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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 11:55
Un FÉLIN chez les paras

13 févr. 2014 Armée de Terre

 

Les paras de la 4e compagnie du 3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine s'entraînent avec le nouvel équipement FÉLIN.

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 11:55
Paul Boyé Technologies, bientôt racheté par Nexter, change de dimension

 

16 février 2014 par Isabelle Meijers - touleco.fr


Classé parmi les premiers fabricants européens d’uniformes, de tenues de combat, ou d’équipements de sécurité, Paul Boyé Technologies a acquis depuis son contrat avec le Pentagone en 2012 ses galons de chef de file mondial dans les tenues de protection NBC (nucléaire, biologique, chimique). « Notre recette a toujours été d’innover et d’exporter », souligne Jacques Boyé, président de Paul Boyé Technologies. La mise en place d’un centre de logistique ultramoderne de 12.000 m² à Labarthe-sur-Lèze, au sud de Toulouse, représentant 6 millions d’euros d’investissement, en témoigne.

Une décision motivée par l’obtention en 2011 d’un contrat de 20 millions d’euros annuels pendant trois ans, en cours de renégociation pour quatre années supplémentaires, avec la gendarmerie nationale qui a externalisé auprès de Paul Boyé Technologies l’ensemble de sa fonction habillement. Depuis le centre de Labarthe-sur-Lèze, futur siège social de l’entreprise abritant aussi l’unité de recherche et développement, sont assurées les commandes individuelles des 120.000 gendarmes nationaux en tenues et en équipements mais aussi l’après-vente (réparation, entretien ou lavage des tenues). Entre 2000 et 5000 colis sont acheminés quotidiennement. Une offre globale de fabrication, distribution et support qui s’inscrit dans la stratégie de diversification vers les services de Paul Boyé Technologies.

 

Le marché américain en ligne de mire

 

L’entreprise familiale, créée à Sète en 1904, qui emploie aujourd’hui 250 personnes, a presque triplé son chiffre d’affaires depuis 2005 pour atteindre 62 millions d’euros en 2013. La forte croissance de 30% entre 2012 et 2013 est principalement imputable à « l’export avec de gros contrats avec la défense suédoise, l’Arabie Saoudite, Singapour et le Brésil ». Une même progression de 30% de l’activité est anticipée pour 2014. Et tous les yeux sont rivés sur le continent nord-américain où Paul Boyé Technologies dispose d’une filiale de représentation depuis 2008. L’objectif est de transformer ce bureau en véritable usine de fabrication et centre de commercialisation pour prendre sa part du lion d’un marché colossal. « Le marché aux Etats-Unis de la protection des individus ou combattants est plus gros que le reste du marché mondial », confie Philippe Boyé, directeur général de Paul Boyé Technologies.

 

Rachat annoncé par Nexter

Dans ces conditions, les besoins en capitaux deviennent pressants. Le géant Nexter (ex Giat Industries), leader de la défense terrestre appartenant à l’État, s’est porté acquéreur de Paul Boyé Technologies dans une logique de synergie, pour constituer un leader européen dédié à la protection individuelle des combattants. Jacques et Philippe Boyé, respectivement âgés de 59 ans et 62 ans, ont confirmé leur intérêt. Les négociations en cours devraient aboutir courant 2014. « Nous travaillons déjà avec Nexter sur des programmes de recherche. Cet adossement nous donnera plus de moyens pour aborder les marchés internationaux », confirme Jacques Boyé.
 

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 08:55
Le RHM Malabar crédits MICHEL FLOCH

Le RHM Malabar crédits MICHEL FLOCH

 

17.02.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


Du nouveau du côté des Bâtiments de Soutien et d'assistance hauturiers (BSAH). Le projet de PPP tombe à l'eau... C'est officiel!

 

La Défense envisageait un "achat de prestations de service au profit du ministère de la Défense pour assurer des missions militaires et/ou civiles de soutien et d'assistance hauturier, comprenant la mise à disposition et le maintien en conditions opérationnelles de navires avec et sans équipage."

 

Selon un avis du 15 février, le marché n'a pas été attribué. L'avis précise que "constatant que la comparaison du coût global de l'offre finale à celui d'un mode d'acquisition patrimoniale ne permet pas de démontrer un intérêt économique, le ministère de la Défense renonce à poursuivre la passation du contrat cité au ll.1.2) et déclare sans suite la procédure de consultation dudit contrat."

 

Il s'agissait d'un contrat de partenariat au sens de l'ordonnance n° 2004-559 du 17 juin 2004 modifiée. L'avis de 2010 précisait que la composante militaire de la flotte serait constituée de 4 bâtiments, deux basés à Brest et deux basés à Toulon. La composante civile de la flotte était alors évaluée à 2 bâtiments par façade, étant précisé qu'a minima un bâtiment sera basé initialement dans chacun des ports de Brest, Cherbourg et Toulon. 8 BSAH donc, toujours inscrits dans la LPM.

 

Le projet prévoyait que

"le cocontractant mettra progressivement à disposition du ministère de la Défense, idéalement à partir de 2014 et avant fin 2015, une flotte de Bâtiments de Soutien et d'assistance Hauturiers (bsah) dont il assurera l'acquisition et le maintien en conditions opérationnelles pendant la durée du contrat, estimée à 15 ans et qui sera définitivement fixée lors du dialogue. Les BSAH seront mis en œuvre pour réaliser les missions de servitude, de défense et d'action de l'état en mer qui sont du ressort de la Marine nationale et activées par elle.
L'existence de certaines missions à caractère militaire conduit à organiser la flotte de BSAH en deux composantes, l'une militaire armée par du personnel de la Marine nationale, l'autre civile armée par le cocontractant. Les principales capacités attendues des BSAH et leurs caractéristiques générales sont décrites en section Vl.3 sous la rubrique " compléments de description de l'achat ".
Certaines installations des ports militaires d'accueil des BSAH pourront être utilisées par le cocontractant dans des conditions à définir lors du dialogue, les adaptations et moyens spécifiques nécessaires à l'exécution du contrat étant à la charge du cocontractant. Le cocontractant pourra commercialiser auprès d'autres clients que le ministère de la Défense le potentiel non utilisé pour le besoin du contrat. Une option concernant un bâtiment supplémentaire sera discutée lors du dialogue."

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 18:40
Marine russe : l’avenir de la flotte

 

14.02.2014 Ilia Kramnik La Voix de la Russie

 

Anatoli Chlemov, directeur du département des commandes d’État pour la défense du Consortium naval unifié, a abordé la construction de la flotte russe et la coopération technico-militaire avec l’Inde dans un entretien exclusif accordé à La Voix de la Russie lors du salon DEFEXPO 2014 qui se tient en Inde.

 

La Voix de la Russie : L’Inde a récemment reçu le porte-avionVikramaditya, de construction russe. D’autres projets communs d’une telle ampleur sont-ils prévus ?

 

Anatoli Chlemov : « Ce projet est le plus grand de toute l’histoire de la coopération russo-indienne. Mais les travaux dans ce domaine ne s’arrêtent pas au Vikramaditya. La Russie a fourni des équipements aéronautiques développés par le bureau d’études Nevski pour le simulateur indien de l’aviation embarquée, et aussi pour le nouveau porte-avion indien du projet 71. De plus, des négociations sont menées sur la maintenance technique après garantie et l’accompagnement du cycle de vie du porte-avion. »

 

LVdlR : Faut-il s’attendre à l’avenir à la construction d’un nouveau porte-avion pour la Russie ?

 

A. C. : « Il y a en ce moment des études sur plusieurs variantes de navire de cette classe, mais je ne pourrais dire quelque chose de concret qu’après la validation du programme à long terme de construction navale militaire russe, qui doit être terminé cette année. Il fixe les paramètres de la construction de la flotte russe et les besoins en navires des principales classes jusqu’en 2050. »

 

LVdlR : Que pouvez-vous nous dire sur la réparation du croiseur lance-missile nucléaire lourd Admiral Nakhimov? Cette réparation peut-elle être considérée comme une préparation à celle du Pierre le Grand?

 

A. C. : « Pour le moment, la réparation en est au stade des travaux préliminaires. Dans un avenir proche, le navire sera mis dans le bassin où se trouvait encore récemment le Vikramaditya. Le navire devrait être livré à la flotte en 2018. Au cours des réparations, de nouvelles possibilités seront ajoutées au croiseur grâce à de nouveaux systèmes d’armement et d’équipements électroniques. Le Pierre le Grand, qui est aussi très important pour la flotte, remplit un grand nombre de missions. Le navire a intégré la flotte en 1998 et est activement utilisé depuis. La date de sa réfection approche, et il faudra aussi le moderniser, comme l’Admiral Nakhimov. »

 

LVdlR : Comment avance le projet Leader ? Sera-t-il classé comme contre-torpilleur ou comme croiseur ?

 

A. C. : « L’année dernière, le ministère de la Défense a conclu un contrat de recherche-développement Leader pour créer un navire de surface pour les zones océaniques. Nous parlons pour l’instant d’un navire de surface militaire multi-rôle pour les zones océaniques. Ce terme correspond mieux aux objectifs et aux possibilités du futur bâtiment.

La flotte n’a pas encore décidé si elle avait besoin d’un navire équipé d’un moteur à turbine, duquel il faudra déterminer sa taille et son tirant d’eau. S’il s’agit d’une propulsion nucléaire, ce sont alors des paramètres tout à fait différents. En ce qui concerne l’armement, nous devons étudier ce qu’un navire pour zones océaniques doit avoir à son bord sur la frégate du projet 22350 (c’est un type de frégate multi-rôle pour zone maritime éloignée, élaborée pour le réarmement de la marine russe). »

 

LVdlR : Que pouvez-vous nous dire sur les perspectives des forces amphibies de la marine ?

 

A. C. : « Le destin de l’Ivan Gren, et du projet 11711 en général (c’est un type de nouveaux vaisseaux amphibies pour les débarquements et le transport de matériel et d’équipements de guerre) est lié à la modification du cahier des charges de la marine. Nous cèderons ce navire l’année prochaine. 2-3 autres grands navires amphibies de ce projet devraient être construits.

Deux porte-hélicoptères amphibies de classe Mistral vont bientôt intégrer la flotte militaire de la marine. Mais ce sont des bâtiments assez chers. Il n’y en aura pas un grand nombre. Je suppose que le type principal de navire amphibie sera des porte-hélicoptères amphibies de taille moyenne, proche des navires hollandais de classe Rotterdam, d’un tirant d’eau de 13 000-15 000 tonnes. Il est possible de construire 6-8 unités de ce bateau. Ensemble, les Mistral, le projet 11711 et les réparations navires amphibies déjà dans la flotte permettront de maintenir les forces amphibies au niveau nécessaire. »

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 17:50
Airbus Group : vers un nouveau contrat d'export pour l'A400M cette année ?

 

13.02.2014 (Boursier.com)

 

Le patron des ventes d'Airbus Defence & Space, Christian Scherer, pense signer un contrat export supplémentaire pour l'A400M cette année. Il l'a annoncé lors d'un entretien relayé par Bloomberg en marge du Salon de Singapour. L'A400M a été commandé à 174 exemplaires, dont 170 par le consortium OCCAR, qui regroupe la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne, la Belgique, le Luxembourg et la Turquie. Les quatre autres l'ont été par la Malaisie. Le premier appareil a été livré il y a quelques mois à l'armée de l'air française.

 

Airbus estimait le potentiel de l'appareil à 400 unités sur trente ans.

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 17:50
Ferrostaal: tous les accusés du procès des sous-marins acquittés au Portugal

 

14 fév 2014 marine-oceans.com (AFP)

 

LISBONNE -  Les dix accusés d'un procès pour escroquerie lié à l'achat par le Portugal de deux sous-marins au consortium allemand Ferrostaal en 2004, parmi lesquels figuraient trois Allemands, ont été acquittés vendredi par la justice portugaise.

 

Les sept hommes d'affaires portugais et les trois Allemands, dont deux anciens cadres de l'entreprise allemande, avaient été inculpés en mai 2009 pour escroquerie aggravée, faux et usage de faux.

 

Selon l'acte d'accusation, ils étaient soupçonnés d'avoir présenté des fausses factures pour justifier les investissements que le consortium allemand devait faire au Portugal dans le cadre des contreparties prévues par le contrat d'achat des sous-marins.

 

Les juges du tribunal de Lisbonne ont considéré que le parquet n'avait pas prouvé que ces factures étaient fausses, ont-ils expliqué lors de la lecture du verdict. Le ministère public a aussitôt fait part de son intention de faire appel de cette décision.

 

Tous les accusés avaient clamé leur innocence.

 

L'affaire avait rebondi en Allemagne, où Ferrostaal a été condamné fin 2011 à payer 140 millions d'euros d'amende pour ne pas avoir empêché des faits de corruption en Grèce et au Portugal.

 

Un tribunal de Munich (sud) a estimé que Ferrostaal avait manqué à ses obligations de contrôle interne, ce qui avait permis le paiement de pots-de-vin pour obtenir des contrats de construction de sous-marins.

 

L'achat des deux sous-marins par le Portugal avait été décidé par l'actuel vice-Premier ministre portugais Paulo Portas, à l'époque ministre de la Défense du gouvernement dirigé par José Manuel Barroso, qui est aujourd'hui président de la Commission européenne.

 

Ferrostaal, anciennement détenu par le fabricant de poids lourds MAN et le fonds souverain d'Abu Dhabi, est passé fin 2011 aux mains d'un fonds allemand, MPC.

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 17:40
photo Royal Navy

photo Royal Navy

 

 

13.02.2014 Oleg Nekhaï La Voix de la Russie

 

Le bureau de construction de la Neva est en train d’élaborer des projets des porte-avions de trois classes pour la flotte de la Russie : léger, moyen et lourd. Si une décision sur le choix d’un de ces porte-avions est prise par le ministère de a Défense de la Russie, les concepteurs vont pouvoir passer à la phase de construction.

 

La flotte russe possède actuellement à son armement le croiseur porte-avions lourd Admiral Kuznetsov. Il a rejoint la marine russe il y a plus de 20 ans. Ce n’est pas un âge trop avancé pour un navire de cette classe, souligne le vice-président de l’Académie des problèmes géopolitiques Konstantine Sivkov.

 

« Les porte-avions américains servent généralement 50 ans, voire davantage. Les porte-avions, c’est un type de navires particulier. Ils vieillissent lentement. Quant à leur potentiel de modernisation, il est énorme. Il suffit de remplacer le groupe d’aviation et son potentiel va augmenter de façon spectaculaire. »

 

La Russie a toutefois besoin de navires de nouvelle génération. La marine russe devrait posséder par temps de paix, et par temps de guerre, au moins un porte-avions dans la région de l'Atlantique et un porte-avions dans le Pacifique. Ces porte-avions devraient avoir des navires de remplacement pendant leur entretien technique ou les travaux de réparation. Il en faut donc deux au Nord du pays, et deux dans l’océan Pacifique. De nombreux experts estiment que la centrale électrique de ces navires devrait être non nucléaire, car si un missile touche le navire et que le réacteur est endommagé, le porte-avions ne pourra plus être utilisé. La destruction de la centrale électrique du porte-avions provoquerait une contamination qui ferait pas mal de victimes parmi les membres de l’équipage à son bord. Le groupe aérien du futur porte-avions devrait être composé d’au moins 70 à 75 avions militaires et d’hélicoptères. Parmi eux, 40 à 45 appareils devraient être des avions de frappe – des chasseurs ou des avions polyvalents, par exemple des Su-33. Les 30 avions restants pourraient être des avions d'appui au combat, poursuit Konstantine Sivkov.

 

« Un navire avec un tirant d’eau de 75.000 à 85.000 tonnes devrait être construit pour abriter un groupe aérien aussi important. Il est souhaitable qu’il soit doté d’un système de défense antimissile, capable de refléter des tirs des petits groupes de missiles de croisière, dans des conditions des parasites radar. Le navire doit également être doté des moyens modernes de détection radar et de brouillage, ainsi que d’un système de contrôle de circulation aérienne. »

 

Le nombre de porte-avions au sein de la flotte est dicté par les missions qui permettent de garantir la sécurité militaire. A titre d'illustration, on peut citer dans ce cas l’expérience de la Seconde guerre mondiale. La Grande-Bretagne, un pays insulaire, garantissait toujours sa sécurité grâce à sa flotte puissante. Le pays a construit beaucoup de croiseurs qui garantissaient la protection de ses frontières maritimes. Ce fut l'une des raisons pour lesquelles Hitler a refusé d’envahir la Grande-Bretagne par la mer. Les États-Unis disposent de 11 porte-avions menant des missions qui s'imposent aux forces armées américaines. Cette mission consiste à augmenter au maximum l’influence des Etats-Unis dans le monde. Lors de la réalisation des grandes opérations Tempête du désert et Choc et effroi contre l'Irak, les Américains utilisaient 5-6 porte-avions. La flotte russe n’a pas pour objectif d'établir un contrôle sur d'autres pays. Sa mission est de mener des actions politiques et diplomatiques ponctuelles. Dans le même temps, le porte-avion soutient la flotte dans la zone où les forces de combat côtières ne sont plus efficaces. Un porte-avions est une condition essentielle à la survie de la flotte russe en mer en cas de conflit. 

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 08:55
Les dirigeants de Paul Boyé Technologies confirment le rachat imminent de l'entreprise par Nexter Systems

 

13/02/2014 Marie Vivent — ObjectifNews.com

 

Paul Boyé Technologies, entreprise spécialisée dans les vêtements de protection et de sécurité pour la Défense et la Sécurité civile, sera bel et bien rachetée dans le courant de l’année 2014 par le groupe Nexter Systems. Les dirigeants de l'entreprise familiale basée au Vernet (31) l'ont confirmé ce jeudi 13 février. Jacques et Philippe Boyé ont également dressé leur bilan 2013 et exposé leurs perspectives pour 2014.

 

Le groupe Nexter Systems, fournisseur de systèmes et de munitions pour les armées, avait annoncé, dans un communiqué en décembre dernier, être "en négociations pour l’acquisition de Paul Boyé SA, dans le cadre du développement de son pôle Équipements". L’objectif : "constituer un leader européen du NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique)". "C’est notre activité NRBC qui les intéresse, confirme Jacques Boyé ce jeudi 13 février. Nous concevons des tenues, des accessoires et des équipements de protection nucléaire, biologique et chimique. Ces produits s’adressent aux armées, aux forces spéciales, à la sécurité civile ou encore à la médecine d’urgence." Pour les dirigeants, il fallait saisir cet intérêt de Nexter Systems, car "nous sommes une société familiale. Nous sommes la 3e génération mais il n’y a pas de 4e génération qui peut reprendre le flambeau."

"Les discussions sont en cours avec Nexter Systems", affirme Jacques Boyé. "Le contrat de cession devrait être signé cette année", ajoute son frère Philippe, sans donner de date précise. Ce dernier souligne qu’il s’agit "juste d’un changement de propriétaire. Jacques et moi ne partirons pas. Et cela n’aura pas d’incidence sur nos salariés (240 au total, NDLR)."

Un nouvel ensemble pour "s’imposer sur le marché international"
De son côté, dans son communiqué, Nexter Systems espère qu’un accord définitif entre les deux sociétés sera signé "au début de l’année 2014 après l’obtention des accords des instances et autorités concernées". Toujours selon ce communiqué, "le nouvel ensemble serait en capacité de s’imposer sur le marché international. Il permettrait d’initier de nouveaux programmes R&D, de générer de nombreuses synergies et d’améliorer l’offre et la compétitivité de sa gamme élargie de systèmes et de produits, tant dans le domaine de la défense que dans celui de la protection civile."

Outre cette annonce à la presse ce jeudi 13 février, les dirigeants de Paul Boyé Technologies ont également dressé le bilan de l’année qui vient de s’écouler. En 2013, le chiffre d’affaires s’établit à 61,8 M€, soit 30 % de plus qu’en 2012. Le plus gros marché de l’entreprise est celui de la gendarmerie nationale (30 % du CA). "Paul Boyé Technologies fournit les tenues des 120.000 gendarmes nationaux, détaille Jacques Boyé. Nous traitons les commandes individuelles et les expédions directement dans les gendarmeries de France et d’Outre-mer. En 2013, à la demande de la gendarmerie nationale, nous avons augmenté notre capacité de traitement logistique pour intégrer la gestion des effets d’habillement des corps spécialisés : motocyclistes, maintien de l’ordre, montagne, hélicoptère et maritime." Au total, 6 M€ ont été investis par les dirigeants dans cette activité.

 

Le site de Labarthe-sur-Lèze s’agrandit en 2014
Toutefois, Paul Boyé Technologies pourrait perdre ce marché cette année. "Nous avons signé un contrat de 3 ans en 2011, renouvelable une fois, rappelle Philippe Boyé. Or, en 2014, la gendarmerie a décidé de repasser un appel d’offres, ce qui nous inquiète car nous sommes soumis à la concurrence." "Nous sommes en face de 4 concurrents, complète Jacques Boyer. Ce sont des gros groupes, comme Ineo Suez." La gendarmerie nationale devrait rendre sa décision au mois de mars.

Malgré cette incertitude, les dirigeants de Paul Boyé Technologies misent sur un chiffre d’affaires de 83,5 M€ pour 2014. Cette année, ils prévoient également de regrouper toutes les activités de l’entreprise sur le site de Labarthe-sur-Lèze, de 13.000 m2, qui héberge le centre logistique d'où sont expédiées les tenues des gendarmes (le siège et l’activité R&D se situent actuellement au Vernet). "Nous pouvons encore construire des bâtiments et agrandir notre site de 5.000 à 6.000 m2", conclut Jacques Boyé.

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 08:54
photo ONERA

photo ONERA

 

12.02.2014 ONERA

 

Pour la première fois en Europe, un laboratoire peut opérer de multiples capteurs optiques et radars simultanément sur un site en le survolant depuis un avion. Et croiser ces données grâce à ses capacités informatiques dédiées. De quoi faire évoluer l'analyse urbanistique, la surveillance de grandes infrastructures ou même la prospection pétrolière.
LIMA, laboratoire d'imagerie aéroportée "tout en un"
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11 février 2014 2 11 /02 /février /2014 17:55
Nexter robotics vend son Nerva en Asie

Le robot Nerva en démonstration à Defexpo (crédits: G Belan)

 

11 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

C’est discrètement que le petit robot Nerva (relire l’article sur Nerva ici) engrange ses premiers succès. Il faut dire que le premier client surprend, il s’agit de la Birmanie. Nexter Robotics a en effet vendu ses 2 premiers Nerva en novembre dernier. Le groupe français s’apprête à les livrer dans les prochains jours. Il s’agit d’une première commande « pour voir » qui devrait être suivi d’un contrat pour une cinquantaine de systèmes. Le Nerva est ici vendu sous une version civile (senseurs dégradés). Mais il y a mieux: Nexter Robotics est en discussions avancées avec deux autres pays asiatiques : le Vietnam et les Philippines, pour leur vendre une dizaine de machines chacun.

 

Tant qu’à la Birmanie, leur utilisation sera de la surveillance et de la détection de mouvements grâce à une caméra thermique et des batteries additionnelles pour une autonomie accrue.

 

Une politique commerciale agressive

 

La petite filiale de Nexter a décidé d’adopter une politique commerciale plus volontariste et met à disposition gratuitement pour tout éventuel client intéressé, un parc de 10 robots Nerva. Et propose de développer, sur fonds propres, toutes charges utiles qui seraient demandées.

 

Et continue les discussions et tests avec les institutions françaises. Le 13 RDP l’a malmené pendant 2 semaines, « les retours sont enthousiastes » précise Joël Morillon, Directeur de Nexter Robotics. Reste que les responsables militaires semblent encore assez réticents à ce genre de nouveautés, qui vient bousculer leurs doctrines d’emplois. En France, la Gendarmerie (GIGN) ou encore les pompiers (BSPP) s’y intéressent et ont demandé des charges utiles spécifiques à Nexter (armes non létales fumigènes ou assourdissants, capteurs audio, NRBC…). Ils vont bientôt tester ces petits robots.

 

Nexter développe également la famille Nerva, avec le petit frère à deux roues (relire l’article de FOB ici), qui achève ses tests de qualification, tandis que Robotics réfléchit à un grand frère à 6 roues, beaucoup plus costaud.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 20:20
2014 Global Aerospace and Defense Industry outlook

by Deloitte

 

The Deloitte Touche Tohmatsu Limited Global Manufacturing Industry group has released this year’s Global Aerospace and Defense Industry outlook, which shows that revenue growth in the 5 percent range is expected for the overall industry in 2014. The commercial aerospace sector is expected to continue its significant revenue and earnings growth, with record setting production both at the platform level, as well as in the supplier base. On the other hand, continued declines in revenue and earnings are expected for the global defense sector.

 

Click to enlarge our infographic

Key findings in this report:

  • Revenue growth in the 5 percent range is expected for the overall Aerospace and Defense (A&D) industry in 2014.
  • Global revenues for defense companies are on a downward trend, declining 1.3 percent in 2012 and 1.9 percent in 2011. It is anticipated for 2013, global revenues for defense companies will track to similar levels in the past two years, around an estimated minus 2.5 percent.
  • Global defense spending is declining, resulting mainly from reduced armed conflict in Iraq and Afghanistan and affordability concerns in many traditional militarily active governments. However, defense spending is increasing in several areas of the globe, especially in the Middle East, India, China, Russia, South Korea, Brazil, and Japan.
  • 2014 will likely bring high single to double-digit levels of growth in the commercial aerospace sub-sector.

 

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 19:45
Cancellation of SA spy satellite project could cost taxpayer R100 million plus

 

 

10 February 2014 by Kim Helfrich - defenceweb

 

South Africa could face a claim exceeding R100 million for not meeting contractual obligations regarding the acquisition of a Russian radar surveillance satellite.

 

The acquisition was apparently spearheaded by now retired Lieutenant General “Mojo” Motau when he headed Defence Intelligence and would have cost at least R1.2 billion.

 

Opposition Democratic Alliance (DA) party shadow defence and military veterans minister David Maynier, who has been investigating the issue, said he had been given information on it by Auditor General Kimi Makwetu.

 

“He confirmed the bungled project had resulted in a possible claim against the State of R115 914 849.

 

“The Auditor General furnished me with a copy of the 2006/07 annual report on Special Defence Account (SDA) financial statements which includes the amount as a contingent liability.

 

“The reason for this, according to the report was ‘for a potential claim against the state by a foreign company as a result of the withdrawal of approval for the sensitive project by the Minister’,” Maynier said.

 

Maynier reverted to asking for information on what has become known as South Africa’s spy satellite saga in terms of the Promotion of Access to Information Act after Defence and Military Veterans Minister Nosiviwe Mapisa-Nqakula accused him of not having state security at heart. She said he was using the now cancelled satellite acquisition to score political points ahead of the May 7 election.

 

Government reportedly entered into a contract with Russian company, NPO Mashinostroyenia, for the development of a Kondor-E reconnaissance satellite in 2006. At that time it was called Project Flute and was later renamed Project Consolidated Flute.

 

In January Maynier said the project to develop the Kondor-E satellite was frozen for a period, sometime before 2008 by the Department of Defence, causing NPO Mashinostroyenia to threaten legal action.

 

“Project Flute is believed to have been frozen, in part, because a flaw was discovered in the contract, something Defence Intelligence failed to recognise,” he said adding the flaw was that Defence Intelligence would be “entirely dependent” on the Russian company.

 

“Images would have to be requested from them at additional cost and with a significant time delay. Defence Intelligence would have no control over the satellite or be allowed to operate it from South Africa.”

 

Maynier said the statement by the Auditor General was the “first official” one with direct reference to project Flute.

 

“The fact that there is a possible R100 million plus claim against the state and that the matter was pursued by the Minister at inter-state level, suggests there may have been major financial misconduct as a result of Project Flute.

 

“We have to determine whether there was financial misconduct and if there was whether any disciplinary proceedings were instituted as required by the Public Finance Management Act.”

 

Maynier said he would continue to seek answers. This despite Defence and Military Veterans Minister Nosiviwe Mapisa-Nqakula’s assertion he did not have national security interests at heart.

 

“Exposing a bungled satellite development project which, after eight years has cost over R1 billion and has not launched a satellite, hardly compromises national security,” he said adding he would submit further questions on the issue and request records relating to possible financial misconduct regarding the project.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:50
Gripen: la Suisse appelle Saab à la retenue

 

 

08.02.14 arcinfo.ch (ats)

 

La Confédération appelle Saab à la retenue avant la votation. La vente des Tiger F-5 de la Confédération intéresse divers repreneurs notamment le département de la défense des Etats-Unis.

 

Le fabricant suédois Saab devrait faire preuve de retenue pendant la campagne de votation sur l'achat des Gripen, estime le Département fédéral de la défense (DDPS). La population n'apprécie pas l'ingérence d'un acteur étranger, selon Christian Catrina, chef de la politique de sécurité au DDPS.

 

Dans une premier temps, Saab "voulait toujours en faire plus que ce que nous estimions utile", a dit Christian Catrina dans une interview publiée samedi dans le journal "Nordschweiz". La démocratie directe est un terrain tout à fait nouveau pour le groupe suédois: "des erreurs ont ainsi pu être commises ". Mais elles ont pu être corrigées rapidement, selon le chef de la politique de sécurité.

 

Des politiciens bourgeois ont aussi appelé le groupe suédois à ne pas intervenir pendant la campagne. Car à peine la date du vote sur l'acquisition du Gripen était fixée que Saab était présent à la mi-janvier à Wengen (BE) avec un "stand d'information" dans le très médiatisé cadre des courses de ski du Lauberhorn. Une affiche grand format montrait l'avion surmonté de l'inscription "Gripen E - Le jet de combat intelligent pour une défense intelligente".

 

Répartition importante

 

Christian Catrina s'est aussi exprimé sur la clé de répartition régionale. Si la Suisse acquiert vraiment le Gripen, le fabricant suédois Saab s'est engagé à conclure des contrats avec des firmes suisses pour plus de 2,5 milliards de francs. Le contrat d'achat des 22 Gripen se monte à 3,1 milliards de francs.

 

Saab avait promis que 30% des 2,5 milliards iraient à l'industrie romande. Cette clé de répartition est certes "sacro-sainte", mais uniquement à condition que des entreprises de toutes les régions du pays soumettent des offres concurrentielles.

 

"Si nous nous en tenons de manière rigide à cette clé de répartition, cela signifie que Saab serait obligé de retenir aussi des offres qui ne sont pas concurrentielles, et cela, nous ne le voulons pas", a ajouté M. Catrina. "Mais nous sommes confiants que cela fonctionnera".

 

"Pour mieux diriger là où des investissements devraient affluer, nous réfléchissons actuellement à considérer différemment certaines affaires", souligne en outre le responsable du DDPS.

 

"Disons que l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich reçoit un mandat pour 20 millions de francs: au lieu de l'estimer à 20 millions, nous pourrions le coter à 30 ou à 40, s'il s'agit d'un mandat qui rapporte beaucoup", explique-t-il. "En retour, le total des affaires compensatoires baisserait."

 

La Marine américaine s'intéresse aux Tigers

 

Si le peuple se prononce le 18 mai pour l'achat des 22 Gripen suédois, les anciens avions de combat devront faire place nette. La Confédération a déjà reçu des offres pour le tiers de ses Tiger F-5, assure Christian Catrina.

 

"Les premiers 18 appareils pourraient être vendus encore en 2014", précise-t-il. Les 36 autres devraient être mis hors-service d'ici au plus tard mi-2016.

 

Au premier plan des acheteurs potentiels, la Marine américaine. "Une partie des Tiger pourraient aussi être revendus à des sociétés privées américaines, qui souhaitent utiliser les avions de combat à des fins de formation". La Confédération peut tirer environ un demi-million de francs par appareil.

 

D'après le chef de la section Politique de sécurité, "il est improbable de ne trouver aucun acheteur". Dans ce cas toutefois, les avions seraient détruits en Suisse.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:50
Companies Bid on Britain's Defence Support Group

Several companies are bidding on Britain's state-owned Defence Support Group, which the government has put up for sale. Here, Defence Support Group members work on vehicles in Camp Bastion, Afghanistan. (Defence Support Group)

 

Feb. 10, 2014 - By ANDREW CHUTER – Defense News

 

LONDON — Babcock, KBR and Dyncorp International are among the companies that have submitted proposals to purchase the British state-owned Defence Support Group (DSG) vehicles and weapons support operation, according to industry and other sources.

 

The Defence Ministry declined to release the names of companies that responded to a sale pre-qualifying questionnaire (PQQ) sent by the government in December.

 

Companies were required to return the PQQs by the close of Jan. 31 to remain in the bidding process. A shortlist of finalists for the purchase is expected by the end of the month.

 

Executives and others said the number of bidders that submitted initial proposals via the PQQ process could be in the double figures.

 

Babcock, KBR and Dyncorp all submitted PQQs, the sources said. All the companies declined to comment on whether they had submitted a bid.

 

Other companies cited as being interested include British support services contractors Carillion and Germany’s armored vehicle builder Rheinmetall.

 

Neither Carillion nor Rheinmetall was able to immediately comment.

 

Bidders such as Babcock are operating alone but others, such as KBR and Carillion, are understood to be acting as a consortium lead, the executives said.

 

Serco, one of Britain’s largest support companies, is not involved in the bidding, the executives said. The government is hoping to raise £200 million (US $328 million) to £300 million with the sale of the company, said one defense analyst in London.

 

The Conservative-led coalition government announced it was putting DSG up for sale — along with some other defense operations — as part of its 2010 strategic defense and security review. But the process has been slow going, in part, by the need to get the business in shape for the future. Most recently, there have also been issues over third party intellectual property rights.

 

“In December [2013] we published a pre-qualifying questionnaire. The deadline for responses was the end of January, and we are now in the process of evaluating those response,” an MoD spokesman said.

 

Information released by the MoD to contractors said the ministry reserves the option to retain shares in DSG.

 

The government hopes to complete the sale by the end of the 2014/15 financial year, or soon after. Failure to seal a deal by then could see the sale run into a general election planned for May 2015.

 

DSG’s main customer is the British Army. Working from eight main sites in the UK and a base in Afghanistan, the company operates as an “arm’s length” organization from the MoD servicing and upgrading the bulk of Britain’s armored vehicle fleets, as well as other vehicles and small arms used by the military.

 

DSG is also earmarked to play a role in the Warrior infantry fighting vehicle upgrade program being led by Lockheed Martin UK, and the General Dynamics Scout specialist vehicle program.

 

The sale comes as Britain prepares to transform its land equipment support arrangements in part by moving to what is known as a strategic support supplier arrangement, where the contractor is responsible for delivering equipment availability.

 

The DSG military avionics business is not included in the sale process and remains under government control.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:35
US Official Promoting Business at Singapore Airshow

 

Feb. 10, 2014 - by WENDELL MINNICK  - Defense News

 

SINGAPORE AIRSHOW – The US deputy secretary of state for political-military affairs is at this year’s Singapore Airshow to promote US defense companies in the regional market.

 

Kenneth Handelman said he believes buying American helps promote regional stability, build military-to-military relationships, and is part of the U.S. “rebalance” to Asia policy, often referred to as the “Asia pivot.”

 

The US foreign military sales program provides for all the follow-on training and support a company needs to build a solid relationship with the buyer, he said during an interview with Defense News.

 

“We are here to promote the ‘American brand’ in a region that has become increasingly important on all fronts: economic, diplomatic, and strategic,” he said.

 

Handelman is part of a larger Washington delegation attending the Singapore Airshow. They include Frank Kendall, the US undersecretary of defense for acquisition, technology and logistics; Kenneth Hyatt, acting undersecretary of commerce for international trade; and Michael Huerta, administrator of the Federal Aviation Administration. The team also includes military leadership from the US Pacific Command, including Air Force Gen. Herbert Carlisle, commander of U.S. Pacific Air Forces. Carlisle also participated as a speaker at the Asia Pacific Security Conference being held alongside the airshow.

 

The delegation will hold consultations on defense trade issues and promote more than 163 US companies exhibiting at the airshow. The delegation will advocate for the overseas marketing efforts of US companies bidding on commercial and defense contracts, engage with senior government officials to promote defense sales of particular importance to the US, discuss how progress toward export control reform is supporting our partners and allies, and consult governments on broader strategic cooperation issues, such as advancements in aviation safety and efficiency.

 

Export control reform is moving forward quickly, Handelman said, with the possibility of completion in the “autumn of this year,” he said, adding that past bureaucratic inertia held up many sales. “You don’t really need an export license for a bayonet, do you?” he said.

 

In his current position, Handelman manages the Directorate of Defense Trade Controls and provides overall policy guidance regarding the transfer of defense technologies to other countries through commercial defense trade, and serves as a key link between the State Department and the Defense Department.

 

The Singapore Airshow is being held Feb. 11-16 and will include both defense and commercial aviation companies exhibiting their wares. It is considered the biggest aviation show in Asia.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:35
Le 8X8 Kestrel de Tata (crédits G Belan)

Le 8X8 Kestrel de Tata (crédits G Belan)

10.02.2014 par Guillaume Belan (FOB)
 

Durant le salon d’armement de New Delhi, qui s’est tenu la semaine dernière, les nouveautés étaient quasi-exclusivement indiennes. À la faveur de la politique « make India », obligeant les industriels de défense étrangers à des transferts de technologies importants, l’industrie de défense, encore balbutiante en terme de qualité, progresse néanmoins. De très nombreux projets étaient ainsi visibles sur les stands indiens, souvent des copies de matériels existants ou des équipements réalisés en partenariats avec des industriels occidentaux. A noter une très forte présence russe et israélienne, bien implantés dans le paysage défense indien. Voici un panorama des nouveautés roulantes.

 

Tata Motors à la pointe

 

Dans le domaine terrestre, outre les florissants projets d’artillerie, c’est Tata Motors qui présentait un stand bien fourni, révélant son ambition de devenir le fournisseur incontournable de véhicules à l’armée de terre indienne.

Le groupe présentait le Kestrel, un blindé 8X8 amphibie de transport de troupe, basé sur une coque, rappelant étrangement le best seller de Patria. De la gamme des 25 tonnes, le Kestrel peut recevoir 12 soldats (dont 2 d’équipage) et offre (selon Tata) une excellente mobilité grâce à des roues motrices indépendantes (100 km/h). Il etait muni d’une tourelle teleopérée de 30 mm de Kongsberg. A noter que Thales fournit la partie communication.

Le LAMV de Tata (crédits G Belan)

Le LAMV de Tata (crédits G Belan)

 

L’autre nouveauté sur le stand du géant du transport était le LAMV (Light Armoured Multipurpose Vehicle), un véhicule 4X4 blindé léger (8 tonnes) pouvant transporter 6 soldats (2 d’équipage) au blindage modulaire (niveau Stanag 2+), suspension indépendante, vitesse de 100 km/h+

 

Les MRAP

 

Le LSV de Elbit et Kalyani (crédits G Belan)

Le LSV de Elbit et Kalyani (crédits G Belan)

 

Côté véhicule, de très nombreux blindés type MRAP (Mine-Resistant Ambush-Protected), soit des blindés de transport protégés. Ainsi la société indienne Kalyani, en partenariat avec l’israélien Elbit présentait le Light Strike Vehicle (LSV) qui peut recevoir jusuqu’à 11 fantassins ou policiers. De 9 tonnes, propulsé par un moteur Cummins de 6 ,7 litres, sa protection affichée est Stanag 3.

 

Le Jabalpur MRAP d’OFB (crédits G Belan)

Le Jabalpur MRAP d’OFB (crédits G Belan)

 

OFB (Ordnance Factory Board), sorte d’arsenal d’état présentait également son MRAP, baptisé Jabalpur : moteur en ligne 6 cylindres, classe des 10 tonnes, vitesse : 85 km/h, monocoque en « V » contre les mines.

 

Robot

 

Le Rudra de la DRDO (crédits G Belan)

Le Rudra de la DRDO (crédits G Belan)

 

La DRDO, agence gouvernementale en charge du développement de technologies militaires fourmillait de projets en tout genres. Sorte de bric à brac à la « géotrouvetout », parmis les très nombreux projets fous, FOB a repéré celui là : Le Rudra, ou robot 6X6 équipé de deux systèmes d’armes : mitrailleuse de 7.62 LMG et un lance grenade de 30 mm AGS30. Autonomie  de 3 heures, pouvant grimper des pentes de 40 degrés, et transmission vidéo en temps réel.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:35
Nexter dévoile son Caesar pour l’Inde

Le canon Caesar monté sur un châssis indien d’Ashok Leyland (crédits: Nexter)

 

7 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Durant le salon indien de Defexpo, Nexter a dévoilé son imposant canon Caesar pour la première fois sur un châssis indien. Suite à l’accord de partenariat signé durant la précédente édition du salon Defexpo (relire l’article de FOB ici) entre Nexter et Larsen & Toubro, Nexter présente pour la première fois son canon de 155 mm Caesar monté sur un châssis de camion militaire indien d’Ashok Leyland. Outre le fait que Nexter en impliquant fortement l’industrie indienne remplit son quota de Transfert de Technologie (ToT), le Caesar sur châssis Super Stallion est aussi mieux adapté aux besoins indiens.

 

Nul besoin d’être aérotransportable, comme le Caesar français, le châssis est donc plus lourd (25 tonnes contre 18 pour le châssis RTD) et permet une capacité d’emport supérieure (notamment pour embarquer d’avantage de munitions) ainsi que des améliorations ultérieures. A noter également que la cabine n’est pas sur-blindée mais pourrait l’être. Le système d’artillerie (« la partie haute ») est exactement le même que le système français, offrant la même précision, allonge (portée de 42 km pour des obus conventionnels) et rapidité d’action (6 tirs/ minute). Le châssis, avec une bonne mobilité, offre une vitesse maximale supérieure à 80 km/h sur route, plus de 30 km/h en tout-terrain, une autonomie de 600 km ainsi qu’un rayon de braquage de 20 mètres.

 

Pour l’appel d’offre indien, Larsen & Toubro est le chef de file. Rappelons que le besoin indien pour le Mounted Gun System (MGS) est de 800 pièces d’artillerie sur camion. Le Request for Information (RfI) a été émis en juin. La procédure en cours est donc encore « papier » et les essais pourraient débuter prochainement. Larsen & Toubro est donc le prime contractor avec Nexter pour la partie artillerie et Ashok Leyland pour le châssis, L&T réalisant certains équipements de la partie haute. Le Caesar indien est prévu pour être assemblé localement.

 

Le TGS (Tracted Gun System)

 

Nexter est également en compétition pour fournir à l’armée indienne son canon tracté Trajan de 155 mm/52 cal (relire l’article de FOB ici). Toujours avec son partenaire indien L&T, qui réalise la partie basse. Les essais « temps été » ont été réalisé dans le Rajasthan en juillet et aout dernier tandis que ceux « hiver » ont été terminé en décembre dans l’Himalaya. Cette campagne d’essais devraient s’achever cet été. L’appel d’offre indien concerne 1580 pièces d’artillerie. Nexter propose que les 400 premiers soient réalisés en France et le reste en Inde, sous licence à l’arsenal d’Etat OFB (Ordnance Factory Booard).

 

Rénovation des M-46

 

Nexter est aussi en lice pour proposer la modernisation des 300 pièces d’artillerie indiens de 130 mm M-46., L’objectif est de les porter au calibre 155 mm/46 cal. Le RfP (Request for Proposal) vient d’être émis. Là aussi, le français s’appuit sur son partenaire L&T.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:55
Cybersécurité : Thales regroupe ses forces

 

07/02 Par Alain Ruello

 

Thales rassemble deux entités pour constituer un ensemble cohérent de 500 millions d'euros de chiffre d'affaires.

 

Le cyber est à l'honneur. Avec quelques heures d'avance sur la présentation par Jean-Yves Le Drian des détails de son pacte « défense cyber », Thales a annoncé hier une réorganisation importante de ses activités de cybersécurité. Pour la grande muette comme pour l'industriel, le constat est le même : avec la multiplication des terminaux, l'interconnexion des réseaux informatiques, le très haut débit et l'éclosion du « big data », la menace explose, et, avec elle, la nécessité de se protéger.

 

« Le marché est en forte croissance », confirme Marc Darmon, directeur général adjoint en charge des systèmes d'information et de communication sécurisés de Thales, sur le site flambant neuf de Gennevilliers, près de Paris. Même si le périmètre de ces activités est très large, donc difficile à appréhender, les dépenses en matière de cyber-sécurité se comptent en dizaines de milliards d'euros, et tutoient les 10 % de croissance chaque année. Thales, comme tous ses pairs historiques du monde de la défense, y voit un débouché naturel. Le thème de la sécurité contre les intrusions informatiques est omniprésent au sein du groupe, assurait récemment son PDG, Jean-Bernard Lévy (« Les Echos » du 20 décembre).

 

Fusion interne

 

Pour mieux peser face à ses concurrents, comme BAE ou General Dynamics, deux « business lines » vont être fusionnées, sous la responsabilité de Laurent Maury : celle qui conçoit des réseaux sécurisés, et celle en charge de commercialiser des technologies ou des prestations de sécurité. Avec 5.000 personnes, dont 1.500 experts, l'ensemble pèse 500 millions d'euros de chiffre d'affaires, auxquels il faut ajouter plus de 250 millions vendus pour les autres entités du groupe.

 

Adoptant un discours marketing que ne renierait pas une grande SSII, Thales revendique une « complétude » de son offre « cyber » quasi unique : de l'audit aux téléphones sécurisés en passant par la gestion de crise. « Nous avons des concurrents présents sur tel ou tel segment de marché. Mais très peu sont capables de maîtriser l'ensemble », estime Marc Darmon. Principal défi pour la nouvelle entité : accroître son implantation internationale en dehors de ses quatre grands pays, France, Royaume-Uni, Norvège et Etats-Unis, complète Laurent Maury.

 

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:35
Inde : l'A330 MRTT en courte finale ?

 

06/02/2014 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Après Singapour, New Delhi ? Le marché international semble sourire à l'A330 MRTT d'Airbus Defence & Space, passé en moins d'une décennie du statut d'outsider sur un marché historiquement dominé par Boeing à celui de champion de l'export, avec cinq compétitions remportées face à ses rivaux américains, israéliens et russes.

 

Après avoir conclu cet automne avec Singapour la vente de six tankers, qui devrait être officialisée lors du salon aéronautique de l'île-Etat la semaine prochaine, Airbus DS garde les yeux rivés sur l'Inde. Et pour cause : pour la deuxième fois de son histoire, la force aérienne indienne (IAF) a désigné le MRTT vainqueur d'une compétition qui l'opposait à l'Il-78 Midas d'origine russe. Lors du premier "round", la procédure avait finalement été annulée en janvier 2010 après une objection formulée par le ministère des finances.

 

Christian Scherer, vice-président exécutif d'Airbus DS en charge du marketing et des ventes.

 

"Nous sommes actuellement en phase finale de négociations", expliquait au salon Defexpo Christian Scherer, vice-président exécutif d'Airbus DS en charge du marketing et des ventes. "Et la concurrence va avoir du mal à battre notre tanker", sourit le dirigeant, confiant dans les chances de son poulain d'émarger une nouvelle fois en tête.

 

Si elle était confirmée, cette vente pourrait potentiellement débloquer d'autres commandes ultérieures en Inde. "Il existe un potentiel pour des machines supplémentaires, mais notre priorité est bien de se concentrer sur le premier lot de six avions", soulignait Christian Scherer à l'occasion du salon de défense qui a ouvert ses portes ce matin à New Delhi.

 

Une vente qui pourrait débloquer d'autres commandes.

 

Interrogé quant à d'éventuels transferts de compétences ou de production liés au contrat MRTT indien, Christian Scherer n'a pas voulu livrer de détails précis, soulignant simplement qu'Airbus DS était "prêt et disposé à réaliser des transferts de technologie sur cet appareil".

 

Au-delà du contrat MRTT, la société voit un fort potentiel en Inde pour son bimoteur de transport C295, proposé dans le cadre d'un programme de remplacement des antiques Avro exploités par l'IAF. L'appareil pourrait également répondre à un besoin exprimé sous forme de RFI (demande d'informations) par les garde-côtes, qui cherchent à s'équiper d'une dizaine d'appareils de ce type. Une compétition toujours en cours et pour laquelle Airbus DS propose des co-développements avec l'industrie indienne dans le domaine "des systèmes de mission et des radars", selon Christian Scherer.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 12:50
First EDA Supported Dual-Use Project Receives European Structural Funds

Brussels - 06 February, 2014 EU Defence Agency

 

The Portuguese authority managing European Structural Funds has recently confirmed the acceptance of the “TURTLE” project, financing around 60% of the total project budget. TURTLE is the first of seven dual-use research initiatives supported by the European Defence Agency to access European Structural Funds (ESF). It aims at developing key enabling technologies for a sustainable and long term presence in the ocean. 

 

The European Defence Agency (EDA) and European Commission (EC) coordinate their research efforts in the areas of defence and security: the use of existing EU supporting tools and funds for dual-use research projects is a means to promote innovation in Europe while retaining key technological and industrial capabilities. EDA  facilitates and supports access to dual-use R&T projects. The TURTLE project was developed by a consortium of Portuguese SMEs, research institutes and universities. Its aim is to produce new robotic ascend and descent energy efficient technologies to be incorporated in robotic vehicles used by civil and military stakeholders for underwater operations. In the defence sector, the technology will allow underwater unmanned marine systems and robotics to operate at lower cost and added capabilities. The Portuguese authorities now decided to co-finance TURTLE with around €770.000 (around 60% of the total project costs) through the ESF. 
 

EDA Support to Projects

The main objectives of EDA’s work on ESF are to raise awareness among Ministries of Defence and defence industry, with special focus on defence related SMEs, as regards the use of ESF; so far a series of dedicated workshops in different countries have been organised; EDA also identifies  and supports eligible pilot projects in R&T priorities and industrial capabilities for the European Structural Funds; and is developing a methodology to be used by the Ministries of Defence and defence industry to increase eligibility for future projects.

In terms of concrete support to projects, twelve Member States submitted 72 project proposals for screening. The Agency provided free-of-charge guidance and support to 44 projects and selected seven pilot projects (from Bulgaria, Poland, Germany, Portugal, France, UK and Spain) which were actively assisted in the development of the application folders. Out of the selected projects, two applications have been successfully submitted by the project holders to the national managing authorities for co-funding, while the rest will be submitted during the new financial framework 2014-2020. The Portuguese project “TURTLE” is the first EDA supported project for which a decision on funding has been taken.
 

Stimulating Dual-Use Technologies

The European Council of 19 December 2013 underlined the importance of stimulating dual-use research and support to SMEs. Embedded in the Agency’s Action Plan on SMEs, the Agency’s support for dual-use research projects is of concrete benefit for initiators. EDA will continue working with stakeholders to access European Structural Funds in 2014 in proposing a systematic approach, taking advantage of the programming period 2014-2020. Moreover the Agency will organise seminars in Member States with the participation of government, industry and research centers to mobilise stakeholders to apply for ESF for dual use R&T projects. Upon a second call, EDA will select additional projects to support the development of application folders focusing on identified priority areas such as Remotely Piloted Aircraft Systems, space, energy efficiency, or cyber defence. 
 

Actors

TURTLE is developed by the following entities:

  • Silva Matos Metalomecanica S.A (Small-Medium Enterprise): The main promoter, responsible for all mechanical and market introduction; 

  • INESC PORTO (Technology & Science Laboratory): Responsible with ISEP for the robotization of the TURTLE project; 

  • ISEP (School of Engineering, Porto Polytechnic Institute) and 

  • CINAV (Portuguese Navy Research Center): responsible to develop acoustic detection adapted to the solution and demonstrate the use in security application. 

 

More information

 

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:55
Un pod de désignation laser de nouvelle génération (PDL NG) sous un Rafale

Un pod de désignation laser de nouvelle génération (PDL NG) sous un Rafale

 

06/02/2014 Economie et technologie

 

La direction générale de l'armement (DGA) a notifié le 30 décembre 2013 pour un montant de 119 M€ les travaux de développement du pod de désignation laser de nouvelle génération (PDL NG) dont la qualification est attendue mi-2018 en cohérence avec celle du nouveau standard F3-R du Rafale.

 

Développé par Thales Optronique, ce nouvel équipement vise à disposer des moyens adaptés pour la recherche et l’identification de cibles de petite taille et permettant des frappes air-sol de grande précision.

 

Ce programme, prévu au titre de la Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, permet de soutenir la filière optronique française. La LPM prévoit la commande de 20 PDL NG dont 16 seront livrés en 2018-2019.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:50
Taranis in flight

Picture: Chris Ryding, BAE Systems

 

It has been revealed that the Taranis unmanned combat air vehicle surpassed all expectations during its first flight trials. The most advanced aircraft ever built by British engineers made its maiden flight at an undisclosed test range on Saturday 10 August 2013 and, under the control of a human operator, is capable of undertaking sustained surveillance, marking targets, gathering intelligence, deterring adversaries and carrying out strikes in hostile territory. Click here to read more.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:35
Aero SDV présente ses nouvelles solutions Aerospace au prochain salon aéronautique de Singapour

 

 

6 février 2014 supplychainmagazine.fr

 

SDV participera au « Singapore Air Show 2014 », le plus grand événement d'Asie consacré à l'Aéronautique et à l'Espace, qui se déroulera la semaine prochaine au centre d'exposition de Changi du 11 au 16 février 2014 (stand F18). La société française, filiale du groupe Bolloré y présentera sa palette de services dédiée aux acteurs de l'Aéronautique et de la Défense (constructeurs d'avions et d'hélicoptères, compagnies aériennes et autres opérateurs, motoristes, équipementiers et MRO). Clients et fournisseurs auront l'occasion de rencontrer ses responsables des zones Asie-Pacifique, Asie du Sud, Amériques, Europe et Moyen-Orient. Ceux-ci animent plus de 800 spécialistes du secteur qui opèrent, le plus souvent, sur les plates-formes situées au carrefour des principales routes aériennes comme Sydney, Singapour, Shanghai, Londres, Paris, Dubaï, Los Angeles et New-York

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 13:35
Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

 

06/02/2014 Le Point.fr

 

New Delhi a signifié qu'il ne signerait pas d'accord final d'achat du fleuron de l'aviation française fabriqué par Dassault avant les élections.

 

L'Inde ne signera pas d'accord d'achat de l'avion de combat français Rafale, fabriqué par Dassault, avant les élections prévues d'ici à mai en raison de contraintes budgétaires, a déclaré jeudi le ministre de la Défense, A. K. Antony. "En raison du manque de fonds, il ne faut pas attendre d'accord ou de décision finale lors de cet exercice" budgétaire, qui s'achève fin mars, a dit le ministre lors d'une conférence de presse.

 

"J'espère que les choses pourront se matérialiser l'année prochaine", a-t-il ajouté, en référence au prochain exercice budgétaire. Au 1er février, l'Inde avait déjà dépensé 92 % de son budget d'équipement militaire, a précisé le ministre. Les élections législatives doivent se tenir d'ici à mai et le Parti du Congrès, qui conduit la coalition gouvernementale, est en difficulté, selon les sondages. L'Inde a choisi d'entrer en négociations exclusives avec Dassault en janvier 2012 pour l'achat de 126 avions de combat, soit un montant estimé à 12 milliards de dollars. Mais des reports successifs n'ont pas permis de conclure le contrat sous la législature en cours. Le patron de Dassault, Éric Trappier, a déclaré en janvier espérer finaliser le contrat d'ici à fin 2014.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
photo Thierry Mamberti Safran

photo Thierry Mamberti Safran

 

 

04.02.2014 Safran

 

Safran a annoncé au mois de janvier la création d’un centre de Recherche & Technologie sur le plateau de Saclay en région parisienne. Christian Picollet, adjoint au directeur Recherche & Technologie Groupe, revient sur le rôle et les objectifs de ce futur site qui sera opérationnel dès novembre 2014.

 

Quels sont les objectifs de ce nouveau centre ?

 

La stratégie de Safran est fondée sur l’innovation et la différenciation par la technologie. Avec la création de ce centre, Safran se dote d’un dispositif central de recherche, en amont, au service du Groupe et de ses sociétés, dont l’objectif sera de détecter et de faire émerger de nouvelles technologies. Le centre fournira à leurs équipes R&T les résultats de ses travaux menés sur les « grands systèmes Safran ». Cet apport représentera un complément essentiel aux travaux de recherche spécifiques que mènent les sociétés sur leurs technologies, produits et services.

 

Comment le centre sera-t-il structuré ?

 

Le centre sera structuré autour de trois axes principaux : les systèmes avancés aéronautiques (énergétique et propulsion, systèmes électriques et électroniques), le numérique (technologies du signal et de l’information, modélisation et simulation) et les matériaux, procédés et capteurs (laboratoire d’expertise, matériaux et procédés, technologies et applications des capteurs).

 

L’axe « systèmes avancés aéronautiques » a pour objectif de comprendre et d’anticiper les besoins technologiques des équipements que nous développerons pour nos clients.

 

L’axe « numérique » dotera le Groupe d’outils permettant la modélisation, la conception de systèmes globaux et le traitement des informations (big data) de nos produits.

 

L’axe « matériaux, procédés et capteurs » a pour but d’amplifier les travaux de développement des matériaux et procédés destinés aux prochaines générations de nos équipements. En outre, le centre sera doté d’un laboratoire dédié aux nouvelles technologies pour les capteurs, aujourd’hui essentielles au développement de fonctions avancées.

 

Qu’est-ce qui a motivé le choix de sa localisation sur le plateau de Saclay ?

 

Paris-Saclay va devenir un pôle de premier plan mondial en France en termes de recherche et d’enseignement supérieur. En s’y installant, Safran bénéficiera d’une proximité géographique avec de nombreux laboratoires en sciences fondamentales et en sciences de l’ingénierie. Le centre viendra par ailleurs renforcer la présence d’industriels déjà implantés comme EDF, Air Liquide ou Thales...

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