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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 12:20
photo Lockheed Martin

photo Lockheed Martin


27 oct. 2015 by Lockheed Martin

 

The Perceptor Dual Sensor Gimbal is the smallest dual sensor gimbal on the market, featuring a lightweight electro-optic and infrared camera set that is capable of high precision 360-degree continuous panning and automated target tracking.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 11:55
L'armée de l'air française va-t-elle diposer de drones MALE armés?

L'armée de l'air française va-t-elle diposer de drones MALE armés?

 

27/10/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Interrogé par un député, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a estimé que la "question restait posée" pour que la France se dote d'un drone MALE équipé d'un missile.


A l'image des drones américains, les Reaper français vont-ils être armés? Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a été pour le coup très énigmatique. Mais sa réponse à une question du député Yves Fromion (Les Républicains) ouvre toutes les hypothèses. La France pourrait prochainement se doter d'un drone de surveillance et de reconnaissance MALE (Moyenne altitude, Longue Endurance) armé. Ce qui n'était pas cas jusqu'à présent. Au-delà d'un débat que la France devra avoir sur l'utilisation éventuelle de drones armés, il faudra demander l'autorisation des États-Unis, qui utilisent fréquemment cette arme contre des terroristes à l'étranger. Une utilisation qui provoque de nombreux dommages collatéraux.

Yves Fromion : Ne pourrait-on pas envisager d'armer certains des neuf drones d'observation supplémentaires qui doivent nous être livrés, ne serait-ce que pour acquérir une compétence qui sera utile lorsque le drone MALE européen sera mis en service ?

Jean-Yves Le Drian : La question reste posée. Je n'en dirai pas plus.

Pour quelles raisons la France se doterait de Reaper armés? Bien sûr pour des raisons opérationnelles mais aussi économiques. Car pour délivrer une charge dans le nord du Mali, comme l'a précisé Yves Fromion, "un avion doit effectuer deux heures de vol depuis N'Djamena". Ce qui ne serait pas le cas pour un Reaper armé, capable de lancer un missile tout de suite. La France va acquérir neuf Reaper supplémentaires pour atteindre l'objectif inscrit dans la loi de programmation militaire (LPM), a rappelé Jean-Yves Le Drian. Dans ce cadre, l'armée de l'air disposera de quatre systèmes commandant chacun trois vecteurs. Actuellement, l'armée de l'air dispose de trois Reaper, basés à Niamey au Niger.

 

Une question récurrente

Fin 2014, le délégué général pour l'armement Laurent Collet-Billon s'était interrogé lui aussi devant le Parlement. "Une question majeure demeure : le second système de drone MALE doit-il être armable ou non ? Il avait pourtant aussitôt refermer le débat : "N'ouvrons surtout pas le débat. L'important est de les obtenir vite. On verra le reste après !"

Le missilier européen MBDA a obtenu en mars 2014 son brevet pour pouvoir tirer le missile Brimstone à partir du Reaper. Selon MBDA, le Brimstone, à bord du MQ-9 Reaper, a fait la preuve qu'il pouvait "réduire les risques de dommages collatéraux" et démontrer "la létalité avec un seul tir contre des cibles évoluant à grande vitesse sur terre, mer et dans un environnement complexe". Ce qui n'est pas toujours le cas avec le missile américain Hellfire de Lockheed Martin coupable régulièrement de dommages collatéraux.

 

Eurodrone, une volonté d'aboutir

Le ministre a également abordé le programme européen, qu'il baptise Eurodrone, qui sera amené à succéder au Reaper. "Il est actuellement en phase de définition. Les discussions sont en cours, mais nos amis allemands et italiens ont la volonté politique de voir ce dossier aboutir", a-t-il expliqué aux députés. Mais il n' a pas caché que "ce sera difficile : il faut éviter que la définition ne soit trop éclatée et que ne se reproduise le scénario de l'A400M, chacun ayant ses propres préconisations. Nous devons aboutir à un seul modèle d'eurodrone MALE". Les industriels Finmeccanica (Italie), Dassault et Airbus participent à ces discussions ainsi que trois pays, la France, l'Allemagne et l'Italie.

"C'est moi qui suis à l'initiative de ce projet, a expliqué Jean-Yves Le Drian, car il me paraissait indispensable d'avoir une maîtrise technologique dans ce domaine. Nos partenaires semblent me suivre, mais nous devons exercer une grande vigilance politique. En tout cas, mon homologue allemande est tout à fait favorable au développement de ce programme".

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 08:35
T-50 aircrafts, co-developed by KAI and Lockheed Martin. Photo KAI

T-50 aircrafts, co-developed by KAI and Lockheed Martin. Photo KAI

 

Oct. 26, 2015 By Richard Tomkins (UPI)

 

SEOUL -- The United States is reportedly blocking a $400 million plan by South Korea to sell KAI T-50 Golden Eagle trainer jets to Uzbekistan. The aircraft, co-developed in 2006 with Lockheed Martin, uses Lockheed Martin technologies -- including avionics -- and as such requires permission under the U.S. Arms Export Control Act for its sale to other countries. The Korea Times , quoting unidentified sources, says that permission has been refused.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 08:35
Austal has launched a high speed support ship it is building for Oman. Austal photo.

Austal has launched a high speed support ship it is building for Oman. Austal photo.

 

Oct. 26, 2015 By Richard Tomkins (UPI)

 

HENDERSON, Australia-- Austal, the Australian shipbuilder, has launched a high speed support vessel being built and outfitted for the Royal Navy of Oman. The vessel is 236.2 feet in length and was launched Saturday from the company's facility in Henderson, South Australia, after 13 months of construction work. The future RNOV Al Mubshir will complete final fitting before sea trials. It will be delivered next year.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 08:30
A counter-measure to small drones has been developed by Elta Systems, a subsidiary of Israel Aerospace Industries.

A counter-measure to small drones has been developed by Elta Systems, a subsidiary of Israel Aerospace Industries.

 

Oct. 23, 2015 By Richard Tomkins (UPI

 

BEN GURION INTERNATIONAL AIRPORT , Israel, Oct. 23) -- A counter-measure system that detects, identifies and disrupts small drones has been debuted by Israel Aerospace Industries.

 

Drone Guard, displayed at an aeropace exhibition in South Korea this week, combines adapted 3-D radars, electro-optical sensors and dedicated electronic attack jamming systems and comes from IAI subsidiary Elta Systems Ltd.

 

"We have begun demonstrating these novel capabilities to potential customers, in response to this new threat (from small drones)," said Nissim Hadas, IAI executive vice president and president of Elta Systems. "We believe that in the near future every critical asset and public site will require these safety measures for protection against hostile drones."

 

Drone Guard uses 3D radars -- including Elta's ELM-2026D, ELM-2026B and ELM-2026BF -- for short, medium and long-range detection of drones, coupled with special detection and tracking algorithms. EO sensors for visual identification of the target are also used.

 

The systems' jamming systems, which can be used as a standalone system, disrupts the drone's flight and can either cause the drone to return to its point of origin or shut down and crash, IAI said.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 08:20
Long Range Discrimination Radar (LRDR)

Long Range Discrimination Radar (LRDR)

 

Moorestown, N.J., Oct. 26, 2015 – by Lockheed Martin

 

The Missile Defense Agency (MDA) awarded a team, led by Lockheed Martin (NYSE: LMT), a contract to develop, build and test the Long Range Discrimination Radar (LRDR). The radar system will support a layered ballistic missile defense strategy to protect the U.S. homeland from ballistic missile attacks.

The nine-year contract, with options, will have the potential contract value of approximately $784 million. Work on the contract will be primarily performed in New Jersey, Alaska, Alabama, Florida, and New York.

LRDR is a high-powered S-Band radar incorporating solid-state gallium nitride (GaN) components and will be capable of discriminating threats at extreme distances. LRDR is a key component of the MDA’s Ballistic Missile Defense System (BMDS) that will provide acquisition, tracking, and discrimination data to enable separate defense systems to lock on and engage ballistic missile threats, a capability that stems from Lockheed Martin’s decades of experience in creating ballistic missile defense systems for the U.S. and allied governments.

“The U.S. has a limited number of ground-based interceptors to detect threats, yet the number of potential missile threats - and countermeasures used to hide those threats - is growing,” said Carl Bannar, vice president of Lockheed Martin’s Integrated Warfare Systems and Sensors business. “Our offering meets the MDA’s vision for LRDR by pairing innovative radar discrimination capability with proven ballistic missile defense algorithms.”

This MDA selection builds upon the U.S. government’s long-term investment in S-Band radar, ground-based radar, and systems integration, as evident in such Lockheed Martin technologies as the Aegis Combat System, Space Fence, and Aegis Ashore. Since 2012, Lockheed Martin has offered solid state ground-based S-Band radar utilizing an Open GaN Foundry model that leverages relationships with strategic suppliers.

“Our mature, scalable, GaN-based S-Band technology was ideally suited for this high performance ballistic missile defense application,” Bannar said. “LRDR represents the latest evolution in ground-based radar and ballistic missile defense.”

When constructed, LRDR will consist of a solid-state, active electronically-scanned antenna, and the facility to house and operate this radar antenna. Lockheed Martin’s proposed LRDR system will be built on an aggressive timeline ready for operational testing in Clear Air Force Station, Alaska by 2020.

Lockheed Martin has developed a team of corporate partners to meet the challenges of the LRDR program, including deciBel research (Huntsville, AL), Amec Foster Wheeler (Alpharetta, GA), ASRC Federal (Barrow, AK), IERUS Technologies (Huntsville, AL), PENTA Research (Huntsville, AL), and Davidson Technologies (Huntsville, AL).

For additional information, visit our website:  www.lockheedmartin.com/lrdr

 

About Lockheed Martin
Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 112,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation’s net sales for 2014 were $45.6 billion.

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 17:55
Financière de Courcelles muscle son pôle Aéronautique-Défense

 

27/10/2015 par Financière de Courcelles

 

Financière de Courcelles annonce l’arrivée de Noël Forgeard en tant que partenaire associé. Il a pour objectif de développer, au sein de Financière de Courcelles, le conseil en M&A pour les entreprises du secteur « Aéronautique-Défense ».

 

Forte de l’expertise incomparable de Noël Forgeard, Financière de Courcelles ambitionne de se positionner comme leader des opérations dans le secteur « Aéronautique-Défense ». Noël Forgeard sera assisté dans sa mission par Philippe Doré et Florian Jover.

 

Après avoir été en charge des dossiers industriels aux Ministères des transports et de la Défense, Noël Forgeard débute une carrière industrielle dans le groupe Usinor-Sacilor en occupant la présidence de filiales du groupe de 1981 à 1986. Président d’Ascométal de 1984 à 1986, il conduit le rapprochement de la Compagnie française des aciers spéciaux avec la SAFE, l’aciérie d’Ugine Fos et les aciéries de Pompey, avant d’engager la réorganisation de l’ensemble. De 1986 à 1987, il devient conseiller pour les affaires industrielles auprès du Premier Ministre Jacques Chirac.

 

Entré chez Matra en 1987, il se voit confier le poste de président des activités Espace et Défense. En 1992, il devient directeur de branche puis codirecteur général de Lagardère où il participe à la création de deux leaders européens aujourd’hui intégrés dans EADS, Matra Marconi Space, devenu Astrium, et Matra BAe Dynamics dans le domaine des missiles tactiques.

 

En 1998, il rejoint le GIE Airbus Industrie en qualité d’administrateur gérant, amenant Airbus à parité avec Boeing en termes de parts de marché. Il concourt à la création de la société intégrée Airbus, filiale d’EADS et de BAE, mène le début de son intégration opérationnelle et en devient le premier président de 2001 à 2005. Elu Manager de l’année 2003 pour le secteur Aéronautique par Business Week, il aura porté la profitabilité de la société de 5% à 11,5% du chiffre d’affaires, avec un niveau record de commandes (300 Mds$). Nommé en juillet 2005 coprésident exécutif d’EADS qu’il quittera en 2006, il négocie l’achat par EADS de la participation de BAE dans le capital d’Airbus.

Début 2011, il rejoint la société de conseil Arjil, spécialisée en fusions-acquisitions en tant qu’associé senior où il dirige la pratique « Aerospace and Defence ». Il y mène à bien huit opérations.

 

Noël Forgeard exerce par ailleurs des mandats d’administrateur chez Schneider-Electric, où il est membre du comité d’audit et du comité stratégique, ainsi qu’au PMU.

 

Né en 1946, Noël Forgeard est diplômé de l`Ecole Polytechnique et Ingénieur des Mines.

 

Dominique Auburtin, Président Directeur Général de Financière de Courcelles, déclare : « L’arrivée de Noël Forgeard est pour nous un honneur et un atout incontestable pour le développement rapide de Financière de Courcelles dans le domaine de l’Aéronautique-Défense. Après le rapprochement réalisé entre Financière de Courcelles et Financière de l’Epervier permettant d’atteindre une taille critique, la venue de Noël Forgeard renforce notre dynamique de croissance dans le conseil en M&A.».

 

Bertrand de Saint Remy, Administrateur Directeur Général de Financière de Courcelles, déclare : « Nous nous réjouissons de cette association avec Noël Forgeard. Cet homme de terrain a géré et développé de grands ensembles industriels, acteur durant sa carrière de vastes restructurations européennes. Il incarne parfaitement les deux piliers sur lesquels Financière de Courcelles fonde son développement : son ouverture internationale, force historique de Financière de Courcelles, et sa compétence sectorielle ciblée.».

 

A propos de Financière de Courcelles :

 

Suite au rapprochement de Financière de Courcelles et de Financière de l’Epervier en février 2015, Financière de Courcelles (www.financieredecourcelles.fr) est un acteur majeur, indépendant, du conseil en fusions-acquisitions

 

qui dispose d’une solide expérience des opérations transfrontalières, de compétences sectorielles fortes (ex : Aéronautique, Automobile, Énergie-Transports ou encore Santé) et d’une couverture mondiale à travers le réseau Global M&A Partners (38 firmes réparties dans 50 pays) dont elle est membre fondateur, partenaire exclusif en France et en assure la présidence (www.globalma.com).

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 17:20
Boeing and Lockheed Martin Statement on U.S. Air Force Long Range Strike-Bomber Decision

 

WASHINGTON, Oct. 27, 2015 – Boeing.com

 

Boeing [NYSE: BA] and Lockheed Martin [NYSE: LMT] today released the following statement on the U.S. Air Force’s decision to award Northrop Grumman the Long Range Strike-Bomber contract:

 

The Boeing and Lockheed Martin team is disappointed by today’s announcement. We will have further discussions with our customer before determining our next steps. We are interested in knowing how the competition was scored in terms of price and risk, as we believe that the combination of Boeing and Lockheed Martin offers unparalleled experience, capability and resources for this critically important recapitalization program.

 

Boeing is the world’s largest aerospace company and leading manufacturer of commercial airplanes and defense, space and security systems. In addition, Boeing supports airlines and U.S. and allied government customers in more than 150 countries. The company’s products and tailored services include commercial and military aircraft, satellites, weapons, electronic and defense systems, launch systems, advanced information and communication systems, and performance-based logistics and training. Boeing employs more than 165,000 people across the United States and in more than 65 countries. Company revenues for 2014 were more than $90 billion. Follow us on Twitter: @Boeing.

 

Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 112,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation’s net sales for 2014 were $45.6 billion.

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 12:50
Suisse: baisse des exportations de matériel de guerre sur 9 mois en 2015

 

27.10.2015 Romandie.com (AWP)

 

Zurich (awp) - Les exportations de matériel de guerre suisse ont reculé sur les neuf premiers mois 2015, comparé à la même période il y a un an, a annoncé mardi l'Administration fédérale des douanes (AFD). Le recul a été particulièrement marqué pour l'Allemagne et les Etats-Unis, mais la Confédération a augmenté ses ventes vers l'Afrique du Sud et l'Inde notamment.

 

Les ventes à l'international de matériel de guerre par la Suisse ont baissé de 8,8% à 314 mio CHF entre janvier et septembre, a précisé l'AFD dans un communiqué.

 

Le repli a été particulièrement marqué pour le premier client d'armement helvétique. L'Allemagne a ainsi réduit ses achats de 28,1% à 84,5 mio CHF. Les ventes vers l'Indonésie ont quant à elles chuté de 19,2% à 43,1 mio, suivi par les Etats-Unis avec une baisse de 15,8% à 20,8 mio et l'Italie (-42,4% à 19,5 mio).

 

Les exportations vers le Royaume-Uni sont par contre restées quasiment stables à 18,3 mio CHF. La Roumanie est quant à elle venue s'ajouter comme nouveau client avec des achats de 12,7 mio.

 

Les pays émergents figurent parmi les bons clients de la Confédération. Les ventes vers l'Inde ont ainsi effectué un bond, passant de 0,3 mio CHF sur les neuf premiers mois 2014 à 26,1 mio sur la même période en 2015. Elles se sont également envolées vers le Brésil à 15,4 mio contre 3,3 mio précédemment et vers l'Afrique du Sud (13,1 mio contre 1,2 mio).

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 12:55
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

18/10/2015 armée de Terre

 

L’armée de Terre fête cette année les cinquante ans de l’utilisation du drone. Un demi-siècle de pratique au cours duquel l’aéronef sans pilote a su se rendre incontournable. L’édition 2015 du forum du renseignement, organisé par l’École du renseignement de Saumur, était l’occasion pour les militaires de faire part de leur expérience sur l’utilisation de cette technologie en opération.

 

Destiné aux unités chargées du renseignement, le drone permet d’appuyer les forces terrestres en assurant des missions de surveillance, de reconnaissance ou de recueil d’information. Des caractéristiques soulignées par le lieutenant-colonel Daniel Chabbert, chef de corps du 61e régiment d’artillerie, pour qui « il n’est pas possible d’envisager une opération militaire sans drone compte tenu de l’apport de cette technologie dans les opérations actuelles ».

 

Dans le cadre de l’adaptation de ses équipements aux défis d’aujourd’hui, l’armée de Terre teste actuellement de nouveaux modèles de drones. C’est le cas par exemple du nano-drone. Tenant le creux d’une main, il sera capable de fournir au combattant une information immédiate sur son environnement proche. Le drone apparaît ainsi de plus en plus comme une capacité clé en termes de gain opérationnel et de diminution du risque.

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 11:55
Les contrats Rafale boostent les exportations françaises d'armements (Crédits : Dassault Aviation A. Pecchi)

Les contrats Rafale boostent les exportations françaises d'armements (Crédits : Dassault Aviation A. Pecchi)

 

26/10/2015 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Fin août, les prises de commandes des groupes de défense à l'exportation s'élevaient à environ 8,5 milliards d'euros. Déjà un record qui va aller encore en s’améliorant d'ici à la fin de l'année.


Quoi qu'il arrive, la France va battre un nouveau record dans le domaine des exportations d'armements en 2015. L'an dernier déjà, les prises de commandes des groupes français de défense avaient atteint 8,21 milliards d'euros, le meilleur résultat de ces vingt dernières années juste devant ceux réalisés en 2009 (8,16 milliards) et 1998 (8,18 milliards), selon les chiffres publiés dans les rapports au Parlement sur les exportations d'armement de la France. Même si le contrat tripartite Donas (Arabie Saoudite, Liban, France), signé en 2014, rencontre des difficultés d'exécution...

L'année 2005 "sera donc historique en termes d'exportations, même si tout cela reste encore conditionné par un certain nombre de négociations en cours avec différents pays du Moyen-Orient ou d'Asie", a souligné début octobre le délégué général pour l'armement Laurent Collet-Billon aux députés de la commission de la défense.

Le délégué général pour l'armement a précisé que "le montant des contrats entrés en vigueur fin août atteignait 4,4 milliards (hors contrats Rafale) et les prévisions de prises de commandes pour l'année 2015 seront probablement dépassées. Pour mémoire, l'objectif en 2015, hors Rafale, est fixé à 5,7 milliards d'euros". La revente des deux Bâtiments de projection et de commandement (BPC), de type Mistral, à l'Egypte, n'est pas comptabilisée dans les prises de commandes 2015.

 

Environ 8,5 milliards d'euros de ventes engrangées

En 2015, la France a remporté ses deux premiers contrats export Rafale. Le premier, qui est entré en vigueur, a été signé avec l'Égypte et porte sur 24 Rafale, avec les armements associés, pour un montant total de 5,2 milliards d'euros, ce montant incluant également la vente d'une frégate multimissions FREMM estimée à 1 milliard d'euros environ. On peut estimer que, fin août, la France avait déjà vendu 8,5 milliards d'euros d'armements environ, compte tenu que le contrat Rafale signé avec le Qatar pour 24 avions n'était pas encore entré en vigueur. Le montant de ce contrat est évalué à 6,3 milliards, dont un peu plus de 2 milliards d'euros environ pour l'armement.

Des chiffres un peu moins ambitieux que ceux annoncés en mai par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. "Si l'on ajoute les Rafale, les hélicoptères et les ventes dans les domaines naval et satellitaire, nous avons déjà engrangé plus de 15 milliards d'euros de commandes d'armement français cette année", avait-il indiqué dans une interview au Journal du Dimanche (JDD), le 3 mai. Avec la mise en vigueur du contrat Rafale au Qatar, le total approchera la barre des 15 milliards d'euros. Quelques contrats significatifs pourraient être mis en vigueur d'ici à la fin de l'année comme ceux des 24 hélicoptères Caracal (H225M), et six appareils en option, au Koweït (1 milliard d'euros) et des patrouilleurs rapides en Arabie Saoudite (600 millions d'euros)

 

Des emplois "made in France"

Lors de cette interview, Jean-Yves Le Drian avait rappelé que les exportations d'armements représentaient "pour la France près de 30.000 emplois nouveaux sur plusieurs années pour ce secteur industriel". Selon une étude d'impact réalisée en 2014, les exportations d'armement ont permis de réduire le déficit commercial de la France de l'ordre de 5 % à 8 % sur la période 2008-2013, de maintenir les emplois de la défense en France à travers environ 27.500 emplois directs et indirects (de rang 1) associés aux 3,81 milliards d'euros de matériels livrés en 2013.

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 08:20
F-35 Lightning II CVN DT-II Wrap Up


23 oct. 2015 by US Navy

 

Two F-35C Lightning II aircraft from the F-35 Patuxent River Integrated Test Force (ITF) flexed their sea legs aboard USS Dwight D. Eisenhower (CVN 69) during the second F-35C developmental test (DT-II) phase October 2-10, 2015. (U.S. Navy video courtesy of Lockheed Martin | Matt Short, Dane Wiedmann, Andrew McMurtrie, and Andy Wolfe.)

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23 octobre 2015 5 23 /10 /octobre /2015 16:35
photo Boeing

photo Boeing

 

23 October, 2015 By James Drew – FG

 

Washington DC  - Just months after being rejected by South Korea and weeks after first flight, Boeing’s KC-46A has been selected by Japan to supplement the nation’s KC-767 tanker fleet.

 

The announcement came from Japanese defence minister Gen Nakatani on Friday, and constitutes a significant win for Boeing after a troubled start to the next-generation tanker development programme with the US Air Force. The Pegasus tanker can almost see the end of its development phase, after achieving first flight 25 September from Paine Field in Washington, following a roughly nine-month delay. According to Boeing, KC-46 is particularly attractive to Japan as it will be capable of refuelling the Japan Air Self-Defense Force’s planned fleet of Bell-Boeing MV-22 Osprey helicopters. Japan intends to procure three tankers for fielding in the 2020 time frame, at a cost of more ¥20.8 billion – about $173 million per tanker.

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23 octobre 2015 5 23 /10 /octobre /2015 16:20
Close-in defense systems provide "last chance" ship defense- photo Raytheon

Close-in defense systems provide "last chance" ship defense- photo Raytheon

 

TUCSON, Ariz., Oct. 23, 2015 /PRNewswire

 

The U.S. Navy awarded Raytheon Company (NYSE: RTN) a $159.9 million contract to manufacture, inspect and test Phalanx Close-in Weapon Systems (CIWS).

 

Phalanx 1B encompasses the range of actions required to assure success and shape the battlespace for naval, joint, and combined forces. The contract, which provides for a $10 million option in FY15 and another valued at $291 million in FY16, includes support equipment for the Phalanx and SeaRAM Weapon Systems, Block 1B radar upgrades and kits for reliability, maintainability, and availability. The contract also covers overhaul of four Land-based Phalanx Weapon Systems. "Phalanx provides the U.S. Navy's ships with a 'last-chance' defense against anti-ship missiles and littoral warfare threats while SeaRAM extends that inner-layer battlespace," said Rick Nelson, vice president of Raytheon's Naval and Area Mission Defense product line. "Close-in systems give warfighters the ability to automatically carry out functions usually performed by separate systems on other ships." Work under the contract, which was signed in the third quarter of 2015, is expected to be completed by August 2018 in Louisville, Kentucky. This contract was announced by the Department of Defense on September, 30, 2015.

 

Close-in Defense Solutions

Phalanx is a rapid-fire, computer-controlled radar and 20 mm gun system that automatically acquires, tracks and destroys enemy threats that have penetrated all other ship defense systems. More than 890 systems have been built and deployed in navies around the world.

Intended to enlarge Phalanx's keep-out range against evolving anti-ship missiles, rotary- and fixed-wing aircraft and other threats, SeaRAM Anti-ship Missile Defense Systems use advanced Phalanx Block 1B sensors and replaces the gun with an 11-round Rolling Airframe Missile guide. SeaRAM is aboard the Independence-class of the U.S. Navy's Littoral Combat Ships.

 

About Raytheon

Raytheon Company, with 2014 sales of $23 billion and 61,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, civil government and cybersecurity markets throughout the world. With a history of innovation spanning 93 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems, as well as cybersecurity and a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @Raytheon.

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22 octobre 2015 4 22 /10 /octobre /2015 16:50
UK MOD Purchases Deployable Hospital System from Marshall

 

October 22, 2015 by Marshall Land Systems

 

The UK MOD has taken delivery of a mobile hospital system to enhance its operational medical capability as part of Future Force 2020. Marshall Aerospace and Defence Group has provided a modular Role 3 hospital, complete with all the departments expected of a conventional trauma hospital, including resuscitation, operating theatre, intensive care wards, advanced diagnostics, together with the necessary infrastructure such as recovery wards, sterilisation, pharmacy and laboratory facilities. The hospital has full environmental control maintaining optimum temperature and humidity levels throughout the entire hospital within a wide range of external climatic conditions. The hospital is a step change in providing a modern clinical infrastructure designed to operate as a coherent system, complete with a fully integrated logistic support.

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22 octobre 2015 4 22 /10 /octobre /2015 16:30
Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

Le Caracal sur le stand Airbus à MSPO 2015 photo Airbus HC

 

22 octobre 2015 par Jacques Marouani - electroniques.biz

 

Les contrats militaires se montent à 2,5 milliards d'euros tandis que le fonds d'investissement sera créé avec Bpifrance pour un montant de 450 M€.

 

La France et le Koweït viennent de conclure un accord avec le Koweit portant sur des contrats d'armement terrestre, aérien et maritime, pour un montant estimé à 2,5 milliards d'euros, selon l'entourage du minstre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

 

Ce pays avait indiqué en juin son intention d'acquérir 24 hélicoptères lourds Caracal, d'Airbus Helicopters, pour un montant d'un milliard d'euros. Mais cela pourrait être revu à la hausse. Les premières livraisons pourraient intervenir d'ici deux ans et demi.

 

Deux autres volets, d'un montant estimé à 1,5 milliard d'euros, ont fait l'objet de lettres d'acceptation entre la France et le Koweït. "Il y a une partie très importante sur les véhicules terrestres, Renault Trucks Defense étant très bien implanté au Koweït, et un programme de modernisation et de réarmement des patrouilleurs P37 de la société française DCI (Défense Conseil International), avec la marine koweïtienne", selon la même source.

 

La création d’un fonds public-privé destiné au financement de PME et d’ETI françaises dans les secteurs stratégiques, un partenariat de sécurité et défense, ainsi qu'une coopération culturelle et scientifique sont également prévus avec le Koweit.

 

Ainsi, Bpifrance financera avec les institutions financières koweitiennes des fonds français de capital-risque à hauteur de 450 millions d’euros.

 

Cette coopération prendra la forme d'investissements conjoints dans des fonds français de capital-risque dans lesquels les institutions financières koweïtiennes investiront jusqu’à 300 millions d’euros et Bpifrance jusqu’à 150 millions d’euros.

 

La première opération concernera la participation dans un fonds ciblant les technologies de l'information, d'une taille cible de 250 millions d’euros et d'une taille minimale de 200 millions d’euros, dans lequel l’Etat du Koweït participera à hauteur 100 millions d’euros, au travers des institutions qu’il désignera, et Bpifrance à hauteur de 50 millions d’euros.

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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 11:55
photo F. Lert Airbus HC

photo F. Lert Airbus HC

 

21 octobre 2015 Par Anne-Katell Mousset -  Usinenouvelle.com

 

 Après trois jours de visite officielle, le premier ministre du Koweit s'est engagé fermement pour l'achat de 24 hélicoptères H225M. Des lettres d'intention ont également été signées pour des véhicules blindés légers et la modernisation de huit patrouilleurs P37. 

 

Après trois jours de visite officielle en France, le premier ministre du Koweït, le cheikh Jaber Al Moubarak Al Hamad Al Sabah repart après s'être engagé fermement sur la commande de 24 hélicoptères H225M (appelés Caracal dans l'armée françaises) d'Airbus Helicopters, et six appareils en option, pour un montant d'un milliard d'euros. Ils devraient être livrés dans 2 ans et demi.  

En juin dernier, le Koweït avait déjà indiqué son intention d'acheter cet hélicoptère, conçu pour la recherche et le sauvetage au combat, le transport tactique et le transport de matériel ou le secours aux civils. 

Le ministère de la Défense, interrogé par l'Usine Nouvelle, a indiqué que des lettres d'intention ont également été signées. Elles portent sur l'achat de véhicules blindés légers de Renault Trucks Defense ainsi que sur la modernisation et l'armement de huit patrouilleurs P37 par DCI (Défense conseil international). 

Le Koweït est le premier du golfe avec lequel la France a signé un accord de défense, en 1992. Un "partenaire historique" qui réalise en moyenne chaque année 10% de ses achats d'armement en France, soit un montant d'environ 1,5 milliard d'euros. 

La France participe également à la formation de 170 cadets du Koweït, futurs cadres de l’armée du pays.

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19 octobre 2015 1 19 /10 /octobre /2015 16:55
CMN to build a new shipyard in Cherbourg

 

19.10.2015 by Frédéric Brehier - CMN

 

CMN are willing to build a brand new shipyard in Cherbourg.

CMN work on the project for almost a year with the objective to develop a modern industrial tool close to the quayside. The project comes from four cardinal points:

– Human in the company

– Environmental excellence

– Improved industrial organization

– Modernization of the production tools

 

On 15th of July 2015 CMN received a favorable response to the call for manifestation of interest “Factory of the Future in Normandy”.

The first ship launch in CMN was in 1948, our buildings are old and we are limited in our production capabilities. The actual layout no longer corresponds to today’s industrial logic; we need to improve the optimization of our material flows and on our productivity.

Today CMN look to the future and consider settling of 8 hectares, 4 reclaimed from the sea, with 32500m2 of covered surfaces.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 16:20
Surface Forces: The Zumwalts Are Fading Away

 

October 16, 2015: Harold C. Hutchison – Strategy PAge

 

The American Zumwalt class destroyers may find its production run truncated yet again, as reports indicate that the third ship of the class, Lyndon B. Johnson (DDG 1002), is on the budget chopping block. The result would leave the Navy with two of the advanced destroyers. Initially these radically new destroyers were meant to replace four Iowa-class battleships and 31 Spruance-class destroyers. The Zumwalts proved too expensive and mass production was cancelled.

 

DDG 1002 was already slated for some changes from the first two units of the class (Zumwalt and Michael Monsoor). DDG 1002 was to receive a steel deckhouse as opposed to the composite deckhouses used on the other two ships. This was meant to save money. There had also been a chance that one of the 155mm guns would be replaced with an electromagnetic railgun on DDG 1002. The electromagnetic railgun is another expensive navy effort that may see introduction delayed a long time because of cost considerations.

 

The Zumwalt class was planned to include 32 ships – more than enough to replace the 31 Spruance-class destroyers that were retired early in the 1990s and early 2000s. Armed with two 155mm guns, and 80 VLS cells while reaching a speed of up to 56 kilometers per hour, the 14,000-ton ships specifically designed to replace the Spruances in the land attack mission, which they had shifted to after the end of the Cold War. But it soon became apparent that many aspects of the Zumwalts were too ambitious. For example they were originally intended to have the Mk 110 57mm gun, but the Navy instead elected to install the cheaper and less capable Mk46 Bushmaster II, a 30mm cannon. The Zumwalts’ also incorporate a lot of automation and require a crew of only 150 but increased development and construction costs more than expected. 

 

The Zumwalt class was also hit hard by the navy budget crunch caused by so much money being shifted to the army after 2001 for operations in Afghanistan and Iraq. Even before construction of the lead ship was funded in 2005, the class had been cut, first to 24, then to 7, then to 3, as costs kept climbing and navy requests for larger budgets went unanswered. The thing is, cutting the production run had the perverse effect of making the Zumwalt’s cost problems increase. Spreading the R&D cost of $9.6 billion over the original 32 ships would have only added $300 million to the price of each ship. By cutting the program to three units, each ship now shoulders $3.2 billion of the R&D costs.

 

Would the Zumwalt class have been a success? Two other high-tech programs that were truncated early, the F-22 and Seawolf-class submarine, indicating the answer might have been “Yes.” Instead, the Zumwalt will be widely derided as a failure, when the blame rests not on the designers or the Navy, but instead the budget-cutters. Meanwhile, the Navy will have a hard time finding enough hulls in the water to handle the many missions it will have.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 16:20
Nammo Awarded M141 BDM Delivery Order

 

Oct 15, 2015 .defense-aerospace.com

(Source: Nammo AS; issued Oct 14, 2015)

 

RAUFOSS, Norway --- On September 23, Nammo was awarded Delivery Order 19 to the indefinite delivery / indefinite quantity (ID/IQ) contract to produce the M141 Bunker Defeat Munition.

Work will be completed in Mesa, Arizona and Salt Lake City, Utah with delivery in December 2016. Maximum value of the multi-year contract is $567 million USD but actual value will depend on the total quantity of rounds supplied.

M141 BDM is a direct fire, man-portable infantry assault weapon comprised of a disposable launcher and an 83mm high explosive dual purpose round.

"Nammo Talley is proud to continue the M141 BDM program with our nineteenth delivery order on this contract. We'll work relentlessly to exceed the Army's expectations for quality, on-time delivery and safe manufacturing processes", says Scott Selle, Executive Vice President of Nammo Talley, a U.S. division of the Nammo Group.


The Nammo Group is a high-technology supplier to the aerospace & defense industry. Its core businesses are military and sporting ammunition; shoulder launched munitions; rocket motors and actuators for aerospace applications; and environmentally friendly demilitarization. Nammo has 2,200 employees located in 10 countries.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 15:50
 CEO of Airbus DS Explains Divestments, Problems, Plans


Oct 15, 2015 defense-aerospace.com

(Source: By Markus Fasse - Handelsblatt English edition; published Oct 15, 2015)

 

The head of defense and aerospace at Airbus talks about the future of the European aviation firm's troubled Eurofighter jet and A400M troop transport, and why the company is selling its military electronics division.

WHY IT MATTERS:
Airbus lacks critical political support in Germany for selling fighter jets to other countries.

FACTS:
-- Airbus Defence and Space is looking to sell its military electronics division.

-- The four-engine turboprop A400M Atlas military transport was plagued by early delays and cost overruns, and a fatal crash in May 2015.

-- Delivery of Eurofighter Typhoon fighter jets was temporarily suspended this week following the discovery of a manufacturing flaw in the fuselage involving rivet holes that had not been properly filed off.


The Airbus Defence and Space complex near Munich is undergoing renovations for the first time in 30 years. The company itself is undergoing a renovation of sorts too. It announced last year that it would sell several business units, including military electronics, to focus on its core areas of space, military aircraft and missiles.


Bernhard Gerwert, chief executive of the military aircraft and satellites division, has been working at Germany’s largest arms manufacturer since 1979, and is a confidant of Airbus Chief Executive Tom Enders. He sat down with Handelsblatt to explain why the Eurofighter, despite its problems, will be around for a long time to come, and how the A400M military transporter can expect a growing customer base in the Middle East and Asia.


Handelsblatt: Airbus is selling part of its defense business in Germany. Is it no longer possible to make money in armaments?

Bernhard Gerwert: Two years ago, we reorganized our business and combined the defense and space sectors. They have €14 billion ($16 billion) in revenues and 40,000 employees. Now we are letting go of one sphere of business with a little less than €2 billion in sales, about half of which is in the defense sector. We are retaining the largest share, because we’re convinced that we will continue to be successful in the field of armaments.

Handelsblatt: Nonetheless you are giving up key competencies in defense electronics, including radar, target recognition and flight control systems.

Only a small segment of our production goes into our own airplanes and helicopters. The major share goes into the programs of our competitors. In comparison to our international competitors, especially in the United States, we are simply too small. So it makes more sense to get out of that field and concentrate on building airplanes, rockets and satellites.

Handelsblatt:Do you already have a buyer? Rheinmetall, the military technology and auto parts supplier, has made an offer.

We have many interested parties — purely financial investors and also strategic bidders. The German government is closely involved. It’s in the federal government’s interest that certain technologies and locations remain in Germany. (end of excerpt)


Click here for the full story, on the Handelsblatt website.


Click here for our related July 6, 2015 Op Ed: “How Long Will Airbus Stick with Defense?”

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 14:50
Sentinel-3A

Sentinel-3A

 

Oct 15, 201 ASDNews Source : European Space Agency (ESA)

 

Before the latest satellite for Copernicus is packed up and shipped to the Plesetsk cosmodrome in Russia for launch at the end of the year, the media and specialists were given the chance to see this next-generation mission centre-stage in the cleanroom. Carrying a suite of state-of-the-art instruments, Sentinel-3 is set to play a key role in the world’s largest environmental monitoring programme – Copernicus.

 

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 12:55
Un fusil « étranger » pour remplacer le FAMAS, un « échec » pour l’industrie française? - photo 92e RI

Un fusil « étranger » pour remplacer le FAMAS, un « échec » pour l’industrie française? - photo 92e RI

 

16 octobre, 2015 Nathan Gain (FOB)

 

La saga du remplacement du FAMAS est, une fois encore, revenue sur le devant de la scène ces derniers jours. Fervents défenseurs du « Made in France », Philippe Meunier (Les Républicains) et Jean-Jacques Candelier (PCF) ont demandé au ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian de revenir sur sa décision d’acheter un fusil « étranger » pour remplacer les fusils d’assaut français.  « Nous comptons sur votre sens de l’État pour revenir sur votre décision d’acheter un fusil d’assaut étranger afin de consolider notre filière nationale de l’armement terrestre du « petit ou gros calibre » », lui ont notifié les deux élus. Si le symbole est fort, cette ultime tentative n’a que peu de chances d’aboutir, tant la possibilité que le fusil d’assaut soit fabriqué en France est mince, voire inexistante.

 

Petit rappel.

 

En service depuis presque 40 ans, le fusil automatique de la Manufacture de Saint Etienne (FAMAS) modèle F1 fut conçu à la fin des années 1960 autour de la cartouche d’origine américaine de 5,56 x 45 mm. Malgré des qualités certaines, le FAMAS est arrivé aujourd’hui en buttée d’évolution et de développement.

 

Aussi, une étude fut lancée dès 2009 pour la création d’une Arme Individuelle Future (AIF) à culasse calée capable de tirer l’ensemble des munitions de 5,56 mm OTAN et de recevoir le système FELIN. Une étude suivie, en 2014, par l’appel d’offres lancé par le ministère de la Défense pour renouveler le parc des FAMAS en dotation dans l’armée française. Un marché majeur qui porte sur la production de 90 000 fusils d’assaut dont 21 340 à livrer entre 2017 et 2019, 38 millions de cartouches et 92 000 grenades. Le tout pour un montant global évalué à 400 millions d’euros.

 

Une perspective à l’origine alléchante pour le marché français. Le hic, c’est que, depuis 2009, l’Europe interdit tout protectionnisme pour ce type de marché et impose à tous les Etats membres de lancer leur appel d’offres à l’échelle européenne ; ouvrant le marché « AIF » à des cadors du domaine, tel H&K ou FN Herstal.

 

En outre, le cahier des charges imposé s’est révélé particulièrement contraignant pour le seul candidat français, l’entreprise Verney-Carron. Chaque candidat doit en effet présenter des revenus supérieurs à 80 millions d’euros au cours des trois dernières années, alors que Verney-Carron, bien qu’en excellente santé, présente un chiffre d’affaire de 12 millions d’euros. Un critère financier imposé par des contraintes techniques, puisque le fournisseur devra être en mesure de répondre à toute commande imprévue et d’assurer l’entretien et la modernisation du matériel pendant les trente prochaines années.

 

Difficile d’en vouloir à nos décideurs, la priorité étant mise sur le renforcement d’un marché commun de la défense encore balbutiant et des industries nationales. Un marché européen dont les retombées, dans ce cas-ci, pourraient par ailleurs profiter à de nombreuses entreprises, comme Nexter Mechanics, basé à Tulle (Corrèze), ou Manurhin, basé à Mulhouse.

 

Cinq fusils d’assaut restent actuellement en compétition : le HK 416 de l’Allemand Heckler & Koch, le SCAR du Belge FN Herstal, l’ARX 160 l’Italien Beretta, le SIG 550 de Swiss Arms et le le VHS2, fabriqué en Croatie par HS Produkt. Les évaluations des armes proposées par ces cinq fabricants ont déjà démarré, le résultat du marché devrait être notifié en décembre 2016 pour un achat courant 2017  complet des forces en 2018.

 

Verra-t-on la même « pensée gaullienne » apparaître, celle-là même qui, par esprit d’indépendance, avait écarté les HK33, M16 et autres CAL pour favoriser le développement du FAMAS ? Il est sans doute trop tard pour l’industrie de défense française, mais l’affaire aura néanmoins permis de mettre l’accent sur une filière qui pourrait (devrait) maintenant rebondir sur l’exemple des récents succès français à l’export pour favoriser sa renaissance. Et pourquoi pas, lancer le chantier de l’après-AIF…

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 11:50
New Council decision adopted  on the statute, seat and operational rules of the European Defence Agency.
 

Brussels - 16 October, 2015 Euroepan Defence Agency

 

The Foreign Affairs Council in Luxembourg has adopted the revised decision on the statute, seat and operational rules of the European Defence Agency.

 

The text is available here in all EU languages.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 11:20
3-D model of NASSCO's Expeditionary Base Mobile ship. Image courtesy of NASSCO

3-D model of NASSCO's Expeditionary Base Mobile ship. Image courtesy of NASSCO

 

SAN DIEGO, Oct. 15 By Ryan Maass (UPI)

 

General Dynamics NASSCO has begun construction of the second Expeditionary Base Mobile ship for the U.S. Navy. When completed, the ship will be 784 feet long, with a 52,000 square-foot flight deck. The ship will be equipped with fuel and equipment storage, repair spaces, mission planning spaces, and magazines. It will be able to accommodate up to 250 personnel, and support MH-60 and MH-53 helicopters, with an upgrade to support MV-22 tilt rotor aircraft.

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