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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:40
Le Buk dans la généalogie des SAM soviéto-russe

 

Par Joseph Henrotin et Philippe Langloit. Technologie & Armement n°4, février-mars 2007.

 

Utilisé massivement par l’Égypte durant la guerre du Kippour, le SA-6 Gainful (Kub) sera à l’origine de la perte de nombreux appareils israéliens, de sorte que la prise de quelques systèmes, incluant celle de radars Straight Fush, a rapidement été considérée comme un objectif prioritaire par les forces israéliennes. Envoyés aux États-Unis, ces systèmes allaient permettre de concevoir des contre-mesures adaptées, au bénéfice tant d’Israël que des forces de l’OTAN, le SA-6 étant alors déployé sur le théâtre centre-européen dans des unités du niveau bataillon. Aussi, considérant dès 1970 que l’efficacité du SA-6 serait, à terme, remise en question, le ministère soviétique de la défense ordonnera la conception d’un nouveau système, qu’il appellera Buk. En réalité, toutefois, les efforts soviétiques en matière de défense aérienne étaient continus et NIIP Thikomirov, déjà à l’origine du SA-6, travaillera également sur ce qui deviendra le complex 9K37, plus connu sous sa désignation OTAN de  SA-11.

 

Suite de l'article

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:30
Satellites espions : la France à nouveau proche de conclure aux Emirats Arabes Unis

Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, a beaucoup œuvré en coulisse pour enfin confirmer le contrat signé en juillet dernier entre les deux industriels, Airbus Space Systems et Thales Alenia Space

 

18/07/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Airbus Space Systems et Thales Alenia Space sont à nouveau proche de conclure aux Emirats Arabes Unis (EAU) la vente de deux satellites d'observation (programme Falcon Eye). Un contrat estimé à 700 millions d'euros à partager entre les deux industriels.

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 12:50
Eurofighter pilot highlights the brand new radar system

 

18.07.2014 by Airbus DS

 

Eurofighter Typhoon Capability Manager and pilot Paul Smith highlights the advantages of the new radar system.

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 16:55
La sonde SMART-1 en route vers la Lune photo J. HUART ESA

La sonde SMART-1 en route vers la Lune photo J. HUART ESA

 

17.07.2014 Safran

 

Développé dans le cadre du programme « Nouvelle France Industrielle », le propulseur PPS®5000 de Snecma (Safran) est destiné à équiper les futures générations de satellites à propulsion « tout électrique ». Thales Alenia Space France et Airbus Defense & Space l’ont déjà retenu pour leurs plates-formes de satellites de nouvelle génération.

Moteur PPS® 5000 | © Eric Forterre / Snecma / Safran

 

Petite révolution dans le secteur spatial : début 2013, le groupe d’aéronautique Boeing recevait pour la première fois une commande de satellites à propulsion électrique. Ces derniers utilisent uniquement de l’énergie électrique pour assurer leur mise en orbite puis leur maintien en position géostationnaire, contrairement aux satellites « classiques » à propulsion chimique. « Suite à cette commande, tous les maîtres d’œuvre se sont attelés à la conception de ce nouveau type de satellites, se souvient Nicolas de Chanaud, responsable adjoint chez Snecma du Programme propulsion plasmique. Parmi eux, Thales Alenia Space France et Airbus Defence and Space, dont nous étions déjà fournisseur en propulsion plasmique. » Cette collaboration a été renforcée par la signature, en mars et mai 2014, de deux accords de coopération faisant du propulseur plasmique PPS®5000 de Snecma le moteur de référence de leurs plates-formes de satellites « tout électrique » de nouvelle génération, baptisées respectivement Spacebus et Eurostar. « Nous bénéficions également d’un fort soutien du CNES* et de l’ESA** pour le développement de ce propulseur », précise Nicolas de Chanaud.

 

Faible poussée et hautes performances
Les propulseurs électriques utilisent l’énergie produite par les panneaux solaires du satellite pour éjecter un gaz, en général du xénon, produisant ainsi la poussée. « A charge utile égale, l’utilisation de la propulsion électrique permet de réduire de 40 % la masse d’un satellite de télécommunications, explique Nicolas de Chanaud. En effet, quelques kilogrammes de gaz suffisent pour propulser un satellite, alors qu’un moteur chimique nécessite plusieurs tonnes de carburant. Les opérateurs qui choisissent ce type de propulsion vont donc pouvoir utiliser un lanceur moins puissant et donc moins cher. Dans le contexte économique actuel, réduire les coûts de lancement est devenu un critère déterminant pour certains clients. »

La puissance électrique disponible à bord étant limitée, ces propulseurs génèrent une poussée globale faible. Dans ces conditions, il faut compter trois à six mois pour atteindre l’orbite géostationnaire, contre une dizaine de jours avec la propulsion chimique, plus puissante mais très consommatrice de carburant. « La solution électrique répond toutefois aux besoins des opérateurs qui gèrent plusieurs satellites en orbite et peuvent ainsi prévoir longtemps à l’avance leur remplacement », estime Nicolas de Chanaud. Cette technologie s’adapte aussi bien à l’exploration spatiale. Le premier propulseur plasmique de Snecma, le PPS®1350, a assuré la propulsion principale de la sonde lunaire ESA SMART-1, lancée en 2003 avec seulement 80 kg de gaz xénon. Sa mission s’est achevée en 2006 après avoir fonctionné près de 5 000 heures !

Une large gamme de puissance
« Il existe différents types de propulseurs électriques, rappelle Nicolas de Chanaud. Chez Snecma, nous avons choisi la propulsion plasmique, avec l’ambition de devenir le leader de la propulsion électrique des satellites. » (Voir encadré). Actuellement en cours de développement, les futurs propulseurs plasmiques de Snecma couvriront une large gamme de puissance, allant de 500 W à 20 kW. « Outre les propulseurs, nous disposons d’une expertise système, incluant la gestion et la distribution de la puissance électrique à bord, ainsi que la gestion du gaz. Cela nous permet de proposer des solutions modulaires à nos clients. »

 

 

En savoir plus

Le fonctionnement de la propulsion plasmique

Les propulseurs plasmiques de Snecma utilisent du xénon. Ce gaz est injecté dans un canal de décharge où il est bombardé d’électrons, afin que ses atomes se chargent positivement. Utilisant les mêmes principes de physique qui font que deux aimants opposés se repoussent, les ions positifs de xénon placés dans un champ électrique vont alors être éjectés du propulseur à très haute vitesse (environ 20 km/s), produisant ainsi la poussée.


* CNES : Centre National d’Etudes Spatiales
** ESA : European Space Agency

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 12:35
Rafale photo Livefist

Rafale photo Livefist

 

16.07.2014 (Boursier.com)

 

L'Inde aurait entamé les négociations finales avec Dassault Aviation concernant le contrat d'acquisition de 126 'Rafale', pour moderniser son armée de l'air. Le pays "poursuit avec sérénité les négociations finales pour l'acquisition de 126 chasseurs français Rafale, dans un projet de 20 milliards de dollars", écrit le 'Times of India'. Des sources obtenues au ministère de la défense local par le quotidien laissent entendre qu'une nouvelle réunion est prévue cette semaine entre les autorités, Dassault Aviation et son partenaire Hindustan Aeronautics (HAL).

 

Les négociations, complexes, "auraient finalement atteint un point qui pourrait permettre de les finaliser sous trois mois", ajoute le journal, qui estime que plus de 50% du contrat final et des accords intergouvernementaux sont acquis. "Après ça, le politique entrera en jeu", a indiqué la source au 'Times of India', avec le processus d'approbation de la commission gouvernementale pour la sécurité, puis la signature effective.

 

Combats d'arrière-garde

 

Le projet actuel prévoit que les forces indiennes reçoivent leurs 18 premiers jets de combat, produits en France, sous 36 à 48 mois. Les 108 autres seraient fabriqués sur les sept années suivantes en Inde par HAL, dans le cadre d'un transfert de technologie par Dassault. Le quotidien croit savoir malgré tout que les rivaux écartés du processus continuent à chercher à torpiller l'accord. Le Royaume-Uni et l'Allemagne auraient par exemple récemment tenté de rappeler l'Eurofighter Typhoon au bon souvenir du gouvernement indien, tandis que les Etats-Unis prépareraient le terrain pour relancer le F/A18 Super Hornet ou le F-16 Super Viper avant la visite officielle du premier ministre indien à Washington en septembre. Le 'Times of India' croit lui savoir que "l'establishment" n'a aucune intention de revenir en arrière...

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 07:40
La poupe du 2e BPC russe (a) fait des ronds dans l'eau devant Saint-Nazaire

 

14.07.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

Un coup d'oeil sur le site https://www.marinetraffic.com/fr/ permet de confirmer que la moitié arrière du second BPC russe, le Sébastopol, est au large de Saint-Nazaire depuis hier soir et qu'il patiente en faisant des 8 ou des 0. Il est tiré par un remorqueur (l'En avant 20) qui ne devrait gagner le port que mardi avec la marée montante du soir.

 

en avant_2.jpg

 

Voici à quoi ça ressemble (photo ci-dessus): le remorqueur En avant 20 (qui a quitté la Russie le 26 juin) et la poupe d'un BPC (ici, il s'agit de celle du Vladivostock, la photo datant de 2013).

 

Cliquer ici pour lire un communiqué de presse (en russe!).

 

Le 11 juillet, c'est la partie avant du BPC (celle construite à Saint-Nazaire) qui a été positionnée de façon à recevoir la poupe. Cliquer ici pour voir la vidéo de mes collègues de Saint-Nazaire.

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 07:30
Défense: Un Contrat de 1,2 $ Milliard pour IAI (Israel Aerospace Industries)

 

15.07.2014 par Avner Myers – Israel Valley

 

Israel Aerospace Industries (IAI) est actuellement en pourparlers pour commercialiser des systèmes électroniques pour un montant de 1.2 milliard de dollars.

 

L’accord imminent, avec un client étranger dont l’identifié n’a pas été dévoilée, comprend la livraison de systèmes radar de pointe.

 

Ces informations ont été révélées par la société israélienne d’armement via un communiqué laconique adressé à la Bourse de Tel-Aviv. En cas de signature du contrat, l’accord portera pour une durée de 5 ans.

 

IAI a rendu public cette annonce peu de temps après celle révélant une prévision de trésorerie en déficit pour le deuxième trimestre 2014, causée principalement par un retard de paiement de dettes du ministère de la Défense. Le Ministère serait en effet débiteur d’une somme de 250 millions de dollars, contre 175 millions de dollars à la fin du premier trimestre. Cette situation expliquerait le déficit de trésorerie de IAI lors des deux derniers trimestres.

 

En conséquence, IAI envisagerait d’émettre de nouvelles obligations boursières dans le courant du mois de juillet afin de financer ses opérations en cours.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 10:50
EURONAVAL 2014 - Les industries mondiales de défense navale confirment le leadership du rendez-vous parisien

 

source Euronaval
 

27 au 31 octobre 2014, Paris-Le Bourget / France


A 4 mois de l’ouverture de ses portes au Bourget, le salon professionnel EURONAVAL, exclusivement dédié à la défense navale et à la sécurité maritime, a toutes les cartes en main pour faire de l’édition 2014 un rendez-vous international particulièrement réussi. Plus de 50 % d’exposants étrangers seront présents sur les quelques 15 000 m² de surface d’exposition déjà presque entièrement occupés. Cette 24e édition du leader mondial des salons dédiés au naval militaire et civil sera une nouvelle preuve de l’activité soutenue de ce secteur économique, notamment au Moyen-Orient et en Asie. 


Etat des lieux par Jean-Marie CARNET, Directeur Général d’EURONAVAL

Le dynamisme de l’économie navale mondiale, avec ses multiples composantes - qu’elles soient militaires, de sécurité civile, de sûreté ou de protection de l'environnement - découle des tensions nouvelles autour des espaces océaniques, supports de croissance du XXIe siècle :

" L'espace maritime est de plus en plus stratégique. 80% du commerce mondial, en volume, transite par mer. Fait moins connu mais hautement sensible, les océans sont aussi l’épine dorsale de la mondialisation en hébergeant l’internet océanique, coeur du trafic web international et donc de l’économie mondiale. Avec l'épuisement programmé des ressources terrestres, les Etats cherchent désormais en mer énergie, nourriture, matières premières pour les quelques 9 milliards d’habitants projetés à horizon 2050. Toutes ces données objectives sont à l’origine des grandes manœuvres actuelles des Etats autour des espaces maritimes qui les poussent à s’équiper en conséquence pour défendre les intérêts de leur population respective. Une demande croissante d’équipements garante d’une activité globale soutenue au niveau mondial. "   

EURONAVAL, leader mondial des expositions de défense navale, de sécurité et de sûreté maritime.

Au fil de ses 24 éditions, EURONAVAL est devenu la plus grande plate-forme d'échanges internationaux sur les questions navales et maritimes (hors plaisance). Un statut de leader qui doit beaucoup à l’excellence des industries navales françaises, 6e constructeur mondial et 2e européen, à l’origine de la création de cette biennale en 1968. Cette exposition internationale de 5 jours organisée par le GICAN* est l’équivalent naval du SIAE (salon international de l'aéronautique et de l'espace) organisé par le GIFAS pour l’aéronautique et d’EUROSATORY organisé par le GICAT pour le terrestre, dont la dernière édition mi-juin a connu un large succès. 

La hausse régulière du nombre des délégations officielles de très haut niveau sur EURONAVAL confirme la prise de conscience par les Etats des immenses enjeux liés au « 6ème Continent » de notre planète. Pour répondre à cette prise de conscience, la biennale parisienne répond à l’ensemble des besoins pour les missions de souveraineté dans le domaine naval militaire et depuis quelques années, les actions des Etats en mer liées à la sécurité et sûreté maritime (maintien de l’ordre public en mer, police de la navigation et des pêches, surveillance maritime et côtière).  

Parmi les nouveautés présentées, EURONAVAL proposera des unités de surface, des sous-marins, des embarcations commandos accompagnées de leurs armements et équipements, des drones de surface et sous-marins, des aéronefs, des AUSV (autonomous unmanned surface vehicules), ainsi que de nouveaux concepts notamment liés à la furtivité.

Plus qu’un salon professionnel, EURONAVAL est la vitrine internationale de la technologie qui rassemble l’ensemble des décideurs et acheteurs du monde entier et le panel complet des industriels, concepteurs et fournisseurs de matériels, de systèmes simples et complexes, ainsi que des services associés. 


* Le GICAN, Groupement des Industries de Construction et Activités Navales, compte 159 sociétés adhérentes (juin 2014) qui représentent environ 8,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires cumulé et plus de 40 000 emplois directs.

EURONAVAL 2014 innove   

Côté exposants, EURONAVAL accueillera les pavillons de nouvelles nations aux ambitions déclarées dans le secteur naval avec l’Inde et l’Australie. La Belgique, les Emirats Arabes Unis et la Turquie feront également, pour la première fois, leur entrée sur la biennale. 

Les technologies innovantes seront également mises en lumière avec la création de « l’Espace simulation et réalité immersive ». Pour la première fois sur EURONAVAL, délégations, exposants, journalistes et visiteurs auront accès aux technologies immersives 3D, à la réalité virtuelle et augmentée dédiée au naval sur un espace animé par de prestigieux partenaires. Ces technologies concernent aussi bien la conception et la construction des navires, la revue de projets, la formation des opérateurs et des personnels de production, les étapes du cycle de vie d’un produit appliquées au transport maritime, à la défense navale, à la sécurité-sûreté maritime ou à l’exploration sous-marine. 

Conférences et Workshops

Un effort particulier a été fait pour l’édition 2014 afin d’intégrer une participation internationale significative dans deux des trois grandes conférences plénières proposées. 

Mardi 28 octobre : « Evolution des types de conflits en mer d’ici à 2025 », accompagnée d’une appréciation sur l’adéquation des moyens technologiques pour résoudre les problèmes sécuritaires.

Mercredi 29 octobre : « Apport de la coopération internationale pour maintenir un outil industriel puissant » ou les modes de coopération internationale à travers les transferts de technologie et la nécessité de disposer d’un outil industriel performant pour une exploitation raisonnée et sécurisée des richesses maritimes. 

Avec les workshops, les équipementiers et prestataires de services pourront proposer leurs idées sur les technologies de demain qui répondront aux besoins exprimés par les grands donneurs d’ordres nationaux et étrangers. 

Les rendez-vous BtoB seront organisés par la CCI Paris-Île de France et le réseau Entreprise Europe Network qui assurera la promotion des Business Meetings à travers 52 pays partenaires, le European Enterprise Network (EEN). Ce partenariat avec EEN favorisera l'identification dans leurs pays respectifs des grands comptes ou donneurs d'ordres correspondant à une cible définie auparavant par et avec le GICAN.

Les Trophées EURONAVAL
Accueillant une forte proportion d'exposants étrangers et un visitorat très largement international, EURONAVAL est un évènement de référence mondiale. Toutes les récompenses décernées sur la biennale sont des labels d’excellence. Les Trophées EURONAVAL sont ouverts aux innovations internationales dans deux des trois catégories : un Trophée innovation sur le thème navire du futur et un Trophée innovation sur le thème de la sécurité maritime ; le troisième Trophée, celui de la performance, récompense la PME/ETI française ayant mis en place le meilleur projet d’exportation, de diversification, d’implantation ou de partenariat à l’export. 

Le Campus naval d’EURONAVAL
Lancé lors d'EURONAVAL 2012 sous l’égide du GICAN, le Campus Naval rassemblera en 2014 les principaux organismes de formation initiale et continue aux métiers navals qui feront la promotion de l’accès aux métiers de la filière industrielle navale, une filière de haute technologie. 

EURONAVAL 2014 en quelques chiffres 
  • Plus de 350 exposants 
  • Plus de 50% d’exposants étrangers représentant 27 pays  
  • 15 000 m² de surface d’exposition 
  • Plus de 90 délégations officielles attendues de 65 pays 
  • 350 journalistes attendus 

Plus d’informations sur : www.euronaval.fr 
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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 10:50
Christian Bréant joins Thales as VP, Director Advanced Studies and Strategic & Economic Intelligence

 

July 10, 2014 Thales Group

 

Christian Bréant has joined Thales as VP, Director Advanced Studies and Strategic & Economic Intelligence within the Group's Strategy, Research and Technology department, led by Hervé Multon. Since 2008, Christian Bréant has been Director of Research & Technology (R&T) at the European Defence Agency.

 

A graduate of the École Polytechnique and ENSTA Paris Tech (École Nationale Supérieure de Techniques Avancées), Christian Bréant, 58, began his career in the French Defence Procurement Agency (DGA) in 1985, after completing a doctorate in laser physics at the French National Centre for Scientific Research (CNRS) and postdoctoral training in the United States.

 

In 1992, he joined the office of France's Chief of Defence Procurement, where he launched the project to set up the Palaiseau scientific defence cluster, and later became Deputy Director of R&T at the DGA.

 

Following three years as Deputy Director of the DGA's Industrial Affairs and Cooperation, he was appointed Director of the Defence Analysis Centre (CAD) in 2000, after completing further training at the foremost French military academy, the Centre des Hautes Études Militaires, and France’s Institut des hautes études de la défense nationale.

 

In 2004, he became Director of R&T for Defence & Security and Deputy Director for Technology Strategy at the DGA.

 

Christian Bréant was elected as a member of the Academy of Technology at the Institut de France in 2005. He is an Officer of both France's Légion d’Honneur and its Ordre National du Mérite.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 07:56
Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

Leclerc-VBCI (Nexter- photo G. Belan) - LEOPARD 2 A5 (KMW)

 

11/07 Thibaut Madelin à Berlin et Denis Meynard à Saint-Etienne – LesEchos.fr

 

Les négociations de fusion avec Nexter sont exclusives pendant une période définie a déclaré Krauss-Maffei Wegman qui rejette ainsi la contre-offre de Rheinmetall.

 

Krauss-Maffei Wegmann (KMW) a renvoyé son partenaire et concurrent Rheinmetall dans les cordes. Le constructeur allemand de chars d’assaut a déclaré ce vendredi que tant qu’il discutait fusion avec le français Nexter il ne pouvait négocier avec personne d’autre. «  Dans l’accord (passé avec Nexter), les deux parties s’engagent à ne pas discuter fusion avec des tierces parties pendant une période définie », a déclaré vendredi à Reuters un porte-parole .

Selon « Handelsblatt », Rheinmetall prépare une offre sur KMW avec lequel il coopère sur plusieurs modèles dont le char Puma. « Des contacts ont eu lieu au plus haut niveau », rapporte le quotidien des affaires. Le groupe de Düsseldorf envisage deux options pour la famille actionnaire de KMW. La première prévoit que celle-ci devienne le premier actionnaire de Rheinmetall, avec 25 % à 30% du capital, en échange de l’apport de leur société. La deuxième envisage une fusion entre l’activité de défense de Rheinmetall et celle de KMW, dont les tailles sont comparables. Un rapprochement germano-allemand pourrait entraîner des synergies de 60 à 70 millions, selon le « Handelsblatt ».

Rheinmetall a refusé de commenter, mais la société n’a jamais caché son intérêt pour son rival. Des discussions ont échoué à plusieurs reprises dans le passé, se heurtant notamment aux réserves de la famille Wegmann.

 

Le précédent Atlas Electronik

Attendu, ce rebondissement rappelle l’épisode Atlas Electronik. Fin 2005, Thales avait voulu acheter à BAE Systems cet équipementier allemand. Le britannique a finalement choisi l’offre de ThyssenKrupp et d’EADS, inférieure mais soutenue par Berlin. Le gouvernement allemand peut bloquer la cession de plus de 25% d’une société de défense à des étrangers.

Depuis son annonce, l’industrie allemande est prudente sur le projet Nexter-KMW. « Si cette opération réussit, je suis prêt à offrir une bouteille de champagne car ce serait un pas juste vers la consolidation de l’industrie de défense européenne », déclare aux « Echos » Georg Wilhelm Adamowitsch, directeur général de la fédération de l’industrie de sécurité et de défense (BDSV).

En France, parmi les syndicats de Nexter, seule la CGT s’y oppose. « Nous sommes pour des coopérations européennes, mais contre une alliance capitalistique qui conduirait à une spécialisation par pays, avec l’abandon de l’activité blindé en France », explique Jean-Pierre Brat, délégué syndical central. La CGT souligne que l’Etat français a obtenu dans les négociations avec KMW de protéger l’artillerie et les munitions, mais pas les blindés.

 

CGT contre, CFDT, FO et CFE-CGC ouverts

Premier syndicat maison, la CFDT refuse tout dogmatisme « On a posé des questions, demandé des garanties industrielles et sociales, ainsi que la création d’un comité de suivi avec le ministère », explique André Golliard, représentant des salariés au conseil d’administration. Hervé Duverger (FO,), estime que les salariés pourraient être rassurés par des commandes. En France, la notification du programme Scorpion est bloquée du fait du contexte budgétaire.

Enfin, le « oui mais » de la CFE-CGC reflète « l’espoir placé dans cette alliance européenne et le désir de plus de transparence sur la stratégie de notre direction et sur le type de portage que veut opérer notre actionnaire actuel », selon Pascal Poyade, délégué à Roanne (Loire).

Thibaut Madelin (à Berlin) et Denis Meynard (à Saint-Etienne)
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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 07:45
Boeing and Paramount sign defence and security agreement

 

15 July 2014 by defenceWeb

 

Boeing and Paramount Group today at the Farnborough International Airshow signed a memorandum of collaboration to jointly develop defence and security opportunities in key international markets.

 

The agreement will allow Boeing and Paramount to apply their complementary strengths in providing aircraft and land systems solutions for customers in Africa and other major markets that face a range of security challenges, Boeing said in a statement. Those include border security; heavy airlift of products and personnel across vast distances; coastal piracy and anti-poaching; and disaster and humanitarian relief as part of future coalition efforts.

 

Platforms being explored under the collaboration include various Boeing rotorcraft, unmanned aerial systems and related support services, as well as Paramount’s portfolio of land vehicles and aerospace systems capabilities.

 

“Boeing and Paramount will be able to provide new or existing customers with a unique partnering of defence solutions and capabilities, including the retrofitting or refurbishment of existing platforms, systems integration, as well as training and maintenance support for any new acquisitions,” said Chris Chadwick, president and CEO of Boeing Defence, Space and Security. “Together we will be able to offer African customers the full scope of defence and security needs from two global leaders in their respective fields.”

 

"Africa is one of the world’s fastest-growing markets for aerospace and defence equipment, and we are very pleased to be partnering with Boeing to combine our various capabilities to better serve our customers in Africa and elsewhere,” said Ivor Ichikowitz, Paramount Group chairman. “Paramount has extensive world-class design, development and manufacturing capability in Africa, which we consider to be an asset of the continent. It has for many years been our policy to identify best-of-breed partners to collaborate with in growing our African capability.”

 

Boeing’s defence portfolio includes the KC-46 tanker, 737 Airborne Early Warning platform, ScanEagle unmanned aerial vehicle, P-8 Poseidon maritime patrol aircraft, CH-47 Chinook transport helicopter and AH-64 Apache and AH-6i combat helicopters while Paramount offers armoured vehicles, UAVs, patrol vessels and aircraft upgrades, amongst others.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 05:50
MBDA présente la cuvée 2014 de son « Concept Visions »

Avec Stratus, l’opérateur dispose d’une présentation claire de tous les capteurs et armements sous son contrôle

 

15 juillet, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

C’est à présent une tradition : depuis cinq ans, MBDA présente chaque année son projet « concept visions ». Un exercice de style destiné à promouvoir des technologies, interroger les utilisateurs finaux sur des besoins futurs à une échéance relativement lointaine, 20 ans et plus. Concept Visions n’est pas un programme et ne donnera pas lieu à un développement : c’est une initiative devant permettre à une équipe multinationale et jeune du missilier de développer sa créativité. L’an dernier, l’étude portait sur un missile surface-sol à longue portée « Hoplite ». Cette année, le salon de Farnborough est l’occasion de mettre en lumière le système Stratus.

 

« Stratus est une approche pour faire communiquer les systèmes d’armes et permettre, in fine, d’accéder directement à leurs armements » explique Laurent de Moussac, le seul français de l’équipe Concept Visions 2014. Les cinq autres participants sont anglais, italiens et allemand. « Avec Stratus, nous allons jusqu’à l’engagement complet du système d’arme. L’opérateur devant sa console dispose d’une présentation claire et simple de tous les capteurs et armements sous son contrôle, aussi bien sur des plateformes terrestres, aériennes que maritimes. Et il a tout le loisir d’utiliser celui qui lui offre les meilleurs résultats pour un effet recherché. Le système permet de transférer l’autorité au plus près des systèmes d’armes pour une efficacité optimale, tout en respectant la chaîne de commandement existante…  ».

 

Concrètement, les six jeunes ingénieurs ont pu réfléchir à des éléments portant sur l’interface homme-machine, sur les besoins en formation de l’opérateur, du partage des sessions d’engagement, les besoins en bande passante pour faire communiquer l’ensemble des systèmes et obtenir au bout du compte un système d’arme unique et virtuel à l’échelle d’un théâtre d’opération.

 

« Nous avons travaillé pendant six mois sur cette idée » poursuit Laurent de Moussac. « Nous avons exploré les grands principes en matière de partage des ressources, coordination, interfaçage des systèmes de commandement et de contrôle (C2) qui ont ensuite été soumis à un panel d’experts qui a passé nos propositions au crible ».

 

A long terme, l’enjeu très concret pour MBDA est de savoir faire communiquer ses capteurs et missiles : que chaque système d’armes devienne accessible, via une fonctionnalité « plug and fight »  déjà intégrée, à tout centre C2 ou même à tout combattant débarqué. Pour que par exemple un chef de section au contact puisse commander le tir d’un missile depuis un navire, un avion ou une batterie terrestre. Pour chaque demande d’effet, Stratus génère des solutions adaptées en se basant sur l’ensemble des ressources disponible et les présente à l’utilisateur.

 

« Nous avons travaillé sur des principes que l’on pourrait implémenter progressivement dans les équipements MBDA pour les rendre aptes à cette fonctionnalité » précise enfin Laurent de Moussac. « Un peu comme l’apparition du Wifi qui a été précédée de l’équipement d’une large gamme d’appareils avec les bons moyens de communication, partagés par tous ».

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 16:35
Bangladesh orders two AW139 helicopters from AgustaWestland

The AW139 belongs to AgustaWestland's family of new generation helicopters. Photo AgustaWestland - A Finmeccanica Company.

 

15 July 2014 airforce-technology.com

 

Bangladesh has ordered two AW139 intermediate twin-engine helicopters, along with a support and training package, from AgustaWestland.

 

The Finmeccanica subsidiary will supply the helicopters by the end of 2015.

 

The helicopters are expected to be operated by the air force to perform maritime search-and-rescue (SAR) operations in all weather conditions. They will also be used to conduct missions in support of maritime security and disaster relief.

 

The advanced mission configuration of the Bangladeshi AW139s will include search / weather radar, forward looking infrared, search light, rescue hoist, emergency floats and a four-axis dual digital automatic flight control system with hover and SAR modes.

 

 

Powered by two Pratt & Whitney PT6C turboshaft engines, the AW139 is a 15-seat medium-sized helicopter.

"The helicopters are expected to be operated by the air force to perform maritime search and rescue operations."

 

In addition to SAR, the helicopter is widely used for offshore passenger transport, law enforcement, emergency medical service, VIP / corporate transport and firefighting.

 

The chopper belongs to AgustaWestland's family of new generation helicopters, and has the same flight characteristics and safety features as the other members, such as the AW169 and AW189.

 

All three helicopters share common cockpit concept and design philosophy.

 

AgustaWestland has simultaneously won contracts for the supply of one AW139 each for Japan and the UK.

 

The Yokohama City Fire Department in Japan has ordered an AW139, the second in its fleet, while an undisclosed customer from the UK has ordered the helicopter for VIP transport.

 

Last week, Australia ordered six helicopters for emergency medical service.

 

AgustaWestland has more than 770 orders for AW139 from 60 countries including Italy, Spain, Estonia, Japan, South Korea, Malaysia, Sweden and the UK.

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 12:30
Patriot in Turkey photo Nato

Patriot in Turkey photo Nato

 

14/7/14 – LaCroix.com

 

L'émirat du Qatar va acquérir pour 11 milliards de dollars de missiles Patriot (Raytheon) et d'hélicoptères d'attaque Apache auprès des Etats-Unis, ont annoncé des responsables du Pentagone à l'AFP lundi.

 

Le ministre de la Défense du Qatar, Hamid ben Ali Al-Attiyah, a signé le contrat à l'issue d'entretiens avec son homologue américain Chuck Hagel à Washington, ont précisé ces responsables qui s'exprimaient sous le couvert de l'anonymat.

 

Le Qatar entend ainsi s'équiper pour contenir la menace qu'il voit dans l'Iran voisin, expliquent-ils.

 

Dans le détail, l'émirat acquiert une dizaine de radars et 34 lanceurs de missiles Patriot, fabriqués par le groupe de défense américain Raytheon, et destinés à la défense anti-missile. En outre, Doha achète 24 hélicoptères d'attaque Apache et des missiles anti-char Javelin, selon les mêmes sources.

 

Il s'agit du plus gros contrat d'armement passé cette année par les Etats-Unis.

 

L'avionneur américain Boeing est de son côté en compétition avec le britannique BAE Systems et le français Dassault pour fournir au Qatar des avions de chasse.

 

Dans ce contexte, la vente de lundi est "un bon signe" pour Boeing, s'est réjoui un haut responsable du Pentagone.

 

Les Etats-Unis, a-t-il poursuivi, veulent continuer à être "le fournisseur de choix" du Qatar et d'autres Etats du Golfe en termes d'armement.

 

C'est la première fois que le Qatar se dote de missiles Patriot, tandis que d'autres pays du Golfe comme le Koweït, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis en ont déjà acheté par le passé.

 

Les responsables américains pressent depuis longtemps leurs partenaires du Golfe de mettre en place un réseau coordonné de défense anti-missile pour faire face à la menace de l'Iran, mais une telle coopération a mis du temps à s'installer.

 

La vente de ces armes va améliorer les relations diplomatiques et de sécurité des Etats-Unis avec le Qatar, a estimé l'un des responsables, malgré des différends qui persistent sur le dossier syrien et notamment l'aide de Doha à certains groupes rebelles jugés trop radicaux par Washington.

 

"C'est un investissement dans la prochaine génération (de dirigeants militaires)... C'est un investissement sur le long terme", a souligné l'un des responsables.

 

D'autant que le Qatar abrite le Centre des opérations aériennes combinées (CAOC), capital pour l'armée américaine car les hauts responsables militaires y supervisent leurs avions de combat en Afghanistan et surveillent le trafic aérien à travers le Moyen-Orient.

 

La vente de ces armes sera également bénéfique à l'économie américaine, selon ces responsables, qui citent le chiffre de 54.000 emplois créés dans le cadre du contrat signé avec le Qatar.

 

Les missiles Patriot valent plus de 7 milliards de dollars, les hélicoptères Apache plus de 3 milliards et les missiles anti-char Javelin près de 100 millions, selon les mêmes sources.

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 12:30
Patriot in Turkey photo Nato

Patriot in Turkey photo Nato

 

14/7/14 – LaCroix.com

 

L'émirat du Qatar va acquérir pour 11 milliards de dollars de missiles Patriot (Raytheon) et d'hélicoptères d'attaque Apache auprès des Etats-Unis, ont annoncé des responsables du Pentagone à l'AFP lundi.

 

Le ministre de la Défense du Qatar, Hamid ben Ali Al-Attiyah, a signé le contrat à l'issue d'entretiens avec son homologue américain Chuck Hagel à Washington, ont précisé ces responsables qui s'exprimaient sous le couvert de l'anonymat.

 

Le Qatar entend ainsi s'équiper pour contenir la menace qu'il voit dans l'Iran voisin, expliquent-ils.

 

Dans le détail, l'émirat acquiert une dizaine de radars et 34 lanceurs de missiles Patriot, fabriqués par le groupe de défense américain Raytheon, et destinés à la défense anti-missile. En outre, Doha achète 24 hélicoptères d'attaque Apache et des missiles anti-char Javelin, selon les mêmes sources.

 

Il s'agit du plus gros contrat d'armement passé cette année par les Etats-Unis.

 

L'avionneur américain Boeing est de son côté en compétition avec le britannique BAE Systems et le français Dassault pour fournir au Qatar des avions de chasse.

 

Dans ce contexte, la vente de lundi est "un bon signe" pour Boeing, s'est réjoui un haut responsable du Pentagone.

 

Les Etats-Unis, a-t-il poursuivi, veulent continuer à être "le fournisseur de choix" du Qatar et d'autres Etats du Golfe en termes d'armement.

 

C'est la première fois que le Qatar se dote de missiles Patriot, tandis que d'autres pays du Golfe comme le Koweït, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis en ont déjà acheté par le passé.

 

Les responsables américains pressent depuis longtemps leurs partenaires du Golfe de mettre en place un réseau coordonné de défense anti-missile pour faire face à la menace de l'Iran, mais une telle coopération a mis du temps à s'installer.

 

La vente de ces armes va améliorer les relations diplomatiques et de sécurité des Etats-Unis avec le Qatar, a estimé l'un des responsables, malgré des différends qui persistent sur le dossier syrien et notamment l'aide de Doha à certains groupes rebelles jugés trop radicaux par Washington.

 

"C'est un investissement dans la prochaine génération (de dirigeants militaires)... C'est un investissement sur le long terme", a souligné l'un des responsables.

 

D'autant que le Qatar abrite le Centre des opérations aériennes combinées (CAOC), capital pour l'armée américaine car les hauts responsables militaires y supervisent leurs avions de combat en Afghanistan et surveillent le trafic aérien à travers le Moyen-Orient.

 

La vente de ces armes sera également bénéfique à l'économie américaine, selon ces responsables, qui citent le chiffre de 54.000 emplois créés dans le cadre du contrat signé avec le Qatar.

 

Les missiles Patriot valent plus de 7 milliards de dollars, les hélicoptères Apache plus de 3 milliards et les missiles anti-char Javelin près de 100 millions, selon les mêmes sources.

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 11:50
viseur de casque Scorpion - photoThales

viseur de casque Scorpion - photoThales

 

14 juillet Aerobuzz.fr

 

Au terme d’un appel d’offres très ouvert, le viseur de casque Scorpion de Thales a été choisi par Airbus Helicopters pour équiper ses futurs systèmes d’armes embarqués. Le système Scorpion sera donc un équipement standard à bord des nouvelles plateformes de l’hélicoptériste, ou dans le cadre de ses programmes de rétrofit.

 

Scorpion permet d’afficher une symbologie couleur et de l’imagerie vidéo pour les missions réalisées de jour et de nuit, outre ses capacités d’acquisition d’objectif, dans un environnement visuel potentiellement dégradé. Il confère ainsi aux hélicoptères armés une excellente appréhension de la situation tactique, se traduisant par une efficacité considérablement accrue. Ce viseur réduit la charge de travail des pilotes d’hélicoptères de combat, facilite les échanges entre les membres de l’équipage et contribue à améliorer les niveaux de sûreté et de sécurité. Scorpion est totalement interchangeable entre casques/pilotes, ce qui permet de réduire le nombre total d’équipements nécessaires sur une flotte. Il utilise la technologie brevetée de détection de posture hybride opto-inertielle HOBiT (Hybrid Optical based Inertial Tracking) pour une précision et une fiabilité maximales, avec une intrusion minimale dans le cockpit. Pour les missions de nuit, Scorpion est associé à des jumelles de vision nocturne (NVG) standard, permettant d’assurer le même niveau de performance, avec affichage combiné de la symbologie couleur et image vidéo, et avec l’imagerie fournie par les jumelles de vision nocturne.

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 07:50
F35 Horizontal Tails stress testing at Brough

 

14.07.2014 BAE Systems

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 07:20
L-ATV vehicle Photo Oshkosh Corporation

L-ATV vehicle Photo Oshkosh Corporation

 

13.07.2014 Oshkosh

 

OSHKOSH, Wis. -- Oshkosh Defense, a division of Oshkosh Corporation (NYSE: OSK), reached a milestone in the U.S. Department of Defense’s (DoD’s) Joint Light Tactical Vehicle (JLTV) program by completing Net-Ready testing with the Oshkosh Light Combat Tactical All-Terrain Vehicle (L-ATV).

 

“We are pleased that our JLTV has demonstrated its capability to transfer critical data from onboard systems to external networks during this testing and evaluation process,” said U.S. Marine Corps Colonel (Retired), John Bryant, senior vice president, Defense Programs for Oshkosh Defense. “This is another important milestone in what has been an exemplary procurement program by the DoD, which will provide the protection and mobility our service men and women need for future missions.”

 

A core element in developing the next-generation light vehicle is fully supporting the execution of operational activities and information exchanges identified in DoD Enterprise Architecture, while satisfying the JLTV’s technical requirements for the transition to Net-Centric military operations. Oshkosh recently completed this testing at the Electronic Proving Grounds at Fort Huachuca, Arizona – the United States Army’s developmental test center for Command, Control, Communications, Computers, Cyber and Intelligence (C5I) capabilities.

 

Oshkosh Defense has successfully completed every milestone to date throughout the JLTV program’s Engineering and Manufacturing Development (EMD) phase, including the design understanding review, manufacturing readiness review and on-time delivery of 22 prototype vehicles 12 months after the start of the EMD phase. As an Original Equipment Manufacturer, Oshkosh has an in-house team of C4ISR experts who designed the C4ISR solution for the fully integrated JLTV EMD prototype vehicles it has delivered for the program.

 

Oshkosh is providing vehicle training and support throughout the 14 months of robust military testing during the EMD phase. The JLTV is expected to fill a significant capability gap that exists between larger MRAP vehicles and the aging High-Mobility Multipurpose Wheeled Vehicles (HMMWV) fleet.

 

Leveraging a 97-year history of innovation, Oshkosh has developed a state-of-the-art vehicle that redefines protection, extreme off-road mobility and the very meaning of the term “mission-ready.”

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 12:55
Falcon 50 MS

Falcon 50 MS

 

12.07.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

C'est l'entreprise Sabena Technics (installée sur l'aéroport de Dinard-Pleurtuit) qui va assurer le maintien en condition opérationnelle des avions Falcon 50 de la Marine Nationale. Huit appareils sont concernés.

La valeur de ce contrat est de 108 429 322 euros (Hors TVA).

L'avis d'attribution est à lire ici.

Les Falcon 50 Mi (Intervention) et Ms (Surveillance) de la Marine Nationale sont des avions triréacteurs supérieurs à 5,7 tonnes, selon les termes de la réglementation civile. Ces avions, issus de la version civile du Falcon 50, ont reçu des modifications spécifiquement militaires, à savoir notamment le radar Ocean Master 100, la trappe de largage (sur Falcon 50 Mi uniquement) ou les hublots d'observation pour les équipages. Leurs missions principales sont la surveillance maritime, la recherche du renseignement, la recherche et le sauvetage en mer.

La consultation portait sur le soutien global (cellule, rechanges cellule et OAE associés; moteurs, rechanges moteurs et OAE associés; GAP, rechanges GAP et OAE associés; autres Oae) en métropole et hors métropole.

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13 juillet 2014 7 13 /07 /juillet /2014 16:55
Le Styx piloté par Rohan Le Trévédic, lors d'une de ses premières sorties à la mer. Photo Stéphane Gallois

Le Styx piloté par Rohan Le Trévédic, lors d'une de ses premières sorties à la mer. Photo Stéphane Gallois

 

13.07.2014 Stéphane Gallois - .entreprises.ouest-france.fr

 

Un bureau d'études d'Arradon a livré un prototype d'embarcation d'assaut pour l'armée de Terre. Désormais un appel d'offres pour d'autres unités est espéré.


Navigation nocturne entre les îles, assaut sur un petit caboteur... Le golfe a été la semaine dernière le théâtre d'opérations navales inhabituelles. Tout avait commencé le lundi avec la mise à l'eau du Styx, une « embarcation fluviale rapide » destinée à l'armée de Terre.

Conçu par la société Pirenn (Arradon), le prototype est une étape importante pour le bureau d'études comme pour les militaires. « Il s'agit de réapprendre à utiliser les fleuves et les plans d'eau intérieurs comme des voies de pénétration et de liaison », explique le chef de bataillon Nicolas de Raguenel, responsable du marché à la Section technique de l'armée de Terre.

Du côté de Pirenn et de ses partenaires - dont le chantier finistérien ACCF, qui a moulé la coque du bateau - cette réalisation est une référence essentielle et on espère qu'elle débouchera dans quelques mois sur un appel d'offres pour d'autres unités.

 

Mis à l'épreuve par les forces spéciales

Mais d'abord, il a fallu mettre les bouchées doubles : seulement six mois se sont écoulés entre la signature du marché et la livraison de cet engin de 8,20 m, entièrement original, propulsé par deux moteurs hors-bord de près de 200 CV et capable d'emporter douze hommes à plus de 40 noeuds. Tout en respectant les normes Otan, évidemment.

Jeune société créée en mai 2013, Pirenn signe là sa première réalisation majeure et scelle ainsi une relation de qualité avec des clients particulièrement exigeants. « Le Styx sera armé et mis à l'épreuve par les forces spéciales, indique Rohan Le Trévédic, directeur général de Pirenn. Des utilisateurs dont nous partageons l'éthique et avec qui nous apprécions de travailler. »

Nicolas de Raguenel confirme. « La réussite de ce projet est largement liée à la qualité des relations humaines que nous avons nouées. » En témoigne la cérémonie de bénédiction qui s'est déroulée à l'île d'Arz, juste devant la terrasse du restaurant L'Escale, dont la propriétaire est devenue marraine du bateau.

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13 juillet 2014 7 13 /07 /juillet /2014 16:55
Mise à flot de la FREMM Languedoc, cinquième frégate multimission

 

13.07.2014 par Philippe Chapleau  - Lignes de Défense

 

DCNS a procédé, hier samedi, sur son site de Lorient, à la mise à flot de la FREMM Languedoc, quatrième de la série commandée par la Marine nationale. Les opérations techniques ont commencé le matin avec la mise en eau de la forme de construction. Les différentes étapes de la mise à flot se sont poursuivies dans la journée, s’achevant par la sortie de la frégate de la forme de construction. Au cours d’une manœuvre d’une quinzaine de minutes, les remorqueurs ont guidé avec succès la frégate jusqu’au quai du site DCNS de Lorient où se poursuivra sa construction.

 

DCNS mène actuellement à Lorient la construction de cinq autres frégates multimissions, à différents stades d’avancement :

- la FREMM Normandie, troisième unité de la série et deuxième pour la Marine nationale, qui a débuté ses essais en mer en octobre 2013 et sera livrée à la Marine nationale fin 2014 ;

- la FREMM Provence, mise à flot au mois de septembre 2013, qui effectuera sa première sortie en mer au troisième trimestre 2014;

- la FREMM Languedoc, qui vient d’être mise à flot ;

- 2 autres FREMM qui sont en cours d’assemblage.

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12 juillet 2014 6 12 /07 /juillet /2014 16:50
Aude Fleurant : "Nexter comme KMW doivent avant tout répondre aux besoins de la France et de l'Allemagne"

La fusion annoncée, mais loin d'être réalisée, entre Nexter et KMW pose à ce stade plus de questions qu'elle n'apporte de réponses.


12.07.2014 par Jean Guisnel - Défense Ouverte / LePont.fr

 

La Canadienne Aude Fleurant est directrice du programme Transferts et productions d'armement à l'institut de recherche Sipri (Stockholm International Peace Research Institute), qui fait autorité sur le sujet. Il nous a paru utile de revenir avec elle sur le rapprochement des industriels de l'armement terrestre Nexter (France) et Krauss-Maffei Wegmann (Allemagne). Elle estime que cette initiative a été prise dans un contexte particulièrement difficile et qu'il convient d'abord d'attendre la réalisation effective de ce projet pour en tirer les premières conclusions. En complément à cet entretien, nos lecteurs se reporteront avec intérêt à l'étude qu'elle a publiée en avril dernier à l'Ifri, titrée Quelles perspectives pour l'industrie européenne des armements terrestres ? Ce document fort copieux et pertinent a été coécrit avec Yannick Quéau, du Grip (Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité)

 

Le Point.fr : On a coutume de décrire l'industrie européenne de l'armement terrestre comme "éclatée". Le rapprochement annoncé entre le fabricant français Nexter et son homologue allemand Krauss-Maffei Wegmann est-il un événement important ?

Aude Fleurant : Il est vrai que l'industrie européenne s'est souvent trouvée dans une logique de fragmentation. Si le rapprochement ou la fusion de Nexter et de KMW devait effectivement se produire dans l'avenir, alors on verrait s'il s'agit de la naissance d'une nouvelle entreprise transnationale. Je vous fais toutefois observer que le mouvement de rapprochement entre industriels européens est engagé depuis longtemps. BAe a repris les Suédois Hägglunds et Bofors. Volvo possède désormais les Français Renault Trucks Defense et Panhard, le munitionnaire norvégien Nammo a acheté des concurrents en Espagne et en Belgique. Quant aux Américains de General Dynamics, ils sont devenus des acteurs importants en Europe après avoir acquis les fabricants de blindés Steyr Daimler Puch en Autriche, Mowag en Suisse, Santa Barbara en Espagne et l'ex-CDC Systems au Royaume-Uni. Les véhicules de combat d'infanterie et les blindés légers européens Piranha, Eagle, Duro, Pandur, Ascod, etc., sont produits par une firme américaine...

 

L'armement terrestre est-il toujours d'une importance stratégique ?

La volonté pour un pays de maintenir sa compétence en matière d'armement terrestre reste symptomatique de son désir d'autonomie. C'est particulièrement vrai en matière d'artillerie. Mais quand le gouvernement français veut s'assurer une "golden share" dans le futur ensemble Nexter-KMW, c'est bien pour s'assurer que l'entreprise agira conformément à ses souhaits. S'agissant des véhicules blindés, j'observe que l'Europe du Nord et les Peco (pays d'Europe centrale et orientale) concentrent de nombreux achats en cours. À mes yeux, c'est l'illustration d'une crainte d'affrontements terrestres et territoriaux. En se rapprochant de Nexter, KMW réduit son problème de doublon avec Rheinmetall.

 

Les Français n'apportent-ils pas dans la corbeille de mariage le plus gros contrat européen à venir, avec le programme Scorpion ?

Même si Scorpion est un programme majeur apporté dans la cagnotte du rapprochement, il ne faudrait pas non plus négliger les importants succès affichés part KMW à l'export, ce qui est moins le cas de Nexter. Cela dit, la forme finale de l'union reste très floue et ce qui sera partagé en termes de R&D et de production n'a pas encore été rendu public. Des projets de rapprochement se discutaient depuis une dizaine d'années, cela va prendre encore du temps pour bien définir la stratégie industrielle de la nouvelle entité et le partage des tâches. Les discours officiels ont été à ce jour d'une grande prudence, pour ne pas inquiéter les syndicats des deux côtés du Rhin, ni les autorités du land de Bavière.

 

Les Français exportent leur artillerie, mais pas leurs blindés. Les marchés peuvent-ils absorber les véhicules de très haute technologie produits en France et en Allemagne ?

C'est un problème, et Nexter comme KMW doivent avant tout répondre aux besoins de la France et de l'Allemagne. À l'international, cependant, le contexte économique n'est pas facile. Il y a certainement des clients prêts à payer pour des équipements plus sophistiqués, mais leurs marchés attirent la convoitise de la plupart des grands fournisseurs mondiaux. Dans d'autres cas des pays comme l'Afrique du Sud et Israël proposent des systèmes performants et moins coûteux. De plus, aujourd'hui tout particulièrement, le marché est inondé de surplus américains à coût modérés. Les concurrents possibles peuvent par ailleurs parfois se trouver bloqués, comme la Turquie qui n'a pas de moteur pour son futur char de combat national Altay, produit par Otokar, puisque les Allemands refusent de le leur vendre.

 

Le chiffre d'affaires cumulé de Nexter et KMW est de moins de deux milliards d'euros, juste en dessous de Rheinmetall, mais très inférieur à celui de BAe Systems et General Dynamics dans l'armement terrestre. Pensez-vous que le mouvement de consolidation est terminé ?

Presque 2 milliards de CA n'est pas négligeable, et il ne faut pas perdre de vue qu'en matière d'armements terrestres et particulièrement de véhicules, BAe et GD font l'essentiel de leurs ventes en Amérique du Nord. Cela dit, le CA est peut être un peu juste pour réaliser une R&D sur fonds propres et procéder à des développements de produits destinés aux marchés internationaux. Cela pourrait ouvrir la voie, plus tard, à d'autres acquisitions de ce côté aussi. On peut également se demander ce que fera Rheinmetall. Le rapprochement KMW/Nexter risque de forcer le groupe, qui partage plusieurs projets avec KMW, à se repositionner. On sait depuis un moment que le leader allemand nourrit quelques ambitions pour l'Italien Iveco, par exemple.

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12 juillet 2014 6 12 /07 /juillet /2014 11:55
photo Patrick Gallibert

photo Patrick Gallibert

 

11 juillet 2014 par  Jacques Marouani - electroniques.biz

 

Cassidian Test et Services, spécialisé dans les bancs d'essais pour les équipements aéronautiques, vient de confirmer officiellement la cession de son activité par Airbus Group. Ex-division de la branche défense d'Airbus Group, la nouvelle entité, baptisée Spherea, devient une entreprise de taille intermédiaire (ETI) de 500 salariés avec un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros en 2013.

 

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 16:55
Le Drian sur tous les fronts

 

10 juillet 2014 Par Hassan Meddah - L'Usine Nouvelle n°3385-3386

 

Le chantier de la loi de programmation militaire derrière lui, le ministre de la Défense accélère sur le plan industriel. Et Jean-Yves Le Drian attaque sur tous les fronts : terrestre, spatial et maritime. Après dix années de négociations stériles, il a lancé le rapprochement entre les fabricants de blindés Nexter et l’allemand Krauss-Maffei Wegmann.

 

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 16:50
Réception de l’amiral Apostolakis, chef d’état-major de la marine grecque, par l’amiral Rogel

 

11 Juillet 2014 Marine Nationale

 

A l’invitation de l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine(CEMM) grecque, l’amiral Apostolakis a effectué une visite officielle en France du 8 au 10 juillet 2014.

 

Cette rencontre a permis des échanges à haut niveau lors des entretiens bilatéraux  et des réunions de travail au cours desquels ont notamment été évoquées les actions de coopération et de formation.  La Grèce offre un point d’appui précieux à la Marine nationale grâce à sa base navale de la Sude en Crète. Elle y héberge également le Nato Maritime Interdiction Operating Training Center qui permet aux équipages de marins français de s’entrainer avant les déploiements opérationnels en mission européenne de lutte contre la piraterie.  Enfin, la Grèce est un solide allié, comme l’a démontré son soutien sans faille lors de l’opération Harmattan en Libye.

 

Outre Paris, le CEMM grec a également été reçu à  Lorient où il a été accueilli par l’amiral Coupry, commandant de la force maritime des fusiliers marins et commandos. Ce passage en Bretagne a été l’occasion pour la Marine nationale de présenter le concept français d’emploi des équipes de protection embarquée, ainsi que son savoir-faire tactique par une démonstration dynamique des commandos marine. Cette journée s’est conclue par une visite du chantier DCNS de Lorient et de la FREMM Provence.

 

Ce déplacement se place dans le prolongement des rencontres régulières entre les CEMM français et grec. Cette dynamique est le signe que nos deux marines partagent les mêmes préoccupations sur les enjeux maritimes, ceux de la défense européenne ou de l’OTAN, en particulier en Méditerranée orientale.

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