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4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 12:20
E-2D Advanced Hawkeye - photo US Navy

E-2D Advanced Hawkeye - photo US Navy

 

March 2, 2015 By John Keller - militaryaerospace.com

 

PATUXENT RIVER NAS, Md., 2 March 2015. U.S. Navy aviation experts are ordering one advanced E-2D maritime patrol and air control aircraft from its manufacturer, Northrop Grumman Corp., under terms of a $148.3 million contract modification announced Friday.

Officials of the Naval Air Systems Command at Patuxent River Naval Air Station, Md., are asking the Northrop Grumman Aerospace Systems segment in Melbourne, Fla., to provide one E-2D full rate production advanced Hawkeye radar surveillance aircraft.

 

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 08:35
Un Hawkeye de la Flottille 4F à bord du porte-avions Charles de Gaulle

22 janvier 2015, 9H15, à bord du porte-avions Charles de Gaulle, un Hawkeye de la Flottille 4F s’apprête à être catapulté.

 

Crédit : Etat-major des armées / Marine nationale

 

Le déploiement du groupe aéronaval (GAN) dans le nord de l’océan Indien vise à assurer une mission de présence opérationnelle et de pré-positionnement dans cette zone stratégique pour la France. Il permettra également de développer et d’entretenir nos relations et nos échanges avec les différents pays partenaires présents et leurs forces armées. En particulier, il participera à l’exercice aéromaritime franco-indien Varuna, au large de l’Inde.

 

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 16:55
34000ème appontage réalisé sur le porte-avions Charles de Gaulle

 

27 Octobre 2014 Sources : Marine nationale 

 

17h. Vendredi 24 octobre 2014. L’avion de guet aérien Hawkeye se présente à 200 km/h à l’arrière du porte-avions Charles de Gaulle. L’hélicoptère de surveillance et de secours Pedro veille, comme toujours. Après avoir vérifié les paramètres d’alignement, de pente et d’incidence, les officiers d’appontage (OA) donnent leur feu vert à  «Pipo», le pilote de la flottille 4F aux commandes du Hawkeye. La crosse attrape le brin d’arrêt, qui se détend et stoppe l’aéronef sur 75 mètres en l’espace de quelques secondes.

 

En passerelle navigation, la manœuvre, comme toutes les autres, n’a pas échappé au regard du capitaine de vaisseau Vandier, commandant le porte-avions. C’est avec solennité et fierté qu’il l’annonce sur le canal de diffusion : le 34 000ème appontage vient d’être réalisé. «Pipo» voit ainsi son nom rajouté au tableau d’honneur en coursive principale du bord.

 

Au-delà du chiffre symbolique, c’est toute la maîtrise d’une technique rare, uniquement partagée avec les États-Unis et le savoir-faire du porte-avions français issu de la somme d’expérience accumulée en entraînement et en opération, qui s’exprime.

 

Tous les marins du Charles de Gaulle peuvent être fiers car c’est grâce à leur investissement et à leur travail passionné que le groupe aéronaval français est capable de faire voler ses aéronefs et de remplir ses missions en toute sécurité.

34000ème appontage réalisé sur le porte-avions Charles de Gaulle34000ème appontage réalisé sur le porte-avions Charles de Gaulle
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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 11:55
Catamaran 2014 : Débarquement vu du ciel !

 

23 Octobre 2014 Sources : Marine nationale  

 

Wallace, Clark et Jacob participent pleinement aux opérations de débarquement depuis leurs aéronefs. Ils sont en lien avec les bâtiments et protègent l’avancée terrestre sur la plage. Vivez la mission de l’intérieur.

 

Retour du pilote après sa mission

Retour du pilote après sa mission

 

Le ciel bleu se profile tout autour de lui, et la vue dégagée sur le paysage varois est sublime. Et pourtant, « Wallace », pilote de Rafale, n’a pas le temps d’en profiter. Tous ses sens sont en alerte et dans son casque se succèdent les ordres émis par le Chevalier Paul, la frégate de défense aérienne qui assure son contrôle pendant le transit.

 

À quelques 15 000 pieds (4.572 pieds) sous son avion, les chalands largués par les Bâtiments de projection et de commandement (BPC) Tonnerre, Mistral et le Transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco s'approchent de la plage de Saint Aygulf, près de Saint Raphaël. Parmi les troupes qui s'apprêtent à débarquer, sont intégrés des Forward air control (FAC). Supervisés par un FAC Sup du Groupe aérien emporté (GAé), ils viendront se placer sur des points stratégiques afin de désigner les cibles ennemies.  «Wallace» est en mission Close air support (CAS) et attend leur demande de soutien aérien pour intervenir. Plus loin, deux Rafale opèrent dans la Joint operation area (JOA) pour une mission d’Air interdiction (AI). Ils assurent une présence dissuasive et de supériorité aérienne, afin d’empêcher toute intrusion à l’intérieur de cette zone.

La veille, à bord du porte-avions, au centre de préparation des missions (CPM), «Fanch», officier renseignement, a donné à «Clark», pilote de Rafale, des instructions pour son vol de reconnaissance (RECO). Cette mission quotidienne permet de détecter et repositionner les forces ennemies au sol grâce au Pod RECO NG qui transmet en direct les photos vers le centre de renseignement de la force navale. Non loin de là, « Jacob » s’est fait briefer sur sa mission Sea surveillance control (SSC).

 

« Clark » et « Jacob » ont tous les deux été catapultés sous le regard veillant du « Pedro ». Cet hélicoptère de Search and rescue (SAR), ange gardien des pilotes, est chargé de veiller à leur sécurité lors des manœuvres sur le porte-avions (PA). « Jacob » a patrouillé en navigation autonome dans une large zone, s’éloignant jusqu’à plus de 100 nautiques (hors de portée radio et radar). Grâce au pod Damoclès fixé sous son Super Etendard (SEM), il a localisé les forces ennemies navales et a enregistré des séquences filmées desquelles ont été prélevées des images. Au centre de renseignement du PA Charles de Gaulle, les interprètes photo du CENTEX GAé ont analysé les giga octets de données du pod RECO NG fixé sous le Rafalede « Clark » qu’ils ont reçus en temps réel. Les informations rapportées sont capitales pour le débarquement du lendemain.

 

Le Hawkeye et le Rafale remplissent des missions essentielles pour mener à bien le débarquement sur la plage.

Le Hawkeye et le Rafale remplissent des missions essentielles pour mener à bien le débarquement sur la plage.

 

Retour le jour du débarquement. Les manœuvres amphibies sont à présent en cours, et les troupes avancent en toute sécurité, les aéronefs du GAé ayant détruit les batteries côtières ennemies. Dans son Rafale, « Wallace » reçoit les désignations de ses cibles au sol par les FAC. Au large, sur le porte-avions, chacun se tient prêt. Le Hawkeye, avion de guet avancé avec contrôleurs embarqués, vole aux alentours afin d’établir la Recognized maritime picture - situation maritime (RMP) et la Recognized air picture – situation aérienne (RAP).

 

Soudain, « Gismo », l’un des trois tacticiens d’aéronautique (TACAE) à bord du Hawkeye, détecte sur son écran radar la présence de quatre avions qu’il a classifié comme suspects. Aussitôt, il rend compte par liaison de données au Central opération (CO) du porte-avions qui transfère l’information à l’état-major. En moins de cinq minutes, aux vues des agissements de ces aéronefs, l’état-major autorise leur classification hostile, donne l’ordre de catapulter la Combat air patrol d’alerte (CAP) et autorise à engager les ennemis. Après la perte de deux avions, les deux appareils ennemis restant se replient vers leurs bases. Les aéronefs du GAé rejoignent le Charles de Gaulle et les pilotes les remettent aux mains des techniciens. Ils travailleront dessus toute la nuit durant afin d’être parés à une nouvelle journée de raids et de défense aériens.

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 10:55
Qualifications à l’appontage des nouveaux pilotes d’aviation embarquée sur le Charles de Gaulle



14/10/2014 Sources : Marine nationale

 

Le Groupe aérien embarqué et ses renforts ont retrouvé, depuis le 6 octobre, le pont d’envol du porte-avions Charles de Gaulle et son équipage afin de ré-entraîner les équipes de mises en œuvre des aéronefs.

 

Durant cette sortie en mer, les manœuvres se consacrent aux qualifications à l’appontage, de jour ou de nuit, des nouveaux pilotes d’aviation embarquée de la Marine nationale. Sur les 60 pilotes de l’aviation embarquée, environ 10 d’entre eux passent à chaque session leurs qualifications. En octobre, 12 pilotes doivent chacun réaliser six appontages jugés «satisfaisants» par les Officiers d’Appontage (OA):

  • 4 en qualification initiale de jour (dont 3 sur Rafale et 1 pilote britannique en échange sur SEM)
  • 1 en transformation (passage de SEM à Rafale)
  • 2 sur Hawkeye en adaptation (passage de qualification sur porte-avions américain à porte-avions français)
  • 5 en qualification de nuit

Alors qu’ils se sont entraînés à terre depuis plusieurs semaines et qu’ils ont déjà réalisé des appontages lors de leur formation aux États-Unis, l’enjeu est pour eux de s’adapter au pont d’envol du Charles de Gaulle et à son environnement.

En ce dimanche matin, pour le dernier jour des EAE, une ruche à taille humaine s’agite sur le pont d’envol. Pierre, jeune pilote en qualification de jour, s’approche vers le Rafale sur lequel il va effectuer son dernier appontage pour les EAE. Autour de lui, le ballet du personnel du pont d’envol (ponev) et des techniciens se suspend à son arrivée.

«Ça ne se sait pas forcément», explique-t-il, « mais lorsqu’on a le casque sur la tête c’est le silence total, plus un son ne filtre. Tout ralentit, on se créé une bulle. Tous ces regards braqués sur nous, c’est beaucoup de pression. On sait que tous ces gens ont travaillé dur pour que nous puissions prendre l’avion. On veut bien faire, on veut réussir. Pour eux. Parce que ce vol, c’est le nôtre, mais c’est aussi le leur. Alors malgré le stress, on leur rend un sourire et on leur ouvre la porte de notre bulle, pour les y inclure eux aussi

Plus tard, dans l’après-midi, Guillaume s’apprête lui aussi à être catapulté. Face au nez de son avion, le déflecteur (grosse trappe qui se lève et s’abaisse sur le pont d’envol) est relevé pour le protéger du souffle du Rafalequi le précède.  «À ce moment-là», raconte-t-il, «je suis dans les starting blocs. Le souffle passe quand même sur les côtés, et mon avion tremble. Je suis déjà dans le vol, mais pas complètement. C’est mon dernier moment de répit. Et lorsque l’avion de devant est parti, que le déflecteur s’abaisse, que je vois la vapeur de la catapulte,  je me dis «ça y est, c’est à moi». Je ne pense plus à rien, rien d’autre que le vol. J’essaye de ne plus être qu’automatismes et réflexes

Jean, qui a déjà passé ses qualifications il y a quelques années, est toujours aussi touché par le spectacle qui se joue sur le pont d’envol. «Je sais ce qu’ils ressentent, je suis passé par là, et je continue de vivre ça à chaque fois que je suis sur le point d’être catapulté. Je vois la vapeur des catapultes qui s’élève, j’entends le bruit des moteurs qui ronflent, je sens les vibrations dans l’estomac, je vois les chiens jaunes qui se tiennent prêts. Je me dis que c’est vraiment magique et impressionnant. Et d’un coup je réalise que c’est moi qui suis dans le cockpit et j’ai envie de crier. C’est de l’adrénaline, du stress, mais du bon stress

 

Qualifications à l’appontage des nouveaux pilotes d’aviation embarquée sur le Charles de Gaulle

 

C’est la fin de la journée, et Arnaud rend son avion après son dernier vol de qualification. « Un appontage c’est toujours un combat », explique-t-il. «On regarde le miroir d’appontage jusqu’au bout, on se focalise dessus. Et d’un coup, on est sur le pont, on ne l’a pas vu arriver

Il reste concentré, jusqu’au bout, et attend le débriefing des OA. «Je me souviens de mon premier appontage », se remémore-t-il. « La vitesse, la violence du choc, le bruit de ferraille : c’était comme un gros accident de voiture.  C’est toujours aussi brutal, mais l’effet s’estompe au fur et à mesure qu’on accumule les appontages. On s’habitue, je suppose.».

Une fois la qualification accordée par le commandant du porte-avions, les pilotes doivent gagner en expérience. Les six appontages nécessaires pour réussir les EAE ne sont que les premiers des centaines de vols que chaque pilote effectuera au cours de sa carrière. «Le plus difficile est encore à venir», prévient Jean. «Une fois que tu es qualifié, on pense que tu sais faire, que c’est acquis. Mais rien n’est jamais acquis, il faut sans cesse se maintenir au niveau.».

Les jeunes qualifiés vont en effet devoir maintenant être capables d’enchaîner correctement une mission et un appontage, ce qui leur imposera de conserver de précieuses ressources en fin de vol. C’est la spécificité des pilotes d’aviation embarquée.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:20
E-2D Advanced Hawkeye photo USN

E-2D Advanced Hawkeye photo USN

The E-2D Advanced Hawkeye provides unprecedented, 360-degree surveillance. Photo Northrop Grumman Corp.

 

1 July 2014 naval-technology.com

 

Northrop Grumman has received a $3.6bn contract from the US Navy to deliver 25 new E-2D Advanced Hawkeye aircraft, specifically designed as a carrier-based airborne early warning and control (AEW&C) system.

 

The latest fixed-price, incentive-fee multi-year agreement brings the total number of aircraft on contract with Northrop to 50.

 

Northrop Grumman Aerospace Systems E-2 / C-2 programmes vice-president Bart LaGrone said: "It's a win-win. Our warfighters will get the advanced AEW&C technology that the E-2D Advanced Hawkeye brings, at a lower cost for taxpayers."

 

Designed to operate in the littoral and over land to provide unprecedented, 360-degree surveillance, the platform features open architecture compliant and commercial off-the-shelf (COTS)-based hardware and software.

 

The aircraft can be used by the US Navy to conduct airborne strikes, land force support and rescue operations. It will also allow the navy to manage a reliable communications network between widely dispersed nodes and support drug interdiction operations.

 

 

Featuring command and control capabilities, the aircraft provides expanded battlespace awareness for soldiers, especially in information operations and battle management, theatre air and missile defence, and multiple sensor fusion capabilities.

 

The aircraft is fitted with the AN/APY-9 radar system, featuring both mechanical and electronic scanning capabilities, fully integrated glass tactical cockpit, advanced identification friend or foe system, electronic support measures enhancements and a modernised communications and data link suite.

 

E-2 / C-2 Airborne Tactical Data System Programme Office (PMA-231) programme manager navy captain John Lemmon said: "The E-2D Advanced Hawkeye is the navy's primary airborne early warning and battle management command and control platform.

 

"I'm confident that as the E-2D Advanced Hawkeye attains initial operational capability later this year, the E-2D will continue to be ready, relevant and capable for decades to come and continue serving the navy carrier strike group with distinction."

 

To date, the company has delivered 13 production aircraft, as part of the navy's E-2D Advanced Hawkeye programme.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 11:55
Northrop Grumman va moderniser les avions de guet aérien Hawkeye de la marine nationale

 

16 octobre 2013, Portail des Sous-Marins

 

Dans le cadre d’un contrat de 34,5 millions $ signé avec l’US Navy, Northrop Grumman Corp. va modifier les 3 avions de guet aérien E-2C Hawkeye de la marine nationale, avec un système d’identification IFF (Identification Friend or Foe) modernisé, améliorant la mise en commun et l’interopérabilité avec les avions E-2D Advanced Hawkeye de l’US Navy.

 

Les systèmes IFF permettent aux avions de chasse de distinguer forces amies et ennemies. La modernisation comprendra l’installation d’interrogateurs AN/APX-122A IFF Mode 5/Mode S et de transpondeurs AN/APX-123 IFF Mode 5/Mode S.

 

« Northrop Grumman entretient un partenariat long et fructueux avec la marine nationale, remontant à 1997, » a expliqué Bart LaGrone, vice-président des programmes E-2/C-2 chez Northrop Grumman Aerospace Systems. « Au travers de ce partenariat, nous avons observé l’approche proactive et innovante adoptée par la marine nationale pour maintenir la pertinence de sa flotte et du personnel travaillant sur les E-2 Hawkeye. »

 

La marine nationale met en œuvre le E-2C Hawkeye depuis 2000 lorsqu’a été constitué la 1ère escadrille française de E-2 Hawkeye, la Flottille 4F basée à Lorient. La France est le seul pays autre que les Etats-Unis à utiliser ses E-2 Hawkeye depuis un porte-avions. Ce lien unique a conduit à multiplier les exercices d’interopérabilité où les 2 marines mettent en œuvre des Hawkeye depuis un porte-avions de l’autre marine. Le premier de ces échanges s’est déroulé en mai 2001 quand un E-2 Hawkeye de l’US Navy a décollé du pont de l’USS Enterprise pour apponter sur le Charles de Gaulle.

 

Référence : Aerospace Manufacturing and Design (Etats-Unis)

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