Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 16:50
photo MIL.be

photo MIL.be

 

7/09/15 – 7sur7.be (Belga)

 

Aucun des 54 chasseurs-bombardiers F-16 en service en Belgique n'a encore atteint le seuil des 6.000 heures de vol, alors que la durée de vie maximale fixée par le constructeur, le groupe américain Lockheed Martin, est de 8.000 heures, a indiqué le ministre de la Défense, Steven Vandeput, en réponse à une question parlementaire.

L'appareil ayant accumulé le plus d'heures de vol était, au 31 mai dernier, le FA-94, un monoplace livré le 31 janvier 1985 et faisant partie de la commande initiale passée en 1975 pour 116 avions (96 F-16A monoplaces et 20 F-16B biplaces). Il comptait 5.811 heures de vol et était en service au 10e wing tactique de Kleine-Brogel (Limbourg), a précisé M. Vandeput (N-VA) en réponse à une question écrite du député Sébastian Pirlot (PS).
 

Sute de l'article

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 16:50
photo BMZ

photo BMZ

 

03 septembre 2015 par  Philippe Corvisier - electroniques.biz

 

Spécialiste de la conception de packs d'accumulateurs spécifiques, conformes aux cahiers des charges de ses clients, BMZ a ouvert cette année une filiale en France.

 

Spécialiste de la batterie lithium-ion sur-mesure depuis plus de 20 ans, l'allemand BMZ (Batterien-Montage-Zentrum) a ouvert une filiale en France. Créée en 1994, suite à la reprise de l'activité "pack maker" de Saft GmbH, BMZ adresse aujourd'hui trois marchés principaux : les vélos à assistance électrique (40%), l'électroportatif (30%) et le secteur médical (10%). Pour le reste, la société est présente dans les secteurs de la défense, de l'industrie, de l'électroménager, de l'automobile et de l'aérospatiale.

 

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 15:55
Maquette motorisée de l’A400M dans la grande soufflerie S1MA de l’Onera photo Onera Airbus

Maquette motorisée de l’A400M dans la grande soufflerie S1MA de l’Onera photo Onera Airbus

 

08/09/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Dans un rapport au vitriol, la Cour des comptes critique la gestion, la gouvernance ainsi que le manque d'implication de l'ONERA dans le domaine de l'aéronautique civile. Mais son nouveau patron Bruno Sainjon est en train de remettre en tension le centre de recherche de l'aérospatial français.

Trop tard ou trop tôt. Le rapport de la Cour des Comptes sur l'ONERA, qui couvre la période 2008-2013, tombe plutôt à plat... Car depuis l'arrivée le 30 mai 2014 du nouveau PDG, Bruno Sainjon, cet organisme public de recherches est en train de se réveiller et de retrouver un réel dynamisme. Pour autant, ce rapport n'est pas non plus inutile. Notamment il montre l'incapacité de l'État à valoriser un bijou technologique, envié dans le monde entier et, surtout, il pointe son manque de vision dans la recherche et, par conséquent, dans l'avenir de la filière aérospatiale civile et militaire française, en réduisant considérablement sa subvention au fil des années.

Depuis 2010, le budget de l'ONERA a pris le bouillon, passant de 257,9 millions d'euros à 207 millions en 2014, selon les derniers chiffres disponibles. Soit une chute de près de 20%, essentiellement liée à la réduction de la subvention accordée à l'ONERA, qui est tombée à 96,4 millions (contre 123,9 millions en 2010). Elle représentait 46,6% de son budget, contre 48% en 2010. Et ce contrairement à ce qu'affirme la Cour des comptes, qui estime que "les financements publics sont relativement stables, au moins ceux de la DGA". Une remarque qui a fait bondir le PDG de l'ONERA dans sa réponse aux sages de la rue Cambon;

"Cette observation est inexacte, c'est même précisément la baisse des moyens publics qui explique en grande partie la situation financière actuelle de l'ONERA", qui traine effectivement en 2014 un déficit de 16 millions d'euros, a expliqué Bruno Sainjon. Dans le budget initial 2015, le conseil d'administration de l'ONERA a voté un déficit de 3 millions d'euros.

En 2015, son budget prévisionnel s'élève à 228,9 millions. A suivre...

 

La DGAC a lâché l'ONERA

Parmi les critiques soulevées par la Cour des Comptes, les relations très distantes entre la direction générale de l'aviation civile (DGAC) et l'ONERA. Ce qui s'est notamment traduit par l'arrêt par la DGAC d'une subvention à l'ONERA à partir de 2001 (contre 3,8 millions en 2010). De même, elle a réduit pratiquement à zéro son activité contractuelle avec l'ONERA, qui est passée de 24 millions d'euros 2010, à 0,3 million en 2014.

Pourquoi une telle défiance? Selon la Cour des comptes, "les causes sont multiples : réduction du budget de la DGAC, volonté de la DGAC de cibler son soutien et d'encadrer l'utilisation de sa subvention afin d'éviter une contrariété potentielle aux règles du commerce international et du droit de la concurrence, perte de pertinence de l'ONERA aux yeux de la DGAC et dégradation des relations". Pourtant l'ONERA travaille sur ce que seront les avions du futur, et plus précisément sur le programme "Nova" (Next-generation Onera Versatile Aircraft), qui pourrait remplacer les actuels moyen-courriers. Il est destiné à transporter 180 passagers à 900 km/h sur une distance de 5 à 6.000 km. Par ailleurs, les relations avec la DGAC sont en train de se réchauffer...

En outre, la DGAC estime, selon la Cour des Comptes, que l'Office "ne s'est pas adapté aux évolutions profondes du secteur de l'aéronautique civile depuis les années 1980, notamment l'émergence de nouveaux sujets structurants : gestion de l'énergie, avionique, cockpit et navigation, nouveaux procédés de production". Enfin, elle "regrette la faible participation de l'ONERA aux programmes européens et aux initiatives locales".

Bruno Sainjon fait pourtant part dans sa réponse à la Cour des Comptes des succès remportés récemment par l'ONERA dans le cadre de trois appels d'offres lancés au titre du programme européen Cleansky 2 pour un montant de plus de 30 millions d'euros étalés sur huit ans. Tout comme il rappelle l'implication de l'ONERA "beaucoup plus affirmée" dans le Conseil pour la recherche aéronautique et civile (CORAC).

 

Pourquoi un tel désintérêt de l'État?

Dans sa réponse à la Cour des Comptes, le Premier ministre, Manuel Valls, assure pourtant que "l'action de la tutelle a été conduite dans un souci de préservation de la position de l'ONERA". On a vu mieux comme soutien financier à un organisme public... Car quand l'État le veut, les subventions suivent. Comme le montrent les dotations aux Établissements publics à caractère scientifique et technologique (EPST), CNRS inclus, qui sont passées de 4,9 à 5,7 milliards d'euros entre 2008 et 2014.

Dans une interview accordée en juin à La Tribune, Bruno Sainjon avait tenté d'expliquer le désintérêt de l'Etat vis-à-vis de l'ONERA : "travailler majoritairement sur des sujets de défense n'incite pas à une communication tous azimuts. Et surtout la recherche fondamentale même à visée applicative n'a pas été mise en évidence ces dernières années. Pourtant sans la science et la recherche, il n'y a pas de technologie ni de programme". C'est vrai que l'ONERA est complètement sorti des radars de la plupart des responsables politiques français. A tel point que la plupart d'entre eux ne savent pas ce que cet organisme fait exactement. Un peu désolant...

 

L'ONERA au cœur des enjeux aéronautiques

En dépit des critiques de la Cour des Comptes sur son isolement, l'expertise de l'ONERA a été à plusieurs reprises plébiscitée dans de nombreux domaines, dont certains liés à une actualité très brûlante. Ainsi, en avril dernier, un consortium piloté par l'Office a été sélectionné par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) pour la lutte anti-drone. En 2014, l'ONERA, à la demande de la direction générale de l'armement (DGA), a commencé à travailler sur le projet d'étude amont DEMPERE, dont l'objectif est de développer un démonstrateur de simulation numérique destiné à évaluer le degré de perturbation d'un radar par les parcs éoliens.

En outre, l'ONERA s'est récemment rapproché de plusieurs organismes de recherche à la fois concurrents et partenaires. Ainsi, l'Etat a mandaté l'ONERA comme pilote de la nouvelle filière aéronautique Carnot, baptisée AirCar (Air Carnot) et financée pendant six ans à hauteur de 10,5 millions d'euros. L'objectif de ce consortium multidisciplinaire et complémentaire sera de comprendre les besoins des PME et ETI de la filière aéronautique afin de booster leur capacité d'innovation et répondre ainsi au mieux aux besoins industriels.

Par ailleurs, l'ISAE-SUPAERO et l'Office ont renforcé en mars dernier leur coopération en signant une convention de partenariat scientifique créant deux équipes de recherche communes (ERC). Enfin, le Cetim et l'ONERA ont renforcé leur coopération en vue de développer une offre technologique commune, innovante et performante dans le contexte de ré-industrialisation de la France et des enjeux liés à la filière matériaux.

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:40
L’hélicoptère russe d’attaque K-52 Alligator de Russian Helicopters. (Russian Helicopters)

L’hélicoptère russe d’attaque K-52 Alligator de Russian Helicopters. (Russian Helicopters)

 

7 septembre 2015 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

Juste quand on pensait que cette histoire était enfin finie et que le divorce se passait plutôt bien, la saga du Mistral pourrait repartir de plus belle: Moscou mettrait son veto à la vente des Mistral sans hélicoptères russes, rapporte cette semaine la très officielle agence russe Ria Novosti.

 

Depuis que la France et la Russie sont parvenues début août à un accord pour mettre un terme au contrat signé en 2011 qui prévoyait la livraison de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral à la Russie, la France cherche de nouveaux acheteurs pour ses deux Mistral commandés et construits spécifiquement pour les Russes.

L’accord stipulait bien que la France, qui avait intégralement remboursé à la Fédération de Russie les sommes avancées au titre du contrat, obtenait la pleine propriété et la libre disposition des deux bâtiments.

Mais voilà que Moscou ne sait plus quoi faire de ses hélicoptères de combat Ka-52K, une version conçue spécialement pour le Mistral du maintenant célèbre hélicoptère russe d’attaque K-52 Alligator de Russian Helicopters.

La seule solution: vendre les hélicos aux acheteurs potentiels des porte-hélicoptères français.

« Le sort des deux porte-hélicoptères est directement lié aux projets de commercialisation des hélicoptères de combat Ka-52K, qui ont été initialement produits et destinés spécialement pour être déployés à bord des Mistral russes », rapporte de son côté le quotidien économique russe Kommersant citant une source proche du dossier.

Dans le cas où les acheteurs potentiels des porte-hélicoptères français refuseraient d’acheter les hélicoptères russes, Moscou pourrait utiliser son droit de veto. L’Inde, le Brésil, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Vietnam et l’Egypte figurent sur la liste des acheteurs potentiels des deux navires de classe Mistral.

En outre, font remarquer les Russes, si les hélicoptères Ka-52K ont été développés spécifiquement pour les Mistral, l’inverse est aussi vrai: réciproquement, les Mistral ont été construits pour ce type d’hélicoptères

De plus, les autres technologies ont aussi été adaptées aux exigences russes, souligne l’agence officielle russe: système de géolocalisation GLONASS, appareils de communication, de cryptage, radars, double coque pour la navigation polaire.

Les futurs acheteurs des Mistral seront donc obligés de traiter avec la Russie à un moment ou à un autre pour pouvoir exploiter ces navires, concluent les Russes. S’ils ont raison, le destin et l’avenir des deux navires seraient alors encore lié à la Russie, entente de rupture de contrat ou pas. Pas facile le divorce.

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 16:30
SDBR Interview with Luc Vigneron, CEO of the Emirates Defence Industries Company (EDIC)

 

08/09/2015 by Alain Establier - SDBR N°133

 

Recently Alain Establier met with Mr. Luc Vigneron *, Chief Exective Officer of the Emirates Defence Industries Company (EDIC) to discuss the rationale and future of the recently formed company, based in Abu Dhabi, United Arab Emirates. The interview was possible thanks to the courtesy of emirates authorities. Below is a transcript of their conversation:

 

SDBR: Is EDIC a financial institution, an OEM or something else?

Luc Vigneron (LV): Following a law issued by His Highness Sheikh Khalifa bin Zayed al-Nahyan, the President of the UAE, Ruler of Abu Dhabi and Supreme Commander of the UAE Armed Forces, EDIC was formed as an integrated defence manufacturing and services platform by its principal shareholders Mubadala Development Company and Tawazun Holding. It is a strategic asset of the UAE Government, and its mandate is to help keep the Armed Forces of the UAE at a peak state of readiness while also competing for business across the region. However, it is of equal importance to mention the national defence industry landscape, which set the conditions for a transformation to occur at this time. Over the last two decades, the UAE has built a robust and successful indigenous defence industry. Each company under EDIC has played an important role in achieving this.

As a result, both time and conditions were right to combine the country’s defence industries to position them for the next phase of growth. In fact, the UAE joins many other emerging economies that have followed a similar path, successfully consolidating their defence industry assets and becoming regional and global players. As a new national defence industry champion, EDIC is positioned to do the same.

 

SDBR: What’s your mission at EDIC?

LV: EDIC aims to unlock synergies across the industry, and create value through the strategic alignment of our capabilities. We will be the leading integrated defence industries platform for the UAE, and we aspire to be recognised globally as the region’s premier partner for manufacturing, services, and technology development. Furthermore, EDIC will deliver cutting-edge products and services and provide world-class facilities to better serve the Armed Forces of the UAE while working to transfer technical know-how to UAE Nationals. The UAE has established a strong and globally respected national defence industry over the last two decades. EDIC is proud to carry on this tradition. By working closely with our stakeholders and partners, we will build a new national defence champion over the next decade. Specifically, we are:

1.  Strengthening our strategic alignment to the needs of the UAE Armed Forces, and enhancing collaboration among our companies through shared services to reap economies of scale

2.  Balancing our relationships with OEMs, with a focus on increasing the transfer of technology and know-how

3.  Strengthening Emirati leadership in the defence industry and building world-class national capabilities

4.  Providing dynamic career opportunities to UAE Nationals in a high-skilled industry, with a focus on engineering and project management, and the technology sector in general

 

SDBR: What is the stage of EDIC evolution?

LV: We are working through the legal process of transferring ownership of each of the 16 companies to EDIC. At the same time, we are exploring synergies with a view to strengthening the industry, building national capabilities and increasing our capacity. When this transformation is complete, EDIC will be a substantial industrial services player and one of the largest such companies in the Arabian Gulf region, with 10,000 personnel employed in manufacturing and services across air, land and sea platforms. 

 

SDBR: It seems that the goal is to build a champion…A champion for what to do? In which specialities?

LV: EDIC companies operate in manufacturing and assembly; maintenance, repair and overhaul; autonomous systems; training; communications; and technology development. This new national defence industry champion will benefit three key stakeholders – our country, our customers and our companies.

 

SDBR: What is the contribution from Mubadala Development Company and Tawazun Holding?

LV: Both companies serve as EDIC’s principal shareholders.

 

SDBR: Do you have other plans for external growth? In which areas?

LV: Our focus now is on achieving a successful national defence industry transformation and building a national defence champion. As part of this process, we will work to promote innovation, technology development, state-of-the-art manufacturing and human capital development, specifically growing the next generation of Emirati engineers and project managers. We will also serve as a centralised hub of enhanced technological capabilities, resources and expertise – and deliver ease of access to a range of world-class products and services across all defence platforms.

 

SDBR: Do you have partnership projects outside the UAE?

LV: Our companies already have some leading global defence partners on board. We fully expect that by building an integrated defence manufacturing and services platform we will not only benefit our primary stakeholder, the Armed Forces of the UAE but, as a centralised facilitator for world-class products and services, serve as an attractive partner from the UAE with whom to do business.

 

 

* Mr. Vigneron’s brings extensive leadership experience in the global defence arena to EDIC, previously serving as the Chairman and CEO of Thales Group from 2009 to 2012. Prior to that, he served as Chairman and Chief Executive Officer of Giat Industries. During his time at Giat, he managed an extensive restructuring, which led to a relaunch of the company under the Nexter name in 2001.

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:55
bâtiment de soutien et d'assistance hauturiers (BSAH)

bâtiment de soutien et d'assistance hauturiers (BSAH)

 

04/09/2015 par DGA

 

Le ministère de la Défense renforce les équipements de la marine nationale avec la commande de quatre bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers.

 

La direction générale de l’armement a notifié le 17 août 2015 au groupement mené par les chantiers navals Piriou, auxquels sont associés les sociétés KERSHIP et DCNS, la réalisation de quatre bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers (BSAH) destinés à la marine nationale.

 

Les deux premiers bâtiments seront livrés en 2018 et les deux suivants, dont la commande sera confirmée l’année prochaine, seront livrés en 2019. Ils remplaceront cinq bâtiments de trois types différents (bâtiments de soutien de région, remorqueurs de haute mer et remorqueurs ravitailleurs). Répondant à la fois à un besoin militaire et interministériel, les BSAH seront utilisés dans le cadre de l’emploi des forces et dans le domaine de l’action de l’État en mer. Cette décision, prise dans le cadre de l’actualisation de la loi de programmation militaire 2014-2019 défendue par Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, renforce de manière significative les équipements de la marine nationale.

 

Ce marché représente plus de 150 emplois directs sur une durée de quatre ans dans divers métiers industriels ou de forte technologie. Il verra la construction des navires, l’intégration à bord des équipements et les essais d’ensemble réalisés en Bretagne, avec de nombreuses PME sous-traitantes dont le savoir-faire et l’expertise sont reconnus.

 

Les BSAH assureront trois types de missions : le soutien des forces (remorquage d’antennes, de cibles, assistance aux bâtiments de surface et sous-marins en cas de besoin…), la sauvegarde des personnes et des biens (sauvetage en mer, assistance à navires en détresse, protection de l’environnement) et le soutien de région (remorquages d’engins, travaux dans les ports militaires…).

 

Utilisant des technologies civiles éprouvées dans les activités offshores, les BSAH seront longs de 70 mètres, larges de 16 mètres et déplaceront à pleine charge 2 665 tonnes avec une puissance de propulsion de 5 200 kilowatts. Ils pourront embarquer un équipage de 17 marins et 12 personnels supplémentaires.

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:50
Hermes 900 HFE photo Armasuisse

Hermes 900 HFE photo Armasuisse

 

07.09.2015  Communication DDPS, Marco Zwahlen

 

Après le Conseil national, le Conseil des Etats s’est prononcé à son tour en faveur du programme d’armement 2015 à hauteur de 542 millions de francs. Ce dernier prévoit le remplacement de trois systèmes qui arrivent à la fin de leur durée d’utilisation. Il est prévu d’acquérir six nouveaux drones de reconnaissance, des nouveaux simulateurs de tir pour fusil d’assaut 90 et 879 véhicules légers tout-terrain pour systèmes techniques.


En juin dernier, le Conseil national avait adopté le programme d’armement 2015 par 130 voix contre 55 et une abstention. Le Conseil des Etats lui emboîte maintenant le pas, par 31 voix contre 9 et 5 abstentions. La proposition de la gauche parlementaire de renoncer à l’acquisition de nouveaux drones de reconnaissance a été clairement rejetée. La minorité motivait sa demande en invoquant les trop nombreuses incertitudes d’ordre éthique, politique et pratique. Le ministre de la défense Ueli Maurer a argumenté qu’une acquisition en Israël ne va pas à l’encontre du droit international public, bien que le pays soit impliqué dans un conflit armé. Il a ajouté que la sécurité est un élément primordial pour un pays. Ces drones de reconnaissance nous permettent de combler une lacune qui existe depuis un certain temps. Cela sert la protection de la population suisse.

 

Acquisitions

Le système de drones de reconnaissance 95 de type Ranger est en service depuis une vingtaine d’années. Il est dépassé et les pièces de rechange ne peuvent plus être achetées. Une évaluation approfondie préconise l’acquisition du système de drones de reconnaissance non armés Hermes 900 HFE construit par Elbit Systems. Quant au simulateur de tir pour fusil d’assaut 90, il est en service depuis 1993. Les coûts d’entretien augmentent et les pièces de rechange ne peuvent également plus être achetées. Il est prévu de le remplacer par un simulateur de tir de nouvelle technologie. Par ailleurs, le Conseil fédéral entend remplacer l’actuel véhicule pour systèmes Steyr-Daimler-Puch 230 GE par le véhicule léger tout-terrain pour systèmes techniques, développé à partir du châssis du Mercedes-Benz G 300 CDI 4x4. Les coûts de maintenance et de réparation de ces véhicules, acquis il y a 25 ans, dépassent en effet les limites économiquement admissibles.
 

Programme d'armement 2015

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:50
Watchkeeper - photo Thales Group

Watchkeeper - photo Thales Group

 

7 septembre 2015 Aerobuzz.fr

 

A l’occasion du salon international de la défense et de la sécurité MSPO qui se tient à Kielce du 1er au 4 septembre, l’industriel polonais WB Electronics et Thales ont dévoilé leur système de drone tactique répondant aux exigences du programme Gryf (Griffon). Développé conjointement, ce drone tactique offre des capacités conformes aux besoins du programme de défense polonais en termes de système armé, dans le cadre d’une collaboration étroite avec l’industrie locale.

 

Basée sur le système Watchkeeper fourni aux forces britanniques, un drone non armé qui a démontré son potentiel sur les théâtres d’opération, la solution proposée par WB Electronics et Thales intègre sur une seule plateforme des fonctionnalités de surveillance et les capacités de frappe du missile léger multirôle FreeFall LMM conçu par Thales.

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:50
Guillaume Steuer Responsable de la Communication externe d’Airbus Helicopters

Depuis le 1er septembre 2015, Guillaume Steuer est le nouveau responsable de la communication externe d’Airbus Helicopters. Il pilote toutes les activités de Communication externe de la société. Il arrive de l’Agence Européenne de Défense à Bruxelles où, depuis juin 2014, il occupait le poste de Chargé des medias et de la communication.

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:40
Mistral : Paris a déjà versé les 949,7 millions d'euros à Moscou

En vertu de l'accord passé avec la Russie, la France n'aura pas de pénalités à verser mais a remboursé le 5 août les montants avancés par Moscou pour l'achat des deux porte-hélicoptères. Le texte doit encore être examiné en septembre par l'Assemblée nationale.

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:40
BPC Vladivostok photo Marine Nationale

BPC Vladivostok photo Marine Nationale

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 16:35
L'Indonésie recale le Rafale et choisit le Sukhoi Su-35
Partager cet article
Repost0
4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 11:55
Antoine Torres, nouveau Directeur de la Communication de l’ONERA

 

01.09.2015 – par ONERA

 

Antoine Torres a rejoint le premier septembre l’ONERA en tant que Directeur de la Communication. Il vient de la Direction Générale de l’Armement (DGA) où il était depuis mai 2012, Responsable communication programmes d’armements et porte-parole de la DGA.

 

Très marqué par l’aéronautique et l’espace, son parcours l’amène à passer dès 1987 un brevet de pilote d’avion. Ingénieur diplômé de l’ENSICA en 1987, il est titulaire d’une thèse en mécanique des fluides et breveté de l’Ecole de Guerre.

 

En 1987, il intègre le centre DGA des techniques aéronautique à Toulouse où il travaillera jusqu’en 1997 sur les systèmes de conditionnement d’air dans les avions.

 

Il noue des premiers contacts avec des chercheurs de l’ONERA Toulouse et en garde une impression de solidité scientifique. « J’avais des interrogations auxquelles mes interlocuteurs à l’ONERA m’ont apporté des réponses pertinentes et utiles. J’ai tout de suite apprécié la grande gentillesse et la disponibilité qu’ils m’ont témoignées » précise-t-il.

 

De 1997 à 2002 il rejoint la DGA à Balard pour travailler sur des programmes d’armement et constate une nouvelle fois à quel point l’expertise scientifique de l’ONERA est pertinente pour identifier et résoudre les points durs.

 

De 2002 à 2007, il s’oriente vers la stratégie d’acquisition des programmes. Son champ d’activités s’élargit, et il apprend à résumer en quelques éléments simples des problématiques très complexes à usage des décideurs. Parallèlement, il se familiarise aux problématiques de management et de conduite du changement.

 

De 2007 à 2010, Antoine Torres renforce son expertise sur le périmètre du management technique. Puis, de 2010 à 2012, il gère les urgences opérationnelles pour répondre aux besoins des forces engagées sur les théâtres d’opérations et effectue une mission en Afghanistan. Sa bonne compréhension des enjeux de communication font de lui un acteur important pour la Direction de la Communication dont il alimente les messages pour la DGA désireuse de montrer aux armées, aux médias et aux décideurs sa proximité avec les opérationnels et sa capacité à répondre de façon très réactive à leurs besoins.

 

Sa maîtrise des problématiques techniques fait de lui « un bon client pour la Direction de la communication ». Pour autant précise-t-il, « on a beau bien connaître son sujet, il faut apporter la valeur ajoutée de la communication pour le rendre intelligible auprès d’interlocuteurs et de décideurs non spécialistes du domaine ». Maitriser le fond n’est pas une garantie de communication réussie rappelle-t-il.

 

C’est donc tout naturellement que se fait, en mai 2012, son passage vers la Direction de la Communication ou il devient responsable communication sur les programmes d’armements, les études amont, l’industrie de défense et l’export et porte-parole de la DGA.

 

"C’est une vraie chance et une joie d’intégrer l’ONERA, parce que j’ai une culture aéronautique, un gout pour l’échange et la conviction profonde que la communication est un véritable atout pour l’ONERA" ajoute-t-il.

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2015 4 03 /09 /septembre /2015 07:55
Rafale, BPC : les raisons d'un voyage raté de Le Drian en Malaisie et en Inde

La signature du contrat Rafale attendra encore quelques semaines en Inde - photo Dassault Aviation

 

01/09/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le déplacement en Malaisie et en Inde du ministre de la Défense n'a pas été à la hauteur des espérances initiales de la France. Le crochet express vers New Delhi a même été annulé.


 

D'habitude si discret, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a-t-il pour une fois été imprudent lors de son déplacement en Malaisie, puis en Inde? Si personne ne lui en voudra en raison de ses nombreux succès diplomatico-commerciaux durant ces deux dernières années, il est probable qu'on ne l'y reprendra pas à deux fois avant de partir avec une imposante délégation parlementaire et industrielle dans le but d'assister à une incertaine signature d'un contrat Rafale en Inde...

D'ailleurs, le crochet vers New Delhi a été annulé, selon des sources concordantes, les négociations n'étant pas encore achevées pour organiser une telle cérémonie. Toute la délégation rentre donc à Paris mardi soir. "Il a espéré jusqu'au dernier moment que les négociations s'achèvent mais cela n'a pas été possible", explique-t-on à Paris. D'autant que la légendaire administration indienne, qui a été très (trop?) surprise par l'initiative du Premier ministre Narendra Modi, d'acheter 36 Rafale sur étagère en avril dernier à Paris, a tout fait pour ralentir le processus, semble-t-il.

 

Kuala Lumpur a fait le minimum syndical

En Malaisie, les résultats escomptés n'ont pas été également à la hauteur des espoirs du ministre. Mais, là aussi, "il n'y avait pas l'alignement parfait des planètes", selon un très bon observateur de la Malaisie, pour aller beaucoup loin que ce que Kuala Lumpur a pu dire sur le Rafale. "Il est trop tôt pour annoncer quoi que ce soit à ce sujet" a d'ailleurs estimé mardi Hishamuddin Hussein lors d'une conférence de presse commune avec Jean-Yves Le Drian à Kuala Lumpur.

Pourquoi une telle frilosité? Parce que les manifestations de ces derniers jours, qui ont encore rassemblé dimanche à Kuala Lumpur plusieurs milliers de personnes, fragilisent le pouvoir actuel. Cet environnement favorise "le report d'une telle décision", souligne-t-on à La Tribune. Du coup, le ministre de la Défense malaisien s'en est tenu au strict minimum. La Malaisie est en train d'étudier la proposition de fourniture de 18 Rafale de Dassault Aviation mais la décision dépendra du prix de l'avion, a notamment déclaré Hishamuddin Hussein, qui a assuré qu'il n'avait pas discuté avec Jean-Yves Le Drian des navires porte-hélicoptères de type Mistral.

 

Le Rafale favori de la compétition malaisienne

Le Rafale a les faveurs de l'armée de l'air malaisienne, qui souhaite renouveler sa flotte d'avions de combat composée de MiG-29 de fabrication russe, selon plusieurs observateurs. Trois autres appareils sont en compétition : outre le Rafale, le F/A-18 de l'américain Boeing, le Gripen du suédois Saab et l'Eurofighter Typhoon, produit par un consortium associant Airbus Group, l'italien Finmeccanica et BAE Systems.

Jean-Yves Le Drian a confirmé la remise d'une proposition française dans le cadre de l'appel d'offres portant sur l'acquisition de 18 avions de combat. Une proposition technique et technologique jugée excellente tout comme l'accompagnement politique, par les observateurs. "Tout cela fait partie d'un tout, c'est une proposition que nous étudions et j'ai été très clair avec les Malaisiens sur le fait que c'était une question de budget", a précisé le ministre français. Et donc le ministre a estimé que les autorités malaisiennes devraient déterminer notamment si une telle acquisition était "abordable".

"Nous avons remis une offre complète sur l'interrogation posée par les autorités malaisiennes sur leur aviation de chasse, et c'est cette offre-là qui va être étudiée maintenant de manière attentive par les autorités", a expliqué Jean-Yves Le Drian

 

La Malaisie, un partenaire stratégique important

Une décision malaisienne est attendue avant la fin de l'année. Mais des experts du secteur aéronautique ont prévenu que les difficultés budgétaires liées à la chute des prix du pétrole et des matières premières pourraient retarder le processus. Hishamuddin Hussein a d'ailleurs confirmé les actuelles difficultés économique de la Malaisie. Il a estimé qu'avant d'acheter de nouveaux avions de combat comme le Rafale, la Malaisie devrait prendre en compte les "contraintes économiques" à un moment où le pays est confronté à un ralentissement de son économie et à la forte dépréciation de sa devise par rapport au dollar.

Au cours d'entretiens avec la délégation malaisienne, Jean-Yves Le Drian a également indiqué que le Rafale avait été l'un des sujets de discussion parmi d'autres, dans le cadre de la "large coopération" avec ce pays, un partenaire stratégique de la France en Asie du Sud-Est. Les relations entre les deux pays portent sur "beaucoup d'autres sujets", a-t-il souligné, citant "les sous-marins, les corvettes, les avions".

Un voyage finalement raté... D'où son irritation face aux médias qui ont évoqué la possible signature du Rafale avant son départ pour la Malaisie."J'ai en ce moment une grosse difficulté personnelle. Dès que je me déplace, il y a quelqu'un qui dit "il va signer un Rafale". Il m'arrive de me déplacer pour autre chose", a-t-il maugréé au cours d'une conférence de presse à Kuala Lumpur.

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 18:55
credits Bretagne Developpement Innovation

credits Bretagne Developpement Innovation

 

L'ACB (Association des Cadres Bretons) organise la conférence " Cyber défense/sécurité : un leadership breton " le mardi 22 septembre prochain à la Maison de la Bretagne, en présence de Gwendal Rouillard, de Loig Chesnais-Girard (vice président de la région Bretagne en charge de l'économie et maire de Liffré) et de Paul-André Pincemin (Chef de projet Pole d'excellence cyber au Ministère de la défense).

 

Inscription indispensable sur le lien suivant :

https://www.weezevent.com/conference-cyber-securite-defense

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 17:50
Pourquoi Thales Alenia Space débarque en Pologne

La Pologne va participer au programme d'observation de la Terre italien Cosmo-Skymed (Crédits : Thales Alenia Space)

 

01/09/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Lors du salon de l'armement MSPO, Thales Alenia Space devrait annoncer un premier contrat auprès du ministère de la Défense polonais. La filiale spatiale de Thales qui a récemment créé une filiale basée à Varsovie, souhaite participer à la constitution d'une industrie spatiale polonaise..




Fidèle à sa stratégie d'augmenter sa présence industrielle en Europe, Thales Alenia Space (TAS) vient récemment de créer en Pologne une nouvelle filiale, TAS Polska. Bien sûr, la filiale spatiale de Thales (67%) ne s'installe pas non plus par hasard en Pologne, qui investit désormais de plus en plus dans le spatial depuis son entrée fin 2012 à l'Agence spatiale européenne (ESA). Varsovie la finance de façon encore modeste en lui attribuant un budget d'environ 70 millions d'euros et a parallèlement débloqué une somme de 100 millions pour un fonds national. "Il existe une forte volonté de la Pologne de développer une industrie spatiale", a précisé le PDG de TAS Jean-Loïc Galle, que La Tribune a rencontré début juin à l'occasion d'une cérémonie à Varsovie. Surtout, l'internationalisation de TAS lui permet d'obtenir des contrats dans les pays où il s'implante.

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 11:50
Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

 

1 septembre, 2015 Nathan Gain

 

Ils s’appellent Caracal, Tigre et…H145M, et l’on ne voit qu’eux ici en Pologne, au 23e salon MSPO. Difficile de passer à côté de ces trois fleurons de l’aéronautique de défense française, habilement mis en valeur à l’entrée du troisième plus grand salon de ce type en Europe. Une fois encore, le constructeur français positionne magnifiquement ses pions sur le grand échiquier polonais, au point d’occulter de prestigieux concurrents, tels que Boeing, dont les fameux Apache et Black Hawk ont pour voisin principal le parking des exposants.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 07:55
Bruno Sainjon reconduit dans ses fonctions à la tête de l’ONERA

 

Palaiseau, le 31 juillet 2015 Communiqué de presse ONERA

 

Bruno Sainjon est nommé, par décret en Conseil des Ministres, Président du Conseil d’Administration de l’ONERA. Il est reconduit à la présidence de l’établissementpour cinq ans.

 

Cette reconduction de Bruno Sainjon à la tête de l’ONERA, le centre français de recherche aérospatiale, est la suite du travail en profondeur que celui-ci a mené depuis sa nomination le 28 mai 2014.

 

Depuis plus d’un an, Bruno Sainjon a initié un certain nombre d’actions tant en interne que vers l’externe (pouvoirs publics, industriels, partenaires scientifiques nationaux et internationaux), afin que l’ONERA conforte sa place de numéro un de la recherche et technologie aérospatiale en France. Cette mission, confiée par l’Etat, de développer et d’orienter les recherches dans le domaine aérospatial, nécessite une organisation robuste au service d’une vision stratégique. Pour cela des étapes clés ont d’ores et déjà été franchies:

- Une organisation en adéquation avec le Code de la défense: nominations en 2015 d’un Secrétaire Général, d’un Directeur Scientifique Général et constitution du Haut Conseil Scientifique

- Une vision illustrant les orientations de la recherche ONERA à court et moyen terme : avec la rédaction d’un plan stratégique scientifique qui sera finalisé avant la fin de l’année afin de s’adapter à la profonde mutation du monde de la recherche et de l’industrie aérospatiale

- Une participation renforcée avec les nouvelles structures de recherche et d’enseignement supérieur: comme membre fondateur de l’Université Paris-Saclay et avec la création de laboratoires communs avec le CNRS et l’ISAE-Supaéro

 

Faire progresser la recherche aérospatiale au plus haut niveau mondial et contribuer ainsi au rayonnement international de la France, est une ambition forte portée par l’ONERA et par son Président.

 

A propos de l'ONERA

L’ONERA est le centre français de recherche aérospatiale et de défense. Sous tutelle du ministère de la Défense, l’ONERA anticipe les ruptures technologiques du domaine aéronautique grâce à des recherches amont et appliquées associées à des moyens expérimentaux stratégiques. Labellisé Carnot et avec près de 60% d’activités contractuelles, l’ONERA met son expertise et ses technologies à la disposition de l’industrie. Force d’innovation et de prospective dont la recherche a irrigué tous les grands programmes aéronautiques et spatiaux français, civils et militaires, l’ONERA rassemble plus de 2000 personnes dont 13 % de doctorants.

www.onera.f

Partager cet article
Repost0
28 août 2015 5 28 /08 /août /2015 16:50
Industry consultation on the European Transfers Directive


Brussels - 17 August, 2015 EU Defence Agency
 

An evaluation of the implementation of the Directive on intra-EU-transfers of defence-related products has been launched by the European Commission. The European Defence Agency, under its role as an interface to wider EU policies impacting defence, is coordinating with the Commission in order to raise awareness and increase the input of Member States Ministries of Defence as well as defence industry, on issues related to the implementation of Directive 2009/43/EC.

 

Also known as the Directive on intra-EU-transfers of defence-related products, it aims to simplify terms and conditions of transfers of defence-related products within the Community. The Directive entered into force in 2009 and was transposed into national legislation across all Member States and EEA countries by 2012.

The Commission has recently launched an evaluation of the implementation of the ICT Directive, in view of preparing a report to the European Parliament and Council by June 2016. It has contracted the independent consultancy Technopolis Group to evaluate the implementation, uptake and impact of the Directive, and to provide recommendations to address any identified problems, in view of supporting the Commission in the preparation of its report.

A central aspect of the evaluation is a survey-based consultation with European defence industry. The online survey can be accessed at this link. The consultation is due to close on Friday 18th September 2015.

According to Technopolis, all responses obtained through the consultation will be treated in the strictest confidence, in line with EU legislation on data protection, and access to the data will be restricted to a small team within Technopolis. Information will only be passed to the Commission and published in aggregated and non-attributable form.

 

More information

  • For further information or clarifications regarding the study or the consultation, industry can contact Technopolis / Mr. Neil Brown directly at: defence@technopolis-group.com
Partager cet article
Repost0
28 août 2015 5 28 /08 /août /2015 16:30
L’un des deux patrouilleurs de 22 mètres livrés en avril 2014 au Yémen - Couach.

L’un des deux patrouilleurs de 22 mètres livrés en avril 2014 au Yémen - Couach.

 

24/08/2015 LeMarin.fr

 

Le groupe allemand Lürssen a choisi le français Couach pour réaliser 79 intercepteurs de 15 mètres destinés à l’Arabie saoudite. L’information a été officialisée, lundi 24 août, par la direction du chantier naval girondin lors d’une réunion avec le personnel.

 

Quelques jours après avoir annoncé la signature d’un contrat de sous-traitance pour le constructeur néerlandais de yachts Vandutch marine, Couach s’offre un nouveau beau succès. Et trois à quatre années de travail garanties. Le contrat de sous-traitance pour le compte de Lürssen était, pourtant, loin d’être gagné d’avance. Le chantier italien Fabio Buzzi Design avait, encore, au début de cette année la préférence du groupe allemand pour la construction des intercepteurs destinés aux gardes-côtes saoudiens.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 16:50
Airbus HC joue une partie très, très serrée en Pologne

Airbus Helicopters compte équiper l'armée polonaise avec des Caracal (H225) (Crédits : Airbus Helicopters/Anthony Pecchi)

 

27/08/2015 Par Michel Cabirol  - LaTribune.fr

 

Sélectionné par Varsovie pour l'acquisition de 50 hélicoptères de transport militaire de type Caracal, Airbus Helicopters est sous la menace d'un changement de majorité faute d'avoir conclu les négociations plus tôt. Les élections législatives polonaises sont prévues fin octobre.

 

En Pologne, la partie s'annonce de plus en plus serrée pour Airbus Helicopters. Après avoir été sélectionné en avril par Varsovie, qui veut acquérir 50 hélicoptères de transport militaire, le constructeur de Marignane, qui propose le Caracal, est plus que jamais sous la menace d'un changement de majorité en Pologne à l'issue des élections législatives prévues le 25 octobre.

En avril, le ministère polonais de la Défense avait choisi d'entrer en négociations exclusives avec la division hélicoptères d'Airbus Group pour ce contrat de 50 hélicoptères H225M de type Caracal, évalué à 3 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros), au détriment de l'américain Sikorsky et de l'italien AugustaWestland.

 

Le PiS hostile à Airbus Helicopters

En mai dernier, les Polonais, à la surprise générale, avaient déjà élu à la présidence le député européen du parti conservateur et populiste Droit et Justice (PiS), Andrzej Duda, avec 51,55% des voix. Et, début août, les sondages donnaient le PiS, parti qui s'affiche sur une ligne atlantiste et pas franchement francophile, largement en tête des élections législatives face au parti libéral, actuellement au pouvoir. Les très nombreuses déclarations des responsables du PiS hostiles à Airbus Helicopters ne sont pas de nature à rassurer le patron du constructeur de Marignane, Guillaume Faury.

"Il y avait trois offres, dont deux étaient excellentes (avec des machines) produites en Pologne. Et une troisième. Pour l'instant, il n'y a pas de décisions finales, attendons donc de voir. Cet appel d'offres soulève beaucoup de doutes et des questions se posent", a déclaré lors d'un point de presse la candidate du PiS, Beata Szydlo, qui pourrait devenir Premier ministre. "Laissons au gouvernement actuel la responsabilité de l'appel d'offres", a-t-elle ajouté, en réponse à une question sur une éventuelle remise en cause de l'appel d'offres par son gouvernement. Elle s'exprimait dans une usine d'AgustaWestland à Swidnik, dans l'est de la Pologne.

Une déclaration ferme qui est pourtant interprétée par le camp français comme des propos moins négatifs que ceux tenus régulièrement par Andrzej Duda. Durant sa campagne, il a très souvent attaqué le contrat passé avec Airbus Helicopters pour l'achat de 50 hélicoptères par l'armée polonaise. Le PiS estime que cela se fait au détriment d'entreprises basées en Pologne.

 

Les négociations ont traîné en longueur

Certains observateurs, à la fin du printemps, estimaient  probable une signature du contrat fin août, début septembre. Ce n'est plus aujourd'hui le cas. Il n'y aura donc ni annonce ni cérémonie de signature au moment du MSPO, le salon de l'armement de Kielce, qui ouvre ses portes le 1er septembre. La faute aux négociations entre le ministère de la Défense polonais et Airbus Helicopters qui ont traîné en longueur et qui "avancent doucement". Elle butent d'ailleurs encore sur deux, trois points, dont notamment le prix unitaire par appareil. Un classique... Mais rien qui inquiète les négociateurs.

Une fois la négociation conclue avec le ministère de la Défense, Airbus Helicopters n'en a toutefois pas encore terminé. Le constructeur de Marignane devra aussi négocier avec le ministère de l'Economie les offsets prévus dans le cadre de l'appel d'offres. Du coup, "la longueur des négociations a repoussé les échéances", constate un proche du dossier. Il reste encore du travail pour parvenir à la signature de ce contrat très important pour Airbus Helicopters, qui a un besoin urgent de remplir son carnet de commandes de gros appareils militaires.

 

Une signature avant ou après les élections législatives ?

Quand sera signé le contrat? Avant ou après les élections? A vrai dire, personne ne peut le prévoir. A priori, le contrat sera prêt après les élections, estime-t-on. Mais certains tablent sur une signature en deux temps - avant et après les élections - de façon à responsabiliser la nouvelle majorité à un contrat très important sur le plan opérationnel pour l'armée polonaise qui a besoin de ces appareils. Soit le contrat pour les 50 hélicoptères puis celui sur le volet logistique, centre de maintenance technique à Lodz, formation.

Dans un entretien accordé récemment au journal "Dziennik-Gazeta Prawna", le vice-ministre de la Défense Czeslaw Mroczek espère que les négociations aboutiront fin août et que le contrat sera signé en octobre, selon les prévisions les plus optimistes, au plus tard en décembre 2015. Les responsables politiques -qu'ils appartiennent au Parti libéral ou au PiS- doivent prendre en considération en premier lieu les besoins de l'armée  polonaise, a-t-il estimé.

"On ne peut pas annuler cet appel d'offres purement et simplement. Il faut présenter des motifs juridiques valables d'une telle décision. Il faut aussi prendre en considération le fait qu'à la suite de l'annulation du contrat, l'armée ne disposera pas du matériel dont elle a réellement besoin", selon le vice-ministre de la Défense.

 

Le Caracal et le Tigre présentés à MSPO

En attendant une signature, Airbus Helicopters sera très présent à MSPO. Le constructeur, qui va faire des démonstrations du Tigre et du Caracal à la presse polonaise dès jeudi à Varsovie , présente les deux appareils au salon de Kielce. Ce dernier participera à la compétition baptisée Kruk (corbeau en polonais), qui porte sur l'acquisition de 32 hélicoptères de combat. Un appel d'offre doit être prochainement lancée par Varsovie. Une demande d'information (RFI) a déjà été envoyée à la plupart des constructeurs. "La compétition va être féroce", estime un observateur.

Fin avril, le Pdg du constructeur d'hélicoptères, Guillaume Faury, avait déclaré prévoir 1.250 embauches directes et la création de 2.000 emplois supplémentaires en Pologne d'ici à 2020 dans le cadre du contrat. Airbus Helicopters a proposé de fabriquer les 19 premiers hélicoptères du contrat en France et de les livrer à la Pologne à partir de 2017 pour tenir le calendrier de livraison exigé par l'appel d'offre. Les 31 suivants seront assemblés en Pologne à partir de 2018. Enfin, conformément à son engagement de fabriquer 50 Caracal en Pologne, Airbus Helicopters assemblera 19 appareils gagnés à l'export.

Fin mai, le Caracal, utilisé par les forces spéciales françaises, a passé avec succès des tests militaires en Pologne, en préalable à l'ouverture de négociations officielles prévues pour durer trois mois.

Partager cet article
Repost0
27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 07:40
Kh-38ME Air-Launched Short-Range Modular Missile

Kh-38ME Air-Launched Short-Range Modular Missile

 

26.08.2015 sputniknews.com

 

The bomb was constructed on the basis of the Kh-38ME modular aircraft guided missile, according to the manufacturer.

 

ZHUKOVSKY (Sputnik) — A unique Grom-2, possessing the destructive utility of both a missile and a bomb, has been developed in Russia, general director of the Tactical Missile Systems Corporation said Wednesday.

 

“Grom-2 is in fact a glide bomb, as there is another warhead weighing 130 kilograms [286 pounds] instead of an engine with a total weight of 250 kilograms," Boris Obnosov told journalists.

 

According to Obnosov, the Grom-2 was constructed on the basis of the Kh-38ME modular aircraft guided missile.

 

Russia's Tactical Missile Systems Corporation was established in 2002 on the Zvezda-Strela research and production center. The corporation produces guided missiles and weapon systems for air, ground and seaborne applications.

Partager cet article
Repost0
26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:40
BPC Vladivostok - photo RP Defense

BPC Vladivostok - photo RP Defense

 

26.08.2015 LeFigaro.fr (AFP)

En sa qualité de porte-parole du gouvernement français, Stéphane Le Foll a annoncé ce midi que la non-livraison des deux navires de guerre Mistral à la Russie était inférieure à un milliard d'euros. 


Suite de l'article

Partager cet article
Repost0
26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:20
L-ATV JLTV – photo Oshkosh Defense

L-ATV JLTV – photo Oshkosh Defense

 

26 août 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Le Pentagone a annoncé mardi avoir choisi le constructeur américain Oshkosh pour fabriquer le futur successeur du célèbre Humvee, le véhicule à tout faire de l’armée américaine, dans le cadre d’un contrat initial de 6,7 milliards de dollars.

 

Le Pentagone a ainsi écarté le géant de l’aéronautique et de l’armement Lockheed Martin et AM General, le fabricant du Humvee.

 

Le processus de sélection du futur « véhicule léger tactique » a été mené par l’armée de terre américaine (US Army), conjointement avec le corps des Marines, selon un communiqué de l’US Army.

 

La production est prévue pour commencer au premier trimestre 2016. L’armée de terre et les Marines doivent acheter 17.000 véhicules dans une première phase du contrat d’un montant de 6,7 milliards de dollars, selon le communiqué.

 

Le Pentagone devra confirmer une nouvelle tranche en 2018.

 

Au total, l’armée de terre prévoit d’acquérir environ 49.099 de ces véhicules jusqu’en 2040 et les Marines 5.500, selon le communiqué.

 

Le montant total du contrat passerait alors à 30 milliards de dollars, selon des estimations du Pentagone publiées par la presse américaine.

 

Le nouveau véhicule doit remplacer à peu près un tiers des Humvee en service dans l’armée de terre.

 

Oshkosh est un constructeur de camions et de matériels spécialisés militaires et civils (engins militaires, camions de pompiers, transport de béton ou de déchets), originaire de Oshkosh dans le Wisconsin (nord).

Partager cet article
Repost0
26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 15:55
Où vont accoster les deux Mistral russes ?  - photo Grigory Sysoev Sputnik

Où vont accoster les deux Mistral russes ? - photo Grigory Sysoev Sputnik

 

26/08/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Egypte, Afrique du Sud, Brésil, Canada, Inde, Malaisie, Singapour... Une dizaine de pays sont intéressés par les deux Mistral initialement destinés à la Russie.

 

Les deux Bâtiments de projection et de commandement (BPC), de type Mistral, destinés initialement à la Russie, intéressent une dizaine de pays, qui veulent acquérir ce type de navire de guerre. Parmi les pays cités régulièrement dans la presse figurent Singapour, l'Inde, le Brésil, l'Egypte, l'Arabie Saoudite,le Canada et le Brésil... A cette liste, il faut rajouter désormais la Malaisie, qui souhaite depuis une dizaine d'années s'offrir un tel bâtiment. Deux autres pays ont également exprimé un intérêt, selon nos informations, pour les Mistral russes : les Emirats Arabes Unis et l'Afrique du Sud. Selon un responsable français s'exprimant sous couvert d'anonymat et cité par les agences Reuters et AFP, les discussions sont "assez avancées".

Mandaté par Bercy, le groupe naval DCNS est chargé de la vente des Mistral. D'autant que la France va récupérer la propriété des deux Mistral une fois réalisé le remboursement des deux bâtiments à la Russie. Le projet de loi entérinant l'accord intervenu début août entre Paris et Moscou après la décision de la France de ne pas livrer deux navires de guerre Mistral à la Russie a été présenté ce mercredi en conseil des ministres. Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a précisé à l'issue du conseil le remboursement des deux bâtiments sera "inférieur à un milliard d'euros".

"Ce sera présenté de manière précise devant les parlementaires et ça comprend le remboursement de toutes les avances qui avaient été faites par les Russes", a-t-il déclaré devant la presse lors de son compte-rendu du Conseil des ministres. Ce projet de loi était "nécessaire parce qu'il y avait un traité international avec des conséquences budgétaires", a relevé Stéphane Le Foll, réaffirmant que "le coût pour la France est inférieur à un milliard d'euros" et que "le chiffre précis sera présenté devant les parlementaires".

 

Suite de l'article

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories