Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 12:30
Eurosatory 2014 : G-NIUS to Unveil New and Advanced Technologies

 

 Jun 16, 2014 (SPX)

 

Nes-Ziona, Israel - G-NIUS will unveil its Hybrid Unmanned Ground Vehicle and its unique robotic suite that enables any vehicle to perform as an unmanned vehicle, at Eurosatory 2014, at the Company's exhibition booth, Israel National Pavilion.

 

Hybrid Multipurpose Vehicle

The Hybrid Multipurpose Vehicle (HMV) is designed for any unmanned surveillance, intelligence, defense and homeland security mission, increasing safety and reducing personnel requirements in the field. The HMV includes two motor options: an electric motor that enables high level of maneuverability while remaining undetected due to a noiseless ride or an electronic and diesel motor, allowing the vehicle to travel long distances while charging the electric motor's battery.

 

Both motor options enable the vehicle to carry loads of up to 1.2 tons. The system has a low thermal signature and an advanced control system, as well as a low profile. The system includes an Elbit Systems stabilized weapon station.

 

Core Unit Robotic Suite

The unique Core Unit is a small footprint robotic suite that allows any ground transportation platform to become an unmanned vehicle - protecting forces while savings in manpower. The suite includes all the systems necessary for defense, intelligence and surveillance missions: a mission computer, navigation unit, video audio system and power distribution unit.

 

It has a day/night uncooled thermal camera, rear and side cameras and a communication system. It can optionally include an obstacle avoidance system and an optical surveillance sensor, as well as any other sensors, tailored to suit the customer's requirements. Easy to install and cost-effective, the system is immune to extreme temperatures.

 

G-NIUS CEO, Yoav Hirsch, commented: "We are pleased to launch two new unmanned vehicles solutions for the protection of armed forces. The solutions are suitable for any mission and include capabilities that have been accumulated in more than seven years of operational activities, equivalent to 60,000 man-hours. The Hybrid Multipurpose Vehicle and the Robotic Suite are force multipliers to any UGV platform, and we are witnessing interest in these solutions by various organizations around the world".

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 10:55
photos Dassault

photos Dassault

L'avion de combat furtif, programmé et contrôlé depuis le sol, est développé par Dassault Aviation avec des partenaires européens, notamment l'italien Alenia et le suédois Saab

 

17 juin 20174 par

 

Les faits - Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian s'est rendu jeudi à Istres pour le 70e anniversaire du centre d'essais en vol. Il a notamment assisté au vol d'un Neuron, le démonstrateur européen de drone de combat furtif, qui préfigure le successeur du Rafale à l'horizon 2030.

 

Seul le bruit est familier aux passionnés d'aviation : c'est celui d'un vieux réacteur Adour qui équipait jadis le Jaguar. Pour le reste, le changement est radical. L'appareil est une sorte d'aile volante sans poste de pilotage. Le Neuron est le premier drone européen de combat furtif. Depuis décembre 2012, iI vole régulièrement depuis la base aérienne d'Istres pour des essais. Le ministre de la Défense, Jean Yves Le Drian, est venu jeudi assister au 53e vol de l'appareil, une manière pour lui de réaffirmer que «la France va continuer à soutenir sa filière aéronautique» avec les milliards de la loi de programmation militaire qu'il vient de sauver de haute lutte. «Il en va de nos intérêts stratégiques comme de nos intérêts industriels" a-t-il ajouté.

Le Neuron n'est pour l'heure qu'un démonstrateur technologique. Ce n'est pas donc le prototype d'un futur avion de combat mais un moyen pour les industriels de découvrir et de maîtriser des technologies qui serviront, demain, dans de véritables projets militaires qui entreront en service vers 2030. Ceux qui viendront remplacer le Rafale ou l'Eurofighter.

Lancé véritablement en 2006, ce programme est européen avec une forte participation française (46,1%), Dassault Aviation étant le maître d'œuvre industriel de l'ensemble. L'Italie avec Alenia (22,5%) et la Suède avec Saab (18,1%) sont les deux principaux partenaires aux côtés de l'Espagne, la Grèce et la Suisse.

Neuron n'est que la première brique d'une coopération qui va être élargie au Royaume Uni. En janvier, Paris et Londres ont décidé de s'associer pour concevoir l'avion de combat du demain, le FCAS (Future Combat Air System) sur la base des acquis du Neuron et de son homologue britannique, le Taranis. Un contrat devrait être signé en juillet pour un développement qui durera sans doute une dizaine d'années. Jean-Yves Le Drian a confirmé jeudi que plus de 200 millions d'euros y seraient consacrés.

Le Neuron constitue une rupture technologique majeure pour l'industrie européenne. Deux grandes raisons à cela : cet appareil de combat est furtif, c'est-à-dire qu'il échappe à la détection radar, et il n'a pas de pilote à son bord. Sa forme très profilée, son revêtement, la sortie de son réacteur : tout est conçu pour que les ondes radar rebondissent sur lui. Les Américains savent faire depuis un quart de siècle mais ne partagent pas ce genre de chose. Avec le Neuron, les Européens apprennent. Ou réapprennent des techniques abandonnées depuis la seconde guerre mondiale, comme le stockage des bombes dans une soute. Impossible de rester discret au radar si l'on accroche des missiles sous le fuselage : il faut les cacher à l'intérieur puis ouvrir une trappe et sortir l'engin. Pas si simple, surtout quand tout est automatisé.

Contrairement aux drones d'aujourd'hui, qui traquent les terroristes au Sahel ou au Pakistan, le Neuron et ses descendants ne sont pas pilotés par un équipage installé dans une station au sol. Son vol et sa mission sont entièrement programmés à l'avance, mais l'appareil reste en permanence sous le contrôle d'une équipe au sol. Un responsable, toujours appelé «pilote» peut intervenir si nécessaire, par exemple pour annuler la mission et faire revenir l'appareil. Le cockpit est simplement devenu un écran d'ordinateur avec son clavier et sa souris... «Il faut maintenir l'homme dans la boucle, pour des raisons éthiques» explique-t-on à la Direction générale de l'armement. Les industriels ne sont pas en train d'inventer des robots tueurs, mais des systèmes qui préserveront la vie des aviateurs dans les missions de bombardement à très haut risque.

Le nEuron ouvre un nouveau chapitre de l'aéronautique militaire française
Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 09:31
Eurosatory 2014- Combattant FELIN

 

18.06.2014 Ministère de la Défense

 

Fantassin à équipements et liaisons intégrés

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 09:07
Moteur TP400, Europrop, équipant l’avion A400M photo Airbus DS

Moteur TP400, Europrop, équipant l’avion A400M photo Airbus DS

 

17 juin 2014 par Gosia Petaux – Aerobuzz.fr

 

Le premier banc d’essai en Europe dédié à la maintenance du TP 400, moteur équipant l’avion de transport militaire A400M Atlas, a été inauguré ce lundi 16 juin à l’AIA (Atelier industriel de l’aéronautique) de Bordeaux sur le site de Croix Hins. Une nouvelle compétence.

 

Tout aviateur qui transite par ou près de Bordeaux connaît le nom de Croix d’Hins. Premièrement parce que l’antenne de Croix d’Hins est le point de report SW « Sierra Whiskey » de la CTR de Bordeaux et deuxièmement parce que c’est ici, en 1910, que s’envole dans le ciel bordelais le premier aéroplane piloté par Léon Delagrange. Raison pour laquelle il est d’autant plus émouvant de voir ici ce bijou technologique qui d’ici trois mois accueillera le premier turbopropulseur TP400.

 

Situé sur la rive droite de la Garonne sur les communes de Bordeaux et de Floirac, l’Atelier industriel de l’aéronautique (AIA) de Bordeaux a pour mission de garantir le niveau industriel des moteurs aéronautiques militaires. Les moteurs de tous les avions de combat des forces aériennes ont été, ainsi, maintenus à l’AIA. Depuis les années 80, les moteurs d’avions et d’hélicoptères se sont ajoutés à ce « tableau de chasse » de l’Atelier de Bordeaux. Trop bruyants pour être utilisé sur le site principal très urbain, c’est sur ce site isolé, au lieu-dit Croix d’Hins sur la commune de Cestas (33), en bordure de l’autoroute d’Arcachon, à 25 kilomètres au sud-ouest de Bordeaux, que se trouvent une dizaine de bancs d’essai réacteurs sur lesquels, depuis 60 ans tous les moteurs des aéronefs militaires sont testés.

 

Fruit d’un partenariat développé au sein du consortium européen EuroProp International (EPI) qui regroupe l’entreprise allemande MTU Aero Engines, la société espagnole ITP (Industria de Turbo Propulsores), la Rolls-Royce britannique et enfin le motoriste français Snecma, le TP400, avec ses 2 tonnes et 11.000 CV, est le turbopropulseur le plus puissant jamais conçu dans le monde occidental.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:55
Le calibre de 40 mm CTA est qualifié

La tourelle T40 de Nexter qui équipera l’EBRC, présentée à Eurosatory (crédits: G Belan)

 

17 juin, 2014

 

CTA International (Joint-Venture 50/50 entre le britannique BAE Systems et le groupe français NEXTER), en charge du nouveau calibre franco-britannique CTA (Cased Telescoped Ammunition) de 40 mm vient d’annoncer la qualification de son canon et  de sa cartouche. La qualification a été délivrée conjointement par le Ministère de la Défense Britannique (MoD) et par la Direction Générale de l’Armement (DGA) côté français.

 

Pour l’instant seules la cartouche flèche et celle d’exercice ont été qualifiées. Les autres types de munitions seront qualifiées dans les deux années à venir.

 

Cette qualification permet à la fois aux programmes Scout et WCSP britanniques de débuter les phases de démonstration avec des tirs en tourelles habitées ainsi que d’engager les tirs de dérisquage pour le programme EBRC français. CTA International a déjà livré les armes pour les phases de démonstration britannique et française et s’apprête à livrer les munitions.

 

Rappelons que le 40 mm CTA est un nouveau type de munition innovante. Son concept consiste à placer le projectile au cœur du chargement propulsif, ce qui permet, à performance égale, de réduire de manière importante le volume de la cartouche par rapport à une munition traditionnelle.

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:50
RQ-7 Shadow 200 photo US Army

RQ-7 Shadow 200 photo US Army

 

17/06/2014  par Gabrielle Carpel – Air & Cosmos

 

Mardi 17 juin, Airbus Defence and Space (ADS) a profité du salon Eurosatory pour présenter son nouveau drone tactique pour répondre au futur appel d'offre de l'armée française. Le groupe européen devrait prochainement passer un accord de partenariat avec la société américaine Textron Systems afin de racheter sa plateforme de drone Shadow M2. Il s'agira ensuite pour ADS d'intégrer tous les systèmes du "Tanan", drone à voilure tournante d'Airbus, dans la plateforme afin de présenter "rapidement et pour pas cher" un drone tactique "adapté aux besoins français".

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:45
Denel PMP to double turnover to R1 billion

 

17 June 2014 by defenceWeb

 

Munitions company Denel PMP aims to double its turnover to over R1 billion over the next five years as it grows its presence in Africa and meets the growing requirements of the local market.

 

Phaladi Petje, CEO of the Pretoria West-based company, says PMP will be embarking on a plant-renewal programme to modernise its machinery and production processes.

 

“We will also increase our research and development capacity. PMP is set to become the ammunition solution partner of choice both in South Africa, across the continent and in any of the markets we are targeting,” said Petje.

 

The Defence Review, presented to Parliament earlier this year, has highlighted the need for self-sufficiency in the provision of ammunition not only to the South African National Defence Force (SANDF), but the security cluster as a whole. “PMP is in an excellent position to meet all the SANDF’s current and future needs for small and medium calibre ammunition,” according to Petje.

 

“We have been in this business for more than 75 years and the experience gained over this period will enable us to meet the challenges emanating from the local defence community.”

 

The state-owned company has a strong relationship with the SANDF and Armscor that covers product development and testing to the ultimate production and delivery as well as after sales service, proofing and destruction of ammunition. “We offer our clients a complete life cycle management approach,” said Petje.

 

The company intends to build a similar relationship with the SA Police Service, metro police forces and the private security industry, Denel said in a statement today. “We can meet almost the entire local demand for small calibre ammunition in the defence and security sectors,” he said.

 

Petje also foresees significant opportunities for business growth on the rest of the African continent. The company now manufactures 7.62 mm calibre ammunition for the well-known AK-47 assault rifle as well as a range of 23 mm ammunition widely used by African defence forces. Denel PMP has formed strategic relationships with companies in Europe whilst similar mutually beneficial relationships are being pursued in Africa and within the Brics (Brazil, Russia, India, China and South Africa) partnership, the company said.

 

More than 40% of PMP current production of ammunition is destined for the export market (export revenue amounted to R185 million last year, while total revenue was R531 million). Petje said that “innovation is at the core of the company’s future” and Denel is working together with Armscor, the Council for Scientific and Industrial Research (CSIR) and local universities on various research and new product developments.

 

PMP specialises in manufacturing small- and medium-calibre ammunition and technology-related products for military and commercial use. It also manufactures crew escape systems and power cartridges for local and international clients. The company supplies handgun and rifle ammunition to the commercial sector. It also provides the mining industry with drill bits and the electrical manufacturing sector with brass strip. These are commercial products that are derived from defence technology. Lead styphnate and lead azide are supplied to the chemical industry for the manufacture of detonators for the mining industry.

 

PMP’s main range of products include small-calibre ammunition ranging from 5.56 mm to 12.7 mm and medium-calibre ranges of ammunition from 20 mm to 35 mm and percussion caps of all types, as well as links for various small- and medium-calibre rounds.

 

PMP also produces power cartridges, rocket motors and canopy fragilisation systems for the safe ejection of pilots from aircraft; Probit rock drill bits for the mining industry and primary explosives and explosive products for commercial use in the private sector.

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:25
Airbus Helicopters delivers the first EC725 produced in Brazil
From left to right : Mrs Perpetua Almeida, President of the Committee of Foreign Affairs and National Defense in the House of Representatives; Admiral Julio Soares de Moura Neto, Commander of the Brazilian Navy; Eduardo Marson, CEO of Helibrás; Admiral Wilson Barbosa Guerra, Commander of Naval Operations and Secretary of Science, Technology and Innovation of the Brazilian Navy; Richard Marelli, vice president of Industrial Helibrás. © Helibras

 

Itajubá, Brazil,,  17 June 2014 airbus-group.com

 

The first “built-in-Brazil” EC725 was provided to the Brazilian Navy last Friday, marking a major milestone in Airbus Helicopters’ cooperation with the country to supply mission-ready multi-role rotorcraft for its three military services and to develop a capable national helicopter industry.

This milestone aircraft’s handover occurred at the new rotary-wing center of excellence operated by Airbus Helicopters’ Helibras subsidiary at Itajubá in Minas Gerais state. Representing a €160 million investment, the facility includes the EC725‘s final assembly line, test benches, a paint facility, training resources and a state of the art engineering center.

“The delivery is another key achievement in a program that remains on schedule and within the contractual budget, underscoring the dedication of all partners to its success,” said Airbus Helicopters CEO Guillaume Faury. “It also highlights our long-term commitment to dual goal of enhancing Brazil’s heli-lift capabilities while developing a world-class rotorcraft industry in the country.”

Brazil’s armed forces have received a total of 12 EC725s to date, with the previous 11 helicopters either supplied from Airbus Helicopters’ production site in France or partially assembled at Helibras’ Itajubá facility.With this latest delivery, the Brazilian Navy now has three EC725s in its inventory, while another five are operated by the Air Force, and four by the Army.

These helicopters have logged a combined total of 5,000 flight hours with the three military services.

The milestone rotorcraft provided to the Brazilian Navy went through its complete assembly at Itajubá – including the integration of mission equipment, flight line activities and industrial acceptance.

“The cooperation between France and Brazil gave rise to extraordinary results” said Eduardo Marson, CEO of Helibras. “The helicopter was assembled on-site by highly committed Brazilian and French teams, who contributed to the success of another milestone in the transfer of technology and in nationalizing the EC725’s production". As part of developing an in-country supply chain for the EC725, Helibras already has signed contracts with 16 Brazilian companies for the supply of components, parts and services. Ultimately, EC725s supplied to the Brazilian armed forces will have 50 percent domestic content.

The EC725 is Airbus Helicopter’s latest member of its Super Puma/Cougar helicopter family. As a highly capable twin-engine helicopter in the 11-metric-ton category, it is designed for multiple missions, including combat search and rescue, long-range tactical transport, aeromedical transport, logistic support and naval duties.

About Airbus Helicopters

Airbus Helicopters, formerly Eurocopter, is a division of Airbus Group, a global pioneer in aerospace and defense related services. Airbus Helicopters is the world’s No. 1 helicopter manufacturer and employs more than 23,000 people worldwide. With 46 percent market share in civil and parapublic sectors, the company’s fleet in service includes some 12,000 helicopters operated by more than 3,000 customers in approximately 150 countries. Airbus Helicopters’ international presence is marked by its subsidiaries and participations in 21 countries, and its worldwide network of service centers, training facilities, distributors and certified agents. Airbus Helicopters’ range of civil and military helicopters is the world’s largest; its aircraft account for one third of the worldwide civil and parapublic fleet. The company’s chief priority is to ensure the safe operation of its aircraft for the thousands of people who fly more than 3 million hours per year.

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 06:55
Egame (Engin du Génie de l’AMEnagement).

Egame (Engin du Génie de l’AMEnagement).

 

16 juin 2014 ministère de l'Intérieur

 

Vous êtes intéressé par la défense et la sécurité terrestre ?


Venez découvrir les dernières découvertes technologiques s’y rapportant au salon Eurosatory. L’édition 2014 se déroulera du 16 au 20 juin à Paris-Nord-Villepinte. Réservé aux professionnels et aux experts, ce salon est une plateforme d’échanges où se retrouvent les forces de sécurité et les forces armées.
Le ministère de l'Intérieur vous attend Hall 6, stands K500 et K550 de 9h à 17h (16h le vendredi 20 juin).

Parmi les matériels exposés vous découvrirez sur le stand de la Gendarmerie Nationale l’Egame (Engin du Génie de l’AMEnagement).

 

Engin du Génie de l'Aménagement

 

Sur le stand Police Nationale sera exposé le LAPI PORTABLE (Lecture Automatisée des Plaques d’Immatriculation) ST(SI)² et le LAPI-moto.

 

Lecture Automatisée des Plaques d'Immatriculation

 

La Sécurité Civile vous présentera un véhicule poste de commandement qui est, avant tout, un outil de communication utilisé lors de sinistres de grande ampleur ou lors de grands rassemblements (sportifs, par exemple). A l’extérieur sera exposé divers matériels parmi lesquels ceux qui ont aidé à secourir les Serbes lors des inondations historiques de mai dernier : traitement de l’eau, ensacheuses,  PFPE (Plate Forme pour Pompe Electrique)

 

Plate Forme pour Pompe Electrique
Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 06:55
Eurosatory : une dizaine d’entreprises bretonnes bénéficie du savoir-faire du réseau Entreprise Europe

 

17-06-2014 bretagne-economique.com

 

Pour la première fois, le réseau Entreprise Europe a été missionné par les organisateurs du salon international Eurosatory pour programmer les rendez-vous d’affaires entre PME françaises et PME d’origine étrangères.

 

Eurosatory est le plus grand salon international de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres. Il se tient à Paris tous les deux ans. Plus qu’une exposition, Eurosatory est une plateforme d’échanges internationale dédiée à tous les experts de ces domaines. En 2012, 70% des 1432 exposants et 48% des 53 480 visiteurs étaient étrangers. 84 pays étaient présents.

 

Pour cette édition 2014, les PME bretonnes, Deti SA, Enag , Estar System, Inpixal, Interface concept, meunier SA, Secure IC, Sensup, Syrlink, ont bénéficié de ce réseau animé en région par la CCI Bretagne pour faire du business sur le salon. Avec 4 rendez-vous d’affaires chacune en moyenne, programmés sur 4 jours, elles s’ouvrent ainsi de nouvelles perspectives de développement à l’international.

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 06:55
exosquelette Hercule- photo RB3D

exosquelette Hercule- photo RB3D

 

17-06-2014 Par Vincent Lamigeon – Challenges.fr

 

Exosquelettes pour les fantassins, blindés caméléon ou antenne intégrée dans l'uniforme... Ces équipements dignes des films de science-fiction vont équiper les militaires français.

 

A quoi ressemblera l’armée du futur ? Quelques-unes des technologies exposées par la Direction générale de l’armement (DGA) au salon de l’armement terrestre Eurosatory, qui se déroule jusqu’au 20 juin au parc des expositions de Villepinte, permettent d’en avoir un aperçu saisissant. De fait, certaines innovations ont des faux airs de science-fiction: exosquelette permettant de porter des charges lourdes, voire d’assister les gendarmes du GIGN ou les soldats des forces spéciales lors d’un assaut ; blindés caméléons dont le camouflage s’adapte à leur environnement ; vêtements communicants avec antennes de télécommunications intégrées au textile…

 

Revue de détail des innovations les plus étonnantes.

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 05:55
L’armée française a-t-elle encore les moyens de ses ambitions ?

 

17 juin affaires-strategiques.info

 

Le point de vue de Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l’IRIS

 

Les exportations françaises d’armement ont bondi de 42% en 2013. Quelles en sont les raisons ? Est-ce un signe de bonne santé de ce secteur ?

 

Les exportations d’armement ont effectivement augmenté entre 2012 et 2013. Le chiffre qui devrait paraître dans le rapport au Parlement sur les exportations d’armement est d’un peu plus de 6 milliards et demi d’euros de commandes. Toutefois, le chiffre de 2012 était très bas et le chiffre de 2013 correspond en moyenne à ce que la France réalise en matière d’exportations d’armement. C’est naturellement une bonne nouvelle pour cette industrie, d’autant plus que les perspectives sont encore meilleures pour 2014. D’autant qu’avec les restrictions budgétaires qui touchent l’armée, l’industrie française de défense a besoin de ces exportations pour conserver une base technologique de défense qui soit compétitive et qui permette de fournir également les meilleurs produits aux armées françaises.

 

L’annonce de Jean-Yves Le Drian quant au programme Scorpion présage-t-il d’une détente dans le bras de fer autour des budgets alloués à la Défense ? Cela peut-il redonner confiance au moral en berne de l’armée ?

 

Ces dernières semaines, Ii y a eu un débat, relayé notamment par la presse, sur la question du budget de la défense et sur l’exécution de la loi de programmation militaire. Le président de la République a rappelé que l’arbitrage qui avait été décidé l’année dernière sur cette loi de programmation militaire restait le même, que la trajectoire sera respectée. Dans cette perspective, le programme Scorpion est important car il s’agissait du projet le plus menacé en cas d’encoche trop importante dans le budget de la défense. Il s’agit d’un programme qui est nécessaire aux armées française, notamment à l’Armée de Terre puisque les équipements actuels sont en fin de vie, en tout cas en ce qui concerne un certain nombre de blindés. Ne pas remédier à ce problème aurait pu poser des problèmes dans le futur. D’un point de vue sécuritaire tout d’abord car des équipements vétustes peuvent mettre en danger nos soldats. Plus encore, un problème de disponibilité opérationnelle se pose du fait que les matériels anciens ont tendance à tomber en panne ce qui rend leur coût d’entretien très élevé. Laisser perdurer la situation actuelle ne génère donc pas d’économie et donc, effectivement, l’annonce du ministre de la Défense est une bonne nouvelle au moment où se déroule le salon des armements terrestres Eurosatory.

 

Pour réduire les déficits publics, le gouvernement prévoit d’amputer le budget militaire de 350 millions d’euros alors que la vétusté des équipements français est déjà dénoncée. Cette baisse menace-t-elle les capacités d’intervention militaire française sur des théâtres extérieurs ?

 

La capacité actuelle d’intervention française à l’extérieur a été déterminée par le dernier Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale et par la dernière loi de programmation militaire qui ont été publiés et adoptés en 2013. Notons en préambule qu’il s’agit d’une capacité en réduction par rapport au Livre blanc de 2008. Ce qui est certain c’est que cette loi a été calculée au plus juste, d’où l’irritation des responsables militaires alors que des bruits couraient sur des coupes budgétaires importantes de 1,5 à 2 milliards d’euros par an. L’annulation de 350 millions d’euros de crédits correspond quant à elle à la contribution du ministère de la Défense aux économies budgétaire. A ce titre, tous les ministères sont concernés par ces réductions et il eut été difficile de faire un cas particulier pour le ministère de la Défense.

Pour autant la situation est délicate. Dans la situation actuelle le coût de nos opérations extérieures sur une année s’élèvera à environ 800 millions d’euros alors que seulement 450 millions d’euros ont été provisionnés dans le budget de la défense 2014. Additionné à l’annulation de crédits de 350 millions d’euros le manque à gagner est déjà de 700 millions d’euros soit 2% du budget. D’autant que les recettes exceptionnelles, qui sont d’un montant important sur le début de la programmation militaire 2014-2019, en moyenne 1,5 milliard d’euros, ne seront peut-être pas au rendez-vous.

Pour conclure, la capacité d’intervention militaire française à l’extérieur n’est pas menacée pour le moment mais pourrait l’être si les réductions budgétaires deviennent plus importantes ou si elles se prolongent dans le temps. L’industrie pourrait également souffrir de cette situation car le plus simple et le plus rapide quand vous avez des économies à faire est de différer des commandes d’armement ce qui enlève toute visibilité à l’industrie de défense. On ne peut compter uniquement sur le développement des exportations pour faire vivre cette industrie. Le ministère de la Défense doit parvenir à faire des économies de fonctionnement, mais il est vrai que ce ministère est perpétuellement en réforme depuis 25 ans. Aussi des difficultés pourraient apparaitre l’année prochaine ou en 2016

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 18:55
photo MBDA

photo MBDA

 

Salon Eurosatory, Paris-Nord Villepinte, Ie 17 juin 2014 Sagem (Safran)

 

Leader européen des systèmes de navigation embarqués, Sagem (Safran) vient de signer avec son partenaire MBDA un nouveau contrat portant sur la fourniture de centrales de navigation SIGMA 20 pour l’équipement des systèmes de combat MPCV(1) destinés au marché export.

Equipement de navigation et de pointage à haute précision, le navigateur SIGMA 20 fait appel à une technologie de rupture en matière de senseurs inertiels, le Gyroscope Résonnant Hémisphérique, ou GRH. Cette technologie brevetée Sagem permet d’offrir des solutions de navigation très compétitives et d’une grande fiabilité.

Se caractérisant par une intégration aisée aux plates-formes de combat, les centrales de navigation Sigma de Sagem sont insensibles au brouillage et permettent l’engagement d’un système d’armes en l’absence de signal GPS, y compris dans les environnements les plus sévères.

En production dans l’établissement de Sagem à Montluçon depuis 2013, la nouvelle centrale de navigation SIGMA 20 vient renforcer le catalogue Sagem de systèmes de navigation et de pointage pour l’artillerie sol-air.

Sur la base de cœurs inertiels à gyrolaser ou de GRH, les centrales de navigation Sigma équipent plus de 40 systèmes d’armes différents dans le monde.

Sagem maîtrise l’ensemble des technologies inertielles (mécanique, laser, fibre optique, vibrant), couvrant tout le spectre des applications de navigation terrestres. Seule société au monde à proposer une gamme complète de systèmes de navigation civils et militaires en France et à l’international, Sagem affiche plus de 60 ans d’expertise et de savoir-faire.

 

A Eurosatory 2014, la centrale Sigma 20 est intégrée aux postes de tir du système MPCV exposé sur le stand de MBDA et sur le stand de Sagem (Hall 2 - F80).

 

(1) Sous maîtrise d’œuvre MBDA, le MPCV ou Multipurpose Combat Vehicle est un système de combat armé de canon ou de missiles pouvant être décliné en version sol-air à courte portée lorsqu’il est équipé de missiles Mistral ou en version combat terrestre, lorsqu’il est équipé de missiles MMP.

****

Sagem, société de haute technologie de Safran, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international de Safran, Sagem et ses filiales emploient 7 500 personnes en Europe, en Asie du Sud-est et Amérique du Nord. Sagem est le nom commercial de la société Sagem Défense Sécurité.
Pour plus d’informations : www.sagem.com

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:56
Le VBCI équipé de la tourelle Oto Melara avec canon de 30mm. Photo Frédéric Lert.

Le VBCI équipé de la tourelle Oto Melara avec canon de 30mm. Photo Frédéric Lert.

 

17 juin, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Pour répondre aux clients potentiels export, Nexter présente deux nouveaux véhicules sur son stand. Le premier est une évolution de son VBCI équipé de la tourelle téléopérée Oto Melara accueillant le canon Mk44 d’ATK en 30mm et une mitrailleuse coaxiale de 7,62mm. Le canon ATK est équipé d’une double alimentation permettant de choisir entre deux types de munitions. Le deuxième VBCI exposé rassemble différentes évolutions issues des dernières compétitions internationales et opex. Les unes comme les autres apportant leur lot de remarques, suggestions et parfois critiques… On retiendra par exemple sur ce VBCI que le dernier essieu est directionnel pour réduire le rayon de braquage.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 16:50
Airbus shows off new portfolio after restructuring

 

13 June 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

Airbus Defence and Space is marketing an expanded range of military hardware, from tactical UAVs to fighter jets, under its new guise.

 

Following restructuring and rebranding effective from the beginning of this year, Airbus Defence and Space brings together several different divisions resulting from the integration of Cassidian and Astrium, namely Military Aircraft, Space Systems, Communication, Intelligence & Security (CIS), and Electronics, which more than doubles its addressable market.

 

Antonio Barberan, head of commercial at Airbus Military, told journalists attending the annual Trade Media Briefing in Spain this week that the restructured company will bring synergies that will better serve its customers. “Our strategy is to be global leaders in each of the markets we are serving,” he said.

 

One of these areas is light and medium transport. Airbus started actively marketing the A400M for export in February last year and is targeting an order before the year ends. It has demonstrated the type throughout the world (the A400M was shown to Kazakhstan, Germany and Mexico this year) and has eight or nine requests for information and requests for proposals (RFIs and RFPs). South Africa is one target customer, and Airbus hopes to sell four A400Ms to the South African Air Force as C-130 replacements.

 

Airbus hopes to capture 50% of the market in which the A400M competes and sell 300-400 A400Ms over the next three decades. Airbus has already developed an ITAR compliant export version that features modified communications and navigation equipment.

 

France was the first of eight nations to receive the type, in August last year, and has two in service. Apparently the French Air Force is very happy with the A400M, and has deployed the aircraft to Mali and French Guyana. Airbus Defence and Space will deliver 11 more A400Ms this year, including the first to Turkey in April, the first to the UK in September and the first to Germany in November. 22 aircraft will be delivered next year, including the first for Malaysia.

 

So far the A400M has accumulated 6 343 flight hours in 2 278 flights as part of the flight test campaign. The aircraft is still being refined, and only next year will models be delivered with full aerial delivery, self-defence and tanker capabilities. By 2018, the A400M will be able to perform low level flight, have complete air-to-air refuelling capabilities and perform search and rescue functions, according to Airbus.

 

The European company also gave journalists an update on the A330 Multi-Role Tanker Transport (MRTT) programme. 34 aircraft have been ordered and 21 delivered so far and problems with the refuelling boom have been resolved. The model has been selected by Qatar (two) and Airbus is negotiating with France and will be targeting South Korea this year. India has also selected the A330 MRTT over the Ilyushin Il-78 but the recent elections there have slowed down the procurement process, for six aircraft.

 

The aircraft can be fitted with underwing or underfuselage refuelling pods from Cobham or an Airbus developed boom and can also accept fuel through its own receptacle. 140 000 litres of fuel is stored in the wings and tail, leaving the cabin free for cargo, troops or a VIP interior.

 

At the moment 19 of 28 ordered A330 MRTTs are in service, with the UK, Australia, UAE and Saudi Arabia, but this month another two will be delivered. Airbus said the type has a 90% air-to-air refuelling mission success rate and a 99% availability rate. So far the 19 aircraft in service have flown over 20 000 hours.

 

Antonio Caramazana, VP Head of Military Derivatives Programme, said the aircraft is showing very good reliability and availability and he expected to receive contracts from France, India and Qatar in the coming months. France is negotiation for nine aircraft plus three options. Singapore last year ordered six.

 

Airbus is developing the A330 MRTT Enhanced version, which features improved avionics, a higher takeoff weight, reduced fuel consumption through revised aerodynamics and other changes. Prototype conversion will start in October next year with flight testing in the second half of 2016. All future customers will receive this upgraded configuration when it becomes available in 2017. The Enhanced upgrades can be retrofitted to earlier A330 MRTT versions.

 

On the light transport side, Airbus has received orders for 20 C295s this year, including three for Ecuador and eight from a country in the Maghreb. The company is continuing to upgrade the model with improved engines and winglets and is developing numerous variants of the transport, from firefighting to gunship.

 

Another big part of Airbus Defence and Space’s offering is maintenance. Eighteen customers flying 109 aircraft make use of its Full In Service Support (FISS) system, which covers some 40 000 flight hours a year

 

With the restructured company, Airbus Defence and Space is now responsible for the marketing of the Eurofighter Typhoon. The company said that market opportunities exist for 700 Eurofighters. So far, 406 have been delivered and accumulated over 236 000 flight hours. As the Eurofighter will be the backbone of European air forces for decades to come, the aircraft is being upgraded and improved. Thrust vectoring and conformal fuel tanks are future possibilities. Other additions planned are Harpoon and Martel anti-shipping weapons and a derivative of the Brimstone missile.

 

Airbus Defence and Space is promoting a variety of unmanned aerial vehicles, with payloads from 1 kg to several tons. Barberan said that this is perhaps not a label Airbus Military wanted but has it now and is going to be a world leader in this field in the coming years.

 

Barberan said that in the coming years, medium altitude, long endurance (MALE) UAVs would be where the money stands, especially if UAVs are allowed to fly in civilian airspace. Once this happens, he predicts the market will grow exponentially.

 

Airbus Defence and Space has experience operating the Harfang and Heron I UAVs, which have been deployed to Afghanistan and Mali. More than 18 000 flight hours have been accumulated in Afghanistan and the Harfang has reached over 10 000 hours in 900 flights in Mali with the French Air Force. French Harfangs will be upgraded by Airbus Defence and Space for service to at least 2018.

 

With an eye to the future, Airbus has launched several technology programmes, such as the Barracuda, Sagitta and Optionally Piloted Vehicles, and is developing the MALE 2020 project with Dassault and Finmeccanica. Airbus has also developed the ISIS mission system for the controversial Eurohawk.

 

Aimed mainly at the commercial market, Airbus is developing the Zephyr High Altitude Pseudo-Satellite (HAPS), which can stay aloft for weeks and is aimed at being a cost effective alternative to satellites. The aircraft weighs 100 kg and can fly at altitudes of 12-25 km using its electrically driven propellers. First flight was in August last year. Jens Nielsen, Head of Unmanned Aerial Systems, said there was high interest from the communications sector since the aircraft is able to permanently provide low earth coverage. However, payload is limited to 5 kg with the current Zephyr 7 but the Zephyr 8, under development, will be able to carry several times that.

 

Domingo Urena-Raso, Head of Military Aircraft, cautioned journalists that European, and North American, nations were unlikely to order much defence equipment over the next five years as they deal with restrictive budgets. He believed the market will remain quite critical. However, he noted that while Europe will continue to struggle with defence budgets, the major market has shifted to Asia, the Middle East and Latin America.

 

Guy Martin attended the 2014 Trade Media Briefing in Spain as a guest of Airbus Defence and Space.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 15:55
Airbus et Safran lancent une OPA sur les activités spatiales de l'Etat

 

17/06/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Airbus Group et Safran vont créer une entreprise commune dans le domaine des lanceurs

 

C'était dans l'air depuis un bon petit moment, notamment dans les esprits des deux industriels Airbus Group et Safran, partenaires de longue date dans tous les programmes de lanceurs européens et de missiles balistiques. Derrière la coentreprise (joint-venture) entre Safran et Airbus Group dans le domaine des lanceurs spatiaux, se cache en fait le vrai objectif de cette opération : mettre enfin la main sur l'autorité de design des lanceurs aujourd'hui, un bijou de technologies logé au Centre national d'études spatiales (CNES) ainsi que sur Arianespace (détenu à 34,6 % par le CNES), responsable des approvisionnements et de l'assemblage final des lanceurs en Guyane et de l'ensemble des opérations de lancements. Ce qui était une incongruité depuis trop longtemps aux yeux des deux industriels dans l'organisation de la filière spatiale.

 

Arianespace et le CNES vendus ?

Le seul à jouer cartes sur table, c'est le PDG de Safran, Jean-Paul Herteman. "Dans notre idée, la nouvelle entité a vocation aussi à intégrer l'opérateur de lancement Arianespace et les compétences de la direction des lanceurs du CNES", a-t-il déclaré en présence du PDG d'Arianespace Stéphane Israël et du directeur du CNES Jean-Yves Le Gall, en sortant d'une réunion à l'Élisée. C'est ce que disait déjà dans une interview accordé à La Tribune, Stéphane Israël : "L'industrie souhaite récupérer l'autorité de design, les institutions étant davantage dans un rôle d'autorité de certification".

Pourquoi ? Pour récupérer notamment les budgets de développement de l'État français sans qu'ils ne passent entre les mains du CNES, accusé d'avoir "trop de gras" par les industriels et qui sera bientôt réduit au rôle d'une direction générale de l'armement (DGA). Cette opération en deux temps a la bénédiction du président de la République, qui a reçu les impétrants tôt lundi matin et a salué "l'ambition commune affichée par les groupes Airbus et Safran dans le domaine du spatial", une "étape majeure vers la consolidation de la filière spatiale européenne, génératrice d'emploi, porteuse d'avenir, et élément de souveraineté".

C'est ce confirme la secrétaire d'Etat chargée du dossier spatial, Geneviève Fioraso. "Les industriels seront responsables de toute la chaîne de valeur, de la conception jusqu'au lancement et la commercialisation, a-t-elle expliqué, l'Etat restant maître de la stratégie". C'est à eux de trouver la forme juridique adéquate, avec le CNES et Arianespace, a-t-elle précisé. "Le calendrier est serré, on a jusqu'à la fin de l'année pour arriver à ça". La seule question qui se pose : l'Etat va-t-il maintenant brader ses bijoux ?

 

SpaceX, un modèle subventionné par la NASA...

Pour forcer la main à l'Etat et ouvrir son coffre-fort, il fallait donc une action des deux industriels, qui ne pouvait que contraindre les pouvoirs publics à bouger, et un chiffon rouge. En regroupant leurs forces dans les lanceurs spatiaux, les deux industriels ont trouvé le moyen de faire bouger l'Etat, qui va très certainement abandonner son leadership dans la conception des lanceurs spatiaux. Le chiffon rouge, c'est bien sûr SpaceX, diabolisé pour le danger que l'américain représente mais surtout envié par les industriels pour son modèle intégré. Sauf que ce modèle ne tient que par les aides massives de la NASA au lanceur Falcon.

Mais les industriels ne veulent retenir que les succès de ce modèle bancal bâti dans l'un des pays les plus protectionnistes au monde, les Etats-Unis. Dans une interview accordée le 9 juin à l'AFP, Tom Enders, qui s'est beaucoup investi dans la réussite de cette opération entre Safran et Airbus Group, n'avait pas caché son admiration devant "la vitesse de décision et d'exécution, la capacité de prendre des risques" d'entrepreneurs comme le fondateur de SpaceX, Paypal et Tesla Motors, le milliardaire Elon Musk.

 

Des synergies ?

Airbus Group et Safran resserrent leurs liens pour proposer une nouvelle famille de lanceurs compétitifs, polyvalents et performants, afin de répondre aux besoins commerciaux et institutionnels du marché, expliquent Safran et Airbus Group. "Notre objectif principal reste l'amélioration de la compétitivité de notre activité lanceurs, a expliqué Tom Enders cité dans le communiqué commun d'Airbus Group et de Safran. Le programme Ariane est un immense succès depuis trente ans, mais pour qu'il demeure viable et compétitif, nous devons mettre en place une structure industrielle nettement plus efficace. C'est ce que les clients attendent de notre part. Notre accord avec Safran est le point de départ d'une aventure passionnante qui verra naître une filière européenne de lanceurs plus intégrée, plus performante et donc plus rentable". A suivre...

Dans un premier temps, Airbus Group, qui n'a pas hésité récemment à tailler dans ses effectifs dans les activités espace, et Safran devraient créer une joint-venture de programmes, regroupant leurs contrats de programmes civils et leurs principales participations dans le domaine des lanceurs commerciaux. A terme, des actifs industriels seraient apportés afin de créer une entreprise à part entière, leader mondial, et détenue conjointement. La création et le début des opérations de la joint-venture sont prévus avant la fin de l'année 2014.

Les deux groupes n'ont jusqu'ici guère évoqué les synergies. Mais elles devraient se jouer à la marge même si ce n'est neutre. Grâce à une entité intégrée, les deux partenaires géreront "plus efficacement les interfaces, ce qui fera gagner du temps et in fine de l'argent", explique un bon connaisseur des dossiers spatiaux. Et puis les deux partenaires devront définir la façon dont ils travaillent en commun, notamment l'organisation industrielle. Ils devront organiser enfin la gouvernance.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 15:55
Coming out du BMX01 chez Renault Trucks Defense

Le BMX01, démonstrateur du VBMR de Renault Trucks Defense

 

16 juin, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

A stand immense, véhicule imposant : Renault Trucks Defense accueille le chaland sur son stand avec son BMX01, imposant démonstrateur du programme VBMR (Véhicule Blindé MultiRole). Depuis un an et demi, le 6×6 a accumulé plusieurs milliers de kilomètres sur une grande variété de surfaces. Après l’intermède du salon, les essais de mobilité reprendront sous les auspices de la DGA.

 

Le BMX 01 dispose d’une chaine cinématique pouvant faire face à une masse maximale de 24 tonnes. La motorisation est assurée par un moteur diesel « maison » de 400 cv relié à une boite de vitesse automatique. Avec un volume intérieur de 14,7m3, le véhicule peut accueillir un total de 11 hommes, soit un groupe de combat félinisé  et un équipage de trois hommes, sous un blindage offrant une protection de niveau 4. Le BMX01 est équipé d’un détecteur acoustique de tir et d’une mitrailleuse de 12,7mm sur une tourelle téléopérée montée sur le toit.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 14:55
10 things to see at Eurosatory 2014

 

06/17/2014   Defence IQ Press

 

Defence IQ spent the day at Eurosatory on Monday 16 June 2014 as the doors for this year’s event opened. The exhibition space is enormous and would take a full week to visit each stand in turn but we’ve come up with a list of the some of the first things you should go see this year. Which new products were unveiled? Which company stands are unmissable? We were there to find out – here’s our top 10...

 

1. LEOPARD, KRAUSS-MAFFEI WEGMANN GMBH & CO KG [Outside, Stand 211]

The latest upgrade version of the LEOPARD 2 family of battle tanks, the German LEOPARD 2 A7, is presented for the first time at Eurosatory with improved day and night vision capabilities, programmable munitions, and a cooling system. The “Leopard’s Home” stand gives an overview of KMW’s current product portfolio including artillery systems and its new DINGO 2 HD route clearance vehicle.

 

Read more

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 13:57
Eurosatory 2014  JT n° 2 - Mardi 17 juin

 

17.06.2014 Ministère de la Défense

 

Le journal télévisé en direct du salon Eurosatory 2014 est diffusé tous les jours à 14h du lundi 16 au vendredi 20 juin.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 13:55
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a rencontré EDEN Cluster

 

16.06.2014 EDEN Cluster

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a visité le pavillon EDEN Cluster au premier jour du salon Eurosatory, le 16 juin à Paris. Au cours d'un échange avec Jean-Luc Logel, Président du groupement de PME de la défense et de la sécurité, le ministre a souligné la croissance d'EDEN, qui rassemble désormais près de 130 entreprises des régions Rhône-Alpes, Bretagne, PACA et Centre.

 

Le ministre a également tenu à visiter le stand de Centralp, l'entreprise que dirige Jean-Luc Logel.

Centralp, qui emploie 170 personnes à Vénissieux, conçoit et réalise des prototypes en série pour des applications militaires, ferroviaires et médicales, de la conception de cartes électroniques à leur intégration dans des enveloppes mécaniques.

 

45 PME membres du cluster EDEN présentent leurs innovations au salon Eurosatory 2014, du 16 au 20 juin 2014 : ADES Technologies, Aeronet, Aérosurveillance, APRRES Industries, Banc National d'Epreuves des Armes et Munitions, Baumier, Bollé Protection, CEDREM, Centralp, Deti, Elma Electronic, Elno, Essonne Sécurité, Euro-Shelter, Infotron, Forginal Industrie, Inpixal, IRTS, K-Plan, LGM, Merio, Metravib, Nicomatic, Novadem, Novarressort, Optsys, Ouvry, Petzl, PGM Précision, Phoebe, Procaly, R&D Tech, Rostaing, Safer, Sensup, SITA Remédiation, Solarmtex, Sunaero, Survey Copter, Syrlinks, Titan Aviation, TRA-C Industrie, Verney-Carron, Wildsteer.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 13:55
Discover the Thales's stand at Eurosatory 2014.

 

17.06.2014 by Thales Press

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 12:40
France : les armes russes au salon Eurosatory 2014

 

 

MOSCOU, 17 juin - RIA Novosti

 

Le plus grand salon international d'armements, de matériel militaire terrestre et de défense antiaérienne Eurosatory 2014 a ouvert ses portes le 16 juin au Parc des expositions de Paris-Nord Villepinte, écrit mardi le quotidien Rossiïskaïa gazeta. L'exposition continue jusqu'au 20 juin.

Le salon Eurosatory, destiné uniquement aux spécialistes, se déroule depuis 1992 sous l'égide du ministère de la Défense français. Cette année, l'exposition s'étend sur plus de 120 000 m². 1 456 compagnies de 57 pays ont annoncé leur participation.

La Russie est un acteur traditionnel des salons Eurosatory mais sa prestation de cette année n'est pas aussi imposante qu'en 2013. Elle n'a pas présenté de modèles en taille réelle, hormis un complexe universel robotisé. Et la délégation russe est plus modeste. On en devine facilement la raison: les sanctions occidentales.

Néanmoins l'organisateur du stand russe, la compagnie publique Rostekhnologuii, a réussi à créer une exposition très intéressante. 28 organisations russes ont déployé leurs stands sur 620 m² avec 359 modèles exposés.

Les modèles du groupe Kalachnikov, qui participe pour la première fois à ce salon, attireront très certainement l'attention. Son stand présente toute la gamme de fusils AK, le lance-grenade intégré GP-34, les fusils de précision Dragounov SVD et SVDS, SV-98 et SV-99, le pistolet-mitrailleur Vitiaz SN, la carabine à canon lisse 18,5 KS-K, ainsi que les obus de haute précision d'artillerie Kitolov-2M et Krasnopol.

Le groupe Kalachnikov a présenté la version modernisée du pistolet semi-automatique Iaryguine 9 mm, le pistolet PSM et le Makarov PMM modernisé avec un plus grand chargeur, qui accueille 10 et 12 cartouches.

Sans oublier que l'aspect d'une partie des modèles de série du plus grand fabricant russe d'armes d'infanterie a été renouvelé.

Selon les représentants officiels du groupe, l'exposition en France fait partie des meilleures tribunes pour présenter ses produits et organiser des négociations avec les acheteurs potentiels et les partenaires d'affaires. Des rencontres sont prévues avec des représentants d'Europe, du Moyen-Orient, d'Afrique du Nord, d'Asie du Sud et du Sud-Est.

L'exposition du bureau d'étude de Toula a présenté le fusil d'assaut 9A-91, le lance-grenade GM-94 de 43 mm, le pistolet-mitrailleur silencieux PP-2000, le fusil de précision OSV-96 de 12,7 mm, le révolver spécial Stetchkine OTs-38 de 7,62 mm et des missiles guidés.

La présentation du paquetage du soldat du futur, Ratnik, a fait sensation. Il s'agit de sa première présentation complète à l'étranger. Ratnik est appelé à faire concurrence à l'équipement français FELIN.

Uralvagonzavod (UVZ), contrairement au salon précédent, n'a pas présenté de chars réels. Mais les modèles de matériel blindé actuels attirent même des spécialistes avérés. Sur ce salon UVZ s'est concentré sur la présentation de divers programmes logistiques et de modernisation.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:55
Eurosatory 2014 : le buggy volant Pégase a fait son premier vol

Le buggy volant Pégase a fait son premier vol à Brétigny photo Vaylon

 

16/06/2014 par François Julian – Air & Cosmos

 

Le buggy volant de la PME alsacienne Vaylon a réalisé son premier vol en mai dernier. Dévoilé en novembre 2013, durant le forum de l’innovation de la DGA, ce véhicule hybride pouvant fonctionner comme un petit tout-terrain ou comme un paramoteur, est exposé actuellement au salon Eurosatory qui a ouvert ses portes ce matin au parc des expositions de Villepinte, en banlieue parisienne.

 

Ce vol inaugural a eu lieu sur l'ancienne base aérienne de Bretigny (Essonne). Depuis une petite dizaine d'autres ont eu lieu. Grâce à ces essais, Vaylon veut obtenir une certification ULM de la part de la DGAC, ainsi qu'une homologation sur route.

 

Suite de l’article

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:55
Mustmove HELIPAD

Mustmove HELIPAD

 

15/06/2014 par Olivier Berger - lavoixdunord.fr


Musthane, une PME d’une quarantaine d’employés installée à Willems (métropole lilloise) depuis 1989, spécialiste de la transformation du polyuréthane, n’avait pour ainsi dire jamais communiqué. Une nouvelle gamme de produits vendue aux armées et lancée à l’occasion du salon de défense et sécurité, Eurosatory à Paris (d’aujourd’hui à vendredi), le fait sortir de sa coquille innovante.

Avec un chiffre d’affaires annuel de 8 à 15 millions d’euros, Musthane vit du vaste marché mondial de la défense au minimum à 50 %, dont parfois 100 % à l’export (les budgets sont en baisse en France). Avec les tissus enduits, les caoutchoucs du Lillois Colmant-Cuvelier, l’entreprise innove et assemble à Willems des tentes militaires, des systèmes de distribution de carburant, des tissus technologiques pour les théâtres d’opérations…

 

Innombrables tests et évaluations

Avec Mustmove, la société espère franchir un cap en proposant aux armées des solutions mobiles, compactes et légères pour les sols difficiles (sable, boue…) : un héliport de 400 m2 qui tient dans un container, déroulable et montable en deux heures par quatre personnes avec un système d’ancrage novateur, des tapis de débarquement sur les plages, de roulage temporaire (supportant jusqu’au poids d’un avion C-130 Hercules !) et des plaques souples de désensablement et de désembourbage.

Depuis les premières recherches à Willems en 2009 et le premier brevet déposé en juin 2011, ils sont passés par d’innombrables tests et évaluations de la Section technique de l’armée de terre (STAT), du camp de Mourmelon jusqu’au désert des Émirats. Les forces spéciales, mobiles et autonomes par définition, sont particulièrement intéressées par la souplesse, la compacité et la légèreté des produits.

Inutile de vous préciser qu’avec des opérations extérieures françaises dans le sable du Mali et la boue de la Centrafrique, les solutions de Musthane ont rapidement trouvé leur place. Si la série de génie militaire Mustmove est présentée pour la première fois cette semaine au salon Eurosatory, des unités de l’armée française et d’armées étrangères ont déjà acquis ces matériels.

« Beaucoup de ces informations sont confidentielles, mais je suis certain que lors de l’opération Serval, nombre de nos produits ont été utilisés. Les clients sont très contents des résultats. C’est très prometteur », avoue Reza Rosier, le directeur général.

Partager cet article
Repost0
17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:50
New capabilities for Saab's AT4 family

 

 

Jun 16, 2014 ASDNews Source : Saab AB

 

Defence and security company Saab is developing significant new capabilities for its AT4 family of disposable shoulder-launched weapons systems. The enhanced weapons will deliver extended range (ER) and improved high explosive (HE) effects. This enables the soldier to defeat enemy targets with much greater flexibility and in many more scenarios. The update further confirms Saab’s leading position as a supplier of modern ground combat weapon systems.

 

Building on the modularity of the 84-mm calibre system applied to both the AT4 and Carl-Gustaf weapons, the new capabilities allow a soldier to engage and defeat more types of enemy targets, over longer distances and in more complex environments.

 

Read More

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories