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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 19:50
vz.58 Pistol 762 photo CSA

vz.58 Pistol 762 photo CSA

 

18 janvier 2015 par Stephane Mantoux - Historicoblog

 

On en sait un peu plus désormais sur les armes utilisées par les frères Kouachi lors de l'attaque de Charlie Hebdo et par Amedy Coulibaly. Les médias ont souvent parlé de fusils d'assaut et même d'un lance-roquettes, ce qui ne recouvre qu'une partie de la réalité. Les terroristes de Paris se sont manifestement approvisionnés par la filière des Balkans, celle qui alimente le grand banditisme français et même au-delà, dans certaines cités.

 

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:55
Protéger les installations du ministère de la défense

 

19 janvier 2015. Portail des Sous-Marins

 

Alors que la sécurité des sites et des personnels de la Défense sur le territoire revêt une impor­tance inédite, le ministère de la Défense a mené, depuis un an, une réflexion qui a récemment abouti à la mise en place d’une direction fonction­nelle dédiée pour élaborer la poli­tique de protection des installa­tions, moyens et acti­vités de la Défense.

 

Référence : TTU

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:55
FIC 2015 - Présentation du stand de la Défense

 

20/01/2015 Ministère de la Défense

 

Le 7e Forum international de la cybersécurité a ouvert ses portes le mardi 20 janvier 2015 au parc des expositions de Lille Grand Palais. Il accueille pendant deux jours tous les acteurs majeurs de la cyberdéfense.  Destiné à soutenir l’investissement du ministère de la Défense au profit de la cyberdéfense,  la thématique du stand Défense est  « la cyberdéfense au cœur des opérations».

 

Le stand Défense du salon FIC 2015 est conçu autour de quatre  zones d’exposition qui illustrent les capacités opérationnelles et l’expertise du ministère dans les opérations de cyberdéfense.

 

Zone « capacités opérationnelles » - le Centre d’analyse en lutte informatique défensive : centre opérationnel de cyberdéfense

Intégré dans la chaîne de commandement opérationnel et placé sous l’autorité de l’officier général cyber, le (CALID) est le centre chargé de la protection des capacités opérationnelles du ministère de la Défense.  Sa mission est de défendre le cyberespace des armées (réseaux informatiques, systèmes de combat, de commandement, etc.) contre les menaces et attaques qui le visent. Le CALID, expert technico-opérationnel des systèmes d’information du ministère de la Défense, est également présent pour évoquer ses missions de défense du cyberespace des armées. Le CALID se déploie en France et à l’étranger, en prévision ou en réaction à une crise. Il déploie des sondes sur les systèmes d’arme et de commandement en opérations, va rechercher des traces d’attaque sur des systèmes d’information.

 

Zone « préparation opérationnelle » - le Commandement des forces terrestres : au cœur de l’opérationnel

Le Commandement des forces terrestres (CFT) a pour mission de mettre à la disposition du chef d’état-major des armées, au bon moment et au bon endroit, des unités organisées, équipées et entraînées pour l’engagement qui les attend. « Milieu d’affrontement » particulier, le cyberespace expose les systèmes d’information et de communication des forces à de nouvelles vulnérabilités. Pour répondre à ces menaces, le CFT est en mesure de déployer une chaîne de cyberdéfense adaptée à chaque engagement opérationnel des forces aéroterrestres.

 

Zone « anticipation et innovation » - la Direction générale de l’armement : l’expertise technique en cyberdéfense

la Direction générale de l’armement  (DGA) est l’expert technique référent du ministère de la Défense en matière de cyberdéfense et l’un des acteurs clés du Pacte Défense cyber. Une partie de ses équipes de haut niveau intervient directement au profit du Centre d’analyse en lutte informatique défensive (CALID) ou de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) pour l’analyse des attaques les plus complexes détectées sur les réseaux et des menaces potentielles les plus dangereuses.  La montée en puissance de la DGA en matière de cyberdéfense se traduit également par le renforcement de financements d’études amont aux programmes d’armement (de 10 à 30 millions d’euros annuels), de la recherche et d’un soutien accru au PME et aux laboratoires de recherche qui interviennent dans ce domaine. Tout au long du salon, une démonstration réalisée par la Direction générale de l’armement (DGA) illustrera ses travaux en matière d’anticipation de la menace sur les systèmes d’information du ministère.

 

Zone « formation et sensibilisation »

La sensibilisation et la formation aux enjeux de la cyberdéfense sont présentées par le réseau de la réserve citoyenne cyberdéfense (RCC), le mastère spécialisé de la conduite des opérations et de la gestion des crises en cyberdéfense des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan et la société Défense Conseil International (DCI).

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 13:40
photo Sergei Mamontov RIA Novosti.

photo Sergei Mamontov RIA Novosti.

 

MOSCOU, 19 janvier - RIA Novosti

 

L'armée russe se dotera massivement de missiles hypersoniques d'ici 2030-2040, a annoncé lundi à Moscou Boris Obnossov, directeur du consortium russe Missiles tactiques. 

"Le programme comprend plusieurs étapes. A mon avis, il donnera des résultats dès la prochaine décennie et l'armée passera aux armes hypersoniques pendant les années 2030 et 2040", a indiqué M.Obnossov dans une interview au magazine Défense de Russie.

Le responsable avait déclaré en novembre dernier que les premiers missiles hypersoniques destinés aux avions russes seraient conçus d'ici 2020.

Selon lui, le problème principal des concepteurs d'armes hypersoniques consiste à créer de matériaux capables de résister à des températures élevées pendant le vol hypersonique. Mais il faut en outre créer de nouveaux moteurs et équipements de bord.

"Je crois que nous sommes plutôt à niveau avec les Etats-Unis (dans le domaine de la conception d'armes hypersoniques), mais il y a toujours un risque d'être en retard. Nous menons donc des travaux très sérieux dans ce secteur", a noté M.Obnossov.

Créé en 2002, le consortium Missiles tactiques réunit 26 entreprises qui produisent des missiles, des bombes guidées et des armes embarquées.

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 17:55
EUROPYRO 2015  - 04 - 07 May 2015 Toulouse France

 

source GTPS.fr

 

EUROPYRO 2015 traitera des thèmes généraux et des évolutions majeures de la pyrotechnie au profit de la défense, de l’espace et de la sécurité.

 

Les communications aborderont les thèmes suivants :


• Les matériaux énergétiques et l’ingénierie moléculaire
intégrant les exigences environnementales, les nanomatériaux,
les procédés de fabrication et de contrôle.


• Les composants pyrotechniques et les systèmes relevant :


- Des technologies et dispositifs d’amorçage et d’allumage :
slapper, laser, initiateurs à pont semi-conducteurs (SCB),
MEMS,...

- Des nanotechnologies,
- Des munitions, des applications industrielles et de l’espace,...


• Explosifs et munitions MURAT


• Les propergols et leurs applications à la petite propulsion
solide et aux générateurs de gaz.


• Les explosifs industriels et les dispositifs de mise à feu pour
les mines et carrières et la démolition : nouvelles technologies
et développements en cours.


• Engins explosifs improvisés (EEI) : Contre mesures, détection et
investigations.


• Méthodologies applicables pour la conception,
à la démonstration de la fiabilité, de la sécurité pyrotechnique,
évaluation de la durée de vie, l’étude des effets
du vieillissement, la justification de la Muratisation :


- Modélisation et simulation,
- Procédures de test et de vérification.


• Les travaux sur les chocs et la détonique en rapport avec
le domaine des « Hautes Pressions Dynamiques » (HDP) initiés
sous l’impulsion du CEA


- Ondes de choc et écoulements associés,
- Transitions vers la détonation et étude de la zone de réaction,
- Ecoulements induits par laser et hautes puissances pulsées,
- Lois de comportements des matériaux, équations d’état,
- Modélisation et simulation.


• Management des risques et de la sécurité


- Evaluation des risques
- Retour d’expérience des accidents
- Sécurité industrielle


• Réglementation, environnement et élimination


- Directives européennes (CE 2013/29, CE2014/28, REACh,
GHS et CLP...) appliquées aux explosifs industriels
et aux articles pyrotechniques,
- Sécurité pyrotechnique dans l’industrie et pour
l’environnement,
- Dispositions et technologies pour le recyclage et
l’élimination des déchets pyrotechniques. 

 
 

 

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 08:55
Les députés veulent protéger le « secret des affaires »

 

18.01.2015 Le Monde.fr

 

Une loi pour mieux protéger les entreprises de l’espionnage industriel : la droite en rêvait, la gauche va sans doute le faire. La commission spéciale de l’Assemblée sur la loi Macron a intégré, samedi 17 janvier, « la protection du secret des affaires » dans le code du commerce, notion qui n’existait pas jusqu’ici.

 

Les députés ont repris les dispositions d’une proposition de loi socialiste qu’ils ont incorporées par amendements au projet de loi sur la croissance et l’activité du ministre de l’économie, Emmanuel Macron.

 

L’objectif de ce texte, voté par la majorité et l’opposition, est de prévenir l’espionnage économique. Il pose le principe général de l’interdiction de violer le secret des affaires, et prévoit de punir quiconque prend connaissance, révèle sans autorisation ou détourne toute information protégée au titre du secret des affaires d’une peine de trois ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende.

 

La peine pourra être portée à sept ans d’emprisonnement et 750 000 euros d’amende en cas d’atteinte à la sécurité ou aux intérêts économiques essentiels de la France. La tentative de ce délit doit être passible des mêmes peines.

 

Le ministère de l’économie avait relancé les travaux sur ce sujet à l’automne 2012. Avec le soutien de Matignon, Pierre Moscovici, qui était alors le ministre de l’économie et des finances, avait mis en place un groupe de travail avec les différents ministères concernés.

 

Lire également : Contre l’espionnage industriel, Bercy relance l’idée d’instituer un « secret des affaires »

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 12:50
Swiss Army Opts for Leguan Bridge Layers

 

January 16th, 2015 By Krauss-Maffei Wegmann - defencetalk.com

 

The Swiss Defence Procurement Agency and Krauss-Maffei Wegmann (KMW) signed a contract for the purchase of twelve Leguan bridge layers on a Leopard 2 chassis together with the associated peripherals and training equipment in Berne.

 

This brings to 16 the number of countries now using the Leguan system. As a major initiator of the Leopard 2 chassis variant, the Swiss Army is now one of four to be using these bridge layers.

 

The system is capable of laying one 26 – metre bridge or two separate bridges, each 14 metres in length. With a carrying capacity of around 70t (MLC 80), the bridge allows very heavy equipment to be used. The widespread use of the system results in very good interoperability.

 

This versatility, coupled with the unique protection and mobility characteristics of the Leopard 2 chassis, enables the Leguan to also be used for civilian purposes, for example, to quickly restore supply routes after natural catastrophes.

 

Krauss Maffei Wegmann GmbH & Co. KG leads the European market for highly protected wheeled and tracked vehicles. At locations in Germany, Brazil, Greece, Mexico, the Netherlands, Singapore, the United Kingdom, the USA and Turkey some 3,200 employees develop, manufacture and support its products.

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 08:55
La nouvelle bête d'assaut du GIGN

16.01.2015 par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense Globale

 

Vous avez été nombreux à nous demander quel était le véhicule blindé impressionnant utilisé par le GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale) pour donner l'assaut contre les frères assassins Kouachi à Dammartin-en-Goële, vendredi 9 janvier.

Eh bien, il s'agit d'une adaptation tout à fait spécifique du Sherpa Light de Renault Trucks Defense...

 

 

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 08:40
BPC Vladivostok photo RP Defense

BPC Vladivostok photo RP Defense

 

15 janvier 2015 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Au cours des six prochains mois, Moscou pourrait déposer une plainte contre Paris pour la non-livraison du Vladivostok, le premier des deux bâtiments de guerre de classe Mistral commandés par la Russie à la France, a annoncé ce jeudi 15 le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou, rapporte l’agence officielle russe Ria-Novosti.

 

Le contrat pour la livraison de porte-hélicoptères Mistral à Moscou serait rompu si Paris ne livrait pas le premier bâtiment fin janvier, écrit pour sa part le même jour le quotidien russe Novye Izvestia, qui rappelle en outre, pour sa part, que plusieurs militaires russes estiment que le Mistral n’est pas n’est pas un ajout essentiel aux forces navales russes.

 

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 08:20
photo US Navy

photo US Navy

 

Jan 15, 2015 Spacewar.com  (UPI)

 

The U.S. Navy has authorized the use of long-range multi-role SM-6 missiles by more ships in the fleet equipped with the Aegis Combat Weapons System.

 

Raytheon, the missile's manufacturer, said the authorization affects more than 35 ships with the Aegis baseline 5.3 and 3.A.0 system series.

 

"SM-6 is the longest range integrated air and missile defense interceptor deployed, and its multi-role capabilities are unprecedented," said Mike Campisi, Raytheon's Standard Missile-6 senior program director. "Its use is transforming how we define fleet defense."

 

The SM-6 is a surface-to-air supersonic missile. It is designed to defeat manned and unmanned aerial vehicles, fixed- and rotary-wing aircraft and anti-ship cruise missiles in flight. It features active and semi-active guidance, advanced fuzing techniques and signal processing and guidance control capabilities.

 

Raytheon assembles the weapon at its facility at the Redstone Arsenal in Huntsville, Ala.

 

Details on any ramp up in production of the missiles were not disclosed by the company.

 

Aegis is a naval weapons system that integrates computer and radar technology to track and guide weapons to targets.

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 23:57
RP Defense 4th birthday !
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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 23:55
RP Défense fête ses 4 ans d'existence.
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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 17:50
Ariane 6 est l'un des défis les plus importants pour l'Agence spatiale européenne (Crédits : ESA)

Ariane 6 est l'un des défis les plus importants pour l'Agence spatiale européenne (Crédits : ESA)

 

15/01/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le budget de l'Agence spatiale européenne va s'élever à 4,4 milliards d'euros en 2015, abondés notamment par les cotisations des États membres (3,23 milliards). Un budget en croissance de 8 %.

 

En dépit des actuelles contraintes budgétaires importantes, l'Europe n'entend pas réduire le train de vie de sa politique spatiale. Bien au contraire, le budget de l'ESA (Agence spatiale européenne) sera en croissance "de 8 % en 2015" par rapport à 2014, a révélé mercredi au forum "Perspectives spatiales 2015"; organisé par Euroconsult et le GIFAS, le directeur général de l'ESA, Jean-Jacques Dordain. Ce budget va s'élever à 4,433 milliards d'euros, abondés par les cotisations des États membres de l'ESA (3,23 milliards), de la Commission européenne (environ 1 milliard) et, enfin, l'Organisation européenne pour l'exploitation des satellites météorologiques, Eumetsat (environ 300 millions), a-t-il détaillé.

Début décembre à Luxembourg, les États membres de l'ESA avait décidé de consacrer 8 milliards d'euros à la politique spatiale européenne lors du conseil ministériel de l'agence. Ce qui fait dire à Jean-Jacques Dordain, que l'ESA va gérer 20 milliards d'euros d'engagements de programme sur la période 2015-2020, dont 15 milliard des Etats membres et 5 milliards de la commission. "Nous n'avons aucune excuse pour ne pas travailler en 2015", a souri Jean-Jacques Dordain. Et de d'expliquer que l'observation de la terre sera la "priorité des priorités" dans le cadre de la conférence sur le climat.

 

Trois défis pour l'ESA en 2015

"2015 est important pour l'ESA qui a à nouveau des défis importants. Nous les gagnerons", a martelé Jean-Jacques Dordain. Premier défi pour l'Agence spatiale européenne, réussir les missions. "Chaque mission est un risque, chaque succès est un événement", a-t-il rappelé, fustigeant notamment ceux qui pensent que "le succès est normal et facile". Au premier rang de ces missions, Rosetta, qui "est loin d'être terminée". L'ESA a également trois lancements Vega à effectuer en 2015, dont celui pour LISA Pathfinder. C'est un satellite qui doit permettre de valider les technologies qui sont retenues pour le futur satellite LISA et devra lancer pour le compte de l'organisation européenne EUMETSAT, le satellite météo MSG 4.

Deuxième défi, mettre en musique les décisions prises par le conseil des ministres des pays membres de l'ESA en décembre au Luxembourg, dont le développement du lanceur Ariane 6. "C'est le défi le plus grand, a reconnu le directeur général de l'ESA. Il faut diminuer le coût de lancement au facteur deux, mettre en place une nouvelle organisation industrielle et de nouvelles responsabilités". Y compris au-delà la société commune Airbus Safran Launchers (ASL), notamment avec l'industriel italien Avio et allemand MT Aerospace, qui doit, selon nos informations, accueillir une seconde chaine de production de futurs boosters d'Ariane 6 et de Vega. Car l'Allemagne a mis pour la première fois contribué à ce programme.

Enfin, l'ESA veut anticiper les défis de façon générale afin de suivre "une compétition qui est de plus en plus variée". "Nous n'avons pas le choix" pour rester compétitif en dépit de "nos ressources limitées", a expliqué Jean-Jacques Dordain. Notamment sur les technologies concernant les lanceurs réutilisables. "Il faut qu'on le fasse", a-t-il martelé.

 

Nouveau directeur général et deux nouveaux pays membres

L'Agence spatiale européenne a annoncé en décembre la nomination de Johann-Dietrich Woerner au poste de directeur général de l'ESA, pour une période de quatre ans à compter du 1er juillet 2015. Il succèdera à Jean-Jacques Dordain dont le mandat s'achève le 30 juin 2015. Johann-Dietrich Woerner est actuellement président du directoire du Centre aérospatial allemand (DLR).

Par ailleurs, deux pays membres vont faire leur entrée à l'ESA : l'Estonie qui va signer son adhésion la semaine prochaine et la Hongrie d'ici à la fin du mois de janvier. L'ESA compte actuellement 20 États membres, dont 18 de l'Union européenne (UE) : France, Autriche, Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, Grèce, Irlande, Italie, Pologne, Pays-Bas, Luxembourg, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suède ainsi que la Suisse et la Norvège. Huit autres États de l'UE ont signé des accords de coopération avec l'ESA : Estonie, Slovénie, Hongrie, Chypre, Malte, Lettonie, Lituanie et Slovaquie. Des négociations sont en cours avec la Bulgarie concernant ce même type d'accord. Enfin, le Canada participe à certains programmes au titre d'un accord de coopération.

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 14:30
Rafale et frégates FREMM : l'Egypte et la France proches d'un accord

L'Egypte pourrait prochainement s'offrir des Rafale et des frégates FREMM (Crédits : DCNS)

 

16/01/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Les deux pays seraient proches d'un accord pour la vente d'une vingtaine de Rafale et de deux frégates multi-missions FREMM. Des contrats estimés entre 5 et 6 milliards d'euros.

 

Ce serait la très bonne nouvelle de ce début d'année pour les industriels de l'armement français. La France et l'Égypte seraient proches d'un accord pour la vente de deux frégates multimissions FREMM et d'une vingtaine d'avions de combat Rafale à l'armée égyptienne armés de missiles de MBDA. Selon des sources concordantes, une délégation du Trésor s'est rendue en début de semaine au Caire pour évaluer la garantie de l'Égypte en cas d'un accord avec les industriels français. Et visiblement les Égyptiens ont répondu positivement aux questions et surtout aux attentes de la délégation française. D'autant que la France a demandé de son côté à la Coface de faire un nouvel effort pour faciliter le contrat.

Dans la foulée de la visite du Trésor, les PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, de DCNS, Hervé Guillou, et du missilier MBDA, Antoine Bouvier, étaient jeudi au Caire pour faire avancer un accord avec l'Égypte, voire finaliser les négociations, selon des sources concordantes. Des contrats pourraient être signés rapidement si tout se déroulait conformément. Certains observateurs visaient une signature d'ici à la fin du mois tandis que d'autres plus prudents dans quelques semaines.

 

Une visite égyptienne de haut niveau à Paris

Après le départ le 19 décembre d'une délégation égyptienne de très haut niveau présente à Paris pendant dix jours, il existait pourtant un sentiment très mitigé sur le résultat de cette visite. Certains industriels s'interrogeaient même sur un mauvais remake du Maroc quand la France avait perdu un contrat Rafale imperdable. Car la délégation égyptienne est repartie sans un accord formel sur le financement qu'elle était pourtant venue chercher à Paris pour 23 Rafale et deux frégates multimissions FREMM. Soit une opération évaluée entre 5 et 6 milliards d'euros. En arrivant en France, la délégation avait pourtant pour objectif de conclure. C'était en tout cas le vœu du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, qui était venu en visite officielle en Paris fin novembre.

Si l'Égypte devenait le premier client du Rafale, elle coifferait sur le poteau d'arrivée le Qatar et l'Inde, où des problèmes de garantie des appareils demeurent. Même s'il faut rester dans ce type de négociations prudent, très prudent. C'est indéniable le Rafale est à la mode actuellement mais il reste encore à Dassault Aviation à signer ce fameux premier contrat tant attendu. Une chose est sure Le Caire est diablement intéressé par le Rafale (entre 23 et 26 avions de combat, selon les sources interrogées). Un contrat évalué à 3,6 milliards d'euros environ

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 13:55
L'Egypte proche d'un accord pour l'achat d'une vingtaine d'avions Rafale (presse)

 

Paris, 16 jan 2015 Marine & Océans (AFP)

 

L'Egypte est proche d'un accord avec la France sur l'achat d'une vingtaine d'avions de combat Rafale et de deux frégates FREMM pour 5 à 6 milliards d'euros, affirme vendredi le site d'informations financières La Tribune, citant des sources concordantes.

 

Après la venue en décembre à Paris d'une délégation de militaires égyptiens, des responsables du Trésor français se sont rendus en début de semaine au Caire pour évaluer la garantie de l'Egypte "et visiblement les Egyptiens ont répondu positivement aux questions et surtout aux attentes de la délégation française", indique la Tribune.

 

Les PDG de Dassault Aviation Eric Trappier, des chantiers navals DCNS qui construisent les frégates, Hervé Guillou, et du missilier MBDA qui arme les avions Rafale, Antoine Bouvier, se sont ensuite rendus jeudi dans la capitale égyptienne.

 

Selon le site, une signature pourrait intervenir d'ici à la fin du mois ou dans quelques semaines. Mais il souligne qu'il faut encore rester prudent sur l'issue des négociations.

 

Le montant du contrat pour les avions Rafale, fabriqués par Dassault Aviation, serait de 3,6 milliards d'euros. Même si des négociations sont en cours avec l'Inde et le Qatar, cet avion de combat n'a jamais été vendu à l'exportation.

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 12:55
photo Arelis

photo Arelis

 

15 janvier 2015 par Didier Girault - electronique.biz

 

L’accord inclut un transfert de technologies et de savoir-faire en composants et sous-ensembles électroniques, d’Arelis à Crompton. En retour, Arelis devient fournisseur de l’aéronautique et défense indienne.

 

Le groupe français Arelis et le groupe indien Crompton Greaves annoncent la signature d’un accord portant sur les composants et sous-ensembles électroniques destinés à l’aérospatial, à la défense, à l’énergie et aux télécommunications.

 

Selon cet accord, Arelis transfère des technologies et des savoir-faire à Crompton Greaves afin que ce dernier puisse fabriquer en grande série de quoi répondre aux commandes en provenances des domaines précités, notamment à celles en provenance de l’aérospatial et de la défense indiennes. Crompton Greaves s’appuie, dans ce pays, sur une vingtaine d’usines.

 

« Cette association renforce Crompton Greaves avec les technologies et savoir-faire industriels d’Arelis tout en offrant à Arelis une capacité de production énorme et surtout une très bonne implantation sur le marché indien », commente Pascal Veillat, président du groupe Arelis.

 

« Cette association va dans la continuité de notre stratégie de croissance qui nous amène à développer nos activités dans le secteur à haute valeur ajoutée de l’électronique de défense et à être un acteur majeur dans le secteur indien de la défense», indique, pour sa part, Laurent Demortier, CEO et Managing director de Crompton Greaves.

 

Dans son communiqué, Arelis note que « les dépenses indiennes en matière de défense sont amenées à doubler d’ici à 5 ans. Parmi ces dépenses, 10 à 12% serviront à l’équipement en composants et matériels électriques, électroniques, microélectroniques et hybrides. Ce qui représenterait un chiffre d’affaires annuel d’environ 2 milliards de dollars ».

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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 13:55
Drones, la révolution en marche (Jdef)

 

14/01/2015 Economie et technologie

 

Pour ce numéro spécial « Drones, la révolution en marche », le Journal de la Défense (#Jdef) vous éclaire sur les drones qui sont devenus, en 10 ans, un incontournable des interventions militaires. C’est un instrument aujourd’hui privilégié pour la reconnaissance et l’observation.

 

A l’heure où la France et l’Angleterre s’apprêtent à développer ensemble le drone du futur capable de frapper l’adversaire, le drone intrigue et passionne.

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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 08:55
Robotique aérienne

 

14.01.2015 - Aerospace Lab Journal - ONERA

 

Le huitième numéro d'AerospaceLab, la revue électronique internationale éditée par l'ONERA, est en ligne et traite de robotique aérienne. A consulter sur www.aerospacelab-journal.org

 

Depuis un certain nombre d'années, on assiste à l'émergence de petits véhicules aériens sans pilote à bord, utilisés notamment pour des applications d'inspection ou de surveillance.

Avec les progrès constants en terme de miniaturisation et réduction des coûts des composants électroniques tels que centrales inertielles, capteurs de vision, ou microprocesseurs, de petits engins aériens pesant seulement quelques kilos peuvent maintenant bénéficier des avancées technologiques qui n'étaient jusqu'alors accessibles que pour des avions classiques. Ceci va permettre le développement d'engins beaucoup plus sophistiqués, dotés de fortes capacités de perception et d'action.

Les sept premiers numéros, toujours accessibles, portaient respectivement sur :

  • le diagnostic optique des écoulements
  • les plates-formes de calcul pour la dynamique des fluides
  • les matériaux haute température
  • la maîtrise de la complexité le foudroiement des avions
  • les hélicoptères et des lanceurs
  • le contrôle d’écoulement en aérodynamique
  • l'aéroacoustique

Le neuvième numéro, prévu pour juin 2015, sera dédié à la prédiction de la durée de vie des matériaux et structures. Pour consulter la revue : http://www.aerospacelab-journal.org/

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 19:55
Arrivée de l'A400M à l'AIA de Clermont-Ferrand

Arrivée de l'A400M à l'AIA de Clermont-Ferrand

 

14/01/2015 Armée de l'air - Economie et technologie

 

C’est une première de plus à mettre au crédit de l’Atlas ! Lundi 12 janvier 2015, un A400M de l’armée de l’air a débuté sa première visite de maintenance, au sein de l’atelier industriel de l’aéronautique (AIA) de Clermont-Ferrand (63).

 

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un contrat de maintenance prévoyant la visite d’une douzaine d’appareils, d’ici à la fin 2017. Pendant 18 mois, l’AIA bénéficiera, dans ses locaux, du soutien du constructeur Airbus, avant d’accéder à une totale autonomie sur l’appareil.

 

La prise en charge de l’Atlas par l’AIA de Clermont-Ferrand représente un enjeu fort pour l’établissement auvergnat. En effet, cet avion de transport ouvre des perspectives inédites, telles que la réparation des éléments composites qui constituent plus de 30% de la masse de l’avion ou le remplacement de la documentation papier par des tablettes et des supports numériques. Pour accueillir ce nouveau gros porteur, les opérateurs de l’AIA ont dû se former en amont à la pratique de l’anglais technique.

 

Créé en 1939, l’AIA de Clermont-Ferrand est composé d’environ 1300 personnes. Ses missions principales consistent en la maintenance des aéronefs et de leurs équipements (Rafale, Mirage 2000, Alphajet, hélicoptères, C160, C130, Atlas), en la réalisation de modifications et de rénovations d’aéronefs, ainsi qu’en des installations spéciales au profit des forces.

 

L’AIA de Clermont-Ferrand est un des sites dépendant du service industriel de l’aéronautique (SIAé), aux côtés de ceux de Bordeaux, de Cuers-Pierrefeu, d’Ambérieu, de Bretagne et de la direction centrale à Paris. Le SIAé est un acteur majeur de la maintenance aéronautique militaire, responsable du maintien en condition opérationnelle des principaux aéronefs des forces armées françaises.

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 15:55
Nexter/Krauss-Maffei : les quatre points durs qui pourraient entrainer l'échec de l'opération

Le char allemand Leopard sera-t-il la tête de gondole de la future société formée par Nexter et Krauss-Maffei Wegmann? - Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

14/01/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le rapprochement entre les deux groupes d'armements terrestres français et allemand, Nexter et Krauss-Maffei Wegmann, traverse des turbulences. Notamment, l'Etat français pourrait demander à KMW de payer une soulte de 500 millions d'euros pour garder le co-contrôle.

 

Ça passe ou ça casse. On va savoir dans les prochains mois si le rapprochement dans le domaine de l'armement terrestre entre Nexter et l'allemand Krauss-Maffei Wegmann va être un échec... ou si l'un des deux groupes aura finalement cédé en rase campagne à l'autre pour réussir coûte que coûte cette opération. Un rapprochement qui est actuellement dans un moment critique. Nexter, en passe d'être privatisé, et l'allemand KMW donneraient naissance au leader européen de l'armement terrestre.

La venue à Paris du PDG de KMW va peut-être permettre d'éclaircir toute ou partie des points durs recensés de cette opération, notamment sur l'éventuelle soulte que devraient verser les actionnaires de KMW à l'Etat français. Frank Haun va rencontrer les ministres de l'Economie et de la Défense, Emmanuel Macron et Jean-Yves Le Drian, et sera auditionné mercredi matin à l'Assemblé nationale devant les députés de la commission de la défense, dont certains seraient sceptiques sur la réussite de cette opération. Bref, l'opération Kant n'est pas un long fleuve tranquille pour les deux PDG, Philippe Burtin et Frank Haun.

 

1) KMW contraint de payer une soulte de 500 millions?

C'est LE point bloquant de l'opération. Si la valorisation des deux entreprises est toujours en cours et est attendue le 30 janvier, l'Agence des participations de l'Etat (APE) serait pourtant d'ores et déjà très tentée de demander aux 27 actionnaires familiaux de KMW (100 %) de verser une soulte de 500 millions afin de respecter le principe intangible de co-contrôle entre l'Etat français et de la famille Bode de la future holding, selon nos informations. Car Nexter, remis au carré par Luc Vigneron puis Philippe Burtin, vaudrait aujourd'hui 2 milliards d'euros, selon des critères d'évaluation très classiques (résultats des trois derniers exercices et prévisions pour les quatre prochains) tandis que la valorisation de Krauss-Maffei s'élèverait à 1,5 milliard d'euros.

Or, selon des sources concordantes, pour Frank Haun, il n'en est pas question. Le PDG de KMW se laisserait jusqu'au printemps pour trouver une issue à ce point bloquant, faute de quoi il changerait son fusil d'épaule. De son côté, Nexter aurait recruté à la hâte un spécialiste des fusions-acquisitions pour résoudre de tels problèmes. A suivre mais la précédente fusion franco-allemande entre Aerospatiale/Matra et DASA incite aussi à la plus grande prudence, les intérêts français ayant été largement galvaudés pour des raisons politiques. A l'APE, qui a d'autres dossiers plus importants à traiter (elle doit gérer notamment la cession de 5 à 10 milliards d'euros d'actifs en 2015), de trouver ou pas un compromis équitable.

 

2) Des produits qui restent concurrents

Juré, craché : les deux industriels choisiront le meilleur produit qui répond le mieux aux besoins du client à l'exportation, avait expliqué à plusieurs reprises Philippe Burtin. Or si ce dernier est prêt à jouer le jeu, notamment dans les chars lourds en laissant le champ libre au Leopard, Frank Haun n'est pas prêt à renoncer à proposer sur les marchés export le Boxer, concurrent du VBCI, dans les blindés à huit roues (30 tonnes), pourtant plus cher.

Le concept du Boxer qui est révolutionnaire - plusieurs types de cabine blindée interchangeable peuvent être montés très rapidement sur une plateforme unique -, n'a pourtant pas convaincu, y compris jusqu'à l'armée allemande, qui a commandé le même nombre de cabines et de plateformes.

 

3) Y a-t-il un pilote dans l'avion?

"Il existe une volonté importante au niveau politique de réussir cette opération mais la France ne met pas les moyens et/ou ne fait pas l'effort pour atteindre cet objectif", assure-t-on à La Tribune. Avec toute la volonté du monde, Philippe Burtin n'a pas toutes les marges de manœuvre pour négocier avec KMW, notamment pour résoudre les problèmes liés aux opérations de valorisation. Frank Haun s'est plaint d'avoir perdu la relation privilégiée qu'il avait avec David Azéma, le prédécesseur de Régis Turrini, explique-t-on à La Tribune. Faut-il toutefois rappeler que ce dernier reste le garant des intérêts de l'État à travers la gestion du portefeuille des participations de l'APE.

 

4) Les syndicats dans le brouillard

Des deux côtés du Rhin, il existe une volonté de cacher la copie aux syndicats. Du coup, les organisations syndicales sont aujourd'hui à cran. Philippe Burtin a pourtant accepté une expertise indépendante cofinancé par Nexter. Or pour l'heure comme le souligne la CFDT Nexter, "rien n'arrive au cabinet d'expertise Syndex et encore moins aux élus". "La direction use de multiples raisons pour retarder le lancement" de cette expertise, regrette la CFDT. Côté allemand, des syndicats ont créé un site internet, qui fait l'inventaire des craintes des salariés... Et tout y passe.

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 08:35
The DRDO Puts Out A Glowing 'Year Gone By'


03.01.2015 source Livefist
 

Here's all the good stuff DRDO did in 2014 packed into one glowing self-assessment. Some interesting data and nuggets if you've got the patience to sift through it. For instance, this is the first public official document to state the range class of the Nirbhay cruise missile. Text in full:
 

With increasing numbers of military systems indigenously designed and developed for the Indian armed forces being produced by Indian industries, the Defence Research and Development Organization (DRDO) continued on a path of building self-reliance. About 55% of the requirements for our defence forces are being met indigenously, largely with the technologies developed by DRDO, contributing greatly to nation’s economy. The production value of DRDO developed systems inducted or cleared for acquisition (excluding strategic systems) crossed Rs 1,70,000 crore.

 

The year 2014 witnessed yet another series of accomplishments with enormous potential to further enhance the level of self-reliance in defence technologies.

 

 

 

The 4000 km range road mobile nuclear capable ballistic missile AGNI-4, was successfully flight tested twice. The flight on 20th January, last among the development flights paved the way for flight on December 2 by the armed forces. Agni 4 is equipped with state of the art Avionics, 5th generation On Board Computer and distributed architecture. The missile is equipped with latest features to correct and guide it for in-flight disturbances. Its highly advanced Inertial Navigation System ensures high accuracy. It’s re-entry heat shield, capable of withstanding high temperatures that may reach as high as 4000 degree centigrade and above during reentry of missile in earth’s atmosphere, makes sure that the inside temperature remain less than 50 degree centigrade.

 

With Agni 1, 2, 3 and Prithvi already in India’s arsenal, Agni 4 further extends the reach and enhances effective deterrence capability. Besides, practice cum training launches of strategic missiles already inducted, such as Agni-1, Agni-2, P-II and Dhanush were carried out by armed forces.

 

Nirbhay, the 1000-km class long range sub-sonic cruise missile was successfully flight tested on the 17th October 2014. The flight lasted for over one hour and met all the mission objectives with missile following the predefined trajectory with very high accuracy throughout its path.

 

Maiden flight of PDV exo-atmospheric interceptor on 27th April 2014 was a significant milestone in the direction of developing a two layered Ballistic Missile Defence system. In addition to the interceptor itself, the two stage target for mimicking a "hostile Ballistic Missile approaching from more than 2000 km away" too was specially developed for the mission.

 

Productionisation and induction of Akash, the medium range air defence system with multi-target, multi directional capability was another remarkable achievement. Several squadrons of Akash (AF) have been inducted, with specified number of missiles from each production lot undergoing comprehensive flight tests in various operational modes before acceptance of the lot. Akash (army) has been accepted and is undergoing induction process. LRSAM, the long range surface to air missile was successfully tested against a flying target in Israel on 10 Nov 2014.

 

Successful trials of Helina, a “lock- on before Launch (Fire & Forget)” third generation Antitank Guided missile that can attack in both direct and top attack mode was integrated with advanced light helicopter (ALH). The missile with capability to defeat futuristic armors underwent successful field trials on 27th Jun 2014.

 

ASTRA-BVR (Beyond Visual Range) air-to-air missiles was successfully tested from a Su-30MKI by the Indian Air Force, demonstrating interception of an electronically simulated target at long range. The series of tests conducted have demonstrated the aerodynamic characteristics of the missiles and its repeatability, robustness and endurance capability as a weapon system.

 

A 1000-kg class guided glide bomb was designed developed and successfully tested. The bomb, after getting released by the aircraft and guided by onboard navigation system is capable of gliding accurately to its target even 100 km away.

 

Over thirty missions such as launches of strategic and tactical guided missiles kept the Integrated Test Range, the only one in the country, heavily engaged with activities throughout the year.

 

A four km long Rail Track Rocket Sled (RTRS) Penta Rail Supersonic Track, a national test facility was established and made operational bringing India among a handful of countries in the world now possessing this unique test facility. The RTRS will facilitate testing and evaluation of a wide range of critical systems such as payload for manned missions of ISRO, the navigation system for missiles and aircrafts, proximity fuses for advanced warheads, fuses for armament systems parachutes for payload delivery, arrester systems for aircraft such as LCA.

 

Even as the total number of flights of all the LCAs put together crossed 2800 mark, The Light Combat Aircraft -LCA program witnessed yet another milestone on November 8 when Tejas trainer PV6, the two-seater version of Tejas LCA for Air Force, in its first flight took to the skies and became the 16th Tejas variant to have flown as part of the program. Having absorbed all the major design modifications undertaken during the flights of earlier aircrafts PV6 is the final prototype leading to series production of trainer and has the capability to deliver all ‘air-to-air’ and ‘air-to-ground’ weapons deliverable by the single seat counterpart.

 

In another landmark event, LCA (Navy) Prototype 1 (NP1), the first indigenously designed and developed 4th plus generation combat aircraft designed to operate from the decks of air-craft carriers, took-off majestically from ski-jump facility of Shore Based Test Facility at INS Hansa in Goa on 20th December. The special flight control law mode of LCA-Navy allows hands-free take-off from the ramp and automatically puts the aircraft in an ascending trajectory. It is designed with stronger landing gears to absorb forces exerted by the ski jump ramp during take-off, to be airborne within 200 m as against 1000m required for normal runways. The Shore Based Test Facility (SBTF) created to replicate the aircraft carrier with a Ski Jump for take-off and arresting gear cable for arrested landing, became operational for R&D as well as pilot training.

 

Two AEW&C aircraft having fitted with the indigenous radars and other equipment such as data links, mission system controller, data handling and display system; have been flying. A wheeled version of Nishant UAV named Panchi has been realized and had it’s maiden flight on Dec 24 after series of high speed taxi trials.

 

An expendable 450 Kgf thrust class Gas Turbine engine ‘Manik’ was developed for 1000 km class subsonic cruise missile [Nirbhay] and is undergoing endurance tests.

 

An advanced Parachute System meeting stringent requirements of Human Space Program (HSP-II) was designed developed and successfully evaluated by DRDO. The system developed for India’s manned space missions was successfully proven with the recovery of Moon Mission Crew Capsule flown into space by the GSLV Mk-III on 18th December. The parachute deployment system functioned perfectly and achieved the required descent rate.

 

A Heavy Drop System (P-16) for dropping form IL76 heavy lift aircraft was developed and is undergoing user assisted trials. The system consisting of a platform system suitably designed for harnessing & mounting of variety of payloads of 16 Ton class and a highly advanced parachute system to drop loads. The load typically consists of military stores such as vehicles (including BMP class), supplies and ammunition.

 

The first indigenously designed and developed Inflatable Radom to serve as a shelter to provide controlled environment for effective and continuous 24x7 functioning of sensitive systems such as RADARs for civil and military applications was installed. The inflatable structure consists of hemispherical envelope of coated fabrics with airlock tunnel, centrifugal air blowers, packaged air conditioners, electrical control system and emergency generator.

 

Phase-IV of user trials of Arjun Main Battle Tank Mk-II, that included Trench crossing and step climbing capabilities, were successfully completed. Development of Arjun Catapult 130mm Self-Propelled Artillery Gun, a blend of 130 mm SP Art Gun with Arjun chassis has been completed as per GSQR. DRDO's internal trial validation has been completed and the Arjun Catapult is ready for Users trials. User demo trials of Pinaka Mk-II rockets with enhanced range were successfully conducted.

 

Successful User Assisted Technical Trials (UATT) of CBRN Unmanned Ground Vehicle (UGV) and Multi-Purpose Decontamination System (MPDS) were carried out. User and DGQA trials of BMCS (Bi-modular charge system) using both Soltam and Bofors guns were completed. The trials included validation of manufacturing process. Dynamic trials of 120 mm Penetration-cum-Blast (PCB) ammunition for MBT Arjun Mk II were conducted successfully.

 

A man-portable modular military bridging system suitable for rapid deployment in mountainous regions and capable of bridging gaps up to 35 m successfully completed user assisted technical trials. The modules weighing less than 18 kg each allow the bridge to be constructed from near-bank without any access to far-bank. A 35m bridge can be launched in about one hour.

 

Three major radar systems namely Aslesha, 3D Tactical Control Radar (TCR) and Troop Level Radar (TLR) / Troop Control Center (TCC) successfully completed the evaluation of the First Of Production Model (FOPM) and are under production.

 

NABHRATHNA, a Flying Test Bed (FTB) based on a Dornier aircraft acquired from HAL was realized. The FTB serves as a test bed platform for evaluation of airborne Radars. FTB sorties with Synthetic Aperture Radar (SAR) & Maritime Patrol Airborne Radar (MPAR) have been taken up successfully.

 

A series of secure communication systems based on Software Defined Radio, ranging from hand held sets to aircraft and ship based systems have been developed. The compact systems are capable of operating on multiple frequency bands, avoiding need for multiple systems. Dhruva-3, the latest in series of indigenous High Performance Computing Systems designed for solving mission critical Defence R & D applications and one of the fastest computing facilities in the country became operational.

 

Microwave Power Module (MPM), a compact transmitter employing a micro travelling-wave tube (micro-TWT) and a compact high efficiency electronic power conditioner was designed, developed and led to production with indigenous travelling-wave tube. The MPM has been incorporated in the indigenous Flight Level Radar (FLR) and Troop Level Radar (TLR).

 

ALTAS was realized with establishment of Towed array SONAR technology with 100% indigenous capabilities with two production centers. The system is designed to detect and identify submarines and underwater weapons. First technical trial on ALTAS has been conducted with satisfactory results.

ABHAY and HUMSA-UG compact sonars, ideal for fitment on smaller platforms for surveillance purposes, having advantages of reduced installation and maintenance load on the technical personnel were installed on two platforms and are undergoing technical trials. The hull mounted sonar HUMSA-NG has been installed onboard INS Kolkata and INS Komorta. Varunastra, the heavy weight torpedo and Maareech, the decoy system for defence against torpedo attacks successfully completed 10 and 12 sets of user evaluation trials respectively.

 

Development of indigenous materials is vital for successful development of military systems and some remarkable ones are mentioned: Enhanced protection level of Kanchan armour for MBT Arjun Mk-II was achieved without any weight penalty. Armour for Wheeled Armoured Platform, was successfully developed.

 

A challenging task of developing seven types of critical turbine parts, namely high pressure turbine blades, vanes, convergent-divergent starter nozzles, inner and outer shroud rings, integrally cast low pressure turbine rotor blisks and low pressure nozzle guide vane stator blings was completed for the development of the small turbofan engine.

 

The life sciences labs of DRDO continued with vigor, DRDO’s efforts to develop soldier support systems and processes to help the soldiers perform effectively in diverse and harsh conditions of terrain and climate encountered in the country.

 

Submarine Escape Set 120 M to assist safe escape from underwater vessels from depths upto 120 meters is undergoing trials. Mark I version of Submarine Escape Set is already in production.

 

‘Telemedicine System’ has been accepted for induction in Indian Navy. The system capable of exchange of vital medical information and advice in a secure manner through multiple channels (including satcom) will be installed in various IN ships as well as remote naval units.

 

A light weight Helicopter Oxygen System MkII has been developed and is undergoing user trials. Integrated Life Support System (ILSS) as LRU (line replaceable units) for ‘Tejas’ light combat aircraft has undergone certification processes. Integration and successful testing under all simulated flight profiles up to height ceiling of LCA was completed in high altitude test chamber. ILSS consists of systems such as Onboard Oxygen Generating System, Back up Oxygen System, Emergency Oxygen System, Oxygen Sensor, Electronic Control Unit, Breathing Gas Management Solenoid Valve and Quick Disconnect Coupling.

 

HAPO Bag MK-II, a lifesaving equipment for management of ‘High Altitude Pulmonary Odema’ was accepted by user for induction; MkI is already in production. Oxygen enrichment shelters for extreme altitude were designed developed, installed and handed over to the armed forces for prevention and management of Acute Mountain Sickness.

 

Computerized Pilot Selection System (CPSS) has undergone series production leading to installation at various Air Force Service selection Boards. Other Rank Trade Allocation System (ORTAS) Battery has been handed over to the users. Computerized Cognitive Battery item bank for the selection of officers has been handed over to Coast Guard Selection Board.

 

‘DEFENDER’, a DEPA impregnated mosquito net was accepted by users and is under production. As a part of the Jammu & Kashmir flood relief operations, DFRL Mysore supplied around 5 Tonnes of food materials.

 

The year 2015 awaits many more successes on the path of enhancing self-reliance in military systems.

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 08:25
BATRAL Dumont d’Urville Crédits S. Ghesquière  Marine Nationale

BATRAL Dumont d’Urville Crédits S. Ghesquière Marine Nationale

 

13 Janvier 2015 Source : Marine nationale

 

Le 16 décembre 2014, dans le cadre de son arrêt technique majeur (ATM), le bâtiment de transport léger (BATRAL) Dumont d’Urville est entré au bassin de Radoub de Fort-de-France. Ce mouvement, toujours délicat pour un équipage, voit le bâtiment se poser sur une ligne de tins dans le bassin pour être mis au sec.

 

Au préalable, pendant une semaine, l’ensemble du bord s’était attelé à préparer le bâtiment pour cet événement important et en avait profité pour commencer immédiatement les premiers travaux ne nécessitant pas d’être au sec.

 

Cet arrêt technique majeur avec passage au bassin permet d'assurer le maintien en condition opérationnelle du bâtiment. L’occasion notamment d’effectuer les visites des deux moteurs de propulsion et de leur redonner du potentiel. Un décapage de la coque et des extérieurs par jet d’eau à très haute pression, des travaux de tôlerie correctifs, puis une mise en peinture sont également prévus pour entretenir les œuvres-vives et les œuvres-mortes du bâtiment. D’autres interventions encore sont prévues.  Au total, ce sont plus de 600 lignes travaux qui vont être effectuées par le bord, par les ateliers militaires de la base navale sous la houlette du service de soutien de la Flotte ou encore par l’industriel maître d’œuvre et ses sous-traitants locaux.

 

Cet arrêt technique majeur du BATRAL est le dernier programmé avant le retrait du service actif du bâtiment prévu en 2017 avec l’arrivée du bâtiment multi-missions. Il devrait s’achever au printemps 2015. Après sa sortie du bassin, le Dumont d’Urville et son équipage réaliseront des essais à quai et à la mer afin de valider la fin de l’arrêt technique avec la base navale. Ils entameront ensuite une période d’entraînements à la mer pour permettre à l’équipage de reprendre ses marques et d’être prêt à remplir parfaitement toutes les missions qui leurs seront ordonnées.

 

À voir: Diaporama

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 07:55
photo Rennes Atalante

photo Rennes Atalante

 

12 janvier 2015 Rennes Atalante

 

La Matinale du 11 décembre à la DGA Maîtrise de l’information, sur le thème : "Cybersécurité et cyberdéfense : quelles opportunités pour les entreprises ?" a commencé par un mot d'accueil de Marie-Noëlle Sclafer, directrice de DGA Maîtrise de l’information.

 

Ensuite, Paul-André Pincemin, chef de projet du Pôle d’excellence cyber, Romain Picart, adjoint au responsable du pôle Sécurité des systèmes d’information à la DGA (Direction générale de l’armement), Vincent Strubel, sous-directeur de l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), et Christophe Dupas, président d’Amossys ont abordé les sujets suivants :

  • Présentation du Pôle d’excellence cyber.
  • Quels sont les enjeux de la cybersécurité et de la cyberdéfense à l’horizon 2019 ? Quelle est la feuille de route technologique ?
  • Quelles sont les opportunités d’affaires pour les entreprises innovantes ?
  • Les dispositifs d’aide aux PME pour travailler dans la cyber.
  • Quelles sont les labellisations à obtenir ?
  • Témoignage de la PME Amossys, experte en cyber.


Vous trouverez également les interviews des intervenants et les photos de cette Matinale dans notre espace médiathèque.

 

Visionnez la Matinale

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13 janvier 2015 2 13 /01 /janvier /2015 20:55
Crédits militaires 2015 : les industriels très inquiets

Deux matériels ont été identifiés pour le plan de location de matériel du ministère de la défense : l’avion de transport militaire A400M (photo Armée de l'Air) et les frégates multi-missions Fremm

 

08/01 Alain Ruello - LesEchos.fr

 

Le Gifas craint que la loi de programmation militaires ne s’écroule, compte tenu de l’urgence à trouver 2,2 milliards sur le budget 2015. Les industriels sont prêts à soutenir le projet à l’étude de location de matériel.

 

« Un sujet de préoccupation demeure, c’est la loi de programmation militaire. Notre industrie est duale, mais si le costume doit être resserré, à un moment donné les priorités changeront », a averti ce jeudi Marwan Lahoud, le président du Gifas, le syndicat professionnel du secteur, lors d’une rencontre avec la presse.

Costume resserré ? La formule fait référence aux propos du chef d’Etat major des armées, le général Pierre de Villiers quand il parle de la loi de programmation militaire, la LPM : les 190 milliards d’euros crédits prévus sur la période 2014-2019 ont été calculés au plus juste pour satisfaire aux ambitions de la Nation telles que revues dans le dernier livre blanc de la défense. Qui plus est, le respect de la trajectoire budgétaire, qui a déjà été rabotée d’un demi milliar d, dépend de deux paramètres structurants : l’exportation du Rafale et les recettes dites exceptionnelles (ou REX) dont le montant a été porté à 7,6 milliards d’euros sur la période.

 

A400M et Fremm loués

Pour le Rafale, il y a urgence. Pour économiser sa trésorerie tout en garantissant à Dassault une cadence minimale de production, le ministère de la défense table sur 40 exportations, dont 7 dès 2016 ! Il faut donc qu’un contrat soit signé ce semestre. En Inde, malgré la volonté affiché de New Delhi et de Paris d’accélérer les choses, les négociations butent toujours sur la question de la responsabilité industrielle de HAL, le partenaire auto-désigné de Dassault pour construire les appareils sur place . Avec le Qatar, le dossier est actif et très avancé, mais nul ne peut prévoir quand cela pourra déboucher, admet un industriel impliqué.

La prise de position de Marwan Lahoud avait trait plus précisément aux recettes exceptionnelles. Cette année, il faut en trouver 2,2 milliards sur les 31,4 milliards d’euros de budget total de la défense. Faute de pouvoir disposer du produit de cession des fréquences de la TNT avant longtemps ou d’avoir pu puiser dans les crédits du Programmant des investissements d’avenir (PIA), le gouvernement a mis à l’étude un plan de location de matériel.

Le schéma est simple sur le papier, mais très complexe sur le plan juridique : il s’agit de capitaliser une ou plusieurs sociétés dites « de projet » à partir du produit de cession de participations de l’Etat . L’apport d’investisseurs privés n’est pas exclu. Cette ou ces sociétés rachèteraient ensuite à l’armée des matériels au moment de leur livraison ou déjà en service, pour les lui louer derrière. Deux matériels ont plus particulièrement été identifiés : l’avion de transport militaire A400M et les frégates multi-missions Fremm.

 

La menance du veto de Bercy

Et là encore, il y a urgence. Compte tenu du niveau de son report de charges (entre 3,5 et 4 milliards), c’est-à-dire de toutes ses factures en cours non financées, la Défense risque la cessation de paiement à l’été si l’argent n’est pas trouvé d’ici là. Des groupes de travail interministériels planchent sur le projet depuis quelques semaines, aidés de consultants, pour définir l’architecture générale des sociétés de projet et leurs modalités juridiques et financières.

Le point d’achoppement est clair depuis le début : pour voir le jour, le schéma ne doit pas être « consolidant ». En clair : il ne doit pas alourdir les déficits publics et/ou la dette, faut de quoi Bercy mettra son veto catégorique. La probabilité que ce soit le cas n’est pas nulle, reconnaît un bon connaisseur du dossier. Ce sera alors à François Hollande d’arbitrer. Des plans B ont été imaginés, mais ils s’avèrent encore plus complexes...

La question devrait être tranché d’ici à un mois. Mettant en avant l’exemple des société de location d’avions de ligne, Marwan Lahoud, par ailleurs directeur général délégué à la stratégie et à l’international d’Airbus Group, a redit que l’industrie était prête à apporter son soutien au dispositif.

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13 janvier 2015 2 13 /01 /janvier /2015 16:56
Rafale : délégation indienne de haut rang à Paris

Dassault Aviation ne veut pas prendre l’entière responsabilité de la fabrication par HAL de 108 des 126 exemplaires de l’avion de combat qui seraient produits sur place par celui-ci.

 

13/01 Alain Ruello – LesEchos.fr

 

Radha Krishna Mathur, le secrétaire à la défense, va rencontrer Jean-Yves Le Drian ce mardi. La négociation bloque sur la responsabilité industrielle des 108 Rafale qui seraient construits en Inde.

 

Une délégation indienne de haut rang est en ce moment à Paris pour tenter de rapprocher les positions des deux parties dans la négociation portant sur la vente par Dassault de 126 Rafale. Arrivée lundi pour deux jours, cette délégation est composée du secrétaire à la défense, Radha Krishna Mathur, un personnage très puissant au sein du ministère éponyme et qui supervise le dossier. Il est accompagné d’un haut responsable de HAL, l’industriel indien étatique, partenaire désigné de Dassault pour la construction des avions.

La venue de cette délégation est conforme aux déclarations faites en décembre par le ministre de la défense, Manohar Parrikar, à l’issue d’une rencontre avec son homologue Jean-Yves Le Drian. Les deux hommes s’étaient mis d’accord pour accélérer le processus qui court depuis début 2012 , quand Dassault est sorti vainqueur de l’appel d’offres baptisé MMRCA (pour « medium multi-role combat aircraft »). Dans l’entourage du ministre français, on laissait même entendre alors que la négociation était « sur le point d’aboutir », même si François Hollande avait aussitôt appelé à la prudence.

 

Qui garantit quoi et à quel prix

 

Sur les 126 avions en jeu, l’appel d’offres a imposé que les 18 premiers soient fabriqués en France, et les 108 suivants en Inde par HAL. Et c’est là que çà coince car New Delhi insiste pour que Dassault prenne la responsabilité de la fabrication de ces 108 exemplaires, ce que l’avionneur français a du mal à accepter, n’ayant pas l’assurance que son partenaire local ait toutes les compétences pour réaliser le travail en temps et en heure. « On ne peut pas accepter d’être responsable du calendrier de livraison d’une entreprise publique contrôlée par l’Etat client, sauf à ce qu’un certain nombre de conditions soient remplies », expliquait aux « Echos » récemment une source proche du dossier.

« Les termes de l’appel d’offres doivent être respectés (...) ils ne peuvent pas être amoindris », a déclaré Manohar Parrikar à une télévision locale, tout en écartant la possibilité pour l’un des prétendants éliminés de pouvoir revenir dans la course. « Comment un autre avion pourrait-il être pris en compte quand celui qui est sorti le moins cher a été désigné ?»,a t-t-il ajouté.

 

Campagne d’hiver de Soukhoï

 

Exit donc les chances de l’Eurofighter, arrivé second dans l’appel d’offres, d’être rattrapé sur le tapis vert. Sentant le bon coup, les Russes ont lancé une campagne d’hiver à coup de fuites dans la presse. C’est de bonne guerre car si la négociation avec Dassault échoue, le seul « plan B » pour l’armée de l’air indienne serait de commander des Soukhoï 30 supplémentaires, même si l’appareil ne lui donne pas entière satisfaction.

Selon le « Times of India », New Delhi veut trancher le sort du projet MMRCA d’ici à avril, période de la visite en France du premier ministre Narendra Modi

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