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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 08:45
Visite au camp de Fleury-devant-Douaumont, sur les tombes accueillant les restes de soldats maliens.

Visite au camp de Fleury-devant-Douaumont, sur les tombes accueillant les restes de soldats maliens.

 

26/10/2015 DICOD

 

 Les 21 et 22 octobre, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, et Son Excellence Ibrahim Boubacar Keïta, président de la République du Mali, ont rendu hommage aux 170 000 tirailleurs sénégalais engagés dans l’Armée française pendant la Grande Guerre, et en particulier aux soldats d’origine malienne.

 

Le 21 octobre, la flamme du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe a été ravivée en présence de Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, et de Son Excellence Ibrahim Boubacar Keïta, président de la République du Mali.

 

Le lendemain, à Fleury-devant-Douaumont (Meuse), ils ont rendu hommage, lors d’une cérémonie militaire, aux 170 000 tirailleurs sénégalais engagés pendant la Grande Guerre et en particulier aux soldats d’origine malienne. Nombreux sont ceux qui se sont illustrés lors de la reprise du fort de Douaumont, en octobre 1916 (Verdun).

 

C’était un souhait du Président Keïta de se rendre sur un lieu symbolique de la mémoire de la Première Guerre mondiale. Verdun s’est naturellement imposé : les deux tiers des régiments français ont été mobilisés ici. Ce site a donc acquis une importance particulière.

L’année 2016 sera marquée par le Centenaire de la bataille de Verdun. Il donnera lieu à une saison mémorielle exceptionnelle qui réunira l’ensemble des Français autour de leur Histoire.

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 19:45
Mali imposes national military service amid separatist tensions

 

06 June 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Mali is to introduce compulsory national service for men and women aged 18 to 35, the government announced, after clashes between northern Tuareg separatists and the army last month.

 

A communique issued following Wednesday's cabinet meeting said President Ibrahim Boubacar Keita's government had taken the decision to impose six-month national service "to develop a feeling of patriotism and the instinct for national defence".

 

"The legislative texts will be adopted by the end of the year so the scheme can start from 2015," Mahamar Mohamed El Moctar, chief of staff at the Youth Ministry, told Reuters on Thursday.

 

"As well as the military aspect, it will involve training in handling weapons and fostering in our youth a sense of citizenship, of civic spirit, of the nation and the homeland," he said, adding that national service would be compulsory for both men and women.

 

Mali's army suffered an embarrassing defeat at the hands of Tuareg separatists last month after it attempted to seize their stronghold of Kidal. The army was quickly overrun by rebel forces as U.N. and French peacekeepers declined to intervene.

 

Popular faith in the army had already been shaken by the ease with which it was overrun in early 2012 by a coalition of Tuareg separatists and Islamist militants who seized the northern two thirds of Mali.

 

A series of student protests in recent months have created frustration at what some critics have called a lack of patriotism among youth, in the wake of last year's French-led war to liberate northern Mali from the Islamists.

 

"Our priority is not to prepare for war, as one might think in the current context, but to create a new citizen," Soubounou Djibril, secretary-general at the Youth Ministry, said of the national service plan.

 

Keita, elected by a landslide in August 2013, earned a reputation for toughness in crushing student protests as prime minister in the 1990s. He has promised to restore a sense of national pride in the landlocked former French colony.

 

Mali last had national service from 1983 to 1991.

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 20:45
EUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennes

 

 

27/01/2014 Sources : EMA

 

Le 20 janvier 2014, le général Bruno Guibert, commandant de la mission EUTM, a participé au 53e anniversaire de la création des forces armées maliennes. La cérémonie, présidée par le chef d’Etat malien Ibrahim Boubacar Keita, s’est tenue à Bamako en présence du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

 

Les militaires français engagés dans l’opération EUTM (68e RAA, 92eRI et 126e RI) accompagnés d’une délégation de l’état-major multinational du camp d’entrainement de Koulikoro, ont défilé aux ordres du colonel Uhrich, aux côtés des forces internationales présentes au Mali (SERVAL et MINUSMA) et de 3000 soldats maliens.

 

Ils ont été applaudis, tout au long de leur parcours sur le Boulevard de l’Indépendance, par une population malienne reconnaissante envers cette mission de l’Union Européenne qui contribue à la remontée en puissance des forces armées maliennes.

 

EUTM regroupe 560 militaires européens (provenant de 23 pays), dont 110 français. Elle assure deux missions : la formation des unités combattantes des forces armées malienne, ainsi que le conseil et l’assistance (Advisory Task Force – ATF) du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants. Le pilier « conseil » permet d’appuyer la restauration des fonctions fondamentales de l’appareil de défense des forces armées maliennes.

EUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennesEUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennes
EUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennesEUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennesEUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennes
EUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennesEUTM : Commémoration du 53e anniversaire des forces armées maliennes
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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 18:45
Armée Malienne - photo EUTM Mali

Armée Malienne - photo EUTM Mali

 

20 janvier 2014 Romandie.com (AFP)

 

BAMAKO - Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a annoncé une restructuration de l'armée par le biais d'une loi de programmation quinquennale, à l'occasion du 53e anniversaire des forces maliennes marqué lundi par un défilé avec leurs alliés anti-jihadistes.

 

Le défilé s'est déroulé à Bamako en présence du président Keïta, du ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian et de chefs militaires. Des Casques bleus, des formateurs militaires européens et des soldats français de l'opération Serval y ont participé aux côtés des soldats maliens.

 

L'armée malienne est de retour. (...) Nous avons vu là des hommes aujourd'hui déterminés à défendre la patrie partout, a déclaré M. Keïta à l'issue de la cérémonie militaire à la télévision publique malienne ORTM.

 

Parlant des militaires maliens actuellement déployés dans le nord du Mali, il a affirmé: Nous comptons sur eux, ils sont l'espoir du Mali. Qu'ils sachent que nous ferons tout pour qu'ils soient dans les meilleures conditions pour servir ce pays.

 

Dans un discours prononcé dimanche soir, à la veille de la célébration de la fête de l'armée, le président Keïta a annoncé l'adoption prochaine d'une loi de programmation militaire sur cinq ans pour restructurer les forces maliennes.

 

Sera adoptée une loi de programmation militaire 2014-2018, dont le début de mise en oeuvre permettra de consacrer la montée en puissance de notre outil de défense sur les cinq prochaines années, a-t-il affirmé, sans préciser de calendrier.

 

La réforme structurelle est en oeuvre. Je veillerai personnellement à sa conduite pour qu'elle atteigne son point d'achèvement, a-t-il ajouté.

 

Il a noté que le 53e anniversaire de l'armée intervenait après les péripéties affligeantes de l'histoire immédiate du Mali, qui a connu 18 mois de crise politico-militaire.

 

L'épilogue de la crise a été l'élection présidentielle de juillet-août 2013, qu'il a remportée, après l'intervention militaire internationale contre les jihadistes déclenchée par la France en janvier 2013, et toujours en cours.

 

Sous-équipée, mal formée et mal dirigée, l'armée malienne avait connu une débâcle face à des groupes armées, notamment jihadistes, dotés d'armes lourdes venant de Libye qui ont occupé les deux-tiers du pays pendant plus de neuf mois en 2012-2013.

 

Au moment où je vous parle, notre outil de défense nationale est en cours de réhabilitation, a également dit Ibrahim Boubacar Keïta, indiquant que, à l'initiative des autorités maliennes, le Mali et la France discutent présentement d'un éventuel accord de coopération militaire.

 

La signature d'un accord de défense entre le Mali et la France était prévue à l'occasion de la visite de M. Le Drian mais elle a été reportée, sans explication officielle.

 

Face aux groupes armés en 2012, le Mali a dû demander l'intervention militaire française, sans autre choix, et aujourd'hui, avec des menaces devenues bien plus amples et diverses, (...) l'avenir peut être encadré par un accord qui lie les parties prenantes rendant ainsi prévisibles les actions attendues, selon lui.

 

Le Mali envisage aussi de discuter, dans un proche avenir, d'accords de coopération militaire avec d'autre pays, sans exclusion inopportune, a-t-il ajouté, sans identifier ces pays.

 

Les accords de coopération militaire, en discussion ou à venir, ne tiendront compte que de l'intérêt du Mali, de tous les intérêts du Mali et des Maliens, tout en renforçant nos capacités et celles de nos partenaires à faire face à l'insécurité structurelle de l'espace sahélo-saharien, a-t-il assuré.

 

Par ailleurs, M. Keïta a réitéré sa disposition au dialogue avec des groupes armés, sans nommément les citer. Dialoguer avec ses compatriotes n'est pas une faiblesse pour un pouvoir mais une force, à condition que le dialogue vise l'intérêt du Mali et des Maliens, a-t-il dit.

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 11:45
Général de Division Mahamane TOURE

Général de Division Mahamane TOURE

 

09 novembre 2013 lapresse.ca (AFP)

 

Le comité chargé de réformer l'armée malienne, qui a été dirigé par Amadou Sanogo, le chef des auteurs du putsch du 22 mars 2012 au Mali, a été dissous vendredi, selon un communiqué du gouvernement malien, qui a également nommé un nouveau patron des forces armées.

 

Le Conseil des ministres tenu vendredi sous la présidence du chef de l'Etat Ibrahim Boubacar Keïta «a adopté un projet d'ordonnance» qui abroge une loi prise le 12 juillet et créant «le comité militaire de suivi de la réforme des forces de défense et de sécurité», a affirmé le gouvernement dans un communiqué reçu samedi par l'AFP.

 

Amadou Sanogo, qui était un capitaine peu connu jusqu'au putsch de mars 2012 ayant plongé le Mali dans la crise, avait été nommé président de ce comité militaire de réforme par un décret daté du 8 août 2012, puis installé en grandes pompes dans ses fonctions en février 2013.

 

Sa nomination avait ensuite été annulée le 28 août dernier, sans explication officielle, deux semaines après sa promotion du grade de capitaine à celui de général de corps d'armée par les autorités de transition installées en avril 2012, après le putsch.

 

L'annulation de sa nomination et sa promotion ont été décidées avant l'investiture d'Ibrahim Boubacar Keïta. Élu président le 11 août, M. Keïta a prêté serment le 4 septembre.

 

La loi ayant créé le Comité militaire de suivi de la réforme des forces de défense et de sécurité» précisait que sa mission «prenait fin «avec la transition politique», et «après l'élection du président de la République et son installation dans ses fonctions, il est apparu nécessaire de mettre fin à la mission» de cette structure, a expliqué le gouvernement.

 

Le Conseil des ministres a également nommé un nouveau chef d'état-major général des armées, le général de division Mahamane Touré, qui remplace le général Ibrahim Dahirou Dembélé.

 

Le communiqué ne précise pas les raisons de ce changement à la tête de l'armée, et aucun commentaire n'a pu être obtenu des autorités sur le sujet.

 

Jusqu'à sa nomination, le général Touré était directeur général de l'Ecole de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye de Bamako, un centre de formation dédié aux opérations de soutien à la paix, a indiqué à l'AFP un responsable militaire.

 

Le nouveau patron de l'armée a notamment dirigé dans les années 1990 une unité de lutte contre la fraude douanière et les douanes maliennes, avant d'occuper des postes de responsabilités entre la fin des années 1990 et la première moitié des années 2000 au ministère de la Défense.

 

Il a aussi travaillé de 2006 à 2012 à Abuja au siège de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), dont il a été le commissaire chargé des Affaires politiques, de la Paix et de la Sécurité

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 16:45
22-23 septembre 2013 - Jean-Yves Le Drian en visite au Mali

24/09/2013 Ministère de la Défense

 

Trois jours après l’investiture d’Ibrahim Boubacar Keïta, nouveau président de la République du Mali à laquelle François Hollande a participé, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au Mali pour représenter la France à l’occasion de la Fête nationale malienne et des 53 ans de la création de l’Etat.

 

C’est la cinquième fois que le ministre de la Défense se rend au Mali depuis le début de l’opération Serval, le 11 janvier dernier. Cette visite qui succède à l’élection du président malien symbolise la réussite de l’intervention française au Mali.

 

Après avoir assisté dimanche dernier à la cérémonie militaire organisée au Camp du génie, à Bamako, le ministre s’est exprimé devant les forces françaises de l’opération Serval à Gao. A l’occasion du début de la session de formation du troisième bataillon malien, lundi 23 septembre, le ministre s’est rendu sur le camp de Koulikoro, au nord de Bamako, pour y rencontrer les éléments de la Mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM). En fin de journée, le ministre a rencontré les nouvelles autorités politiques maliennes, et notamment son homologue Soumeylou Boubèye Maïga, ministre malien de la Défense et des anciens combattants.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 22:45
Mali's New President Vows To Better Equip Army After 2012 Mutiny

Sep. 23, 2013 – Defense News (AFP)

 

BAMAKO — Mali’s new president Ibrahim Boubacar Keita vowed Sunday to go to all lengths to better equip the national army, in a bid to prevent a repeat of the 2012 mutiny over the lack of resources to fight rebels in the north.

 

Faced with an intensifying rebellion from Tuaregs and allied Islamists, scores of Malian soldiers mutinied and launched a coup in March last year, angry at the low level of support they were getting from the state.

 

The ensuing chaos in the capital gave the rebels the opportunity to snatch the vast desert north where they imposed a brutal form of sharia law, before military action launched by Paris in January ousted them.

 

Keita, who took office this month, said Sunday that it is an “absolute priority” for him to give the army what it needs to do its work, adding that “nothing would be too much” to meet that pledge.

 

To do so, “sacrifices ... will be made”, he said, adding however that “it is the job of the nation, it is my mission, and I will assume it.”

 

Mali needs a “better equipped army, an army that meets needs, an army that is trained to carry out its missions,” he told public television channel ORTM.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 12:45
Mali: rien ne sera de trop pour permettre à l’armée d’assurer ses missions

23/09/2013 45enord.ca (AFP)

 

Le Mali consentira des sacrifices pour que son armée, sous-équipée et mise à rude épreuve en 2012 par des groupes islamistes dans le Nord, puisse assurer ses missions, a déclaré dimanche son président Ibrahim Boubacar Keïta, jurant que rien ne sera de trop pour cet objectif.

 

Le Mali a besoin d’une armée mieux équipée, une armée à hauteur de souhait, une armée formée pour les missions auxquelles elle va être appelée, a déclaré M. Keïta à la télévision publique malienne ORTM, s’exprimant après la célébration officielle du 53e anniversaire de l’indépendance du pays.

 

Je fais de cela une priorité absolue: que les forces armées du Mali soient dans les conditions dignes des forces armées et pour cela, des sacrifices [...] seront consentis. C’est le devoir de la Nation, c’est ma mission, et je l’assumerai, a-t-il dit.

 

M. Keïta avait auparavant assisté à la cérémonie de prise d’armes, marquée par un défilé militaire qui, a-t-il indiqué, lui a inspiré un sentiment de bonheur, de fierté mais aussi un sentiment de l’urgence de certaines bonnes décisions à prendre.

 

Il a rendu hommage à tous les membres des forces de défense et de sécurité du Mali, saluant particulièrement tous ceux-là qui servent le pays dans des conditions dont vous n’avez pas idée, ceux qui sont aujourd’hui dans le Nord.

 

Pour eux, rien ne sera de trop. J’en prends l’engagement solennel ici, aujourd’hui, et cela sera fait dans les meilleurs délais +inch’Allah+ [si Dieu le veut], a-t-il poursuivi.

 

Le Mali a connu 18 mois de crise politico-militaire, dont l’épilogue a été l’élection présidentielle de juillet-août remportée par Ibrahim Boubacar Keïta.

 

Les soubresauts avaient débuté avec une offensive lancée en janvier 2012 dans le Nord par des rebelles touareg ensuite supplantés par des groupes criminels et islamistes armés liés à Al-Qaïda, qui ont pris le contrôle des deux tiers du pays peu après un coup d’Etat militaire le 22 mars 2012.

 

En janvier 2013, la France s’est engagée militairement au Mali contre les groupes jihadistes, chassés du Nord avec l’aide du Tchad et de troupes d’autres pays africains.

 

Sous-équipée, l’armée malienne avait connu une débâcle face à ses adversaires, particulièrement des jihadistes dotés d’armes lourdes venant de Libye. Elle a redressé la tête avec l’appui des troupes alliées.

 

Depuis avril 2013, elle bénéficie d’une formation d’instructeurs européens, mission d’un mandat initial de 15 mois expirant en mars 2014.

 

Le 17 septembre, le commandant de la mission, le général Bruno Guibert, a souhaité sa prolongation d’un an afin de permettre au Mali d’être pleinement capable d’assurer sa sécurité face à la menace jihadiste.

 

La prise d’armes pour le 53e anniversaire de l’indépendance du Mali s’est déroulée en présence du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui représentait son pays.

 

M. Le Drian doit visiter lundi le camp des instructeurs européens, situé à Koulikoro (environ 60 km au nord de Bamako).

 

Dimanche après le défilé, il s’est rendu à Gao (nord-est), principal point d’ancrage des forces françaises de l’opération Serval (quelque 3.200 militaires français sont encore présents au Mali).

 

Dans la ville, il a rencontré des responsables de force de l’ONU Minusma, de l’armée malienne, assurant que la France restera au côté du Mali le temps qu’il faudra.

 

Sur le terrain, nos troupes continuent à découvrir des caches d’armes, de munitions. Ce qui prouve que les jihadistes ont un arsenal important, a-t-il dit lors d’une conférence de presse.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 11:45
«Un même ennemi» est combattu au Mali et au Kenya, estime le Président malien

22/09/2013 à 12h31 -- 20minutes.fr

 

«Je constate que le terrorisme est un élément qui menace l’Afrique, et pas seulement au Mali». En voyage officiel au Mali à l’occasion de la fête nationale, le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a réagi ce dimanche matin à l’attaque d’un centre commercial au Kenya perpétrée par des islamistes shebab.

 

«Je constate que le terrorisme est un élément qui menace l’Afrique, et pas seulement au Mali», a-t-il expliqué à l’envoyé spécial de 20 Minutes à Bamako. Le Président du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, a quant à lui exprimé «[s]on horreur et [s]a révolte» après cette attaque. «C'est proprement criminel et lâche. Cela n'a pas de sens.» Ces terroristes sont «des fous, et même pas des fous de Dieu. Ces sont des drogués, des déglingués», a-t-il ajouté.

 

Questionné par 20 Minutes pour savoir si c'était le même ennemi qui était combattu au Kenya et au Mali, le Président malien a répondu: «Oui, c'est le même ennemi».

 

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