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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 11:55
La grande fresque de la Marine : de la Grande Guerre à nos jours

 

source CESM

La grande fresque de la Marine : de la Grande Guerre à nos jours de Vincenzo Federici et Patrick de Gmeline avec une préface de l'amiral Bernard Rogel, chef d'État major de la Marine.

L'histoire de notre Marine nationale au XXe siècle suit les grands événements mondiaux, forte de ses traditions et de son savoir-faire, elle avance fièrement vers les défis de demain.

A découvrir aux Editions du Triomphe !

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 11:55
 Soviet tanks face U.S. tanks at Checkpoint Charlie-  National Archives

Soviet tanks face U.S. tanks at Checkpoint Charlie- National Archives


09.11.2015 source SHD

 

9 novembre 1799 : coup d'Etat du 18 brumaire. Le général Bonaparte est porté au pouvoir par un coup d'Etat qui dure jusqu'au 11 novembre, mettant fin au Directoire et initiant le Consulat.

 

9 novembre 1870 : combat naval franco-prussien (au large de la Havane). L’aviso français Bouvet et la canonnière allemande Meteor quittent le port neutre de la Havane pour s’affronter dans les eaux internationales où ils s’infligent des dégâts sensiblement égaux. Le Bouvet éperonne l’Allemand qui le canonne.

 

9 novembre 1870 : bataille de Coulmiers (près d’Orléans). Le général Paladines repousse les Bavarois du général von der Tann qui évacuent Orléans. Victoire malheureusement inexploitée.

 

9 novembre 1918 : abdication de Guillaume II. Le Kaiser allemand se résigne à abdiquer alors que la République de Weimar est proclamée et que les mouvements ouvriers se multiplient.

 

9 novembre 1918 : mort de Guillaume Apollinaire (Paris). Affaibli par la blessure à la tête reçue au Bois des Buttes (le 9 mars 1916), le lieutenant Apollinaire meurt des suites de la grippe espagnole.

 

9 novembre 1923 : tentative de putsch d'Hitler (Munich). Le putsch de la Brasserie échoue malgré le peu de soutien de la Bavière à la République de Weimar qu’elle juge trop faible. Une fusillade éclate permettant de mettre hors de combat les putschistes (Hitler et Röhm sont blessés). Hitler fera un an de prison…La clémence du tribunal va se payer très cher.

 

9 novembre 1938 : nuit de cristal (Allemagne). Dans toute l'Allemagne, des exactions contre les Juifs (pogromes, assassinats, arrestation, incendies,...) sont perpétrées par les SA (Viktor Lutze) et les SS (Himmler) d'Hitler.
 

9 novembre 1970 : mort du général de Gaulle (Colombey les deux églises)

voir 9 novembre 1970 : «Françaises, Français, le Général de Gaulle est mort»

9 novembre 1989 : chute du mur de Berlin

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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 12:56
Bombardement de Bouaké source abidjantv.net

Bombardement de Bouaké source abidjantv.net


06.11.2015 source SHD
 

6 novembre 1792 : bataille de Jemmapes (Hainaut - Belgique). Les 40 000 hommes du général Dumouriez culbutent les Autrichiens au cours d'une bataille restée célèbre pour avoir été l'une des toutes premières de la jeune République. Le duc de Chartres, futur Louis-Philippe, participe à cette bataille et s'y comporte brillamment parvenant à maintenir la cohésion de l'aile gauche du dispositif après une charge de la cavalerie autrichienne. 17 régiments de l’Armée de Terre ont porté dans les plis de leur emblème l’inscription Jemmapes 1792. Aujourd’hui, seul le 1er RHP porte encore cette inscription. (info SHD/DSD).

 

6 novembre 1899 : Churchill publie The river war, récit de la bataille d'Omdurman (Soudan)

 

6 novembre 1917 : début de la révolution bolchevique (Saint Petersbourg). Trotsky et Lénine prennent d'assaut le Palais d'hiver.

 

6 novembre 1942 : intoxication préalable à Torch (Méditerranée occidentale). Afin d’éloigner les U.Boot allemands des plages d’Afrique du Nord où les Alliés vont débarquer (08/11) dans le cadre de l’opération Torch, les services britanniques laissent filtrer de fausses informations indiquant que la concentration de navires alliés au large de Gibraltar est destinée à secourir l’ile de Malte assiégée depuis le début de la guerre. L’Abwehr est intoxiquée et conseille de pré positionner les sous-marins aux abords de Malte.  

 

6 novembre 1955 : fin du protectorat français sur le Maroc.

 

6 novembre 1988 : infection virale gigantesque (Etats-Unis). Robert Tappan Morris, 23 ans, étudiant à l’Université de Cornell (Etat de New York) conçoit et diffuse (02/11) le ver RTM Worm (par la suite appelé Morris worm) qui infecte 6000 ordinateurs (dont ceux du département d’Etat américain) et cause entre 10 et 100 millions de dollars de dégâts. Aujourd’hui, Morris est professeur d’informatique au MIT.

 

6 novembre 2004 : attaque de Bouaké (Côte d'Ivoire). Une unité française de l'opération Licorne est délibérément bombardée par un Sukhoi 25 récemment acheté par le gouvernement Gbagbo. 9 soldats français sont tués. La flotte de combat ivoirienne est immédiatement détruite au sol sur ordre de Paris.

 

RICM : Régiment d'Infanterie-Chars de Marine

Adjudant-chef Thierry BARATHIEU

Adjudant-chef Philippe CAPDEVILLE

Sergent-chef Françis DELON

Sergent Laurent DERAMBURE

Marsouin de 1ère classe David DECUYPÈRE

2e RIMa : 2ème Régiment d'Infanterie de Marine

Caporal-chef Patélisé FALEVALU

Caporal Benoît MARZAIS

Caporal Emmanuel TILLOY

515e RT : 515ème Régiment du Train

Brigadier-chef Franck DUVAL

 

6 novembre 2009 : fusillade de Fort Hood (Texas). Un officier psychiatre, américain de religion musulmane, tue 13 militaires et en blesse 30 autres après avoir tiré à l’arme automatique dans un amphithéâtre de la base de Fort Hood accueillant une remise de diplômes.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 17:55
Centenaire de la première guerre mondiale - 2016

 

05/11/2015 Ministère de la Défense

 

Communication de Jean-Marc Todeschini en conseil des ministres

 

Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, a présenté ce matin en conseil des ministres une communication relative au centenaire de la première guerre mondiale pour l’année 2016.

 

En 2016, la France entrera dans l’acte II de ce centenaire et commémorera deux des plus grandes batailles du conflit : Verdun et la Somme. Cent ans après, la France rendra un hommage solennel aux combattants français et de tous les pays belligérants venus combattre sur notre sol durant ces terribles batailles.

 

Le centenaire de la bataille de Verdun sera placé sous le signe de l’avenir, de la jeunesse et de la paix. Il s’ouvrira le 21 février, cent ans après le déclenchement de la bataille, par l’ouverture au public du mémorial de Verdun rénové. Il durera 300 jours et sera rythmé par de nombreuses manifestations populaires en Meuse et dans toute la France. Une grande cérémonie internationale réunissant plus de 4 000 jeunes allemands et français aura lieu le 29 mai à Douaumont, à laquelle le Président de la République a invité la chancelière de la République fédérale d’Allemagne. Le même jour, dans toutes les communes de France, les maires seront invités à commémorer le souvenir de cette bataille.

 

Le cycle commémoratif de la bataille de la Somme sera le deuxième temps fort mémoriel de l’année 2016. Notre pays accueillera les nations du Commonwealth, qui viendront commémorer leur participation aux combats meurtriers de 1916. Lancé le 25 avril 2016, jour de « l’Anzac Day », ce cycle se traduira par d’importantes cérémonies internationales et de nombreuses manifestations culturelles. Le 1er juillet 2016, la France et le Royaume-Uni organiseront conjointement une cérémonie franco-britannique au mémorial de Thiepval. Dix mille invités en provenance des cinq continents rendront hommage aux morts de la bataille, en présence des hautes autorités des nations du Commonwealth, du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 12:55
Grande Guerre 14-18 - Les chemins de mémoire

 

source Le Routard

 

À l'occasion du centenaire de la Première Guerre Mondiale, le Routard et la Mission du Centenaire vous proposent de parcourir la ligne de front des Flandres aux Vosges.

Découvrez les sites et monuments qui témoignent encore du premier grand conflit mondial du XXes.

> Cliquez-ici pour accéder à la carte interactive.


En savoir plus
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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 11:55
Lors de l'expédition de Suez, les militaires du 2e RPC progressent vers Port-Saïd, appuyés par les blindés anglais. Photo Le Barbenchon SCA-ECPAD

Lors de l'expédition de Suez, les militaires du 2e RPC progressent vers Port-Saïd, appuyés par les blindés anglais. Photo Le Barbenchon SCA-ECPAD


05.11.2015 source SHD

 

5 novembre 1757 : bataille de Rosbach (Allemagne). Le prince de Soubise à la tête d’une armée franco-impériale est complètement défait par l’armée prussienne de Frédéric II. Les Prussiens, inférieurs en nombre, ont tendu un piège dans lequel les français donnent sans méfiance. Longtemps, cette défaite reste pour la France, synonyme de désastre déshonorant car le vent de panique qui a soufflé dans les rangs français a poussé beaucoup d’unités à se replier sans combattre.

 

5 novembre 1854 : bataille d’Inkerman. (Crimée). Après l'échec de Balaklava (25 octobre 1854), le général russe Menchikov ordonne une deuxième tentative de rupture du siège de Sébastopol par une attaque massive (36 000 hommes) des arrières anglais sur le plateau d'Inkerman. La surprise alliée est totale mais le manque de coordination du commandement russe s’ajoutant à la résistance héroïque du petit contingent britannique donne suffisamment de temps aux Français pour amener des renforts. Les généraux Bourbaki et Bosquet inversent le sort des armes et  transforment l'échec russe en déroute. L'armée russe perd 10 000 hommes, les Anglais 3 000 et les Français 800, principalement dans un assaut suicidaire de la brigade Lourmel sur le bastion de la Quarantaine. Cette victoire commune est toujours célébrée dans la mémoire de l'armée britannique, beaucoup moins chez les Français.

 

5 novembre 1956 : opération sur Suez (Egypte). Le président Nasser a nationalisé en Juillet le canal de Suez dont les intérêts étaient principalement franco-britanniques. Lors des accords secrets de Sèvres (24 oct), les gouvernements français (Guy Mollet), britannique (Anthony Eden) et Israélien (Ben Gourion) décident d’intervenir militairement : la France pour sanctionner le soutien au FLN algérien, la Grande-Bretagne pour reprendre le contrôle du canal, Israël pour mieux  contrôler sa frontière Sud et le golfe d’Akaba. Les Israéliens ont lancé une offensive blindée dans tout le Sinaï (29 oct) que les franco-britanniques déclarent vouloir arrêter en menant une opération aéroportée sur Port Said. L’opération est tactiquement une belle réussite, tous les objectifs assignés étant atteints, cependant les menaces soviétiques et protestations américaines obligent le trio à faire machine arrière et mettent en évidence que l’Europe a définitivement cédé le leadership mondial aux deux grands. Au même moment, les russes en profitent pour mater la révolte à Budapest, sans réaction à l’Ouest.

Note RP Defense:

voir Opération Franco-Israélo-Britannique du Sinaï (29 octobre – 5 novembre 1956)

voir Lors de l’expédition de Suez, parachutage d’hommes et de matériel dans la région de Port-Saïd.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 11:55
Capture of the walls of Le Quesnoy by George Edmund Butler, 1920

Capture of the walls of Le Quesnoy by George Edmund Butler, 1920

 

04.11.2015 source SHD

 

4 novembre 1576 : sac d’Anvers (Provinces-Unies, actuelle Belgique). N’étant plus soldée depuis des mois par l’Espagne, une unité de Tercios espagnols en garnison à Anvers se mutine et pille la très prospère ville marchande. L’épisode sanglant (au moins 7000 morts) est aussi connu sous le nom de furie d’Anvers. Il a contribué à accélérer l’union des provinces contre la domination de l’occupant espagnol. Les provinces du Nord formeront les actuels Pays-Bas (1579). Celles du Sud, la Belgique beaucoup plus tard.

 

4 novembre 1806 : prise de Wismar par Schulmeister (Campagne de Prusse). Entré au service de Napoléon en 1804 grâce au général Savary , le célèbre espion de l'empereur a alterné les fonctions dans l'armée impériale : hussard, policier, espion. Dans la nuit du 4 novembre 1806, il s'empare de la ville de Wismar avec quelques hommes. Coutumier de ces coups de mains où la ruse l'emporte sur la violence, Schulmeister a réussi de nombreuses missions dont l'intoxication du Maréchal autrichien Mack permettant les victoires de Michelsberg et Ulm.

 

4 novembre 1862 :  Gatling dépose le brevet de la mitrailleuse (Etats-Unis).

 

4 novembre 1892 : prise d’assaut de Cana (ancien Dahomey, actuel Bénin). Le colonel Alfred Dodds, prend la ville défendue par 1500 guerriers Fons du roi Béhanzin.

 

4 novembre 1904 : l'affaire des fiches éclate. Le général André, du gouvernement Emile Combes, est giflé par le député Syveton en pleine séance de la Chambre des députés à la suite de la révélation de l'affaire des fiches (enquête confiée clandestinement à la loge du Grand-Orient de France sur les pratiques religieuses des officiers supérieurs, en vue de favoriser l'avancement des officiers anticléricaux ou au moins républicains). L'incident attise le conflit entre le gouvernement républicain et l'Église. André est poussé à la démission, précédant de peu la chute d'Emile Combes dont le remplacement par Maurice Rouvier à la présidence du Conseil conduira à la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat.

 

4 novembre 1918 : assaut de la forteresse du Quesnoy (Nord Pas-de-Calais). L'offensive dite "de la victoire" se poursuit sur tout le front de l'Ouest. Dans les Flandres, les troupes britanniques piétinent devant les anciennes places fortes de Vauban. La ville fortifiée du Quesnoy est finalement prise d’assaut comme au Moyen-âge à l'aide de simples échelles, par des éléments néo-zélandais de l'ANZAC....

4 novembre 1935 : première promotion de l’Ecole de l’Air (Versailles). Créée par décret le 3 juin 1933, l’Ecole de l’Air reçoit sa première promotion à la caserne des Petites Ecuries. Elle déménage en 1937 à Salon de Provence.

Note RP Defense:

voir Biographies résumées des parrains des promotions de l'Ecole de l'air (EA) 1935-1964

voir Biographies résumées des parrains des promotions de l'Ecole de l'air (EA) 1965-1994

voir numéro hors série 1 /1969 (pages 151 à 167) de la Revue Historique des Armées

 

4 novembre 1956 : l'armée soviétique matte la tentative de révolution hongroise (Budapest). Cherchant à s'échapper de l'emprise soviétique, les Hongrois font pression sur leur nouveau chef du gouvernement, Nagy. Ils réclament plus de liberté et obtiennent même la sortie du pacte de Varsovie. C'en est trop pour Moscou qui envoi 2000 chars rétablir l'ordre chahuté depuis le 23 octobre. La répression fait de nombreux morts (2 à 3000) dans la capitale et en province. Nagy est fusillé en 1958. L'Occident proteste mais n'intervient pas : la guerre froide bat son plein. (cf. 23/10).

 

4 novembre 1970 : Concorde passe Mach 2. Pendant 53 minutes, le supersonique franco-britannique vole à 2469 km/h. Les premiers vols supersoniques ont débuté en 1969. Le record de vitesse est atteint à Mach 2,23 (2753 km/h) en mars 1974. Le Concorde était le seul avion commercial capable de faire traverser l’Atlantique à 100 passagers en 3 heures.

 

4 novembre 1979 : prise d’assaut de l’ambassade américaine de Téhéran (Iran). Les Iraniens séquestrent jusqu’en 1981 les 52 américains de l’ambassade.

 

4 novembre 1982 : Volkoff, prix de l’Académie française (Paris). Vladimir Volkoff reçoit le Grand prix du roman de l’Académie française pour Le montage. Le roman décrit les mécanismes de l’infiltration soviétique dans le monde de la presse occidentale.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 08:55
1947 : la cité de l'air

1947 : la cité de l'air

 

04/11/2015 D. Morano  - DICOD

 

La rédaction vous propose de revenir sur la longue histoire du site de Balard.

 

Les origines de l’actuel site du ministère de la Défense remontent au 29 mars 1890. Soucieuse de préserver des monuments de l’exposition universelle de 1889 et de retrouver le libre emploi du Champ de Mars jusqu’alors utilisé comme champ de manœuvre, la ville de Paris acquiert des terrains à Issy-les-Moulineaux. Elle signe alors avec l’armée une convention instaurant sur le village d’Issy un champ de manœuvre militaire de 63 hectares. Si ce terrain est dans un premier temps employé pour faire manœuvrer les unités, il sert très vite de champ d’expérimentation à l’aviation naissante. A tel point que le 15 septembre 1928, le ministère de l’Air, créé plus tôt dans l’année, s’installe sur le site boulevard Victor. Les bâtiments de la toute nouvelle « Cité de l’Air » sont réalisés dans la foulée, en 1934.

Suite de l’article

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 08:55
La Grande Equipe du Midi- carte postale de 1914

La Grande Equipe du Midi- carte postale de 1914

 

04/11/2015 Ministère de la Défense

 

Monsieur Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, signera le vendredi 6 novembre 2015 un partenariat entre la Mission du centenaire de la première guerre mondiale et la fédération française de rugby (FFR) à Verdun (Meuse).

 

Le partenariat donnera lieu à la mise en place d’actions commémoratives destinées à rendre hommage aux nombreux rugbymen professionnels et amateurs morts pendant la grande guerre : jusqu’en 2018, le maillot des joueurs français sera notamment orné d’un bleuet lors des rencontres internationales du XV de France, une minute d’hommage aux victimes de la première guerre mondiale sera observée et un court reportage audiovisuel ou un diaporama sera diffusé. Des actions spécifiques seront aussi organisées lors des tests-matchs contre les équipes de l’hémisphère Sud lors de l’année 2016, qui sera marquée par le centenaire des batailles de Verdun et de la Somme. Ce partenariat permettra donc d’associer l’ensemble des Français amateurs de rugby aux commémorations du centenaire afin d’en faire un événement véritablement populaire.

 

La signature du partenariat sera précédée par une cérémonie d’hommage à Léon Larribau, ancien rugbyman Mort pour la France en 1916 et dont les restes reposent à la Nécropole nationale de Glorieux.

 

Note RP Defense : voir Rugby et rugbymen pendant la Grande Guerre

 
 
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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:55
Somme 2016 : une adresse dédiée pour les inscriptions

 

03/11/2015 CNE C. Thomassin  -  DICOD

 

La cérémonie franco-britannique de la bataille de la Somme aura lieu le 1er juillet 2016 à Thiepval, marquant le premier jour de l’offensive alliée de 1916 dans ce département. Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, a annoncé la mise en place d’une adresse dédiée pour le public français désireux de participer à la cérémonie.

 

Organisée conjointement par les gouvernements français et britannique, avec le concours de la Commonwealth War Graves Commission (CWGC) et de la Royal British Legion (RBL), la cérémonie franco-britannique de la bataille de la Somme se déroulera le 1er juillet 2016 en présence des plus hautes autorités civiles et militaires. Environ 10 000 invités français, britanniques et en provenance des pays du Commonwealth, sont attendus.

 

Le secrétaire d’État à la Culture, John Whittingdale, responsable de l’organisation du centenaire de la Première Guerre mondiale au Royaume-Uni, a lancé officiellement lundi 28 septembre 2015 le tirage au sort qui permet au gouvernement britannique d’allouer les places aux familles du royaume désireuses d’assister aux cérémonies de la bataille de la Somme.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:55
photo EMA

photo EMA

 

03/11/2015 Ministère de la Défense

 

Depuis le 2 novembre 2015, le général d’armée Pierre de Villiers porte  le « Bleuet de France», autorisant et encourageant les militaires à faire de même.

 

Jusqu’aux cérémonies du « 11 Novembre », le chef d’état-major des armées (CEMA) a ainsi choisi de rendre hommage aux anciens combattants, aux victimes de guerre, ainsi qu’à leurs familles. « Le bleuet est le symbole de l’hommage aux soldats qui ont payé dans leur chair le prix de leur engagement au service de la France. Il incarne les valeurs de courage, d’abnégation, d’engagement et de paix qui sont celles de l’ensemble de la communauté combattante. »

 

Repère

L’histoire du « Bleuet de France » débute au  lendemain de la Première Guerre Mondiale avec pour souci de soutenir ceux qui se sont sacrifiés pour la France. Aujourd’hui encore, cette œuvre se poursuit, les fonds récoltés permettant de contribuer au maintien à domicile des anciens combattants et des veuves de guerre, de participer au financement des études des Pupilles de la Nation, mais aussi de soutenir des militaires gravement blessés en opérations extérieures ou d’accompagner les familles endeuillées de nos soldats.

L’œuvre nationale du « Bleuet de France » (ONBF) participe également à la confection des colis destinés aux soldats engagés sur les théâtres d’opérations extérieures au moment de Noël.

Depuis 1991, l’office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) est chargé de la gestion de l’ONBF, qui est reconnue d’utilité publique. Elle est donc habilitée à recevoir des dons de particuliers et d’entreprises, ouvrant droit à des déductions fiscales.

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 17:55
Membres du French Squadron SAS, (1re compagnie de chasseurs parachutistes) en Tunisie début 1943

Membres du French Squadron SAS, (1re compagnie de chasseurs parachutistes) en Tunisie début 1943

 

03.11.2015 Par François COTE- Valeurs Actuelles

 

1940-1945. Ils étaient quelques centaines, insérés dans les sticks de la brigade des SAS britanniques. Ils ont pris part à toutes les campagnes d’Afrique du Nord et à celles qui ont suivi le Débarquement en Europe…

 

Le premier mort du jour J est tombé à près de 300 kilomètres des plages du Débarquement. C’était un caporal parachutiste français de 28 ans ; il s’appelait Émile Bouétard. Il avait été parachuté dans la nuit du 5 au 6 juin avec un stick du 4e Special Air Service (SAS), à Plumelec (Morbihan), au sud-ouest de Ploërmel. Et pourquoi si loin des plages de Normandie ? Pour faire diversion. Parce qu’il fallait retenir les troupes allemandes qui occupaient la Bretagne au moment où les Alliés allaient débarquer. Bouétard toucha le sol avec son stick, vers 0 h 30, le 6 juin. Il se trouva très vite isolé avec les siens. Le ronflement du bimoteur qui les avait parachutés éveilla un poste allemand. Il fut repéré. Un violent échange de tirs s’ensuivit ; Bouétard fut blessé. Munitions épuisées, il se releva et, désarmé, fut exécuté par une rafale allemande. Ses camarades eurent le temps de se disperser et de rejoindre le maquis de Saint-Marcel, à proximité.

Suite de l’article

 

Note RP Defense :

voir Les parachutistes français libres du "spécial air service" (SAS)

voir Le 2e Régiment de chasseurs parachutistes de l'Armée de l'Air

SAS : origine et combats (1/2) - Fondation de la France Libre

SAS : origine et combats (2/2) - Fondation de la France Libre

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 12:55
Le Jaguar de retour à Bordeaux !

 

30.10.2015 Armée de l'Air

 

Parti du détachement air 277 (DA 277) de Varennes-sur-Allier deux jours avant, où il trônait depuis plusieurs années, le Jaguar A151 a entamé ce qui devrait être son dernier périple pour retrouver sa place sur la base aérienne 106 « capitaine Michel Croci ».
Ayant servi au 4/11 « Jura » et très probablement aux mains du parrain éponyme de la base, c’est tout naturellement que l’espace tradition de la BA 106 l’accueillera à l’issue d’une bonne remise en état.
La carrière du Jaguar au sein de l’armée de l’air française s’est déroulée entre 1973 et 2005. Aéronef d’assaut conventionnel, capable également d’assumer des missions d’appui et de pénétration, d’interception basse altitude et de reconnaissance, il a équipé, entre autres, les escadrons de la 11ème escadre de chasse, dont le 4/11 « Jura », stationné sur la BA 106 de fin 1978 à juillet 1992.

Un petit coup de peinture, un 11 à la place du 7, et hop, comme en... 1978 !

 

Reportage photos

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 11:55
Le Commandant Marchand credits Musee de l'Armee, Paris

Le Commandant Marchand credits Musee de l'Armee, Paris


03.11.2015 source SHD
 

3 novembre 1867 : bataille de Mentana (Italie). Napoléon III dépêche l’infanterie française à Rome pour repousser les Garibaldiens qui veulent en chasser le Pape. Le tout nouveau fusil Chassepot y fait ses preuves et même « merveilles ».

 

3 novembre 1898 : le commandant Marchand quitte Fachoda (Soudan). Pour éviter une brouille avec les Britanniques, le gouvernement français donne l’ordre au commandant Marchand d’évacuer le poste de Fachoda qu’il occupe pourtant depuis des semaines avant l’arrivée du général Kitchener.

3 novembre 1914 : bataille de Tanga (actuelle Tanzanie). Appuyée par le HMS Fox, une troupe britannique de 8000 réservistes indiens (partis de Bombay le 16 octobre) débarque près de la ville de Tanga pensant en chasser facilement le petit détachement allemand (200 soldats) chargé de protéger l'Afrique Orientale Allemande. Le débarquement anglais s'effectue sans reconnaissance préalable et est sanglant. Le LCL von Lettow-Vorbeck, énergique commandant de la garnison allemande, inflige une sévère défaite aux assaillants avec 1000 Ascaris réunis dans l'urgence. Un important stock d'armes et munitions est abandonné sur la plage qui va servir à Lettow-Vorbeck à tenir en échec les Britanniques durant toute la guerre. Mieux encore, il mobilise contre lui  jusqu'à la capitulation, près de 300 000 soldats de sa Majesté qui souffrent de ses actions de guérilla. Resté invaincu sur l'actuel territoire de la Tanzanie, il est accueilli en héros en Allemagne à la fin de la guerre et décoré de la médaille "pour le mérite".
Aimé de ses hommes (des Ascaris survivants se rendront à ses funérailles en 1964)  et considéré comme un homme d'honneur par ses ennemis (ses anciens adversaires se cotiseront pour lui payer une retraite que l'Allemagne lui refuse), il est resté comme l’image de l’officier colonial ouvert et généreux.

 

3 novembre 1916 : les Français reprennent le fort de Vaux (Verdun) « Dans la journée d’hier, sous la violence de notre bombardement prolongé depuis plusieurs jours et sans attendre l’attaque de notre infanterie dont la pression se faisait de plus en plus étroite, l’ennemi a évacué le fort de Vaux. Au cours de l’après-midi, de très fortes explosions ont été observées dans le fort. A la nuit, notre infanterie, qui s’était rapprochée à très courte distance, a occupé cet important ouvrage sans aucune perte. La ceinture des forts extérieurs de Verdun est maintenant rétablie dans son intégrité et solidement tenue par nos troupes ». Bulletins officiels français : Paris, 3 novembre 1916, 3 heures.

 

3 novembre 1918 : mutinerie des marins allemands dans le port de Kiel (Allemagne)

 

3 novembre 1996 : mort de Bokassa (Bangui).

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 08:56
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

02/11/2015 armée de Terre

 

Le 29 octobre 2015, une cérémonie de remise de bleuets a été organisée à Montlhéry à l'initiative du centre de formation initiale des militaires du rang (CFIM) de la 1re brigade logistique (1re BL). L'occasion de revenir sur les origines de cet insigne né au lendemain de la Première Guerre mondiale.

 

En 1918, le premier conflit mondial laisse derrière lui plus de 20 millions de blessés et d'invalides dont certains, gravement mutilés, ne peuvent plus travailler. Au lendemain de la guerre, toutes les énergies sont mobilisées par la reconstruction qu'elle soit économique, humaine ou matérielle. A l'instar des dispositifs mis en place par l’État naissent des initiatives de solidarité privées ou associatives de toutes sortes. C'est dans ce contexte que le Bleuet de France voit le jour.

 

Aux origines du Bleuet de France, deux femmes de leur temps à l'écoute des souffrances de leurs contemporains : Charlotte Malleterre et Suzanne Leenhardt, toutes deux infirmières au sein de l'institution Nationale des Invalides. En 1925, elles créent un atelier pour les pensionnaires de l'institution dans lequel ces derniers confectionnent des fleurs de bleuets en tissu pour reprendre goût à la vie.

 

Cette initiative se développe et prend rapidement une dimension nationale. A l'occasion du 11 novembre 1934, il est décidé de vendre, pour la première fois, les fleurs de bleuets fabriquées par les anciens combattants sur la voie publique parisienne: 128 000 fleurs seront vendues. En 1935, l'Etat décide de la vente officielle du Bleuet chaque 11 novembre, partout en France. La fleur devient le symbole national du Souvenir. En 1991, l'Œuvre est prise en charge par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.

 

Aujourd'hui, la vocation du Bleuet de France perdure et l'Œuvre agit sur de nouveaux fronts en favorisant, aux côtés des actions sociales traditionnelles, la transmission de la mémoire comme véritable vecteur de solidarité entre les générations. C'est dans ce cadre qu'une cérémonie de remise de bleuets aux stagiaires du CFIM de Montlhéry a été organisée par la 1re BL comme l'explique le colonel Prigent, adjoint du commandant: "nous avons tenu à organiser cette cérémonie pour marquer l'action symbolique et collective de dons auxquels ont contribué tous nos jeunes stagiaires du CFIM mais aussi leurs encadrants et les cadres de l'état-major".

 

L'occasion de mettre en avant les 350 stagiaires qui, entrés il y a seulement quelques semaines au sein de la grande famille de l'armée de Terre, ont d'emblée manifesté leur adhésion à l'une de ses valeurs fortes: la solidarité.

 

photo Bleuet de France

photo Bleuet de France

Note RP Defense : voir la page Facebook du Bleuet de France

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2 novembre 2015 1 02 /11 /novembre /2015 12:55
Napoléon - Le « grand dessein » et Trafalgar

 

29 Octobre 2015 - Marine Nationale

 

Le 21 octobre 1805, l’amiral britannique Nelson, fort de vingt-sept vaisseaux, écrase les trente-trois vaisseaux de la flotte franco-espagnole commandée par Villeneuve au large du cap Trafalgar, dans le sud de Cadix, avant de trouver la mort. Napoléon perd toute chance d’envahir l’Angleterre. Mais en réalité il y a déjà renoncé et cette défaite, aussi humiliante soit-elle, n’a plus tant d’importance stratégique. Retour sur le « grand dessein » de l’Empereur.

 

Lorsque la guerre reprend contre l’Angleterre au printemps 1803, Napoléon veut en finir une fois pour toute grâce à un débarquement, déjà projeté au XVIIIe siècle et en 1801. Mais s’agit-il d’un coup de bluff ? C’est ce que pensent certains historiens qui voient le camp de Boulogne comme « une machine de guerre fabriquée pour un usage continental », les frontières de l’est n’étant pas si éloignées. Pourtant Napoléon y croit certainement, en particulier de l’été 1803 à l’été 1805. L’Empereur prétend cacher son besoin impératif de concentrer sa flotte en Manche pendant quelques jours en construisant des canonnières pour que sa flottille apparaisse autosuffisante : « si j’eusse [seulement] réuni quatre mille bâtiments de transport, nul doute que l’ennemi n’eût vu que j’attendais la présence de mon escadre pour tenter le passage ».

 

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1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 12:55
Lancement du projet « The Bridge 1917- 2017 »

 

29/10/2015 DICOD

 

Mercredi 28 octobre, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a assisté, en compagnie de Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, au lancement du projet « The Bridge 1917-2017 » à l’Hôtel de Brienne.

 

À l’approche du centenaire de l’entrée en guerre des États-Unis durant le premier conflit mondial, le projet « The Bridge 1917-2017 » jette « un pont d’histoire et de culture, de mémoire mais aussi de fête, entre les deux rives de l’Atlantique », a expliqué Jean-Yves Le Drian, président d’honneur du comité de soutien. Ce 28 octobre, le ministre a assisté en compagnie de Jean-Marc Todeschini au lancement du projet « The Bridge 1917-2017 » à l’Hôtel de Brienne.

L’événement consiste en une course entre le Queen Mary 2 et plusieurs dizaines de multicoques au départ de Saint-Nazaire (44).

L’amitié, entre la France et les Etats-Unis, est « l’une des plus anciennes et des plus fortes qui soient ». C’est en souvenir du soutien de la Fayette que des pilotes américains se sont portés volontaires dès 1916 avec la création de l’escadrille la Fayette. Et c’est ensuite en 1917 avec l’entrée en guerre des États-Unis que de nombreux soldats américains sont venus sur les champs de bataille de France. Le succès récent de la tournée outre-Atlantique de la frégate Hermione a également illustré que, depuis l’expédition de La Fayette pour soutenir la révolution américaine jusqu’à l’engagement des Américains sur le sol de France en 1917 puis en 1944, « un même combat rapproche nos deux nations, celui de la liberté ».

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

27 Octobre 2015 Source : Marine nationale

 

Le 22 octobre 2015, une cérémonie en hommage aux marins de l’aéronautique navale s’est déroulée devant le mémorial des « Marins du ciel » sur la colline de Costebelle à Hyères (83).

 

Cette cérémonie rassemble chaque année les marins du ciel affectés dans le Sud de la France autour des élus locaux, des familles de disparus, des associations d’anciens marins et des porte-drapeaux pour rendre hommage aux disparus au combat ou en service commandé.

 

Tout comme son pendant au Ponant, le mémorial du Cap de la Chèvre, le mémorial érigé sur la colline de Costebelle illustre la mémoire des plus de 1 600 marins « morts pour la France » en service.

 

Après un dépôt de gerbes, le contre-amiral Bruno Thouvenin, commandant la force de l’aéronautique navale (ALAVIA) a pris la parole pour remercier la forte représentation des associations et des familles aux côtés des marins de la base aéronavale de Hyères.

 

Il a insisté sur le devoir de mémoire qui est « une exigence qui nous (ndlr les marins d’active) permet au quotidien d’être plus forts » car « derrière chaque militaire, chaque marin, il y a un homme ou une femme qui accomplit une mission ». Il a également rendu hommage au travail des associations qu’il a qualifié de « passeurs de notre mémoire et relais des traditions » leur témoignant ainsi toute sa reconnaissance et son affection.

 

Le contre-amiral Thouvenin a terminé son allocution en demandant aux marins du ciel présents d’être dignes de leurs aînés, dignes de ceux qui les ont précédés et qui se sont sacrifiés.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 12:50
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

21 Octobre 2015 Sources : Marine nationale

 

Le 16 octobre 2015, neuf vétérans britanniques qui se sont illustrés héroïquement lors du débarquement de Normandie en 1944 ont été élevés au grade de chevalier de la Légion d’Honneur à bord de la FREMM Aquitaine, à Leith, le port d’Edimbourg, sur la côte est de l'Écosse.

 

La frégate et son équipage était en escale à Leith après avoir participé pendant dix jours à l'exercice Joint Warrior 2015.2, organisé par l’OTAN en mer d'Écosse.

 

Cette cérémonie de remise de décoration, présidée par le consul général de France en Écosse, M. Emmanuel Cocher, rassemblait plusieurs personnalités politiques, universitaires et militaires écossaises. Les neufs vétérans britanniques ont été décorés par le consul général de France et par le contre-amiral Patrick Chevallereau, attaché de défense près l'ambassade de France au Royaume-Uni. Lors de cette remise de décorations, il a été rappelé à l'assemblée les actions hautement courageuses qui ont justifié l'accession de ces neuf vétérans britanniques au grade de chevalier de la Légion d'honneur. En présence de leurs familles, les récipiendaires britanniques ont tenu à remercier la France pour la reconnaissance de leurs actions.

Cérémonie de remise de Légions d'honneur à des vétérans britanniques sur l'Aquitaine

 

À l’issue de la cérémonie, la FREMM Aquitaine a organisé une visite du bâtiment au profit des membres du cabinet des relations extérieures du gouvernement écossais, de l'université Heriot Watt et du consulat général de France.

 

Près de 70 ans après la fin du second conflit mondial, la France a rendu hommage au courage et au dévouement de ces neuf hommes qui se sont battus pour défendre les valeurs de la liberté et œuvrer à la libération de l’Europe sur le sol français.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 08:50
Brig Gen Ducret, HQ ARRC, presents former WWII pilots with the Legion d'Honneur medal

Brigadier General Thierry Ducret, (French Army), of Headquarters Allied Rapid Reaction Corps (HQ ARRC) and Wing Commander Leonard Lambert DFC stand to attention through the National Anthems. (NATO Photo / WO2 Dan Harmer GBR Army / Released)

 

29.10.2015 HQ Allied Rapid Reaction Corps


The President of France, François Hollande has decreed that all surviving British veterens who took part in the liberation of France should be awarded the Legion d'honneur.

Today Thursday 29th October 2015 former Royal Air Force (RAF) Typhoon pilots who flew sorties over Normandy in the battle for Normandy in 1944 received the Legion d'Honneur medal from Brigadier General Thierry Ducret, (French Army), of Headquarters Allied Rapid Reaction Corps (HQ ARRC) at the Jet Age Museum, Gloucester.

The Typhoon was one of the principle ground-attack aircraft used by the allies and was instrumental in the battle.

See the full folder of photos here: https://www.flickr.com/…/54973278@…/albums/72157660077441079

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 19:55
Le secret de l’État (exposition aux Archives nationales)

 

21/10/2015 par DGSE

 

Les Archives nationales, avec le soutien de la DGSE, consacrent une exposition dédiée au secret : «le secret de l’État, surveiller, protéger, informer, XVIIe – XXe siècle».

 

Cette exposition se tient aux Archives nationales du 4 novembre 2015 au 28 février 2016 – Hôtel de Soubise – 60 rue des Francs-Bourgeois – 75003 Paris

- Du lundi au vendredi de 10h00 à 17h30

- Samedi et dimanche de 14h00 à 17h30

- Fermée le mardi et jours fériés

 

« Du chevalier d’Eon aux agents secrets des Présidents de la Vème République, l’exposition « le Secret de l’Etat » bouscule les lieux communs en explorant l’histoire des différentes organisations, des lieux de pouvoir et des techniques singulières du renseignement, de la fin de l’Ancien Régime au XXème siècle.

A travers cette exposition, la première sur un tel sujet, les Archives nationales lèvent le voile sur un monde souvent fantasmé en ouvrant des fonds d’archives méconnus et en présentant des objets exceptionnels, en partenariat avec les services des ministères de la Défense et de l’Intérieur.

L’élaboration d’une véritable politique du renseignement intérieur et extérieur depuis la fin de l’Ancien Régime marque la volonté de l’Etat en France de s’affirmer sur la scène internationale et de protéger l’information. Pour ce faire, un ensemble de documents secrets, de témoignages sonores et audiovisuels inédits et une galerie de machines mystérieuses donnent la parole aux acteurs du secret.

 

Symbole ultime du secret, l’intérieur du PC du sous-marin Le Redoutable, incarnation de la dissuasion nucléaire, est donné à voir grâce à une immersion visuelle saisissante. »

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 17:35
28.10.2015 Ronald Mayhill (left) and Basil Williams receive their medals yesterday from French Ambassador Florence Jeanblanc-Risler. Photo Jason Oxenham.jpg

28.10.2015 Ronald Mayhill (left) and Basil Williams receive their medals yesterday from French Ambassador Florence Jeanblanc-Risler. Photo Jason Oxenham.jpg

 

Oct 28, 2015 nzherald.co.nz

 

France has honoured the heroic efforts of two New Zealand war veterans - one who joined a successful bombing mission after being blinded in one eye, the other who survived a German prisoner of war camp.

 

On a French naval frigate docked in Auckland, Ronald Mayhill and Basil Williams were awarded medals as knights of the French Legion of Honour yesterday. French Ambassador Florence Jeanblanc-Risler presented the Aucklanders with the medals on Prairial, which was docked in Auckland from Saturday until today. The World War II veterans, who trained in Canada and Britain, were recognised in the presence of friends, family and officials, including several Defence Force representatives.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 12:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

21 octobre 2015 par Henri Weill - Ainsi va le monde !

 

Comme attendu, Fred Moore, chancelier de l'Ordre de la Libération, vient d'être renouvelé dans les fonctions de délégué du Conseil national des communes "Compagnon de la Libération" (Nantes, Grenoble, Paris, Vassieux-en-Vercors, Ile de Sein). Après un premier mandat de quatre ans, Fred Moore (né en 1920) est reconduit à la tête d'une instance qui a pour missions d'assurer les traditions de l'Ordre, d'en conserver la mémoire, de gérer le musée, d'organiser les cérémonies commémoratives de l'Appel du 18 juin et de la mort du général de Gaulle lorsque tous les Compagnons auront disparu. Seize sont encore en vie.

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 19:55
Lancement officiel du guide du routard « Grande Guerre 14-18. Les chemins de mémoire »

 

27/10/2015 Ministère de la Défense

 

Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, lancera jeudi 5 novembre 2015 le guide du routard « Grande Guerre 14-18. Les chemins de mémoire » à l’Arc de Triomphe.

 

À l’approche d’une année 2016 marquée par le centenaire des batailles de Verdun et de la Somme, la publication de ce guide vise à faire connaître auprès du plus grand nombre les destinations mémorielles françaises du front de l’Ouest. Il permettra à l’ensemble des Françaises et des Français de découvrir ou redécouvrir les différents champs de bataille de la première guerre mondiale qui marquent notre territoire. Il participe ainsi à la volonté du Gouvernement de faire des commémorations du centenaire de la Grande Guerre un événement véritablement populaire.

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 12:55
photo Jean-Jacques CHATARD

photo Jean-Jacques CHATARD

 

21/10/2015 par Domenico Morano  - DICOD

 

La DICoD vous propose de revenir sur la naissance de l’Ordre de la Libération.

 

A l’été 1940, après la défaite de la France face à l’armée du Reich, le général de Gaulle s’exile à Londres et tente d’organiser la résistance. N’étant pas le dirigeant légitime de la République française, le chef de la France Libre ne peut décerner la Légion d’Honneur. Il imagine alors une décoration originale récompensant le dévouement de certains de [celles et] ceux, peu nombreux au départ, qui ont rallié sa cause. En octobre 1940, à Douala (Cameroun), le général de Gaulle déclare : « [L’insigne de l’Ordre de la Libération] récompensera ceux des nôtres qui se seront signalés dans cette haute et âpre campagne, pour la libération de la France ».

 

Le 16 novembre 1940, il signe à Brazzaville (République Démocratique du Congo), alors capitale de la France Libre, l’Ordonnance n°7, publiée dans le Journal Officiel de la France Libre. L’Ordre de la Libération est créé. Celui-ci puise son inspiration dans les ordres médiévaux de chevaliers (Chevaliers de Malte, du Saint-Sépulcre, du Temple, etc). L’idée était de créer une nouvelle chevalerie de serviteurs de l’idéal d’une France libre.

Le décret du 29 janvier 1941 règle l’organisation de l’Ordre. Il ne comporte qu’un seul grade, et donc qu’un seul type d’insigne. Généralement décernée lors d’une prise d’armes, la Croix se porte sur la poitrine, à gauche, après la Légion d’Honneur et avant la Médaille Militaire. Ceux qui la reçoivent sont faits Compagnons de la Libération. La décoration est constituée d’un écu de bronze rectangulaire sur lequel est apposé un glaive surchargé d’une croix de Lorraine noire. Les couleurs du ruban, composé de bandes verticales, sont hautement symboliques : le noir exprime le deuil d’une France opprimée et le vert, l’espoir de la Libération.

Accordée à près de 1 036 personnes physiques – seules 700 d’entre elles survivent à la guerre –, la Croix de la Libération a également été attribuée à 18 unités militaires et à 5 communes françaises, à l’image de Paris qui devient Compagnon de la Libération en mars 1945. Seules six femmes ont été décorées de la Croix de la Libération, notamment pour faits de résistance ayant parfois entraîné la déportation de leurs auteures.

 

Les célébrités appartenant à cet ordre sont nombreuses : des hommes politiques (Jacques Chaban-Delmas, Pierre Messmer, Maurice Schumann, René Cassin) aux maréchaux (Leclerc de Hauteclocque, de Lattre de Tassigny et Koenig) en passant par les intellectuels (André Malraux, Romain Gary). Les rangs des Compagnons de la Libération comptent ainsi près de 36 ministres, 67 députés, 80 officiers généraux ou amiraux, et 15 ecclésiastiques.

 

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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