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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 19:30

http://blogtsahal.files.wordpress.com/2011/05/fnuod.jpg

En violet, la zone d'opération de la

FNUOD - crédits : Tsahal

 

BELGRADE, 13 mars - RIA Novosti

 

La Croatie a tout préparé pour le rapatriement de son contingent déployé sur les hauteurs du Golan au sein de la Force onusienne d'observation du désengagement sur le Golan (FNUOD) et entend réaliser cette opération sous peu, a annoncé mercredi Ante Kotromanovic, ministre croate de la Défense.

 

"Je connaît la date du départ, mais je ne la citerai pas pour des raisons de sécurité. Cela se produira dans un avenir proche, mais tout dépend de la situation sur le terrain", a déclaré devant les parlementaires le ministre, cité par l'agence HINA.

 

Le comité pour la Défense du parlement croate a soutenu à l'unanimité cette initiative du président du pays, Ivo Josipovic. La décision de retirer les casques bleus croates du Golan a été adoptée suite à des publications, selon lesquelles les combattants de l'opposition syrienne utiliseraient des armes croates. Bien que Zagreb ait formellement démenti avoir livré des armes aux rebelles syriens, les autorités croates ont estimé trop dangereux de garder sur le plateau du Golan son contingent de paix, fort de 97 hommes.

 

La FNUOD compte à présent 1.100 soldats et personnels originaires d'Autriche, de Croatie, d'Inde, du Japon et des Philippines.

 

C'est sur le plateau du Golan, qui surplombe les hautes collines entre Israël et la Syrie, que les rebelles syriens s'opposant au pouvoir de Damas ont récemment enlevé 21 observateurs de l'Onu, membres de la FNUOD.

 

Depuis la mi-mars 2011, la Syrie est secouée par un puissant mouvement de contestation du régime en place qui a fait, selon l'Onu, près de 70.000 morts et plus d'un million de réfugiés.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 13:30

Skylark II

Skylark 2 UAV

 

13 March 2013 army-technology.com

 

The Israel Defense Forces (IDF) ground troops are planning to bring the Skylark Generation 2 unmanned aerial vehicle (UAV) into operational service in the next few months.

 

Currently undergoing final testing stages, the UAV is scheduled to be operated by the IDF Ground Forces' infantry battalions for intelligence missions in the battlefield.

 

Weighing 7kg, the system has been jointly developed by the Technology and Logistics Branch and the Ground Forces weapons department, and is being supplied by Elbit Systems.

 

Equipped with advanced cameras, the Skylark II UAV is designed to provide battalion soldiers with visual intelligence of the operational area, and also expected to offer several technological operational advantages in the battlefield.

 

The UAV's communications system are also set to be networked with overall command and control (C2) system of the Ground Forces, which plans to equip every battalion with an attached Skylark squad for provision of field support.

 

Powered by a single electrical motor, the Skylark is based on Elbit Systems' Skylark I UAV, and can conduct real-time intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance (ISTAR) missions over a 60km range in the battlefield.

 

Deployed using high-mobility multipurpose wheeled vehicles (HMMWV), the hand-launched, close-range tactical UAV has a flight endurance of six hours, and can be operated by a two person crew from a ground control station (GCS) in both medium and low altitudes.

 

The UAV is equipped with a built-in launcher, GPS, night camera, and electro-optical/infrared multi-sensor, as well as a thermal imager for capturing high-resolution images during night or low-visibility conditions.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 08:30

Syria

 

WASHINGTON, 12 mars - RIA Novosti

 

La Syrie, qui possède des stocks importants d'armes chimiques, aurait produit une certaine quantité de substances biologiques dangereuses, indique le rapport annuel présenté mardi au Sénat américain par le directeur du renseignement national James Clapper.

 

"La Syrie développe avec succès un programme de recherche sur les armes chimiques, elle augmente ses stocks de gaz moutarde, de sarin et de gaz neuroplégique VX. Nous estimons que Damas possède également des bombes, des missiles et des obus d'artillerie pouvant servir de vecteurs d'armes chimiques", lit-on dans le rapport consacré aux menaces actuelles.

 

Il y a un an, le directeur du renseignement national avait déjà signalé la présence d'armes chimiques en Syrie et avait également exprimé son inquiétude de les voir tomber aux mains de terroristes. Cette thèse est reprise dans le rapport actuel.

 

"Les Etats-Unis et leurs alliés surveillent les stocks d'armes chimiques", affirme M. Clapper, soulignant que le gouvernement de Damas risque de perdre le contrôle de ces armes.

 

Après avoir rappelé l'existence d'un programme de création d'armes biologiques en Syrie, le chef du renseignement américain a reconnu ne pas avoir suffisamment d'informations sur ce dossier. Il estime toutefois que Damas a produit une certaine quantité de substances biologiques dangereuses.

 

"Nous ne savons cependant pas si la Syrie possèdent des porteurs de ces armes", indique le rapport.

 

Le document actuel reprend les conclusions formulées dans le rapport de 2012. Selon ces conclusions, les Etats-Unis sont toujours menacés.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 08:30

Middle east

 

TEL AVIV, 12 mars - RIA Novosti

 

Un contingent de paix arabe doit être envoyé en Syrie afin de mettre fin à la crise civile qui secoue ce pays depuis bientôt deux ans, a déclaré mardi le président israélien Shimon Peres à la tribune du Parlement européen à Bruxelles.  

 

"La Ligue arabe peut et doit former en Syrie un gouvernement de transition qui mette fin à l'effusion de sang et empêche la division du pays. L'Onu doit soutenir le contingent de +casques bleus+ arabes", a déclaré le chef de l'Etat hébreu dans son discours centré sur la sécurité au Proche-Orient.  

 

Le président israélien avait pour la première fois évoqué son projet de règlement de la crise syrienne lors de sa visite à Moscou en novembre 2012. Il avait en outre annoncé que la Russie pouvait mettre fin à l'effusion de sang en Syrie et apporter la paix au Proche-Orient. 

 

Depuis la mi-mars 2011, la Syrie est secouée par un puissant mouvement de contestation du régime en place qui a fait, selon l'Onu, près de 70.000 morts et plus d'un million de réfugiés.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 08:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/ae/James_R._Clapper_official_portrait.jpg/480px-James_R._Clapper_official_portrait.jpg

 

12/03/2013 par Jacques N. Godbout – 45enord.ca

 

Le général à la retraite James Clapper, Directeur national du renseignement des États-Unis, a livré ce mardi 12 mars au Comité du Sénat sur le renseignement, l’Évaluation des menaces mondiales de la «communauté américaine du renseignement » où il juge que le programme nucléaire iranien a fait de grands progrès au cours de la dernière année.

 

Il estime, dans son rapport, que l’Iran sera bientôt capable de produire de l’uranium enrichi et en mesure de se doter de l’arme nucléaire, dont le régime de Téhéran, de plus en plus hostile, pourrait se servir contre les États-Unis et leurs alliés.

 

Dans son rapport, remis au Sénat aujourd’hui, «nous estimons, dit le rapport du DNI, que l’Iran développe des capacités nucléaires pour renforcer sa sécurité, pour le prestige et l’influence régionale mais aussi pour avoir la possibilité développer des armes nucléaires, si jamais cela était son choix…»

 

Téhéran a développé une expertise technique dans un certain nombre de domaines, notamment l’enrichissement d’uranium, les réacteurs nucléaires et les missiles balistiques, expertise dont elle pourrait se servir pour construire des missiles porteurs armes nucléaires. Ces progrès techniques renforcer notre conviction que l’Iran a la capacité scientifique, technique et industrielle, à terme, produire des armes nucléaires. Cela rend la centrale la question de sa volonté politique de le faire.

 

Le rapport note aussi que l’Iran serait a démontré sa capacité à lancer des petits satellites, est de plus en plus hostiles aux États-Unis et à leurs alliés et qu’il a de plus en plus les les moyens et la motivation pour développer plus de lanceurs et des missiles à longue portée, y compris un missile balistique intercontinental (ICBM).

L’Iran aurait d’ailleurs le plus grand stock de missiles balistiques au Moyen-Orient, et ce stock est en pleine expansion en nombre de missiles et pour ce qui est de la la portée et la sophistication de son arsenal de missiles balistiques.

 

Une situation politique explosive


Le rapport du DNI souligne aussi que le régime iranien est de plus en plus autocratique à l’intérieur du pays et de plus en plus défiant en dehors de ses frontières, alors même qu’il est confronté à une contestation de l’élite et du peuple iranien, à une détérioration de l’économie, et à une dynamique régionale incertaine.

Le pouvoir du chef suprême de l’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, ne connaît maintenant plus de limite et les forces de sécurité ainsi que des groupes comme les Gardiens de la révolution islamique (GRI), ont une influence de plus en plus grande au détriment des élus iraniens.

 

Dans ses efforts pour gagner en influence à l’étranger et saper l’influence des États-Unis et de leurs alliés, l’Iran tente d’exploiter les combats et les troubles dans le monde arabe.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 19:30

USS Enterprise photo US NAVY

 

12 Mars 2013 Par Marine & Océans (AFP)

 

Le USS Dwight D. Eisenhower (CVN 69), qui était en escale entre le 7 et le 10 mars dernier à Marseille (voir photos), a entamé une mission de quatre mois dans la région du Golfe persique et de la mer d’Oman, en remplacement du USS John Stennis déployé jusque-là dans la zone avec un croiseur et plusieurs destroyers. Le USS Eisenhower, long de 333 mètres pour 86 000 tonnes ( 261 mètres et 42 000 tonnes pour le porte-avions français Charles de Gaulle), est l’un des dix porte-avions actuellement en activité dans la marine américaine (un onzième, le CV-67 John F.Kennedy, retiré du service actif en 2007, est en réserve à Philadelphie).

 

Le USS Eisenhower assumera seul sa mission dans cette région du monde là où la politique du Pentagone était habituellement de disposer de deux porte-avions en quasi-permanence. En cause, les coupes automatiques intervenues dans le budget de la défense américain qui ont imposé de reporter de plusieurs mois le déploiement du USS Harry Truman qui aurait du quitter le port de Norfolk (Virginie) mi-février 2013.

 

Le commandant des forces américaines au Moyen Orient (Centcom), le général James Mattis, a mis en garde l’Iran, début mars, contre toute velléité "mal avisée" de profiter de la présence d'un seul porte-avions américain dans la région du Golfe pour en "tirer avantage".

 

"J'ai encore un porte-avions dans le coin et je préviens tout ennemi qui pourrait voir une occasion de tirer avantage de la situation que ce serait bien mal avisé de sa part, a-t-il déclaré aux sénateurs de la Commission des forces armées, sans citer nommément l'Iran.

 

"J'ai ce qu'il faut pour faire vivre à l'ennemi sa pire et plus longue journée", a-t-il ajouté, précisant qu'un second porte-avions pouvait être "rapidement déployé en renfort".

 

Selon le général Mattis, le Harry-Truman, actuellement en alerte à 21 jours - un délai qui pourrait être raccourci - mettrait 14 jours à rejoindre le Golfe.

 

Le USS Dwight D. Eisenhower qui « prend la main » dans la région est entré en service en octobre 1977. Le bâtiment, surnommé Ike en référence au 34ème président des Etats-Unis dont il porte le nom, est un porte-avions à propulsion nucléaire de la classe Nimitz. Comptant près de 5 680 hommes et femmes d’équipage, il peut mettre en œuvre entre 70 et 90 appareils. Le Eisenhower a été très régulièrement déployé en Méditerranée, en Océan Indien et dans le Golfe persique tout au long de sa carrière. Il est commandé par le capitaine de vaisseau Markus A. Hitchcock, et porte la marque du contre-amiral Michael C. Manazir, commandant du groupe aéronaval.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 17:30

Iran

 

12 mars 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Le régime iranien ne pourra produire de l'uranium hautement enrichi pour la construction d'une bombe atomique sans se faire repérer, a assuré mardi le chef du renseignement national américain.

 

Même si Téhéran a fait des progrès dans l'avancée de son programme nucléaire controversé, nous estimons qu'il ne pourra détourner de façon sûre du matériel et produire de l'uranium de qualité militaire sans que ses activités ne soient découvertes, a affirmé James Clapper dans un rapport annuel sur les menaces à la sécurité au Congrès américain.

 

Les activités d'enrichissement du régime iranien font l'objet d'une surveillance étroite supervisée par l'organisme dédié de l'ONU, l'Agence internationale de l'énergie atomique, ainsi que par les services d'espionnage des Etats-Unis et d'autres pays.

 

Le rapport du renseignement américain fait état d'une certaine avancée dans l'enrichissement de l'uranium en Iran.

 

L'Iran a fait des progrès au cours de l'année dernière et le pays est par conséquent dans une meilleure posture pour produire, si tel était son choix, de l'uranium propre à fabriquer une bombe nucléaire, grâce à ses centrales et ses stocks, indique le rapport.

 

Le document révèle toutefois, comme l'avait fait un précédent rapport du renseignement l'année dernière, que le régime de Mahmoud Ahmadinejad n'a pas encore décidé de construire de telles armes et que sa politique reste basée sur une approche soupesant les avantages et les inconvénients d'une montée en puissance dans un conflit nucléaire.

 

Nous ne savons pas si l'Iran va finir par décider de fabriquer des armes nucléaires, a conclu James Clapper.

 

Selon lui, les Etats-Unis et ses alliés ont les moyens de faire pression pour éviter que cette décision ne soit prise dans la mesure où les dirigeants iraniens, restant avant tout soucieux de maintenir leur place au pouvoir, mesurent les risques de leur choix.

 

De ce fait, les dirigeants iraniens ne cherchent pas non plus à entrer en confrontation directe avec les Etats-Unis, a affirmé M. Clapper.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 17:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c7/Spice_bomb_front.JPG/800px-Spice_bomb_front.JPG

 

Mar. 12, 2013 by Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - Israel will equip its future Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighters with an advanced version of Rafael's Spice bomb guidance kit, with the system having been improved to allow its use through a variety of attack techniques.

 

Based on lessons learned from 2012's combat involvement in the Gaza Strip, the Israeli air force is deploying the enhanced Spice kit with its Boeing F-15 and Lockheed F-16 combat aircraft. The Rafael-developed guidance kit is now a main system in the service's inventory, and has also been exported to a number of other air forces.

 

The Spice kit can be loaded with 100 optional targets in a given area, which can be checked against its imaging infrared/TV sensor, and has a reported circular error of probability of less than 3m (10ft).

 

A basic version is used on 908kg (2,000lb) Mk 84-series bombs, with a wing kit giving the weapon a range of more than 60km (32nm). It has also been adapted to 454kg Mk 83 bombs to offer a strike capability from more than 100km range.

 

Rafael has also adapted the design for use with 113kg bombs, with this enabling an F-16 to carry up to 16 small smart bombs.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 15:53

artillerie-syrienne photo US DoS

 

12 mars 2013 13h45 Romandie.com (AFP)

 

BEYROUTH - L'armée syrienne a poursuivi mardi ses bombardements violents sur Homs, dans le centre de la Syrie, notamment sur le quartier symbolique de Baba Amr, rapporte une ONG.

 

Les forces régulières installées, à l'Université d'al-Baas, bombardent violemment aux roquettes des secteurs de Baba Amr, parallèlement à des combats virulents entre soldats et rebelles, indique l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

L'OSDH a fait état de nouveaux renforts militaires autour de ce quartier symbolique pris d'assaut dimanche par les rebelles, après avoir été reconquis il y a un an par l'armée à l'issue de combats acharnés.

 

Des combats se déroulent aussi autour du quartier de Khaldiyé, également bombardé par le régime, selon l'OSDH qui s'appuie sur un vaste réseau de militants et de sources médicales.

 

La ville de Homs, surnommée la capitale de la Révolution, est aujourd'hui contrôlée à 80% par l'armée, qui mène depuis plusieurs jours une violente offensive contre les enclaves rebelles de Khaldiyé et du Vieux Homs, assiégés depuis huit mois.

 

Dans la province de Homs, les villes de Qousseir et de Rastane sont également la cible des bombardements du régime, qui ont fait des blessés et des dégâts matériels.

 

Par ailleurs, près de la capitale, des combats se sont déroulés sur la route de l'aéroport international de Damas, selon l'ONG.

 

Cet axe stratégique est proche de la Ghouta orientale, la zone rurale bordant Damas où les rebelles sont retranchés.

 

Les villes de Zabadani (nord ouest) et de Mouadamyat al-Cham (sud) sont aussi bombardées.

 

A Damas, au moins deux personnes ont été tuées par des balles perdues dans le quartier de Barzé (nord) et des combats se sont déroulés dans celui de Jobar, proche de la place des Abassides, dans l'est de la capitale, indique l'OSDH.

 

De même, de violents accrochages ont éclaté autour des villages d'Oum Amoud et de Jneid dans le sud de la province d'Alep, dans le nord du pays.

 

Les violences ont fait lundi 148 morts, dont 41 civils, 65 rebelles et 42 soldats, selon l'OSDH.

 

En bientôt deux ans, le conflit syrien, déclenché par une contestation pacifique qui s'est ensuite militarisée face à la répression, a fait plus de 70.000 morts, un million de réfugiés et des millions de déplacés selon l'ONU.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 13:30

Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft

 

ORLANDO, Fla., March 11 (UPI)

 

Pilot and maintenance training systems for F-15SA aircraft are to be provided to the Saudi air force by Lockheed Martin, the U.S. firm announced.

 

The contract -- under a Foreign Military Sales arrangement -- is worth $253 million and is part of Saudi Arabia's modernization program for the aircraft.

 

Lockheed said its 360-degree full mission trainers will enable pilots to complete air-to-air combat, air-to-surface missions, air combat maneuvers and tactical intercepts training. The systems will feature a single dome over the dual-seat cockpit and desktop trainers for procedure training will also part of the package.

 

Virtual maintenance training systems will include systems will cover areas such as basic maintenance, landing gear and arresting hook, armament and flight controls.

 

"The complement of F-15SA training systems starts with desktop trainers and progressively increases in capability to full mission weapons systems trainers," said Jim Weitzel, vice president of training solutions for Lockheed Martin's Mission Systems and Training business. "This creates a cost-effective program since the appropriate level of technology is applied to meet the training objectives."

 

The trainers are to be delivered to Saudi Arabia by 2020.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 13:30

http://3.bp.blogspot.com/-AAVmBHqsprU/Tfdv-9q6LtI/AAAAAAAAEOc/NgZgUyh7NKA/s1600/5750761892_2515f5c984_b.jpg

photo http://helicoptersphoto.blogspot.fr

 

Mar. 12, 2013 by Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - Two Israeli air force pilots were killed on Monday 11 March, when their Bell AH-1 Cobra "Zefa" attack helicopter crashed during a routine training mission over southern Israel.

 

An eyewitness reported seeing "flashes of fire" immediately before the aircraft hit the ground near Kibbutz Revadim, although the debris does not indicate signs of a fire.

 

The AH-1 had taken off 1h earlier from Palmachim air base in central Israel.

 

The crew were in radio contact with their base, and had just reported "six minutes to landing" before the accident. They did not transmit a distress signal, with this potentially suggesting a sudden failure.

 

The air force grounded all its remaining Cobra helicopters until an investigation can point to the cause of the accident. Its AH-1s entered service from 1975 and have been upgraded over the years.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 12:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/ae/IAF-AS-565.jpg

 

Mar. 12, 2013 by Arie Egozi – FG

 

 Tel Aviv - Israel is to equip its air force's Eurocopter AS565SA "Atalef" helicopter pilots with advanced helmet-mounted sights, with a system selection expected to be made soon, after tests have been completed in various flight conditions.

 

Operated by the "Defenders of the West" squadron from Ramat-David air base in northern Israel, the service's AS565s will be the last of its helicopters to gain such equipment, as its Sikorsky CH-53 and UH-60 Black Hawk pilots already use helmet-mounted sights.

 

The addition of the new equipment for the Atalef fleet will facilitate the integration of the Saar 5 missile corvette-deployed type during maritime operations also involving the air force's Israel Aerospace Industries Heron 1 unmanned air systems.

 

Increasing the capability of the manned helicopters comes as Israel maintains a mission to defend large oil and gas reservoirs discovered in the Mediterranean Sea, off the nation's coastline.

 

These are being prepared for commercial use in the face of what the nation describes as a constant and imminent threat.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 08:30

Predator XP

 

March 8, 2013: Strategy Page

 

Two years after the U.S. Air Force received its last MQ-1 Predator UAV, the UAE (United Arab Emirates) ordered twenty or so of the new civilian version, the Predator XP. Since 2011, the U.S. Air Force has only been ordering the larger MQ-9 Reaper, which is now their primary medium UAV.

 

The main reason for the air force switch is payload capacity. The Predator can only carry 204 kg (450 pounds) internally and 136 kg (300 pounds) externally, compared to 364 kg (800 pounds) internally and 1.36 tons (3,000 pounds) externally for the Reaper. The Reaper can also fly faster (cruise speed of 300 kilometers an hour, versus 160 for the Reaper). Max takeoff weight for the Predator is one ton, compared to 4.7 tons for the Reaper. Since first flight in 1994, Predators have spent nearly a million hours in the air. So far, nearly 500 Predators have been built, most of them for the U.S. Air Force or the CIA. Each Predator costs about $5 million (without sensors, which double the price).

 

Predators will continue to be used by the U.S. Air Force until accidents and enemy fire take them all out of service. Meanwhile, Predators will be built for a few more years, to take care of foreign military orders. A slightly larger Predator, the MQ-1C Grey Eagle, is being built for the U.S. Army (which wants more than 500 of them). The manufacturer (General Atomics) is trying to extend production of the basic Predator, to supply civilian demand for the RQ-1 Predator XP. This is a demilitarized MQ-1, modified so that it's difficult to arm. Because of that the U.S. government certified the RQ-1 Predator XP as a civilian aircraft and eligible for sale to anyone.

 

The big attraction of the XP is its track record. Over its nearly two decades' service, the Predator has established a reliability record approaching that for manned aircraft of similar size (single engine commercial airplanes). The Predator had an average availability (for use) rate of 90 percent. The XP version can be equipped with air or ground search radar, in addition to the usual day/night camera. The XP is also inexpensive, costing about $5 million with minimal sensors (day/night video camera). That might be adequate for border/maritime patrol and other police work but the XP can also be equipped for resource management (checking crops, surveying forests for lumbering, or searching for minerals). Satellites are used for a lot of this resource management work, but in many situations an XP can do it cheaper, even with the more expensive sensors required for this kind of work. The XP can stay in the air for up to 24 hours and operate as high as 7,620 meters (25,000 feet).

 

The XP still has a problem with flying in areas where it is likely to encounter manned aircraft and local laws prohibit or limit UAV use. But this is changing, especially as navigation sensors on UAVs become more effective. So in a decade or less, suitably equipped UAVs will be legal in airspace full of manned aircraft.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 08:30

nimr II

 

March 8, 2013: Strategy Page

 

The UAE (United Arab Emirates) has ordered another 800 NIMR military trucks for its armed forces. The NIMR is produced by a UAE company with an assembly plant in Jordan. The NIMR is a hummer-like vehicle designed to cope with the high heat and abundant sand and dust found in the Middle East. The basic 4x4 NIMR weighs 4.4 tons, can carry 1.5 tons (or up to eight people), and be equipped with a remote control 12.7mm machine-gun turret. Top speed is 140 kilometers an hour on roads. This version costs about $82,000 each. There is a larger 6x6 version for carrying cargo. There is also an anti-aircraft version armed with four Mistral missiles ready-to-fire and four more as reloads. An anti-tank version comes equipped with four Milan ATGM (anti-tank guided missiles) ready to fire and four more as reloads. All NIMRs are equipped to take a variety of armor kits (providing different degrees of protection against bullets and explosions).

 

NIMR development began in the late 1990s and production began in 2005. NIMR was designed with the help of Russian automotive company GAZ, which also helped set up the manufacturing operation and supplies some of the components. The UAE armed forces bought 1,200 NIMR vehicles over the last two years and most are in service. The new Libyan armed forces, as well as Lebanon, Tunisia, and Algeria, have ordered or are evaluating the vehicle.

 

The UAE also ordered 15,000 of the new CAR 816 assault rifle from a UAE company. This is another M-16 clone and has all the latest features and accessories.

 

NIMR and CAR 816 are part of an effort by oil-rich Arab countries to develop their economies and not just be dependent on exporting oil and gas. This is difficult because most Arab countries, especially the oil-rich Gulf states, don’t have much industrial infrastructure or a population with the motivation or skills to create one.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 08:30

02.03.2013 IsraelValley Desk

 

Perte sèche potentielle entre 500 et 760 millions de dollars d’aide pour 2013: Israël devra très certainement réduire sa voilure en matière de coopération technologique et militaire avec les américains. Premier secteur touché : la coopération dans le domaine des missiles.

 

Israël est le premier réci­pien­daire annuel de l’aide exté­rieure amé­ri­caine depuis 1976, et le premier béné­fi­ciaire d’aides étran­gères, en sommes cumulées, depuis la deuxième guerre mondiale. L’aide amé­ri­caine à Israël se porte avant tout sur le domaine mili­taire, qui repré­sente la plus grande part (en général les deux-​​tiers) du soutien total. Cette assis­tance mili­taire peut prendre la forme d’aide au déve­lop­pement de sys­tèmes d’armement, comme les mis­siles anti-​​missiles ARROW. On estimait que l’Etat d’Israël aurait perçu, depuis sa création, une aide d’un montant total de 100 mil­liards de dollars environ.

 

Selon (1) : "Régime sec pour les agences gouvernementales américaines. Faute d’accord entre Obama et les Républicains, le président a déclenché, à regret, des coupes budgétaires de 85 milliards de dollars dans l’exercice budgétaire en cours, qui expirera le 30 septembre.

 

Dépenses de l’Etat : Obama évoque des coupes budgétaires «stupides» Il a imputé la responsabilité aux Républicains qui ne voulaient pas entendre parler de nouvelle hausse d’impôts pour combler les dettes abyssales du pays.

 

La présidence démocrate avait sonné l’alarme depuis des jours sur les conséquences concrètes de ces coupes, qui représentent 8% du budget de la défense et 5% des autres postes, notamment des congés sans solde pour des centaines de milliers de fonctionnaires ou contractuels. Car les agences ne sont pas libres de répartir elles-mêmes les réductions: tous les services, des plus importants aux plus superflus, doivent dégager des économies de façon uniforme.

 

Cette crise devrait bientôt s’additionner à une autre, encore plus lourde de menaces : le financement de l’Etat fédéral pour les derniers mois de l’exercice 2013, qui devra faire l’objet d’un vote au Congrès avant le 27 mars et d’une promulgation de la part d’Obama, faute de quoi des services publics fermeront purement et simplement.

 

Voici quelques-unes des conséquences concrètes des coupes budgétaires.

 

La marine au ralenti. Les 800.000 employés civils de la défense devraient être mis au chômage partiel un jour par semaine, soit une baisse de salaire de 20% à partir de fin avril. La Marine réduira le nombre de jours en mer de ses navires de 30 à 35%. Le déploiement d’un second porte-avions dans le Golfe a déjà été annulé. Et la maintenance des bases et équipements militaires est déjà différée, forçant les sous-traitants de la défense à licencier. Les militaires, en revanche, ne subiront aucune baisse de salaire.

 

La justice durement touchée. Près de 115 000 fonctionnaires du ministère de la Justice ont reçu des notes officielles, envoyées la semaine dernière mais rendues publiques vendredi. Ils ont été informés de leur mise à pied pendant «pas plus de 14 jours ouvrables», entre le 21 avril et le 30 septembre.

 

Le FBI devra se serrer la ceinture. Les agents de la police aux frontières réduiront leurs heures pour l’équivalent de 5 000 temps pleins. Les services de l’immigration ont déjà relâché des étrangers en situation irrégulière qui avaient été arrêtés, en anticipation des coupes budgétaires. Le FBI perdrait l’équivalent de 1 000 agents".

 

Source: (1) http://www.leparisien.fr/international/obama-contraint-de-signer-85-milliards-de-coupes-budgetaires-ce-qui-attend-les-usa-02-03-2013-2611169.php

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 19:30

Middle east

 

Mar 8, 2013 Spacewar.com (UPI)

 

Riyadh, Saudi Arabia - German Chancellor Angela Merkel's government is under fire again over lifting longtime restrictions of arms exports to the Middle East after figures show weapon sales to the Arab monarchies of the Persian Gulf more than doubled in 2012.

 

Statistics compiled by Germany's Economics Ministry show that military exports to the Gulf Cooperation Council -- Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Kuwait, Qatar, Oman and Bahrain -- went up to $1.22 billion from $752.6 million a year earlier.

 

Military equipment was also sold to Algeria, with more deals being negotiated.

 

German opposition parties have angrily criticized the conservative-led coalition government's easing of restrictions because of concerns these weapons could be used by the absolute monarchies in the gulf to crush dissent amid the pro-democracy uprisings sweeping the Arab world.

 

Saudi Arabia, the world's leading exporter and the largest of the Sunni Muslim monarchies, is particularly concerned about growing protests by the restive Shiite minority in the kingdom's main oil producing region.

 

Over the last two years, Bahrain crushed a largely Shiite protest movement with the help of Saudi security forces; the United Arab Emirates has 94 alleged activists on trial on charges of plotting against the state; and Kuwait is grappling with protesters seeking to limit royal powers.

 

"The worst human rights violations are apparently no longer a reason to deny the approval of arms exports," said Jan van Aken, defense spokesman for the German opposition Left Party.

 

In large part, Germany's self-imposed ban on armed sales to regions in conflict, like the Middle East, or to autocratic regimes with poor human rights records was a relic of Germany's Nazi past and horrors of World War II.

 

However, because of the Holocaust, successive German governments have been key arms suppliers to Israel to ensure its security.

 

One of the reasons Merkel's coalition, like its immediate predecessor, moved toward a more aggressive arms sales policy is Europe's economic woes.

 

Germany's defense industry, one of the world's largest, has been hard hit by massive cuts in military spending that have made them increasingly dependent on export sales.

 

The seminal shift in German policy occurred June 27, 2011, when Merkel and Germany's Federal Security Council, which meets in secret, approved the sale to Riyadh of 200 Leopard 2A7+, Germany's most advanced tank built by Rheinmetall and Krauss-Maffei Wegmann.

 

This was at the height of the so-called Arab Spring that toppled dictatorships in Tunisia, Egypt, Yemen and Libya.

 

Der Spiegel, the German newsmagazine, reported that was the first time Berlin decided to supply "heavy arms to an Arab government that has declared its intentions to fight to fight its opponents 'with an iron fist,' a country that deployed tanks against demonstrators" in Bahrain.

 

Since then, the number of Leopards Riyadh wants has risen to 600 and the Germans are trying to sell the Saudis several hundred Boxer armored personnel carrier, also manufactured by Rheinmetall-KMG.

 

On top of that, Berlin's reported to be planning to sell Egypt two Type-209 subs, a deal worth at least $1.5 billion if it goes through. The subs are built by Howaldswerke-Deutsche Werft AG of Kiel.

 

That sale would give Egypt's navy a major boost but the German negotiations have angered Israel, which has bought three Dolphin class Type-209 subs and is acquiring three more advanced variants.

 

Meantime, Egypt's gripped again by political protests against the new president, Mohammed Morsi of the Muslim Brotherhood who's showing dictatorial tendencies.

 

That's fueled German opposition to Merkel's arms export strategy.

 

The proposed Boxer sale has run into trouble because the vehicles are being sought by Saudi Arabia's National Guard, whose primary mission is protecting the ruling House of Saud.

 

"There is the possibility of German armored vehicles being used against the masses," Der Spiegel observed.

 

Merkel's coalition is also negotiating with Algeria, North Africa's military heavyweight. Rheinmetall wants to produce up to 1,200 Fuchs APCs in Algeria.

 

Berlin has also underwritten a $2.8 billion deal with Algiers for two warships. The gulf emirate of Qatar is mulling the purchase of 200 Leopards for $2.5 billion.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 18:30

Arrow 3 interception missile photo 4 IAF

 

10 mars 2013 Par Olivier Fourt - RFI

 

Le 25 février dernier, Israël a testé son dernier missile anti-missiles Arrow. Une nouvelle étape dans son plan de défense globale contre les tirs de missiles balistiques et de roquettes. L'essai s'est déroulé avec succès à partir d'un centre israélien au-dessus de la mer Méditerranée. Pour Israël, mais aussi pour les Etats-Unis, les enjeux sont importants.

CHRO. DEFENSE 10/03 défense antimissiles d'Israël
(02:54)
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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 12:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130308-fin-de-l-exercice-gulf-falcon-2013-au-qatar/2013tlil005_010_193/2218073-1-fre-FR/2013tlil005_010_193.jpg

 

08/03/2013 Sources : EMA

 

Du 16 février au 7 mars 2013, l’exercice bilatéral interarmées franco-qatarien Gulf Falcon 2013 a engagé près de 3000 militaires des deux pays.

 

Se sont succédés : un exercice d’état-major (CPX), une appropriation du terrain et des entraînements conjoints pour les troupes des deux pays (AFT), puis le « Livex », exercice  sur le terrain articulé en trois phases : montée en puissance, engagement et stabilisation. Cet exercice a impliqué de façon bilatérale tous les niveaux de commandement ainsi que les forces engagées, dans le cadre d’un scénario de haute intensité engageant les trois composantes terrestre, maritime et aérienne.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130308-fin-de-l-exercice-gulf-falcon-2013-au-qatar/2013asap_024_10_0031-modifier/2218078-1-fre-FR/2013asap_024_10_0031-modifier.jpg

 

Le général de brigade Zayed Al-Shawhani, commandant qatarien du PC de force opératif (CJTF) s’est félicité du travail conjoint réalisé tant au niveau opératif que tactique : « Le scénario nécessitait l’engagement de nombreuses unités sur le terrain.  C’est la première fois que nous participions à un exercice avec autant de matériel. Nous avons beaucoup appris de nos collègues français sur l’organisation et la conduite d’un exercice d’une telle ampleur. Cela témoigne d’une forte relation franco-qatarienne et j’espère à l’avenir multiplier ce genre d’expériences ».

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130308-fin-de-l-exercice-gulf-falcon-2013-au-qatar/2013asap_024_15_0133/2218083-1-fre-FR/2013asap_024_15_0133.jpg

 

Il s’agissait en effet du plus grand exercice conjoint jamais réalisé dans le cadre des accords de coopération en matière de défense qui unissent les deux pays depuis presque 20 ans.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130308-fin-de-l-exercice-gulf-falcon-2013-au-qatar/2013tlil005_010_182/2218088-1-fre-FR/2013tlil005_010_182.jpg

 

« Le bilan est très positif. Nous avons rempli tous les objectifs qui nous avaient été assignés, notamment : renforcer l’interopérabilité entre nos deux pays et augmenter notre aptitude à opérer ensemble » ajoute le général Emmanuel de Romémont, co-directeur de l’exercice. « Nous avons pu l’observer tant au niveau opératif lors de l’exercice d’état-major assisté par ordinateur (CPX) que tactique avec la manœuvre sur le terrain. Nous avons tous progressé et les forces françaises déployées au Qatar sont aujourd’hui, au moment où se termine cet exercice, plus aptes qu’elles ne l’étaient avant le début de l’exercice, à opérer avec leurs homologues qatariennes ».

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130308-fin-de-l-exercice-gulf-falcon-2013-au-qatar/gf-leclerc/2218093-1-fre-FR/gf-leclerc.jpg

 

L’exercice Gulf Falcon 2013 s’est conclu le 7 mars par une démonstration dynamique et une présentation statique des moyens français et qatariens, en présence du chef d’état-major des armées qatariennes, le général de division Hamad Bin Ali Al-Ateyah et de son homologue français, l'amiral Edouard Guillaud.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130308-fin-de-l-exercice-gulf-falcon-2013-au-qatar/dsc01528_w/2218098-1-fre-FR/dsc01528_w.jpg

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 12:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130301-gulf-falcon-2013-de-la-planification-a-la-conduite-de-l-exercice/20130228_113732/2206890-1-fre-FR/20130228_113732.jpg

 

01/03/2013 Sources : EMA

 

Lors de la phase d’engagement de l’exercice Gulf Falcon 2013 qui se déroulera du 2 au 7 mars, trois GTIA (groupements tactiques interarmes) français et qatariens vont manœuvrer côte à côte sur le terrain, appuyés par la composante aérienne conjointe, pendant qu’à la mer, les forces navales seront déployées pour soutenir les autres composantes, notamment dans le domaine de la défense aérienne.

 

Cet exercice terrain ou FTX (Field Training Exercise) viendra conclure et concrétiser 10 jours d’entraînement à la conception et à la conduite des opérations (le Command Post Exercice -CPX), auxquels auront participé le PC de force opératif franco-qatarien (CJTF) et les 3 états-majors de niveau tactique (Terre, Mer  et Air). Le colonel Daniel Grammatico, commandant la partie française du CJTF, souligne que « sur l’ensemble d’un théâtre d’opérations, l’état-major opératif est celui qui veille à la réalisation et la synchronisation des effets produits par l’action des composantes tactiques, aussi bien dans le champ cinétique que non-cinétique. Il a donc un rôle de planification, de coordination et d’évaluation de la campagne ordonnée par le commandement stratégique » ajoute-t-il.

 

Pour l’heure, l’objectif du CPX est d’entraîner les structures de commandement interarmées binationales, qui planifient et conduiront la suite de l’exercice. Français et Qatariens en binôme sur chaque poste conçoivent ensemble et avec les mêmes outils les ordres destinés à contenir puis repousser la manœuvre adverse. Les incidents sont « injectés » notamment au travers du logiciel JTLS (Joint Theater Level Simulation - logiciel de simulation opératif) mis en œuvre par le CSFEE (Centre de simulation pour la formation, l’entraînement et l’expérimentation). « La simulation permet de modéliser l’ensemble des actions militaires et civiles pour en évaluer les effets. « Notre logiciel  regroupe des modèles terrestres, navals et aériens et permet l’animation de toutes les forces. Il offre une visualisation cohérente des interactions entre elles ainsi que des domaines spécifiquement interarmées comme le renseignement et la logistique Cette visualisation est envoyée vers les états-majors. Ces derniers ont ainsi la situation globale sous les yeux, avec les effets produits », explique le colonel Philippe Coste, commandant le CSFEE à Paris et déployé pour cet exercice au Qatar.

 

Viendra bientôt la phase « terrain », lors de laquelle l’ensemble des moyens français et qatariens  sera déployé pour la manœuvre réelle.

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 08:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/terre/terre-images/images-articles/cemat-gulf-falcon/2208795-1-fre-FR/cemat-gulf-falcon.jpg

Le général Ract Madoux à la rencontre des militaires des deux nations

Crédits : SCH S. Poette/SIRPA Terre

 

04/03/2013 Sources : EMA

 

Lundi 25 et mardi 26 février 2013, le général d’armée Bertrand Ract Madoux, chef d’État-major de l’armée de Terre (CEMAT), a rencontré les 3000 militaires français et qatariens déployés au Qatar pour l’exercice interarmées franco-qatarien Gulf Falcon 2013.

 

Interrogé sur les raisons de sa présence, le CEMAT a expliqué qu’il venait « s’assurer que l’interopérabilité entre les états-majors français et qatariens était au meilleur niveau ». Il a souligné qu’« il est nécessaire de travailler ensemble, que chacun fasse une partie du chemin vers l’autre pour arriver à des modes d’action commun et les plus efficaces possibles ».

 

Reçu sur le camp Tarik Ben Zayed d’Al Sailia par son homologue qatarien, le général de division Mohammed Ali Al-Ghanim, le CEMAT a assisté à plusieurs présentations dans la matinée. Après un point de situation sur l’exercice par le général de brigade Mohammed Khalifa Al-Kuwari, officier de marque de l’exercice pour le Qatar, la délégation s’est rendue dans les locaux de l’animation, de l’état-major opératif (les « joueurs »), du poste de commandement du soutien national France et enfin sous les tentes du détachement du 48e régiment de transmissions (48e RT) d’Agen.

 

« Passer dans ces différentes cellules m’a permis de remercier personnellement tous ceux qui ont organisé dans la durée cet exercice. Je pense notamment à l’état-major interarmées de force et d’entraînement (EMIA-FE) de Creil et à nos camarades de la logistique et des transmissions qui ont préparé en France et sur le terrain ce déploiement d’envergure avant les autres », a ajouté le général.

 

Après s’être rendu dans l’après-midi à l’état-major de commandement des forces terrestres qatariennes à Al Duhaliyat, le général Ract Madoux a rencontré les militaires du groupement tactique interarmes français sur le camp de toile d’Al Qalayel. Il a notamment assisté à un tir d’artillerie de nuit puis à un tir de chars Leclerc du 1er régiment de chasseurs (1er RCh) de Thierville-sur-Meuse et de véhicule blindé de combat de l’infanterie (VBCI) du régiment de marche du Tchad (RMT), suivi d’une présentation commune de matériel qatariens et français.

 

Le général quitte ses troupes au moment où celles-ci terminent la phase d’entraînement préliminaire à l’exercice. Prochain objectif : confirmer, en situation réelle, le haut niveau d’interopérabilité atteint par les deux contingents.

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 08:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130306-gulf-falcon-2013-la-fregate-de-defense-aerienne-chevalier-paul-entre-dans-l-exercice/2013asap_024_15_0133/2212342-1-fre-FR/2013asap_024_15_0133.jpg

 

06/03/2013 Sources : EMA

 

La frégate de défense aérienne Chevalier Paul participe depuis le 27 février à l’exercice interarmées bilatéral Gulf Falcon 2013 qui se déroule actuellement au Qatar.

La frégate de défense aérienne Chevalier Paul entre dans l’exercice

 

Après le déploiement des forces terrestres et aériennes, c’est la Marine nationale qui a intégré l’exercice Gulf Falcon le 27 février 2013, avec l’arrivée de la frégate de défense aérienne « Chevalier Paul » (153 mètres de long, 7000 tonnes) armée par près de 200 militaires français. La frégate a dans un premier temps été amarrée au port de Doha pendant deux jours permettant à l’équipage d’échanger avec les marins qatariens et les militaires des autres composantes participant à l’exercice Gulf Falcon. Puis, le 2 mars 2013, la frégate a appareillé au large des côtes du Qatar aux côtés de deux patrouilleurs qatariens de type Vita (classe Barzan) afin de participer aux deux dernières phases « live » du scénario de l’exercice : l’engagement et la stabilisation.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130306-gulf-falcon-2013-la-fregate-de-defense-aerienne-chevalier-paul-entre-dans-l-exercice/coordonnees-chasseur/2212347-1-fre-FR/coordonnees-chasseur.jpg

 

Dans un premier temps, la frégate, dont la mission principale est la défense aérienne, a travaillé avec la composante aérienne binationale  sur des missions de TASMO (Tactical air support for maritime operations) pour lesquelles ont été simulées des attaques aériennes et des missions de protection par des avions de chasse des deux pays (Rafale français et Mirage 2000-5 qatariens). Dans ce cadre, l’hélicoptère Panther embarqué sur le « Chevalier Paul », dont une des missions est la lutte anti-navire au profit du bâtiment porteur, a été mis en œuvre afin de fournir aux moyens aériens la visualisation de la situation tactique navale dans la zone d’action (grâce à son radar panoramique ORB-32).

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130306-gulf-falcon-2013-la-fregate-de-defense-aerienne-chevalier-paul-entre-dans-l-exercice/helico-fregate/2212327-1-fre-FR/helico-fregate.jpg

 

Lors de cet exercice, les contrôleurs de défense aérienne situés dans le centre opérationnel de la frégate ont travaillé en liaison permanente avec les avions de chasse français et qatariens pour coordonner la manœuvre aéromaritime. Ainsi, la frégate a mis en œuvre ses capacités spécifiques : commandement et coordination embarqués des opérations aériennes, protection d’une force navale (aéronavale, amphibie, pouvant inclure des bâtiments civils sous escorte) contre les menaces air-mer.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130306-gulf-falcon-2013-la-fregate-de-defense-aerienne-chevalier-paul-entre-dans-l-exercice/controle-fregate/2212337-1-fre-FR/controle-fregate.jpg

 

Dans un second temps, les forces maritimes françaises et qatariennes ont travaillé au profit d’une cellule de fusionnement de données (CMD3D), située dans le désert à près de 100 km des côtes et qui élabore la visualisation de la situation globale au profit de l’état-major de niveau opératif : « la composante maritime s’intègre dans un dispositif plus global au moyen d’un réseau de données tactiques (liaison 16), ce qui nous permet de délivrer la vision dont nous disposons au large aux chefs militaires afin que ces derniers aient une image globale claire de la menace aérienne » explique le capitaine de vaisseau Nicolas Vaujour, commandant la frégate « Chevalier Paul ». C’est ce que les spécialistes appellent : contribuer à l’élaboration de la « Global Picture ».

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/les-organismes-interarmees/130306-gulf-falcon-2013-la-fregate-de-defense-aerienne-chevalier-paul-entre-dans-l-exercice/2013asap_024_15_0036/2212322-1-fre-FR/2013asap_024_15_0036.jpg

 

Par ailleurs, les Marines françaises et qatariennes ont également commencé à réaliser des exercices de « visite de bateaux ». « Nous allons envoyer une équipe sur les bateaux qatariens afin d’investiguer leur passerelle et de vérifier la régularité des documents devant se trouver à bord. Nos homologues feront de même sur la frégate « Chevalier Paul » », explique le capitaine de frégate Rémi Jehanno, commandant les opérations à bord du « Chevalier Paul ». « Nous poursuivrons notre travail avec nos homologues qatariens dans les prochains jours avec des exercices de manœuvre ainsi que des présentations au ravitaillement et des évolutions tactiques en mer ».

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 08:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130304-liban-exercice-steel-storm/steelstorm2/2209852-1-fre-FR/steelstorm2.jpg

 

04/03/2013 Sources : EMA

 

Du 28 février au 1er mars 2013, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit un exercice de tir conjoint avec les Forces Armées Libanaises (FAL) dans la région de Naqoura.

 

Durant deux jours, l’exercice Steel Storm a permis l’entrainement au tir de l’ensemble des unités opérationnelles de la FCR tout en renforçant la coopération entre la FINUL et les FAL.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130304-liban-exercice-steel-storm/steelstorm3/2209877-1-fre-FR/steelstorm3.jpg

 

Les blindés français (VBL, VBCI, VAB) et libanais (M113), équipés de différentes armes de bord (mitrailleuse 7.62, 12.7, canon de 20 et 25 et fusil PGM), se sont succédés sur le pas de tir situé au sud de Naqoura. Près de 15 000 cartouches, de tous calibres, ont été tirées sur des cibles distantes de 400 à 1400 mètres. Les militaires français se sont également exercés au tir de combat à la mitrailleuse de superstructure (TCMS) visant ainsi à acquérir les spécificités du tir de combat à partir de véhicules et à améliorer l’efficacité du tireur.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130304-liban-exercice-steel-storm/steelstorm5/2209872-1-fre-FR/steelstorm5.jpg

 

Le général Delort-Laval, chef d’état-major de la FINUL et Senior National Representative (SNR), le général Chraïm, commandant le secteur Sud Liban, le colonel Peltier, chef de corps de la FCR, ainsi que plusieurs autorités militaires de la FINUL et des FAL, ont assisté à une démonstration exécutée par les soldats français et libanais. Le succès de cet exercice témoigne de l’excellente coordination entre les unités françaises et libanaises pour conduire un tir conjoint sur un scénario adapté au mandat de la FINUL.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130304-liban-exercice-steel-storm/steelstorm19/2209862-1-fre-FR/steelstorm19.jpg

 

La France, engagée au Liban depuis 1978 dans le cadre de la FINUL, a notamment pour mission de soutenir les forces armées libanaises (FAL) afin qu’elles prennent en compte la sécurité du Sud Liban. Le partenariat avec les FAL, inscrit dans le dialogue  stratégique FAL – FINUL (entériné par la résolution 2064 d’août 2012 qui renouvelle le mandat de la résolution 1701), fait partie des axes d’effort de la FCR qui conduit ses missions en étroite coopération avec les FAL.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130304-liban-exercice-steel-storm/steelstorm1/2209867-1-fre-FR/steelstorm1.jpg

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 12:30

Syria

 

MOSCOU, 28 février - RIA Novosti

 

Paris respecte l'embargo sur les livraisons d'armes en Syrie et espère une "décision politique" rapide pour mettre fin à l'escalade du conflit dans ce pays, a déclaré jeudi le président français François Hollande dans une interview à la radio Echo de Moscou.

 

"La France tient parole. Il y a un embargo imposé par l'UE et nous le respectons. Mais s'il y a une demande pour des armes de la part d'une partie, il n'est pas exclu que d'autres pays les livrent, et pas dans les meilleures mains", a indiqué le chef de l'Etat français, dont les propos ont été retraduits du russe par RIA Novosti.

 

"Si nous ne parvenons pas à trouver une solution politique, les armes seront livrées, mais plus par la France. Une partie de l'opposition syrienne armée les obtient déjà. Nous le constatons déjà lors de l'évolution du conflit", a déploré M.Hollande.

 

"J'espère que dans les prochaines semaines on se rapprochera d'une décision politique qui permettra de mettre fin à l'escalade du conflit" en Syrie, a déclaré le président français.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 12:30

Syria

 

MOSCOU, 28 février - RIA Novosti

 

 

La Coalition nationale de l'opposition syrienne espère que les participants à la conférence internationale des "Amis de la Syrie" prévue jeudi à Rome approuveront l'octroi d'une aide militaire aux combattants anti-Assad, rapportent les médias occidentaux.

 

"Nous espérons obtenir une aide politique, humanitaire et militaire de qualité", a déclaré le chef adjoint de la Coalition Riad Seif cité par l'agence Reuters.

 

Mercredi, les médias ont fait savoir que l'administration américaine était prête à envoyer des "armes non létales" à certaines unités de l'Armée syrienne libre (ASL) engagée dans la lutte armée contre les forces fidèles au gouvernement de Damas. Jusqu'à présent, une telle aide n'était octroyée qu'à l'opposition politique syrienne.

 

L'initiative de constituer, en appui aux efforts de la Ligue arabe, un "groupe d'amis" du peuple syrien a été avancée par la France. La première réunion des "Amis" a eu lieu le 24 février 2012 à Gammarth en Tunisie.

 

La Russie s'abstient de participer aux réunions des "amis de la Syrie", estimant que ses participants ne cherchent pas à établir un dialogue inter-syrien en vue de faire cesser le conflit, mais préparent plutôt le terrain pour une intervention étrangère.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 12:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/79/Marco_Rubio%2C_Official_Portrait%2C_112th_Congress.jpg/473px-Marco_Rubio%2C_Official_Portrait%2C_112th_Congress.jpg

 

Feb 27, 2013 Spacewar.com (AFP)

 

Washington - US Senator Marco Rubio urged the United States on Wednesday to provide ammunition to Syrian rebels and share intelligence, as Washington was said to weigh "non-lethal" aid.

 

"What the opposition really needs is access to ammunition," the prominent Republican said days after a US congressional visit to Israel, the occupied territories and Jordan.

 

"We can identify a couple of responsible groups... that we feel have built capacity," Rubio said at the Washington Institute for Near East Policy, a think tank in the US capital.

 

"Ammunition is something we can provide which is not weaponry per say, but is essential."

 

Amid a raging civil war pitting regime loyalists against rebels seeking to oust strongman Bashar al-Assad, Rubio warned that the best-organized and best-armed rebel groups in Syria "are the most radical ones, the most anti-democratic ones, the most anti-American ones."

 

"The real risk is that when Assad falls -- and he will fall -- the largest, those well-equipped, best organized groups in that conflict, will be the people that quite frankly are against our national interest."

 

The young but influential first-term senator, a possible 2016 presidential prospect, spoke just hours after President Barack Obama's new Secretary of State John Kerry hinted at greater US support for Syria's opposition.

 

On the eve of a meeting of the Friends of Syria group in Rome, Kerry said boosting support for the opposition would be a key part of the talks Thursday bringing together foreign powers and the main opposition National Coalition.

 

The Washington Post reported that the White House was considering a policy shift to supply rebels with "non-lethal" aid, including armored vehicles and perhaps even military training.

 

The United Nations says at least 70,000 people have died and hundreds of thousands have been uprooted in the two-year conflict.

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