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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 17:35
IAF, HAL to Work On Joint Plans

 

April 8, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Hindustan Aeronautics Limited; issued April 7, 2014)

 

HAL Proposes Single Agency to Deal with Foreign OEMs

 

The Indian Air Force and HAL have decided to work on joint plans on various fronts for better understanding of issues so that both contribute effectively in India’s defence preparedness. The entire board of HAL and senior officials flew down from Bangalore to interact with the top commanders of IAF at the conference held at the Air Headquarters (Vayu Bhavan) in New Delhi yesterday.

 

“Hand-holding is important considering the challenges involved in manufacturing and operational fronts”, said the Chief of the Air Staff Air Chief Marshal, Arup Raha . On his part, HAL Chairman, Dr. R.K. Tyagi, mooted the idea of putting up single group or team to deal with foreign OEMs on all matters as these OEMs work with Air Force, Army, Navy and other multiple Government agencies. "Normally these OEMs work with two or more agencies. There is greater cohesion, understanding and mutual benefits when these OEMs are dealt from one platform”, he said.

 

Senior IAF, MoD and HAL officials took part in the performance review with focus on challenges related to several fleets such as MiG (21, 27, 29), Su-30 MKI, Mirage, Jaguar, Hawk, Kiran, Pilatus, Avro, Dornier, Chetak/Cheetah and Cheetal, ALH, RPA, Lakshya, etc. HAL supports 80% of the IAF inventory.

 

The discussions also focused on indigenisation, quality and delivery timelines that are often demanding due to factors related to supply chain, transfer of technology and shortage of skilled manpower in the aviation/aerospace sector.

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 16:35
HAL's IJT Delayed, IAF Scouts Foreign Source

 

March 30, 2014 by - Livefist

 

The face-off between the Indian Air Force and HAL over the basic trainer programme festers nastily, much of it in public. But here's something that's been in the pipeline for a while now. And it gives me no pleasure to say I told you so.
 
The IAF has published a request for information to support a potential acquisition of intermediate (Stage-II) jet trainers from abroad "for a primary task of Stage–II training of Pilots and also capable to undertake a secondary task of Counter Insurgent Operations" (sic).
 
This was inevitable. The IAF has grumbled about HAL's delayed HJT-36 Sitara for months now. Last month, in a perplexing note to Parliament, the MoD said the Sitara was scheduled to achieve final operational clearance (FOC) by December 2014 (there's been no word on IOC, though). The IAF announcing a requirement in the global market could mean many things: (a) It simply doesn't have faith that HAL will deliver the HJT-36 on time anymore -- the HJT-36 should have been in service by June 2012. (b) It does not have faith in the aircraft itself (spin and stall recovery characteristics remain largely unproven). (c) A psychological pressure tactic on HAL, not unprecedented -- it's on right now on the basic trainer domain.
 
Either way, the IAF has put out a very specific list of requirements. To quote from the RFI:

 

The aircraft should be easy to fly and have good control response/agility. The flying qualities should preferably conform to Mil-F-8785C and Mil Std 1797-A. The aircraft should demonstrate the following qualities: (a) Stalling. An unmistakable natural stall warning should be available, irrespective of the configuration. (b) Spinning. The aircraft must be resistant to spin but it should be possible to perform intentional spin upto six turns to either side and recover safely thereafter. The aircraft behavior in the spin should be predictable and consistent. (c) Aerobatics The IJT should be capable of performing loops, barrel rolls, rolls, combination maneuvers and negative ‘g’ flight without adverse effects on the engine and aircraft structure. The aircraft should be capable of sustained inverted flight for at least 30 seconds at sea level at maximum takeoff power.

Interestingly, the IAF has also specified a 'counter-insurgency' role for the platform it's looking for. In 2011, HAL began the process to kit out the HJT-36 with armament. For its freshly stated requirement, it has specified the following:

The aircraft should be capable of carrying at least 1000 kg of external load. The aircraft should be equipped with a minimum of five hard points and each hard point on the wing should be stressed to carry at least 300 kg stores. The aircraft should be, free from buffet, dutch roll, snaking and wing rock during air to ground weapon training. The aircraft should be capable of employing the following armament: (a) Gun. A light weight gun/ gun-pod with adequate ammunition for at least 5 sec of firing time. (b) Rocket Pods. Reusable rocket pods. (c) Bombs. Should be able to carry at least 4x250 kg retarded or ballistic bombs. The stations should be capable of employing Carrier Bomb Light Stores (CBLS) type of dispensers for carriage of practice bombs (25 lbs and 3 Kg).

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 14:55
Dassault et HAL ont arrêté l'organisation industrielle du Rafale en Inde

"Nous avons effectivement un accord avec HAL", le conglomérat public indien, qui doit assurer l'assemblage des appareils qui seront fabriqués en Inde. (DR)

 

13/03/2014 latribune.fr 

 

Dassault Aviation et le groupe aéronautique indien Hindustan Aeronautics (HAL) ont réussi à s'entendre sur l'organisation de la production du Rafale en Inde.


 

A quand un accord définitif avec l'Inde sur l'achat du Rafale de Dassault Aviation ? L'avionneur a confirmé un pas supplémentaire dans cette direction jeudi, en indiquant être parvenu à s'entendre avec les industriels indiens sur l'organisation de la production de l'avion de combat dans ce pays (workshare). Ce qui n'a pas été simple d'autant qu'avec cet accord les deux industriels ont défini les responsabilités de chacun.

"Oui, je confirme que nous avons franchi une étape" dans la finalisation du contrat, a indiqué Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation lors de la présentation des résultats de Dassault Aviation rencontre avec la presse. "Nous avons maintenant un +work share+" (une répartition des tâches) avec la partie indienne". Selon le responsable, "les parties française et indienne se sont entendues pour travailler ensemble selon une organisation clairement définie".

 

Lenteur de la prise de décision

"Nous avons effectivement un accord avec HAL", le conglomérat public indien, qui doit assurer l'assemblage des appareils qui seront fabriqués en Inde, a-t-il encore dit lors de la présentation des résultats annuels de l'entreprise. "C'est une belle étape de franchie", s'est-il félicité.

Les négociations avec l'Inde, souvent critiquée pour sa bureaucratie et sa lenteur de prise de décision, sont complexes. Et elles ne sont pas encore terminées. Il reste le contrat à négocier.

 

Accord à l'horizon 2015

En novembre, La Tribune révélait que les industriels du Team Rafale (Dassault Aviation, Thales et Safran) ne tablaient pas sur la signature d'un contrat pour la fourniture de 126 Rafale à l'armée de l'air indienne avant 2015. "Il reste entre 12 et 18 mois de travail" pour signer un contrat en bonne et due forme, expliquait alors un bon connaisseur du dossier.

>> Lire : Rafale en Inde : les industriels visent un contrat signé... en 2015

HAL (Hindustan Aeronautics Limited) fabrique sous licence des avions d'entraînement britanniques Hawk, des chasseurs-bombardiers russes SU-30, des hélicoptères européens et développe un avion furtif avec la Russie. C'était déjà le partenaire de Dassault Aviation lors de la modernisation des Mirage-2000 de l'armée de l'air indienne.

 

126 avions de combat

L'Inde avait choisi d'entrer en négociations exclusives avec Dassault Aviation en janvier 2012 pour l'achat de 126 avions de combat Rafale, dont 108 à assembler sur place. Le montant du contrat est estimé à environ 12 milliards de dollars.

En février dernier, le ministre de la Défense indien avait indiqué que "les grands contrats d'équipement militaire devront attendre le prochain exercice qui commence en avril". La masse incroyable de détails qui ont été négociés et qui restent encore à négocier, est à l'origine de la difficulté de conclure rapidement un contrat hors norme baptisé "Mother of all deals" (la mère de tous les contrats).

 

>> Lire : Pourquoi l'Inde fait patienter le Rafale sur la piste d'envol

 

Quatre contrats à l'export

Dassault Aviation est en lice pour au moins quatre contrats à l'export pour le Rafale, en plus de celui espéré en Inde. L'avionneur français, qui n'a pas encore exporté le Rafale, compte sur un contrat potentiel d'une soixantaine d'avions au Canada, répond aux demandes d'informations de la Malaisie pour 18 avions et estime avoir ses chances au Qatar sur la base des liens historiques du pays avec la France et Dassault Aviation, a-t-il expliqué à des journalistes.

Eric Trappier a précisé continuer à travailler avec les Emirats arabes unis, avec lesquels les discussions avaient connu un accroc majeur fin 2010, laissant une occasion de revenir dans la course à l'Eurofighter (coentreprise entre BAE Systems , Airbus Group et Finmeccanica ), qui est depuis hors course.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 13:55
Rafale en Inde : un petit pas de plus pour Dassault avec le transfert de technologies



13.04.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord

Lors de sa conférence sur les résultats annuels, ce jeudi 13 mars, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a indiqué que les négociations pour le transfert de technologies du Rafale était achevées avec l'Inde. Une nouvelle étape importante avant la possible signature du contrat gigantesque de 126 avions de chasse pour 8,6 milliards d'euros. 

Dassault Aviation est probablement passé maître dans l'art de la patience et de la ténacité après les divers échecs à l'exportation du Rafale, dont le dernier au Brésil au profit du Gripen de Saab. En plus du feuilleton indien, il reste en lice au Canada (60 avions), en Malaisie (18), au Qatar mais l'Inde concentre un enjeu formidable.

En attendant, Dassault et l'entreprise publique indienne HAL (Hindustan Aeronautics Limited) ont défini clairement, selon Eric Trappier, le transfert de technologies et le plan de charge industrielle. Concrètement, " le transfert sera progressif. Les dix-huit premiers Rafale seront faits en France puis progressivement en Inde jusqu'au 126e ", décrit le PDG de Dassault Aviation.

Mais une incertitude pèse sur le résultat des élections indiennes en mai et la tendance du futur gouvernement...

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 14:35
Le Rafale franchit une étape importante en Inde

 

 

10/03 Par Alain Ruello et Patrick de Jacquelot – LesEchos.fr

 

Dassault et ses partenaires locaux, HAL en tête, ont conclu l’accord de transfert de technologie. Le sort de la vente des 126 Rafale est désormais dans les mains du prochain gouvernement.

 

La vente des 126 Rafale à Inde vient de franchir une étape importante, à défaut d’être décisive. Dassault et ses interlocuteurs industriels locaux, au premier rang desquels Hindustan Aeonautics Limited (HAL), on conclu récemment l’accord de transfert de technologie qui constitue le cœur du contrat en cours de négociation.

L’information a été dévoilée il y a une semaine par la télévision locale NDTV , mais est passée relativement inaperçue, en France notamment. «  Il y a eu un accord sur la répartition des tâches, qui fait quoi, comment et surtout qui est responsable. Il a été soumis au gouvernement indien », confirme-t-on aux « Echos » de source proche.

Début février 2012, le Rafale a remporté l’appel d’offres de New Delhi portant sur l’achat de 126 avions de combat, destiné à remplacer les escadrons de vieux Mig. Boeing, Lockheed Martin, Eurofighter, Saab, Mig, Soukhoï et donc Dassault : la compétition a vu le gratin de l’aéronautique de combat s’affronter. Elle a donné lieu à des tests très poussés de chacun des appareils dans le désert au dans l’Himalaya. Même si elle n’a jamais été complètement corroborée, la somme en jeu donne le vertige puisqu’on on évoque un contrat de plus de 10 milliards de dollars.

 

« Boulot de dingue »

Dans son appel d’offres, New Delhi a imposé que du 19e au dernier Rafale, soit 108 des 126 exemplaires prévus, la production et l’assemblage se fassent en Inde, ce qui suppose que l’industrie locale monte en cadence progressivement en terme de savoir-faire (les 18 premiers sortiront de l’usine de Mérignac, ce qui représente un an et demi de production aux cadences actuelles).

Dans un en entretien à Europe 1 le 19 février , Laurent Collet Billon, le délégué général pour l’armement, avait indiqué mi-février que la liste des entreprises sous-traitants de HAL avait été arrêtée. Un pas de plus a donc été franchi depuis, avec cet accord de partage des tâches industrielles entre Dassault et HAL. « Ca a été un boulot de dingue et c’est pour cela a pris deux ans. On est descendu jusqu’à la vis de 4 », toujours de la même source.

 

Pourvoir d’achat réduit

Selon NDTV, le radar du Rafale sera construit par Bharat-Electronics Ltd (BEL) à Bangalore par exemple. Dassault s’inquiétant de la coordination entre BEL et HAL, ce dernier aurait accepté d’installer une unité de fabrication à côté de celle de son partenaire. Les deux gouvernements travaillent par ailleurs à un accord d’Etat à Etat certifiant que l’avionneur tricolore assurera la fourniture et l’entretien des Rafale pendant 40 ans.

Cette étape franchie, rien ne devrait se passer maintenant d’ici aux élections législatives de mai. C’est le gouvernement qui sortira des urnes qui décidera du destin de ce contrat pharaonique. A priori, il y réfléchira à deux fois avant de remettre en cause tout ce qui a été négocié sous l’égide de son prédécesseur. Mais rien n’interdit non plus qu’il le fasse quitte à repousser de nombreux mois la conclusion de l’affaire, d’autant le pouvoir d’achat du ministère indien de la défense s’est considérablement réduit.

Contacté, Dassault n’a pas souhaiter commenter.

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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 12:35
La corruption entrave la modernisation de l’armée indienne

 

07.03.2014 Sergueï Tomine – La Voix de la Russie

 

La corruption, un des thèmes principaux de la campagne électorale en cours en Inde, est tout particulièrement visible dans le secteur militaro-industriel. Le marché de l’armement indien est l’un des plus prometteurs du monde. En 2013, le budget de la Défense du pays a atteint 40 milliards de dollars, selon certaines estimations. Et bien sûr là où il y a beaucoup d’argent, les possibilités sont nombreuses de gagner gros.

 

Cette tendance apparaît clairement avec le scandale qui a touché le britannique Rolls-Royce. Cette société mondialement connue est soupçonnée d’avoir versé des pots-de-vin aux employés de Hindustan Aeronautics Limited lors de la conclusion d’un contrat estimé à 1,2 milliards de dollars portant sur l’achat de moteurs d’avions par l’Inde. Des sources du Bureau central des enquêtes (CBI) estiment que le montant des dessous-de-table versés pourrait atteindre 80 millions de dollars.

 

L’affaire Rolls-Royce s’ajoute à la liste déjà longue des scandales qui ébranlent l’Inde et impliquent des fabricants d’armes et d’équipement militaires occidentaux renommés. Grâce à la corruption, la société, en contournant les règles de concurrence loyale, s’est vu ouvrir le « canal vert » du marché indien des armes. En janvier 2014, le ministère de la Défense indien a confirmé l’annulation d’un contrat de 750 millions de dollars portant sur pour l’achat de 12 hélicoptères de transport VIP produits par la filiale du constructeur italien Finmeccanica, AgustaWestland. Le scandale a éclaté en Inde après qu’un mandat d’arrêt a été émis en Italie contre le président de Finmeccanica, Giuseppe Orsi, accusé d’avoir versé des pots-de-vin à des fonctionnaires indiens lors de la conclusion du contrat.

 

Les perquisitions conduites chez l’ancien commandant de l’Armée de l’air,Shashindra PalTyagi, et chez douze autres anciens hauts fonctionnaires et militaires, confirment que la corruption concerne les plus hauts échelons de la Défense indienne. En mars 2013, des perquisitions ont été menées dans les bureaux de quatre entreprises du complexe militaro-industriel indien, dans le cadre de l’enquête sur les machinations impliquant l’entreprise Finmeccanica. Suite à ces perquisitions, les suspects ont été officiellement inculpés.

 

Une situation paradoxale se fait jour : alors que la Défense indienne a dépensé des sommes astronomiques, les militaires se plaignent de la mauvaise qualité de leurs équipements. Il y a deux ans, les médias indiens avaient publié une lettre scandaleuse du commandant de l’Armée de terre, le général Singh,adressée au Premier ministre, Manmohan Singh, qui avait eu l’effet d’une bombe. La lettre indiquait que bien que l’Inde était devenue le premier pays importateur d’armes au monde, l’équipement des militaires était dans un état catastrophique. Cela concernait en premier lieu les forces blindées et la défense aérienne.

 

Parallèlement, ce même général Singh avait fait, au journal The Hindu, une autre déclaration sensationnelle en reconnaissant qu’un pot-de-vin de 3 millions de dollars lui avait été offert en échange de son approbation de l’achat de camions du constructeur tchèque Tatra. Cette société appartient à l’homme d’affaires indien Ravi Rishi.

 

Après les déclarations du général Singh, le ministère de la Défense a annoncé qu’il déclarait la guerre à la corruption touchant les contrats d’armement. Deux sociétés indiennes et quatre sociétés étrangères ont été placées sur une « liste noire » et interdites de travailler sur le marché indien pendant dix ans. « Si nous constatons que les choses ne se déroulent pas bien avec un contrat ou un autre, nous l’annulerons quel que soit son stade de développement », avait alors mis en garde le ministre de la Défense, A. K. Antony.

 

Néanmoins, l’affaire Rolls-Royce indique que la corruption à grande échelle dans le secteur militaro-industriel n’est pas facile à stopper. Et ce notamment parce que les racines de la corruption sont intactes. Ces nombreux scandales mettent en question le mécanisme d’appel d’offres utilisé par l’Inde pour les transactions dans le domaine technico-militaire. L’opacité et la corruption touchant les contrats d’armement sont de plus en plus visibles.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 19:35
Rafale : les négociations franco-indiennes progressent

 

03/03/2014 Romain Guillot journal-aviation.com

 

Un grand pas aurait été franchi pour le contrat Rafale en Inde, selon un article publié par la chaine indienne New Delhi Television (NDTV) le 3 mars.

 

L’avionneur français Dassault Aviation, seul finaliste de l’appel d’offres MMRCA depuis près de deux ans, qui prévoit l’acquisition de 126 chasseurs pour les besoins de l’Indian Air Force (IAF), aurait finalisé les grandes lignes de l’accord de répartition des tâches avec le gouvernement indien.

 

Selon des sources proches du dossier, l’entreprise publique Hindustan (HAL) assurerait 70% des travaux sur les 108 appareils produits en Inde. Le radar des futurs appareils serait, quant à lui, produit par Bharat-Electronics Ltd dans une usine située à proximité de la ligne d’assemblage de HAL à Bangalore.

 

Toujours selon NDTV, le contrat d’acquisition des Rafale ne serait pas finalisé avant les prochaines élections législatives indiennes qui s’achèveront en mai prochain, le ministère de la Défense n’ayant de toute façon pas budgétisé le contrat pour l’année fiscale en cours.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:50
Inde: enquête sur un contrat avec Rolls-Royce

 

04/03/2014 Par Lefigaro.fr (AFP)

 

Le ministère indien de la Défense a demandé l'ouverture d'une enquête sur l'achat de moteurs d'avions de combat auprès du motoriste britannique Rolls-Royce dans le cadre d'un contrat estimé à 1,6 milliard de dollars US.

 

Le Bureau central des enquêtes (CBI) va enquêter sur des soupçons de pots-de-vin pour la fourniture de moteurs à l'entreprise publique indienne Hindustan Aeronautics Ltd (HAL) entre 2007 et 2011, a précisé un responsable du ministère. "Il y a eu un rapport interne (conduit par HAL) qui laisse deviner des trous dans le contrat. Le CBI se penche sur le dossier", a ajouté ce responsable sous couvert d'anonymat.

 

Ces moteurs étaient destinés à des avions de combat développés par HAL et qui servaient d'appareils de formation aux forces aériennes et maritimes indiennes. Un porte-parole de Rolls-Royce a indiqué que le groupe allait "coopérer pleinement" avec les autorités indiennes, a rapporté l'agence de presse du pays, Press Trust of India (PTI).

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 18:35
Rolls Royce-HAL Dealings Under Probe

India is investigating fraud allegations related to the acquisition of engines for the Hawk advanced jet trainer. (BAE Systems)

 

Mar. 3, 2014 - By VIVEK RAGHUVANSHI – Defense News

 

NEW DELHI — India’s anti-fraud agency, the Central Bureau of Investigation (CBI), has begun a probe into alleged corruption charges against UK-based Rolls Royce in the supply of engines to state-owned Hindustan Aeronautics Ltd. (HAL) to power the Hawk advanced jet trainer aircraft.

 

The overhaul and license production of Hawk trainers at HAL facilities is unlikely to be affected, said a HAL source.

 

India contracted the purchase of 66 Hawk trainers from BAE Systems in 2003 for US $1.2 billion and 57 Hawk trainers in 2010 for $780 million.

 

The probe was ordered by the Ministry of Defense March 2 on the recommendations of the Chief Vigilance Officer of HAL, who had received an anonymous letter in December indicating payment of bribes by Rolls Royce to unknown HAL personnel to win the order to supply Adour engines for the Hawk trainer aircraft, a HAL source said.

 

While no MoD official would publicly comment on the CBI probe, an MoD source said the investigations are only preliminary and that no decision against Rolls Royce nor HAL’s license production of Hawk is currently contemplated.

 

Rolls Royce executives in New Delhi were unavailable for comment; neither would an official of HAL comment on the matter.

 

An Indian Air Force official said they are satisfied with the Hawk trainer and would not comment on the CBI probe.

 

MoD has blacklisted seven foreign defense companies on charges of alleged corruption related to other procurements. Most recently, CBI has investigated the sale of 12 VVIP helicopters by Anglo-Italian company AgustaWestland.

 

Senior officers of the Indian Defense Services have expressed concerns that such blacklisting of overseas companies delays purchase of essential weapons.

 

“The ruling United Progressive Alliance [UPA] government has been calling in CBI detectives on even an anonymous complaint, the purpose of which is only to tell the public that the UPA government is against corruption,” said Nitin Mehta, defense analyst here.

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 18:48
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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 16:30
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