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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 18:54
METRAVIB, brand of ACOEM, introduces PILAR at IDEX 2013.

28 mars 2013 acoemTV


The PILAR system uses the sound waves generated by the firing of small arms, Rocket Propelled Grenades (RPGs) and mortars to detect and accurately identify their location in real time. The PILAR screen displays the precise origin of the enemy fire in 3D.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 19:30
La saga du Rafale aux Emirats Arabes Unis (1/3) : le temps de la réconciliation

 

21/02/2013 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

Alors que le salon de l'armement d'Abu Dhabi (IDEX) ferme ses portes ce jeudi, nous publions le premier volet d'une saga sur les négociations du Rafale aux Emirats Arabes Unis en trois chapitres : le temps de la réconciliation entre Paris et Abu Dhabi. François Hollande et son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ont réussi à rétablir une relation de confiance avec le prince héritier Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, l'homme fort des Emirats Arabes Unis, qui avait fortement agacé par Paris fin 2011..

 

Une fois encore la France n'aura pas ménagé ses efforts pour propulser le Rafale dans le ciel bleu des Emirats Arabes Unis. Quelques semaines après la reprise des négociations en janvier entre Abu Dhabi et Paris portant sur la vente de 60 Rafale dans la foulée de la visite de François Hollande aux Emirats, le salon de l'armement d'Abu Dhabi (IDEX), qui a été inauguré dimanche, a bel et bien confirmé un net réchauffement des relations franco-émiraties sur ce dossier, qui avait fait l'objet à la fin de 2011 d'une grosse fâcherie entre Dassault Aviation et les EAU très agacés. C'est aujourd'hui du passé. Sur le salon IDEX, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et l'homme fort d'Abu Dhabi, le prince héritier, Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, qui faisaient chacun leur propre tournée des stands des industriels, se sont croisés dimanche à deux reprises. Et ont visité ensemble dans une ambiance chaleureuse d'abord le stand de Nexter, qui attendait en vain d'être sélectionné par Abu Dhabi pour entrer en négociations exclusives pour la vente de 700 engins blindés à roues (VBCI), puis une seconde fois chez Dassault Aviation.

Les deux hommes ont ensuite partagé un déjeuner simple en dehors d'un cadre protocolaire strict, qui leur a permis de discuter librement du Rafale... et d'autres dossiers de coopérations entre la France et les Emirats. Bien loin des déclarations très abruptes de Jean-Yves Le Drian de retour d'un premier voyage aux Emirats fin octobre où il expliquait dans « Le Parisien » à propos du Rafale que « le rôle d'un membre du gouvernement, c'est d'établir les conditions de la confiance. Les industriels, eux, doivent jouer leur rôle et proposer l'offre la plus performante. Mais il ne faut pas mélanger les genres ». Des propos qui ne sont, semble-t-il, plus d'actualité. En tout cas à des années-lumière de son action à IDEX. Car le ministre a très naturellement débriefé ensuite le nouveau PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, qui avait lui-même discuté une bonne demi-heure avec le prince héritier sur le stand de l'avionneur.

 

Un "road map" pour Dassault Aviation

"Nous sommes ici aux Emirats parce qu'il y a ici un client majeur pour nous, explique Eric Trappier. Je devais rencontrer dans mes nouvelles fonctions Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, et nous avons échangé sur la base d'une transparence mutuelle". Le nouveau PDG de Dassault Aviation dispose aujourd'hui d'une "road map claire pour travailler", précise-t-il, mais il ne souhaite pas en dévoiler le contenu. Secret des affaires... Toutefois, le président du Conseil des industries de défense françaises (CIDEF), Christian Mons, a pour sa part indiqué qu'étant donné qu'en 2015 les premiers Mirage livrés auront 30 ans de service, "il y a une grande chance que le client (émirati) souhaite acheter en 2015/2016 et que nous commencions les livraisons en 2017/2018".

En tout cas, la reprise des négociations, accompagnée d'un nouveau climat de confiance, est une très bonne nouvelle pour Dassault Aviation et, au-delà, pour toute la filière de l'aéronautique militaire française qui ont un gros besoin pressant de charges de travail pour passer sans trop de difficultés le cap des restrictions budgétaires françaises. Toutefois, les négociations entre Abu Dhabi et Paris sont passées par tellement de haut et de bas depuis 2008, l'année de l'expression d'un intérêt pour les Rafale par les Emirats - c'est aussi le début d'une saga -, qu'il s'agit de rester prudent sur leur issue et sur un calendrier. "Le changement de gouvernance chez Dassault Aviation a été probablement l'élément clé d'une reprise des discussions entre Abu Dhabi", explique un très bon connaisseur de la région et de la famille régnante. Tout comme le changement de président de la République. L'intense activisme de Nicolas Sarkozy pour vendre le Rafale avait lui aussi fini par agacer les Emiratis, qui ont 60 Mirage 2000-9 dont ils sont très satisfaits. Certains de ces avions ont même été utilisés lors de l'opération Harmattan aux côtés de l'armée de l'air française.

 

François Hollande, VRP du Rafale ?

Nouveau président français, nouveau PDG de Dassault Aviation et... nouvelles relations de confiance entre Abu Dhabi et Paris. Les Emiratis semblent aujourd'hui convaincus que le Rafale est meilleur que le Mirage 2000-9. En outre, Eric Trappier, qui est apprécié à Abu Dhabi, a laissé de bons souvenirs. C'est lui qui a conclu la vente en 1998 de 30 Mirage 2000-9 et la modernisation de 33 autres Mirage 2000 au standard des 2000-9, alors qu'il était responsable des ventes avec les EAU au sein de la direction générale internationale de Dassault Aviation. Tout est pour le mieux donc... reste encore à trouver le bon prix pour vendre le Rafale, objet de la fâcherie entre Dassault Aviation et Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan fin 2011. Enfin, pour reprendre le fil là où il avait été interrompu, il fallait un déclic. C'est la visite aux Emirats de François Hollande en janvier, qui remet définitivement en selle le Rafale.

Le président français et son homologue émirati cheikh Khalifa ben Zayed Al-Nahyane, évoquent le Rafale lors de leurs discussions. "Nous pensons que c'est un très bon avion, je n'ose pas dire que l'expérience l'a démontré, mais c'est pourtant le cas, aussi bien en Libye que même sur le théâtre malien", explique-t-il lors d'une conférence de presse. Nous pensons que c'est une technologie exceptionnelle, nous l'avons dit à nos amis émiriens. Ils ne le contestent pas d'ailleurs. Après, c'est une question de prix. (...) Mais ce n'est pas le président de la République française qui fixe le prix des avions. Donc cela obéit à des logiques de discussions, de négociations". C'est le feu vert pour la reprise des négociations entre le Team Rafale (Dassault Aviation, l'électronicien Thales et le motoriste Safran) et Abu Dhabi. D'ailleurs, François Hollande demande à son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de revenir aux Emirats pour poursuivre les discussions. Ce qu'il fera pour le salon IDEX après quelques jours en Inde. C'est le temps de la réconciliation.

 

Des liens jamais coupés

Les liens entre Abu Dhabi et Paris n'ont jamais été coupés mais la campagne présidentielle française, puis l'arrivée au pouvoir d'une nouvelle équipe gouvernementale, le temps qu'elle prenne ses marques, a freiné la reprise des discussions. « Il a fallu six mois de rodage au nouveau pouvoir français pour définir une stratégie et un volet politique à l'export », explique un grand patron de l'armement. Surtout, Abu Dhabi, débarrassé de la pression intense de Nicolas Sarkozy déployée pour parvenir à une signature rapide de ce contrat, veut se donner du temps pour renouveler leur flotte de Mirage 2000-9. Les Emiratis n'ont jamais été pressés de s'offrir de nouveaux avions de combat. Non pas qu'ils n'étaient pas intéressés par le Rafale mais simplement le renouvellement de leur fotte de combat ne coïncidait pas avec le calendrier de l'ancien président. "C'était une campagne politique orchestrée par Nicolas Sarkozy et non pas à l'initiative des industriels", rappelle un observateur. D'où ce décalage entre le besoin du client et la proposition de Paris... qui a d'ailleurs raté le coche en ne liant pas l'installation de la base interarmée française à Al Dahfra (Abu Dhabi) forte de 700 hommes prépositionnés, à l'achat des avions de combat par les Emiratis. "Est-ce maintenant trop tard ?", s'interrogeait en début d'année un industriel. Possible. "Avec le temps, on oublie les cadeaux qui ont été faits", poursuivait-il.

Des liens qu'aurait bien voulu détricoter le Premier ministre britannique, David Cameron, qui a tout fait pour torpiller les discussions entre Dassault Aviation et Abu Dhabi. Totalement décomplexé avec les ventes d'armes, il a proposé aux Emirats lors d'une visite officielle en novembre l'Eurogighter Typhoon, fabriqué par BAE Systems, EADS et l'italien Finmeccanica pour remplacer leur flotte actuelle de Mirage 2000-9. David Cameron a fait le job. Il a même signé un partenariat dans la défense prévoyant en particulier une "étroite coopération" concernant les Typhoon. Londres voulait ainsi persuader les Emirats d'adopter le Typhoon, avec la volonté d'établir à plus long terme "une collaboration pour le développement de la prochaine génération d'équipement militaire aérospatial". En dépit de la pression de David Cameron, Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan n'a jamais voulu annoncer que les négociations avec Dassault Aviation étaient arrêtées.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 12:30

Shapar UAV

A Pakistani-built Shahpar tactical UAV

 

Feb. 19, 2013 - By CHRISTOPHER P. CAVAS  - Defense News

 

ABU DHABI — If anything has changed in the past few years at defense trade exhibitions, it’s the explosion in the number and variety of UAVs on display.

 

Big ones, medium ones, small, smaller and still smaller ones. Multi-winged or single-wing aircraft, pusher or tractor engines to power them, vertical systems with one, two or four rotors. Man-portable systems that fit in a rucksack. Craft with wheels or skids or hooks. A plethora of often interchangeable payloads of sensors and — increasingly — weapons the machines can put in the air. Also featured are a variety of control systems and units, ranging from trucks or trailers to laptops and wrist bands.

 

All the big boys in the business are here at the IDEX defense exposition and its NavDex naval component. Lockheed Martin, General Atomics and Boeing’s Insitu from the U.S.; Denel from South Africa; and a host of European entries, including vehicles from France, Austria, Switzerland, Sweden and Turkey are all vying for attention.

 

Among the UAV craft are an ever-growing number of offerings from countries not often associated with displaying home-grown military products. In South Asia, Pakistan has developed a range of UAVs, with several on display here.

 

“Most of these aircraft are in service now with the Pakistani military,” Tahir Hameed, a technical engineer with Xpert Engineering, said of four aircraft in an outdoor display area.

 

Xpert is one of seven companies that make up the Global Industrial and Defense Solutions (GIDS) group, that together makes nearly all the components in the aircraft and payload systems.

 

Standing by a large Shahpar tactical UAV, Shoaib Iqbal, an engineer with AERO, the Advanced Engineering Research Organization, proclaimed that “everything in this aircraft was made in Pakistan. Everything except the engines and tires.”

 

AERO builds sensors at its facility near Islamabad, in a region where most of the Pakistani UAV industry is located.

 

The Shahpar is the most sophisticated of the GIDS aircraft on display here. Configured with a pusher engine and canards and with a wingspan of 6.6 meters, the craft can carry a 50-kilogram payload to heights of 5,000 meters, and stay airborne more than seven hours.

 

Two flights of the Shahpar entered service in 2012, Iqbal said, one each with the Pakistani Army and Air Force, and GIDS is expanding its production facilities to answer the demand.

 

A flight, Iqbal explained, consists of five aircraft, a ground control station and a communications station.

 

Another tactical UAV, the Uqab, entered service in 2008 with the Pakistani Army, Hameed said, and has been in use with the Pakistani Navy since 2010. A wheeled vehicle that can reach an altitude of 3,000 meters and stay aloft for six hours, the Uqab is used for artillery fire correction and battle damage assessment in addition to surveillance duties.

 

The Huma, a smaller aircraft fitted with rocket boosters for takeoff and a parachute for landing, also is under development, along with the Scout mini-UAV, designed to be carried in a backpack and launched by hand.

 

Micro Vehicles Expanding

 

Another growth area is in micro-UAVs, hand-held models not unlike something available at an electronics store or hobby shop.

 

Datron, a San Diego-based company best known for producing a range of radio and communications gear, is here with its Datron Scout aerial reconnaissance system, a four-rotor, vertical takeoff-and-landing vehicle meant to be used for short-range, short-endurance missions.

 

Even fitted with its battery pack and a sensor payload, the polycarbonate-construction vehicle barely weighs as much as a laptop computer — not even 3 pounds without the sensor. The Scout is intended to fly to a range of only about three kilometers and remain airborne for about 20 minutes, depending on the payload.

 

But the craft comes with a sophisticated flight control program, said Christopher Barter, program manager for the UAV.

 

“We’ve operated this in winds up to 30 miles an hour, with gusts to 55,” he said.

 

So why did Datron, an electronics company, get into the UAV business?

 

“The value of a small unmanned aerial system you can pull out of a backpack is extremely lucrative,” he said. “And this model comes with autonomous control from a laptop, with global positioning satellite navigation.”

 

The Datron Scout, however, is remarkably similar to at least a half dozen other vehicles on display at this show and, at between $60,000 to $120,000 a copy, a bit pricier than most.

 

“Yes, but ours doesn’t break,” Barter beamed. “It’s extremely rugged.”

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 11:30
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