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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 11:20
Les grands enjeux des débats sur le budget de défense américain 2016 - DGRIS


14/09/2015 DGRIS

 

La puissance militaire des États-Unis, premier budget de défense au monde, et leur capacité d’action globale les placent, de fait,  au premier rang de nos partenaires stratégiques. Quel que soit le cadre (bilatéral, multilatéral OTAN ou au sein de coalitions ad hoc), la France et les États-Unis agissent ensemble sur les principaux théâtres d’opération (Sahel et Moyen-Orient notamment). Cette coopération tend à se renforcer dans de nombreux autres domaines, dans lesquels la France constitue aujourd’hui l’un des partenaires les plus capables, susceptibles de "partager le fardeau".

Au regard de l’influence des choix stratégiques américains, la connaissance du fonctionnement de l’administration et de ses relations parfois complexes avec les autres acteurs institutionnels, notamment le Congrès, est essentielle. Dans ce contexte, l’Observatoire sur la politique de défense des États-Unis a pour objectif d’améliorer la connaissance des acteurs, structures et processus décisionnels américains. Il doit ainsi contribuer à l’analyse de l’évolution de la politique américaine de défense et ses implications éventuelles sur la politique et la stratégie françaises de défense et de sécurité.

 

Les grands enjeux des débats sur le budget de défense 2016 - Rapport n°2, août 2015

 

La posture de défense des États-Unis en 2015 - Rapport n°1, juin 2015

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 08:20
Navy delays fielding UCLASS to 2023

 

3 Feb 2015 By: Stephen Trimble - FG

 

A decade-long pursuit of an unmanned, carrier-launched surveillance and strike aircraft (UCLASS) must wait three more years. The Obama Administration’s fiscal 2016 budget request postpones the in-service milestone for the UCLASS aircraft by three years to FY2023. The programme has been held up since top Pentagon officials last September rolled it into a wider study of intelligence, surveillance, reconnaissance and targeting systems. A request for proposals is now scheduled for release in the second quarter of FY2016, with contract award set for the second quarter of FY2017. The first flight milestone for the selected aircraft is planned for the third quarter of FY2020, followed by the initial operational capability milestone three years later, according to Navy budget documents released on 3 February.

 

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 12:20
USS Virginia - photo US Navy

USS Virginia - photo US Navy

 

February 3, 2015 David Pugliese

 

The U.S. Navy plans to fund a total of 48 ships through fiscal 2020, according to the 2016 budget sent to Congress, writes my Defense News colleague Christopher P. Cavas.

 

Those ships include 10 new Arleigh Burke-class destroyers and 10 Virginia-class submarines from 2016 through 2020, he noted in his article.

 

More of what Chris Cavas writes:

Advanced procurement for the SSBN(X) strategic missile submarine begins in 2017, with the first ship to be ordered in 2021. The cost to build a class of 12 submarines is expected to dominate service shipbuilding budgets through the 2020s.

Last summer, the Navy estimated the procurement cost for the first of 12 planned SSBN(X) subs to cost about $12.4 billion, but is working to get the average cost of each submarine down to about $5 billion.

 

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 07:20
Le budget Obama de la Défense de 534 milliards $ US: un minimum dit le Pentagone

 

3 février 2015 par Jacques N. Godbout  - 45eNord.ca

 

Face aux nouveaux défis au Moyen-Orient et en Ukraine, l’administration Obama a proposé lundi 2 février un budget de base de 534 milliards $ US, plus un fonds de guerre de 51 milliards, exhortant également le Congrès à mettre fin aux réductions de dépenses que la Maison Blanche veut afin de stopper l’érosion de la puissance militaire américaine.

 

Le budget de base proposé dépasse le plafond de dépenses fédérales de 499 milliards $ US pour l’année fiscale 2016, forçant un débat avec le Congrès sur le bien fondé de poursuivre de profondes coupes dans les dépenses discrétionnaires fédérales ou, au contraire, de modifier les limites fixées dans une loi de 2011 qui visait à réduire le déficit budgétaire américain.

Les responsables de la Défense ont reconnu que la demande budgétaire de 534 milliards $ US dépassent les limites de dépenses fédérales, mais le général Martin Dempsey, le chef d’état-major interarmées armées des États-Unis, a déclaré que ce budget «représente le niveau de ressources minimum nécessaire pour rester une force capable, prête et de taille appropriée en mesure de respecter nos engagements mondiaux».

Le chefs d’état-major interarmées adjoint, l’amiral James Winnefield, a déclaré pour sa part que, même avec ce budget, le pentagone est à la limite du «risque gérable».

Le budget proposé inclus 5,3 milliards $ US pour les opérations contre les militants du groupe État islamique en Syrie et en Irak, dont 1,3 milliards $ US pour former et équiper les combattants de l’opposition syrienne.

En outre, pour rassurer les alliés européens inquiets des actions de la Russie en Ukraine et ailleurs dans la région, le budget propose également 789 millions $ US pour renforcer les déploiements militaires et accroître la formation et les exercices militaires avec des partenaires en Europe.

«Les événements géopolitiques de l’année écoulée ne font que renforcer la nécessité d’augmenter les du ministère de la Défense au niveau de financement demandé par le président par opposition à la loi actuelle», insiste le Pentagone dans un communiqué.

Le budget fait suite en effet à plusieurs années de compressions dans les dépenses, aussi connu sous le nom de «séquestration».

Sous l’empire de la «séquestration», honnie par les militaires, les dépenses de défense projetées devaient être réduites d’environ un trillion $ US sur une décennie, mais les responsables n’ont cessé de répéter que pareilles coupes automatiques de la défense érodaient gravement les capacités militaires américaines après 15 années de guerre.

«Un retour au niveau de financement tel que prévu en vertu de la «séquestration» serait irresponsable et dangereux et aurait pour effet une force trop petite et mal équipée pour répondre à l’éventail complet des menaces potentielles pour la nation», a déclaré le Pentagone.

Le budget proposé, lui, permettrait aux forces américaines d’avoir suffisamment de membres en service actif, malgré une légère baisse par rapport à son plan après les guerres en Irak et en Afghanistan. Mais le Pentagone a prévenu que, si la «séquestration» reste en vigueur, les forces américaines devraient être réduites à un niveau qui rendrait plus difficile le respect des engagements.

Le Pentagone a aussi de nouveau sollicité l’approbation de plusieurs réformes auquel s’oppose le Congrès, y compris la mise à la retraite de l’avion de soutien A-10 «Warthog», une nouvelle série de fermetures de bases américaines et la limitation de la hausse du coût des salaires et des avantages sociaux des militaires, des projets de réformes électoralement impopulaires qui, dans certains cas, heurtent les élus de plein fouet dans leur circonscriptions.

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30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 12:20
Obama va demander une hausse du budget de la défense en 2016

 

30 janvier 2015 45eNord.ca

 

Le président américain Barack Obama va demander dans son projet de budget une hausse des dépenses militaires pour 2016 pour les porter à 585 milliards de dollars, dépassant ainsi les limites imposées par le Congrès, ont indiqué des responsables américains.

 

Le projet de budget du Pentagone prévoit une hausse des dépenses en armes, recherche et maintenance, qui avaient été réduites sous l’effet des coupes budgétaires automatiques, ont précisé ces responsables à l’AFP.

 

Ces coupes étaient devenues effectives en 2013 après qu’élus démocrates et républicains au Congrès eurent échoué à trouver un accord pour réduire le déficit des États-Unis.

 

L’administration Obama, qui doit publier son projet de budget lundi, prévoit des dépenses militaires pour l’année fiscale 2016 de 534,3 milliards dollars, auxquelles s’ajoutent des dépenses de guerre de 50,9 milliards pour l’Afghanistan et l’opération contre le groupe Etat islamique en Irak et en Syrie, a rapporté un responsable militaire.

 

Ce budget servirait pour 107,7 milliards à des programmes d’armement (soit 14,1 milliards de plus par rapport à l’année précédente), pour 69,8 milliards à la recherche et développement (soit 6,3 milliards de plus).

 

Il financerait notamment l’achat de 57 avions de chasse F-35 du groupe Lockheed Martin, a ajouté ce responsable, qui s’exprimait sous couvert de l’anonymat.

 

Quelque 209,8 milliards de dollars serviraient au fonctionnement et à la maintenance, qui avaient été particulièrement affectés par les coupes automatiques.

 

Mais ce projet de budget devra encore être adopté par le Congrès, désormais entièrement contrôlé par les républicains, qui avaient voté ces coupes limitant le budget du Pentagone à environ 500 milliards.

 

Ce projet de budget dépasse les limites autorisées de 35 milliards, et marquerait une augmentation de 38 milliards par rapport à l’année dernière.

 

Avec ces coupes automatiques, le Pentagone avait dû mettre certains de ses salariés en congé forcé (non payés) et réduire ses dépenses de formation et maintenance.

 

De hauts responsables militaires mercredi ont de nouveau mis en garde contre ces coupes, qui généreraient du « vide » et nuiraient au moral, à la modernisation et à la réactivité des armées.

 

Pour limiter les dépenses du Pentagone, l’administration Obama suggère d’augmenter le coût des soins aux militaires et de ralentir la croissance de certaines aides comme celles au logement, selon ces responsables.

 

Les républicains, grands partisans de la hausse des dépenses militaires, risquent de se retrouver dans une position difficile car ils devront pour ce faire mettre fin aux coupes automatiques et ouvrir ainsi la voie à une augmentation des dépenses, ce à quoi ils s’opposent régulièrement.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:20
2016 US Defense Budget Could Be $60B Over Spending Caps

 

Nov. 16, 2014 - By PAUL McLEARY – Defense News

 

WASHINGTON — As the White House and Pentagon pass drafts of the fiscal 2016 defense budget back and forth before submitting it to Congress early next year, the base budget request possibly could exceed congressionally mandated spending caps by as much as $60 billion, according to a former defense official with knowledge of the discussions.

 

Administration and defense officials have said for months that the 2011 Budget Control Act (BCA), which limits how much the Pentagon can spend, wouldn’t fully constrain the 2016 request. But a source with knowledge of a meeting between President Barack Obama and the Joint Chiefs of Staff said the chiefs have pushed for an increase of $60 billion over the $535 billion cap for defense, with another $10 billion for Department of Energy programs.

 

While the number might appear high, Pentagon and administration plans to push past the cap are no surprise.

 

On Nov. 6, Alan Estevez, principal deputy undersecretary of defense for acquisition, technology and logistics, told an audience at a procurement conference in Washington that “we’re going to propose a budget next January and it’s going to be above sequestration levels.”

 

Deputy Defense Secretary Bob Work recently estimated that the Pentagon would fall short about $70 billion in next year’s budget if Congress didn’t allow it to shift money around the way the building sees fit.

 

“If you add up all of the things that Congress told us no, after we submitted our budget, it’s $31 billion in noes,” Work said on Sept. 30. “No, you can’t get rid of the A-10. No, you can’t get rid of the U-2. No, you can’t get rid of those cruisers. No, no, no, no, no, no, no. And then, no, you can’t do the compensation reform.”

 

Add to this the billions that Pentagon officials now say will be needed to modernize the nuclear weapons programs, and the sequester caps give less and less room for issues like real compensation reform and starting expensive new programs, such as a long-range bomber.

 

Defense Secretary Chuck Hagel told reporters that billions of dollars in new investments are needed to fund critical nuclear upgrades in the coming years.

 

Hagel said the new investments would total “several” billion a year in the coming years, and that the Pentagon aims to spend at least 10 percent more each year for the next five years than it does on the nuclear upgrades and modernization programs.

 

The 2016 budget has long been looked at as something of a mile marker in Washington’s struggle to turn the page on more than a decade of inflated wartime budgets and massive supplemental requests that filled in the blanks in procurement and readiness accounts.

 

Still, there is tension.

 

“It’s clear that the Pentagon leadership is prepping the battlefield now with Congress for another cap-busting budget request that is likely higher than even last year,” said Mackenzie Eaglen, an analyst at the American Enterprise Institute.

 

But “the best the Pentagon is going to get is another Ryan-Murray deal” that offers short-term fixes to sequestration, she said, since there is likely little political appetite to actually do away with the law or offer a more permanent fix.

 

“It’s not a surprise if the base budget comes in at least $50 billion above the caps” set out in the BCA, Eaglen said.

 

Politics and legacy-building likely also play a role.

 

“You have the president putting out the last request that he will also execute the full year of, so that is an argument for seeing more money,” said Ryan Crotty, deputy director for defense budget analysis at the Center for Strategic and International Studies.

 

“But part of the politics of it is keeping the request at a level where it’s not going to be rejected out of hand” by a new Republican-controlled Congress in no mood to do the White House any favors, even if it supports a strong defense, and with its eye on dismantling big domestic programs like Obamacare. That same Congress will also be hostile to new taxes to make room for a rising defense budget.

 

Still, the amount of money the Hill will ultimately allow the Pentagon to keep will have to remain within limits.

 

Even the Congressional Budget Office, in a Nov. 6 report, estimated that given the modernization and compensation needs the Pentagon has laid out for upcoming years, the base budget requests between 2015 and 2019 will likely be $47 billion higher per year than the levels designated by the BCA.

 

But not everyone is convinced that these numbers will end up seeing the light of day.

 

“We’re not going to roll back sequestration entirely; we may get relief at the margin, but DoD is going to be living with lower budget resource levels than its plan of last year,” said Byron Callan, director at Capital Alpha Partners.

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