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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 07:30
photo EMA / Armée de l'Air

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12/08/2015 Sources : État-major des armées

 

C’est sur la base aérienne projetée (BAP) en Jordanie, que s’est déroulé le 10 août 2015 un exercice conjoint de Force Protection réunissant soldats français, jordaniens et américains. Objectifs de l’exercice : entraîner les personnels et renforcer la coordination entre partenaires.

 

Lorsque la sirène s’est déclenchée, l’ensemble du personnel désigné a instantanément pris les mesures adaptées de réaction contre la menace. Rassemblement du personnel devant le JDOC (Joint Defense Operation Center - c’est le centre névralgique de gestion de crise), distribution des équipements de protection balistique, test des moyens de communication, rappel des consignes, etc., les groupes d’autoprotection se sont préparés en un laps de temps très court, afin de réagir de manière très réactive à une éventuelle agression. Les postes de combat ont été armés, la surveillance statique et les patrouilles dynamiques mises en place, et le dispositif de protection de la BAP a été considérablement renforcé.

Côté français, le but de cet exercice organisé par le détachement de protection de la BAP était d’entraîner collectivement les militaires non-spécialistes de la protection à réagir face à une menace extérieure. Tandis que les Jordaniens avaient en charge les animations (intrusions, agression, etc.), les partenaires ont réagi, conjointement, et se sont coordonnés pour faire face aux menaces et adopter la réaction appropriée.

A l’issue de l’exercice, le chef du détachement de protection français a exprimé sa satisfaction à l’ensemble des soldats : les objectifs ont été atteints, et chacun a fait preuve d’une grande réactivité.

 

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photo EMA / Armée de l'Air

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 07:25
photo Royal Navy

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20/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 16 au 19 août 2015, le bâtiment de soutien britannique de la Royal Fleet Auxiliary (RFA) Lyme Bay a effectué une escale technique à la base navale militaire de Fort-de-France.

 

Durant cette escale, l’équipage du Lyme Bayet les militaires des forces armées aux Antilles (FAA) ont échangé à la fois sur leurs capacités à planifier et délivrer un soutien aux opérations de secours ou de gestion de crise, mais également à mener des opérations de lutte contre le narcotrafic en mer des Caraïbes. Ainsi, le commandant du Lyme Bay - le capitaine de vaisseau Paul Minter - a déclaré : « Nous sommes heureux de venir en Martinique, de pouvoir ainsi renouveler les contacts avec nos homologues français et travailler de concert à l’élaboration d’entraînements communs».

A cette occasion, l’équipage britannique a pu visiter les ateliers militaires de la base navale militaire de Fort-de-France qui dispose en effet de services de maintenance technique adaptés aux besoins des bâtiments militaires, qu’ils soient français ou alliés.

Le soutien apporté pour cette escale technique mais également les échanges d’expertise entre militaires français et britanniques sont autant d’actions concrètes témoignant de la volonté commune de nos deux nations d’entretenir et de renforcer la relation de défense franco-britannique.

 

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photo EMA / Marine Nationale

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 07:20
photo Armée de l'Air

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11/08/2015 Armée de l'air

 

Un détachement de 15 spécialistes de la section d'intervention NRBC (nucléaire radiologique bactériologique et chimique) de l'escadron de sécurité incendie et sauvetage de la base aérienne 120 de Cazaux a participé, du 13 au 31 juillet 2015, à l'exercice NRBC « Precise Response 2015 » organisé sur le site de Suffield au Canada.

 

Cet entraînement « grandeur nature » se déroulait au sein du centre de technologie de contre-terrorisme (CTTC), lieu unique au monde accueillant chaque année depuis 2004 cet exercice Otan de référence.

 

Accompagnée de spécialistes de l’armée de terre, d'une équipe du service de santé des armées et d'officiers de police judiciaire de la Gendarmerie de l'air, la section d’intervention cazaline s'est exercée aux techniques de prélèvement et d'identification d'agents NRBC réels.

 

Les nations y viennent en nombre (cette année : Allemagne, Belgique, Canada, Danemark, États-Unis, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni) pour s'exercer au cours de scénarios complexes mettant en scène laboratoires clandestins, dispositifs de dispersion ou encore engins explosifs improvisés.

photo Armée de l'Air

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 07:20
photo EMA / Marine Nationale

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17/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 15 août 2015, la frégate de lutte anti sous-marine Montcalm a conduit au large des côtes chypriotes des activités de coopération avec le destroyer américain USS Porter.

 

Réalisée alors que cette année célèbre le 71ème anniversaire du débarquement en Provence au cours duquel le croiseur Montcalm s’était illustré par l’efficacité de son appui feu, cette opération était riche de sens pour les équipages.

Le Montcalm et l’USS Porter ont réalisé des entraînements conjoints de lutte anti sous-marine, de liaison de données tactiques et de tir au canon sur une cible flottante. Ces entraînements conduits avec succès visaient à entretenir la capacité de la marine nationale et de l’US Navy à opérer conjointement et immédiatement si cela devait être nécessaire.

En outre, un échange de personnel a permis à dix marins du Montcalm de monter à bord du destroyer américain le temps d’une journée, tandis que dix marins américains étaient accueillis par leurs homologues français. Le Lynx de la flottille 34F a également pris part aux échanges en effectuant plusieurs appontages, décollages et du vertical replenishment (ravitaillement vertical) sur la plateforme hélicoptère du bâtiment allié.

 

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photo EMA / Marine Nationale

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 17:30
photo Marine Nationale

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20/08/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 12, 13 et 17 août 2015, un avion de surveillance maritime Falcon 50 de la Marine nationale a de nouveau survolé la Méditerranée centrale à des fins de renseignement sur le trafic dans cette zone. Depuis le 3 juillet, la France apporte une contribution opérationnelle à l’opération EUNAVFOR MED, lancée le 22 juin 2015 par l’Union européenne.

 

Lire la suite de l'article...

 

Note RP Defense : op. EUNAVFOR MED sur Facebook

EUNAVFOR MED : Trois nouvelles missions aériennes de renseignement

La Marine nationale participe de façon permanente et à hauteur de 10% de ses effectifs, à la protection du territoire national. Ainsi, plus de 3000 marins sont engagés en métropole (500  outre-mer) au titre des opérations permanentes de protection du territoire national.

 

L’ensemble des unités de la Marine participe à un dispositif permanent de renseignement, de surveillance et d’actions, à terre comme en mer, de mise en sécurité globale du littoral métropolitain et de ses approches sur près de 6000 km de côtes.

 

Ainsi un Falcon 50 a été déployé ces dernières semaines en Méditerranée afin d’assurer une mission de sûreté des approches maritimes du territoire.

 

Le  Falcon 50 est un avion de surveillance et d’intervention maritime (AVSIMAR), remplissant des missions de :

- surveillance (ZEE, approches maritimes), recherche de renseignement ;

- secours (SECMAR (secours maritime), SAR (search and rescue)) ;

- lutte contre les pollutions maritimes ;

- surveillance et police des pêches ;

- surveillance et lutte contre les trafics illicites (narcotrafic, piraterie, immigration clandestine).

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:55
Crédits http://www.charleslindbergh.com

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26.08.2015 source SHD

 

26 aout 1346 : bataille de Crécy (Somme). Cruelle défaite française face aux troupes anglaises d’Edouard III. Les Français lancent des charges de cavalerie désordonnées et inefficaces face à des Anglais retranchés derrière leurs archers.  Environ 4000 hommes du camp français périssent dont 1542 chevaliers, alors que les Anglais ne déplorent que 300 morts. L’armée française étant décapitée, Edouard poursuit vers Calais qu’il va assiéger pendant toute une année. La reddition de la ville donnera lieu au fameux épisode des bourgeois de Calais, popularisé par la sculpture célèbre de Rodin.

 

26 aout 1880 : naissance d’Apollinaire (Rome). Wilhelm Apolinaris de Kostrowitzky, de son vrai nom, est d’origine polonaise. Il s’engage dans l’armée française en décembre 1914. Naturalisé français le 9 mars 1916 il est blessé le 17, quelque jours plus tard et décède le 9 novembre 1918.

 

26 aout 1905 :  début de production de masse de sous-marins. Le ministre de la Marine ordonne la construction de 21 sous-marins (18 à vapeurs, 3 diesel). L’année 1905 est une année charnière pour le sous-marin puisqu’elle voit le départ de Camille Pelletan et l’arrivée de Gaston Thomson à la barre du Ministère mais aussi le choix du moteur diesel pour la propulsion future de ces nouveaux engins. A noter que l’autonomie en plongée de la classe Aigrette (Diesel) n’est à cette époque que de 4 minutes.  Pour les passionnés de sous-marins et plus particulièrement de leur propulsion, voir l’ouvrage extrêmement riche et intéressant  la propulsion du sous-marin français des origines à 1940 de Dominique Brisou (SHD – 2007) et d’une manière plus large l’encyclopédie des sous-marins de l’amiral Thierry d’Arbonneau.

 

26 aout 1914 : reddition du Togo allemand. Première victoire alliée alors que sur le front franco-allemand, Français et Britanniques sont en pleine retraite

 

26 aout 1914 : Gallieni est nommé Gouverneur de Paris.

 

26 aout 1974 : mort de Charles Lindbergh (Hawaï). Il est le premier à avoir traversé en solitaire l’Atlantique à bord du Spirit of Saint Louis (entre le 20 et le 21 mai 1927).

Deux semaines avant cette traversée, les Français Nungesser et Coli ont disparu dans l’Atlantique Nord en tentant de rééditer l’exploit des britanniques Alcox et Brown (en 1919 !). De ces 3 aventures, la postérité n’a réellement retenu que celle de Lindbergh. Joli geste de ce dernier : juste après sa traversée réussie, sa première visite est pour la mère du lieutenant Nungesser. Lire l’excellent dossier que le Figaro Histoire (N°21) consacre aux Merveilleux fous volants – naissance de l’aviation.

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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05/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 3 août 2015, la force Sangaris a cédé la base opérationnelle avancée (BOA) de Bambari au bataillon congolais de la MINUSCA.

 

Au cours d’une cérémonie co-présidée par le colonel Seiler, chef du Groupement tactique inter-armées (GTIA) Centurion, le drapeau français a laissé place à celui de l’Organisation des Nations-Unies (ONU), marquant ainsi symboliquement la cession à la MINUSCA.

Parallèlement au déploiement de la MINUSCA, la force Sangaris achève la réarticulation de son dispositif. Elle constitue désormais une force de réaction rapide en appui des Casques bleus.

Le rôle de Sangaris à Bambari s’est avéré déterminant depuis le début de l’opération. C’est la déclinaison régionale des propos tenus par Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, lors de sa visite en Centrafrique le 22 juillet 2015: «  l’action décisive de Sangaris (…) a permis d’éviter une crise humanitaire et de nombreux massacres dans le pays mais aussi le plein déploiement de la MINUSCA ».

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
Sangaris : destruction de munitions

 

24/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 11 août 2015, les sapeurs du GTIA Centurion ont détruit près de six tonnes de munitions inaptes au service.

 

Ces munitions, qui provenaient des différentes unités élémentaires et détachements de la force Sangaris, étaient fortement oxydées en raison des caractéristiques du climat et devenues sujettes à des dysfonctionnements. C’est dans ce cadre que les sapeurs du 1er régiment étranger de génie ont procédé à leur destruction par fourneau. Les munitions (cartoucherie, roquettes, missiles, grenades), recouvertes d’explosifs, ont été ensevelies à l’aide d’engins du génie dans 5 fosses différentes.

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Sangaris : destruction de munitions
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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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26/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Les 22 et 23 août 2015, les éléments du sous-groupement aéromobile (SGAM) réduit du détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT) du 5e Régiment interarmes d’outre-mer (RIAOM) ont quitté le sol djiboutien pour participer à l’opération Barkhane au Sahel. Ce détachement autonome comprend deux hélicoptères Puma avec équipages et équipe de maintenance.

 

Désigné sous très court préavis, le DETALAT a intensifié durant quinze jours sa mise en condition opérationnelle pour être prêt à intervenir en milieu désertique. Sur le plan matériel, les mécaniciens ont tout mis en œuvre pour assurer la disponibilité technique des 2 Puma et les configurer pour leur embarquement à bord d’un avion-cargo. Les équipages désignés pour cette projection ont suivi un programme intensif entre instruction et entraînement au sol et en vol. Avec ses capacités de manœuvre et d’assaut, en soutien ou appui des troupes au sol, la composante aérocombat des FFDj a succédé à un détachement de l’armée de l’Air dans la lutte contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne. Expérimentés et rompus aux conditions extrêmes, les équipages du DETALAT ont abordé leur mandat de 8 semaines avec détermination.

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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13/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 9 août 2015, quatre avions de chasse de type Rafale ont atterri à N’Djamena pour permettre la relève des équipages et des chasseurs engagés depuis 2 mois.

 

Les Rafale partis de France ont atteint le Tchad après plus de 4 heures de vol. Ils resteront à N’Djamena pour une durée de quatre mois, et les équipages seront relevés au bout de deux mois. Ces appareils monoplaces remplacent quatre Rafale biplaces rentrés en France dès le lendemain. Ils conduiront les mêmes missions que leurs prédécesseurs.

 

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photo EMA / Armée de Terre

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
photo EMA

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26/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 12 août 2015, le Détachement de liaison environnement opérationnel (DLEO) de la force Barkhane a effectué une patrouille dans la ville de Gao au Mali.

 

Le DLEO est composé, entre autres, d’une équipe chargée de mener des actions civilo-militaires (ACM) dont l’une des missions est d’établir le contact, puis d’entretenir des liens avec les populations locales. Les patrouilles du DLEO cherchent donc à dialoguer avec la population de Gao, afin de faire connaître les missions et les actions menées par la force Barkhane. L’action du 12 août 2015 s’est déroulée au marché Boiteux, du nom du premier soldat français mort au Mali pendant l’opération Serval.Entièrement reconstruit par la force Serval en 2013, ce marché représente aujourd’hui un pôle important de l’activité économique locale de la ville de Gao.

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photo EMAphoto EMA

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
photo ECPAD

photo ECPAD

 

18/08/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du  4 au 13 août 2015, la force Barkhane a mené une opération au nord-ouest du Mali dans la région de Tombouctou. Cette opération tripartite baptisée « Aneto » fut conduite en coopération avec les forces armées maliennes (FAMa) et en collaboration avec la mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).

 

En liaison avec les militaires maliens, les soldats de Barkhane ont effectué des contrôles de zone et des reconnaissances de villages au cours desquels ils ont pris contact avec les chefs locaux. Ceux-ci ont pu renseigner les soldats sur la situation sécuritaire notamment sur la présence de groupes armés terroristes dans la région. En plus de marquer la présence des forces de sécurité dans cette région, ANETO a été l’occasion de prendre contact et effectuer des aides médicales auprès de la population locale (AMP). C’est ainsi que, en parfaite coordination, les médecins maliens et français ont ausculté et soigné plus de 400 personnes, adultes et enfants. 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:40
BPC Vladivostok - photo RP Defense

BPC Vladivostok - photo RP Defense

 

26.08.2015 LeFigaro.fr (AFP)

En sa qualité de porte-parole du gouvernement français, Stéphane Le Foll a annoncé ce midi que la non-livraison des deux navires de guerre Mistral à la Russie était inférieure à un milliard d'euros. 


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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:30
photo EMA

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24/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 18 août 2015, la Force Commander Reserve (FCR) et un contingent des Forces Armées Italiennes de la FINUL ont terminé un cycle d’une semaine d’instructions et d’entraînements en communs.

 

En tant que force de réaction rapide (QRF, quick reaction force), la FCR a pour mission d’appuyer en cas de besoin, les 39 contingents de la FINUL stationnés dans le Sud Liban. Chaque contingent utilise des matériels et des procédures singulières et les différences culturelles peuvent être importantes. Les périodes d’entraînement conjoints sont donc essentielles pour conserver un bon niveau d’interopérabilité.

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:20
DHC-6 Twin Otter 440 SQN

DHC-6 Twin Otter 440 SQN

 

05/08/2015 Armée de l'air

 

Du 12 au 23 juillet 2015, des équipages de l’escadron de transport 3/61 “Poitou” se sont rendus à Yellowknife, capitale des territoires du Nord-Ouest, au Canada.

 

Lors de ce déplacement, les équipages français ont évalué la façon dont l’aviation royale canadienne emploie ses DHC-6 Twin Otter, avion de transport et de soutien logistique, sur des terrains austères en Arctique.

 

Après quelques briefings au sol par les instructeurs du 440 SQN, escadron de transport «Vampire», les équipages français ont pu réaliser plusieurs vols en compagnie de leurs homologues canadiens. Le déplacement a également permis d’échanger avec les équipages de  C130 canadiens opérant au profit du Commandement des Forces Spéciales Canadiennes au sujet des opérations en cours, des procédures employées et des programmes de modernisation respectifs.

 

Découvrez ci-dessous les opérations menées par le 440 SQN et les forces armées canadiennes en zone arctique.

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 15:55
Où vont accoster les deux Mistral russes ?  - photo Grigory Sysoev Sputnik

Où vont accoster les deux Mistral russes ? - photo Grigory Sysoev Sputnik

 

26/08/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Egypte, Afrique du Sud, Brésil, Canada, Inde, Malaisie, Singapour... Une dizaine de pays sont intéressés par les deux Mistral initialement destinés à la Russie.

 

Les deux Bâtiments de projection et de commandement (BPC), de type Mistral, destinés initialement à la Russie, intéressent une dizaine de pays, qui veulent acquérir ce type de navire de guerre. Parmi les pays cités régulièrement dans la presse figurent Singapour, l'Inde, le Brésil, l'Egypte, l'Arabie Saoudite,le Canada et le Brésil... A cette liste, il faut rajouter désormais la Malaisie, qui souhaite depuis une dizaine d'années s'offrir un tel bâtiment. Deux autres pays ont également exprimé un intérêt, selon nos informations, pour les Mistral russes : les Emirats Arabes Unis et l'Afrique du Sud. Selon un responsable français s'exprimant sous couvert d'anonymat et cité par les agences Reuters et AFP, les discussions sont "assez avancées".

Mandaté par Bercy, le groupe naval DCNS est chargé de la vente des Mistral. D'autant que la France va récupérer la propriété des deux Mistral une fois réalisé le remboursement des deux bâtiments à la Russie. Le projet de loi entérinant l'accord intervenu début août entre Paris et Moscou après la décision de la France de ne pas livrer deux navires de guerre Mistral à la Russie a été présenté ce mercredi en conseil des ministres. Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a précisé à l'issue du conseil le remboursement des deux bâtiments sera "inférieur à un milliard d'euros".

"Ce sera présenté de manière précise devant les parlementaires et ça comprend le remboursement de toutes les avances qui avaient été faites par les Russes", a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres. Ce projet de loi était "nécessaire parce qu'il y avait un traité international avec des conséquences budgétaires", a relevé Stéphane Le Foll, réaffirmant que "le coût pour la France est inférieur à un milliard d'euros" et que "le chiffre précis sera présenté devant les parlementaires".

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 14:55
"Questions Stratégiques" - un MOOC sur les grands enjeux de notre époque

 

26.08.2015 source CSFRS

 

Début des cours le 14 septembre 2015

 

Le Conseil Supérieur de  la Formation et de la Recherche Stratégique vous informe de l'ouverture des inscriptions au premier MOOC (Massive Open Online Courses) ou CLOM (Cours en Ligne Ouvert et Massif) portant sur les questions stratégiques. Les cours seront diffusés en partenariat avec le CNAM sur sur la plateforme FUN à compter du 14 septembre prochain et pour une durée de 7 semaines.

 

Ils réunissent une quarantaine de professeurs issus de nombreux horizons de la communauté stratégique. Ils ont pour objectif de sensibiliser les apprenants aux questions stratégiques et de mettre en évidence les facteurs déterminants de l’analyse de situation et de la prise de décision stratégiques. Ces cours sont gratuits, ouverts à tout public et sans prérequis.

 

Vous trouverez ci-dessous le lien permettant d'accéder à une présentation plus détaillée avec notamment les noms des différents intervenants, le programme proposé ainsi qu'un film de présentation.

 

Pour toute autre précision complémentaire

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre / ECPAD

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05/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 20 juillet au 1er août 2015, le groupement tactique désert Est (GTD-E) Chimère et les forces armées nigériennes ont mené l’opération Kounama 4 dans la région de la passe de Salvador. S’inscrivant dans la lignée des précédentes opérations Kounama, cette quatrième opération avait pour objectif de perturber les flux des groupes armés terroristes transitant au Nord-Niger.

 

Les militaires français, au nombre de 200, accompagnés de 50 soldats nigériens, ont été engagés dans cette opération débutée dans la nuit du 20 au 21 juillet 2015 par le largage de 90 parachutistes du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de Marine (RPIMa) et du 35e Régiment d'artillerie parachutiste (RAP). Profitant de ce mode de mise en place discret et offrant un effet de surprise maximum, les hommes du GTD-E ont installé un dispositif de surveillance en profondeur des mouvements de groupes armés terroristes dans la zone.

Après plusieurs jours en autonomie aux confins du Nord-Niger, les parachutistes ont été rejoints par une colonne routière (peloton blindé du 3e Régiment de hussards, éléments de soutien du GTD-E et des forces armées nigériennes) précédemment partie de la base avancée temporaire de Madama.

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 07:30
photo EMA

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04/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 28 juillet 2015, la Force Commander Reserve (FCR) a simulé dans l’enceinte du camp de Dayr Kifa un exercice MASCAL, mettant en scène l’explosion d’un missile Milan à l’intérieur d’un véhicule blindé léger (VBL). Les blessés fictifs ont été pris en charge par les différentes équipes médicales arrivées sur zone avec l’appui d’une équipe d’alerte comprenant les prévôts et les pompiers.

 

Le plan MASCAL (Mass Casualties) est une procédure déclenchée pour faire face à un afflux massif de blessés sur un théâtre d’opération extérieure. Un incident est qualifié de MASCAL dès que le nombre de blessés dépasse les capacités de prise en charge du poste médical concerné. La mise en œuvre de cet exercice consistait à entraîner le poste médical de l’unité, le centre opérations, la cellule de crise et tous les acteurs du contingent français. Les équipes ont coordonné leurs efforts pour secourir les victimes fictives et organiser leur évacuation vers les hôpitaux libanais les plus proches. Les plus gravement touchés ont été évacués par hélicoptère.

 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 07:20
Comment les Etats-Unis espionnent en France... légalement

 

05/08/2015 Par Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Les États-Unis utilisent le droit comme une arme pour espionner les entreprises étrangères, estime le député PS, Jean-Jacques Urvoas. Aujourd'hui, c'est au tour du Crédit Agricole d'être dans les mailles du filet de la justice américaine.

 

BNP Paris, Alstom... et maintenant Crédit Agricole. Des litiges qui permettent Washington d'espionner légalement de grands groupes français et étrangers, "un espionnage paré des vertus de la légalité", comme l'explique dans son rapport sur le renseignement le député Jean-Jacques Urvoas. Pour le député PS du Finistère, la ficelle est un peu grosse. "La législation américaine, notamment en raison de son caractère extraterritorial, apporte une illustration particulièrement éloquente de cette ambivalence par le biais de la procédure de discovery ainsi que l'existence du deal of justice", explique-t-il dans son rapport publié en décembre 2014.

"La procédure de discovery repose sur un principe fondamental de la common law selon lequel les parties dirigent l'instruction en lieu et place du juge, précise Jean-Jacques Urvoas. Dans cette configuration, le plaignant adresse des demandes de pièces au défendeur afin de cibler son action en justice. Le juge intervient alors uniquement pour valider le refus de communication ou, dans le cas contraire, prononcer des sanctions très lourdes lorsqu'il estime le refus infondé. Or, les demandes s'avèrent bien souvent extraordinairement vastes (d'où leur surnom de fishing expeditions ou parties de pêche) et peuvent procéder d'une volonté de profiter de cette procédure pour se livrer légalement à de l'espionnage économique".

En vertu de ce cadre législatif, les États-Unis s'arrogent le droit d'enquêter sur des agissements à l'étranger lorsqu'une entreprise est cotée sur une place boursière américaine. Jusqu'en 2004, Alstom était coté à Wall Street. S'agissant de BNP Paribas et de Crédit Agricole, ce sont des litiges portant sur des paiements en dollars impliquant des pays faisant l'objet de programmes américains de sanctions (Cuba, Iran, Libye, Soudan, Syrie...). Les États-Unis utilisent ainsi le droit comme une arme "d'une redoutable efficacité, qu'il soit détourné afin par exemple de voler des savoir-faire (notamment à l'occasion de contentieux déclenchés à cette fin) ou qu'il soit au contraire pensé comme un puissant instrument de prédation", assure le député PS du Finistère.

 

De lourdes amendes pour inciter à coopérer

Dans la plupart des cas de figure, les contentieux débouchent fréquemment sur des transactions dans le cadre de la pratique du "deal of justice", qui découle aussi directement du caractère extraterritorial de la législation états-unienne, notamment dans sa dimension anticorruption. Elle s'appuie principalement sur le Foreign Corrupt Act de 1977 et sur les lois de sanctions économiques contre des pays. Dans les faits, une entreprise se voit incriminée par le Department of Justice (DoJ) pour infraction à la loi états-unienne. Ce qui permet à l'administration d'agiter le spectre de lourdes amendes et de condamnations pénales pour les membres dirigeants de l'entreprise.

"Pour autant, en dépit de la lourdeur des fautes reprochées, elle propose opportunément une transaction avec les autorités administratives compétentes", explique Jean-Jacques Urvoas. L'entreprise doit alors reconnaître sa culpabilité et négocie le montant de l'amende infligée. En contrepartie, le DoJ renonce aux poursuites pour une période de trois ans, période pendant laquelle l'entreprise doit faire preuve d'un comportement exemplaire.

 

Un cheval de Troie imparable

"Pour prouver sa bonne foi, et là réside le principal problème", l'entreprise "doit accepter la mise en place d'un moniteur en son sein, moniteur qu'elle choisit mais dont la désignation définitive est soumise à l'approbation des États-Unis", souligne le député du Finistère. Ce moniteur a accès à l'intégralité des informations de l'entreprise afin de rédiger un rapport annuel extrêmement détaillé. Une aubaine pour les services de renseignement américain pour connaitre tous les marchés et les transactions d'une entreprise étrangère et de ses clients.

"Grâce au "Foreign intelligence surveillance act", les services de renseignement américains peuvent solliciter toute information nécessaire, y compris les rapports de monitorat. De telle sorte que la communauté du renseignement états-unienne, fort impliquée dans la vie économique du pays (à titre d'exemple, la CIA a créé et gère le fonds d'investissement IN-Q-Tel), dispose potentiellement d'informations concurrentielles précieuses", résume Jean-Jacques Urvoas.

Comment se prémunir contre ces ingérences légales? Pour le député du Finistère, "il est devenu impératif de disposer d'une législation nationale protégeant le secret des affaires conformément aux préconisations de l'article 39 du traité ADPIC issu de la convention de Marrakech de 1994 qui a institué l'Organisation mondiale du commerce".

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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04/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 1er août 2015, après une année passé à la tête des quelque 3000 soldats français de l’opération Barkhane, le général de division Jean-Pierre Palasset a passé le commandement du dispositif militaire français au Sahel au général de division Patrick Brethous.

 

Lancée le 1er août 2014 depuis son poste de commandement basé à N’Djamena, l’opération Barkhane a pour mission de lutter contre les groupes armés dans la bande Sahélo-Saharienne. Elle agit dans une logique de partenariat avec les pays du G5 Sahel (Tchad, Niger, Burkina Faso, Mali et Mauritanie), de soutien à la force des Nations Unies (MINUSMA) et de réponse ciblée face à une menace transfrontalière.

 

Après avoir commandé le centre de planification et de commandement des opérations (CPCO) durant 2 ans, le général de division Patrick Brethous a pris le commandement de la force Barkhane pour un an.

 

L’opération Barkhane regroupe 3000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 16:45
photo EMA

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10/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 1er août 2015, sur la base aérienne de Niamey au Niger, a eu lieu une relève d’avion ravitailleur de type C135 et de son équipage, sans affecter la conduite des opérations de la force Barkhane dans la bande sahélo-saharienne.

 

Perpétuellement en alerte et souvent sollicité dans des délais très brefs, le groupement de ravitaillement en vol de Niamey a pour mission essentielle de ravitailler en vol les avions de chasse dans le cadre de leurs opérations sur la bande sahélo-saharienne, leur permettant ainsi d’optimiser leur rayon d’action.

L’avion ravitailleur C135 assure ce type de mission quotidiennement ; il est également en mesure de conduire des missions de transport stratégique de fret ou d’évacuation sanitaire.

 

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 16:45
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05/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le bataillon logistique de la force Barkhane, baptisé BATLOG Charente, conduit en cette saison des pluies de réelles performances afin de mener ses missions à bien : ravitailler les différents sites de la force française au Mali pour leur permettre d’être opérationnels.

 

En atteignant la plateforme désert relais (PfDR) de Kidal le 29 juillet 2015 au soir après 4 jours de piste, les hommes du capitaine Arnaud ont réalisé un véritable exploit logistique. Initialement partis le 24 juillet 2015 afin de ravitailler en carburant le détachement de Kidal, les véhicules du BATLOG Charente ont été immobilisés peu après leur départ au Nord de Gao. Les sables gorgés d’eau et des lacs naturels formés à la suite de pluies diluviennes, bloquaient en effet toute progression. Le convoi a alors été contraint de faire marche arrière et de regagner la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao le 25 juillet.

 

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 16:35
Et si le Rafale atterrissait en Malaisie et en Inde? - photo Dassault Aviation

Et si le Rafale atterrissait en Malaisie et en Inde? - photo Dassault Aviation

 

25/08/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le ministre de la Défense s'envole dimanche en Malaisie et au retour il s'arrêtera en Inde, selon plusieurs sources concordantes. Il pourrait participer à la cérémonie de signature du contrat des 36 Rafale à New Delhi.


 

Après les signatures des contrats Rafale au premier semestre en Egypte et au Qatar, le constructeur de l'avion de combat tricolore Dassault Aviation pourrait très vite avoir deux autres bonnes nouvelles en Malaisie et en Inde. Dans le cadre d'une visite du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, à Kuala Lumpur, où il atterrira ce dimanche, l'armée de l'air malaisienne pourrait annoncer en privé au ministre sa préférence pour le Rafale dans le cadre d'un appel d'offre de 18 appareils.

En tout cas, la visite ne sera pas l'occasion d'une signature d'un contrat, sauf coup de théâtre. Car la Malaisie, qui est un pays très francophile en matière de vente d'armes, est actuellement secouée par une série de scandales. Le ministre de la Défense sera accompagné d'une délégation parlementaire de haut niveau, notamment Patricia Adam et Jean-Pierre Raffarin, respectivement président de la commission de la défense de l'Assemblée nationale et du Sénat, qui vont voyager dans l'avion présidentiel de François Hollande.

 

Mistral en Malaisie?

Ce qui est sûr, c'est que les aviateurs malaisiens ne jurent que par l'avion de combat français, selon plusieurs sources interrogées. Et cela tombe bien, Kuala Lumpur dispose d'un budget ad hoc, selon nos informations, et ont un vrai besoin opérationnel dans le cadre d'un renouvellement de sa flotte de combat, notamment de ses MiG 29, qui ont beaucoup déçu les Malaisiens par le manque de fiabilité de la maintenance. Les Français ont jusqu'ici effectué une très bonne négociation avec Kuala Lumpur, notamment pour les offset.

Le ministre devrait évoquer un autre sujet brûlant, selon des sources concordantes : la possible revente d'un Bâtiment de projection et de commandement (BPC) de type Mistral, initialement destiné à la Russie, à la marine malaisienne, qui s'est déjà offert des corvettes Gowind et des sous-marins Scorpène fabriqués par DCNS. La Malaisie évoque déjà depuis une dizaine d'année l'achat d'un tel bâtiment pour sa marine. Enfin, DCNS pousse aussi la vente de deux sous-marins Scorpène supplémentaires à la Malaisie, qui en possède déjà deux. Les marins malaisien en sont d'ailleurs très satisfaits. Ce qui ne serait pas superflu compte tenu des tensions en Mer de Chine. D'une façon générale, la France souhaite une coopération bilatérale très poussée entre les deux pays dans le domaine naval.

 

Signature du Rafale en Inde?

A son retour de Malaisie, le ministre fera un crochet en Inde, où il pourrait assister à la signature du contrat des 36 Rafale, selon des sources concordantes, même si certains observateurs restent encore très prudents compte tenu de la légendaire inertie indienne. La délégation française sera de retour mardi soir prochain en France. En avril, la France et l'Inde ont conclu un accord visant à acheter au plus vite 36 Rafale. Cette annonce a été faite à l'Élysée par le Premier ministre indien, Narendra Modi, en présence du président de la République François Hollande. L'appel d'offre concernant la vente de 126 Rafale prévue dans le cadre du contrat MMRCA a été par ailleurs abandonné.

"J'ai demandé au président (François Hollande) la fourniture de 36 Rafale prêts à voler à l'Inde", avait annoncé en avril à l'Elysée Narendra Modi lors d'une conférence de presse commune avec le chef de l'Etat français. Le Premier ministre, qui s'exprimait en hindi, avait précisé que les termes et conditions du contrat n'étaient pas finalisés. "Nos fonctionnaires vont discuter de ces aspects plus en détail et poursuivre les négociations", a-t-il précisé, selon la traduction de son intervention.

L'Inde est également intéressée par le Mistral. Et ce d'autant que l'Inde et la Russie sont très proches. L'achat de deux BPC russifié pourrait être une très bonne porte de sortie pour Paris et Moscou... à condition que les Russes ne mettent pas des bâtons dans les roues des Français

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 11:30
photo EMA

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21/08/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Alors que dans quelques semaines, l'opération Chammal entrera dans sa deuxième année, les forces aériennes françaises engagées dans l'opération ont franchi une nouvelle étape. Un avion de patrouille maritime Atlantique 2 a procédé à un tir de bombe guidée laser le 19 août 2015. Quelques jours plus tôt, le 17 août 2015, les aéronefs français engagés dans Chammal ont réalisé la 200ème frappe française, après avoir dépassé les 1000 missions aériennes en juillet 2015.

 

Le 19 août 2015, l'Atlantique 2 a rejoint une patrouille mixte de Mirage 2000 vers 22h, heure de Paris. Ensemble ils ont participé à une mission planifiée qui a permis la neutralisation d'un bâtiment du groupe terroriste Daech, qui était utilisé pour des opérations de transit, de commandement et de contrôle de ses opérations.

Ce premier tir de l'ATL2 s'inscrit dans un large panel de missions aériennes ordonnées par le CAOC aux moyens aériens des différents pays de la coalition Inherent Resolve.

 

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