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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 20:09
aasm mbda missile
© MBDA

 

23 mars 2011 par Guillaume Lecompte-Boinet USINE NOUVELLE

 

L’opération militaire menée par une coalition internationale en Libye est l’occasion pour la France et ses alliés de tester grandeur nature plusieurs de ses armements.

 

Il y a naturellement les Rafale, dans leurs versions Air et Marine. Ces avions sont déjà utilisés en Afghanistan depuis quelques années. L’armée de l’Air utilise par ailleurs des bombes de fabrication américaines GBU 12, des missiles air-air Mica et Asraam de MBDA (pour garantir la supériorité aérienne) et des missiles de croisière Storm-Shadow, également fabriqués par MBDA.

 

Mais l’une des nouvelles armes est le missile air-sol de moyenne portée AASM, développé et fabriqué par Sagem (Safran). Sa précision diabolique en fait l’un des principaux vecteurs de combat de la France dans l’opération « Harmattan ». Le AASM en version infrarouge a une précision métrique, avec, selon Sagem, un pourcentage de coup au but proche de 100 %. Alors que celui d’un missile à guidage laser se situe plutôt autour de 70%. Tiré à partir d’un Rafale, le AASM a une portée de 50 km, bien supérieure aux bombes guidées par laser (10 à 15 km).

 

Surtout, il peut corriger sa trajectoire grâce à son système de guidage inertiel et le GPS, ainsi que des ailettes mobiles. L’arme, qui est opérationnelle sur Rafale depuis 2008, a été développée après l’intervention au Kosovo, où le mauvais temps empêchait souvent les avions de tirer leurs missiles à guidage laser. Le AASM a l’avantage d’être un missile tout temps.

 

Typiquement, une opération de bombardement se déroule de la façon suivante : les renseignements et les coordonnées GPS sur la ou les cibles sont collectés grâce au satellite Helios, ou à partir d’un Rafale équipé du nouveau pod Reco-NG, une nacelle bourrée de capteurs optronique fabriquée par Thales. Puis les coordonnées sont intégrées dans les calculateurs du AASM. Un Rafale peut tirer six AASM simultanément même si selon certaines sources, les avions français engagés dans le ciel libyen en emportent plutôt quatre.

 

Chez Sagem, on se garde bien de tout triomphalisme. Mais nul doute que les qualités opérationnelles du AASM seront scrutées par les clients potentiels du Rafale, l’Inde et la Brésil en tête. Le futur de l’arme concerne aussi MBDA puisque selon un accord datant de 2008, le missilier européen a repris la responsabilité de la commercialisation du AASM à l’export, et celle de tous les développements futurs de l’arme. Ce missile n’est en effet intégré actuellement que sur deux avions, le Rafale français, et le Mirage F1 marocain. En incluant les coûts de développement, le prix unitaire d’un AASM commandé par la France (764 exemplaires à ce jour) est d’environ 350 000 euros. Mais le prix export est sans doute plus bas, de l’ordre de 250 000 euros l’unité.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 20:03
Daher_fr

 

23 mars 2011 par Jean-Christophe Savattier (Centre) USINE NOUVELLE

 

Investissement. Le groupe Daher vient de confirmer officiellement l’installation prochaine d’un Centre de développement et d’innovation Daher (CDID) à Montrichard, dans le Loir-et-Cher. Les travaux d’un bâtiment de 2 000 m² devraient démarrer en fin d’année pour une ouverture à l’été 2012. Une bonne centaine d’ingénieurs, dont une vingtaine en provenances des unités de Tarbes (Hautes-Pyrénées) et de Nantes (Loire-Atlantique), rejoindront cette unité de R&D qui sera dédiée aux matériaux métalliques et composites. François Lépinoy, directeur général de Daher et président de Daher-Socata, a précisé que le CDID s’appuierait sur les ressources de plusieurs écoles d’ingénieurs, notamment celles de l’Ecole Nationale d'Ingénieurs du Val de Loire (ENIVL) de Blois.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 19:25
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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 03:14

http://www.meretmarine.com/objets/500/28591.jpg

 

21/03/2011 MER et MARINE

 

Le porte-avions Charles de Gaulle a finalement appareillé hier, cap sur la Libye. Familles, amis, journalistes, curieux... De nombreux Toulonnais sont venus saluer le départ du puissant bâtiment, qui va participer aux opérations menées contre les troupes du colonel Kadhafi. Depuis samedi, une coalition internationale, emmenée par la France, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, est entrée en action suite à une résolution des Nations Unies visant à empêcher le régime de Tripoli de s'en prendre aux populations civiles dans la zone contrôlée par les rebelles. L'aviation et les bâtiments croisant au large de la Libye ciblent différents objectifs, comme les aéronefs, la défense antiaérienne, ainsi que les moyens de communication et de commandement libyens. L'armée de l'Air française a ouvert les hostilités en engageant, samedi, une vingtaine d'appareils. Cette première vague a mobilisé 8 Rafale, 2 Mirage 2000-5, 2 Mirage 2000 D, 6 avions ravitailleurs C135 et un avion radar E3F Awacs, les appareils de combat décollant de bases françaises (Saint-Dizier, Dijon et Nancy).

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 02:34
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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 01:19
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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 07:00

http://www.lepoint.fr/images/2011/03/21/libye-operations-militaires-france-corse-276799-jpg_164216.JPG

Plusieurs vols français sont partis de la base militaire de Solenzara, en Corse. © AFP

 

21/03/2011 Le Point.fr

 

Les opérations aériennes françaises pour faire respecter la zone d'interdiction de vol au-dessus de la Libye ont repris lundi matin, a indiqué le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard. Les avions français n'ont pas survolé la Libye durant la nuit, mais ont repris leurs missions dans la matinée, a-t-il précisé. Les appareils qui partent des bases sur le territoire français, notamment de Solenzara en Corse et de Saint-Dizier (Haute-Marne), ont environ trois heures de vol pour arriver sur la zone des opérations. Le renforcement de la coalition, avec la participation d'avions d'autres pays, entraîne "un partage des responsabilités" dans la conduite des opérations, souligne l'état-major.

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 07:00

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/photo/art/default/932070-1105238.jpg?v=1300739746

 

21 Mars 2011 par Jean-Dominique Merchet

 

Pour la troisième journée consécutive, l'aviation française est intervenue aujourd'hui au-dessus de la Libye.  Pas plus que dimanche, nos avions n'ont "délivré" des armements. Les seuls tirs effectués ont eu lieu samedi vers 17h00 lorsque des avions français s'en sont pris à quatre blindés de l'armée de Kadhafi, les détruisant à proximitié de Benghazi. La zone d'intervention de l'aviation française se situe dans la région de Benghazi (est) et uniquement là. Mais elle n'est pas la seule dans ce secteur : ainsi, et contrairement à ce qui a pu être rapporté dans la presse, ce n'est l'armée de l'air qui a détruit une colonne de chars durant la nuit de samedi à dimanche. Jusqu'à présent, l'armée de l'air n'est intervenu que de jour. Au total, en trois jours, 55 sorties ont eu lieu (y compris les ravitailleurs et les Awacs) pour un total de 400 heures de vol. Les appareils sont désormais basés à Solenzara (Corse), ce qui raccourcit considérablement les vols de transit. Seuls, les Rafale équipés de la nacelle de reconnaissance NG reviennent à Saint-Dizier. Douze appareils sont désormais à Solenzara : quatre Rafale, quatre Mirage 2000D et quatre Mirage 2000-5, auxquels il faut ajouter quatre Mirage 2000-9 du Qatar qui ne sont toujours pas "officiellement" arrivés. Les avions effectuent trois types de missions dans le ciel libyen : interdiction aérienne (chasse) pour faire respecter la zone d'exclusion aérienne, reconnaissance et frappes au sol. Pour cette dernière mission, les armements employés sont des bombes guidées GBU-12 et des A2SM, l'armement sol-air modulaire.

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 01:19

http://www.lepoint.fr/images/2011/03/21/guerre-libye-sarkozy-kadhafi-276569-jpg_163946.JPG

Le bâtiment a mis le cap sur la Libye, dimanche 20 mars © Landov / Maxppp

 

21/03/2011 Le Point.f

 

 

"Flagship" français et plus gros navire de guerre militaire européen, le Charles de Gaulle met le cap sur la Libye avec, sur son pont, dans ses cales, et autour de lui, un impressionnant arsenal d'avions de chasse et de missiles, lourd de menaces pour le régime de Kadhafi. "Nos avions de chasse étaient à deux heures de vol de la Libye, maintenant, ils seront à dix minutes, c'est un gage de réactivité majeur, ils n'auront plus besoin de se ravitailler en vol", souligne une source militaire française sous le couvert de l'anonymat.

 

Le porte-avions a appareillé dimanche à la mi-journée de son port d'attache de Toulon avec 2 000 marins à son bord. En croisant à 20 noeuds (37 km/h), il ne lui faudrait que 24 heures pour rejoindre les côtes libyennes. Mais quelques heures de navigation supplémentaires seront nécessaires pour permettre à la vingtaine d'appareils de son "groupe aérien" de le rejoindre en haute mer et d'effectuer quelques exercices d'appontage, une "mise en jambe" indispensable.

 

Un signe militaire très fort

 

Le groupe aérien sera fort de quatorze avions de chasse, huit Rafale Marine mais aussi six vénérables et éprouvés Super Étendards. Deux appareils de contrôle aérien Hawkeye, sortes d'Awacs miniatures conçus pour être embarqués, ainsi que cinq hélicoptères complètent ce dispositif. Parmi ces hélicoptères figurent de très récents et versatiles Caracal, utilisés par les forces spéciales françaises et susceptibles d"'extraire" des équipages d'avions de chasse alliés qui seraient contraints de s'éjecter au-dessus du territoire libyen. Eux aussi seront désormais à petite distance des côtes. "Plus qu'un signe diplomatique, c'est un signe militaire très fort", ajoute-t-on de même source. Il s'agit de consacrer le leadership diplomatique, politique et désormais aussi militaire endossé par la France.

 

Le Charles de Gaulle, fait-on valoir, sera, au moins dans un premier temps, seul de son espèce au large des côtes libyennes. Ni les États-Unis ni les autres nations européennes n'ont prévu pour le moment de déployer leurs porte-avions ou porte-aéronefs dans la zone. Très concrètement, les avions de chasse du porte-avions seront aux premières loges pour faire respecter la zone d'exclusion aérienne décrétée par l'ONU dans le ciel libyen. Mais les Rafale, dans leur version marine et contrairement à leurs cousins de l'armée de l'air, disposent aussi de missiles anti-navires Exocet AM 39. Ils ne laisseraient aucune chance à la marine libyenne si, par extraordinaire, il venait à l'esprit du colonel Kadhafi de mettre à exécution sa menace de transformer la Méditerranée en "champ de bataille".

 

Trois frégates en escorte

 

Samedi soir, des navires et sous-marins américains et britanniques ont lancé une première vague d'environ 110 missiles Tomahawk sur une vingtaine d'objectifs stratégiques libyens. Le fleuron de la marine nationale pourrait à son tour entrer dans la danse avec ses missiles de croisière Scalp, dont la portée serait supérieure à un millier de kilomètres. "Les Scalp pourraient être très utiles pour frapper des cibles bien protégées, à longue distance, et inaccessibles à l'aviation en raison de leur éloignement, des conditions météo ou des défenses aériennes", explique-t-on encore de source militaire.

 

Le Charles de Gaulle sera, de surcroît, escorté par trois frégates, l'une anti-sous-marine, le Dupleix, l'autre anti-aérienne, le Forbin, une troisième multimission, l'Aconit, et par un pétrolier ravitailleur, la Meuse. Un sous-marin nucléaire d'attaque assurera également sa protection rapprochée. Et tous ces navires disposent d'un armement redoutable.

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 00:06

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a7/Logo_de_l%27Assembl%C3%A9e_nationale_fran%C3%A7aise.svg/200px-Logo_de_l%27Assembl%C3%A9e_nationale_fran%C3%A7aise.svg.png

 

lundi 21 mars 2011, sélectionné par Spyworld

 

La commission de la défense nationale et des forces armées a nommé M. Michel Grall rapporteur d’une mission d’information sur la fin de vie des équipements militaires, le 24 mars 2010.

 

L’épisode douloureux du démantèlement du porte-avions le Clemenceau, commencé en 2003, a mis en lumière les faiblesses du dispositif français de traitement des matériels en fin de vie. Cet épisode, qui restera comme un évènement marquant de l’histoire militaire récente, vient à peine de se terminer avec l’achèvement du démantèlement de la coque Q 790 au Royaume-Uni à la fin de l’année 2010.

 

La fin de vie est une question complexe car elle est à la confluence d’enjeux opérationnels, financiers, environnementaux, juridiques, industriels et commerciaux.

 

Compte tenu de l’ampleur du sujet et de la diversité des contributions, il revient au Parlement de dresser un état des lieux global sur la fin de vie des équipements, incluant non seulement leur démantèlement mais aussi leur possible exportation, sur le périmètre le plus large possible. Cette réflexion prend en compte le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, dont les préconisations, intégrées dans la loi de programmation militaire adoptée en 2009, conduisent à la réduction de format des armées et libèrent un nombre conséquent de matériels disposant encore de potentiel sur l’ensemble de la période concernée par la loi de programmation militaire (2009-2014).

 

Pour le rapporteur, il s’agit de partir de ce constat pour définir ce que pourrait être une stratégie optimale de gestion de nos matériels en fin de vie, qu’il s’agisse du démantèlement ou de la politique d’exportation d’équipements d’occasion, encore modeste au regard des opportunités. Il a pris en compte dans sa réflexion l’ensemble des équipements de la défense, navals, terrestres ou aéronautiques, ainsi que ceux de la dissuasion et les munitions.

 

Le rapporteur a non seulement mené un large panel d’auditions en France, mais s’est également efforcé d’étudier les dispositifs mis en place par nos principaux partenaires : États-Unis, Royaume-Uni et Allemagne.

 

Il apparaît que le nucléaire constitue un sujet spécifique qui doit être traité séparément, l’excellence française dans le domaine devant être conservée. En ce qui concerne les autres matériels, la France a adopté une approche pragmatique pour le démantèlement. Cependant, elle se prive du levier d’influence qu’est l’exportation de matériels d’occasion. Au final, le rapporteur préconise d’adopter une stratégie de la fin de vie inscrite dans une approche globale et optimisée du cycle de vie des matériels.

 

Lire le rapport

 

Voir la Présentation du rapport d’information sur la fin de vie des équipements militaires (M. Michel Grall, rapporteur)

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 23:43

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0d/Gaule96.jpg

 

21/03/2011 AEROCONTACT par Elizabeth Pineau

 

PARIS, 21 mars (Reuters) - Une vingtaine d'appareils de l'armée de l'air française sont intervenus lundi au-dessus de la Libye dans le cadre des opérations de la coalition internationale contre les forces de Mouammar Kadhafi, a déclaré le porte-parole de l'état-major français."Un véhicule blindé a été détruit à une centaine de kilomètres au sud de Benghazi par un Mirage 2000-D", a annoncé le colonel Thierry Burkhard à la fin des opérations. "A l'issue, une passe de reconnaissance a été effectuée et a permis de confirmer qu'il n'y avait aucune perte civile". Au premier jour de l'intervention, samedi, d'autres frappes françaises avaient entraîné la destruction de quatre véhicules militaires libyens. En trois jours, les avions français ont effectué 55 sorties pour 400 heures de vol, a indiqué le colonel Burkhard en fin d'après-midi lors du point de presse quotidien au ministère de la Défense. Lundi, un avion de surveillance Awacs et six avions ravitailleurs ont contribué au déploiement dans le ciel libyen de six patrouilles constituées de Mirage et de Rafale. Le porte-avions Charles-de-Gaulle, qui a appareillé dimanche de Toulon, sera opérationnel mardi au large des côtes libyennes avec son groupe aéronaval. "Le porte-avions a récupéré l'ensemble de son groupe aérien hier en fin d'après-midi. Il sera en mesure de conduire ses premières missions aériennes au-dessus de la Libye dès demain", a dit Thierry Burkhard. "La montée en puissance se poursuit" par ailleurs sur la base aérienne de Solenzara, en Corse. "Ce matin, des missions ont été réalisées à partir de cette base en direction de la Libye. Ce soir, de nouveaux appareils y seront stationnés après avoir effectué leurs missions au-dessus de la Libye", a dit le porte-parole de l'état-major.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 22:49

http://en.rian.ru/images/16302/82/163028282.jpg

 

PARIS, March 16 (RIA Novosti)

 

A Russian-French contract on the construction of Mistral class helicopter carriers for the Russian Navy is unlikely to be signed in the near future, a Russian deputy defense minister said. Russia and France in January signed an intergovernmental agreement to jointly build two Mistral-class helicopter carriers at the STX shipyard in Saint-Nazaire, France. Another two are planned to be constructed later at the Admiralty Shipyards in St. Petersburg. However, the sides have since experienced difficulties in agreeing the terms of the actual contract between Russian state-arms exporter Rosoboronexport and French DCSN company. "The negotiations have not been easy so far, I would even describe them as tough," Anatoly Antonov told reporters in Paris on Tuesday during a visit of Russian Defense Minister Anatoly Serdyukov to France. "It is too early to talk about specific dates, and too many technical details have yet to be settled. The contract must be adapted to our conditions. Experts will have to do a difficult and skillful job to adjust all parameters of the future contract," Antonov said. The official added that Russia prioritized the purchase of Mistrals with full technology transfer. The overall price of the contract was also a "big issue," he said.

 

According to Russian media, the initial talks in February reached an impasse after France increased the total price tag from 980 milllion euros to at least 1.15 billion euros for the first two ships to be built in France. In addition, France insists on signing a separate contract for licensed construction of two Mistrals in Russia. Antonov said Russia would not push for a quick conclusion of negotiations because their results must meet the interests and requirements of both sides. A Mistral class ship is capable of carrying 16 helicopters, four landing vessels, 70 armored vehicles, and 450 personnel. Russia plans to deploy the first two Mistral ships in the Pacific to protect the four Kuril Islands, which Russia has disputed with Japan since World War II.

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 20:08

http://www.clusterdefensesecurite.fr/templates/siteground-j15-94/images/headerimg.jpg

 

20 mars 2011 Vendre à la défense

 

Au total, en 2010, 24 nouvelles « urgences opérations » (UO) ont été lancées principalement au profit de trois théâtres : Afghanistan, le Golfe d'Aden et les Antilles. Parmi ces 24 UO, sept concernaient la protection des forces, cinq les moyens de communication et douze les capacités au combat. Elles ont représenté un investissement total de 160 M€. Le budget 2010 des UO est en baisse par rapport à celui de 2009 : 260 M€ avaient été investis dans 35 urgences opérations. Les trois théâtres concernés par les urgences opérations ont chacun leurs spécificités. L'Afghanistan est caractérisé par un renforcement de la protection du combattant, des capacités de combat de nuit et de l'interopérabilité des moyens de communication. Tandis que pour le Golfe d'Aden et les Antilles, une surveillance accrue est requise contre la piraterie et le narcotrafic. Pour 2011, les prévisions d'investissement sont au même niveau que 2010, voire à la baisse.

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 14:30
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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 07:00
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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 02:49

http://www.meretmarine.com/objets/500/5141.jpg

 

18 Mars 2011 LaMancheLibre

 

Le premier tronçon composant la coque du Duguay-Trouin, le deuxième de la série des sous-marins nucléaires d'attaque de type Barracuda, vient de quitter sa nef de préfabrication du centre DCNS de Cherbourg. Le sous-marin d’attaque Barracuda est une composante majeure des forces de projection pour la Marine Nationale. Outre la lutte anti-surface et anti-sous-marine, le Barracuda compte parmi ses missions le recueil de renseignement, la mise en œuvre de forces spéciales (commandos) et la capacité de frappe contre la terre. Un premier jalon de production franchi dans les délais et un symbole fort puisqu’avec ce premier tronçon, le sous-marin prend réellement forme. Le programme Barracuda conduit par la Direction générale de l’armement (DGA) prévoit la livraison de six sous-marins entre 2017 et 2028.

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 01:57

http://www.spyworld-actu.com/IMG/arton14518.jpg

 

jeudi 17 mars 2011, sélectionné par Spyworld

 

Au sein de la DGA, le service des affaires industrielles et de l’intelligence économique (S2IE) publie chaque année la nouvelle version de son calepin international. Enrichi du Brésil, de l’Inde et de la Corée du Sud à l’occasion de sa version 2011, cet ouvrage de référence présente un vaste panorama de l’industrie de défense mondiale en diffusant des données synthétiques sur de nombreuses sociétés françaises et étrangères du secteur de l’aéronautique, de l’espace et de la Défense. On y retrouve pour chacune d’elles le nom de leurs dirigeants, de leurs principales filiales, des accords de coopération, leurs données économiques ou encore leurs principaux programmes.

 

- Pour télécharger le calepin, cliquez ici

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 01:23
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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 00:23

http://www.meretmarine.com/objets/500/29045.jpg

La frégate de défense aérienne Forbin crédits : MARINE NATIONALE

 

18/03/2011 MER et MARINE

 

En attendant un possible ordre d'appareillage du porte-avions Charles de Gaulle, actuellement à quai à Toulon, la frégate de défense aérienne Forbin vient d'arriver au large de la Libye. Ultramoderne, ce bâtiment, entré en service fin 2010, sera à même de participer à la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne. Ses radars et son système de combat lui permettent, notamment, de détecter et pister des aéronefs situés dans un rayon de 400 kilomètres. Le Forbin peut également, grâce à ses missiles surface-air Aster, détruire simultanément plusieurs cibles avec une portée de l'ordre de la centaine de kilomètres. Cette capacité lui permet, notamment, de pouvoir offrir à rempart à la menace du colonel Kadhafi de mener des raids de représailles en Méditerranée au cas où la communauté internationale interviendrait militairement en Libye.

Hier soir, le Conseil de sécurité de l'ONU a autorisé le recours à la force armée contre les troupes fidèles au dictateur libyen. La résolution des Nations Unies, notamment portée par la France, ouvre la voie à des frappes aériennes et, surtout, vise à empêcher l'aviation du colonel d'intervenir à l'encontre des insurgés, qui ont reflué ces derniers jours face aux troupes de Tripoli. Les forces aériennes occidentales pourront intervenir de deux manières. Soit à partir de bases terrestres situées sur le littoral méditerranéen, soit via des porte-avions. Dans ce dernier cas, seuls les Etats-Unis et la France disposent des moyens nécessaires. Le Charles de Gaulle, en alerte à Toulon, peut appareiller en moins de 72 heures et, si tel est le cas, être sur zone d'ici mardi. Mais d'ici là, il y a fort à parier que les premières sorties aériennes interviendront depuis des bases terrestres, Paris n'ayant "malheureusement" pas décidé de prépositionner son porte-avions quelques jours à l'avance.

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 22:32
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 22:21

http://www.meretmarine.com/objets/500/31686.jpg

UN PCNO de sous-marin français

crédits : MARINE NATIONALE

 

16/03/2011 MER et MARINE

 

L'intégration progressive d'équipements et d'armes toujours plus nombreux et complexes sur les navires de combat a conduit au développement de systèmes intelligents capables de gérer et d'exploiter les informations transmises par les senseurs. Cet interfaçage constitue le système de combat (SC), dont le cerveau informatique, le Système de Management de Combat ou Combat Management System (CMS), traite les informations, présente une situation tactique et propose des actions liées à la mise en oeuvre des systèmes d'armes ou de contre-mesures. Ce traitement est réalisée dans la partie « temps réel » du CMS , le Système de Direction de combat (SDC), par opposition à la partie « temps réfléchi », le système d'aide au commandement. En Europe, plusieurs acteurs, comme DCNS, Thales et Atlas Elektronik, ont une solide réputation dans le domaine des systèmes de direction de combat. Actuellement, la plupart des SDC sont dits « fédérés », les différents systèmes élémentaires communiquant via des interfaces. Cette architecture favorise les partages industriels et autorise le fonctionnement dans des modes dégradés , ce qui requiert la présence du personnel adéquat. Depuis l'origine, la Marine Nationale a opté pour des SDC « centralisés », avec deux objectifs : l'élaboration d'une situation tactique unique et partagée au sein de la Force navale et la recherche d'une intégration fonctionnelle toujours plus poussée.

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 22:15
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 21:11
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 20:58

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/media/01/02/479925098.jpg

 

16.03.2011 par P. CHAPLEAU Lignes de défense

 

En janvier dernier, la Marine nationale avait fait le choix d'avoir recours à un prestataire de service privé pour la formation de ces marins. Le montant du contrat avec la société V Navy est de 4 millions d'euros par an pour la prestation du VN Partisan et celle de son sister-ship, le VN Rebel qui lui sera basé à Toulon."

à Toulon."

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 18:45

AssNat.jpg

 

Mercredi 9 mars 2011 Séance de 10 heures Compte rendu n° 29

 

Présidence de M. Guy Teissier, Président

 

– Audition de M. Christian Mons, président du groupement des industries françaises de défense terrestre (GICAT)

– Informations relatives à la commission

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