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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:50
Spending that matters: the economic case for investing in Europe’s Defence Industry


Brussels - 28 July, 2014 European Defence Agency
 

Defence plays a pivotal role in promoting internal and external security, maintaining peace, stability and prosperity, and protecting personal freedom and our way of life.  However, defence spending also has several macroeconomic benefits.  A recent study commissioned by the European Defence Agency (EDA) outlines the advantages of investing in the European defence industry in terms of economic benefits, employment and sustainment of research and development capabilities.
 

What is the real effect of today’s pressure on national defence budgets?  A recent Agency study sought to answer this precise question. Some of its conclusions are revealing: for example, for each €100m cut in EU defence expenditure, there is a €150m fall in EU gross domestic product (GDP), and a €40m fall in EU tax revenues. However, the consequences of such cuts extend far beyond the pure economical realm. The study, which was conducted by British consultancy firm Europe Economics, also highlighted that a similar €100m cut in defence spending would translate into the loss of about 3.000 jobs, 800 of which would be high-skilled. 

 

Greater impact.

In some key dimensions, the overall macroeconomic benefit of investing in the defence sector may exceed that of investing in other domains. For instance, the study confirmed that defence investments have a far great impact on highly-skilled employment and research and development, hence potentially leading to a long-term GDP growth rate. The results of the study estimated that the impact is 12 to 20 times greater than that generated by other forms of public spending.

Of equal importance is the fact that defence R&D creates a “spillover” of technologies to the civil sector.  This often significant “spillover”, means that investing in defence R&D is essential to the emergence of breakthrough technologies which has a knock on benefit in other areas eg civil aircraft market.

More generally, the study demonstrated that the macroeconomic impact of investment in the defence sector is greater at EU level than at the national level, because of the inherent “Europeanised” nature of the defence industry. 

 

Case studies.

The study also reviewed a number of case studies to try and quantify the micro-economic impact of several acquisition programs in the EU, like fighter aircraft. It confirms, for instance, that programmes such as Eurofighter or Rafale helped EU companies to acquire the competitiveness they enjoy today on the commercial aircraft market.  Another example is the Leopard 2 main battle tank programme which was launched in the last years of the Cold War.  It enabled the German Army to equip its cavalry regiments with a highly capable system, at a cost that was 45 per cent lower than the next best alternative. 

This was the first study which looked at the EU as a whole; previous efforts were focused only at national level.  It demonstrates tangible rationale to support investment in the European defence industry, confirming that there are considerable opportunities to increase the efficiency of European collaborative programmes and at the same time European economic prosperity.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:50
Rheinmetall lance un Avertissement sur résultats, empêché d'exporter en Russie

 

07.08.2014 Romandie.com (AWP)

 

Berlin (awp/afp) - Le groupe allemand de défense et automobile Rheinmetall a revu en baisse jeudi ses prévisions de résultats pour cette année, prenant acte du blocage par Berlin d'un gros contrat avec la Russie.

 

Le chiffre d'affaires des activités défense s'établira aux alentours de 2,3 milliards d'euros, a prévenu Rheinmetall dans un communiqué, au lieu des 2,5 à 2,6 milliards d'euros escomptés jusqu'ici.

 

Le bénéfice d'exploitation de la division ressortira entre 65 et 75 millions d'euros, contre une précédente fourchette de 85 à 95 millions d'euros.

 

En début de semaine le ministre allemand de l'Economie Sigmar Gabriel a retiré à Rheinmetall l'autorisation de vendre à la Russie un centre d'entraînement et de formation militaire, évalué par la presse allemande à 100 millions d'euros.

 

"Rheinmetall travaille intensément à limiter au maximum le dommage financier, en mettant à profit toutes les possibilités juridiques à sa disposition", précise le communiqué. Rheinmetall pourrait notamment réclamer à Berlin une indemnisation pour le préjudice subi.

 

Le groupe a également ajusté à la baisse ses prévisions dans son autre grand secteur d'activité et plus grosse source de revenus, les équipements automobiles, du fait de l'apport d'un pan de ses activités à une coentreprise avec un partenaire chinois.

 

Le chiffre d'affaires du groupe dans son ensemble est désormais attendu entre 4,6 et 4,7 milliards d'euros, et non plus entre 4,8 et 4,9 milliards, et la fourchette de prévision du bénéfice d'exploitation a été abaissée à 200 à 220 millions d'euros (contre 230 à 250 millions).

 

Au premier semestre, Rheinmetall a dégagé un chiffre d'affaires de 2,13 milliards d'euros et un bénéfice d'exploitation de 30 millions d'euros, selon des chiffres publiés jeudi.

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:50
Sanctions contre la Russie: l'avenir s'assombrit pour Rheinmetall

L'équipement du fantassin Gladius équipe les soldats de l'armée de terre allemande. Crédit: Rheinmetall AG Düsseldorf

 

07/08/2014 Par Véronique Guillermard

 

Le gouvernement allemand interdit au fabricant de matériels militaires terrestres Rheinmetall d'exporter en Russie. Berlin a bloqué un contrat d'une valeur estimée à 100 millions d'euros.

 

Les nuages s'accumulent au dessus de Rheinmetall. Le groupe présent dans l'automobile et l'armement terrestre a revu, aujourd'hui, à la baisse ses perspectives pour 2014, en contrecoup de la décision du gouvernement allemand de bloquer son activité en Russie. Le chiffre d'affaires de l'activité défense ne devrait pas dépasser 2,3 milliards d'euros au lieu des 2,5 à 2,6 milliards attendus cette année.

 

En début de semaine, l'Allemagne a durci son train de sanctions contre la Russie dans le cadre de la crise ukrainienne. Sigmar Gabriel, le ministre de l'Économie allemand, a retiré à Rheinmetall sa licence d'exportation d'un centre d'entraînement et de formation militaire. Un contrat estimé à 100 millions d'euros. Un coup dur pour le fabricant de blindés, canons et autres équipements pour fantassins. D'autant que si les Européens ont décidé de ne plus exporter d'armements en Russie, cette sanction ne devait s'appliquer qu'aux nouveaux contrats. Rheinmetall a aussitôt réagi. Sa direction va explorer «toutes les possibilités juridiques» et n'exclut pas de demander au gouvernement allemand des indemnités.

 

Pression sur la France et les Mistral russes

 

En prenant une mesure rétroactive, Berlin accentue, en outre, sa pression sur la France, sommée par plusieurs pays européens, Grande-Bretagne en tête, ainsi que par les États-Unis de ne pas livrer, cet automne, le premier des deux Mistral russes commandés par Moscou en 2011, pour 1,2 milliard d'euros.

 

Rheinmetall voit sa stratégie d'expansion en Russie contrariée. Or, c'est un des pays que le groupe allemand ciblait pour booster ses exportations hors d'Europe, où il ambitionne de prendre 50 % de ses commandes nouvelles d'ici à 2015. «Alors que les dépenses militaires baissent en Europe et aux États-Unis, d'autres pays tels que la Russie, le Brésil et l'Asie les augmentent. Notre objectif est d'augmenter notre présence dans ces régions en croissance», expliquait la direction du groupe dans son rapport annuel 2013.

 

Tentative pour faire capoter l'alliance Nexter-KMW

 

Bloqué en Russie, Rheinmetall est aussi en mauvaise posture depuis l'annonce, le 2 juillet dernier, des fiançailles entre son homologue, Krauss-Maffei Wegmann (KMW), et le français Nexter. Les deux groupes sont entrés en négociations exclusives afin de former le numéro un européen de l'armement terrestre d'ici à fin 2014-début 2015. Depuis plusieurs semaines, Rheinmetall se démène pour faire capoter ce futur Airbus des blindés. Il préparerait une offre sur KMW avec lequel il coopère pour la fabrication de plusieurs blindés dont les chars Puma. Jusqu'ici les négociations menées par le passé par les deux entreprises allemandes ont toujours tourné court. Et côté gouvernement français, on reste très confiant dans la capacité des deux entreprises et de leurs actionnaires - l'État français et la famille Bode-Wegmann - d'aboutir.

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:20
photo USMC

photo USMC

 

17 juillet, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Les Marines l’appellent le UHAC, pour Ultra Heavy-lift Amphibious Connector. C’est la dernière idée en date dans la longue quête pour trouver le véhicule idéal pour faire la jonction entre le navire d’assaut et les plages de l’état voyou qui aurait mérité une bonne correction. Le DUKW, camion GMC amphibie de la seconde guerre mondiale, ferait figure de jouet en comparaison du monstre qui se prépare dans les ateliers de l’Empire.

 

Un prototype à échelle ½  de l’UHAC a été engagé la semaine dernière à Hawaï pendant l’exercice RIMPAC 2014. L’engin a participé à des mises à terre depuis le navire de débarquement USS Rushmore vers les plages d’entrainement de l’US Marines Corps à Oahu (Hawaï).

 

L’UHAC a été proposé initialement par le chantier naval hawaïen Navatek sous l’égide du Marine Corps Warfighting Lab. Un premier véhicule à l’échelle 1/20, puis un second au ¼ ont permis de tester le concept. Un financement de l’Office of Naval Research a ensuite permis la fabrication de cette troisième itération à échelle réduite. Quand il aura atteint sa taille adulte, l’UHAC devra être capable d’emporter simultanément trois ou quatre véhicules blindés. C’est trois fois plus que les LCAC sur coussin d’air actuellement utilisés, avec une mobilité supérieur à terre et notamment la capacité de franchir des obstacles verticaux. La botte secrète du véhicule tient dans son système de propulsion : les plaques fixées à la chenille enveloppante se déploient et servent à la propulsion dans l’eau, à la manière des antiques roues à aube. Une fois à terre, elles viennent se plaquer les unes aux autres, formant un support stable au véhicule qui avance alors sur des échasses… Une belle image valant mieux qu’un long discours confus, on peut voir l’engin dans ses œuvres ici.

 

S’il devait un jour entrer en service, l’engin serait bien entendu blindé et hérissé de mitrailleuses.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 19:45
Ichikowitz calls on Obama to give Africa the chance to defend itself

 

06 August 2014 by defenceWeb

 

While nearly 50 African heads of state convene in Washington DC, one of Africa’s biggest defence contractors is making a pitch to let Africa have more advanced defence and security equipment and training.

 

This week, at the kickoff of the first US-Africa Leaders Summit, President Obama is hearing from young people, women, civil society leaders, change agents, stakeholders, heads of state - and South Africa’s Paramount Group.

 

For Ivor Ichikowitz, Executive Chairman of aerospace and defence company Paramount Group, the message is simple: Give Africa a chance to defend itself. He says he is attending the summit in Washington to make the case to the Obama administration that African countries should be encouraged to build up their own intelligence services, militaries, and national police to combat the continent’s rogues, insurgents, and fanatics.

 

The West, according to the South African defence entrepreneur, discourages governments from creating their own security infrastructures. And that’s a problem, in the age of Boko Haram and al Shabaab, he said. “The message from the U.S. and other countries is: ‘We will give you aid if you don’t use budgets to create armies and intelligence services.’”

 

To illustrate this point, Ichikowitz talks about a recent conversation he had with an African head of state that is currently involved in resisting insurgencies. “I have met with the president and he told me that he has no capacity to be able to afford the solutions they require because of limitations imposed by the international community on how they use their budget,” Ichikowitz said.

 

According to Ichikowitz, the International Monetary Fund told the head of state that it could not use money provided by the fund for its budget for advanced military equipment. “As a result, the government involved is forced to be reliant on the charity of Western powers, they are forced to be reliant on third parties to resolve a domestic problem,” he said.

 

Ichikowitz acknowledged in the interview that the African continent is awash in weapons, particularly small arms. “The Cold War resulted in the introduction of millions of small arms into the continent over the years,” he said. “A lot of this equipment has fallen into the hands of thugs, of fundamentalist organizations. As a result there is a formidable threat to almost every single African democracy. Unfortunately, the West has not necessarily given African governments the capability to create sophisticated, world-class capabilities to counter these threats.”

 

It’s also worth noting that the United States military has long-standing partnerships with many African militaries. But those partnerships often do not allow these states to acquire advanced technologies.

 

This is where Paramount believes it can step in, if given the chance. It makes a full range of armoured vehicles and also produces surveillance drones with the kind of sensors that can sniff out wireless communications from a discreet geographic area. Paramount also upgrades the electronics and avionics systems for Soviet-era helicopters, many of which are still used by African militaries.

 

Ichikowitz stressed that his company will not do business with any country that is under a United Nations embargo, is at war with its neighbours or opposes other sovereign democratic governments. Furthermore South Africa, through the National Conventional Arms Control Committee (NCACC) has some of the most stringent arms export regulations in the world to govern every single piece of defence equipment that is exported from the country.

 

Ichikowitz said he believes it’s time to arm countries like Mali, Kenya, Nigeria, and Uganda with the kinds of unmanned aerial vehicles, surveillance systems and weaponry that will give them an edge against the insurgencies and rogues that threaten their survival.

 

“Today in Africa this is about outlaws versus governments,” he said. “It’s time to trust the governments and give them the capability to defend their democracies.”

 

“In order to avoid the perpetuation of violence and conflict in Africa, African governments need to be allowed to create deterrence and the way to create deterrence is by encouraging and facilitating the creation of a strong domestic defence capability.”

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 16:55
La STAT (section technique de l’armée de Terre) - Le choix des armes - Infographie

 

06/08/2014 ASP Maude FOUQUET

 

Dans le cadre d’une activité opérationnelle soutenue sur les théâtres d’opération extérieure, l’armée de Terre a besoin de matériel et d’armement performants et efficients. C’est le rôle de la section technique de l’armée de Terre (STAT) que de s’assurer de la réponse aux besoins en équipements des forces aéroterrestres sous le pilotage du sous-chef plans programme de l’EMAT. En étroite collaboration avec la Direction générale de l’armement, elle assure la conduite et le suivi des opérations d’armement. Explication d’un processus en plusieurs étapes.

 

« La spécificité de l’armée de Terre, c’est l’action en tout temps et en tout lieu. En s’appuyant sur une industrie de Défense performante, nous avons vocation à intervenir dans le monde, il faut que nos équipements répondent à la stratégie de la nation », explique le général Charles Beaudoin, directeur de la section technique de l’armée de Terre (STAT). La STAT est au cœur des opérations d’équipement. Elle a deux vocations : la première consiste à proposer des expressions de besoin et à conduire les opérations grâce à des officiers de programmes, la deuxième concerne l’expérimentation des systèmes d’armes qui sont livrés par l’industriel grâce à des équipes de marque. « Nous sommes présents de bout en bout », reprend le général. En plus de ces missions exécutées selon les directives du bureau programmes et systèmes d’armes de l’EMAT, depuis 2008, la STAT appuie les forces déployées en opérations extérieures, selon une boucle très courte : « Nous proposons des acquisitions en urgence pour les spécificités des différents théâtres. Nous accompagnons nos camarades sur place pour leur expliquer le fonctionnement d’un équipement et nous en profitons pour recueillir les informations sur le matériel et les impressions des utilisateurs. » La STAT participe aussi à la préservation de l’industrie de Défense française, en prenant part à des salons de l’armement, tel Eurosatory dont l’édition 2014 aura lieu en juin. « Expérience opérationnelle, professionnalisme et initiative sont les clés de notre travail. Parmi tous les intervenants dans l’élaboration des équipements. Nous ne sommes pas des ingénieurs techniciens car nous connaissons parfaitement les besoins opérationnels de l’armée de Terre, nous en sommes les garants », insiste le général. Si la STAT conduit les opérations d’armement pour les forces aéroterrestres de l’expression du besoin à leur livraison, les évaluateurs suivent les différents stades de la vie d’un équipement : initialisation, orientation, élaboration, réalisation, utilisation et retrait du service.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 16:40
Espace/défense: la Russie achètera des composants en Chine

 

MOSCOU, 6 août - RIA Novosti

 

Les entreprises russes de l'industrie spatiale et de la défense veulent acheter des composants électroniques en Chine, les contrats pouvant atteindre plusieurs milliards de dollars, annonce mercredi le journal Izvestia se référant à une source proche de l'Agence fédérale spatiale russe (Roskosmos).

 

"Lors des 24-30 mois prochains, tant que notre industrie n'aura pas appris à fabriquer les composants électroniques pour l'industrie spatiale et la Défense, nous en achèterons en Chine pour plusieurs milliards de dollars", a indiqué l'interlocuteur du journal.

 

"Nous sommes en coopération avec la China Aerospace Science & Industry Corporation (CASIC). Les instituts de recherche qui en font partie nous ont déjà proposé plusieurs dizaines de composants qui sont soit une alternative directe, soit une version légèrement modifiée des composants que nous ne pourrons plus acheter suite aux sanctions imposées par les Etats-Unis", a indiqué l'interlocuteur du journal.

 

Le journal précise qu'actuellement, l'industrie spatiale et le complexe militaro-industriel russes n'utilisent pas de composants électroniques chinois.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 12:40
Soldat du futur russe: les équipements livrés à l'armée en octobre

 

MOSCOU, 5 août - RIA Novosti

 

Le système d'armes individuel Ratnik sera livré à l'armée russe dès octobre prochain, a annoncé mardi à Moscou Alexandre Romaniouta, responsable du Commandement central de l'Armée de terre russe.

 

"Les essais de Ratnik touchent à leur fin. Nous espérons que tous les éléments du système seront livrés à l'armée à partir d'octobre", a indiqué M.Romaniouta.

 

Selon Dmitri Semizorov, directeur général de l'Institut central russe de mécanique de précision (TsNIITochMash) de Klimovsk (région de Moscou), le ministère russe de la Défense recevra 50.000 équipements du soldat du futur par an.

 

Le système d'arme modulaire du "soldat du futur" Ratnik comprend une cinquantaine d'éléments - des armes d'infanterie, des munitions, un gilet pare-balles, des moyens de communication et de navigation, d'autres dispositifs faisant largement appel aux hautes technologies.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 08:55
Thales a présenté au salon Eurosatory, en juin 2014, une version export du véhicule protégé léger Hawkei.

Thales a présenté au salon Eurosatory, en juin 2014, une version export du véhicule protégé léger Hawkei.

 

06/08/2014 Par Véronique Guillermard

 

Ce classement est toujours dominé par les Américains, avec en leader l'indéboulonnable Lockheed Martin.

 

C'est la surprise de l'édition 2013 du classement des 100 plus importantes entreprises d'armement dans le monde, publié par le magazine américain Defence News. Pour la première fois depuis 2007, le français Thales, y fait son grand retour. Avec un chiffre d'affaires de 10,96 milliards de dollars réalisés en 2013 dans la défense, le groupe dirigé par Jean-Bernard Lévy se classe au neuvième rang, juste devant l'italien Finmeccanica (10,89 milliards de dollars, en recul de 13 %). «Thales qui a vu ses ventes progresser de 13 % dans la défense en 2013, dépasse l'américain L-3 qui sort du top 10 pour la première fois depuis 2006», commentent les auteurs de l'étude. Malgré la baisse des budgets militaires en Europe ainsi que la réorientation - certes progressive - de Thales vers le civil, le groupe reste un poids lourd de l'armement.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 16:35
FANC : premier forum PME

 

31/07/2014 Sources : EMA

 

Le 2 juillet 2014, le général de brigade Luc du Perron de Revel commandant supérieur des forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC), a présidé le premier forum des petites et moyennes entreprises (PME) qui s’est tenu à Nouméa. Cette manifestation a été organisée dans le cadre du pôle Outre-mer à l’économie de Défense (POMED).

 

Ce premier séminaire a réuni plus de 80 personnes appartenant au tissu économique et entrepreneurial local et à six organismes du ministère de la Défense présents en Nouvelle Calédonie : le service des essences des armées (SEA), le régiment du service militaire adapté (RSMA), le service de santé des armées (SSA), le service de soutien de la flotte (SSF), le service d’infrastructure de la Défense (SID) et la direction du commissariat d’Outre-mer (DICOM).

 

Le COMSUP FANC a ouvert le séminaire par une  présentation du ministère de la Défense puis des FANC. Les exposés suivants ont permis d’aborder la thématique du soutien et, ainsi, de sensibiliser les entreprises à la nécessité de développer des partenariats avec la Défense en s’appuyant sur les quatre axes d’effort du pacte PME signé par le ministre de la Défense en novembre 2012 et qui prévoit :

 

    la meilleure prise en compte des PME dans les stratégies d’achat du Ministère ;

    la consolidation de la durée du soutien financier à l’innovation des PME ;

    les engagements réciproques entre le ministère de la Défense et les maîtres d’œuvre industriels pour favoriser la croissance des PME ;

    le renforcement des initiatives locales.

 

L’organisateur de cette rencontre, le POMED, est une instance informelle du pacte PME. Sa principale mission consiste à soutenir la vitalité et la pérennité des PME performantes et innovantes et à faciliter leur accès aux marchés du ministère de la Défense en constituant un véritable réseau.

Les entreprises, comme les six organismes présents, ont reconnu l’utilité d’un tel séminaire facilitateur d’échanges et nécessaire à la connaissance mutuelle qui doit continuer de se développer. Au vu du succès de cette première édition, les organisations patronales ont décidé de prendre le relais, s’engageant à reconduire ce type d’échange lors d’un prochain forum.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 12:35
La Chine va lever le défi du système de défense antimissile des Etats-Unis

 

05.08.2014 Par Antakolskaia N. - La Voix de la Russie

 

La Chine prépare une riposte sérieuse aux plans des Etats-Unis de créer un système stratégique de défense antimissile pour l’Asie. C’est ainsi que le chef du Centre russe des études politiques et sociales Vladimir Evséev a commenté l’élaboration par la Chine du missile balistique intercontinental de troisième génération DF-41.

 

L’expert pronostique de même l’étude par la Chine des technologies des missiles balistiques embarqués par les sous-marins comme réaction à une activité sans précédent de la République de Corée dans ce domaine.

 

« La Chine est en train de créer des missiles à têtes multiples, mais aussi des moyens capables de franchir le système de défense antimissile, analogues aux russes. Cela aura un effet sérieux. Si la Chine parvient à réaliser ce dont dispose la Russie, en ce cas il sera extrêmement difficile d’intercepter sa fusée-porteuse sur sa trajectoire hors de l’atmosphère comme dans celle-ci jusqu’à l’altitude de 60 km. Après il reste très peu de temps de vol. De ce point de vue, la Chine est en mesure d’augmenter l’efficacité de franchissement du système de défense antimissile des Etats-Unis. Cela constitue une riposte aux plans nord-américains de mettre en place un système stratégique de défense antimissile, dont les composantes sont déployées dans l’Alaska et en Californie, et qui engage aussi le Japon et la Corée du Sud. »

 

Aujourd’hui l’Asie est entraînée dans une nouvelle spire de la course aux missiles. Or l’initiative n’y appartient pas à la Chine, mais à la Corée du Sud, estime Vladimir Evséev. L’expert a rappelé que la république de Corée se dote de son propre système de défense antimissile, est capable de fabriquer des missiles d’une portée de 800 km pouvant porter des ogives nucléaires. De plus, la Corée du Sud n’est nullement limitée en matière de création des missiles de croisière à bord des avions et des drones lourds :

 

« A présent la percée la plus significative dans la sphère des technologies des missiles est réalisée précisément par la République de Corée. La Chine va y réagir de quelque façon. Si l’on parle de la rivalité entre les Etats-Unis et la Chine, elle a un caractère quand même plus équilibré et n’est pas marquée par de percées aussi manifestes. Pour la Chine maîtriser les technologies de missiles embarqués par les sous-marins revêt une importance de principe. La Chine a des problèmes pour les missiles, mais aussi pour le fonctionnement des sous-marins nucléaires, notamment, concernant la navigation. Un progrès dans ce domaine augmentera les possibilités de la Chine et lui permettra de riposter réellement. »

 

Chaque nouvelle démarche dans le domaine des missiles concernant les Etats-Unis et la Chine suscite une réaction de part et d’autre. De surcroît, toujours plus de pays d’Asie se trouvent entraînés dans cette course aux missiles. A part les deux Etats coréens, il y a l’Inde et le Pakistan qui ne cessent de perfectionner les caractéristiques de leurs missiles balistiques. L’Asie est devenue le leader mondial incontestable dans ce domaine, ce qui accroît les risques d’emploi des missiles.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:50
Details of Ukraine UAV requirement revealed

 

29 Jul 2014 By: Beth Stevenson - FG

 

A contract for leased unmanned air vehicle (UAV) services in support of the security mission in Ukraine is expected to be awarded imminently, an industry source reveals.

The Organization for Security and Co-operation in Europe (OSCE) recently issued a solicitation for bids which closed on Friday, 25 July. It stipulates the requirement for a turnkey UAV solution for deployment in the conflicted east of the country.

No further details were provided, although it has now been revealed that OSCE is seeking a vertical take-off and landing platform, preferably for round-the-clock monitoring operations, to be operational within weeks.

Vienna-based Schiebel confirms it has responded to the tender with its Camcopter S-100. However, it is unclear whether any other systems have been offered. Saab’s Skeldar UAV would fulfil the requirement, although the company declines to comment on any bid.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:45
African order for Horus UAV

 

28 Jul 2014 By: Beth Stevenson - FG

 

Flight Tech has received its first export contract for the Horus FT-100 unmanned air vehicle from an undisclosed African military customer.

The Brazil-based manufacturer will deliver the three aircraft on order in the second half of 2014. The contract also includes options for further deliveries the following year, as well as covering logistical support.

The company’s UAVs were designed in conjunction with the Brazilian armed forces, and this deal marks the first military model to be exported by Brazil.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 07:50
Le groupe de défense allemand Rheinmetall construit notamment le Char Leopard 2

Le groupe de défense allemand Rheinmetall construit notamment le Char Leopard 2

 

04/08 Jean-Philippe Lacour / Correspondant à Francfort - lesechos.fr

 

Un contrat militaire de 100 millions d’euros a été stoppé ce lundi par Berlin. Le recul des exportations allemandes vers la Russie semble s’amplifier.

 

Cette année, le groupe de défense allemand Rheinmetall entendait livrer un simulateur de tir au laser à un centre de formation militaire, en construction à Moulino, dans le centre de la Russie. Le contrat, signé en juin 2011, était estimé à 100 millions d’euros. Il s’est envolé ce lundi après que le gouvernement allemand ait décidé de le torpiller, en application aux sanctions contre Moscou décidées à l’échelle européenne la semaine dernière sur fond de crise en Ukraine.

 

La Russie a réagi, en déclarant avoir l’intention d’attaquer l’entreprise de Düsseldorf pour « violation de contrat ». Rheinmetall dit quant à elle poursuivre la discussion avec Berlin. Une chose est sûre, cette affaire ne sera pas le seul exemple des tensions affectant les relations commerciales germano-russes.

 

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 07:45
Egyptian BTR-50 upgrade nears completion

 

04 August 2014 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

The head of the Belarusian defence group Minotor-Service, contracted to upgrade 500 ageing BTR-50 tracked Armoured Personnel Carriers (APCs) belonging to the Egyptian Army, says the company is left with only 20 vehicles to modify before it completes refurbishment work.

 

Minotor-Service director-general Valery Hrabenshchykow was quoted by local media on July 12 revealing that the company was on the verge of fulfilling the terms of the $100 million upgrade contract for nearly half of the Egyptian Army's estimated 1000 Soviet-era BTR-50 APCs.

 

The upgrade work is believed to focused on converting the BTR-50 to the new BTR-50PKM model which comes with improved fire-power, increased combat capabilities, reduced fuel consumption, an increase in the power-to-weight ratio and new day and night sensors.

 

The BTR-50 PKM model has a top-speed of 100 km/h on a paved road, 70 km/h on unpaved roads and a power-to-weight ratio of 20.7 horsepower per tonne.

 

Hrabenshchykow also announced that his company is bidding to conduct major upgrade work on an unspecified number of the Egyptian Army's Czechoslovakian OT-62 APCs. Reports indicate that Egypt wants to upgrade at least 200 OT-62 at a cost of $50 million. In July 2012 it was reported that the Malyshev Plant in the Ukraine was to begin modernising an estimated 200 OT-62 APCs but it is not clear what the status of this contract is.

 

The OT-62 Topas (tracked armoured personnel carrier) was developed jointly by Poland and Czechoslovakia in the 1950s and 1960s. The amphibious vehicle has a speed of 60 km/h on land and 10 km/h in water and can carry 15-18 troops.

 

Egyptian OT-62 were used in the Six Day War with Israel (1967), during the War of Attrition (1968-1970) and the Yom Kippur War (1973), when they were highly effective in crossing the Suez Canal. Some were captured by the Israel Defence Forces and commissioned into service.

 

Both models of APCs were ordered from the former Soviet Union bloc in the 1960s and were used extensively in combat operations by the Egyptian Army during the 1973 Arab-Israeli war.

 

The Egyptian Army is re-equipping itself to deal with new anti-government Islamic militant groups which are based in the restive Sinai Peninsula and have of late spread their operations to various cities including the capital Cairo.

 

The new government of former coup leader General Abdel Fatah El-Sisi blames the Muslim Brotherhood party of deposed president Muhammad Morsi of sponsoring the unrest which has killed scores of army and police officers in bombings, rocket attacks and ambushes.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:54
L'armée de l'air reçoit son troisième A400M (25 juillet)

 

25/07/2014 Armée de l'air

 

L'armée de l'air et la Multinational Entry into Service Team (MEST) A400M s'apprêtent à recevoir leur troisième Atlas. Le MSN010 va atterrir cet après-midi (25 juillet) sur la base aérienne 123 d'Orléans-Bricy.

 

L’armée de l’air a confié au centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) le processus de prise en compte du troisième exemplaire de l’avion de transport militaire A400M Atlas. La MEST A400M, unité du CEAM basée à Orléans-Bricy, a en effet détaché une équipe à Séville, pour assurer la réception et l’acheminement vers la France du MSN010. Ce dernier a décollé vers 14h30 de la capitale andalouse.

 

Ce troisième appareil voit ses capacités accrues par rapport aux deux premiers avions reçus l’année passée. Son domaine de vol est significativement augmenté, notamment en permettant à l’avion d’atteindre le plafond contractuel de 12000 mètres. D'autre part, le MSN010 est capable d’effectuer des opérations d’approche par très faible visibilité (approches de cat II). De plus, ses capacités de transport augmentent du fait de la possibilité, dorénavant offerte, de transporter deux palettes de fret sur sa rampe.

 

Les aviateurs de la MEST A400M assurent l’ensemble des opérations d’expérimentation. Cette unité, accueille également du personnel militaire de pays étrangers partenaires du programme A400M.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:54
Une page se tourne pour l’ESTA d’Orléans

 

01/08/2014 Cdt S. Renoulleau - Armée de l'air

 

Mardi 15 juillet 2014, l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) «Loiret» de la base aérienne 123 d’Orléans a effectué la dernière visite de maintenance programmée d’un C160 dans ses hangars.

 

Au lendemain de la fête nationale, une page de l’histoire de l’escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) « Loiret » s’est tournée sur la base aérienne d’Orléans avec la fin de la dernière visite de maintenance programmée d’un C160 dans ses hangars.

 

Depuis 47 ans, les mécaniciens ont œuvré successivement au sein du groupe d’entretien et de réparation des matériels spécialisés (GERMaS), de l’escadron de soutien technique spécialisé (ESTS) puis de l’ESTA afin d'entretenir la flotte Transall qui a déjà réalisé plus de 1 300 000 heures de vol depuis 1967.

 

Tourné vers la maintenance de l’A400M Atlas à partir de septembre 2014, l’ESTA «Loiret» accompagnera dorénavant le C160 dans ses chantiers de retrait de service.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:54
La DGA livre le troisième A400M français

 

25/07/2014 DGA

 

La DGA a réceptionné le troisième exemplaire de série de l’avion de transport militaire A400M Atlas le vendredi 25 juillet 2014. L’appareil, qui porte le numéro de série MSN10, a été livré le même jour à l’armée de l’air et rejoindra la base aérienne d’Orléans-Bricy.

 

Ce nouvel appareil avait obtenu sa certification mi-mai. Avion de transport militaire tactique doté d’une allonge stratégique et à la pointe de la technologie, l’A400M, produit par Airbus Defence and Space, est sans équivalent sur le marché mondial. Equipé de quatre turbopropulseurs, il est conçu pour transporter jusqu’à 37 tonnes de matériel et réaliser l’ensemble des missions liées au transport, notamment les liaisons inter et intra-théâtre, les poser d’assaut sur terrains sommaires, l’aérolargage de personnel et de matériel y compris à très grande hauteur, le ravitaillement en vol ou les évacuations sanitaires.

 

Il s’agit du quatrième avion de série livré sur les 170 commandés par les sept pays partenaires du programme : l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg, le Royaume-Uni, et la Turquie. Deux ont en effet déjà été livrés à la France en 2013, le premier avion turc a été livré en avril dernier.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 11:50
HMS Northumberland with French Aircraft Carrier Charles de Gaulle - Corsican Lion 2012

HMS Northumberland with French Aircraft Carrier Charles de Gaulle - Corsican Lion 2012

 

 – by

 

Recently there was a guest article published on CIMSEC – which is worth a read – written by R. Adm. Thomas S. Rowden, United States (US) Navy, who discussed the future of surface warfare from a US perspective. Not only is it thought provoking, it serves to highlight the fact that while the US Navy may not be as strong at surface warfare as it once was, at least it is having the conversation about how to change that – which the North Atlantic Treaty Organisation’s (NATO) European nations do not seem to be doing.

This presents a problem because most of the anti-surface capability that Western nations are now fielding is theoretical; the capability they field is not only untested in real combat, but for most nations it is singular capability fielded from often a single platform type. There are of course exceptions to this, but even they are sometimes exceptions only on paper. Britain, for example, has the Harpoon Surface-to-Surface Missiles (SSM) on some of its surface ships (entered service 1977), Spearfish torpedoes on its submarines (entered service 1988) and, whilst at the moment having no fixed wing aircraft (the HMS Queen Elizabeth may be launching this year, but it will take time for her to work up, and currently there are no fixed wing fighters to fly from it) from which to fire Anti-Surface Missiles (ASuM), it does have Lynx helicopters armed with the Sea Skua (entered service 1975); the replacement for which is a joint British-French programme started in 2014. The others have been upgraded over time, but they are fundamentally still the same systems conceived in a very different time to take on a threat that has evolved, whilst it was assumed to be stationary.

With the fall of Soviet Russia the world was supposed to be safer. There were going to be no more threats at sea; navies could concentrate on maritime security and supporting land operations. Unfortunately for the NATO allies the rest of the world, including Russian (formerly the Soviet Union), did not agree with that idea. This has meant that while great strides have been made by Western nations in missile technology (and unmanned aviation, an area which seems to both fuel, and draw from, the developments of missiles) this has largely not been applied by them to ASuMs and SSMs. In comparison Russia, India, China and nations close to them have started to field a whole new generation of these weapons. For example, India and Russia combined to produce, what is believed to be, the world’s fastest cruise missile (Mach 3) – the BrahMos SSM. It only entered service in 2006, and yet Russia and India are already working on its successor – the hypersonic (Mach 7) BrahMos-II.

As well as this, the Chinese have a smörgåsbord collection of weapons, and are developing a habit of surprising the world with new systems on a regular basis – possibly to try to prove themselves a major power in a technological way, but also just as likely so as to emphasise their capabilities in this area as a combined coercion/deterrence strategy. Unfortunately, the theoretically equivalent Western programmes are either at the earliest stages of development or distant pipe dreams at the moment; a situation made worse by the rate the surface threat is evolving.

As stated above, it is no longer the Cold War – when it was just the Soviet Union that was the threat (although Russia is re-arming and its navy is benefiting from this) – so nations can no longer afford to just look at other nations as the threat. Although nations certainly cannot be discounted as threats because flash points are still there, and leaderships can change so quickly. Whilst warships are becoming stronger and stealthier – something which goes for weapon systems as well – there are increasing numbers of systems that enable cruise missiles to be launched from containers on merchant ships. This means that a quicker and more flexible response will most likely be needed to deal with future threats; unfortunately the available responses are still very much rooted in past requirements.

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 07:50
BPC Vladivostok photo RP Defense

BPC Vladivostok photo RP Defense

 

01/08/2014 Par Nicolas Barotte – LeFigaro.fr

 

Berlin juge incompatible la livraison des frégates à Moscou qui bloque la situation en Ukraine. «Les Russes ont payé», plaident les Français.



S'il y a une sanction contre la Russie symboliquement importante que l'Allemagne a jugé indispensable de prendre, c'est bien d'interdire à la France de vendre des frégates à Moscou. Paris est censé livrer deux porte-hélicoptères Mistral mais ses partenaires européens, en premier lieu Berlin, jugent le contrat incompatible avec le durcissement des relations avec la Russie, considérée comme responsable du blocage de la situation en Ukraine. «Nous ne livrons pas [d'armes ou d'équipements militaires à Moscou] même si les contrats ont été conclus par le passé. J'aurais attendu cela aussi de la France», a déclaré le vice-chancelier Sigmar Gabriel sur la chaîne de télévision ARD. «Ce n'est pas une solution raisonnable.»

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21 juillet 2014 1 21 /07 /juillet /2014 12:00
Summer break – back in August ! Follow @RPDefense
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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 11:40
Le BPC Vladivostok en attente de livraison aux chantiers de Saint-Nazaire photo Fabien Ramel - S&P

Le BPC Vladivostok en attente de livraison aux chantiers de Saint-Nazaire photo Fabien Ramel - S&P

 

- solidariteetprogres.org
 

Au cours d’une conférence au Dialogue Franco-Russe, le 26 juin dernier, Philippe Migault, chercheur à l’IRIS (Institut des relations internationales et stratégiques), s’exprimant à titre personnel, a expliqué pourquoi il est vital pour l’industrie de défense française de coopérer avec celle de la Russie.

 

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:55
Le directeur général de l’ANSSI  invité de la Lettre Entreprises & Défense

 

source : Lettre Entreprises & Défense

 

Le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information invité de la Lettre Entreprises & Défense

 

Guillaume Poupard, le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) est l'invité du nouveau numéro d'Entreprises & Défense, la Lettre trimestrielle de l'Association des entreprises partenaires de la Défense.

Au sommaire également de ce numéro :

  • la soirée-débat « La Défense, outil de puissance de la France »

  • une présentation de la Cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre (CABAT)

  • la nouvelle plaquette du Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA)

  • l’édition 2014 du « Prix de la reconversion des militaires ».

Pour télécharger ce numéro d'Entreprises & Défense : pdfLIEN

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:50
nEuron photo Dassault Aviation - A. Pecchi

nEuron photo Dassault Aviation - A. Pecchi

 

18 juillet 2014 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Furtivité, communications, avionique, capteurs...Ces technologies devront évoluer pour optimiser le drone de combat du futur. Dans un partenariat d'égal à égal, Dassault Aviation et BAE Systems vont mener une étude de faisabilité financée à parité par la France et le Royaume-Uni.

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et son homologue britannique Philip Hammond ont profité du salon aéronautique de Farnborough pour signer, le 15 juillet dernier, un accord de financement concernant le système de combat aérien du futur. Une étude de faisabilité de deux ans dotée d'un budget de 150 millions d'euros financé à parité par les deux états, va être lancée. Dassault Aviation et BAE Systèmes, partenaires industriels de référence de ce programme, espèrent un démarrage du contrat cet automne.

 

Premiers essais en 2020

 

Chacun bénéficie de l'expertise fraîchement acquise à travers des démonstrateurs technologiques de drone de combat, le nEUROn pour l'industriel français et le Taranis pour son partenaire britannique. Ils sont respectivement associés à Snecma et Rolls Royce dans le domaine de la motorisation, ainsi qu'à Thales et Finmeccanica–Selex ES dans le domaine des capteurs embarqués. Le calendrier s'étalera sur plusieurs années : le lancement du programme de démonstration est prévu pour 2016, les premiers essais en vol pour 2020, la mise en service estimée vers 2030. "La coopération que nous venons de sceller se traduira par des programmes d’études, qui porteront sur les technologies les plus déterminantes pour le futur de l’aviation de combat : la furtivité, l’avionique, les capteurs, les communications" a précisé le ministre français.

 

Le député Olivier Audibert-Troin présent à la signature du traité franco-britannique de Farnborough, s’est félicité de cette initiative, estimant qu'acquérir des drones de combat n’est plus abordable aujourd’hui pour un seul pays.

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:50
Thales I-Master radar gets new Maritime mode

 

July 14, 2014 Thales Group

 

Thales announced today at Farnborough International Airshow 2014 that its I-Master radar is now available with a Maritime Moving Target Indication (MMTI) mode. The new maritime capability, enabled through a software package, can be used simultaneously with the existing Ground Moving Target Indication (GMTI) and Synthetic Aperture Radar (SAR) modes.

Key points
  • Maritime Moving Target Indication (MMTI) mode tracks small, fast-moving craft to larger, slower vessels, in all weather conditions, day and night.
  • MMTI mode adds to the already best-in-class Ground Movement Target Indication (GMTI) and Synthetic Aperture Radar (SAR) modes.
  • I-Master is an easy to use, 360º radar, in a 15-inch gimbal unit weighing less than 30kg.

The choice of modes in a single sensor, together with its small form factor and high-performance capability, makes I-Master ideally suited for a wide range of manned and unmanned platforms.

MMTI allows users to detect and track targets on water: from small, fast-moving craft such as jet-skis; to larger, slower vessels such as ships and tankers, in all weather conditions, day and night. Algorithms designed specifically by Thales allow users to perform a range of tasks that include detecting unusual vessel movements, perform “pattern of life” analysis, and conduct persistent tracking of targeted vessels.

With MMTI mode, I-Master can now see the widest range of man-made movement, from an individual walking on the land to a ship sailing on the sea, and everything in between, using a single sensor.

The new maritime mode is designed for customers seeking to monitor maritime borders and exclusive economic zones, protect strategic maritime assets, and track the movement of vessels not using the Marine Automatic Identification System.

I-Master is a world-leading 360º radar sensor, easily installed in an existing 15 inch EO turret mounting point weighing less than 30kg. It is ideally suited for a range of manned and unmanned aircraft, both fixed and rotary winged. It is a high performance sensor designed within the demanding size, weight and power (SWaP) constraints imposed by smaller air platforms.

“We have taken our best-in-class I-Master radar and made it even better by adding a maritime mode through the addition of a software package. This allows our customers to monitor wide areas of land and sea simultaneously through a single sensor, making I-Master an ideal solution for airborne surveillance requirements.”
Eddie Awang, Thales VP in charge of Intelligence, Surveillance and Reconnaissance business

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