7 février 2017
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Equipement de passage en neige - photo GAM Armée de Terre
07.02.2016 source 27e BIM
Le lundi 13 février 2017 se déroulera un entraînement conjoint entre le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) et le groupement d’aguerrissement montagne (GAM) de Modane dans le secteur des Rochilles (au-dessus de Valloire).
Cet exercice, mené par le peloton de gendarmerie de haute montagne, appuyé par le groupement d’aguerrissement montagne de la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM), vise à renforcer le lien déjà existant entre la gendarmerie et l’armée de terre dans l’organisation et la conduite des secours médicalisés en avalanche avec multi-victimes.
Cet entraînement, réalisé dans des conditions faites pour coller au plus près de la réalité, vise notamment à entretenir les savoir-faire propres au secours en avalanche mais également la coopération et la complémentarité des moyens humains et matériels lors d’un incident en montagne.
Lieu : Zone de Valloire (73) – Les Rochilles
12 décembre 2013
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La tour de contrôle du GAM - Crédit ADC Gilles Gesquière
12/12/2013 CNE ROSSI - Armée de Terre
Avec l’implantation de la force SERVAL sur le camp de Gao, au Mali, une tour de contrôle mobile est venue renforcer les infrastructures de l’aérodrome. Armée par le groupement aéromobile (GAM), elle est responsable de tous les décollages et atterrissages d’avions civils et militaires, et gère aussi l’activité des hélicoptères.
À proximité immédiate de la zone de poser hélicoptères, la tour de contrôle mobile de Gao offre une vue imprenable sur la piste d’atterrissage. 24h/24, sept contrôleurs aériens de différents RHC se relaient, en mesure d’autoriser ou interdire les accès à la piste. Par rotations de 4 heures le jour et 7 heures la nuit, ils sont en liaison radio avec les pilotes pour gérer le trafic aérien dans un espace de 36 km de rayon et 900 m de hauteur. Chaque nuit, un balisage est installé manuellement le long des 2,4 km de piste d’atterrissage pour permettre les poser d’assaut.
« Lucifer ! Lucifer. J’ai un zébu en bout de piste. Pourriez-vous le faire partir ?, Un aéronef des nations unies est à l’approche », prévient le major Philippe Nowak, à la radio. « Nous travaillons comme nous le ferions en France. A la différence que nous gérons beaucoup de vols à vue et peu aux instruments car nous avons des problèmes d’intrusion d’animaux sur la piste. Il faut toujours être vigilant, surtout la nuit », explique-t-il.
En cas de mauvaise météo avec des tempêtes de sable ou de fortes pluies, ce sont les radars de l’armée de Terre ou de l’armée de l’air qui sont en mesure de prendre le relais pour un contrôle aux instruments.