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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 06:55
Chargement d’un Tigre avec des roquettes. Kaboul 2009. Photo Frédéric Lert

Chargement d’un Tigre avec des roquettes. Kaboul 2009. Photo Frédéric Lert

21.05.2013 Par Frédéric Lert (FOB)

 

TDA Armements (filiale de Thales spécialisée dans les armements terrestres et aéroportés), prévoit le tir complet, avec guidage sur une tache laser, d’une roquette à précision métrique pour le mois de juillet prochain. L’idée de roquette guidée agite le Landerneau depuis plusieurs années de part et d’autre de l’Atlantique. Pour tous, il s’agit d’offrir un grand niveau de précision à un armement idéalement taillé en terme de puissance, mais dont la dispersion à l’impact cadre mal avec les exigences de précision des conflits actuels. Moins maniable qu’un missile, la roquette guidée promet en revanche d’être bien meilleur marché et bien plus disponible : plusieurs dizaines de projectiles pourront être emportées par hélicoptère…

 

TDA fournit déjà les roquettes de 68mm qui équipent les Tigre de l’Alat et qui ont été tirées à plusieurs milliers d’exemplaires en Afghanistan, en Libye et plus récemment au Mali. L’industriel a déjà développé des solutions innovantes pour ses roquettes, avec notamment depuis 2009 la transmission d’informations et la commande de mise à feu par simple induction : aucun branchement électrique n’est nécessaire une fois la roquette installé dans son tube. Le processus d’armement gagne en simplicité, en fiabilité et en rapidité. Toutes les roquettes aujourd’hui livrées à l’Alat bénéficient de ce système.

 

La roquette à précision métrique est le fruit d’un développement sur fonds propre de TDA qui bénéficie toutefois d’un PEA (Plan d’Etude Amont) de la DGA sur le développement d’une charge militaire muratisée à effet collatéral réduit. Les autres travaux de développement porte sur la fusée qui emporte le kit de guidage, le dispositif de mise à feu du propulseur et de la charge militaire. Le propulseur reste inchangé par rapport à une munition classique. Chaque roquette guidée se voit fournir un code laser unique ce qui autorise le tir simultané de plusieurs roquettes. Une innovation qui ira de pair avec la possibilité, sur le Tigre HAD, d’emporter jusqu’à cinq modèles différents de projectiles dans un même panier et de sélectionner précisément la munition devant être tirée. Le HAP n’offre actuellement que la possibilité de choisir le panier qui va tirer. Bien évidemment, un autre atout du Tigre HAD est de disposer d’un illuminateur laser dans son viseur de toit Strix, ce qui lui permettra de guider lui-même ses propres munitions.

 

Le tir du mois de juillet se fera à partir d’un Tigre HAP avec un guidage déporté et ne comprendra que deux roquettes dont la charge militaire sera remplacée par un système de télémétrie. Plusieurs centaines de tirs ont déjà été simulés sur un banc d’essais reproduisant tout le vol de la munition. TDA envisage une mise en service dans les forces à partir de 2018.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 06:00
Le drone de surveillance Predator B MQ-9 Reaper fabriqué par l'américain General Atomics. L'Hexagone pourrait acquérir d'ici à la fin de l'année deux de ces appareils pour des missions de renseignement. - photo General Atomics Aeronautical Systems

Le drone de surveillance Predator B MQ-9 Reaper fabriqué par l'américain General Atomics. L'Hexagone pourrait acquérir d'ici à la fin de l'année deux de ces appareils pour des missions de renseignement. - photo General Atomics Aeronautical Systems

21/07 par Yann VERDO - lesechos.fr

 

La France va acheter deux drones américains de surveillance. Jean-Yves Le Drian estime que la France a raté le rendez-vous des avions sans pilote.

 

Le pays du Rafale a-t-il raté le rendez-vous des drones, ces avions sans pilote dont l'usage a changé l'art de la guerre ? C'est du moins ce que pense le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui l'a déclaré sans ambages ce week-end au « Grand Rendez-vous Europe 1-iTélé-"Le Parisien" ».

 

Le ministre, qui avait rencontré son homologue américain, Chuck Hagel, vendredi à Washington, a confirmé être entré en négociations avec le Pentagone pour l'achat de deux drones de surveillance « Reaper » fabriqués par l'entreprise américaine General Atomics. Ces deux appareils devraient être livrés non armés à la France d'ici à la fin de l'année et seraient aussitôt déployés au Mali pour des missions de renseignement exclusivement, mais les experts soulignent qu'ils pourraient être aisément transformés en drones tueurs par la suite.

 

Le ministre a également confirmé que des négociations parallèles étaient en cours avec Israël, le seul autre pays construisant des drones avec les Etats-Unis. Il n'a pas précisé le nombre d'avions sans pilote dont l'armée française souhaiterait rapidement se doter auprès des deux puissances étrangères. Dans un récent Livre blanc, il était recommandé que la France, qui dispose actuellement de 4 drones d'observation, porte rapidement le nombre de ces engins à douze.

 

L'opération « Harmattan » engagée il y a deux ans en Libye et celle actuellement en cours au Mali ont clairement montré que l'armée française était dépendante des renseignements récoltés par les drones américains. La faute d'un virage stratégique mal négocié dans les années 1990, notamment en raison d'un manque de coopération sur ce sujet entre les industriels français. Résultat : ni Dassault Aviation ni EADS ne fabrique aujourd'hui leurs propres drones. Ceux utilisés actuellement au Mali ont été simplement adaptés aux besoins de l'armée française par EADS à partir de drones acquis dans les années 1990 auprès de l'armée israélienne.

 

Une solution d'urgence

 

Dans ce contexte, la commande passée auprès du Pentagone et celle en discussion avec Tel-Aviv apparaissent donc comme une solution d'urgence. Une position d'ailleurs pleinement assumée par Jean-Yves Le Drian qui a déclaré que Paris ne pouvait se permettre d'attendre dix ans de plus que nos champions industriels se décident enfin à agir ensemble. Et qui a mis publiquement la pression sur les dirigeants des groupes concernés pour qu'ils oublient leurs rivalités et travaillent de concert sur ce dossier. « Il faut aujourd'hui que, sur notre demande, les industriels français et européens se mettent en relation pour élaborer ce que pourra être demain le drone de nouvelle génération », a déclaré Jean-Yves Le Drian, ajoutant que celui-ci ne devrait pas être uniquement français mais franco-germano-britannique.

 

Aux Etats-Unis, première puissance militaire au monde, les drones ont changé le visage de la guerre. Soit grâce aux renseignements qu'ils permettent de collecter en zone ennemie, soit du fait de leur usage pour les « assassinats ciblés » de dirigeants d'Al-Qaida ou d'autres mouvements terroristes. Chaque mardi, Barack Obama rencontre ses experts du contre-terrorisme pour réviser la « kill list ». Seul le Congrès est informé des frappes effectuées, mais les observateurs indépendants estiment que le nombre d'activistes ainsi éliminés au Pakistan et au Yemen s'est fortement accru depuis 2009, date de l'arrivée à la Maison-Blanche de Barack Obama.

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 11:35
crédits LOCKHEED MARTIN

crédits LOCKHEED MARTIN

May 17, 2013 By Zachary Keck - Flashpoints

 

Despite growing questions concerning cost overruns and survivability in conflict, the U.S. Navy plans to send 11 littoral combat ships (LCS) to the Pacific region by 2022, the U.S. Navy’s Chief of Naval Operations, Jonathan Greenert, said this week, Xinhua and Jane’s reported.

Speaking at the International Maritime Defence Exhibition and Conference (IMDEX) in Singapore on Tuesday, Greenert told reporters that the Navy ultimately hopes to deploy four LCS to Singapore by 2022, with the remaining seven heading to Sasebo, Japan, where they will replace the mine countermeasures ships currently stationed there.

The LCS is a fast, maneuverable, and multi-mission surface ship that is designed most immediately to enable the U.S. Navy to operate a shallow vessel in coastal waters to deal with a number of different emerging asymmetric threats, including anti-access challenges.

The Navy first ordered LCS in 2004 and under the most recent 30-year shipbuilding plan will ultimately procure 52 vessels, down from the 82 it planned to purchase in early 2005. They come in the Freedom variant and Independence variant, which are being built by Lockheed Martin and General Dynamics, respectively.

The first LCS, the USS Freedom (LCS 1), left its home port in San Diego in March of this year and reached Singapore in the middle of last month to begin an eight-month deployment, its maiden overseas voyage. It was expected to participate in the IMDEX conference this week.

At the conference Greenert said that nations in the region had been impressed with the USS Freedom’s capabilities. Meanwhile, Lockheed Martin used IMDEX to pitch a multi-mission ship similar to the LCS to Southeast Asian nations, including Singapore.

Inside the U.S., however, the LCS program has lately come under increasing scrutiny. An internal U.S. Navy report written last year but leaked to the press this month questioned whether it was too lightly armed and manned to fulfill its declared missions. A report by Bloomberg News, which obtained a copy of the report, said:

“This review highlights the gap between ship capabilities and the missions the Navy will need LCS to execute. Failure to adequately address LCS requirements and capabilities will result in a large number of ships that are ill-suited to execute” the warfighting needs of regional commanders.

The report went on to note that the ship’s width may prevent it from utilizing certain ports and judged the decision to procure two LCS variants as creating unnecessary logistical and maintenance burdens.

Compounding the ship’s troubles, many of the planned ships are now running between eight and thirteen months behind schedule. This revelation has prompted criticism from some members of Congress, including Senator John McCain (R-AZ). At a Congressional hearing earlier this month, Sen. McCain noted: “The Navy plans for the Littoral Combat Ship to comprise over one-third of the nation’s total surface combatant fleet by 2028, and yet the LCS has not demonstrated to date any adequate performance of assigned missions…. We need to fix it, or find something else quickly.”

Navy officials have continued to defend the LCS, however. Speaking on board the USS Freedom on Saturday, Secretary of the Navy Ray Mabus said the program had started out as a mess but has since become one of the Navy’s best performing programs.

Calling LCS “an incredibly capable ship,” Mabus said that the ships are “going to be one of the most important crucial platforms in the United States Navy in the future.”

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 11:55
photo FOB

photo FOB

16.05.2013 par Frédéric Lert (FOB)

 

Sagem a présenté hier sur la base aérienne 120 de Cazaux l’utilisation combinée de la JIM LR et du télémètre illuminateur laser DHY 307 dans sa version légère (LW, pour Low Weight). C’est la rencontre sur un même support de deux stars de l’industrie française, la JIM LR (Jumelle Infrarouge Multifonctions « Long Range ») de Sagem et le DHY 307 LW de Cilas. La première est assemblée à Poitiers et le second à Orléans.

 

L’ensemble permet à un opérateur de combiner la télémétrie et l’illumination laser pour le guidage des armements air-sol avec toutes les capacités de la JIM LR (télémétrie, chercheur de nord, GPS, vision infrarouge, voir jour et fusion des voies jour et IR pour le décamouflage). Dans sa version LW, le DHY 307 pèse environ 4kg, soit deux fois moins que dans sa version précédente, pour un même niveau de performance.

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 12:50
Airbus Military vise le succès planétaire pour l'A400M

17 mai 2013 Usinenouvelle.com (Reuters)

 

La filiale d'avions militaires d'Airbus (groupe EADS) compte livrer son premier appareil à l'armée de l'air française en juillet et table sur la vente de 400 A400M dans les 30 prochaines années, a indiqué jeudi 16 le président d'Airbus Military. Domingo Urena Raso espère voir l'appareil voler au salon du Bourget pour la première fois et voit grand pour l'avenir.

 

Airbus Military n'est nullement découragé par l'accouchement difficile de l'avion de transport militaire A400M et espère en faire un succès planétaire, a déclaré jeudi 16 mai son président.

 

La filiale d'avions militaires d'Airbus (groupe EADS) compte livrer son premier appareil à l'armée de l'air française en juillet et table sur la vente de 400 A400M dans les 30 prochaines années, a dit Domingo Urena Raso.

 

Développé avec la Belgique, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, le Luxembourg, l'Espagne et la Turquie pour un coût de plus de 20 milliards d'euros, le complexe programme A400M a subi un retard de plus de quatre ans, avec notamment de gros soucis de moteur, et un dépassement de coût de plusieurs milliards d'euros.

 

"L'A400M a connu des débuts un tout petit chahutés, c'est le moins qu'on puisse dire, mais ça progresse bien", a dit Domingo Urena Raso à quelques journalistes à Paris à l'approche du salon du Bourget, du 17 au 23 juin prochains.

 

"L'objectif est de livrer quatre avions cette année, 10 avions l'année prochaine et 21 l'année suivante", a-t-il ajouté.

 

L'armée française espère la livraison de son premier A400M avant le 14 juillet, a-t-on appris jeudi auprès du ministère de la Défense.

 

L'appareil a obtenu en mars dernier son certificat de type civil complet, franchissant ainsi une étape essentielle avant la livraison du premier appareil à l'armée de l'air française.

 

IL POURRAIT VOLER LE 14 JUILLET

 

"L'objectif du ministère de la Défense, c'est la certification militaire pour le salon du Bourget et la livraison du premier avion à l'armée avant le 14 juillet", a déclaré jeudi le porte-parole du ministère de la Défense, Pierre Bayle, lors d'un point de presse.

 

"La livraison avant le 14 juillet permettrait que ce soit un équipage français qui pilote l'avion français au-dessus du défilé", a-t-il ajouté.

 

Ce double objectif a été qualifié de "tout à fait raisonnable" par Domingo Urena Raso, qui espère voir le mois prochain l'A400M voler au salon du Bourget pour la première fois et voit grand pour l'avenir.

 

"Je voudrais que cette année on vole au Bourget", a-t-il dit. "Il faut prouver que cet avion, qui a volé plus de 5.000 heures en essais, est très bon en termes de maturité. Les retours sur les essais sont très bons mais maintenant, il faut voir comment l'avion se comporte dans certains types de mission".

 

"L'objectif à l'exportation, c'est 400 avions dans les 30 prochaines années", a-t-il ajouté.

 

Le besoin urgent qu'a l'armée française d'un avion de transport militaire a été illustré récemment par le conflit au Mali.

 

Paris en a commandé 50 contre 53 pour l'Allemagne, a confirmé le président d'Airbus Military, qui a dit ne pas craindre une contraction de ces commandes malgré les difficultés économiques que traversent les pays de la zone euro.

 

"On n'a aucun signe de changement de commandes d'aucun pays", a-t-il dit, précisant que l'armée allemande devrait recevoir son premier A400M fin 2014.

Airbus Military vise le succès planétaire pour l'A400M
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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 12:40
Un nouvel engin de déminage pour l'armée russe

MOSCOU, 17 mai - RIA Novosti

 

Le ministère de la Défense de la Russie devrait recevoir en 2014 son premier engin de déminage télécommandé UR-07M appelé à succéder aux légendaires UR-77, baptisés par les militaires "Zmeï Gorynytch" (dragon mythique à trois têtes) pour son principe de fonctionnement, écrit le quotidien Izvestia du 17 mai 2013.

 

Le nouveau modèle sera installé sur le châssis du véhicule blindé de combat d'infanterie BMP-3. Equipé d'une charge étendue de déminage UZP-06 et UZP-06D, il pourra se frayer un chemin dans les champs de mines sur un périmètre compris entre 340 et 1 000 mètres de long et de plusieurs dizaines de mètres de large. Sa nouvelle charge est capable de neutraliser tout type de mines.

 

"La charge de déminage est un long câble comportant des explosifs.

 

Le câble est fixé à un propulseur qui l'étend sur plusieurs centaines de mètres. Après le tir, le câble et ses charges tombent sur le sol, ces dernières explosent et détruisent les mines dans un rayon de plusieurs mètres. Au final, en quelques secondes on met en place un couloir de sécurité dans un champ de mines, ce qui permet de faire passer l'infanterie et le matériel. Les démineurs ont besoin d'une journée pour mener à bien une telle opération", a expliqué un officier qui a participé aux essais du UR-07M.

 

L'expert militaire indépendant Alexeï Khlopotov explique que l'armée a particulièrement besoin de ces "dragons" car ils permettent de lutter contre la principale menace passive : les champs de mines.

 

"Ce véhicule est nécessaire pour une grande guerre high-tech, lorsque l'ennemi peut installer des champs de mines à distance grâce à l'aviation et à l'artillerie. A présent, c'est le meilleur moyen de franchir rapidement un champ de mines", assure-t-il.

 

Les charges de déminage à distance sont apparues pour la première fois dans l'armée américaine pendant la Seconde guerre mondiale. Ces engins ont été activement utilisés au Vietnam et en Irak en 1991. Toutefois en 2003, l'armée américaine y avait renoncé en Irak, bien qu'ils aient fait partie des troupes offensives.

 

Aujourd'hui, tous les pays de l'Otan disposent de tels véhicules. Le premier engin de déminage à distance russe UR-67 a été mis en service en 1968.

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:50
photo BAE Systems

photo BAE Systems

16 May 2013 naval-technology.com

 

HMS Astute (S119), the UK Royal Navy's first of seven Astute-class nuclear-powered submarines, has successfully completed its final sea trials in the US, marking readiness for its maiden operational deployment by the end of 2013.

 

During the recent warm water and other trials, the new submarine validated its capability at sea temperatures of 25°C on the principal proving ground of sub-surface warfare, Atlantic Undersea Test and Evaluation Centre (AUTEC) on Andros Island in the Bahamas.

 

Following one of month testing at AUTEC, the submarine sailed to Kings Bay in Georgia, home of the US Navy's Atlantic-based ballistic missile submarines, to prepare for the final trials and stock-up before returning to Clyde.

 

In preparation for its first deployment, the vessel is required to undergo further operational sea training, and will then be handed over for frontline duties.

 

Built by BAE Systems, the vessel can cruise at a submerged speed of 29k, while carrying a crew of 98 and is armed with 36 torpedoes and missiles, including Tomahawk cruise missiles, Spearfish torpedoes and mines with six 533mm torpedo tubes.

 

Powered by a nuclear reactor to operate for 25 years without refuelling, the 93m-long, 11.3m-wide submarine will eventually replace existing Swiftsure and Trafalgar-class vessels.

 

The second submarine of the class, HMS Ambush (S120), is scheduled to be operational in 2014, the third submarine HMS Artful (S121) is yet to undergo final construction phase and the fourth boat, HMS Audacious (S122) is likely to enter service in 2018.

 

The fifth and sixth vessels, HMS Anson (S123) and HMS Agamemnon (S124), are expected to be commissioned in 2020 and 2022 respectively, while construction is due to start on the seventh submarine, HMS Ajax (S125).

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:50
Skeldar V-200

Skeldar V-200

16 May 2013 army-technology.com

 

Saab has successfully conducted flight testing of the Skeldar V-200 vertical lift unmanned aircraft system (UAS) in an effort to demonstrate its critical capabilities at various sites across Sweden and the US.

 

Carried out primarily to demonstrate land and sea-based operations of the UAS during both day and night conditions, the flight testing fully validated its convoy shadowing, use of electro-optical/infrared (EO/IR) sensor, as well as precision landing capabilities.

 

As well as highlighting the platform's ability to perform long-range operations using tactical hand-over between ground control stations (GCS), the fully autonomous flights also verified a heavy fuel engine for the UAS.

 

The upgraded next-generation variant of the original design aviation fuel engine has been delivered and cleared for flight testing, according to the company, which also conducted several customer demonstration flights of the UAS.

 

Saab Tactical UAS product area director Mikael Franzen said: "The combination of two alternative engine types, a modular payload design, and the ability to incorporate and utilise a variety of data link systems, provides a true multi-mission capability for the Skeldar V-200 and a flexibility that enables the customer to successfully meet their mission objectives on land or at sea," Franzen said.

 

The built-in safety functionality of the Skeldar V-200 system confirmed contingency behaviours in an event of link loss, including autonomous navigation in accordance to predefined parameters, as well as auto landing and shutdown during flight tests.

 

Featuring two air vehicles and a mobile UAS control station, the Skeldar V-200 is a medium range vertical takeoff and landing (VTOL) UAS designed for reconnaissance, surveillance and target acquisition (RSTA), light cargo transportation and electronic warfare missions.

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:35
FIRST PHOTOS: First Boeing P-8I Joins Indian Navy

May 15, 2013 by Shiv Aroor - Livefist

 

Navy Statement: Indian Naval Aviation received a major fillip with the arrival of the first of eight Boeing P-8I Long Range Maritime Reconnaissance and Anti Submarine Warfare aircraft at Naval Air Station Rajali, Arakkonam, Tamil Nadu today, 15 may 13. Vice Admiral Bimal Verma, AVSM, Chief of Staff, Eastern Naval Command presided over the event that was attended by Commodore Puneet Bahl, Commanding Officer, INS Rajali, representatives from the Command and Integrated Headquarters, Ministry of defence (Navy) as well.

 

The P-8I aircraft, based on the Boeing 737-800(NG) airframe, is the Indian Naval variant of the P-8A Poseidon that Boeing has developed for the US Navy. The aircraft is equipped with both foreign as well as indigenous sensors for Maritime Reconnaissance, Anti Submarine operations and for Electronic Intelligence missions. The aircraft is fully integrated with state of the art sensors and highly potent Anti Surface and Anti Submarine weapons.

 

These LRMR/ ASW aircraft have been procured under the contract signed in 2009. The IN is in process of acquiring an additional four P-8I aircraft under the option clause. The induction of the P-8I aircraft into the Indian Navy would greatly enhance India's maritime surveillance capability in the Indian Ocean Region.

 

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:25
photo DCNS

photo DCNS

15 mai 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

La marine du Brésil a fait de grands progrès dans la construction de nouveaux sous-marins conventionnels (S-BR1), qui sera construit. Aujourd’hui, 14 mai 2013, les sections avant (S3 et S4) du premier sous-marin de la classe Scorpène ont été embarquées sur le navire marchand “Tracer”, à Cherbourg. Elles sont déjà en route vers Itaguaí, où elles seront assemblées.

 

La construction de ce sous-marin fait partie du programme de développement de sous-marins (PROSUB), qui prévoit la construction de cinq sous-marins, quatre d’entre eux à propulsion classique et un à propulsion nucléaire.

 

Depuis mai 2010, lorsque la construction de la partie avant avait commencé, environ 365 personnes — des fonctionnaires, des ingénieurs, des techniciens et des spécialistes de Nuclebrás Equipamentos Pesados s.a. (NUCLEP) et de constructions navales Itaguaí (ICN) — ont été formés pour être des multiplicateurs de connaissances à ceux qui vont travailler à la construction des sous-marins au Brésil.

 

Progrès en technologie et investir dans le savoir, la marine du Brésil travaille à concrétiser le rêve de la conception et la construction, au Brésil, de son sous-marin à propulsion nucléaire.

 

Référence : Marinha do Brasil (Brésil)

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:20
USS Independence (LCS 2)

USS Independence (LCS 2)

16 May 2013 naval-technology.com

 

Austal has selected General Dynamics (GD) Advanced Information Systems to serve as the platform systems engineering agent (PSEA) in support of littoral combat ships (LCS) 14 and 16 for the US Navy.

 

Under the subcontract, GD will provide a core mission system, which features open architecture computing infrastructure (OPEN CI) for the ships.

 

The OPEN CI provides platform flexibility and enables quick configuration in response to dynamic and emerging mission requirements for the navy.

 

Featuring highly flexible architecture, OPEN CI provides plug-and-play capabilities to quickly integrate new technology into ship systems, and facilitates the integration of commercially available products, quickly and cost-effectively.

 

General Dynamics Advanced Information Systems mission integration systems division vice-president and general manager Mike Tweed-Kent said that the company aimed to ensure that the navy possessed affordable, capable and advanced systems.

 

"This award validates our ability to introduce new innovations quickly and easily using OPEN CI, helping to drive total ownership cost down throughout the LCS lifecycle and enabling interoperability across the fleet," Tweed-Kent said.

 

The LCS programme aims to fill the critical, urgent operational combat requirements gaps currently in the navy for defeating littoral threats and provide access and dominance in coastal waters.

 

General Dynamics is supporting Austal for the LCS programme and responsible for design, integration and testing of the ship's electronic systems for combat, networks, and seaframe control.

 

LCS 14 and 16 are part of the US Navy's $3.5bn contract awarded to Austal to build and deliver an additional ten LCSs in December 2010.

 

Work under the contract will be performed at the company's facilities in Massachusetts, Alabama, Virginia, North Carolina, New Jersey and California.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 15:55
Eurenco fournit l'une des charges modulaires du canon Caesar de Nexter - photo US Army

Eurenco fournit l'une des charges modulaires du canon Caesar de Nexter - photo US Army

14/05/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Avec son rachat par Nexter, le fabricant de poudres et explosifs pour munitions, obus et petits missiles, ne veut pas être considéré uniquement comme un satellite du groupe public d'armement terrestre. Nexter ne représente que 15 % du chiffre d'affaires du groupe Eurenco.

 

L'opération de rapprochement entre les deux groupes publics, SNPE (maison mère d'Eurenco) et Giat Industrie (holding de Nexter), qui va dans le bon sens selon tous les acteurs concernés, nécessite néanmoins quelques ajustements très fins pour que la consolidation de la filière munitionnaire française soit gagnante-gagnante, notamment pour Eurenco. Car Nexter ne représente que 15 % du chiffre d'affaires environ du groupe Eurenco, qui a réalisé, selon nos informations, 248 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012 (plus de 1.000 salariés). "Les besoins de Nexter ne sont pas suffisants pour faire vivre Eurenco", explique-t-on à "La Tribune". Cette acquisition permettra au groupe d'armements terrestres de sécuriser son approvisionnement en poudres et explosifs (Eurenco lui vend environ 30 % de sa production) en internalisant la fourniture des composants essentiels pour ses munitions.

 

Ce contexte économique et stratégique a donc été pris en compte dans la rédaction du communiqué publié lundi. Il précise que "cette opération devrait permettre de regrouper, au sein d'une même entité et dans le respect de leurs stratégies, de leurs clients et de leurs marchés respectifs, les activités complémentaires des deux groupes". C'était la volonté de SNPE de protéger l'activité d'Eurenco. "Nous ne voulons pas devenir une société de poudres que pour le compte de Nexter", fait-on valoir dans le groupe SNPE.

 

Eurenco exporte 60 % de sa production

 

Pas question donc qu'Eurenco, qui se partage par exemple les charges modulaires du canon tracté Caesar de Nexter avec le groupe suisse Nitrochemie (groupe Rheinmetall), soit considéré que comme un "satellite de Nexter". Ce qui lui ferait perdre des marchés. Car Eurenco, selon nos informations, exporte environ 60 % environ de sa production, en dehors des pays où la filiale de SNPE est implantée. Elle a cinq usines de production modernes en Belgique (Clermont), en Finlande (Vihtavuori), en France (Bergerac et Sorgues) et en Suède (Karlskoga) et a ouvert un bureau commercial à Washington ainsi qu'une société de distribution à Houston.

 

Enfin, Eurenco devrait régler le dossier de Vihtavuori, dont le site a perdu près de 4 millions d'euros en 2012. Tout en poursuivant les discussions pour une éventuelle reprise du site avec les autorités finlandaises, la filiale de SNPE a lancé en parallèle une procédure de licenciement des salariés de Vihtavuori en vue d'une fermeture éventuelle. Une mesure qui pourrait éviter à Eurenco des discussions à l'infini pour la reprise du site.

 

Vers une consolidation européenne

 

La consolidation de la filiale munitionnaire pourrait être un premier pas vers un mouvement européen. Eurenco, qui avait entamé des discussions très amont avec Nitrochemie. De son côté, le PDG de Nexter n'est pas hostile à une telle opération. Philippe Burtin aimerait pouvoir rapprocher Eurenco de son rival Nitrochemie, une coentreprise détenue par l'allemand Rheinmetall et le suisse Ruag. Car selon lui, il ne peut pas y avoir deux fournisseurs européens de cette taille sur un marché aussi restreint.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:50
L'Allemagne renonce à une commande de drones Euro Hawks d'une valeur de plus de 1 milliard d'euros

15/05 Par Bruno Trevidic – LesEchos.fr

 

Nouveau revers pour les activités drones d'EADS, déjà très compromises après l'échec du programme Talarion. Berlin a annoncé hier l'annulation d'une commande de cinq drones Euro Hawks, d'une valeur de plus de 1 milliard d'euros. Bien que fabriqués par l'américain Northrop Grumman, ces drones de haute altitude dédiés à la surveillance électronique devaient être reconfigurés par le groupe européen.

 

Un premier appareil avait été livré à l'Allemagne, qui a déjà dépensé 508 millions d'euros sur ce programme. Berlin explique sa décision par l'impossibilité d'obtenir la certification des autorités aériennes européennes. Une explication peu convaincante. Mais, quoi qu'il en soit, ce nouvel abandon enlève à Cassidian, la branche défense d'EADS, le peu de commandes qui lui restaient dans les drones.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:40
Défense : la Russie a conçu un missile antichar autoguidé

MOSCOU, 16 mai - RIA Novosti

 

Le bureau d'étude de Toula a conçu une nouvelle version du missile antichar Kornet, capable d'anéantir des cibles en régime automatique comme l'américain Javelin et l'israélien Spike, écrit le quotidien Izvestia du 16 mai 2013.

 

Jusqu'à présent, les missiles russes devaient être guidés manuellement vers leur cible. Le nouveau système fonctionne sur le principe " tire et oublie" (fire and forget), mais l'opérateur pourra modifier la trajectoire du projectile si besoin.

 

Le ministère de la Défense russe reste sceptique quant à cette nouveauté : il estime que sa construction et ses performances sont obsolètes.

 

"Le missile n'est pas autoguidé en vol comme celui des Américains mais il est contrôlé à partir du système de lancement. Autrement dit, ce n'est pas une troisième génération de missile antichar mais "2+". Le fait que la commande ne soit pas lancée par l'opérateur mais par le lance-missile ne change rien. Détruisez le lance-missile et le missile tombera", explique un officier de l'armée de terre proche du dossier.

 

Cependant, les constructeurs expliquent qu'ils ont sciemment installé le système de guidage sur le lance-missile et non pas sur le missile.

 

"Trois chars passent. Vous en abattez un. Il est en feu et devient une puissante source de chaleur. Par conséquent, tous les autres missiles à ogive thermique, comme Javelin, réagiront à cette puissante source de chaleur. Et l'opérateur ne pourra plus corriger la visée du missile. Or notre système frappe précisément sur la marque placée par l'opérateur", explique un ingénieur.

 

De plus, le système d'autoguidage situé dans l'ogive du missile représente pratiquement 90% de son prix et "périt" avec le missile. Or le système de guidage du Kornet reste dans le lance-missile.

 

Par conséquent, la version russe est meilleur marché que les missiles américain ou israélien.

 

"Ces derniers coûtent près de 120 000 dollars pièce alors que les russes sont 6 à 7 fois plus économiques", souligne-t-il.

 

Il ajoute que le nouveau missile peut abattre non seulement des chars et des véhicules blindés mais aussi des hélicoptères et des avions volant à plusieurs centaines de mètres d'altitude. Les missiles existent également dans une version portative et peuvent ainsi être installés sur des véhicules blindés.

 

Viatcheslav Tselouïko, expert militaire indépendant, note que les concepteurs occidentaux mettent aujourd'hui au point leurs missiles avec des ogives autoguidées équipées de systèmes de contrôle à distance.

 

"L'expérience irakienne, libanaise et afghane montre qu'on tire plus souvent avec les missiles antichars sur les bâtiments, les positions renforcées et les refuges que sur les chars. L'ogive autoguidée est inutile pour ce genre de cibles : elle ne les voit pas. Pour cette raison Javelin et Spike ont été dotés d'une visée multiple afin que l'opérateur puisse librement choisir et atteindre toute cible indépendamment du fonctionnement de l'ogive autoguidée", déclare Tselouïko.

 

Le rédacteur en chef du site Otvaga-2004, Vitali Moïsseev, pense que le Kornet pourrait devenir une arme de transition avant l'apparition de missiles antichars autoguidés.

 

"Il faut indéniablement doter les troupes de nouveaux missiles. Ce serait une version de transition avant un missile de troisième génération à part entière. Pour l'instant il remplacera les missiles obsolètes de deuxième génération Metis, Fagot et Kornet", remarque-t-il.

 

Le premier missile antichar de troisième génération a été l'américain Javelin, conçu au début des années 1990 et mis en service dans les forces américaines en 1996. Il a été activement utilisé par les troupes américaines en Irak et actuellement en Afghanistan. Plus de 10 pays, dont la Géorgie, en disposent.

 

Le nouveau Kornet est aujourd'hui en phase d'essais, qui devraient s'achever fin 2013.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:35
Agreement reached by Australia and Sweden in relation to Submarine Technology

16 May 2013 Pacific Sentinel

 

Minister for Defence Stephen Smith today welcomed the agreement reached by Australia and Sweden in relation to Intellectual Property rights for submarine design and technology. 
 
Following extensive negotiations between the Defence organisations of the two countries, I am confident that this agreement will pave the way for Swedish involvement in Australia’s Future Submarine Program and also assist Australia with the ongoing sustainment of the Collins Class fleet. 
 
This agreement gives effect to Australia’s rights to use and disclose Swedish Intellectual Property rights for complex submarine design and technology. 
 
Defence materiel cooperation has been a key feature of the Sweden-Australia relationship, most notably in the area of submarine technology where our collaboration over the construction and support of the Collins submarines has spanned two decades, and more recently, with the vital ‘sense and warn’ capability provided to protect our troops in Afghanistan.  This mutually beneficial relationship is expected to continue into the future. 
 

 

The Australian Government had previously announced it was considering four broad options for a fleet of Future Submarines to replace the current Collins Class fleet that is in service with the Royal Australian Navy.  The 2013 Defence White Paper released on 3 May has focussed future work on two of these options, namely: 
 
- An evolved design that enhances the capabilities of existing off-the-shelf designs, including the Collins Class; and
 
- An entirely new developmental submarine.  
 
In May 2012, the Australian Government announced it would engage Swedish ship designer and builder Kockums AB, the original designer of the Collins Class submarine, to undertake initial design studies for the evolved Collins.   
 
An evolved design would build on the high level of capabilities of the existing Collins Class submarine design, address known deficiencies and obsolescence issues and provide potential capability enhancements. 
 
A precursor to this engagement with Kockums AB, was the need to reach agreement with Sweden on the use of Collins Class Submarine Technology for the Future Submarine Program, and also to agree a framework and principles for the negotiation of Intellectual Property rights for Australia to be able to utilise other Swedish submarine technology for the Future Submarine Program, if Australia decides to proceed with an evolved Collins solution.  
 
The ability for Australia to utilise Swedish submarine technology is a critical element not only of the work on the Future Submarine Program, but also in addressing the continuing challenges with the maintenance and sustainment of the Collins Class fleet through to the end of their service life.  This new agreement replaces the Commonwealth’s existing rights as established by the licence agreement struck in June 2004. 
 
The ability for Sweden to ensure that any arrangement did not compromise its sovereignty and ensured compliance with export control and security legislation was also paramount in the negotiated outcome. 
 
I acknowledge that the respective agencies responsible for the acquisition and support of military equipment, the Australian Defence Materiel Organisation (DMO) and the Swedish Defence Materiel Administration (FMV) have worked hard to reach a satisfactory agreement on these complex Intellectual Property and submarine technology matters.
 
I welcome the agreement and look forward to continuing close cooperation between our two countries.
 
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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:30
Moscou pousse son avantage sur le dossier syrien

14/05/2013 Par Isabelle Lasserre – LeFigaro.fr

 

L'intransigeance de Vladimir Poutine, qui envisage de fournir des missiles sol-air à Damas, en fait un acteur clé de la crise.

 

 

Après l'Américain John Kerry et le Britannique David Cameron, le premier ministre israélien a fait le voyage à Moscou mardi pour tenter d'infléchir la politique russe vis-à-vis de la Syrie. Au président Vladimir Poutine, qui l'a reçu dans sa datcha de Sotchi, Benyamin Nétanyahou était venu demander qu'il renonce à livrer des missiles sol-air S-300 au régime de Bachar el-Assad. Ces armes sophistiquées, d'une portée de 200 kilomètres, sorte d'équivalent russe du Patriot américain, sont capables d'intercepter en vol des missiles téléguidés ou des avions. Elles ont fait l'objet d'un contrat de 900 millions de dollars signé en 2010 entre Moscou et Damas.

 

Leur installation en Syrie aurait un impact sur le rapport de forces entre le régime et les rebelles, en privant Israël de sa supériorité aérienne dans la région. Elle contrecarrerait les velléités des Américains et de leurs alliés de mener des frappes aériennes contre les forces du régime s'ils le décidaient, aussi bien que d'instaurer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie ou d'intervenir pour sécuriser ou démanteler les stocks d'armes chimiques. Ce sont sans doute toutes les raisons pour lesquelles le Kremlin, qui a dégainé plusieurs fois son veto pour empêcher l'adoption de résolutions contraignantes du Conseil de sécurité de l'ONU sur la Syrie, pousse la livraison des missiles.

 

L'inaction des États-Unis

 

Les S-300, outre qu'ils rapportent de l'argent à l'État, sont un moyen pour les dirigeants russes de s'opposer aux États-Unis et de revenir sur la scène internationale. Un levier dont ils ont déjà usé par le passé, en menaçant un temps d'équiper Téhéran de missiles sol-air pour contraindre Washington à abandonner son projet de bouclier antimissile en Europe.

 

En protégeant Bachar el-Assad depuis le début de la guerre, Vladimir Poutine a contraint les puissances qui cherchent à rétablir la paix en Syrie à visiter Moscou. Washington, Londres, Tel-Aviv… Même le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a programmé son voyage dans la capitale russe. En moins de deux ans, en s'opposant aux tentatives occidentales d'imposer une action unie pour stopper la guerre, Moscou s'est imposé comme une étape incontournable sur les grands dossiers d'actualité. Le Kremlin s'est même associé à la Maison-Blanche pour proposer, la semaine dernière, l'organisation d'une conférence internationale sur la Syrie.

 

L'inaction des États-Unis vis-à-vis d'une guerre civile qui a fait 80.000 morts en deux ans a entraîné un vide politique sur le dossier. Celui-ci a été prestement rempli par Vladimir Poutine et son ministre des Affaires Étrangères, Sergueï Lavrov, qui ont ainsi gagné en prestige sur la scène politique intérieure. Les experts russes doutent cependant que Moscou ait une réelle influence sur le régime syrien. «Le Kremlin prend ses désirs pour des réalités», commente l'un d'entre eux dans le journal Kommersant.

 

Si Moscou ne renonce pas, Israël sera tentée de détruire les missiles

 

Vladimir Poutine et Benyamin Nétanyahou n'ont pas rendu public le résultat de leurs discussions concernant les S-300. Le président russe s'est contenté d'affirmer qu'il fallait «éviter tout acte pouvant déstabiliser la situation». À Moscou, le secrétaire d'État américain, John Kerry, avait estimé que les livraisons de missiles étaient «potentiellement déstabilisatrices» pour la région. Nul doute que, vues du Kremlin, les récentes frappes aériennes israéliennes visant à empêcher le transfert d'armes sophistiquées au Hezbollah libanais allié du régime de Bachar l'étaient tout autant. Elles pourraient cependant se reproduire. Si Moscou ne renonce pas à fournir les quatre batteries de missiles S-300, l'aviation israélienne sera tentée de les détruire avant qu'elles ne soient installées. Comme souvent, les ballets diplomatiques et les bras de fer entre puissances se jouent très loin des intérêts des Syriens…

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:30
Turkish firm to market Nimr military vehicles

16 May 2013 Haseeb Haider - khaleejtimes.com

 

Nimr Automotive, a part of Tawazun Group, has signed an agreement with a Turkish firm to market, and possibly produce armoured vehicles in Turkey.

 

The Abu Dhabi-based firm, which is known for manufacturing military vehicles, has signed a cooperation agreement with FNSS Savunma Sistemleri, a leading manufacturer and supplier of armoured combat vehicles and weapon systems for the Turkish Armed Forces and Allied Armed Forces.

 

The agreement will allow the two companies to work together to set up a project, which will pave the way for FNSS to market, sell and possibly produce Nimr vehicles in Turkey for the Turkish market.

 

The agreement was signed last week on the sideline of the 11th International Defence Industry Fair (IDEF 2013) in Istanbul by Nimr Automotive general manager Mohamed Musabah Al Mazrouei and general manager and chief executive of FNSS Defence Systems Kadir Nail Kurt.

 

Saif Mohamed Al Hajeri, chief executive officer of Tawazun, Murad Bayar, Undersecretary of Defence Industries at the Turkish Defence Ministry, and a number of high ranking UAE and Turkish officials were also present on the occasion.

 

After the signing ceremony, Al Hajeri said his company will be working with FNSS on identifying new business opportunities and joint development and production programs in both the UAE and Turkey. He said the agreement will certainly help cement “our long-standing and fruitful cooperation with the leading defence manufacturing companies in Turkey.”

 

Mohamed Al Mazrouei described the agreement as “culmination of the long standing cooperation between the UAE and Turkey.”

 

“The agreement provides a solid basis for a long-term cooperation and exchange of expertise between Nimr and FNSS and allows them to complement each other’s capabilities and resources in the fields of military vehicles manufacturing,” he added.

 

Tawazun is a strategic investment firm focused on the long-term development of UAE’s industrial manufacturing and technology capabilities and knowledge-transfer with a specific focus on the defence sector.

 

Established in 2007 by Tawazun Economic Council, Tawazun’s mission is to develop profitable ventures through industrial partnerships and strategic investments that add to the country’s industrial manufacturing layer in the areas of defence, defence manufacturing and manufacturing technology.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:30
northropgrumman.com

northropgrumman.com

May 16, 2013 ASDNews Source : Defense Security Cooperation Agency

 

The Defense Security Cooperation Agency notified Congress May 14 of a possible Foreign Military Sale to Qatar for two AN/AAQ-24(V) Large Aircraft Infrared Countermeasures (LAIRCM) Systems and associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $110 million.

 

The Government of Qatar has requested a possible sale of 2 AN/AAQ-24(V) Large Aircraft Infrared Countermeasures (LAIRCM) Systems for B747-800 Aircraft, 11 Small Laser Transmitter Assemblies, 3 System Processors/Repeaters, 14 AN/AAR-54 Missile Warning Sensors, User Data Module Cards and Control Interface Units, Multi-role Electro-Optic End-to-End test set, Card Memory, Smart Cards, and Support Equipment, Consumables, and Flight Test/Certification. Also included are tools and test equipment, support equipment, spare and repair parts, publications and technical documents, personnel training and training equipment, U.S. Government and contractor technical assistance, and other related elements of logistics and program support. The estimated cost is $110 million.

 

This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by helping to improve the security of a friendly country which has been, and continues to be, an important force for political stability and economic progress in the Middle East.

 

Qatar requests these capabilities to provide for the protection of its head-of-state aircraft fleet. LAIRCM will provide increased protection from missile threats. The proposed purchase of LAIRCM will enhance the safety of Qatar's political leadership, promoting stability and global engagement of a friendly country.

 

The proposed sale of this equipment and support will not alter the basic military balance in the region.

 

The prime contractor will be Northrop Grumman Corporation of Rolling Meadows, Illinois. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale.

 

Implementation of this proposed sale will require U.S. Government or contractor representatives to travel to Qatar for a period of 10 years to provide program and technical support and training.

 

There will be no adverse impact on U.S. defense readiness as a result of this proposed sale.

 

This notice of a potential sale is required by law and does not mean the sale has been concluded.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:25
iRobot Wins $7.2 M Tender from Brazil to Provide Defense & Security Robots

May 16, 2013 ASDNews Source : iRobot Corporation

 

iRobot Corp. (NASDAQ: IRBT), a leader in delivering robotic technology-based solutions, has won contracts totaling $7.2 million from the Brazilian government to provide iRobot 510 PackBot robots, spares and associated equipment through December 2013.

 

“iRobot continues its international expansion, and Brazil represents an important market for the company’s unmanned ground vehicles,” said Frank Wilson, senior vice president and general manager of iRobot’s Defense & Security business unit. “iRobot is excited to be providing the company’s state-of-the-art robotic technologies to Brazil as the country prepares for several high profile international events, including the 2014 FIFA World Cup.”

 

iRobot has delivered more than 5,000 robots to military and civil defense forces worldwide. The company’s tactical mobile robots perform multiple missions for troops and public safety professionals, enhancing situational awareness, reducing risk and increasing mission success.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:20
Navy Accepts Delivery of USNS Montford Point

May 16, 2013 ASDNews Source : US Navy

 

The Navy accepted delivery of the first Mobile Landing Platform, USNS Montford Point (MLP 1), from General Dynamics-NASSCO, May 14, in San Diego, Calif.

 

The Mobile Landing Platform is a new class of ship and highly flexible platform that will provide capability for large-scale logistics movements such as the transfer of light and heavy vehicles and equipment from sea to shore.

 

"MLP-1 has gone from concept to delivery in under five years, a remarkable feat reflecting the diligent work of the Navy and shipbuilding team from design through testing and trials," said Capt. Henry Stevens, PEO Ships' program manager for strategic and theater sealift. "With its open, reconfigurable mission deck, USNS Montford Point will deliver innovation and exceptional flexibility to future Fleet operations."

 

Delivery of Montford Point represents the official transfer of the ship from the shipbuilder to the Navy and is a major milestone in the ship's transition to operational status. Delivery follows the successful completion of Acceptance Trials, evaluating the ship's major systems and equipment.

 

Named in honor of the 20,000 African-American Marine Corps recruits trained at Montford Point Camp, N.C., MLP-1 is a modular, adaptable platform that may be used across a broad range of military operations supporting multiple operational phases. Acting as a mobile seabase, MLP will be part of the critical access infrastructure that supports the deployment of forces and supplies to provide prepositioned equipment and supplies with flexible distribution.

 

The 83,000 ton, 785-foot ship will leverage float-on/float-off technology, allowing Montford Point to partially submerge, facilitating easy movement of cargo and craft. Additionally, the ship's size allows for 25,000 square feet of vehicle and equipment stowage space and 380,000 gallons of JP-5 fuel storage. MLP-1 has a maximum speed of 15 knots and range of 9500 nautical miles.

 

Following delivery, the ship will undergo test and trials period to install and incorporate the ship's Core Capabilities Set (CCS) in Portland, Ore. The CCS includes modules that support a vehicle staging area, sideport ramp, large mooring fenders and up to three landing craft air cushioned (LCAC) vessel lanes. With this set of capabilities, MLP-1 is able to easily transfer personnel and vehicles from other vessels such as the large, medium-speed, roll-on/roll-off ships (LMSRs) onto LCAC vehicles and transport them ashore.

 

The ship is owned by U.S. Navy's Military Sealift Command (MSC) and operated by a 34-person civilian-mariner crew under contract to MSC. The Navy plans to integrate an MLP into each of MSC's Maritime Prepositioning Ship Squadrons. These ships, coupled with a maritime prepositioning force (MPF), auxiliary dry cargo/ammunition ship (T-AKE) and legacy platforms, provide a first step in crafting a sea-based capability and illuminating future seabasing requirements.

 

MSC operates approximately 110 non-combatant, civilian-crewed ships that replenish U.S. Navy ships, conduct specialized missions, strategically preposition combat cargo at sea around the world and move military cargo and supplies used by deployed U.S. forces and coalition partners.

 

As one of the Defense Department's largest acquisition organizations, PEO Ships is responsible for executing the development and procurement of all destroyers, amphibious ships, special mission and support ships, and special warfare craft. Delivering high-quality war fighting assets - while balancing affordability and capability - is key to supporting the Navy's Maritime Strategy.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:55
Cherbourg construira six sous-marins

15 mai 2013 Gilles COLLAS – Ouest-France

 

L'activité industrielle militaire de Cherbourg est suspendue aux décisions du Livre blanc de la Défense. Le ministre s'est montré rassurant pour le long terme. Moins pour l'immédiat.

 

Dans un entretien accordé à Ouest-France, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a confirmé que six sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire de type Barracuda seront construits à Cherbourg.

 

Jusqu'ici, l'État ne s'était engagé de façon ferme que pour trois unités, dont la construction a déjà démarrée, avec la quasi-certitude qu'une quatrième unité serait commandée. Ces Barracuda doivent remplacer les sous-marins de type Rubis dont six unités ont été construites à Cherbourg par DCN (l'ex-DCNS) pour la Marine française.

 

À Cherbourg, l'annonce n'a suscité aucune réaction. Premier concerné, le constructeur DCNS a refusé de s'exprimer. « On attend les conclusions fermes et définitives du Livre blanc sur le sujet, en octobre. On n'en dira pas davantage », répond le service de presse. Les syndicats n'ont pas réagi à chaud, gardant leur salive pour de prochaines manifestations.

 

Le premier sera livré en 2017

 

Alors que DCNS dispose d'un carnet de commandes lui assurant cinq ans d'activité, CGT, CFDT, FO et Unsa dénoncent, eux, depuis des mois une politique de réduction des effectifs, de développement de la sous-traitance. Politique qu'ils jugent en contradiction avec les objectifs affirmés par le PDG de DCNS, Patrick Boissier, de relocalisation en France d'un maximum d'activités.

 

Les chiffres donnent raison aux syndicats pour l'instant. Les effectifs de DCNS (l'ancien arsenal) sont passés de 6 000 à 2 375 personnes en deux décennies.

 

Cette absence de réaction au propos ministériel tient aussi au fait que personne n'en est dupe. À une échéance aussi lointaine : la livraison du 1er Barracuda est prévue en 2017, celle du 4e devait avoir lieu initialement en 2023.

 

Jean-Yves Le Drian ne sera plus ministre de la Défense lorsque l'État devra faire le chèque de ces deux unités supplémentaires. Ce qui est d'abord retenu, c'est la confirmation d'un ralentissement immédiat de l'activité. Mais le ministre s'est engagé à ce qu'il n'y ait « aucune rupture de la chaîne de production et aucune rupture de capacités des bureaux d'étude ».

 

Alors que DCNS voit son plan de charge assuré dans la durée, un autre constructeur cherbourgeois n'a plus rien à faire. Les Constructions mécaniques de Normandie, ont mis une partie de leur personnel (près de 400 personnes) en chômage technique, faute de commande. Le PDG du chantier, Pierre Balmer, a plaidé à plusieurs reprises auprès d'Arnaud Montebourg pour un accompagnement de ce chantier privé par la commande publique, comme le fait l'État allemand. Pour le moment, il n'a pas été entendu.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

15/05/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Piriou et DCNS créent Kership, une société commune visant à constituer à terme un leader mondial des navires destinés à l'action de l'Etat en mer. Le groupe naval militaire va prendre 45 % de leur entreprise commune, le chantier civil 55 %.

 

Piriou et DCNS viennent de créer Kership, une co-entreprise dans le domaine des navires aux standards civils destinés à l’action de l’Etat en mer, ainsi que l'avait annoncé lundi La Tribune. "Ce projet s’inscrit dans les stratégies de croissance respectives des deux entreprises en élargissant leurs marchés accessibles", a expliqué le communiqué commun publié ce mercredi. Kership est dès à présent opérationnelle.

 

Détenue par Piriou et DCNS à respectivement 55 % et 45 %, Kership est une société anonyme par actions simplifiées dotée d'un conseil de surveillance à parité de représentation des deux partenaires. La prise de participation de DCNS au capital de la société commune s'élevera à 2,25 millions d'euros. La société est dirigée par Patrick de Leffe, jusqu’à présent directeur de l'audit et des risques de DCNS et qui avait notamment été de 1999 à 2008 directeur de l’ingénierie de ce groupe. Le siège social est basé à Concarneau. DCNS a réalisé a enregistré en 2012 une hausse de plus de 10 % de son chiffre d'affaires à 2,9 milliards d'euros, et de son résultat opérationnel à 209 millions (13.200 salariés). Piriou, qui a livré à ce jour 387 navires, a enregistré l'an denrier un chiffre d'affaires de 122 millions d’euros (près de 1.000 salariés)

 

Créer un leader mondial

 

Dotée d'une structure légère destinée à préparer les offres, piloter la réalisation des contrats et assurer la maîtrise d’œuvre industrielle, cette nouvelle société exerce ses activités sur les marchés français et internationaux. Piriou et DCNS conservent en propre leurs moyens industriels, logistiques et d’ingénierie sur lesquels Kership s’appuiera. « L’ambition de Piriou et DCNS est de créer un leader mondial dans les navires aux standards civils essentiellement destinés à l’action de l’Etat en mer (garde-côtes, police, gendarmerie, douanes…) en faisant jouer leurs complémentarités industrielles. Kership bénéficie de l’expérience de DCNS sur les marchés du naval de défense et de celle de Piriou dans les navires aux standards civils », a estimé Patrick de Leffe. Piriou et DCNS bénéficient déjà d’une expérience commune réussie dans le cadre de la construction de l’OPV Gowind L’Adroit réalisé sur fonds propres en 2010-2011 par DCNS.

 

Selon le directeur de la division Systèmes Navals de Surface de DCNS, Pierre Legros, « la création de Kership va permettre de proposer des offres attractives sur le marché en croissance des navires faiblement armés réalisés selon des standards civils. La vente de ces bâtiments destinés à l’action de l’Etat en mer permettra à DCNS de nouer des relations avec des nouveaux clients susceptibles d’acquérir ensuite des navires plus fortement armés (corvettes, frégates…). Kership offre donc une double opportunité de croissance pour DCNS ».

 

Piriou a déjà une expérience dans la défense

 

Dans le domaine de la défense, le chantier naval de Concarneau entretient des navires de la Marine nationale depuis 2005 et a obtenu fin 2010 un contrat de MCO (Maintien en conditions opérationnelles) sur 10 ans pour la remotorisation et la maintenance des 10 bâtiments de formation, avec obligation de résultat en termes de disponibilité. Piriou construit également l’ALMAK, un Batiment de Formation Maritime de 44 mètres, destiné à la société française DCI (Défense Conseil International) et qui sera livré en septembre 2013.

 

Le PDG de Piriou, Pascal Piriou, souligne dans el cadre de la création de Kership que « nous nous allions avec beaucoup de fierté à l’un des tous meilleurs du secteur défense au niveau mondial. La mise à disposition de nos moyens respectifs au service de KERSHIP va nous permettre de prendre pied sur le marché de l’action de l’Etat en mer, très complémentaire du reste de nos activités, où notre expérience des normes civiles, nos implantations à l’étranger et, je crois, notre dynamisme, font de Piriou le bon partenaire pour DCNS".

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:45
Togo, Senegal and Libya order French patrol boats

13 May 2013 by defenceWeb

 

The navies of Togo, Senegal and Libya have ordered patrol boats from Raidco Marine and will take delivery in the coming months.

 

Senegal’s 33 metre long RPB 33 offshore patrol vessel will be launched on June 15 and delivered to the Senegalese Navy around August-September, according to the manufacturer. Construction began last year.

 

The RPB 33 was designed for maritime patrol and dealing with things like terrorism, trafficking, illegal fishing and illegal immigration. A notable feature of the RPB 33 is a panoramic bridge allowing 360 degree surveillance. Weapons options include a 20 mm cannon.

 

Senegal has apparently also ordered a Raidco 45 metre long offshore patrol vessel, for delivery in September 2014. This will have an endurance of ten days and a range of 2 000 nautical miles. It will be able to launch two small boats. In October 2012 Senegal ordered four FPB 98 Mk I patrol boats from OCEA.

 

Meanwhile, Togo has ordered two RPB 33s, for delivery in March and July 2014. They will be constructed of glass fibre reinforced composites, with an aluminium superstructure.

 

Another recent Raidco customer from Africa is Libya, which ordered two Raidco Marine RPB 20 boats, which will be delivered to the Navy on April 26. As part of the deal, Raidco is training 32 Libyan sailors (including four officers) as well as maintenance and other personnel in Lorient. They will remain in France for a month before sailing for Libya.

 

The RPB 20 series is 20 metres long, has a top speed of 28 knots (thanks to its double-chine deep-V hull) and can launch a small boat.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:35
MHOV 8x8 Heavy Truck

MHOV 8x8 Heavy Truck

16 May 2013 Pacific Sentinel
 
Defence Minister Dr Jonathan Coleman today announced the purchase of 200 new trucks for the New Zealand Defence Force.
 
In a $135 million project, the government is purchasing Rheinmetall- MAN military vehicles to replace the old NZDF Unimog and heavier Mercedes trucks.
 
“The new NZDF medium and heavy trucks will carry more people and equipment, and will be fitted with armour and weapons to protect the crew, allowing them to function effectively in modern military environments,” said Dr Coleman.
 
“The same military vehicles are being purchased by the United Kingdom and we have bought them at a great price by purchasing off the same production line as the Brits, achieving an economy of scale.”
 
“The total cost for the trucks from the production line is $113 million.  The remaining balance of the project costs includes armour protection kits; weapons mounts; personnel modules and a range of specialised military equipment,” he said.
 
“It also covers spares, logistic support arrangements, and extensive training packages.”
 

 

“The arrival of all the new trucks by the end of 2014 will mean the NZDF can begin working up to a future operational capability which will be a huge step forward in technology and protection from the current fleet.” 
 
“The government’s defence policy is all about investment in the front line and these new trucks are a great example of that,” said Dr Coleman.
 
“These new trucks are part of an ongoing programme of equipment upgrades, including modernisation of the ANZAC frigates,  replacement helicopters for the Navy, and getting our upgraded Orions and Hercules fully into service.”
 
Key Facts:

 

  • The trucks will be used across the whole NZDF.
  • Three sizes of truck will be purchased: 6 tonne 4x4, 9 tonne 6x6 and 15 tonne 8x8.
  • The 6 tonne trucks have 240Kw engines, while the 6x6 and 8x8 variants have 324Kw engines. All engines are Euro 4 emissions compliant, which is the highest level that still allows efficient operations even if the fuel is of lower quality (such as might be found on operations).
  • All trucks are fitted with high capacity electrical systems to future proof them for developments in communications and other electronic systems. They are all fitted with air conditioning to maximise crew efficiency in a wide range of temperatures..
  • Variants to be purchased include trucks fitted with winches and cranes to allow completely independent operations, dump trucks, trucks fitted with specialised pallet and container handling equipment, and tractor/semi-trailer combinations to carry heavy vehicles and equipment.
  • Specific components, including semi-trailers and dumper bodies, will be made in New Zealand.
  • Although the trucks meet military requirements, over 80% of their components are used by civilian MAN vehicles. This commonality will allow for readily available maintenance support to the vehicles.
  • Five training vehicles are arriving soon and will allow drivers and mechanics to train and qualify on the vehicles prior to the main fleet arriving.

 

 
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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:35
Boeing Awards Additional V-22 Contract to Australia's Lovitt Technologies
Sydney, May 16, 2013 - Pacific Sentinel
 
Sydney, May 16, 2013 - Boeing [NYSE: BA] has reinforced its commitment to Australian industry by awarding Lovitt Technologies Australia a new contract to supply subassemblies for the Bell Boeing V-22 Osprey tiltrotor aircraft.
 
Boeing has issued contracts totaling more than US$285 million to highly skilled Australian companies over the past five years through the Boeing Office of Australian Industry Capability (OAIC).
 
“Boeing is part of the fabric of the Australian defence and aerospace industry,” said Ian Thomas, president of Boeing Australia & South Pacific. “We’ve been building aircraft components in Australia, and working with local industry partners, for more than 85 years. This contract continues that heritage into the future.”
 
Lovitt, based in Melbourne, has been manufacturing subassemblies and other parts for the V-22 since 2012.
 
 
"This new contract is evidence that we have successfully demonstrated our capabilities to the V-22 program,” said Marcus Ramsey, managing director of Lovitt Technologies. “Through our partnership with the Global Supply Chain Program and Boeing, we are seeing more opportunities and winning more work."
 
The Australian government-funded OAIC partners with the Defence Materiel Organisation through the Global Supply Chain Program to match the needs of Boeing and its key suppliers with the capabilities of Australian industry. The OAIC mentors and trains small-to medium-sized Australian enterprises in areas including Lean manufacturing, quality management systems, and specialised manufacturing and machining skills, as well as business management.
 
Lovitt Technologies Australia is a provider of precision-machined components, parts and assemblies to customer design and specifications, particularly within the aerospace and defence industries.
 
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