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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 17:35
Le Charles de Gaulle vu depuis le cockpit d'une Alouette III. photo M.Muller Marine Nationale

Le Charles de Gaulle vu depuis le cockpit d'une Alouette III. photo M.Muller Marine Nationale

 

17 juillet 2015 Portail des Sous-Marins

 

Pour la première fois, la marine indienne a officiellement indiqué la taille et les spécifications de son futur porte-avions. Elle a écrit à 4 grands chantiers navals, leur demandant des propositions pour l’aider à concevoir un porte-avions de 65.000 t et 300 m de long.

 

La lettre envoyée mercredi dernier, précise que le porte-avions doit avoir une vitesse maximale de plus de 30 nœuds. Elle ne se prononce en revanche pas sur le type de propulsion : nucléaire, diesel ou turbines à gaz.

 

La lettre indique que le porte-avions embarquera de 30 à 35 avions et environ 20 hélicoptères. Il aurait une catapulte et des brins d’arrêt, comme les porte-avions américains et français. Pour les aviateurs, il s’agirait d’un important changement puisqu’ils sont habitués aux appareils à décollage court, avec “ski-jump”.

 

Sans exiger un système électromagnétique, comme celui qui équipe le nouveau porte-avions américain USS Gerald R Ford, la marine indienne indique qu’il s’agit d’une possibilité.

 

La lettre a été envoyée à Lockheed Martin, BAE Systems, DCNS et Rosoboronexport.

 

Les spécialistes soulignent que les caractéristiques annoncées sont proches de celles du Charles de Gaulle et du Queen Elizabeth II.

 

La lettre donne une semaine pour répondre, exigeant une proposition pour le 22 juillet, réponse qui doit contenir des éléments de prix.

 

« Ce processus d’évaluation va au moins prendre une décennie. Il est impossible que quiconque puisse proposer une proposition détaillée en terme de prix dans un délai aussi court, » se plaint un haut responsable de l’un des vendeurs contactés.

 

Référence : Business Standard (Inde)

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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 15:35
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

03/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 16 au 22 juin 2015, le BPC Dixmude et la FLF Aconit ont fait escale à Visakhapatnam, en Inde. Celle-ci a été l’occasion de renforcer une fois encore nos liens avec la marine indienne.

 

A l’occasion du passage sur rade de Port Blair, capitale de l’archipel de Nicobar et Andaman, plusieurs officiers indiens ont embarqué avec le groupe Jeanne d’Arc le temps du trajet vers Visakhapatnam où l’équipage devait effectuer une escale quelques jours plus tard.

 

Après un accueil très chaleureux de la marine indienne à Visakhapatnam, une délégation a pu assister à une démonstration de l’Engin de Débarquement Amphibie Rapide (EDAR). Ce fut l’occasion pour la flottille amphibie du Dixmude d’illustrer les multiples capacités opérationnelles de l’EDAR dans la base navale indienne. Le lendemain, une réunion bilatérale a été organisée à bord afin de partager des expériences acquises et enrichies par les interactions régulièrement menées dans nos zones de déploiement communes.

 

Deux mois après la déclaration conjointe du  Président de la République française M. François Hollande et du Premier ministre de la République de l’Inde, Shri Narendra Modi en visite officielle à Paris, cette escale était placée sous le signe de l’entente. Avec la participation de frégates indiennes le jour de l’appareillage, des manœuvres et des entraînements conjoints ont été conduits en mer. En parallèle, le personnel du pont d’envol du Dixmude a accueilli un hélicoptère indien Sea king, pour une visite du commandant en chef de la flotte de l’Est. 

 

En complément de ces échanges opérationnels, des visites croisées des bâtiments ont permis aux marins de se rencontrer et de mieux se connaître. Par ailleurs, de nombreuses activités de coopération et de rayonnement ont été organisées. Le 21 juin 2015, alors que l’Inde célébrait le Yoga, pratique nationale ancestrale reconnue par l’ONU qui a fait de cette date une journée internationale, une séance était organisée sur le pont d’envol du Dixmude. Cet événement à la fois sportif, culturel et fédérateur est venu clôturer une escale marquée par la découverte des traditions locales.

 

Ces échanges illustrent la volonté indienne comme française de renforcer la coopération militaire entre nos deux pays, et s’inscrivent dans la continuité du partenariat stratégique initié en 1998.

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photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 14:35
AS565 MBe naval version Panther photo Airbus HC

AS565 MBe naval version Panther photo Airbus HC

 

Friday, July 03, 2015 by Shiv Aroor - Livefist

 

Big development in the goldmine that is India's military helicopter requirement landscape. Airbus Helicopters and India's Mahindra Defence have announced a joint venture that will fight for the many big Indian helicopter competitions. As with most such things these days, it looks to align itself with PM Narendra Modi's 'Make in India' campaign.

 

"Both companies will now get into discussions to finalize the formation of the joint venture which will act as the prime contractor for India’s military helicopter tenders including the Reconnaissance and Surveillance Helicopter, the Naval Utility Helicopter and the Naval Multirole Helicopter procurement programs. The resulting joint venture aims to become the first private Indian helicopter manufacturer under the ‘Make in India’ initiative. This will create hundreds of high-tech jobs locally and lead to a flow of cutting edge technologies to India should it be selected in the governmental helicopter tenders," a joint statement said.

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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:35
Arjun MK II - source Livefist

Arjun MK II - source Livefist

 

June 27, 2015 By Vivek Raghuvanshi – Defense News

 

NEW DELHI — The Indian Army's plan to develop and build a medium-weight main battle tank to replace more than 2,500 Russian T-72s has raised questions about the future of the homemade Arjun tank and likely would kill a decade-old proposal by the Defence Research and Development Organisation (DRDO) to build a tank, according to analysts and officials.

 

The Indian Army this month floated a global request for information to seek partners to design the new tank under a program called Future Ready Combat Vehicle (FRCV). As a medium-weight platform it would weigh 40-plus tons, compared with the Arjun, which weighs 60 tons.

 

"The proposed FRCV is in the medium category and is more likely to be around the T-90 platform than the Arjun Mark-II platform, which is getting close to the medium-heavy/heavy category," said Anil Chait, retired Indian Army lieutenant general. "Designing and developing the product around proposed qualitative requirements afresh would suggest that we may be looking toward the end of the Arjun saga," he said.

 

However, Rahul Bhonsle, a retired Army brigadier general and defense analyst, said the Arjun will progress from the current Mark-1 level to Mark-3.

 

"The lead time for the FRCV to be manufactured, if all goes well, is likely to be approximately 15 years or so. This provides adequate scope for the Arjun series to be progressed to at least Mark-3. Moreover, there is a need in the Indian Army for an Arjun class of tank."

 

While no Ministry of Defence official would comment on the fate of the decade-old Futuristic Main Battle Tank (FMBT) project to be developed by DRDO, an Army official said FRCV has "surely killed" the FMBT.

 

The FMBT, intended to be in the 50-plus ton category, was also meant to replace the T-72s.

 

"The FRCV seems to be a completely new project which possibly junks the FMBT, which was being worked upon by the DRDO or may be a lead to the developing agency to add on to the existing work that has already been done on the same," Bhonsle said.

 

"I surely see Americans, Russians, French, Germans, Koreans and British participating along with Indian companies in stand-alone or joint venture mode. We could see leading companies from there which are involved with tank design, participating in it," Chait said.

 

Unlike the earlier tank effort, the FRCV does not restrict production to the DRDO. Domestic defense companies in tie-ups with overseas defense companies can serve as the production agencies.

 

"As this is an open competition, private agencies could also be roped in to develop the tank. The best option would be for DRDO designing and developing the same with a foreign partner as it is best placed technically to do so. For an Indian private company in collaboration with a foreign partner it would be a Greenfield venture," where the foreign company would construct new facilities for the project, Bhonsle said.

 

The Army plans to begin induction of the basic FRCV by 2025-27, which would be the platform on which numerous variants would be developed to serve different functions. These variants will include a tracked light tank, a wheeled version, a bridge layer tank, a trawl tank and mine plows, armored recovery vehicle, self-propelled gun, anti-aircraft tank, artillery observation vehicle, engineer reconnaissance vehicle, and armored ambulance.

 

According to the request for information, FRCV will be executed in three stages: design, prototype developmental and production.

 

The request says the design agency and developing agency can be separate entities. The best design will be chosen and given to the nominated development agency for prototype production. The selected prototype will be given to the production agency or agencies for bulk production.

 

Shankar Roy Chowdhury, retired Army general and former service chief, said the paramount requirement for the tank is survivability.

 

"Russian designers sought to achieve this [survivability] by smaller size [three-man crew and lighter armor], lower profile and speed. The West preferred larger turrets, hence thicker armor, heavier tanks. The test for both designs has been the Arab-Israeli wars and the gulf war. The Russian designs did not do too well. Blame that on the crews if you like," Roy Chowdhury said.

 

The most important requirement, however, is that the future FRCV must be indigenously designed, Roy Chowdhury said.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 07:35
photo DCNS

photo DCNS

 

29.06.2015 par Mer & Marine

 

Navfco, la branche navale de Défense Conseil International, assurera à compter du 1er septembre la formation des équipages des futurs sous-marins indiens du type Scorpene. Le premier des six bâtiments commandés par la marine indienne est en achèvement au chantier Mazagon Dock Limited de Mumbai, où sa mise à l’eau est prévue à la fin de l’été. C’est avec MDL que DCI a signé le contrat de formation. D’une durée de 22 mois, il concerne 100 Indiens, soit deux équipages de 36 marins allant armer les deux premiers Scorpene, une réserve et quelques futurs instructeurs qui transmettront le savoir-faire acquis aux équipages des Scorpene suivants.

 

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 15:55
photo Dassault Aviation

photo Dassault Aviation

 

15 juin 2015 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

L'avionneur français s'attend à une forte fréquentation de son stand et de son chalet sur le salon du Bourget du 15 au 21 juin. Belgique, Canada, Emirats Arabe Unis, Koweit, Finlande...envisagent de renouveler leurs flottes d'avions de combats et s'intéressent au Rafale export.

Eric Trappier a le sourire en ce moment. On le comprend: le patron de Dassault Aviation est toujours sur son nuage après avoir signé les premiers contrats de vente à l'export du Rafale avec l'Egypte et le Qatar. "Pour l'Inde, il ne manque plus quasiment que la signature", a-t-il confié lors de sa conférence de presse d'avant le Bourget le vendredi 12 juin.

"Les enjeux du salon, c'est d'abord contribuer à la passion aéronautique française à travers le week-end réservé au grand public", a-t-il indiqué...pudiquement. Mais le premier salon mondial de l'aéronautique sera l'occasion surtout de faire du business ! "Nous prévoyons un niveau de délégation important, légèrement supérieur à l'édition précédente. Le Bourget reste un salon attractif pour l'ensemble des délégations mondiales. (…) Le plus compliqué c'est de faire les arbitrages quand cinq délégations arrivent en même temps", dit-il tout sourire.

 

Voici donc une liste non exhaustive des visiteurs intéressés :

Evidemment l'Inde. Le contrat pour les 36 premiers Rafale n'est pas signé mais l'avionneur français reste toujours aussi ambitieux sur ce marché. "Je suis prudent mais nous pensons que les besoins de l'armée de l'air indienne dépassent et de loin le besoin pour 36 avions. Nous pensons qu'il y aura une deuxième partie plus tard qui pourra se faire avec du «Make in India», c'est-à-dire avec de la fabrication en Inde dans laquelle Dassault et ses partenaires auront le leadership pour organiser la supply-chain locale et trouver les bons partenariats", espère Eric Trappier. Mais avec les Indiens, il le sait, la première qualité, c'est la patience.

Autre délégation qui devra apprécier l'hospitalité de son hôte français : les Emirats Arabes Unis. Eric Trappier est peu disert sur l'avancée des négociations. Il rappelle que ce pays client est à la tête d'une flotte d'une soixantaine de Mirage 2000-9 "qui satisfait pleinement l'armée de l'air émirienne". Déjà un bon signe.

Leur voisin, le Koweït devraient également visiter le châlet Dassault. Si ce pays devrait acheter dans un premier temps des F18 américains, il pourrait compléter sa flotte ultérieurement. Et l'avion français a participé à des évaluations en juillet dernier dans des conditions de chaleur extrêmes. "Le Rafale s'est extrêmement bien comporté. Beaucoup mieux que beaucoup de ses concurrents" s'est félicité le PDG. Mais il n'y' a pas que les émirs qui devraient profiter de l'hospitalité de l'avionneur.

Moins exotique, une délégation viendra en voisine de Belgique. L'armée de l'air belge cherche à renouveler ses F16 vieillissants. S'ils devraient "chambrer" leur hôte après la leçon de foot que leurs diables rouges ont livré aux Bleus de l'équipe de France au Stade de France juste à coté du Bourget le 7 juin dernier , ils auront avant tout des questions de dimensionnements de flotte d'appareils. "Nous clarifions nos réponses à un appel à informations des autorités belges. La question est de savoir combien de Rafale seront nécessaires pour remplir la mission exigée", précise Eric Trappier, qui poursuit : "La Belgique est la seule nation du club F16 a ne pas avoir sélectionné le F35 (avion américain de dernière génération de Lockheed Matin, ndlr) tous les autres pays européens l'ont fait sans compétition en pure application de la préférence américaine".

Enfin la Finlande, qui souhaite une nouvelle génération d'avion de combat pour protéger ses 1300 kilomètres de frontière avec la Russie. La délégation sera reçue avec plus de circonspection. "La Finlande c'est comme les autres pays d'Europe, avoue le patron de Dassault Aviation. La seule question que je leur pose avant d y aller, c'est : Est ce que vous êtes décidé à acheter non-américain ? Sinon, ce n'est pas la peine de perde notre temps!». Le précédent appel d'offres était resté en travers de la gorge des Français. Il portait sur un monomoteur et in fine le F18 américain, bimoteur, a raflé la mise alors qu'il n'était même pas concurrent ! Les petits fours et le champagne du Bourget adouciront-t-il l'amertume passée ? Sûrement. C'est tout de même un contrat estimé entre 6 et 10 milliards d'euros. Au salon, Eric Trappier prendra toujours plaisir à voir ses Rafale en vol, et plus encore à les vendre.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:35
Armor: Arjun Back From The Dead Again

 

June 3, 2015: Strategy Page

 

India continues to have problems with its tank fleet. The latest disaster is the low readiness of the 120 locally designed Arjun tanks the army was forced to buy in order to keep an Indian tank factory working. After several years of use over 70 percent of the Arjuns are inoperable because of technical problems, mostly relating to imported spare parts. Over half the Arjun components are foreign made and the procurement bureaucracy, the army and the Arjun factory cannot agree on specifications and quantities of these parts. In addition to that there are dozens of unresolved technical problems with Arjun. All this adds up to nearly a hundred separate problems that need to be resolved to increase the readiness rate. The government seems to agree that Arjun is a failure and while the factory only has to make four more, it also now has orders for 118 Arjun 2s.

 

The order for the 124 original Arjuns came about in 2010 when competitive tests between the Indian designed (by DRDO, the government defense research and development organization) Arjun and Russian T-90 tank resulted in an unexpected victory by the Arjun. The Indian Army had been compelled (by pro-Arjun politicians) to conduct a field test between the domestically designed (but troubled and largely rejected) Arjun tank, and the Russian T-90 (now considered the army's primary tank). Fourteen of each tank were used, and the results were classified. But journalists had no trouble getting unofficial reports that the Arjun managed to best the T-90 in tests of mobility, endurance and gunnery.

 

This was surprising because until then Arjun was considered an expensive and embarrassing failure. Development of the Arjun began in the 1980s and by 2006 the army had received only five of them, for testing and evaluation. The evaluation did not go well. Originally, the Arjun was to have replaced thousands of older Russian tanks, but after so many delays, the army only reluctantly accepted enough to equip one Armored Brigade. The new test reports resulted in renewed pressure on the army to buy more Arjuns.

 

One good thing came out of this competition and that was the agreement by the Arjun developers to address the many technical problems with Arjun. To spare government or military officials’ embarrassment this was described as an effort to develop the next generation battle tank. Called the FMBT (Future Main Battle Tank), this vehicle aimed to build on the “success” of the Arjun.

 

This pitted the Defense Ministry weapons development and procurement bureaucrats against the generals. The bureaucrats were under pressure to deliver because the competition was won by Arjun mainly because it was assumed that Arjun would have fixed all the problems it was having with its electronics and some other components. The main problems were with the fire control system, the engine, and that fact that its size and weight prevented it from being used with current tank transporters. Thus the FMBT was to be lighter (50 tons) and based on what worked in the Arjun and other modern tanks. The FMBT is expected to replace older Russian tanks. The result was called Arjun 2 and it fixed most of the Arjun problems, including the size and weight issues. Arjun 2 weighs 50 tons and 60 percent of the components are Indian made. All this is optimistic, given what happened with the original Arjun and Indian developed weapons in general. The Arjun was originally intended as a replacement for most of the older T-72s and that still might happen.

 

Meanwhile in 2009 an Indian factory delivered the first ten (of a thousand) T-90 tanks to the Indian Army. The Russian designed armored vehicles are being built in India under license. Many of the components are Indian made, and some of the electronics are imported from Western suppliers. The Indian-made T-90s cost about $3 million each. India has already bought 700 Russian made T-90 tanks, at a cost of $3.5 million each. The Arjun 2 is expected to cost over $5 million each. The high price is due to a lot of high tech. This includes an active defense system to defeat anti-tank missiles, a much more powerful engine, lots of electronics and a hermetically sealed crew department to provide protection against chemical weapons and radiation. All this stuff is tricky to develop, just the sort of thing DRDO excels at screwing up. This is mostly the fault of the DRDO bureaucrats, who are not very good at using all the technical and manufacturing talent India has.

 

Back in 2006 India adopted the Russian T-90 as its new main battle tank. By 2020, India will have 2,000 upgraded T-72s, over 1,500 T-90s, and few hundred other tanks (including over 240 Arjuns, depending on how the Arjun 2 works out in practice). This will be the most powerful armored force in Eurasia, unless China moves ahead with upgrades to its tank force. The border between China and India is high in the Himalayan Mountains, which is not good tank country. India's tank force is mainly for use against Pakistan.

 

The T-90 is a highly evolved T-72. Originally, the T-90 was a fallback design. The T-80 was supposed to be the successor to the T-72. But like the T-62 and T-64 before it, the T-80 didn't quite work out as planned. So the T-72, with a much improved turret and all manner of gadgets, was trotted out as the T-90. Weighting 47 tons, its 7 meters (23 feet) long, 3.4 meters (11 feet) wide and 2.3 meters (7.5 feet) high. Same package, better contents. And with well-trained crews, it can be deadly. The original Arjun was a larger vehicle (59 tons, 10.7 meters long and 3.9 meters wide).

 

Arjun 2 is similar in size to the T-90. Indian armor experts, both military and civilian, are hoping the Arjun 2 is more like the T-90 than the Arjun. But the most worrisome aspect of the Arjun 2 project is DRDO which also developed Arjun. It's feared that the DRDO wonks have not learned from the many errors made with the Arjun. The hope is that the Arjun 2 will not be another DRDO disaster.  

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 12:35
Défense Le Rafale atterrira-t-il en Inde d'ici à la fin de l'année? - photo Armée de l'Air

Défense Le Rafale atterrira-t-il en Inde d'ici à la fin de l'année? - photo Armée de l'Air

 

02/06/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le PDG de Dassault Aviation vise un quatrième contrat Rafale d'ici à la fin de l'année. Eric Trappier assure que l'Inde pourrait commander de nouveaux Rafale après la signature du premier contrat (36 appareils).


 

"On ne va pas s'arrêter à deux ou trois contrats Rafale. Les astres étant plutôt bien alignés maintenant, on va essayer de pousser l'avantage pour avoir un quatrième contrat (...) avant la fin de l'année", a lancé ce mardi le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier. Après ceux décrochés en Égypte et au Qatar pour un total de 48 avions de combat, un quatrième contrat qui pourrait être signé au Moyen Orient, vraisemblablement aux Émirats Arabes Unis (EAU). "D'autres pays ont manifesté leur intérêt pour le Rafale. Nous y travaillons. Signer d'autres contrats en 2015? Oui, c'est possible", avait-il déjà déclaré début mai au "Figaro" dans une interview.

 

L'Inde ne va pas s'arrêter à 36 Rafale, selon le PDG de Dassault

Déjà faudrait-il qu'il signe un contrat avec New Delhi d'ici à la fin de l'année... En Inde (36 Rafale), la commande pourrait être signée à la fin de l'été. Il resterait deux à trois mois de négociations mais certains observateurs misent plus surement pour début 2016. En tout état de cause, les négociations sur l'achat par l'Inde de 36 avions de combat Rafale seront probablement suivies de discussions sur un deuxième contrat, a assuré Eric Trappier. "On verra la deuxième étape quand ces 36 seront signés, comment on abordera la suite des événements", a-t-il expliqué en marge de la présentation du nouvel avion d'affaires Falcon 5X aux clients et prospects, à Mérignac (Gironde).

« Je ne suis pas déçu de passer de 126 à 36, mais plutôt content de passer de 18 à 36 fabriqués en France », a-t-il assuré.

"Les besoins de l'armée de l'air indienne, on le sait, dépassent, et de loin, le nombre des 36", a expliqué le PDG de Dassault Aviation, répondant à des propos prêtés au ministre indien de la Défense, selon lesquels New Delhi n'a pas l'intention d'acheter plus que 36 Rafale en raison du coût jugé élevé de ces appareils. Le ministre indien, Manohar Parrikar, est "en pleines négociations", a commenté Eric Trappier. Il a précisé que la suite des discussions, qu'il espère voir déboucher rapidement, devrait comprendre une fabrication en partie en Inde, cette fois avec un choix des sous-traitants par Dassault.

 

Des besoins immenses

Dassault discute avec l'Inde depuis début avril d'un contrat portant sur 36 Rafale construits en France, qui remplace une commande de 126 Rafale, qui était en négociations depuis janvier 2012 et qui a achoppé sur des divergences concernant les garanties des appareils (108) qui devaient être construits en Inde. Un contrat qui illustrait parfaitement la stratégie de New Delhi d'indianiser son industrie de défense avec le slogan "Make In India" le thème majeur" de la dernière édition du salon Aero India, qui s'est tenue en février.

New Delhi doit remplacer une partie de sa flotte d'avions de combat, aujourd'hui obsolète, notamment ses vieux Mig 21, un avion à la fois rudimentaire et performant mais qui date de la guerre froide (le plus produit au monde 11.000). Les premiers MiG-21 sont entrés en service dans l'armée de l'air indienne en mars 1963. Puis, ils ont été fabriqués en Inde sous licence entre 1977 et 1984 et 125 d'entre eux ont été modernisés en 2000. Entre 2003 et 2013, l'armée de l'air indienne (Indian Air Force), quatrième puissance aérienne mondiale, a perdu 38 MiG-21. C'est en grande partie pour cela que l'Inde a lancé en 2009 un appel d'offre baptisé MMRCA (126 avions de combat + une tranche optionnelle de 64 à 74 avions) pour renouveler une partie de sa flotte de combat.

Pour protéger ce pays immense, New Delhi doit donc renforcer ses systèmes de défense face à son vieil ennemi de toujours, le Pakistan, et surtout face à la montée en puissance militaire de la Chine, considérée comme une menace à moyen-long terme (notamment à la frontière nord où les Chinois les avait déjà attaqués en 1960).

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 11:50
photo Dassault Aviation

photo Dassault Aviation


03.06.2015 par Aerobuzz.fr

 

Pour Eric Trappier, PDG de Dassault, la décision de l’Inde de commander 36 Rafale au lieu de 126 n’est pas un lot de consolation.
 

« 36 Rafale fabriqués en France, cela me va ! Si ce contrat peut se signer vite, ce sera très satisfaisant  », a déclaré Eric Trappier, en marge du roll out du Falcon 5X, le 2 juin 2015 à Mérignac. Le PDG de Dassault Aviation commentait les propos tenus le week-end dernier par le ministre de la Défense indien. Celui affirmait que l’Inde renonce au contrat initial de 126 Rafale dont 108 auraient été assemblés en Inde.

Pour Trappier, cette annonce qui devrait garantir 36 appareils fabriqués en France, contre 18 initialement, ne ferme pas nécessairement la porte à un deuxième contrat complémentaire. Le PDG de Dassault explique que l’Inde a voulu répondre à un besoin urgent de renouvellement de son parc d’avions de combat. Face à cette nécessité, le premier ministre indien a fait passer au second plan le programme « make in India ».

Eric Trappier espère que l’Inde officialisera sa commande de 36 Rafale dans les deux à trois mois à venir, même si il sait que c’est l’administration indienne qui impose son calendrier. Par ailleurs, il se veut confiant en affirmant que ce premier contrat aura une suite pour répondre aux besoins de renouvellement du parc obsolète d’avions de chasse. Elle devrait offrir au constructeur français une plus grande marge de manœuvre en ce qui concerne le choix de ses sous-traitants. Encore faudra-t-il que l’Inde opte pour le Rafale et pas pour un de ses concurrents européen ou américains comme le laissait entendre le ministre indien de la Défense.

Les commandes de l’Egypte, du Qatar et prochainement celle de l’Inde, gonfle la conviction du PDG de Dassault qui n’hésite pas à déclarer qu’il « ne va pas s’arrêter à trois contrats Rafale  ». Il se dit confiant pour un quatrième avant la fin de l’année. Il dit aussi vouloir garder les pieds sur Terre et rappelle que les deux premiers contrats n’auront pas d’incidence à court terme sur le chiffre d’affaires du groupe puisqu’il se substituent aux livraisons françaises.

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1 juin 2015 1 01 /06 /juin /2015 16:35
Rafale MMRCA photo Livefist

Rafale MMRCA photo Livefist

 

01 juin 2015 Par Julien Bonnet - Usinenouvelle.com

 

Le ministre indien de la Défense a indiqué ce dimanche 31 mai que l'Inde n'achètera pas de Rafale supplémentaires, l'avion de Dassault Aviation étant "beaucoup trop cher". Des déclarations qui éloignent l'hypothèse d'une acquistion par l'armée indienne d'un total de 126 Rafale évoquée depuis 2012.

Après l'achat de 36 Rafale signé lors de la visite du premier ministre indien Narendra Modi mi-avri en France, un contrat estimé à plus de 5 milliards d'euros, l'Inde ne devrait finalement pas "craquer" pour de nouveaux exemplaires de l'avion de chasse de Dasault Aviation.

"Nous n'en achèterons pas d'autres, (...) seulement les 36", a indiqué ce dimanche 31 mai le ministre indien de la Défense, Manohar Parrikar, à l'agence de presse indienne PRI, jugeant l'avion de chasse français "beaucoup trop cher". Les précédents projets gouvernementaux indiens d'acquérir 126 Rafale de la firme Dassault se sont révélés "économiquement non viables, et pas nécessaires" pour ce pays, a-t-il ajouté.

Pour illustrer son propos, le ministre joue la carte de la métaphore automobile : "j'aimerais moi aussi avoir une BMW et une Mercedes, mais je ne les ai pas. Premièrement je ne peux pas me le permettre, et deuxièmement je n'en ai pas besoin", a-t-il déclaré. Concernant l'achat des 36 Rafale, Manohar Parrikar a indiqué qu'un comité franco-indien chargé de définir les détails de ce contrat devrait achever son travail d'ici deux ou trois mois.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 16:35
Ex. Garuda - photo IAF

Ex. Garuda - photo IAF

 

27 mai 2015 Info-Aviation

 

Le ministre de la défense de l’Inde a confirmé que son pays limitera sa commande à 36 Rafale pour financer la production nationale du Tejas LCA.

 

Cette déclaration de Manohar Parrikar, ministre de la défense, met un terme à l’appel d’offres MMRCA et marque l’engagement du gouvernement indien dans son programme d’avion de combat local Tejas LCA (Light Combat Aircraft).

L’appel d’offres MMRCA visait initialement l’acqusition de 126 avions de combat. Mais Delhi a finalement réduit sa commande à 36 Rafale afin d’investir dans la production de son avion national Tejas.

« En achetant 36 Rafale au lieu de 126, j’ai sauvé le coût de 90 Rafale », a déclaré M. Parrikar, précisant que ce montant était d’environ 15.51 milliards de dollars. « Nous allons affecter cet argent à l’achat de Tejas LCA dont le coût unitaire est d’environ 1.5 milliards de roupie indienne (23 millions de dollars) », a t-il ajouté.

Le Tejas LCA va remplacer 10 à 12 escadrons de MiG-21 et de MiG-27 mis à la retraite à partir de 2022, a t-il confirmé.

Le Tejas est un chasseur supersonique monoplace et monoréacteur de quatrième génération. Il est doté d’un radar multimode à effet  Doppler, disposant des modes air-air, air-sol, air-mer. L’appareil dispose également d’un pod FLIR et d’un désignateur laser.

Le ministre indien a néanmoins refusé de révéler le coût d’achat des 36 Rafale, qui avait été annoncé par le Premier ministre Narendra Modi le 10 avril à Paris, et qui est actuellement en négociation. M. Parrikar a toutefois confirmé que le contrat comporte une obligation de compensation de 50%.

Le Ministère indien de la Défense était en négociation avec Dassault depuis 2012 pour l’acquisition de126 Rafale au profit de l’Indian Air Force (IAF).

Parmi ceux-ci, 18 devaient être achetés sur étagère et 108 construits sous licence en Inde par Hindustan Aeronautics Ltd à Bangalore.

 

Les déboires du Su-30

Une enquête préliminaire a révélé que des problèmes de moteur pourrait expliquer le crash d’un chasseur Su-30MKI de l’IAF dans l’Etat d’Assam, le 19 mai 2015, selon des sources officielles. Le crash était le sixième accident impliquant un Su-30. L’avion est entré en service dans l’IAF en 1997.

Un tribunal d’enquête sur l’accident est en cours. L’avion s’était écrasé lors d’une mission de routine. Des « problèmes techniques » sont apparus peu après le décollage de la base Salonibari de Tezpur. Les deux pilotes se sont éjectés en toute sécurité.

En mars 2015, Parrikar a déclaré au Parlement que la flotte de Su-30 était en proie à « une panne de moteur en vol » et que l’IAF avaient répertorié 35 anomalies liées au moteur russe Saturn AL-31FP Powerpack.

Cependant, les responsables de Sukhoï nient ces problèmes et attribuent les six accidents de Su-30 à une « erreur humaine », chose que conteste vivement l’IAF.

L’IAF a opéré entre 200 et 272 chasseurs Su-30 acquis pour plus de 12 milliards de dollars.

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19 mai 2015 2 19 /05 /mai /2015 17:35
Airbus et Tata fourniront 56 avions militaires à l'Inde

Le deal Le gouvernement de Narendra Modi tente de moderniser l'ensemble de ses équipements de défense de l'Inde, notamment pour être en mesure de réagir aux initiatives de ses voisins et rivaux, le Pakistan et la Chine. photo Airbus DS

 

14/05/2015 latribune.fr 

 

L'avionneur européen et le groupe indien viennent de décrocher un contrat avec New Dehli de la valeur de 1,6 milliard d'euros. Le comité chargé de négocier la commande de 36 Rafale a également été installé.

 

Le conseil d'acquisition du ministère indien de la Défense, organisme chargé d'approuver les contrats les plus importants, a donné son feu vert. L'offre conjointe du géant européen Airbus Defence and Space et du groupe indien Tata Advanced Systems pour fournir à l'Inde 56 avions de transport militaire a été approuvée, a indiqué jeudi 14 mai à l'AFP un haut responsable indien sous couvert d'anonymat.

Le contrat est estimé à 119,30 milliards de roupies, à savoir 1,64 milliards d'euros. Le contrat a été approuvé tard mercredi soir avec d'autres commandes d'un montant d'environ 766 millions d'euros, a précisé le responsable du ministère.

 

Des modèles vieillissants remplacés

L'offre d'Airbus et Tata était la seule en course. Le projet prévoit qu'Airbus livrera les 16 premiers appareils "prêts à voler" tandis que les 40 autres seront assemblés dans la ville d'Hyderabad (sud) par Tata, ce qui permettrait un transfert de technologie.

Les appareils, des C295, sont destinés à remplacer des modèles vieillissants. L'Inde tente en effet de moderniser l'ensemble de ses équipements de défense, notamment pour être en mesure de réagir aux initiatives de ses voisins et rivaux, le Pakistan et la Chine.

 

La fabrication sur place encouragée

Depuis son arrivée au pouvoir il y a un an, le gouvernement de Narendra Modi a donné son feu vert à une série de projets bloqués sous le précédent gouvernement, en partie en raison de soupçons de corruption. Modi, un fervent nationaliste hindou, veut que l'Inde perde sa place de premier importateur mondial d'armement conventionnel et souhaite fabriquer sur son sol 70% de ses équipements militaires d'ici la fin de la décennie.

Son gouvernement a relevé à 49% la participation que peut prendre un groupe étranger dans un groupe indien de défense.

 

D'autres commandes pour un montant de 766 millions d'euros

Les autres commandes approuvées mercredi soir portent sur 145 mortiers ultra-légers de BAE Systems, des missiles de croisières indo-russes BrahMos et 197 hélicoptères russes Kamov, selon le responsable indien.

Le conseil, présidé par le ministre de la Défense, Manohar Parrikar, a aussi installé le comité chargé de négocier le détail des 36 Rafale de Dassault que l'Inde a prévu de commander. Cette commande a été annoncée par Narendra Modi lors de sa visite en France mi-avril, une décision qui a mis fin aux négociations entamées en 2012 pour l'achat de 126 Rafale, dont 108 fabriqués en Inde.

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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 16:55
Rafale : Dassault se dit capable de doubler sa production avec un investissement quasi nul

Pressé de dire si une augmentation de cadence pour le Rafale nécessiterait des investissements industriels, le PDG de Dassault Aviation a estimé que ces investissements seraient "très légers".

 

13/05/2015 latribune.fr 

 

Le groupe augmentera les cadences s'il obtient un troisième contrat cette année avec l'Inde, explique Eric Trappier, le Pdg de l'avionneur. Le groupe doit finaliser avec ce pays la vente de 36 appareils, après les deux premiers et tout récents contrats signés au Qatar et en Egypte.

"Il y a toujours une chaîne de production, mais on augmentera les cadences si jamais on a un troisième contrat [à l'export, Ndlr]."

Ainsi, Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation a assuré que son groupe avait la capacité de doubler sa production "sans problème", en marge de l'assemblée générale de Thales (dont il est co-actionnaire).

 

Des investissements "très légers"

"Pour l'instant on a les deux premiers contrats (24 commandés par l'Egypte et 24 également pour le Qatar) qui s'inscrivent dans la chaîne de fabrication du Rafale telle qu'elle est aujourd'hui parce que la France substitue les avions français par les avions d'export", a-t-il ajouté.

"Les Indiens ont dit qu'ils étaient pressés d'acheter le Rafale et que, dans une structure accélérée de gouvernement à gouvernement, de gré a gré, ils en prennent déjà 36. Après on verra", a dit Eric Trappier, sans indiquer quand une signature pourrait avoir lieu.

Pressé de dire si une augmentation des cadences pour le Rafale nécessiterait des investissements industriels, le Pdg de Dassault Aviation a estimé que ces investissements seraient "très légers".

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 08:35
photo EMA / Marine Nationale

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04/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 28 avril au 2 mai 2015, le groupe aéronaval composé du porte-avions Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne Chevalier Paul, de la frégate anti sous-marine Jean de Vienne et du pétrolier ravitailleur Meuse, a conduit la 14e édition de l’exercice Varuna au large de la côte ouest de l’Inde avec le groupe aéronaval indien, constitué autour du porte-avions Viraat. C’était la 5ème fois que la Task Force 473 participait à cet exercice depuis 2001, la dernière datant de 2011, lors de la mission Agapanthe.

 

Après une phase de préparation de l’exercice, à quai à Mormugao, dans l’Etat indien de Goa, les deux groupes aéronavals comptant au total dix bâtiments de combat se sont ainsi retrouvés au large pour s’entraîner dans les différents domaines de lutte aéromaritime, afin d’améliorer leur interopérabilité. Les Rafale Marine et Super Etendards Modernisés français avec, et parfois contre, les Sea Harrier indiens se sont entrainés à l’attaque de cibles maritimes et au combat aérien tandis que les frégates d’escorte des deux pays s’exerçaient aux ravitaillements à la mer ou au tir. De nombreux exercices de lutte contre la menace sous-marine, qui tend à devenir la menace prioritaire en eaux libres en océan Indien, ont également été menés, mettant notamment en scène les avions de patrouille indiens Poséidon P-8I et le sous-marin de type Shishumar.

 

L’exercice s’est finalement conclu le 2 mai 2015 par une visite d’autorités françaises et indiennes suivi d’un débriefing des commandants des deux forces sur les porte-avions Charles de Gaulle et Viraat. A cette occasion, le chef de l’exécutif de l’État de Goa, l’ambassadeur de France en Inde, l’amiral commandant en chef de la flotte de l’ouest indienne ainsi que le contre-amiral Antoine Beaussant, commandant la zone maritime de l’océan Indien, ont été accueillis en mer. Au total, 17 exercices maritimes et 120 sorties aériennes ont été réalisés pendant cette période.

 

Cet exercice marque les progrès importants réalisés dans la coopération maritime franco-indienne. La mise en place de systèmes bilatéraux de communication protégée a permis aux deux forces d’atteindre un niveau de coordination inégalé jusqu’à présent, permettant d’accroître la réactivité globale et la coordination des unités pendant la phase tactique.

Symbole fort du partenariat stratégique signé avec l’Inde en 1998, cet exercice  a également permis de renforcer la connaissance mutuelle et d’établir des liens étroits d’amitié avec une marine indienne en plein développement. Ce sont ces liens et cette interopérabilité qui permettent aux deux marines d’être d’ores et déjà capables d’opérer ensemble au service de la sécurité maritime en océan Indien.

 

Le groupe aéronaval a quitté Toulon depuis presque quatre mois et vient d’achever huit semaines d’opérations dans le golfe arabo-persique au sein de la coalition internationale luttant contre le groupe terroriste Daech en Irak. Il se dirige désormais vers le golfe d’Aden pour continuer sa mission de pré-positionnement stratégique baptisée Arromanches.

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photo EMA / Marine Nationale

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3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 11:55
photo Livefist

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03 mai 2015 Par Thibaut De Jaegher - Usinenouvelle.com

 

La passe de trois ! Dassault a réussi à convaincre trois pays de lui acheter son avion de combat, le Rafale. Une percée innatendue voire inespérée qui ne doit rien au hasard.

 

Au football, on appelle cela le "hat-trick"  ou le coup du chapeau en bon français. Marquer trois buts coup sur coup dans un même match, c'est suffisamment rare dans la carrière d'un footballeur pour être souligné et célébré dignement. Toute proportion gardée, cette prouesse technique vient d'être réalisée par l'avion de chasse de Dassault Aviation. Le Rafale, produit depuis 2001 et jamais vendu à l'export, a réussi à séduire trois clients en l'espace de deux mois. L'Egypte puis l'Inde et enfin le Qatar, ce jeudi 30 avril, ont signé pour acquérir 80 exemplaires de cet aéronef.

 

La question que tout le monde se pose désormais, c'est : "pourquoi ?". Pourquoi l'avion de chasse made in France réussit aujourd'hui à séduire autant de clients après des années de disette ? Qu'est-ce qui fait que ce produit est devenu désirable aux yeux de nombreux prospects alors que le Rafale s'était plutôt illustré jusque-là comme le grande perdant des appels d'offres des avions de combat ? Plusieurs raisons explique ce revirement.

 

1. Des pays en ont (vraiment) besoin. Les trois pays, qui ont acquis l'avion de Dassault, doivent faire face à des menaces proches et avérées. L'Egypte doit composer avec son voisin lybien contrôlé en partie par Daesh. La situtation en Inde reste à couteau tiré avec le Pakistan. Et le Qatar a besoin de ces avions si l'émirat veut s'imposer comme une puissance qui compte dans le Golfe. Comme le souligne Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères dans l'entretien accordé à L'Usine Nouvelle, "n'achètent cet avion que les pays qui en ont un réel besoin compte tenu de leur voisinage et de la réalité stratégique. Pour certains prospects dont on a pu parler dans le passé, le Rafale ne correspondait sans doute pas tout à fait aux attentes des pays concernés." Ce n'est pas le cas désormais.

 

2. Le Rafale a prouvé sa performance. La guerre, menée au Mali par la France contre les terroristes, a permis de démontrer la polyvalence et l'efficacité de l'avion de chasse de Dassault Aviation. C'était finalement l'une des premières fois que le chasseur made in France se trouvait engagé seul sur un théâtre d'opération. L'offensive éclair de la France a donc prouvé sa capacité à affronter des menaces très variées tout en assurant des missions d'observation.

 

3. La France a joué collectif. Comme au football, on ne réussit pas à vendre de tel produit à l'export sans jouer groupé. Si un des membres du collectif joue "perso" (comme ce fut le cas lors de grands contrats nucléaires par exemple), il n'y a aucune chance de vendre. Laurent Fabius l'a souligné : "c'est une victoire de l'équipe de France de l'export". Comprendre : de l'industriel, du ministère de la Défense et de la diplomatie française qu'il dirige.

 

4. La politique étrangère de la France est appréciée... en regard de ce que font les Américains. Le froid actuel dans les relations diplomatiques entre les Etats-Unis et les pays du Golfe a clairement ouvert une fenêtre d'opportunité pour l'avion français. Couplé à l'omniprésence de Jean-Yves Le Drian, qui a multiplié les voyages dans les pays potentielllement acheteurs, cette évolution géopolitique a permis au Rafale de s'imposer.

 

5. La France a (vraiment) besoin de le vendre. Une dernière raison pourrait aussi expliquer le fait que le Rafale se vende mieux : l'Etat français ne peut plus à lui seul assurer les cadences de production et la viabilité du programme Rafale. Cette pression, notamment liée aux efforts de réduction des coûts inscrites dans la loi de programmation militaire, a sans aucun doute poussé tous les acteurs du dossier à tout faire pour trouver des solutions permettant de vendre enfin l'avion de combat hors de nos frontières. Que ce soit sur le volet financier ou le volet des transferts de technologie, chacun a été plus enclin à faire des concessions pour permettre au Rafale de voler au-delà de l'Hexagone. Avec succès.

 

Lire Rafale à l'export : et 1, et 2, et 3 contrats !

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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 11:55
photo Dassault Aviation

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le 14-04-2015 Par Jean-Gabriel Fredet – Challenges.fr

 

Entendu, le Rafale est le meilleur avion de combat du monde. Mais les contradictions de la diplomatie américaine lui ont paradoxalement ouvert le grand marché de l’exportation. En Egypte, puis en Inde... avant les Emirats?

 

Lire l’article

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 16:35
photo Dassault Aviation

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10 avril 2015 Romandie.com (AFP)

 

Vallon-Pont-d'Arc (France) - Le président François Hollande a dit vendredi espérer avancer sur une vente de l'avion de combat français Rafale à l'Inde, lors de sa rencontre dans l'après-midi à Paris avec le Premier ministre Narendra Modi, même s'il y aura d'autres rencontres.

 

Je souhaite, mais il n'y a pas non plus de date limite, que nous puissions avancer au cours de la visite du Premier ministre Modi, mais il y aura d'autres rencontres et nous verrons bien comment nous pouvons finaliser ce possible contrat, a déclaré le président français, interrogé par l'AFP lors d'un déplacement dans le sud de la France.

 

Selon lui, beaucoup de discussions ont été engagées depuis déjà plusieurs semaines alors que Français et Indiens réfléchissent depuis longtemps à ce qu'(ils peuvent) faire ensemble pour l'avion Rafale.

 

Je pense que sur ces affaires-là, il vaut mieux dire la chose quand elle est conclue plutôt que de faire des annonces qui pourraient être contraires à l'intérêt de notre pays et en tout cas, contraires à l'intérêt de l'Inde, a souligné M. Hollande.

 

Le gouvernement indien est en négociations exclusives avec Dassault depuis janvier 2012 pour l'achat de 126 Rafale, dont 108 fabriqués en Inde, pour un montant alors estimé à 20 milliards de dollars.

 

Mais le gouvernement de Narendra Modi, arrivé au pouvoir en mai, a soufflé le chaud et le froid sur l'avancée de ces discussions complexes.

 

Dassault a décroché en février son premier contrat pour le Rafale, pourtant entré en service en 2004 dans les forces armées françaises, avec la vente de 24 avions de combat à l'Egypte.

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 07:35
photo ISRO

photo ISRO

 

Mar 31, 2015(Sputnik)

 

New Delhi - The IRNSS-1D navigation satellite was launched from the Satish Dhawan Space Centre at the Sriharikota Island in the southern part of the country.

 

Indian President Pranab Mukherjee congratulated the Indian Space Research Organisation (ISRO) with the successful launch of the satellite.

 

"I understand the IRNSS-1D will provide navigation, tracking and mapping services which will take us closer to setting up our own navigation system," Mukherjee said in a message to the chairman of the ISRO.

 

The launch was originally scheduled for March 9 but was delayed due to the anomaly found in the telemetry transmitter.

 

According to the ISRO website, the launched satellite will help in the development of India's navigation system, which is designed to cover South Asia and will consist of the total of seven satellites.

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 19:35
Les deux premiers Mirage 2000 indiens modernisés ont été livrés à New Delhi - photo Shiv Aroor

Les deux premiers Mirage 2000 indiens modernisés ont été livrés à New Delhi - photo Shiv Aroor

 

27/03/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Grâce au programme de modernisation des Mirage 2000 indiens, Dassault Aviation et ses partenaires démontrent à New Delhi qu'ils transfèrent la technologie à l'industrie aéronautique indienne.


 

Pour Dassault Aviation et ses partenaires Thales et Safran, la livraison mercredi à Istres - en présence de l'ambassadeur indien en France, Arun K. Singh -, de deux Mirage 2000 modernisés au standard I/TI (ex-Mirage 2000 A/C 1 et 2) à l'Inde dans les délais, ne peut qu'être bénéfique pour la conclusion du contrat Rafale avec New Delhi. En tout cas, si cette opération n'est pas décisive pour faire gagner le Rafale en Inde, elle ne pourra pas non plus nuire à cette vente tant la bonne coopération entre les industriels français et le groupe indien de référence dans le domaine de l'aéronautique Hindustan Aeronautics Limited (HAL) sur la modernisation des 51 Mirage 2000H, a permis à ce programme de se dérouler dans les délais prévus.

 

Un programme de modernisation mené à bien

Évidemment, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, avait tout cela en tête lors de la cérémonie de remise des deux appareils à l'armée de l'air indienne. "Le Rafale est le pas suivant logique", a-t-il expliqué dans son discours. Et de préciser que moins de quatre ans après la signature du contrat en juillet 2011 après plus de dix ans de discussions (1,4 milliard d'euros hors armement, dont 1 milliard pour Thales), l'armée de l'air indienne (IAF) a accepté les deux Mirage 2000 modernisés, qui étaient arrivés à Istres en décembre 2011.

Le Mirage 2000 biplace modernisé a volé comme prévu le 5 octobre 2013 et le monoplace fin 2013 au terme d'une période de deux ans consacrée au développement du kit équipements de Thales, comprenant le radar, des systèmes de guerre électronique et le calculateur de mission. Technologiquement ambitieuse car basée sur l'intégration d'équipements et systèmes de dernière génération, la première phase du programme a été conduite avec succès en France, conformément au calendrier initialement défini.

Bref, Dassault Aviation et ses partenaires ont mené jusqu'ici à bien ce "programme ambitieux" et ont démontré qu'ils avaient rempli l'ensemble de leurs engagements, y compris en termes de calendrier, et sans dérapage de coûts. Pour Eric Trappier, "répondre aux demandes des clients en termes de calendrier et de performance est un grand succès".

Le Mirage 2000, Un bon exemple du "Make in India"

Ce programme de modernisation permet également de répondre à la volonté de New Delhi d'obtenir des  transferts de technologies au profit de son industrie aéronautique indienne. Le Premier ministre indien Narendra Modi promeut depuis plusieurs mois sur tous les tons la stratégie du "Make in India" (fabriqué en Inde, ndlr), son leitmotiv sur le plan économique avec ses partenaires étrangers. Même s'il ne joue pas toujours le jeu. Le contrat prévoit que la modernisation des appareils suivants les deux premiers sera effectuée à Bangalore, en Inde, sous la responsabilité de HAL, le partenaire indien de Dassault Aviation dans le cadre du contrat Rafale également. Une opération qui est sous la responsabilité de HAL.

"Partenaires privilégiés des forces armées indiennes, nous avons développé une solide supply chain qui a largement contribué à assurer la réussite du programme de modernisation du Mirage 2000. Et nous sommes bien sûr prêts à poursuivre et renforcer ce travail d'équipe", a expliqué pour sa part le directeur général adjoint systèmes de mission de défense de Thales, Pierre-Eric Pommellet, qui a estimé que le Team Rafale (Dassault Aviation, Thales et Safran) a "déjà une infrastructure sur place". Ce qui a permis à Dassault Aviation et à ses partenaires de renforcer des partenariats et de découvrir de nouvelles sociétés privées en Inde, qui "montent en puissance", selon Eric Trappier. Notamment Axis, Avio, Centum, Rangsons, Samtel...

Un programme qui servira au Rafale

Bien que largement moins complexe que le contrat Rafale, le programme de modernisation des Mirage 2000H indien permet de démontrer aux autorités indiennes que le système mis en place par Dassault Aviation et ses partenaires fonctionne bien et répond à leurs attentes. Le contrat Rafale prévoit la fabrication de 18 appareils en France puis de 108 avions sous licence sur place, et implique des transferts de technologie en Inde. Pour les industriels, cela signifiait l'identification de partenaires indiens pour établir la chaine d'approvisionnement, ce qui a été précisément fait avec le contrat Mirage 2000.

"Nous savons transférer des savoir-faire en Inde, a fait valoir Eric Trappier lors d'une conférence de presse. Et le programme de modernisation est une belle preuve d'un transfert de technologies réussi". Concrètement, a précisé Pierre-Eric Pommellet, "un grand nombre de sous-ensemble sont fabriqué en Inde". Et d'ajouter que Dassault Aviation, Thales et Safran avait "permis à la supply chain française de se projeter en Inde afin de découvrir des partenaires indiens et de créer des entreprises communes". Ce qui est le cas pour un certain nombre d'entre elles.

Des équipes de Dassault Aviation et de Thales sont en Inde depuis mai 2014 pour aider HAL à moderniser les troisième et quatrième Mirage 2000 à Bangalore, qui devraient être livrés à l'IAF dans le courant du second semestre 2015, selon Dassault Aviation. HAL devra toutefois être "à terme autonome", a rappelé le PDG de l'avionneur. "Capable de recevoir ces technologies", selon lui, Le groupe public indien connait déjà bien le Mirage 2000, il effectue le support des appareils de l'IAF et a déjà réalisé une grande visite du Mirage 2000, a rappelé Eric Trappier. "L'Inde progresse", a-t-il fait observer.

Dans ce contexte, le contrat de modernisation du Mirage 2000 "pave le chemin pour un défi bien plus grand, le programme Rafale en Inde". La vente du Rafale sera l'occasion d'élargir encore un peu plus le réseau de partenaires indiens pour mener à bien le programme. Toute la supply chain a d'ailleurs en poche des protocoles d'accord pour la création d'entreprises communes en vue de transférer les licences et les technologies du Rafale si New Delhi signe enfin le contrat.

 

Et le Rafale?

Eric Trappier s'est réjouit que le Rafale réponde aux demandes de l'aviation militaire indienne et que les difficultés autour de la responsabilité industrielle des appareils fabriqués en Inde étaient réglés. "Vous pouvez imaginer ma satisfaction d'entendre de la part du chef d'état-major de l'armée de l'air indienne qu'il veut un avion éprouvé au combat, le Rafale", a-t-il expliqué. "Et de la part du patron de HAL que nous avions un accord sur le partage des responsabilités". Il a rappelé que Dassault Aviation avait accepté qu'un seul contrat couvre l'ensemble des aspects afin d'apporter les garanties nécessaires aux yeux du ministère indien de la Défense.

Le contrat est à présent "finalisé à 95%", a-t-il précisé, en indiquant que le travail actuel avec le ministère indien consiste à passer en revue l'ensemble des milliers de pages du contrat. "Je voudrais que l'on puisse aller vite (mais) c'est un énorme contrat. Comme je l'ai déjà dit, je préfère que nous prenions du temps maintenant (...) plutôt que d'avoir des problèmes plus tard", a-t-il expliqué. Dassault Aviation est en négociation exclusive avec New Delhi depuis janvier 2012 avec l'Inde pour la vente des 126 Rafale

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27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 12:35
Dornier maritime surveillance aircraft

Dornier maritime surveillance aircraft

 

25 March 2015 dnaindia.com (PTI)

 

MUMBAI, — An Indian Navy surveillance aircraft crashed south-west off Goa coast with two officers missing while one has been rescued.

 

The Dornier maritime surveillance aircraft, which was on a routine training sortie, crashed about 25 nautical miles south-west off Goa coast last night. The Navy has ordered a Board of Inquiry into the crash.

 

A full-scale search and rescue operation involving nine ships and few aircraft was launched, the Navy said. "One survivor has been rescued. Search is on to locate two more officers -- a pilot and an observer," Navy spokesperson Captain D K Sharma said in New Delhi.

 

The rescued officer, Commander Nikhil Joshi, has been seriously injured in the crash but is stable, Sharma said. The Naval air station at Goa lost communication with the aircraft at 10.02 PM, a statement from Navy said. The aircraft is feared to have ditched soon thereafter, it said. Navy chief Admiral R K Dhowan has rushed to Goa to take stock of the situation.

 

Co pilot Sub Lt Nagori and observer Lt Kiran Shekhawat is still missing. Navy has deployed nine ships, helicopeters and planes off goa to look out for the missing officers. The aircraft was reportedly on a low level flying operation. The search and rescue operation is likely to continue for another 72 hours atleast. Crashed plane belonged to 310 Cobra sqn of Goa-based INS Hansa.  According to reports, first lot of debris have now been recovered by the naval ships. Search is on for finding other part of debris.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 20:35
photo Shiv Aroor - Livefist

photo Shiv Aroor - Livefist

 

25.03.2015 by Shiv Aroor - Livefist

Today, the acceptance ceremony of the first two Indian Air Force Mirage 2000 I/TI was held at Istres, Dassault Aviation’s Flight Test Centre.

 

Enjoy this great set of photos of the two upgraded birds, headed to India soon.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:35
L’Inde pourrait confier la construction de ses prochains sous-marins à des chantiers navals privés

 

24 mars 2015. Portail des Sous-Marins

 

Si le ministère indien de la défense suit les recommandations d’un comité d’experts, seuls des chantiers privés pourront participer à un appel d’offres pour construire 6 sous-marins classiques à propulsion anaérobie.

 

L’appel d’offres pour un montant de 10,9 milliards € sera envoyé aux chantiers Pipavav Defence and Offshore Engineering et Larsen & Toubro, indique une source du ministère.

 

Le comité de la marine indienne, dirigé par le vice-amiral A.V. Subhedar, contrôleur de l’achat et de la construction des navires, a aussi évalué les chantiers publics Hindustan Shipyard et Mazagon Docks. Il a présenté ses conclusions préliminaires au ministère ce mois-ci.

 

Le comité devrait remettre ses recommandations définitives le mois prochain. Les observations faites par les membres du comité ne peuvent être facilement ignorées par le ministère, explique la source, parce que la marine veut un calendrier précis et contraignant pour la livraison des sous-marins.

 

Les membres du comité ont expliqué que, même si les chantiers publics ont les capacités et l’expertise nécessaires pour la construction des sous-marins, ils ne devraient pas être retenus pour le prochain appel d’offres du “Projet 75”. Les chantiers publics ont déjà un carnet de commande plein et ils ne respectent pas les calendriers de livraison. Par exemple, la livraison des sous-marins Scorpène construits par Mazagon Docks a déjà plus de 4 ans de retard.

 

En comparaison, Pipavav et L&T ont les capacités et l’expertise nécessaires, et ils peuvent livrer rapidement, ont indiqué les membres du comité lors de leur présentation.

 

Bien que Pipavav Defence n’ait aucune expérience dans la construction de sous-marins, il a conclu des accords de technologie avec DCNS. De son côté, L&T a participé à la construction du sous-marin nucléaire Arihant.

 

Référence : Defense News (Etats-Unis)

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 21:35
Scorpene-class submarine. File photo

Scorpene-class submarine. File photo

 

24 mars 2015. Portail des Sous-Marins

 

C’est la première bonne nouvelle pour la force sous-marine indienne depuis très longtemps. Le premier des 6 sous-marins classiques Scorpène dont la construction se déroule au chantier Mazagon Docks Ltd de Mumbai dans le cadre d’un accord de transfert de technologie avec DCNS, a été mis à l’eau.

 

C’est une indication que la livraison des sous-marins, retardées de plus de 4 ans, est finalement en vue. La date de livraison du 1er Scorpène à la marine indienne est maintenant fixée à septembre 2016. Les 5 sous-marins suivants seront livrés au rythme d’un tous les 9 mois.

 

La mise à l’eau du sous-marin signifie qu’il est désormais à un stade avancé de finition. On parle encore du “lancement”, même si, étant construit dans une cale sèche et non plus sur un plan incliné, c’est la cale qui est inondée.

 

« La coque épaisse et la coque extérieure du 1er Scorpène sont terminées. L’installation des équipements intérieurs avance bien. Le sous-marin va maintenant être remorqué hors de la cale sèche de MDL vers la base navale. Cela va libérer une cale de construction à MDL, et nous aider à respecter les échéances pour les sous-marins suivants. Le travail restant à faire sur le 1er Scorpène, en particulier l’installation des batteries, sera effectué à la base navale, » a indiqué une source haut placée au sein de la marine indienne.

 

Lorsque l’installation des équipements sera terminée, le 1er Scorpène commencera ses essais à quai, puis il effectuera les essais à la mer, pendant lesquels il validera sa capacité à lancer des armes, avant d’être finalement admis au service actif.

 

Le Scorpène est l’un des sous-marins classiques les plus modernes et les plus discrets au monde. Il sera armé de missiles Exocet et de torpilles Black Shark.

 

Référence : Sunday Guardian (Inde)

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 12:35
C-130J  photo IAF

C-130J photo IAF

 

March 24, 2015 by Saurav Jha – Geek at large

 

Ever since the Ministry of Defence (MoD) issued its 2009 directive to prepare the military for a two front war, there has been a heightened sense of urgency in acquiring transport platforms that can move men and materiel over considerable distances at short notice. Prior to this, the 2004 Indian Ocean Tsunami had also brought to light the need to bring in longer ranged airborne platforms that can sustain humanitarian support across the Indian Ocean Region (IOR).

 

Accordingly, the Indian Air force (IAF) is recapitalizing its entire transport fleet with a view to becoming more potent in out of area operations besides being able to support the Indian Army's (IA's) ever growing logistical requirements.

 

While in the short term, quick buys of American platforms through the foreign military sales (FMS) route such as Boeing's C-17 Globemaster III and Lockheed Martin's C-130Js have been effected, it is clear that the IAF's requirements need to be actually used to spur the progressive indigenization of its transport aircraft pool. Moreover the IAF's transport aircraft needs could well be used to seed a second domestic original equipment maker (OEM) besides HAL from within India's private sector.

 

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 12:35
Scorpene photo DCNS

Scorpene photo DCNS

 

NEW DELHI, March 23 By Richard Tomkins  (UPI)

 

A French-designed submarine being built in India is afloat as it enters advanced construction.

 

The first of six Scorpene attack submarines being built in India by Mazagon Docks Ltd has taken to water as it enters an advanced stage of completion.

 

The Sunday Guardian reported the vessel is now on schedule to be delivered to the Indian Navy in September of next year, with the remainder of Scorpenes being handed over at nine-month intervals.

 

"Both the pressure and the outer hull of the first Scorpene are in place," an unidentified Indian Navy source told the newspaper. "Much of the internal fit is also progressing well.

 

"The submarine will now be placed on a pontoon, and tugged out of MDL docks to the nearby Indian Navy Dock. This will free one precious submarine-building dock at MDL, and thus help in meeting deadlines for subsequent Scorpenes."

 

The Scorpene is a French-designed submarine from DCNS, which is transferring technology to Mazagon Docks Ltd under an agreement with Indian authorities.

 

Delivery of the first Scorpene to the Indian Navy is scheduled for September 2016. Thereafter, the delivery of the subsequent five has been promised at the rate of one every nine months.

 

The Indian Navy plans to arm the diesel-powered submarines with Exocet missiles and Black Shark torpedoes.

 

The newspaper described the construction of the submarines as a "desperately needed relief for the Indian Navy, which has lost five submarines in the last 15 years due to decommissioning or phase-out and accident, but not added a single new conventional submarine.

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