are designed to respond to all types of threats with unparalleled flexibility and availability. As demonstrated by the export contract with the Royal Moroccan Navy, they are also designed to meet the needs and expectations of international client navies.

 

FREMM technical data

-- Length overall: 142 m

-- Beam: 20 m

-- Displacement (approx.): 6,000 tonnes

-- Max. speed: 27 knots

-- Complement: 108 (including helicopter crew)

-- Accommodation: 145 men and women

-- Range: 6,000 nm (at 15 knots)

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 06:00

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/futur-site-terre-images/breves/afghanistan-premiere-releve-du-doip-du-13e-rg/1177716-1-fre-FR/afghanistan-premiere-releve-du-doip-du-13e-rg.jpg

Le véhicule blindé hautement protégé Aravis en Afghanistan. Crédits : ECPAD

 

18/04/2011 ARMEE DE TERRE

 

Les militaires du 13e  régiment du génie (13e  RG) du Valdahon armant le détachement d’ouverture d’itinéraire piégé (DOIP) sont rentrés d’Afghanistan le 12 avril 2011.

 

Le 13e  RG  a été mandaté pour déployer et perfectionner le DOIP en Afghanistan  d’octobre 2010 à octobre 2011. Projeté en Afghanistan depuis octobre 2010, le DOIP est de retour au régiment depuis le 12 avril 2011. 2 autres sections du 13e  RG en assurent la relève. Le DOIP est composé de 2 sections : une section sur Buffalo et une section protection dépollution  (SPD) sur véhicules blindés hautement protégés (VBHP) Aravis . Elles œuvrent de concert sur le théâtre et constituent une capacité unique de l'armée de Terre. Sa mission principale : ouvrir les axes  au profit de groupements ou sous-groupements tactiques interarmes et de convois logistiques. Il s’agit de recherche et de lutte contre les engins explosifs improvisés  (IED pour « improvised explosive device ») puis de reconnaissance d’axes pour le désengagement des unités. Au total, près de 5 000 km ont été ouverts ou reconnus en 6 mois sans explosion d’IED après le passage du DOIP.

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 22:30

http://www.netmarine.net/bat/fremm/commun/fremmrelook.jpg

Source netmarine.net

 

18/04/2011 Boursier.com

 

La frégate Aquitaine (142 m ; 27 nds) a appareillé ce jour, lundi 18 avril 2011 en fin d'après-midi, pour effectuer sa première sortie à la mer au large de Lorient. L'Aquitaine est la première des 11 frégates multimissions (FREMM) commandées sous responsabilité de la Direction générale de l'armement (DGA) pour la Marine nationale. Le programme franco-italien FREMM prévoit la livraison de 21 frégates aux 2 pays. La première sortie à la mer, jalon important du programme, marque le début des essais de qualification et d'intégration qui seront conduits jusqu'à la réception de la frégate par la DGA en 2012.

 

Les frégates multimissions, qui porteront des noms de régions françaises, constitueront à terme l'ossature de la flotte de surface dans les différents domaines de lutte à la mer (anti-sous-marine, anti-aérienne, anti-navire et asymétrique). Elles sont fortement armées : missiles mer-mer 40 Exocet, missiles antiaériens Aster, torpilles MU90. Toutes les FREMM pourront mettre en oeuvre un hélicoptère NH90 Caïman, ainsi que des forces spéciales et leurs équipements.

 

Le programme de frégates multimissions représente une cinquantaine de millions d'heures de travail pour plusieurs milliers de salariés français. Jusqu'en 2022, la réalisation des FREMM assurera une part très significative de l'activité de DCNS, principalement sur son site de Lorient, mais également sur ses sites de Brest et Cherbourg. De nombreux sous-traitants, essentiellement des PME, participent au projet.

 

Concernant l'exportation, une frégate vendue au Maroc est actuellement en construction à Lorient et d'autres états ont marqué leur intérêt pour le concept innovant des FREMM.

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 17:00

THALES GROUP

 

18 April 2011 Thales press release

 

Thales has been selected by the French Army to assure through-life support of a sizeable proportion of its radio-controlled IED* jammers deployed in external theatres of operation.

 

This contract confirms Thales’s positioning as a key and unifying player within European industry, in the field of providing services to the armed forces. In particular, Thales benefits from its expertise in the management of complex supply chains and its capacity to work alongside these forces, into theatres of operation. 

 

Roadside bombs, known as Improvised Explosive Devices (IED) constitute a major threat in current conflicts: they kill or injure thousands of soldiers each year. Vehicles equipped with electronic defence systems can prevent these bombs from exploding when triggered remotely. Consequently, the smooth functioning of these defence systems represents an issue of vital importance.

 

This is the context in which SIMMT** has selected Thales to maintain a significant proportion of the radio-controlled IED jammers deployed by the French Army in foreign operations. Several contracts, including one awarded to Thales, provide for 400 jammers produced by various manufacturers to be maintained, for a 5-year period.

 

This service comprises two main components.

 

Firstly, Thales provides operational support for the forces present in theatres of operation, via the presence of its qualified staff in theatre. This training, which lasts for one year, is intended to develop the operators’ technical skills, and make them more self-reliant vis-à-vis their equipment, so that they can carry out advanced maintenance tasks themselves.

 

Secondly, Thales provides an end-to-end procurement and logistics service for jammer sub‑assemblies between France and any external operations zones in which the country’s armed services are involved. This service provides guaranteed availability of equipment in any situation.

“Combating the threat of IEDs is a key priority for the forces present in theatre. Several hundred attacks happen monthly, especially in Afghanistan”, explains Laurent Maury, Thales Vice-President, in charge of Customer Support and Services activities. “Via this support services contract, Thales is actively collaborating with the forces present in external theatres of operation, by making its logistics resources and technical skills available to them, to whatever extent is required.”

 

* IED: Improvised Explosive Devices

 

** SIMMT: the organisation responsible for through-life support of the French Army’s land-based equipment (SIMMT: Structure Intégrée du Maintien en condition opérationnelle des Matériels Terrestres)

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 13:00

http://www.defpro.com/data/gfx/news/6982d1e81544adb5df3ec939495ce60eed5a34e5_big.jpg

A VL MICA missile is launched from a ground-based vertical launcher. (Photo: DGA-CELM)

 

April 17, 2011 defpro.com

 

In a scenario representing the protection of a sensitive zone against weapons launched from a secure distance, VL MICA has once again demonstrated the high level of its operational capabilities. On 13th April 2011, at the French DGA-Essais Missiles test centre in Biscarosse, South West France, a VL MICA missile launched from a ground-based vertical launcher and controlled by a Tactical Operations Centre (TOC) developed by MBDA, intercepted a manoeuvring target flying at medium altitude and at a range greater than 15 km. The objective of the test firing was to demonstrate the capabilities of the VL MICA system against precision weapons launched from a stand-off range. Organised by MBDA with the support of various DGA (Direction Générale de l'Armement) teams, the test was a natural follow on from the evaluations which have just been concluded by the French Air Force as part of their SALVE (Sol-Air à Lancement VErtical) technical demonstration programme. The VL MICA was equipped with an active electromagnetic seeker produced by Thales. As in previous evaluations, this firing was carried out using a Conteneur Lanceur Autonome (Autonomous Launch Container) conforming to a standard series production model. This seventeenth VL MICA firing is yet another demonstration of the reliability, exceptional precision and, most importantly, the high level of operational performance provided by the system. The four foreign delegations present as observers during the firing were unanimous in underlining the excellent impression made by the VL MICA system which has already received several orders in both its naval and land versions.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 17:30
Les étranges affirmations du Washington Post sur la guerre en Libye

 

16/04/2011 Par Jean Guisnel Le Point.fr

 

Dans un article publié vendredi, le Washington Post livre de bien curieuses "révélations" sur la conduite de la guerre en Libye. Selon le quotidien américain, les opérations aériennes du Royaume-Uni, de la France et d'autres pays européens seraient limitées par le manque de munitions de précision. De quoi laisser dubitatifs :

 

1) Des frappes limitées ? Faux

 

S'il est vrai que la Royal Air Force britannique, l'armée de l'air et la marine nationale françaises procèdent actuellement à la majorité des frappes, ces aviations n'ont pas effectué "chacune vingt tirs depuis le début de la campagne", comme l'affirme le Washington Post. Pour ne citer qu'elle, la France a procédé à une vingtaine de frappes entre le 7 et le 14 avril. Le chiffre précis des frappes depuis le 19 mars, date du début de la guerre, n'est pas encore disponible, mais il est supérieur à la centaine, uniquement avec des munitions de précision de divers types, dont des SCALP-EG (au moins une douzaine de tirs), des AASM (armement air-sol modulaire) et des GBU de divers types. À l'heure actuelle, six des vingt-huit membres de l'Otan participent aux bombardements en Libye, France, Grande-Bretagne, Danemark, Norvège, Belgique et Canada, Paris et Londres assurant à eux seuls plus de la moitié des sorties. Les États-Unis ont retiré leurs avions des plans de frappe. Les pays non engagés dans les tirs contre des cibles au sol participent à la surveillance de la zone d'interdiction aérienne, alors que les avions et hélicoptères libyens ne décollent plus depuis des semaines. Les États-Unis fournissent des moyens logistiques (ravitailleurs, transports tactiques) ou encore des moyens de surveillance et de contrôle (AWACS). Les chiffres du Post sont d'ailleurs également faux pour les Américains. Dans la seule journée du 20 mars, ils n'ont pas seulement procédé à "trois frappes contre des installations statiques de défense aérienne", mais à plusieurs dizaines. Pour ne citer que les seuls missiles Tomahawk, ils ont effectué ce jour-là 105 frappes de précision...

 

2) Un manque de munitions ? Faux

 

L'autre assertion très curieuse du Washington Post concerne la consommation des stocks de munitions de précision, qui se seraient "rapidement réduits". Le journal affirme que les États-Unis seraient en mesure de recompléter à partir de leurs propres magasins, mais que les avions français et britanniques sont incompatibles avec les armes fabriquées aux États-Unis. Contrairement aux autres pays européens "frappeurs", dont "tous les avions ont été fabriqués aux États-Unis et sont compatibles avec l'armement américain". De fait, les avions français (Rafale, Mirage 2000, Super-Étendard et Mirage F-1) de même que les avions britanniques (Tornado et Typhoon) sont de conception et de fabrication européennes, quand d'autres armées sont équipées de F-16 et de F-18 américains. Mais alors, où est le rapport avec un prétendu "manque de munitions", et le fait que les Européens "ne prévoyaient sans doute de n'utiliser leurs armes de l'air que durant les salons aéronautiques", comme avance, ironiquement, le Washington Post ? Il n'y en a aucun ! Pour les avions français, les choses sont simples. Les munitions qu'ils ont tirées sont dans une large mesure fabriquées nationalement. Et les stocks, certes moins impressionnants que ceux des États-Unis, sont tout de même importants, sans être illimités. Il s'agit, pour l'armée de l'air et la marine françaises, de faire face à des conflits importants. Les stocks actuels permettraient donc de faire deux ou trois ans de guerres intenses, étant entendu que des commandes complémentaires seraient rapidement envoyées aux industriels. L'arme air-sol de précision tirée par le Rafale, fabriquée par l'industriel Sagem, est l'armement air-sol modulaire (AASM). Elle a été commandée à 744 exemplaires en 2000, et les dernières livraisons de ce premier marché sont prévues en 2011. Le député François Cornut-Gentille précise dans un rapport en date du 14 octobre 2010 : "En 2009, la cible de dotation en AASM est passée de 3 000 à 2 348 unités, dont 1 200 avec le kit laser." La France en achètera donc moins que prévu, mais ses stocks lui permettent de poursuivre ses opérations en Libye sans difficulté. Selon le rapport, le coût de ce programme est de 846 millions d'euros, ce qui mettrait le kit AASM à plus de 350 000 euros. Cela fait cher pour détruire un pick-up kadhafiste qui en vaut 15 fois moins... Les Français ont aussi tiré des missiles de croisière SCALP-EG, en nombre limité (une douzaine). Selon des informations de source parlementaire, ils disposent actuellement de 500 de ces engins, dont 400 doivent être rénovés. Là encore, aucun problème de stocks pour ces armes de précision. Enfin, la France a acquis aux États-Unis, pour ces Super-Étendard et ses Mirage 2000, plusieurs dizaines de kits Paveway, de différents modèles. Montés sur des bombes lisses à gravité, ils permettent de les transformer en armes de précision, et la France dispose, depuis plusieurs années, de cet équipement. Le Point.fr a précisé que les avions français avaient tiré des bombes à guidage laser GBU-12 de 250 kilos, des bombes GBU-24 de 500 kilos, et que les Mirage 2000-D de l'armée de l'air avaient tiré des GBU-49. Ce modèle le plus récent est équipé du kit de guidage Enhanced Paveway II et la France en a acheté 200 exemplaires en février 2008 pour son Mirage 2000D.

 

Qu'en conclure ?

 

L'article du Washington Post considère, sans l'écrire explicitement, que les Européens feraient bien d'acheter davantage d'armements aux États-Unis s'ils veulent faire la guerre sérieusement. Rien de neuf...

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 13:00

http://www.bull.com/images/header.jpg

 

14.04.2011 par Vincent Lamigeon – Challenges.fr

 

Le spécialiste de la sécurisation de réseaux informatiques vise la haute rentabilité grâce à des marchés de niche et à des partenariats avec les géants du secteur.

C'est un étrange boîtier kaki aux allures de vieille radio des années 1950. Gare aux apparences : derrière sa coque renforcée, Shadow est un redoutable concentré de technologies. Ce système de brouillage, lancé mi-mars par Bull, annule le signal radio entre un engin explosif et la télécommande qui l'actionne, permettant de sécuriser les convois civils ou militaires dans les zones à risques, type Irak ou Afghanistan. « Là où les produits concurrents exposent les passagers à des ondes dangereuses et coupent toutes les communications, y compris celles d'urgence, Shadow n'entre en action qu'en cas de danger, précise Philippe Vannier, PDG du groupe informatique. Les Israéliens, les Américains ou les Britanniques ont tenté de développer des brouilleurs du même type, sans succès. »

 

Taille moyenne avantageuse

Un symbole : Bull, dont le nom fleure bon les vieux ordinateurs des années 1980, aujourd'hui spécialisé dans les supercalculateurs ou la sécurisation de réseaux informatiques, est bien décidé à s'imposer dans la défense. Le groupe (1,2 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2010, pour 6,5 millions de bénéfices et 8 600 salariés) compte faire passer la part du secteur dans ses ventes de 10 à 20 % en trois ans, soit 250 à 300 millions d'euros en 2013. « C'est un secteur rémunérateur quand on maîtrise des technologies uniques, justifie Philippe Vannier. Un marché de ruptures technologiques qui favorise les acteurs de taille moyenne, comme Bull, plus réactifs que des géants comme Thales, BAe, Raytheon ou Elbit. » Le français peut s'appuyer sur sa filiale Amesys, rachetée fin 2009, un spécialiste reconnu du traitement de signal radio (100 millions d'euros de chiffre d'affaires, 850 salariés). Dixhuit mois après l'opération, c'est même la proie - qui affichait 25 % de croissance annuelle et 10 % de rentabilité depuis 2004 - qui semble avoir pris le contrôle de son prédateur : en mai dernier, Philippe Vannier, actionnaire et patron d' Amesys, a remplacé l'ex-PDG Didier Lamouche, artisan du redressement de Bull. « Un putsch », dit-on en interne. « Une nouvelle phase de développement », corrige Vannier.

 

Concurrent et fournisseur

Pour muscler son équipe, Vannier a débauché à Thales Pierre-Yves Chaltiel, patron de la division systèmes aéroportés (radars, équipements de guerre électronique du Rafale...), nommé directeur international. De quoi mieux affronter les leaders du secteur ? Bull vise avant tout des marchés de niche type Shadow. « Mais on peut se retrouver face à Thales ou Cassidian (EADS) sur des produits complexes, comme le système de combat des frégates ou des sous-marins, explique Philippe Vannier. On peut aussi être leurs sous-traitants avec des équipements spécifiques, comme des systèmes de commande de tir de missiles ou de torpilles. » Un acteur de taille moyenne, à la fois partenaire et concurrent des « gros » : la stratégie a fait ses preuves. « Le britannique Ultra Electronics a un positionnement comparable, et affiche une forte marge, de l'ordre de 15 %, souligne Christophe Ménard, analyste à Kepler Capital Markets. Etre un fournisseur unique sur des niches très technologiques permet une rentabilité parfois supérieure à celle des donneurs d'ordre. » Bull n'en attend pas moins : il compte doubler son résultat opérationnel (35 millions en 2010) d'ici à 2013.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 13:00

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/53/Rafale-060427-N-2959L-196.jpg

 

15 avril 2011 par PA Charles de Gaulle

 

Mercredi matin, au retour d'une mission de ravitaillement d'avions partant vers la Libye, un Rafale a réalisé le 26 000ème appontage à bord du « Charles de Gaulle ». Cette nouvelle étape, intervenant après celles du 24 000ème appontage réalisé le 26 Novembre 2010 par un Super-Etendard et du 25 000ème réalisé le 24 Janvier, nous montre le niveau remarquable atteint par le porte-avions et son groupe aérien avec près de 3000 appontages depuis septembre 2010 et près de 500 pour l'opération Harmattan jusqu'à aujourd'hui. Clin d’œil à l’Histoire: c’est le Rafale 26 piloté par « Goodec » qui a eu le privilège de passer ce nouveau cap. Ces chiffres, qui peuvent paraître anodins pour le commun des mortels, révèlent bien l’importance stratégique de cet outil qu’est le porte-avions, et le formidable travail réalisé depuis près de dix ans par les équipages du « Charles de Gaulle ».

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 11:30

 

15/04/2011 Ministère de la Défense et des Anciens Combattants - News press

 

Une semaine après la signature à Séville, en Espagne, du contrat définitif du financement de l'A400M, le ministre de la Défense et des Anciens combattants Gérard Longuet s'est rendu chez Airbus à Toulouse, le 13 avril, où l'avion de transport A400M lui a été présenté.

 

Dans l'appareil, le ministre a pu découvrir la totalité de l'aéronef, depuis le cockpit jusqu'à la tranche arrière. A l'issue, il s'est dit « impressionné » déclarant que « si dans son apparence extérieure il peut rappeler des aéronefs connus, en réalité toute sa conception, en ce qui concerne les structures, la motorisation, l'électronique (...) en font un appareil fondamentalement différent qui doit pouvoir répondre à toutes les exigences des états-majors qui le mobiliseront ».

 

Le ministre a par ailleurs précisé que l'A400M « a vocation à servir la stratégie de défense française, qui est une stratégie de mobilité, de capacité à se projeter, de polyvalence, d'usage interarmes (...) et le savoir-faire réuni autour de l'A400M est parfaitement impressionnant ».

 

Accueilli par Thomas Anders, Président d'Airbus, Fabrice Brégier, Directeur général d'Airbus, Domingo Urena-Raso, Directeur général d'Airbus Military et par de nombreuses personnalités du secteur industriel, le ministre a bénéficié d'une visite très détaillée du futur avion militaire.

 

A cette occasion, il a également souligné le savoir-faire « qui honore l'industrie européenne car il s'agit vraiment d'une réalisation européenne ». Une réalisation qui pourrait intéresser « d'autres Nations », selon Gérard Longuet.

 

Le programme A400M est développé en partenariat par sept pays (Allemagne, France, Espagne, Royaume-Uni, Turquie, Belgique et Luxembourg).

 

La France a commandé 50 exemplaires de l'avion afin de renouveler les capacités de transport des armées. Le premier exemplaire lui sera livré en 2013. Le reste des livraisons s'échelonnera jusqu'en 2024.

 

La visite du ministre chez Airbus s'est poursuivie par celle de la chaîne de montage de l'A330 puis par la société toulousaine Nexeya-BTS Industrie. Cette PME est spécialisée dans la conception, le développement et le test de systèmes et sous-systèmes mécaniques, thermiques et électriques pour le spatial et l'aéronautique. Elle participe au programme de l'A400M.

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