Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 08:20
Excalibur : le laser ultrapuissant de la Darpa

Laser Excalibur – photo DARPA

 

10/03/2014 Par Julien Bergounhoux - industrie-techno.com

 

L'utilisation de lasers à haute énergie sur de longues distances, à des fins militaires ou de communication, reste inexploitable à l'heure actuelle pour de multiples raisons. La Darpa compte y remédier à l'aide d'un nouveau système à multiéléments.

 

La Darpa travaille au développement d'un nouveau type de laser à haute énergie (HEL) en vue d'une utilisation militaire. Ces lasers très puissants ont un fort potentiel pour être utilisés comme armes ou pour transmettre de grandes quantités de données, mais jusqu'à présent leur utilisation sur le terrain était rendue impossible par les trois facteurs déterminants de taille, poids et consommation énergétique (SWaP, pour "Size, Weight and Power").

 

Le programme Excalibur, dirigé par Joseph Mangano, a réussi à créer un OPA (Optical phased-array) composé de 21 éléments disposés en trois groupes de sept, avec chaque élément équipé d'un laser à fibre. Ce dispositif à basse consommation a été capable d'atteindre avec précision une cible située à 7 km de distance, démontrant sa supériorité sur les lasers conventionnels. Car le dernier élément à surmonter pour le déploiement de lasers en conditions réelles n'est pas des moindres, il s'agit des turbulences atmosphériques. En effet, les fluctuations de densité atmosphérique réduisent drastiquement l'efficacité des lasers sur de longues distances en réduisant l'uniformité des faisceaux par une diffusion de la lumière.

 

L'utilisation d'un système à multiéléments permet de corriger pratiquement parfaitement ce phénomène, à l'aide d'un algorithme extrêmement rapide qui interprête les turbulences et corrige les défauts induits en moins d'une milliseconde. La Darpa prévoit de continuer les tests avec Excalibur pendant trois ans, augmentant la puissance utilisée jusqu'à 100 kilowatts, un niveau autrement impossible à atteindre pour un appareil de si petite taille, dix fois plus léger que ce qui existe actuellement.

Partager cet article
Repost0
11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 08:20
U.S. orders Elbit border protection system

 

 

FORT WORTH, Texas, March 10 (UPI)

 

A tower-mounted sensor system from Elbit Systems of America LLC is to be installed along the U.S.-Mexico border by U.S. Customs and Border Protection.

 

The company, a subsidiary of Elbit Systems of Israel, said it is supplying its Peregrine system to the CPB under a $145 million firm-fixed-price contract.

 

Peregrine detects and assesses items of interest from miles away. It is designed with an open system architecture that allows integration with a variety of sensors to meet current needs and a capability to integrate future technology. Sensors on the tower are integrated through a common operating picture.

 

Elbit said under an initial phase of a CBP fixed tower program Peregrine will be installed in the area around Nogales, Ariz. Contract options, however, provide for the deployment of the system at other border locations in Arizona during a nine-year period.

 

"We are privileged to receive this award, which provides Elbit Systems of America an opportunity to bring Elbit's border security capabilities to the southwest border of the United States," said Raanan Horowitz, president and chief executive officer of Elbit Systems of America. "Peregrine will meet the demanding mission requirements of the CBP while enhancing its agents' safety.

 

"We look forward to providing Peregrine to the men and women of the U.S. Border Patrol and to assist them in making the border secure."

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 20:50
Le Conseil autorise les États membres à ratifier le traité sur le commerce des armes

 

Bruxelles, le 4 mars 2014 7190/14 (OR. en) PRESSE 112

 

Le 3 mars, le Conseil a adopté une décision autorisant les États membres de l'UE à ratifier le traité sur le commerce des armes.

 

Avec l'adoption de cette décision autorisant les États membres à ratifier le traité dans l'intérêt de l'Union européenne, le Conseil achève les procédures internes de l'UE qui ont reçu l'approbation du Parlement européen le 5 février 2014. Étant donné que le traité sur le commerce des armes couvre certains domaines qui relèvent de la compétence exclusive de l'UE et comme l'UE elle-même ne peut pas être partie au traité (seuls des États pouvant y être parties), il était nécessaire, pour que les États membres de l'UE puissent ratifier le traité, qu'une décision de l'UE soit prise les y autorisant.

 

L'adoption de la décision du Conseil permet désormais aux premiers États membres de l'UE qui sont en mesure de le faire de déposer leurs instruments de ratification à New York, ce qui favorisera considérablement l'entrée en vigueur du traité. En effet, ce traité, adopté par l'Assemblée générale des Nations unies en avril 2013, n'entrera en vigueur qu'après cinquante ratifications.

 

Mme Catherine Ashton, Haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission, a déclaré que la décision rendrait possible une première série de ratifications nationales, ce qui contribuera à l'entrée en vigueur rapide du traité sur le commerce des armes. L'UE apporte de longue date son soutien au traité. Elle continuera de le faire après son entrée en vigueur afin de favoriser la mise en œuvre effective, de manière à ce que soit apportée une amélioration concrète incitant à une plus grande responsabilité en matière de transferts d'armes.

 

Une fois que le traité sera entré en vigueur, il sera extrêmement important de veiller à ce qu'il soit effectivement mis en œuvre et de préférence par autant de pays que possible. Face à de tels enjeux, l'UE a adopté, en décembre 2013, dans le cadre de la décision 2013/768/PESC du Conseil, un programme de mesures ambitieuses et concrètes destinées à appuyer la mise en œuvre dans des pays tiers. Ce programme aidera un certain nombre de pays tiers à renforcer leurs systèmes de contrôle des transferts d'armements pour leur permettre de répondre aux exigences du traité. Des efforts seront par ailleurs déployés sans relâche pour établir le dialogue avec les pays qui ne sont pas encore parties au traité.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 20:20
Track24 Defence Launches New Canadian-Built Beyond Line-of-Sight Satellite Device

 

 

March 10, 2014. David Pugliese Defence Watch

 

News release from Track24 Defence:

 

10 March 2014, Ottawa, Canada – Situational command and control (SCC) specialist Track24 Defence has manufactured and launched a new IP68-rated beyond line-of-sight (BLOS) satellite device, the Echo, for secure blue force tracking (BFT) and command and control.

Functional both as a standalone device and as part of Track24′s SCC TITAN BFT solution, the Echo operates on the Iridium satellite constellation. It is a commercial off-the-shelf (COTS) tracking and messaging solution designed for security and defence sector users.

A ruggedized handheld device, the Canadian-built Echo is IP68-rated waterproof to 2 meters, designed to withstand the austere land and sea environments that military users operate within. As well as a satellite tracking and BLOS communications solution, the hardware’s M2M functionality means it can connect to an array of tablets, smart phones or sensors to transmit data in near real time to the operational command. This could be situational awareness or vital signs of a soldier. The device has already been adopted by one special forces organization.

Track24 defence sector director Giles Peeters comments: “The Echo is smaller and lighter than Track24′s existing tracking device, the Whisper, yet represents a more robust, ruggedized option for forces operating in vast and austere terrain. As a COTS solution, it’s cost-effective and delivers secure and reliable BLOS communications, an important operational requirement for BFT – we’ve already shipped the first units to a special forces client.”

The Echo works with Windows and Android operating systems and the solution is configurable over the air using the Track24 SCC Platform – all data communications are secured by AES256 encryption.

Peeters concludes: “The Echo integrates with SCC TITAN command and control system, relaying GPS position updates, emergency panic alerts, pre-configured text messages and other M2M data reports – all securely encrypted. This information can then be plotted on a common operational picture to enable better and faster command and control decision-making.”

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:50
Finland orders training simulators from Saab

 

 

LINKOPING, Sweden, March 10 (UPI)

 

The Finnish Defense Force has ordered training and simulation systems from Saab Training & Simulation of Sweden under a contract worth nearly $56.5 million.

 

Saab said the contract covers regimental training and includes anti-tank simulators, vehicles simulators and systems for military operations in urban terrain. The contract also covers a midlife upgrade of the Finish combat training center and its systems.

 

Systems support from Saab for seven years is also part of the deal, Saab said.

 

"The Finnish Defense Force has once again chosen Saab as its partner," said Henrik Hojer, Saab's vice president of Training & Simulation. "The Finnish Army has used Saab's systems for more than 10 years and has always been a competent user.

 

"This order strengthens our position as one of the world's leading suppliers of combat training centers."

 

Additional details on the systems to be supplied and delivery schedules for them were not disclosed.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:30
Israel is looking to replace its M109 howitzer

Israel is looking to replace its M109 howitzer

 

 

Mar. 10, 2014 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense News

 

 

Israel’s Elbit Systems and a consortium of Israeli, German and US firms are facing off in a high-stakes bid to modernize Israel’s Artillery Corps with new self-propelled guns.

The two candidates for more than $1 billion in multiyear procurement awards were downselected by Israel’s Ground Forces Command from a pool of four prospective bidders, officers here said.

Designated as a priority program by the Israel Defense Forces’ (IDF) General Staff with approved multiyear funding for a first brigade, the future gun will replace 50-year-old M109 howitzers.

The competition pits a new development by Elbit Systems against the Artillery Gun Module by Munich-based Krauss-Maffei Wegmann (KMW) optimized for the IDF by state-owned Israel Aerospace Industries.

Both options must be integrated on the Lockheed Martin-built M270 multiple launch rocket system chassis to maximize commonality of existing inventory and Israel’s recent acquisition of 150 chassis from excess US Army stocks.

“We are going with the 270 chassis in any case due to new excess supplies from the Americans and the savings to accrue through commonality,” said Brig. Gen. Roy Riftin, IDF chief artillery officer.

He added that US-based integration by either Lockheed or Elbit’s Dallas-based US subsidiary will allow the IDF to fund a significant portion of the program with annual US military aid.

Operational requirements call for a fully autonomous 52-caliber cannon capable of firing 155mm projectiles at a rate of at least five rounds per minute, with all shells impacting designated targets at the same time.

In a recent interview, Riftin flagged multiple round simultaneous impact as a key requirement for targeting terrorists, rocket-launching squads and other so-called disappearing targets.

“When the enemy sees the first round, he responds accordingly. But with this simultaneous targeting capability, he can’t disappear. It’s something we need as we adapt to new threats,” he said.

Demonstration of the KMW-based option is planned for this year while Elbit’s tailor-developed alternative should be ready for demonstrations by the end of 2015. Plans call for a deployment of Israel’s first future gun-equipped Artillery Brigade by 2019

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:30
Turkey Tests Long-Range Anti-Tank Missile

Turkey intends to use its recently tested MIZRAK-U missile on T-129 attack helicopters being co-produced with AgustaWestland. (AgustaWestland)

 

Mar. 10, 2014 - By BURAK EGE BEKDIL – Defense news

 

ANKARA — Turkey’s state-owned missile specialist Roketsan has successfully tested a long-range anti-tank missile it has been developing, the country’s procurement agency has announced.

 

The first guided firing test for MIZRAK-U was conducted from a Cobra AH-1S helicopter and hit a target at a distance of 3.5 kilometers.

 

The office said that MIZRAK-U would be used in the T-129 attack helicopters being co-produced by a partnership of Tusas Turkish Aerospace Industries and Italian-British AgustaWestland.

 

MIZRAK-U has a maximum range of eight kilometers, and its serial production will start in 2015. The missile has a homing imaging infrared seeker with radio frequency data link and with tandem-high explosive warhead and a laser-seeker option.

 

The missile’s medium-range version, MIZRAK-O, has a four-kilometer range and similar characteristics to MIZRAK-U

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:35
Video: Textron’s new Scorpion attack jet at the Singapore Airshow

 

 

March 10, 2014 stratpost.com

 

Textron Systems showcased its newly-developed Scorpion ISR light attack aircraft at the Singapore Airshow 2014 besides the Shadow M2 and Aerosonde UAVs.

 

Textron Systems showcased its newly-developed Scorpion ISR light attack aircraft at the Singapore Airshow 2014, besides the Shadow M2 Tactical Unmanned System and the Aerosonde Mk 4.7 Small Unmanned Aerial Vehicle.

 

Textron Systems’ Brian Feser says the Scorpion would cost USD 20 million per aircraft and has a cost per flight hour of USD 3000.

 

Produced by Shruti Pushkarna

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:35
Australian Major Projects Report

We always take a great interest in the National Audit Office Major Projects Reports but how do other nations approach the same financial and risk governance function?

 

How about the Australian audit office

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 16:55
European, US UCAV Programs Win Awards

 

March 10, 2014 defense-unmanned.com

 

Dassault Aviation and the French Defence Procurement Agency (DGA) Awarded by Aviation Week for the nEUROn Programme

 

(Source: Dassault Aviation; issued March 7, 2014)

 

SAINT-CLOUD, France --- Yesterday, at a ceremony held in Washington DC by the well-known defence and aeronautics magazine Aviation Week, Dassault Aviation and the French Defence Procurement Agency (DGA - Direction generale de l'armement ) were announced winner of the Laureate Awards, for the nEUROn programme, Europe's unmanned combat air vehicle (UCAV).

 

This price, that honors the values and visions of the global aerospace and defence industry, salutes the technological challenges performed and the innovative industrial solutions designed to develop the first large size stealth platform made in Europe, the nEUROn technological demonstrator.

 

Initiated by the French government in 2003 through the French Defence Procurement Agency with Dassault Aviation as prime contractor, the aim of the programme was to demonstrate the maturity and the effectiveness of technical solutions to face the main challenges of the future combat aircraft industry for the next twenty years.

 

The need to develop strategic technologies, the necessity to uphold advanced skills in areas in which the French industry has gained technical competences and fields of excellence, and the goal to provide workload to the design offices have led the nEUROn programme to be one of the most important for the defence sector.

 

The success of the nEUROn maiden flight, the 1st December 2012, validates the capability of the French industry to prepare the future of manned or unmanned combat aircraft systems.

 

It also illustrates the will of the French Authorities to be a major actor to the build-up of the future of defence, and the strategic commitment of Dassault Aviation to design and develop the best technologies to propose the outmost innovative operational solutions.

 

With more than 8,000 military and civil aircraft delivered to 83 countries over the past 60 years, and having logged nearly 28 million flight hours to date, Dassault Aviation can offer recognized know-how and experience in the design, development, sale and support of all types of aircraft, from the Rafale fighter to the Falcon range of high-end business jets, as well as military unmanned air systems. In 2013, Dassault Aviation reported revenues of EURO4.59 billion, with around 11,600 employees. (ends)

 

 

Navy’s X-47B Team Receives Prestigious Aviation Award

 

 

European, US UCAV Programs Win Awards

(Source: Naval Air Systems Command; issued Mar 7, 2014)

PATUXENT RIVER, Md. --- The X-47B Unmanned Combat Air System Demonstration (UCAS-D) team was honored by Aviation Week and Space Technology magazine as a winner of the publication’s prestigious Laureate Awards during a ceremony held March 6 in Washington, D.C.

 

Recognized for its work in the Aeronautics and Propulsion category, the X-47B UCAS-D team demonstrated the capability to operate a tailless, full-size Unmanned Air System (UAS) in the carrier environment, a first for naval aviation.

 

"It has truly been a phenomenal year for this team," said Rear Adm. Mat Winter, who oversees the Program Executive Office for Unmanned Aviation and Strike Weapons. "This award is a well-deserved recognition for the X-47B team and underpins the historical significance and dedication of the hundreds of civilian, military and industry teammates who were instrumental in executing the technical achievements required to operate the first-ever carrier-capable UAS."

 

Because of the UCAS-D team’s efforts, the X-47B conducted the first-ever launch and recovery of an unmanned air vehicle from a carrier at-sea. In 2013, the X-47B conducted eight catapult launches, 30 touch-and-goes and seven arrested landings while aboard USS George H.W. Bush (CVN 77) and USS Theodore Roosevelt (CVN 71).

 

“Our combined Navy and Northrop Grumman industry team is most deserving of this elite recognition for its tireless efforts to meet program objectives, while successfully demonstrating and maturing the critical technologies required for a carrier suitable, persistent unmanned air system,” said Capt. Beau Duarte, program manager for the Unmanned Carrier Aviation Program Office at Naval Air Station Patuxent River, Md.

 

Duarte said the team continues to refine the concept of operations to fully demonstrate the effective integration of unmanned carrier-based aircraft within the current carrier environment to reduce technical risk for the follow-on Unmanned Carrier Launched Airborne Surveillance and Strike (UCLASS) program.

 

The X-47B demonstration activities have validated the feasibility to operate unmanned aircraft in the harsh carrier environment and has helped develop the concept of operations and demonstrate the required technologies for a future unmanned carrier-based system.

 

 

Established more than 50 years ago, the Aviation Week Laureate Awards recognize the accomplishments of individuals and teams in the aerospace, aviation and defense industry, according to the organization’s website. The finalists’ “achievements embody the spirit of exploration, innovation and vision that inspire others to strive for significant, broad-reaching progress in these fields,” the website said.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 16:50
Apprenticeship opportunities at leading defence firm

Armed Forces Minister Mark Francois meets MBDA apprentices [Picture: MBDA]

 

8 March 2014 Ministry of Defence

 

Armed Forces Minister Mark Francois has learned about the opportunities available to apprentices at defence equipment company MBDA.

 

The minister spoke to young trainees as part of a day spent at the missile systems developer and manufacturer’s site in Filton, south Gloucestershire, during a visit coinciding with the conclusion of National Apprenticeship Week.

Mr Francois met apprentices Daniella Di Stazio, Louie Penfold, Anna Schlautmann and Lucinda Jones, all aged between 19 and 21.

The group explained their roles within the firm, which has operations across Europe as well as in the UK, and provided the minister with their first-hand experience of the opportunities that apprenticeships had presented them with.

Mr Francois said:

It is difficult to overstate the importance of apprenticeship schemes and it was fantastic to meet young people who have seized their opportunity with both hands.

National Apprenticeship Week is a good time both to celebrate apprenticeships and highlight once again the positive impact they can have on people and businesses.

After meeting these apprentices I’m confident that the future of defence manufacturing in this company is in safe hands. I wish them every success for the future.

All 4 apprentices are employed either within business or engineering with MBDA.

Daniella Di Stazio, aged 21, is a fourth-year business apprentice based at MBDA’s Stevenage site in Hertfordshire where she works in a supply chain transformation team. She won National Higher Apprentice of the Year 2014 from Semta (the UK Skills Council for Engineering and Manufacturing) in February.

Louie Penfold, aged 19, is a third-year engineering apprentice who works at MBDA’s Henlow facility in Bedfordshire on the final missile assembly line where the integration of warheads and motors takes place prior to customer delivery.

Anna Schlautmann, aged 21, is a third-year logistics apprentice who works on MBDA’s manufacturing workload forecast process ensuring that the company has the necessary resources amongst the teams working on the shop floor on missile assembly. Anna won Apprentice of the Year at the 2013 Manufacturer Awards in December last year.

Lucinda Jones, aged 21, is a second-year engineering apprentice who works in operations at MBDA’s Lostock site in Greater Manchester where she is involved with manufacturing missile components and inert missile assembly.

Daniella said:

Taking part in this apprenticeship scheme has been fantastic for me because I can get paid while gaining experience in permanent employment. It has given my career a great head start in an industry which I find fascinating. I’ve really enjoyed my time at MBDA

It’s also really good to see the Ministry of Defence and the government taking the opportunities presented to young people by apprenticeships seriously.

I really value the opportunity to meet a minister today and talk to him about my career and I hope he found it useful to hear how we have benefited from the scheme.

For people who want to pursue a career in defence, there are no shortage of apprenticeship opportunities.

MBDA offers places each year and is just one of many defence companies offering apprenticeship opportunities for young people starting out on the career ladder.

In addition, the Ministry of Defence, Royal Navy, Army and Royal Air Force combined are the biggest providers of apprenticeships in the UK.

Army schemes alone have an annual value of £27 million and at any one time there are more than 15,000 soldiers enrolled on an apprenticeship.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 14:35
Le Rafale franchit une étape importante en Inde

 

 

10/03 Par Alain Ruello et Patrick de Jacquelot – LesEchos.fr

 

Dassault et ses partenaires locaux, HAL en tête, ont conclu l’accord de transfert de technologie. Le sort de la vente des 126 Rafale est désormais dans les mains du prochain gouvernement.

 

La vente des 126 Rafale à Inde vient de franchir une étape importante, à défaut d’être décisive. Dassault et ses interlocuteurs industriels locaux, au premier rang desquels Hindustan Aeonautics Limited (HAL), on conclu récemment l’accord de transfert de technologie qui constitue le cœur du contrat en cours de négociation.

L’information a été dévoilée il y a une semaine par la télévision locale NDTV , mais est passée relativement inaperçue, en France notamment. «  Il y a eu un accord sur la répartition des tâches, qui fait quoi, comment et surtout qui est responsable. Il a été soumis au gouvernement indien », confirme-t-on aux « Echos » de source proche.

Début février 2012, le Rafale a remporté l’appel d’offres de New Delhi portant sur l’achat de 126 avions de combat, destiné à remplacer les escadrons de vieux Mig. Boeing, Lockheed Martin, Eurofighter, Saab, Mig, Soukhoï et donc Dassault : la compétition a vu le gratin de l’aéronautique de combat s’affronter. Elle a donné lieu à des tests très poussés de chacun des appareils dans le désert au dans l’Himalaya. Même si elle n’a jamais été complètement corroborée, la somme en jeu donne le vertige puisqu’on on évoque un contrat de plus de 10 milliards de dollars.

 

« Boulot de dingue »

Dans son appel d’offres, New Delhi a imposé que du 19e au dernier Rafale, soit 108 des 126 exemplaires prévus, la production et l’assemblage se fassent en Inde, ce qui suppose que l’industrie locale monte en cadence progressivement en terme de savoir-faire (les 18 premiers sortiront de l’usine de Mérignac, ce qui représente un an et demi de production aux cadences actuelles).

Dans un en entretien à Europe 1 le 19 février , Laurent Collet Billon, le délégué général pour l’armement, avait indiqué mi-février que la liste des entreprises sous-traitants de HAL avait été arrêtée. Un pas de plus a donc été franchi depuis, avec cet accord de partage des tâches industrielles entre Dassault et HAL. « Ca a été un boulot de dingue et c’est pour cela a pris deux ans. On est descendu jusqu’à la vis de 4 », toujours de la même source.

 

Pourvoir d’achat réduit

Selon NDTV, le radar du Rafale sera construit par Bharat-Electronics Ltd (BEL) à Bangalore par exemple. Dassault s’inquiétant de la coordination entre BEL et HAL, ce dernier aurait accepté d’installer une unité de fabrication à côté de celle de son partenaire. Les deux gouvernements travaillent par ailleurs à un accord d’Etat à Etat certifiant que l’avionneur tricolore assurera la fourniture et l’entretien des Rafale pendant 40 ans.

Cette étape franchie, rien ne devrait se passer maintenant d’ici aux élections législatives de mai. C’est le gouvernement qui sortira des urnes qui décidera du destin de ce contrat pharaonique. A priori, il y réfléchira à deux fois avant de remettre en cause tout ce qui a été négocié sous l’égide de son prédécesseur. Mais rien n’interdit non plus qu’il le fasse quitte à repousser de nombreux mois la conclusion de l’affaire, d’autant le pouvoir d’achat du ministère indien de la défense s’est considérablement réduit.

Contacté, Dassault n’a pas souhaiter commenter.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:55
Collaboration renforcée entre DCNS et l'Ifremer


10.03.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense Globale


Le 7 mars, DCNS et l'Institut français de recherche pour l'exploration de la mer (Ifremer) ont signé un accord cadre de coopération.

Le poids lourd français du naval de défense (3,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 13 600 salariés en 2013) et l'établissement public (1 500 salariés) se rapprochent, partageant notamment des moyens, pour développer des solutions d'innovation.

 

L’accord cadre de coopération signé entre DCNS et l’Ifremer porte principalement sur trois volets selon le communiqué des deux entreprises :

- le soutien des coopérations technologiques innovantes comme, par exemple, le développement de navires du futur ou encore de systèmes électriques fonctionnant dans le milieu marin ;

- le développement de projets collaboratifs d’exploration pour une  valorisation durable des ressources maritimes (matières premières, minéraux, biodiversité, énergie renouvelable avec les vents marins, les mouvements des eaux et le différentiel de température entre fond et surface) ;

- accès aux moyens à terre ou en mer des deux partenaires.

Un projet technologique sera mis en œuvre dans les années à venir : la réalisation d’essais avec un drone sous-marin de l’Ifremer. Ce projet permettra d’accélérer le développement des systèmes de guidage et d’arrimage de ce type d’engins avec un sous-marin. Intérêts militaire et civil confondus : connaissance du théâtre d’opérations et renseignement, exploration des fonds ou surveillance de l’environnement.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:50
La Bundeswher commande d’avantage de blindés Eagle 5

Le véhicule Eagle 5, ici mettant en œuvre un pont MTB (Medium Trackway Bridge) Crédits: GDLS

 

27 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Le 20 février dernier, la Bundeswehr a décidé de lever l’option sur le récent contrat GFF Klasse 2 Eagle 5. Le programme allemand GFF, divisé en 4 classes (5/7/12 et 25 tonnes), vise à moderniser les blindés de l’armée de terre allemande (relire l’article de FOB sur le programme de modernisation allemand GFF ici). En juin dernier, la Bundeswher avait commandé pour la classe des 7 tonnes (GFF2), 100 blindés Eagle 5 à General Dynamics Land System (anciennement Mowag). La semaine dernière, l’Allemagne vient d’activer l’option pour 76 véhicules de plus. Ce qui portera la flotte Allemande de véhicules Eagle 4×4 au total à 681 véhicules (505 Eagle 4 et 176 Eagle 5).

 

L’Eagle 5 est un évolution du véhicule Eagle 4, en service en Allemagne, en Suisse ou au Danemark et déployés en opérations (Afghanistan…). Basé sur un châssis Duro, il affiche de nombreuses communalités avec l’Eagle 4, permettant d’optimiser la maintenance. Haut de 2,38 mètres pour une longueur de 5,40 mètres, l’Eagle 5 peut recevoir 5 soldats et atteindre une vitesse de 100 km/h grâce à son moteur diesel Cummins de 245 chevaux.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:50
Workshop on European Unmanned Maritime Systems: Programme Published

 

Brussels - 10 March, 2014 European Defence Agency

 

The programme of the workshop “Exploring Safe Design and Operations for European for European Unmanned Maritime Systems is now available. 

 

This workshop is organised by the European Defence Agency in cooperation with the working group on Safety and Regulations for European Unmanned Maritime Systems (SARUMS) 27 March 2014 in the EDA premises in Brussels. 

The workshop will be a major forum focusing on the discussion of latest developments and on the exchange of recent experiences in the field of safety of Unmanned Maritime Systems. It will bring together end users and various stakeholders from industry, research institutes and governmental organisations.

The workshop is supported by European Defence Agency and SARUMS working group whose aim is to provide European navies with a best practice framework for the handling, operations, design and regulations of Unmanned Maritime Systems. 

More information on how to register and the draft programme can be found here

 

More information:

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:35
FOB Interview : Eric Lenseigne, Directeur des activités de Thales en Inde

Eric Lenseigne, Directeur des activités de Thales en Inde

 

24 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Durant son déplacement en Inde pour la salon Defexpo, FOB a eu le plaisir de rencontrer Eric Lenseigne, Directeur des activités de Thales en Inde. L’occasion de décrypter la stratégie du groupe français sur ce marché particulier mais très prometteur.

 

L’Inde est-il un pays important pour Thales ?

 

Depuis l’arrivée de Jean-Bernard Lévy  à la tête de Thales , il y a clairement une nouvelle stratégie annoncée pour le groupe : celle du développement de Thales sur les marchés émergents et à forte croissance, dont l’Inde bien sûr fait partie.
Nous augmentons donc notre présence industrielle ici. Thales India, c’était 200 personnes l’année dernières, 300 cette année et cela va encore augmenter. Et seul 2,6% de nos effectifs sont des expatriés ici, soit 8 français.
L’Inde pour Thales c’est 250 millions d’euros de prise de commande pour tout le groupe.

 

Comment se traduit votre présence ici ?

 

La présence de Thales en Inde repose sur 3 piliers :

- Les activités en propre de Thales en Inde. Nous avons ici bon nombre de compétences clefs qui sont proches des besoins indiens. Dans cette optique, notre volonté est d’accroitre la part locale. C’est pourquoi nous recrutons dans tous les métiers, notamment des ingénieurs.

- La création de Joint Venture est le second pilier de notre présence. Ainsi nous constituons des JV dans des domaines clefs avec des entreprises compétentes, par exemple avec BEL (Bharat Electronic Limited) dans le domaine des radars terrestres ou encore avec Samtel dans l’avionique. Nous répondons ainsi également à la réglementation locale qui stipule qu’une entreprise étrangère ne peut détenir plus de 26% du capital d’une entreprise de défense.

- Enfin, le troisième pilier de notre présence est les partenariats industriels. Ainsi nous sommes partenaires avec HAL dans les aéronefs militaires ou Tata dans les véhicules terrestres, nous avons donc plusieurs partenaires avec qui nous entretenons une relation privilégiée
La période 2014 /2015 va d’ailleurs être une période importante pour Thales en Inde. Nous allons nous attacher à structurer ces partenariats locaux et les organiser par domaines : aéronefs militaires ; transport civil ; communications militaires ; radar et défense aérienne.

 

Quels sont plus particulièrement les grands prospects de Thales en Inde ?

 

De nombreux et parfois très grands programmes sont aujourd’hui en cours en Inde.
Par exemple, dans la défense aérienne en courte et très courte portée. Trois programmes devraient aboutir d’ici 4 à 5 ans. Mais également dans le domaine des radars de surveillance aérienne. Ou la communication tactique : deux grand programmes sont lancés : le BMS (Battlefield management system) et le Tactical communication system, pour lesquels nous sommes en train de former des alliances avec des partenaires locaux.

Thales devrait ainsi augmenter significativement sa présence en Inde, avec le développement de véritables établissements industriels, ce qui n’est pas encore le cas aujourd’hui
Nous bénéficiions d’un réseau stable et structuré de partenaires indiens solides.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:20
Le Smartphone devient une caméra thermique

 

07.03.2014 electronique-eci.com

Parallèlement à l'annonce de sa nouvelle gamme d'instruments de test et mesure, Flir présentait également lors de la même conférence le capteur thermique Lepton. Tenant sur une pièce de 10 cent, ce capteur va ouvrir le marché de l'infrarouge au grand public.

 

 

Le Smartphone devient une caméra thermique

Le capteur Lepton s'intègre dans la caméra FlirOne qui permet de transformer un simple smartphone en caméra thermique.  Pas encore disponible en Europe, ce produit devrait bientôt permettre au plus grand nombre de découvrir et de se familiariser avec l'infrarouge pour prix relativement modique.
 


La vidéo de présentation de la caméra FlirOne pour smartphone

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 07:50
La Norvège reçoit ses premiers CV90 modernisés

 

 

3 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Hagglunds (groupe BAE Systems) a livré le 25 février dernier les deux premiers véhicules de combat d’infanterie chenillés CV90 modernisés à l’armée norvégienne.

 

Ces véhicules de présérie vont débuter une campagne d’essais pour d’ultimes ajustements, avant que la production ne débute en janvier 2015.

 

Au total, la Norvège va moderniser 144 de ces véhicules, qui doivent être livré d’ici 2018.

 

Les améliorations concernent la protection, l’ajout d’une vétronique, des caméras pour une vision extérieure à 360° pour les quatre soldats d’équipage.

 

Les 144 véhicules modernisés sont répartis en différentes configurations : reconnaissance avec un mât optronique, version PC, version sapeurs, et deux véhicules d’instruction et d’entraînement.

 

Le chenillé CV90 est équipé d’une tourelle modernisé deux hommes avec un canon de  30 mm ATK et d’une 7.62 mm coaxial.

 

Cette nouvelle tourelle est montée d’une étonnante et imposante excroissance à l’avant qui n’est autre qu’un toureleau téléopéré Kongsberg RWS 0.50 Cal. M2 HB MG.

 

Fort de ce succès avec l’armée de terre norvégienne, BAE Hagglunds espère aussi moderniser les parcs de CV90 en service en Suède ou au Danemark.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 07:35
Vietnam to Buy 3D Search Radar ST68UM of Ukraine

Mobile 3D search radar ST68UM (36D6-M) for the S-300PMU of Vietnam shipped in the port of Saigon, Ho Chi Minh City (photos : Giaoduc, Militaryphotos)

 

Mar. 10, 2014 Defense Studies

(GDVN) - Mobile 3D search radar ST68UM (36D6-M) for the S-300PMU of Vietnam shipped at the port of Saigon, Ho Chi Minh City.


 


Recent Chinese media repeatedly reported on the construction of modernization of Vietnam Army, while providing much appreciated, commentary, communication, confirmed that Vietnam is focusing on customs modernization, Air Force for the South China Sea. Here is some new information Chinese media propaganda:
 


Sheet "Hoan Cau" China February 28 posts that Vietnam Defense Force purchased a 3D search radar ST68UM cell types (36D6-M) of Ukraine for surface to air missiles S-300PMU, recently dismantled in the port of Saigon, Ho Chi Minh City.
 


Also, according to Chinese media, and particularly interested in the relationship between Vietnam and the major countries, including Vietnam-Russia relations, Vietnamese-American, Vietnamese-Japanese, Vietnamese-Indian ... Because This relationship involves many factors both political, military, security, and economic strategy ...

 


The Chinese press has expressed concern to the visit of the American leaders, Russia, Japan ... to Vietnam, including Cam Ranh Bay visit of U.S. Secretary of Defense (June 3, 2012) and Defense Minister of Japan (September 17, 2013), and focus attention on the Cam Ranh military port in Vietnam.

(Giaoduc)

Partager cet article
Repost0
9 mars 2014 7 09 /03 /mars /2014 12:20
UH-72 Lakota photo US Army

UH-72 Lakota photo US Army

 

07/03/2014 Par Guillaume Steuer  - air-cosmos.com

 

En ces temps de disette budgétaire, les bonnes nouvelles sont rares pour les industriels de défense européens sur le marché américain. La proposition de budget pour l'année fiscale 2015 dévoilée par le Pentagone en début de semaine sourit pourtant à la filiale américaine d'Airbus Helicopters : afin de rationaliser ses flottes d'hélicoptères, l'US Army prévoit d'acquérir 424 UH-72 Lakota, un dérivé "américain" de l'EC145, alors qu'il n'en était jusqu'alors prévu que 345.

 

Le Lakota revient donc de loin : "le budget final pour l'année 2014 ne prévoyait que 20 machines au lieu de 31, et ne précisait aucun quantité au-delà", souligne un porte-parole d'Airbus Group Inc. L'an dernier encore, la crainte était donc grande de voir le programme arrêté avant même d'avoir été mené à terme.

 

Mais un vaste chantier de rationalisation des voilures tournantes dans l'US Army sourit finalement au Lakota : l'armée de terre américaine a en effet décidé de faire de cet appareil son principal hélicoptère d'entraînement initial pour ses personnels navigants, en commandant 79 machines de plus qu'initialement prévu.

 

La proposition de budget pour l'année fiscale 2015, qui devra toutefois être validée par le Congrès, prévoit donc la commande de 55 Lakota l'an prochain, et 45 l'année suivante. "A ce jour, nous avons livré 296 machines au client américain", souligne le porte-parole de la filiale américaine. Des livraisons que l'industriel se félicite d'avoir honoré dans le respect des coûts et des budgets. Les Lakota sont produits à Columbus, dans le Mississippi.

Partager cet article
Repost0
9 mars 2014 7 09 /03 /mars /2014 12:20
Tomahawk, le missile qui joue les drones

 

07/03/2014 Par Julien Bergounhoux - industrie-techno.com


 

Il nage, s'élance comme une fusée puis vole comme un avion. Il est contrôlé à distance, fait de la reconnaissance, prend des photos, et peut suivre des cibles en mouvement, ou même changer de cible ou de mission en cours de vol. Un drone ? Non, un missile de croisière, le nouveau Tomahawk.

 

Le missile de croisière Tomahawk, développé à l'origine dans les années 1970 par General Dynamics et désormais fabriqué par Raytheon, s'est vu fortement modernisé au fil des ans. Dernière évolution en date : une nouvelle ogive multi-missions, la possibilité de trouver ses propres cibles et de les suivre en mouvement grâce à un nouveau système de guidage, mais aussi d'effectuer des missions variées en plus de sa mission destructrice première, par exemple de la reconnaissance visuelle avec prise de photo.

Cette modernisation intervient sur le Tomahawk Block IV, un missile polyvalent capable d'être lancé depuis un sous-marin, de sortir de l'eau à l'aide d'une fusée, puis de déployer de petites ailes et de voler à l'aide d'un turboréacteur (pouvant atteindre une vitesse maximale de à 890 km/h) sur plus de 1 600 km avant d'atteindre sa cible. Cette version était déjà capable de changer de cible en cours de vol, et avait vu son coût réduit de moitié par rapport au précédent Block III, lui permettant d'être plus souvent déployé.

Les efforts de Raytheon en collaboration avec la Navy américaine se concentrent sur ses capacités de communication, afin de lui permettre entre autres d'atteindre des cibles en mouvement et d'ignorer les conditions climatiques qui pourraient autrement entraver sa mission. Cela passe par une mise en réseau, qui confère à un opérateur la possibilité d'accéder à des données issues de n'importe quelle source (satellites, drones, soldats, navires, etc.) pour le mener à sa cible, et de changer de cible à la volée si besoin. Le missile est de plus équipé d'un système de navigation visuel appelé "Digital Scene Matching and Correlation", d'un GPS antibrouillage et de capteurs de mesure inertielle au cas où il se retrouve coupé de tout contact électronique.

Ces améliorations lui apportent une flexibilité inégalée, sur laquelle compte Raytheon pour que le Tomahawk reste l'arme de choix de la Marine de guerre américaine, qui en a reçu plus de 3000 depuis l'introduction du Block IV en 2004, et dont un grand nombre de ses navires sont équipés.

Partager cet article
Repost0
8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 12:40
En cas de guerre économique avec la Russie, il y aurait surtout des perdants

source voxthunae

 

08 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

PARIS - Des Européens sans gaz ou presque, et des Russes privés d'investissements et de capitaux dont ils ont bien besoin: en cas d'escalade de la crise en Ukraine et de sanctions économiques réciproques, il n'y aurait que des perdants, soulignent les économistes, qui ne croient pas à une telle escalade.

 

Il n'y aura que des perdants si la Russie et les Occidentaux prennent des mesures de rétorsion économique, ce qu'il ne croit pas, assure à l'AFP Arnaud Dubien, président de l'Observatoire franco-russe, centre de recherche dépendant de la Chambre de commerce franco-russe.

 

Vendredi, l'association des entrepreneurs européens actifs en Russie, l'AEB, s'est fendue d'un communiqué pour demander un dialogue constructif et rappeler la forte interdépendance économique.

 

Christian Schulz, de la banque Berenberg, juge que des sanctions feraient un peu de mal à l'Europe mais que c'est surtout la Russie (qui) se nuirait à elle-même, dans un contexte de croissance poussive (1,3% en 2013) et de fuite déjà conséquente de capitaux privés (17 milliards de dollars depuis le début de l'année).

 

L'institut de recherches Oxford Economics a simulé les conséquences d'une escalade du conflit en Ukraine, avec de nouvelles intrusions militaires russes débouchant sur une interruption des livraisons de gaz russe via l'Ukraine, et quelques représailles financières contre la Russie.

 

Selon ses conclusions, le prix du gaz sur le marché en Europe augmenterait de 15% et celui du pétrole de 10%, la zone euro subirait un recul de 1,5% du Produit intérieur brut (PIB) d'ici 2015 par rapport au scénario de base (hors escalade militaire), s'aggravant à -3% pour certains pays de l'Est. Etats-Unis et Asie connaîtraient un impact plus limité.

 

- La Russie grande perdante -

 

Mais, assure Oxford Economics, le plus grand perdant serait la Russie: le rouble déclinerait fortement, l'inflation flamberait et le PIB russe baisserait de 2% en 2014 puis 4,5% en 2015 par rapport au scénario de base. L'Ukraine serait elle en faillite.

 

Lundi déjà, en un seul jour, la banque centrale russe a dû dépenser 11 milliards de dollars pour défendre sa devise. C'est cinq fois plus qu'elle n'avait jamais dépensé pour une intervention sur les marchés.

 

En cas de sanctions commerciales majeures, par exemple d'embargo sur 80% des ventes russes de gaz et de pétrole, les prévisions d'Oxford Economics sont encore plus sombres, avec un PIB russe en recul de 10% d'ici fin 2015 par rapport au scénario de base.

 

Christian Schulz rappelle que le gaz russe pèse environ un tiers de l'approvisionnement européen. Mais selon lui, dans un contexte de reprise européenne et avec la venue du printemps, la Russie a besoin de ses revenus énergétiques plus que l'Europe n'a besoin de son gaz.

 

Les exportations russes l'an dernier hors CEI (ex-URSS sans les pays baltes et la Géorgie) étaient composées à 74,5% d'hydrocarbures, et représentaient l'équivalent d'entre 15 et 20% du Produit intérieur brut.

 

M. Schulz rappelle aussi que la relation commerciale est très déséquilibrée: les exportations européennes vers la Russie pesaient 1% du PIB européen en 2012, mais les exportations russes vers l'Union européenne pesaient elles 15% du PIB russe.

 

Pour lui, la Russie risque de faire fuir les investissements dont elle a besoin pour se moderniser et de décrocher pour de bon des autres grands émergents, le Brésil, l'Inde et la Chine qui eux réforment leurs économies.

 

- La France laisserait des plumes -

 

Un constat que M. Dubien tient à nuancer, affirmant que les Européens et en particulier les Français laisseraient aussi des plumes en cas de guerre économique.

 

37 des entreprises du CAC 40, l'indice boursier vedette en France, sont présentes en Chine et y enregistrent des succès, dont elles ne se vantent pas trop en raison de l'ambiance de +Russian bashing+, assure ce promoteur du développement des relations économiques avec la Russie.

 

Il indique que la Russie est pour la France le troisième marché à l'exportation hors Europe, et ce dans un contexte où chaque million de notre balance commerciale (très déficitaire) compte.

 

Par ailleurs, la Russie n'est pas désarmée notamment face à des attaques contre sa monnaie. Elle possède de gigantesques réserves de devises, qui se montaient à 493,4 milliards de dollars le 21 février dernier.

Partager cet article
Repost0
8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 12:35
La corruption entrave la modernisation de l’armée indienne

 

07.03.2014 Sergueï Tomine – La Voix de la Russie

 

La corruption, un des thèmes principaux de la campagne électorale en cours en Inde, est tout particulièrement visible dans le secteur militaro-industriel. Le marché de l’armement indien est l’un des plus prometteurs du monde. En 2013, le budget de la Défense du pays a atteint 40 milliards de dollars, selon certaines estimations. Et bien sûr là où il y a beaucoup d’argent, les possibilités sont nombreuses de gagner gros.

 

Cette tendance apparaît clairement avec le scandale qui a touché le britannique Rolls-Royce. Cette société mondialement connue est soupçonnée d’avoir versé des pots-de-vin aux employés de Hindustan Aeronautics Limited lors de la conclusion d’un contrat estimé à 1,2 milliards de dollars portant sur l’achat de moteurs d’avions par l’Inde. Des sources du Bureau central des enquêtes (CBI) estiment que le montant des dessous-de-table versés pourrait atteindre 80 millions de dollars.

 

L’affaire Rolls-Royce s’ajoute à la liste déjà longue des scandales qui ébranlent l’Inde et impliquent des fabricants d’armes et d’équipement militaires occidentaux renommés. Grâce à la corruption, la société, en contournant les règles de concurrence loyale, s’est vu ouvrir le « canal vert » du marché indien des armes. En janvier 2014, le ministère de la Défense indien a confirmé l’annulation d’un contrat de 750 millions de dollars portant sur pour l’achat de 12 hélicoptères de transport VIP produits par la filiale du constructeur italien Finmeccanica, AgustaWestland. Le scandale a éclaté en Inde après qu’un mandat d’arrêt a été émis en Italie contre le président de Finmeccanica, Giuseppe Orsi, accusé d’avoir versé des pots-de-vin à des fonctionnaires indiens lors de la conclusion du contrat.

 

Les perquisitions conduites chez l’ancien commandant de l’Armée de l’air,Shashindra PalTyagi, et chez douze autres anciens hauts fonctionnaires et militaires, confirment que la corruption concerne les plus hauts échelons de la Défense indienne. En mars 2013, des perquisitions ont été menées dans les bureaux de quatre entreprises du complexe militaro-industriel indien, dans le cadre de l’enquête sur les machinations impliquant l’entreprise Finmeccanica. Suite à ces perquisitions, les suspects ont été officiellement inculpés.

 

Une situation paradoxale se fait jour : alors que la Défense indienne a dépensé des sommes astronomiques, les militaires se plaignent de la mauvaise qualité de leurs équipements. Il y a deux ans, les médias indiens avaient publié une lettre scandaleuse du commandant de l’Armée de terre, le général Singh,adressée au Premier ministre, Manmohan Singh, qui avait eu l’effet d’une bombe. La lettre indiquait que bien que l’Inde était devenue le premier pays importateur d’armes au monde, l’équipement des militaires était dans un état catastrophique. Cela concernait en premier lieu les forces blindées et la défense aérienne.

 

Parallèlement, ce même général Singh avait fait, au journal The Hindu, une autre déclaration sensationnelle en reconnaissant qu’un pot-de-vin de 3 millions de dollars lui avait été offert en échange de son approbation de l’achat de camions du constructeur tchèque Tatra. Cette société appartient à l’homme d’affaires indien Ravi Rishi.

 

Après les déclarations du général Singh, le ministère de la Défense a annoncé qu’il déclarait la guerre à la corruption touchant les contrats d’armement. Deux sociétés indiennes et quatre sociétés étrangères ont été placées sur une « liste noire » et interdites de travailler sur le marché indien pendant dix ans. « Si nous constatons que les choses ne se déroulent pas bien avec un contrat ou un autre, nous l’annulerons quel que soit son stade de développement », avait alors mis en garde le ministre de la Défense, A. K. Antony.

 

Néanmoins, l’affaire Rolls-Royce indique que la corruption à grande échelle dans le secteur militaro-industriel n’est pas facile à stopper. Et ce notamment parce que les racines de la corruption sont intactes. Ces nombreux scandales mettent en question le mécanisme d’appel d’offres utilisé par l’Inde pour les transactions dans le domaine technico-militaire. L’opacité et la corruption touchant les contrats d’armement sont de plus en plus visibles.

Partager cet article
Repost0
8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 12:20
U.S. Air Force To Spend $11.8 Billion To Develop New Long-Range Bomber

A B-2 during aerial refueling which extends its range past 6,000 nautical miles (6,900 mi; 11,000 km) for intercontinental sorties - photo USAF

 

March 7, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

Bloomberg News is reporting that the U.S. Air Force’s five-year plan calls for spending $11.8 billion to develop a new long-range bomber, one of the Pentagon’s top weapons projects. That information comes from military budget figures.

 

The aircraft would replace Northrop Grumman Corp.’s aging B-2 stealth bombers, the report noted.

 

Read more.

 

More from Bloomberg:

 

The Defense Department sees it as vital to reaching far-flung, heavily defended locations worldwide. Northrop may compete with the two biggest federal contractors, Lockheed Martin Corp. (LMT:US) and Boeing Co. (BA:US), which plan to bid as a team.

 

While the Air Force has said it may build as many as 100 of the bombers in a program potentially topping $55 billion, the service’s new five-year plan released this week didn’t include production funds for those aircraft.

Partager cet article
Repost0
7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 15:55
Thales Innov' Days : la défense partenaire de l'innovation

Jean-Yves Le Drian s'est fait présenter plusieurs projets innovants développés par le groupe industriel Thales

 

07/03/2014 Ministère de la Défense

 

Le ministre de la Défense s'est rendu aux Thales Innov'Days, jeudi 6 mars à Paris. A cette occasion, il a précisé les orientations du ministère en matière de recherche et développement, et a rappelé son rôle d'acteur de l'innovation aux côté des industries.

 

Lors de sa visite aux Thales Innov' Days, qui se sont tenues au Palais des congrès de Paris le 6 mars, Jean-Yves Le Drian s'est fait présenter plusieurs projets innovants développés par le groupe industriel dans les secteurs de l'aéronautique, du spatial, de la défense, des transports terrestres et de la sécurité.

 

Il a salué "l'excellence de nos industries qui bénéficient très directement à nos forces sur le terrain" et leur dynamisme "qui irrigue notre économie, encourage la croissance, développe l'emploi". Au programme de la visite notamment, l'Avionics 2020, un cockpit nouvelle génération avec des interfaces hommes-machines conçues pour servir le pilote grâce aux technologies les plus récentes en matière d’affichage, ou encore le centre de commandement aérien C2 du futur, une solution permettant de mettre en immersion 3D la cellule opérationnelle d’un centre d’opérations aériennes militaires et ainsi de renforcer le travail collaboratif des opérateurs.

 

Lors de son allocution, Jean-Yves le Drian a souligné son engagement vis-à-vis de de l'effort de recherche, "un outil essentiel de politique industrielle au service de notre autonomie stratégique (...), et, un outil majeur de compétitivité pour l'industrie française (...) Les compétences qui forment l'excellence de nos industries sont aussi longues à acquérir qu'elles sont rapides à perdre."

 

Concrètement, entre cette année et 2019, 730 millions d'euros par an en moyenne seront dédiés à des contrats d'études-amont directement conclus avec l'industrie.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories