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5 juin 2015 5 05 /06 /juin /2015 07:20
USS Virginia (SSN-774) - photo US Navy

USS Virginia (SSN-774) - photo US Navy

 

GROTON, Conn., June 4, 2015 /PRNewswire

 

The U.S. Navy has awarded General Dynamics Electric Boat a $6.5 million contract modification to support development of the Virginia Payload Module (VPM). Electric Boat is a wholly owned subsidiary of General Dynamics (NYSE: GD).

 

The VPM will comprise four large-diameter payload tubes in a new hull section to be inserted in Virginia-class submarines. The section will extended the hull by 70 to 80 feet and boost strike capacity by 230 percent while increasing the cost by less than 15 percent.

 

This modification is part of an overall engineering contract supporting the Virginia Class Submarine Program. The contract was initially awarded in 2010 and has a potential value of $965 million.

 

More information about General Dynamics is available at www.generaldynamics.com.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 18:55
2014: une bonne année pour l'export défense

La France, dès début 2015, a signé plusieurs contrats pour la vente de Rafale. photo Ministère de la Défense

 

03/06/2015 par Justine BOQUET – Air & Cosmos

 

Début juin est paru le rapport au Parlement 2015 sur les exportations d'armement en France. 2014 fût une très bonne année. Ainsi comme l'a déclaré Jean-Yves Le Drian « avec 8,2 milliards d'euros, les prises de commandes de l'industrie françaises progressent de 18% par rapport à 2013 ».

 

En effet, au regard de l'évolution des prises de commandes françaises depuis 2005, on remarque une hausse continue depuis 2012. Le résultat 2014 « est le meilleur jamais enregistré par ce secteur », avec une forte augmentation de la part des contrats supérieurs à 200 millions d'euros.

 

Avec 5 735 millions d'euros de commandes passées, la région proche et moyen-orient représente le plus gros client de la France en 2014. Il faut dire que l'Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis et le Qatar ont vu leurs acquisitions explosées depuis 2013. Ils sont respectivement le 1er, 4ème et 15ème client export de la France sur la période 2005-2014.

 

Toutefois le commerce intra-européen est toujours autant florissant, l'UE ayant passée – l'année dernière – pour plus de 300 millions d'euros de commandes à la France. Le Royaume-Uni, l'Espagne et l'Allemagne sont, quant à eux, les 8è, 17è et 19è principaux clients de la France sur la même période.

 

Enfin le continent asiatique représente un potentiel de vente intéressant, avec 981,2 millions d'euros de commandes passées. On retrouve parmi les clients majeurs de Paris l'Inde (n°2), la Malaisie (n°7), Singapour (n°9), l'Indonésie (n°11), la Corée du Sud (n°14), le Pakistan (n°16) et la Chine (n°18).

 

Le Brésil, les Etats-Unis, le Maroc, la Russie, l'Egypte, l'Australie et le Mexique ont eux aussi été des acheteurs importants pour l'Hexagone sur la période 2005-2014.

 

Plus récemment, entre 2010 et 2014, l'Arabie Saoudite s'est positionnée comme étant LE client majeur de la France avec 12 milliards d'euros de commande. Elle est suivie par l'Inde et le Brésil (6 milliards), les Emirats Arabes Unis (4 milliards), les Etats-Unis et le Maroc (3 milliards) et enfin le Royaume-Uni, la Malaisie, Singapour et la Russie (2 milliards).

 

Malgré ces résultats plus que satisfaisants, la France ne parvient pas à se démarquer du conglomérat européen. Les parts de marché pour l'exportation d'armement entre 2010-2014 sont majoritairement détenues par les Etats-Unis avec 48,2%. La France se perd donc dans l'UE, qui représente 28,2% des parts de marché.

 

Les contrats récemment conclus devraient permettre à Paris de maintenir ce cap voir même de progresser davantage. Ainsi, en février 2015, la France a signé avec l'Egypte pour la livraison de 24 Rafale. En mai, c'est le Qatar qui a passé commande, et ce pour le même nombre d'appareils.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 18:50
Why do we spend so much? The British defence industry is to blame (photo Think Defence)

Why do we spend so much? The British defence industry is to blame (photo Think Defence)

 

01 Jun 2015 By Lewis Page * - The Telegraph

 

The defence review is a chance to stop wasting money on tanks, frigates and pilots - and break the dominance of BAE Systems

 

It’s Strategic Defence and Security Review (SDSR) time again, in which we follow the new custom of making all defence policy shortly after an election without debate – thereby humanely relieving ministers of any need to justify their actions.

Things are dire in the Armed Forces. The RAF is down to embarrassingly few operational bombers and has no submarine-hunting planes at all. The Army is yet again stripping itself of soldiers. The Navy is shortly to receive aircraft carriers, but they can carry only vertical-lift jets. We used to have some of those, but we got rid of them in the last SDSR. We will have to buy the F-35B Joint Strike Fighter instead, which is new, complicated and cripplingly expensive.

So our defences are rickety: yet there’s no prospect of any big spending increases. Indeed, George Osborne has asked for further cuts to be made. Nor is there any prospect now of the MoD managing to avoid replacing Trident – much as it would corporately like to.

So that’s it then: Britain’s just a third-class power. And yet our defence budget is the fifth biggest in the world. It’s around the same as that of France, and France has a proper aircraft carrier – complete with planes. France also has hundreds of operational strike jets, not scores; it has maritime-patrol planes; its army may soon have twice as many soldiers as ours.

 

 

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* Lewis Page is a former Royal Navy officer and author of 'Lions, Donkeys and Dinosaurs: Waste and Blundering in the Military’

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 17:55
L'industrie française de l'armement vise toujours plus loin

 

3 juin 2015 par Jérôme Jadot - .franceinfo.fr

 

Le ministère de la Défense a publié les chiffres des exportations d'armes françaises, en forte hausse en 2014. Une augmentation de 18% pour des ventes s'élevant à plus de huit milliards d'euros, portée par des contrats à plusieurs centaines de millions d'euros.

 

C'est un incontestable bol d'air pour la balance commerciale française. Dans un rapport publié mercredi, le ministère de la Défense se réjouit de la bonne santé des exportations françaises d'armes, en hausse de 18% en 2014. "La meilleure performance à l'export depuis 15 ans", précise le texte.

 

Suite de l’article

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 16:20
CAE remporte un contrat d’un quart de milliard de dollars de l’Armée américaine

 

4 juin 2015 45eNord.ca

 

CAE USA, la filiale américaine de l,entreprise montréalaise CAE, remporte un contrat de la part de l’U.S. Army pour fournir l’entraînement complet des pilotes d’appareils à voilure fixe. La valeur prévue du programme, y compris les options,est d’environ 200 millions $US [249,54 Millions $ CAN] au cours des huit prochaines années. Nous reproduisons ici dans son intégralité le communiqué de l’entreprise.

 

CAE a annoncé aujourd’hui que CAE USA a remporté un contrat de la part de l’United States Army pour fournir la formation initiale et périodique complète de plus de 600 pilotes d’appareils à voilure fixe de l’U.S. Army et de l’U.S. Air Force chaque année.

 

Selon les modalités du contrat, qui a été octroyé comme un contrat à prix fixe ferme de plus de 29 millions $US pour la période de base et six années en option jusqu’au 30 septembre 2023, CAE USA fournira des services d’entraînement clé en main dans un nouveau centre de formation appartenant et exploité par CAE qui sera construit à l’aéroport régional Dothan en Alabama, à proximité du centre d’excellence aéronautique de l’U.S. Army (USAACE) à Fort Rucker.

 

La valeur totale du contrat échelonné sur les huit prochaines années devrait être d’environ 200 millions $US ½249,54 Millions $ CAN].

 

Le programme d’entraînement sur appareils à voilure fixe de l’U.S. Army est responsable de fournir tout l’entraînement nécessaire aux pilotes chevronnés sur appareils à voilure tournante de l’U.S. Army qui effectuent une transition vers la flotte composée de plus de 350 appareils à voilure fixe de l’U.S. Army.

 

L’U.S. Army et CAE mettront également en œuvre un nouveau programme d’entraînement initial sur appareils à voilure fixe (IEFW) afin que les nouveaux élèves-pilotes recrutés par l’U.S Army puissent amorcer leur cheminement de carrière vers les appareils à voilure fixe plus tôt. Le programme d’entraînement sur appareils à voilure fixe de l’U.S. Army sert également à effectuer l’entraînement périodique officiel des pilotes d’avions C-12/RC-12 King Air, ainsi que l’entraînement annuel des pilotes C-12 King Air de l’U.S. Air Force.

 

«Nous sommes honorés et fiers d’avoir été sélectionnés par l’U.S. Army comme son partenaire de choix en matière d’intégration des systèmes de formation pour l’entraînement sur appareils à voilure fixe», a déclaré Gene Colabatistto, président de groupe, Défense et sécurité à CAE. «Nous réunirons l’entraînement virtuel, constructif et sur appareil en fournissant à l’U.S. Army un programme d’entraînement moderne et flexible qui fera en sorte que les pilotes d’appareils à voilure fixe de l’U.S. Army auront accès à un entraînement sécuritaire et de qualité supérieure. Voilà un autre excellent exemple d’utilisation par CAE de son savoir-faire en intégration des systèmes de formation pour fournir une solution complète d’entraînement clé en main.»

 

CAE commencera la construction immédiatement d’un nouveau centre de formation à l’aéroport régional Dothan équipé de salles de classe à la fine pointe de la technologie; d’un environnement d’apprentissage intégré de systèmes d’entraînement et d’autres installations modernes. CAE tire parti des conceptions existantes et construit actuellement une série de dispositifs d’entraînement, y compris deux simulateurs de vol (FFS) C-12 King Air de Série CAE 7000XR et deux dispositifs intégrés d’entraînement aux procédures (IPT) reconfigurables CAE Simfinity C-12 King Air.

 

e plus, CAE développera deux autres FFS de Série CAE 7000XR, considérés comme les FFS principaux, qui seront dotés de la conception révolutionnaire de postes de pilotage interchangeables (RORO) de CAE qui permet l’utilisation dans le simulateur de postes de pilotage représentant divers modèles d’appareils. CAE développera quatre postes de pilotage RORO représentant diverses configurations de l’avion C-12 King Air utilisé par l’U.S. Army et l’U.S. Air Force. Lorsque deux des postes de pilotage sont installés dans le simulateur de vol principal, les deux autres peuvent être connectés à une station d’accueil et être utilisés comme des dispositifs d’entraînement au vol équivalant au niveau 6.

 

Le programme d’entraînement complet sur appareils à voilure fixe de l’U.S Army inclura également l’entraînement sur appareil fourni par CAE. La transition des pilotes d’appareils à voilure tournante de l’U.S. Army et l’entraînement initial des élèves-pilotes d’appareils à voilure fixe de l’U.S. Army nécessiteront l’utilisation de six nouveaux avions Grob G120TP qui seront achetés par CAE. De plus, CAE concevra et construira deux dispositifs d’entraînement en vol Grob G120 TP et une série de dispositifs d’entraînement sur ordinateur et de didacticiels pour appuyer le programme d’entraînement. Une flotte de 10 avions C-12U King Air appartenant et entretenus par l’U.S. Army sera également exploitée par les instructeurs de CAE pour fournir l’entraînement en vol sur l’avion C-12 King Air.

 

«Le programme d’entraînement sur appareils à voilure fixe de l’U.S. Army que nous développons sera un programme de renommée mondiale qui crée un juste équilibre entre l’instruction en classe et l’entraînement en vol», a déclaré Ray Duquette, président et directeur général de CAE USA. « Nous tirerons parti de nos plus récentes capacités d’entraînement, comme la formation sur la récupération en cas de perte de contrôle et les systèmes de briefing/débriefing CAE Flightscape, pour fournir un entraînement fondé sur des scénarios propres aux exigences de l’U.S. Army relativement aux appareils à voilure fixe. Cela nous permettra également d’élargir notre offre en matière de fourniture de programmes complets de formation initiale militaire que d’autres organismes gouvernementaux américains et d’autres forces armées internationales pourront utiliser.»

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 12:50
photo EATC

photo EATC

 

02 juin 2015 Par Anne-Katell Mousset - Usinenouvelle.com

 

Le journal économique espagnol El Confidencial a obtenu de nouvelles informations sur le crash de l’avion de transport militaire A400M à Séville le 9 mai dernier.  "Une chaîne d’échecs de l’Allemagne à Séville", écrit le journal qui évoque "une série d’erreurs techniques et humaines dans le processus de contrôle qualité" de cet avion. Airbus avait déjà reconnu la semaine dernière un problème lors de l'étape d'assemblage final de l'avion. 

 

Des protocoles "sautés" sur le site de seville 

Le FADEC (Full Authority Digital Engine Control), ce système informatique particulièrement complexe de contrôle du moteur, n’aurait ainsi pas été vérifié en simulateur avant le vol d’essai, ont expliqué des sources du secteur aéronautique au journal. Lors de l’assemblage final, "beaucoup de protocoles de vérification ont été 'sautés'. Si un rodage des moteurs à haute vitesse au sol avait été fait, ils se seraient arrêtés avant le décollage", ont relaté ces sources.

Une "précipitation" des équipes qui s’explique, selon le journal espagnol, par un retard de "2700 heures" accumulées en amont, sur le site de fabrication allemand.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 12:50
Typhoon in mutil-role fit with Brimstone missile and Paveway IV

Typhoon in mutil-role fit with Brimstone missile and Paveway IV

 

May 29, 2015 by Think Defence

 

Getting ready for Tornado out of service and continued evolution of the aircraft with Brimstone, Storm Shadow, Paveway IV, Meteor and E-Scan radar, the Typhoon continues to grow, at a glacial pace perhaps but slow and steady is not always a bad thing.

 

The MoD has let a £1.7m contract to BAE to research a common weapon launcher for Typhoon that can be used to carry multiple weapons on a single hardpoint, much like the existing Brimstone launcher but also to include other weapons, principally, Meteor Paveway IV and a future SPEAR Cap 3.

 

In the delicate balancing act between Typhoon and F35B (and beyond) I have started to think for a while we need to get behind Typhoon and reconsider our Tranche 3 commitment.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:50
photo Airbus DS

photo Airbus DS

 

3 juin 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Trois des quatre moteurs de l’avion de transport militaire A400M qui s’est écrasé à Séville (sud de l’Espagne) début mai, faisant 4 morts et 2 blessés graves, ont connu des problèmes de puissance au décollage, a annoncé Airbus Defence and Space, en citant les premières analyses de la commission d’enquête espagnole.

 

« Les moteurs 1, 2 et 3 ont subi un gel de la puissance après le décollage et n’ont pas répondu aux tentatives entreprises par l’équipage pour contrôler normalement la puissance tandis que le quatrième moteur a répondu normalement aux demandes de l’équipage », a indiqué le groupe dans un communiqué.

 

Airbus DS ajoute que les autres systèmes de l’avion ont fonctionné normalement et qu’il n’y a pas eu d’autre anomalie identifiée durant le vol.

 

Ces éléments coïncident avec les problèmes identifiés par l’avionneur le 19 mai dans une note d’alerte diffusée aux opérateurs de l’appareil.

 

« Quand les pilotes ont placé la manette des gaz sur +flight idle+ (ralenti, NDLR) pour réduire la puissance, celle-ci a effectivement été réduite mais elle est ensuite restée en ralenti sur les trois moteurs affectés durant le reste du vol, en dépit des tentatives de l’équipage pour récupérer de la puissance », poursuit l’avionneur.

 

Ces éléments sont basés sur l’exploitation des boîtes noires de l’appareil.

 

Le 19 mai, Airbus avait déjà ordonné à ses clients une inspection de leurs appareils A400M, leur adressant une note d’alerte pour leur demander de contrôler le système de gestion électronique des moteurs.

 

Dans son communiqué, Airbus DS souligne que ces éléments n’ajoutent pas d’autres recommandations à celles figurant dans l’alerte opérationnelle du 19 mai.

 

L’avion effectuait un vol d’essai avant sa livraison à la Turquie prévue pour juillet.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:45
A Pathfinder UGV

A Pathfinder UGV

 

01 June 2015 by Guy Martin - defenceWeb

 

B-Cat Military has finished development testing of its one hundred per cent South African designed and built Pathfinder unmanned ground vehicle (UGV), which is being offered to the South African National Defence Force (SANDF).

 

The civil version of the B-Cat has been around for a number of years and started out as an unmanned mining vehicle for exploring blasting areas. Roughly two years ago B-Cat Military began development of a version for defence and security applications, which is available for a variety of missions such as anti-poaching, reconnaissance, perimeter surveillance, riot control intelligence gathering, forward deployment etc.

 

The company’s Pieter le Roux told defenceWeb that development has concluded and the vehicle is ready for production. The Pathfinder recently test-fired its 12.7 mm Rogue remote control weapons cluster supplied by Reutech, and was demonstrated to the SANDF, which has expressed a lot of interest in the type. The SANDF has bought into the remote controlled and unmanned idea, according to le Roux.

 

Le Roux said the vehicle would initially be marketed locally, targeting entities like the police (which could use it as a non-lethal crowd control tool), security services and the military before moving into the rest of Africa, as the Pathfinder is “an African machine for the African theatre of war.”

 

B-Cat Military said the Pathfinder is designed to operate in complex urban environments. “The Pathfinder UGV operates in close support to dismounted soldiers to also provide a forward fire suppression platform with an added additional payload carrying capacity. Some of the possible payloads include ammunition, chemical, biological, radiological and nuclear (CBRN) detection, intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR), weapons, supplies, medical equipment etc.”

 

For base protection duties, the Pathfinder could be used to investigate intruder alarms, function as a mobile remotely operated radar and night vision or thermal imaging platform and could engage intruders with weapons.

 

In the support role, B-Cat Military said that the Pathfinder can be used by dismounted infantry sections to detect and destroy improvised explosive devices (IEDs), function as an ambush early warning system, gather intelligence, provide missile/small arms fire protection and provide communications support.

 

The Pathfinder can be fitted with limited mine protection and mine detection technology.

 

One of the envisioned roles for the Pathfinder is medical evacuation of injured soldiers out of combat zones, the replenishment of medical supplies to forward lines and protection for injured and medical personnel.

 

The six wheeled Pathfinder can be remotely operated at distances of between 400 metres and seven kilometres, terrain and communications systems dependant. The vehicle weights 800 kg without equipment and can carry a 300 kg payload. It is 1.7 metres long, 1.1 metres wide and .8 metres high. Its battery allows for ten hours of operation, but the battery pack can be switched out for continuous operation.

 

Le Roux explained to defenceWeb that the Pathfinder can be made bigger or smaller depending on customer requirements and is very flexible in terms of payload, use, size and weight. For instance, it could be used for firefighting or carry stretchers and have customer equipment integrated onto it.

 

The vehicle was displayed at the Africa Aerospace and Defence (AAD) exhibition in September last year with a mast-mounted Reutech radar and day sights, but can be fitted with other sights and equipment. Reutech said it is quite unique on the continent and had generated a lot of interest during AAD 2014. Le Roux said the niche market the Pathfinder is serving could be “quite substantial.”

 

B-Cat Military offers the Pathfinder with a control station and battery packs or can supply it with a transport vehicle, such as a Toyota Land Cruiser or Mercedes Sprinter. This would be fitted with a control station, recharging point and quick offload tray. The Pathfinder can also be aircraft deployed.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:35
Weapons: The China Solution

 

May 26, 2015: Strategy Page

 

China has arming its troops with the new ZH-05, a weapon that combines a 5.56mm assault rife with a computer controlled 20mm grenade launcher (with a max range of 700 meters). The ZH-05 has been seen with Chinese marines sent abroad warships working with the Somali anti-piracy patrol. Chinese special operations troops have the ZH-05 and the army ordered several thousand of them so that each four man infantry fire-team will have one. That puts China ahead of the other two countries (United States and South Korea) with similar weapons. The Chinese version is lighter, simpler and cheaper and the Chinese feel the ZH-05 is worth buying and issuing to the troops. There’s not been similar enthusiasm with the American and South Korean versions.

 

The U.S. began working on this type of weapon back in the 1990s as the OICW (Objective Individual Combat Weapon) and that mutated into the XM25 (the “X” in XM25 designates a system that is still in development). The South Korean one is the K11. The three weapons are different in important ways. The American and South Korean weapons both have a magazine for the computer controlled grenades while the ZH-05 is a single shot weapon, requiring 20mm rounds to be loaded manually each time. This makes the ZH-05 the lightest of the three weapons, weighing five kg (11 pounds) loaded (with a single 20mm round and a magazine with 20 rounds of 5.8mm ammo). The M25 got rid of the assault rifle element and upped the caliber to 25mm. Thus an M25, with a four round magazine, weighs 5.5 kg while the K11, loaded with a 20 round 5.56mm and five round 20mm magazines weighs 7.2 kg. The M25 is the only one of three to have been tested extensively in combat but because of misfire during a demonstration, budget cuts and troops finding there were not really that many situations calling for the M25, the system was cancelled (development funding was eliminated) in 2013.

 

XM-25

XM-25

The initial spectacular success and popularity of the XM25 grenade launchers in Afghanistan led the army to request that the weapon enter regular service as the M25 in 2014. But Congress, looking for ways to reduce military spending in 2013 cut all money for the M25. The army managed to scrounge enough cash to keep the M25 on the books and hopes to get the money to build 1,100 of them. Currently the M25 cost $35,000 each with the 25mm ammo going for $55 per round. SOCOM (Special Operations Command) apparently has some M25s but with few American troops in combat there is not a lot of demand for a weapon like this.

 

When the first evaluation models of the XM25 arrived in Afghanistan in 2011 the weapon soon became much sought after by infantry troops. There were never more than a few dozen XM25s in Afghanistan and limited supplies of ammunition. Despite that the weapon quickly developed a formidable reputation. The Special Forces have priority on the weapon because it is very useful for special operations missions. The army planned to buy enough so that they could issue one per infantry squad. There are 27 squads in an infantry battalion.

 

The XM25 grenade launcher went through several major design changes and it wasn’t until 2005 that the first XM25s were delivered to the U.S. Army for troop testing. In 2007 a few were sent overseas for testing in combat situations. While the troops have been very enthusiastic about the new weapon, there were a lot of suggestions, mostly about minor items. So the army kept tweaking and refining the weapon. It appeared that the XM25 was a success after only 55 of the 25mm rounds were fired in combat. The users protested having to give them up after the few months of field testing. All this was because the XM25s worked as advertised, firing "smart rounds" that exploded over the heads of Taliban hiding behind rocks or walls, or hiding in a cave or room. Enemy machine-guns have been quickly knocked out of action and ambushes quickly disrupted with a few 25mm shells. Encounters that might go on for 15 minutes or longer, as U.S. troops exchange fire with hidden Taliban, end in minutes after a few 25mm, computer controlled rounds were used. But over time it was found that there were not that many situations in combat calling for an M25 and some troops left them behind most of the time.

 

The XM25 was originally one of two weapons (the other being a 5.56mm rifle) incorporated in the 8.2 kg (18 pound) XM29 OICW. The OICW was originally developed as a replacement for the 40mm grenade launcher attached to the grenadiers M16 as well as providing a more accurate and capable grenade launcher. Didn't work out as intended. The big problem was effectiveness. The older 40mm, unguided, grenade rounds weigh 540 grams (19 ounces) each, the original 20mm OICW round weighed half that. This was one of the several major problems with the OICW. It was too heavy and ungainly, and the 20mm "smart shell" it fired did not appear capable of effectively putting enemy troops out of action consistently, especially compared to the 40mm shell it was replacing. So, in August, 2003, it was decided to take the 5.56mm portion out of the OICW and develop it as a separate weapon (the XM8) while the grenade launcher part that fired the "smart shell" continued development as the XM25. But the XM-25 would now use a 25mm shell, which would generate 50 percent more fragments (and heavier ones at that) than the 20mm shell of the OICW. China and South Korea insist that their 20mm grenades inflict sufficient hurt on the enemy to be effective. The U.S., with lots of combat testing believes that 25mm is the only way to go. China disagrees and insists its 20mm shell is quite lethal.

 

The 20mm and 25mm "smart shells" both use a computer controlled fuze. The XM25 operator could choose one of four different firing modes via a selector switch on the weapon. The four modes include "Bursting" (airburst). For this to work, the soldier first finds the target via the weapons sighting system. The sight includes a laser range finder and the ability to select and adjust the range shown in the sight picture. For an air burst, the soldier aims at an enemy position and fires a round. The shell is optimized to spray incapacitating (wounding or killing) fragments in a roughly six meter (19 foot) radius from the exploding round. Thus if enemy troops are seen moving near trees or buildings at a long distance (over 500 meters), the weapon has a good chance of getting them with one shot. M-16s are not very accurate at that range, and the enemy troops will dive for cover as soon as M-16 bullets hit around them. With smart shells, you get one (or a few) accurate shots and the element of surprise. The smart shells can be used out to 700 meters, but not as accurately. At those longer ranges, you can't put a shell through a window, but you can hurt a crowd of gunmen standing outside the building.

 

The other modes are "PD" (point detonation, where the round explodes on contact), PDD (point detonation delay, where the round detonates immediately after it has gone through a door, window or thin wall) and "Window", which is used for firing at enemy troops in a trench, behind a stone wall or inside a room. The round detonates just beyond the aiming point. For buildings, this would be a window or door frame, cave entrance or the corner of a building (to get enemy troops thought to be around the corner.)

 

The XM25 is still a heavy weapon, with the final version coming in at 5.5 kg (12 pounds). The 25mm shells weigh over half a pound each (270 grams). On the plus side, there is already a 25mm armor piercing round (using a shaped charge capable of penetrating over 50mm of armor) available. This makes the XM-25 capable of knocking out light armored vehicles. Then there are the types of 25mm ammo, like fuel-air explosive (or "thermobaric"). Such a shell would cause greater blast effect in an enclosed space, and actually suck most of the oxygen out of a cave or closed room long enough to make surviving troops at least a bit groggy. This gives the attacking troops an opportunity to rush in and kill the enemy or take prisoners. In combat, every little advantage helps. With the XM-25, hiding behind rocks, trees, walls or in caves will no longer protect you. There is also a flechette ("shotgun") round. The XM-25 also has a 4x thermal sight.

 

K11 dual-caliber air-burst weapon

K11 dual-caliber air-burst weapon

It was only in 2009 that South Korea revealed it had developed the K11, a $14,000 20mm/5.56mm weapon which appeared to be identical in concept to the U.S. Army XM29. The South Korean version weighs 6.1 kg (13.4 pounds) empty and combines a 5.56mm rifle, with one firing 20mm computer and laser controlled shells. The South Korean weapon appears to operate the same way as the 20mm shell of the XM-29. The South Koreans plan to issue the K11, on the basis of two weapons per squad (an infantry unit containing 10-12 men). The K11 was both cheaper and lighter than the XM29.

 

It's unclear if the South Koreans found solutions to the problems the XM29 and XM25 encountered, or simply developed an improved XM29 and decided it was useful in small numbers. South Korea used some K11s in Afghanistan and there were lots of complaints about reliability and effectiveness. This did not result in the K11 being cancelled, but the weapon does not have a good reputation among the troops. The South Koreans have found that the 20mm smart shell is effective out to about 500 meters. South Korean troops began receiving the K11 in 2010. In 2011 South Korea halted production of the K11 for a while because nearly half of those already distributed to the troops had design or manufacturing problems. This included some that had been sent to South Korean troops in Afghanistan. The K11 problems were fixed and so far over 4,000 have been built. The K11 manufacturer insists that problems have been fixed but troops and many commanders are not so confident.

 

The Chinese ZH-05 has three types of 20mm ammo. One is impact detonation, the second is air burst and the third is a shotgun type shell. The computerized fire control system only provides for the user to select at what range the air burst round will detonate. Because these 20mm rounds have fewer electronics in them they carry more fragments and the Chinese believe (but don’t know from combat experience) that this supplies adequate wounding capability.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:35
Armor: Arjun Back From The Dead Again

 

June 3, 2015: Strategy Page

 

India continues to have problems with its tank fleet. The latest disaster is the low readiness of the 120 locally designed Arjun tanks the army was forced to buy in order to keep an Indian tank factory working. After several years of use over 70 percent of the Arjuns are inoperable because of technical problems, mostly relating to imported spare parts. Over half the Arjun components are foreign made and the procurement bureaucracy, the army and the Arjun factory cannot agree on specifications and quantities of these parts. In addition to that there are dozens of unresolved technical problems with Arjun. All this adds up to nearly a hundred separate problems that need to be resolved to increase the readiness rate. The government seems to agree that Arjun is a failure and while the factory only has to make four more, it also now has orders for 118 Arjun 2s.

 

The order for the 124 original Arjuns came about in 2010 when competitive tests between the Indian designed (by DRDO, the government defense research and development organization) Arjun and Russian T-90 tank resulted in an unexpected victory by the Arjun. The Indian Army had been compelled (by pro-Arjun politicians) to conduct a field test between the domestically designed (but troubled and largely rejected) Arjun tank, and the Russian T-90 (now considered the army's primary tank). Fourteen of each tank were used, and the results were classified. But journalists had no trouble getting unofficial reports that the Arjun managed to best the T-90 in tests of mobility, endurance and gunnery.

 

This was surprising because until then Arjun was considered an expensive and embarrassing failure. Development of the Arjun began in the 1980s and by 2006 the army had received only five of them, for testing and evaluation. The evaluation did not go well. Originally, the Arjun was to have replaced thousands of older Russian tanks, but after so many delays, the army only reluctantly accepted enough to equip one Armored Brigade. The new test reports resulted in renewed pressure on the army to buy more Arjuns.

 

One good thing came out of this competition and that was the agreement by the Arjun developers to address the many technical problems with Arjun. To spare government or military officials’ embarrassment this was described as an effort to develop the next generation battle tank. Called the FMBT (Future Main Battle Tank), this vehicle aimed to build on the “success” of the Arjun.

 

This pitted the Defense Ministry weapons development and procurement bureaucrats against the generals. The bureaucrats were under pressure to deliver because the competition was won by Arjun mainly because it was assumed that Arjun would have fixed all the problems it was having with its electronics and some other components. The main problems were with the fire control system, the engine, and that fact that its size and weight prevented it from being used with current tank transporters. Thus the FMBT was to be lighter (50 tons) and based on what worked in the Arjun and other modern tanks. The FMBT is expected to replace older Russian tanks. The result was called Arjun 2 and it fixed most of the Arjun problems, including the size and weight issues. Arjun 2 weighs 50 tons and 60 percent of the components are Indian made. All this is optimistic, given what happened with the original Arjun and Indian developed weapons in general. The Arjun was originally intended as a replacement for most of the older T-72s and that still might happen.

 

Meanwhile in 2009 an Indian factory delivered the first ten (of a thousand) T-90 tanks to the Indian Army. The Russian designed armored vehicles are being built in India under license. Many of the components are Indian made, and some of the electronics are imported from Western suppliers. The Indian-made T-90s cost about $3 million each. India has already bought 700 Russian made T-90 tanks, at a cost of $3.5 million each. The Arjun 2 is expected to cost over $5 million each. The high price is due to a lot of high tech. This includes an active defense system to defeat anti-tank missiles, a much more powerful engine, lots of electronics and a hermetically sealed crew department to provide protection against chemical weapons and radiation. All this stuff is tricky to develop, just the sort of thing DRDO excels at screwing up. This is mostly the fault of the DRDO bureaucrats, who are not very good at using all the technical and manufacturing talent India has.

 

Back in 2006 India adopted the Russian T-90 as its new main battle tank. By 2020, India will have 2,000 upgraded T-72s, over 1,500 T-90s, and few hundred other tanks (including over 240 Arjuns, depending on how the Arjun 2 works out in practice). This will be the most powerful armored force in Eurasia, unless China moves ahead with upgrades to its tank force. The border between China and India is high in the Himalayan Mountains, which is not good tank country. India's tank force is mainly for use against Pakistan.

 

The T-90 is a highly evolved T-72. Originally, the T-90 was a fallback design. The T-80 was supposed to be the successor to the T-72. But like the T-62 and T-64 before it, the T-80 didn't quite work out as planned. So the T-72, with a much improved turret and all manner of gadgets, was trotted out as the T-90. Weighting 47 tons, its 7 meters (23 feet) long, 3.4 meters (11 feet) wide and 2.3 meters (7.5 feet) high. Same package, better contents. And with well-trained crews, it can be deadly. The original Arjun was a larger vehicle (59 tons, 10.7 meters long and 3.9 meters wide).

 

Arjun 2 is similar in size to the T-90. Indian armor experts, both military and civilian, are hoping the Arjun 2 is more like the T-90 than the Arjun. But the most worrisome aspect of the Arjun 2 project is DRDO which also developed Arjun. It's feared that the DRDO wonks have not learned from the many errors made with the Arjun. The hope is that the Arjun 2 will not be another DRDO disaster.  

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:35
Armor: Argo In China

source military-today.com

 

May 28, 2015: Strategy Page

 

Chinese airborne and light infantry units are being equipped with a Chinese made amphibious ATV (All Terrain Vehicle). This is an 8x8 vehicle apparently based on the Canadian Argo design, which has been around since the 1960s and has been regularly upgraded, refined, improved and extensively used all over the world. The Chinese ATV can carry six people (including the driver), weighs 1.7 tons and has a max payload of about a ton. If used amphibiously the ATV can only carry about a third of a ton. Max road speed is 60 kilometers an hour. The ATV is 3.9 meters (12.7 feet) long and 1.8 meters (5.9 feet) wide. The Chinese military has several thousand of these vehicles, many (if not most) of them with non-combat units.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 07:20
Weapons: The Marines Want SOST And They Want It Now

 

May 30, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Army and Marine Corps stopped using the same 5.56mm ammunition in 2010 when the army began using the new lead-free M855A1 5.56mm round for combat (mainly in Afghanistan) operations. The M855A1 replaces the older M855 long used by the marines as well. The marines also wanted to adopt some new and improved 5.56mm ammo but decided the M855A1 was not it and continued looking. Now the marines believe they have found their new round, the M318 SOST, which has been used by SOCOM for several years. This annoyed a number of key people in Congress who insisted both services use the same 5.56mm ammo. To decide the issue there will be tests, and possibly more tests after that. In the meantime the political winds may shift and make the Congressional mandate for common ammo go away. After all for decades SOCOM has been allowed to use whatever ammunition (or weapons) it feels are best for the job at hand. But Congress considers SOCOM a special case, at least more special than the marines, and leaves SOCOM alone.

 

The new M855A1 round is more expensive and marginally better than the older M855. The major reason for the appearance of the M855A1 was years of political pressure on the army to use non-lead bullets. That came about because training and combat use of army 5.56mm weapons puts 2,000 tons of lead back into the environment each year. This lead was originally taken out of the environment to be temporarily stored in the form of bullets. The lead is also contained in a copper jacket and most of it stays that way. That's probably why no environmental study has ever found lead leaching out of spent bullets and getting into anyone's water. But just the thought of all those billions of lead bullets lying in the ground mobilized an international movement to ban lead bullets.

 

Fortunately the M855A1 was also about several other improvements besides being lead-free. For example, the M855A1 is a little more accurate at longer ranges. This is important in a place like Afghanistan. The M855A1 is marginally better at blasting its way through brick, concrete, and masonry than the older M855. The propellant in the M855A1 burns faster and thus produces a smaller muzzle flash when fired from the short (compared to the M-16) barreled M-4 rifle. The greater penetrating power of the M855A1 is because of a steel penetrator, which also makes the M855A1 more likely to penetrate body armor and sheet metal. The Taliban were increasingly getting their hands on protective vests or adding armor to vehicles (particularly suicide car bombs meant to speed past armed guards).

 

The marines noted that the steel M855A1 bullet also caused more wear and tear on rifles using it. The marines noted that the M855A1 has been causing cracks in rifles that have fired as few as 3,000 of them. Marines also point out that the M855A1 requires larger safety zones for rifle ranges because the M855A1 tends to ricochet farther. The larger safety zones could be very expensive for some marine ranges.

 

While this non-lead policy burnishes the army's image and environmental cred, it was also feared that it might equip troops with an inferior bullet, which was built around a copper alloy (not lead) slug. But inferior to what? Well to another new bullet, the ones the marines want and SOCOM (Special Operations Command) already uses. SOCOM developed the new 5.56mm M318 SOST (Special Operations Science and Technology) round. The SOST bullet solves a problem the M855 has long had, the inability to penetrate things like automobile windshields. SOST uses lead and also has more killing power than the M855 (that did not inflict as much internal damage, and bleeding, as 7.62mm and 9mm rounds). The M855A1 turned out to perform these tasks as well, or nearly as well, as SOST and was still "green" (less potential lead pollution).

 

The army spent over $32 million developing the M855A1. The new bullet is more expensive (because of the more complex manufacturing process) and in the field troops have not noticed much difference. On the down side, the new round generates more pressure in the chamber (and higher speed leaving the barrel). In theory this causes a slight increase in the risk of a rifle exploding. That has not happened yet.

 

Some green bullets have been disasters. Norway introduced one three years ago that made users sick. It seems the new bullet, when used in new rifles, created some toxic gasses. A redesign of the new round fixed the problem and made the new bullet even more expensive. The marines believe the M318 is superior to the M855 and the lead-free M855A1 and has already shown that to be the case in combat (mainly with SOCOM). But Congress cannot be ignored and the marines will have to wait.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 16:20
photo Royal Navy

photo Royal Navy



28 mai 2015 by Royal Navy

 

A group of Royal Navy and Royal Air Force personnel were at sea onboard USS WASP, joining American colleagues in the latest F-35B Lightning II fast jet trials.

Lightning II is a STOVL aircraft: Short Take Off Vertical Landing. It will place the UK at the forefront of fighter technology, giving the RAF a true multi-role all weather, day and night capability, able to operate from well-established land bases, deployed locations or the Royal Navy's Queen Elizabeth Class Aircraft Carriers.

The Royal Navy’s vision for tactical integration of the F-35B into their current arsenal is similar to the Marine Corps’ plan to integrate the F-35 with legacy aircraft, such as the AV-8B Harrier and the F/A-18 Hornet, and gradually phase out legacy aircraft over the coming decades.

Read the full story: http://ow.ly/NylS6

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 15:55
Furtivité, le camouflage haute technologie (JDef)


2 juin 2015 Journal de la Défense (#JDef)

 

Systèmes de vision nocturne, par infrarouge ou de détection radar… la haute technologie est au cœur des opérations militaires modernes. Qu’elles opèrent au sol, sur l’eau ou en l’air, nos armées utilisent tous les jours ces moyens pour détecter et tromper l’adversaire. C’est ce camouflage moderne que l’on appelle la furtivité.

Ce mois-ci, le Journal de la Défense (#JDef) vous emmène au cœur de ces systèmes innovants, à la rencontre de ces spécialistes de la dissimulation.

Grille de diffusion sur la chaîne LCP-An

-mercredi 3 juin à 21 :14

-jeudi 4 juin à 00 : 59

-lundi 29 juin à 16 : 04

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 11:50
Airbus Helicopters assurera le soutien des H145M de la Bundeswehr

Pour les sept ans à venir, la Bundeswehr a confié à Airbus Helicopters la mission d’assurer un niveau optimum de disponibilité, de fiabilité et d’aptitude au vol aux 15 hélicoptères H145M (anciennement EC645 T2). Photo Ch. Abarr  - Airbus Helicopters

 

02.06.2015 par Aerobuzz.fr

 

Les Forces armées allemandes (Bundeswehr) et Airbus Helicopters ont signé un contrat de services global concernant les nouveaux hélicoptères H145M, dont l’entrée en service au sein de l’armée de l’Air allemande est prévue dans le courant de cette année.

 

D’une durée de sept ans, cet accord global de services et d’assistance en coopération permettra d’assurer un niveau optimum de disponibilité, de fiabilité et d’aptitude au vol aux 15 hélicoptères H145M (anciennement EC645 T2) que comptera la flotte allemande. Ces appareils seront principalement exploités lors de missions accomplies avec les Forces d’intervention spéciales KSK (Kommando Spezialkräfte).

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 07:20
General Dynamics Awarded $28 Million for Future Fighting Vehicle Design Concepts

 

STERLING HEIGHTS, Mich., June 2, 2015 /PRNewswire

 

The U.S. Army TACOM Lifecycle Management Command awarded General Dynamics Land Systems a $28.2 million contract to develop several design concepts for the Future Fighting Vehicle (FFV) Phase 1 effort. General Dynamics Land Systems is a business unit of General Dynamics (NYSE: GD).

 

As part of the FFV Phase 1 effort, General Dynamics will develop design concepts for the next generation Infantry Fighting Vehicle (IFV). The company will conduct trade studies, requirements analysis, modeling and simulation (M&S) and assess technology capability and maturity to support each of the three design concepts.

 

Work will be performed by existing employees in Sterling Heights, Michigan, with an estimated completion date of November 2016.

More information about General Dynamics Land Systems is available at www.gdls.com.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 18:35
WZ-10 Attack Helicopter

WZ-10 Attack Helicopter

 

May 25, 2015: Strategy Page

 

Pakistan has apparently received the first three of twenty Chinese WZ-10 helicopter gunships. Pictures of two of them together have appeared. These first three were announced as a gift and were quickly delivered so Pakistan could try them out. This appears to have led to an order for 17 more. Or not, as the WZ-10 sale has been kept quiet. If Pakistan does buy 17 more WZ-10s it would be the first export customer. The sale is apparently a done deal as Pakistan is to receive two more WZ-10s by the end of the year.

 

China has been developing the 7 ton WZ-10 helicopter gunship since the 1990s. After 14 years of development there were several prototypes and a lot of unresolved problems. Attempts to buy or steal helicopter gunship technology from Russia and South Africa failed. In 2010 some of the prototypes were sent to Chinese Army aviation units for field testing. While not a failure, there were problems and at one point the WZ-10 was in danger of being abandoned. The Chinese persevered and fixed most of the defects by 2012 and put WZ-10 into production. The WZ-10 is armed with an autocannon (23mm to 30mm) and has four hard points that can carry 16 HJ10 laser guided missiles (similar to Hellfire) or even more unguided rockets.

 

Meanwhile China also put the smaller (4.5 ton) WZ-19 armed scout helicopter into production, partly as a backup if the WZ-10 failed. China wanted something more like the American AH-64 Apache and the WZ-10 was equipped to operate like the AH-64 or earlier AH-1 (which Pakistan has been using for a long time). The WZ-19 has been spotted in the air since 2010 and by 2012 was seen painted in military colors, meaning it was out of development and in service. The WZ-19 was earlier known as the Z-9W. The WZ-19 is yet another Chinese helicopter based on the Eurocopter Dauphin (which has been built under license in China since the 1990s. The WZ-19 is a 4.5 ton, two seat armed helicopter. It can carry a 23mm autocannon and up to a ton of munitions (missiles, usually). Cruising speed is 245 kilometers an hour and range is 700 kilometers. The WZ-19 is basically an upgraded Z-9W.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:20
photo GATR

photo GATR

 

May 21, 2015: Strategy Page

 

U.S. SOCOM (Special Operations Command) has sponsored work on lighter and more powerful portable satellite dishes for decades. What SOCOM operators need the most are back packable gear that can send video, especially during a stakeout (a common activity for Special Forces operators) of a target for missile armed warplanes or UAVs overhead. The latest breakthrough is GATR, a 26.3 kg (58 pound) 1.2 meter (47 inch) satellite dish in an inflatable sphere. This gear can upload 2 mbps (one million bits per second, about 100,000 bytes per second) and download 5 mbps. This is the lightest back packable dish with that kind of bandwidth. SOCOM has bought nearly a hundred of these so far. Most of the time SOCOM operators can get by with lighter satellite communications, with much lower bandwidth.

 

For example in 2012 SOCOM bought $170 million of new satellite communications gear with a max download speed of 1 mbps. What was most important about this gear was that it was portable (via hummer or backpack) and provided Special Forces operators with high speed satellite communications using 60 cm (24 inch) satellite dishes. Special Forces operators need these communications tool for when they are out in the hills, out beyond cell phones and most wireless forms of communication. Satellite phones have been used for over a decade but these devices have limited data capacity (about 25,000 bits per second).

 

Typical portable systems like this weigh less than 15 kg (33 pounds) and can be carried in two suitcases or in a backpack. This gear can operate off battery power and are rugged enough to survive water, sand, extreme temperatures, and other hard knocks. These systems allow a Special Forces team to access multiple live video feeds, as well as downloading complex maps and other images. All this is heavily encrypted to make eavesdropping very difficult. Set up time is less than ten minutes and the small dish will automatically locate and lock onto the desired satellite. This equipment has been available for over two decades but they have become smaller, cheaper, faster, more rugged, and reliable every year. Most importantly, they do not require a communications specialist to set up or operate. SOCOM has several thousand of these portable systems.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 16:20
X-47B First to Complete Autonomous Aerial Refueling photo US Navy

X-47B First to Complete Autonomous Aerial Refueling photo US Navy

 

May 17, 2015: Strategy Page

 

The U.S. Navy’s X-47B UCAS (unmanned combat air system) continues to break or make records. Thus in 2015 this included the world's first fully autonomous aerial refueling in April, performed with a KC-707 tanker. During the last few years this unmanned combat aircraft has successfully carried out numerous operations aboard aircraft carriers. These tests were often firsts for UCAS. Thus an X-47B made its first catapult launch from an aircraft carrier on May 14th 2013. That was followed by several touch and go landings on a carrier. The first carrier landing, as expected, followed soon after. Later in the year more flight tests further stressed the capabilities of the automatic landing system, especially in high speed and complex (different directions) winds. The autolanding systems passed all these tests. The X-47B was also the first UAV to land and be off the carrier deck in less than 90 seconds, just like manned aircraft. There were a lot of other tests to see how effectively and reliably the X-47B could operate on the carrier and hanger deck and do it alongside manned aircraft. All this is part of a long-term navy plan to introduce an UCAS replacement for the F-35 (which is soon to replace the F-18s) in the 2030s. But if the UCAS progress continues to be swift and the costs low (compared to manned aircraft), the F-35 could find its production run much reduced to make room for an UCAS.

 

While software controlled landing systems have been around for decades, landing on a moving air field (an aircraft carrier) is considerably more complex than the usual situation (landing on a stationary airfield). Dealing with carrier landings requires more powerful hardware and software aboard the aircraft. The navy expected some glitches and bugs and appears to be rapidly catching up to the reliability of commercial landing software (which has been used very successfully on UAVs) within months rather than decades.

 

Rather than begin development on the slightly larger X-47C, which was be the first naval UCAV to enter service, the navy changed that plan and is now seeking new designs for a UCLASS (unmanned carrier-launched airborne surveillance and strike) aircraft. There will be a competition by development aircraft in 2016. It’s likely, but not certain, that one of those 2016 competitors will be the X-47C.

 

All this comes after the navy rolled out the first X-47B in 2008. This was the first carrier-based combat UAV, with a wingspan of 20 meters (62 feet, and the outer 25 percent folds up to save space on the carrier) and stay in the air for up to twelve hours. The 20 ton X-47B weighs a little less than the 24 ton F-18A and has two internal bays holding two tons of smart bombs. It is a stealthy aircraft. As it exists right now the X-47B could be used for a lot of bombing missions, sort of a super-Reaper. The navy has been impressed with the U.S. Air Force success with the Predator and Reaper. But the propeller driven Reaper weighs only 4.7 tons. The much larger X-47B uses a F100-PW-220 engine, which is currently used in the F-16 and F-15.

 

The X-47C was expected to be closer to 30 tons and have a payload of over four tons. The X-47B was never mean to be the definitive carrier UCAV, but the navy hoped it would be good enough to show that unmanned aircraft could do the job. Normally, "X" class aircraft are just used as technology demonstrators. The X-47 program has been going on for so long, and has incorporated so much from UAVs already serving in combat that it was thought that the X-47 may end up eventually running recon and bombing missions as the MQ-47C. But in February 2015 the navy stated that the X-47B was too costly and insufficiently stealthy to become it's carrier UCAV, and the two prototypes will be turned into museum exhibits upon completion of all flight testing, extant and length of which is not ultimately decided yet.

 

The U.S. is far ahead of other nations in UCAS development, and this is energizing activity in Russia, Europe, and China to develop similar aircraft. A Chinese UCAS, called the Li Jian was photographed moving around an airfield under its own power back in early 2013, which is the sort of thing a new aircraft does before its first flight (which took place in November, 2013). Since 2011 the Li Jian has been photographed as a mock up, then a prototype, and now taxiing around and in flight. The Li Jian is similar in size and shape to the U.S. Navy X-47B.

 

It’s generally recognized that robotic combat aircraft are the future, even though many of the aviation commanders (all of them pilots) wish it were otherwise. Whoever gets there first (an UCAV that really works) will force everyone else to catch up, or end up the loser in their next war with someone equipped with UCASs. China may have just copied pictures of the X-47B, or done so with the help of data obtained by their decade long Internet espionage operation. Whatever the case, the Li Jian is not far behind the X-47B.

 

These aircraft are meant to operate like current armed UAVs or like cruise missiles (which go after targets under software, not remote, control). Enemy jamming can interfere with remote control and you have to be ready for that. This means pre-programmed orders to continue the mission (to put smart bombs on a specific target, the sort of attack cruise missiles have been carrying out for decades) or attempt that but turn around and return to base if certain conditions were not met (pre-programmed criteria of what is an acceptable target). Fighter (as opposed to bomber) UCASs can be programmed to take on enemy fighters (manned or not) with some remote control or completely under software control. This is the future and China wants to keep up.

 

The U.S. Navy has done the math and realized that they need UCASs on their carriers as soon as possible. The current plan is to get these aircraft into service by the end of the decade. But a growing number of navy leaders want to get the unmanned carrier aircraft into service sooner than that. The math problem that triggered all this is the realization that American carriers had to get within 800 kilometers of their target before launching bomber aircraft. Potential enemies increasingly have aircraft and missiles with a range greater than 800 kilometers. The X-47B UCAS has a range of 2,500 kilometers and is seen as the solution.

 

The Department of Defense leadership is backing the navy efforts and spurring the air force to catch up. At the moment, the air force is cutting orders for MQ-9s, which are used as a ground support aircraft, in addition to reconnaissance and surveillance, because American troops are being pulled out of Afghanistan, and it is believed Reaper would not be very useful against China, North Korea, or Iran. But, as the Navy is demonstrating, you can build UCASs that can carry more weapons, stay in the air longer, and hustle to where they are needed faster. The more the navy succeeds, the more the air force will pay attention and probably use a lot of the navy developed UAV hardware and software technology.

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1 juin 2015 1 01 /06 /juin /2015 17:30
IDEF 2015 - SITTA


28/05/2015 par SITTA

 

La 12ème édition du salon IDEF s’est déroulée du 5 au 8 mai 2015 à Istanbul, dans l’enceinte du centre des expositions TUYAP. Cet événement, riche en nouveautés, pour la plupart issues de l’industrie d’armement turque, accueillait de très nombreux visiteurs de différentes nationalités. Il faut notamment noter les premières participations de la Chine, de l’Indonésie, de la Biélorussie ou encore de la Jordanie. Ceux-ci ont profité de l’événement pour mettre en avant les capacités de leur industrie de défense. Mais au final ce salon a mis en valeur le dynamisme des entreprises turques comme Aselsan, FNSS ou Ottokar.

 

KAPLAN 20 (FNSS - Turquie)

Le VCI chenillé polyvalent KAPLAN 20 est propulsé par un moteur diesel qui possède un rapport poids/puissance de 25 chevaux par tonne. Il est couplé à une boite de vitesse automatique qui lui permet de rouler à près de 70 km/h pour une autonomie de plus de 650 kilomètres. L'engin possède des chenilles en matière synthétique qui permettent de réduire la masse de l'engin sans diminuer les performances. Selon les missions, le nombre de personnel embarqué variera de neuf à onze, équipage de trois personnels compris. L'engin est amphibie et ses propulseurs se situent de chaque côté à l’arrière du véhicule.

KAPLAN 20

La tourelle électrique stabilisée est télé-opérée. La configuration présentée lors du salon possède un canon automatique de 30 mm et une mitrailleuse coaxiale en 7,62 x 51 mm.

Le chef d'engin dispose d'un viseur panoramique d’observation et de tir. Il inclut une voie thermique, une voie « jour », un télémètre laser et une conduite de tir. Il est indépendant de la tourelle et fonctionne sur 360°. Le tireur dispose pour le tir d'un bloc optronique stabilisé comprenant les mêmes éléments que la lunette du chef d’engin.

La protection de l'engin est assurée par un blindage modulaire, un système de protection dynamique, des lance-pots fumigènes, un système d'extinction automatique du feu, un système de détection et de protection NRBC, et des sièges anti-blast. Sa signature thermique est réduite. Enfin il est pourvu du nouveau système d’identification ami-ennemi produit par le groupe turc ASELSAN.

 

TULPAR S (OTOKAR - Turquie)

Le TULPAR S est la version du TULPARoptimisée pour les opérations amphibies et les franchissements de cours d'eau.

Ce VBCI chenillé est équipé d’un moteur développant 280 kW, qui permet de suivre sans difficulté les chars de bataille en tout terrain. Sa vitesse maximale est de 70 km/h pour une autonomie de 500 kilomètres. La version « combat d’infanterie » transporte trois membres d’équipages et sept fantassins. Lors du salon, le TULPAR S était présenté dans sa version « antichar ». Il était équipé une tourelle télé-opérée AT-MLS équipée de quatre missiles russes KORNET-E et d’une mitrailleuse coaxiale en 7,62 x 51 mm développée par la firme ASELSAN.  Des lance-pots fumigènes sont montés sur le châssis.

TULPAR S

Comme le KAPLAN 20, le TULPAR S est pourvu de chenilles en matière synthétique qui permettent, entre autres, de réduire sa masse à 15 tonnes. Afin de faciliter la manœuvre de l’engin, le pilote dispose de caméras à l’avant et à l’arrière. Les dimensions du véhicule sont de 5,7 mètres de long pour 2,9 mètres de large et une hauteur de caisse de 2 mètres.

En équipement standard, l’engin est doté d’une protection NRBC, d’un système d’extinction du feu, d’un système de navigation par satellite, d’un écran de contrôle visibilité pour le pilote, d’un système automatisé de tension des chenilles, de sièges anti-blast et d’un équipement de C3I.

Le TULPAR-S est prévu en plusieurs versions parmi lesquelles : transport de troupe, combat d’infanterie, antichar, soutien, maintenance/dépannage et Ambulance.

 

PARS 4x4 (FNSS - Turquie)

La firme turque FNSS présentait pour la première fois le dernier né de la famille PARSen version 4x4.

PARS 4x4 (Turquie)

Cet engin a été conçu pour être très mobile avec un ratio poids/puissance de 30 chevaux par tonne. Son moteur diesel lui permet d’atteindre les 120 km/h pour une autonomie de 700 kilomètres. Il peut gravir des pentes de 70% et franchir un devers de 40%. L’engin est pourvu d’un système CTIS qui lui permet une meilleure mobilité en tout terrain.  Une faible signature radar et infrarouge (avec une hauteur de 1,9 m) et une capacité amphibie complètent les caractéristiques du véhicule.

L’équipage est composé de cinq hommes. Le PARS 4x4 permet d’assurer une large gamme de missions selon sa configuration : véhicule de reconnaissance, commandement, surveillance du champ de bataille, porteur d’arme collective ou antichar, etc.

Ce blindé est amphibie sans préparation grâce aux deux hydrojets placés à l'arrière. Sa vitesse sur l’eau est d’environ 5km/h. Il peut traverser des cours d’eau ou servir pour des opérations de débarquement.

Le PARS 4x4 est aérotransportable par avion de type HERCULES C 130 et sous élingues par hélicoptère CH 47 CHINOOK.

 

VURAN (BMC - Turquie)

En pleine renaissance, la firme turque BMCa présenté en avant-première le véhicule blindé VURAN. 60 exemplaires ont déjà été commandés par les forces spéciales du ministère de l’intérieur turc.

Vuran (Turquie)

Ce blindé monocoque équipé d’un châssis en « V » est optimisé pour protéger l’équipage en cas d’attaque EEI ou de mine antichar. Il est destiné à assurer une large gamme de missions : reconnaissance, commandement ou encore transport de matériel.  

Le VURAN est propulsé par un moteur CUMMINS turbo diesel de six cylindres, et son autonomie sur route est de 600 km. Il est couplé à une boite de vitesse de six rapports. Le véhicule peut franchir des coupures d’eau de 80 cm et gravir une pente de 30°. Il dispose également de suspensions indépendantes avec ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques télescopiques, d’un système de freinage ABS, d’une direction assistée hydraulique et de pneus 395/85R20 qui permettent de rouler sur route comme en tout terrain. Le VURAN transporte jusqu’à neuf personnes.

L’engin présenté lors du salon était équipé d’une tourelle télé-opérée armée d’une mitrailleuse  de calibre 12,7 x 99 mm pour assurer son autodéfense.

 

PMC (ROKETSAN - Turquie)

La firme ROKETSAN présentait pour la première fois la Pedestral Mounted CIRIT(PMC). Il s’agit d’une application sol-sol développée autour de la roquette air-sol à guidage terminal laser CIRIT.

PMC (Turquie)

La roquette CIRIT est connue pour sa capacité de frappe d’une précision élevée et pour son coût faible par rapport à ses concurrentes. Son architecture longiligne permet de l’intégrer sur un grand nombre de plateformes. Initialement prévue pour être l’armement principal des hélicoptères d'attaque TA 129, la CIRIT a déjà été installée sur d’autres versions d’hélicoptères, mais aussi sur des avions de patrouille de frontière, des drones, des plates-formes navales, des plates-formes terrestres fixes et mobiles.

La tourelle télé-opérée (RCWS) du système CIRIT était montée pour l’occasion sur un châssis chenillé FNSS ACV 19. Elle peut également être installée sur d’autres véhicules possédant une charge utile de 600 kg. La tourelle est composée de deux paniers de quatre roquettes. Le système est stabilisé sur deux axes, ce qui permet de tirer en roulant. Elle fonctionne sur un axe de rotation de 360°. Le système est complété par un mat optronique télescopique EOStournant également sur 360°. Ce bloc optronique permet d’observer et de tirer de jour comme de nuit et d’assurer un suivi automatique de la cible à l’aide d’un laser autonome compatible avec le STANAG 3733. L’engin est aérotransportable par avion de type HERCULES C 130.

Pod de tir CIRIT (Turquie)

 

AT MLS (ASELSAN - Turquie)

La firme Aselsan présentait pour la première fois sa tourelle AT MLS, montée sur le véhicule chenillé TULPAR-S à l’occasion du salon.

L’AT MLS (AntiTank Missile Launching System)est de type télé-opérée. Elle était armée de quatre missiles KORNET-E, mais elle peut également être pourvue d’autres types de missiles comme les HELLFIRE et JAVELIN américains ou comme l’OMTAS turc produit par ROKETSAN. La tourelle est également munie d’une arme d’autoprotection allant de la mitrailleuse du type GMPG (modèle choisi lors de la présentation) au canon de 25 mm.

AT MLS (Turquie)

Le poids réduit de cette tourelle permet de l’installer sur une grande variété d’engins et de moderniser à moindres frais des véhicules plus anciens. La tourelle AT MLS est stabilisée sur deux axes, permettant ainsi le tir en mouvement avec une rotation de 360°.

 

Le fusil XTR 12 (UTAS - Turquie)

La firme turque UTAS proposait son nouveau fusil en calibre 12 XTR 12. Cette compagnie avait présenté le modèle UTAS 15 lors du salon IDEF 2011.

Cette nouvelle arme utilise la partie « basse » du fusil AR 15. Cela facilite la prise en main par les utilisateurs habituels d'armes comme le M16ou le HK 416. La crosse est rétractable et peut être réglée en fonction de la taille du tireur et de son équipement.

XTR 12 (Turquie)

Cette arme semi-automatique fonctionne par emprunt des gaz avec un verrouillage rotatif de la culasse. Le canon de 475 mm de long est pourvu d'un cache-flammes réduisant la signature visuelle lors du tir. D’une longueur de 1045 mm crosse déployée, l'arme descend à 965 mm quand celle-ci est rentrée. Sa masse est de 3,6 kg.

Le puit de chargeur accepte les magasins pouvant contenir 2 ,5 ou 7 cartouches. L'arme se démonte facilement en moins de 30 secondes et sans outil. Le fût de l’arme est de type quadri-rails, ce qui permet le montage d'accessoires divers tels un pointeur laser ou une lampe tactique.

Le système de visée original est constitué d'une hausse et d'un guidon ; l'arme possède un rail PICATINNYtout le long du fût et du boitier, qui permet le montage de systèmes de visée optique de type AIMPOINT ou EOTech.

 

GLOCK 43 (Glock – Autriche)

Après avoir dévoilé le GLOCK 42en 2014 et afin de satisfaire les utilisateurs, le groupe autrichien présentait le pistolet GLOCK 43. Il reprend une architecture identique à celle de la version « 42 », et diffère uniquement par son chambrage pour la  cartouche 9 x 19 mm.

GLOCK 43 (Autriche)

Le pistolet mesure 159 mm, pour 86 mm de canon, et pèse moins de 509 grammes. Son chargeur à pile unique réduit l’épaisseur de la poignée pistolet à 26 mm ainsi que la glissière (voir image comparant les GLOCK 43 et GLOCK 26).

Comparatif entre les GLOCK 26 etGLOCK 43 (Autriche)

Le chargeur de l’arme ne contient que six cartouches, ce qui pourrait sembler peu. L’arme conserve les dernières modifications liées à la 4èmegénération des GLOCK, mais a perdu le rail de fixation pour accessoire. Les organes de visée sont dotés de tritium. Compte tenu de l’intérêt que suscitent les armes de la marque autrichienne, il apparait logique que de nombreuses entreprises développent rapidement des accessoires dédiés à cette version.

 

HTGL 0003 (HATSAN - Turquie)

La firme turque HATSAN, habituellement spécialisée dans les armes de calibre 12, présentait pour la première fois le lance-grenades multiple à barillet HTGL 0003. Ce lance-grenades possède un barillet de six grenades.

L'arme est équipée d’une crosse rétractable avec appui-joue réglable en hauteur (selon l’emploi d’une visée mécanique ou optique). Cette crosse peut être démontée lors d’utilisation en espace confiné. Le HTGL 0003 dispose d'une poignée pistolet et d'une poignée antérieure pour une meilleure prise en main.

HTGL 0003 (Turquie)

Le système de visée est constitué d'une hausse rabattable et d'un guidon. Le canon est doté d’un rail PICATINNYqui permet le montage de systèmes de visée « point rouge ». Le chargement et le déchargement du barillet s’effectuent en appuyant sur le verrou placé derrière le barillet. Le barillet bascule alors vers l'avant et donne ainsi accès aux logements des munitions. Ce type d'arme (à barillet) permet de délivrer très rapidement un grand nombre de munitions à létalité réduite ou létale.

 

M3000 R (STOEGER-Turquie)

La firme turque STOEGER présentait de nombreuses armes dont le fusil de calibre 12 M3000 R. Destinée essentiellement aux forces de police, cette arme de conception classique fonctionne par emprunt des gaz. Elle utilise la large gamme de munitions de calibre 12, telle l’AM 403 PSR produite par le groupe brésilienCONDOR.

Sa crosse pleine fixe en matière synthétique est pourvue d’une couche en caoutchouc alvéolée qui permet de réduire l’effet du recul, et ainsi d’améliorer les conditions de tir. Un rail PICATINNY surélevé est fixé sur le dessus du canon, après la boite de culasse, pour le montage de systèmes de visée optique point rouge (AIMPOINT par exemple). Le magasin tubulaire est placé parallèlement sous le canon et peut contenir deux ou quatre cartouches. Le canon de 610 mm peut être équipé d’un cache-flammes ou d’un compensateur de relèvement. L’arme sans accessoire pèse 3,5 kilogrammes.

STOEGER M 3000 R (Turquie)

 

ATA ARMS Neo Tactical 2 (STOEGER-Turquie)

Le nouveau fusil semi-automatique ATA ARMS Neo Tactical 2 fonctionne par emprunt des gaz. Il possède une crosse pleine fixe avec poignée pistolet intégrée. La crosse est pourvue d’une plaque de couche en caoutchouc afin de limiter les effets du recul. Le fut en matière synthétique englobe le magasin tubulaire placé parallèlement sous le canon. Un bouchon à l’extrémité du magasin permet d’ajouter une extension afin d’augmenter la capacité en munitions.

Le système de visée est constitué d’une hausse montée sur rail PICATINNY et d’un guidon surélevé protégé par des oreilles de protection. Le rail PICATINNY permet de monter un système de visée de type point rouge. Le canon de 470 mm est pourvu d’un cache-flamme limitant la signature visuelle lors du tir.

Compte tenu de la variété des munitions de calibre 12 disponibles sur le marché, l’arme peut être utilisée par la police (maintien de l’ordre, opérations en zone urbaine, destruction de moteurs de véhicules, etc.) ou par une force militaire (combat en zone urbaine, combat en jungle, surveillance de zones sensibles, etc.).

 

CONDOR GL 120 CS et  AM 403 PSR (CONDOR - Brésil)

La firme brésilienne CONDOR, spécialisée dans les munitions à létalité réduite, présentait de nombreuses nouveautés dont :

la grenade GL 120 CS de type lacrymogène dispose d'un bouchon allumeur dont le retard est très court (0,5 à 3,5 s) afin d’empêcher le renvoi de la grenade sur le lanceur. Cette munition offre l'avantage de ne pas bruler permettant notamment de l'utiliser dans une maison sans déclencher d’incendie.

GL 120 CS (Brésil)

la cartouche de calibre 12 AM 403 PSR permet d’arrêter un personnel à très courte portée. Cette munition est très précise jusqu’à 20 mètres. Sa hauteur est de 64 mm et elle pèse moins de 20 grammes.

AM 403 PSR

 

Arsenal GLV-REFJ et  RLV-3RB (Arsenal Jsc 2000 - Bulgarie)

La firme bulgare présentait de nombreuses nouveautés pour cette édition 2015 parmi lesquelles deux nouvelles grenades :

-       la grenade antipersonelle bondissante GLV-HEFJ

Cette munition est destinée à traiter des personnels en terrain découvert ou dans des tranchées.Cette grenade à la particularité de rebondir à l'impact comme le VOG 25 P, elleexplose entre 0,5 mètre et 2,5 mètres, elle a un rayon létale de 9 mètres. C’est une grenade de 40 x 46 mm basse vélocité avec une charge à fragmentation. La grenade a une sécurité de bouche de 10 mètres et intègre une autodestruction à temps comprise entre 14 et 19 secondes.  La portée maximum est de 400 mètres, cette grenade mesure 115 mm de haut pour un poids de 267 grammes, elle est compatible avec tous les lance-grenades normalisés OTAN comme un M 203 ou le Milkor MGL.

Arsenal GLV-HEFJ

-       la grenade à létalité réduite RLV-3RB

Cette grenade est destiné aux operations de maintien de l'ordre pour les forces de l'ordre ou aux opérations de maintien de la paix pour les forces armées.

la charge de la grenade est constitué de trois projectiles en caoutchouc destinnés à disperser un groupes d'individus. La portée pratique est de 30 mètres et la portée maximale est de 90 mètres.Cette grenade mesure 103 mm de haut pour un poids de 225 grammes.

Arsenal RLV-3RB

 

Munitions à létalité réduite (DAEKWANG Chemical Co - Corée du Sud)

La firme sud-coréenne DAEKWANG présentait de nombreuses munitions parmi lesquelles :

- la grenade de 40 mm lacrymogène à basse vélocité DK 40 U, d’une portée pratique de 100 mètres mesure 102 mm et pèse 133 grammes. Le conteneur qui contient le lacrymogène se déclenche 2 à 3 secondes après le tir. Il délivre le gaz lacrymogène pendant une période allant de 15 à 25 secondes. Ce type de munition est utilisé contre des forcenés ou pour disperser un groupe de manifestants.

DK 40 U

- la grenade de 40 mm à basse vélocité DK 40 R 60 contient plus de 60 billes de chevrotines en caoutchouc. Elle mesure 127 mm pour une masse de 110 grammes. Elle projette une gerbe de billes d’un diamètre de 12 mm à près de 50 mètres. Cette munition sera employée pour disperser un groupe de manifestants violents sans les blesser.

DK 40 R 60

 

KVITNYK-E (UKROBORONPROM-Ukraine)

La munition d'artillerie à guidage terminal KVITNYK-Eest disponible en 152 ou 155 mm. Elle est guidée sur l'objectif via un système de désignation laser. Durant la phase finale du vol, le bloc laser placé à l’avant de la munition se cale sur la tache laser émise par un pointeur déporté, calcule les corrections à effectuer, et pilote la munition grâce à des gouvernes situées à l’avant du projectile. Ce type de munition guidée permet de limiter la quantité de munitions consommées mais aussi les dommages collatéraux.

KVITNYK-E

Le KVITNYK-E mesure 1 250 mm et pèse 50 kg. La charge explosive pèse huit kilos. Cette munition sera employée en priorité contre les véhicules blindés légers à mobilité réduite, les pièces d'artillerie, les postes de commandements, les postes de transmissions, les ponts ou encore les fortifications.

 

MOSKITO-TI (VECTRONIX-Suisse)

La firme VECTRONIX présentait le MOSKITO-TI. Ce bloc optronique monoculaire portatif permet de surveiller et de recueillir nombres d’informations. Il intègre trois voies (« jour » de grossissement X6, à basse luminosité et thermique), un télémètre laser Eyesafequi permet une prise de mesure allant de 10 à 10 000 mètres, un pointeur laser IR Eyesafe, un compas magnétique et en option un système de positionnement GPS, GLONASS, ou GALILEO selon le client.

MOSKITO TI

Son encombrement est réduit (dimensions de 130x170x880 mm) et il pèse moins de 1,33 kg. Il est alimenté par quatre piles de type CR 123, permettant une autonomie de six heures. Ce système à l’ergonomie travaillée permet une bonne prise en main et une mise en œuvre facilitée.

 

ENGEREK 4C 640 (TRANSVARO-Turquie)

ENGEREK 4 C 640 est une lunette de visée thermique pour arme d’épaule. Elle permet le tir de jour comme de nuit, mais également à travers la fumée.

La lunette fonctionne dans la bande spectrale des 8-14 µm. Elle possède un capteur de 640x480 pixels pour un champ de 16° et un grossissement de 1. L’alimentation assurée par deux piles AA offre une autonomie de quatre heures. Pour faciliter la prise de visée, l’optique est couplée à un pointeur laser IR d’une longueur d’onde de 650 nm.

Cette lunette thermique non refroidie compacte (142x70x83 mm) pèse moins de 453 grammes. L’optique est étanche jusqu’à un mètre de profondeur et la température de fonctionnement est de -45°c à +55°c.

ENGEREK 4C 640

 

MEERKAT LFA (INSTRO PRECISION - Grande Bretagne)

La firme britannique INSTRO PRECISION, reconnue pour la qualité de ses produits utilisés par de nombreuses armées, présentait le MEERKAT LFA, support trépied ultra léger.

Cette base est équipée de pieds indépendamment réglables en longueur. Sa configuration permet au LFA de travailler au plus près du sol réduisant ainsi au maximum la hauteur de la lunette de l’observateur, ce qui le protège des vues.

Le MEERKAT LFA pèse seulement 890 grammes et peut supporter un système de visée optique de plus de cinq kilogrammes. En position haute il mesure 709 mm et 167 mm en position basse. En position de transport, l’encombrement est de 103x106x500 mm.

Ce système intéresse dès à présent de nombreuses unités et notamment des entités américaines.

MEERKAT LFA

 

FRR (SCOTT Safety - Grande-Bretagne)

La compagnie britannique SCOTT Safety, spécialisée dans les équipements NRBC, présentait le nouveau masque à gaz FRR (First Responder Respirator).

L’apparition de cet équipement fait suite à la demande du ministère britannique de la défense qui souhaitait un masque performant et surtout simple d’utilisation. Le FRR est une évolution du GSR déjà adopté par de nombreux pays.

Le masque emploie des filtres NRBC à vocation civile et militaire. Il est disponible en cinq tailles. La conception modulaire du système permet de simplifier sa maintenance. Le FRR est doté d’une canule qui permet de s’hydrater. La face interne du masque possède une première partie à double joint qui améliore le confort et augmente la protection. Les valves jumelles montées en série permettent d’assurer une inspiration hautement purifiée avec une faible résistance du flux d’air. Le système de « masque dans un masque » a été breveté et permet une protection inégalée tout en contrôlant les effets de sudation.

Le masque peut être couplé à une interface d'amplification vocale de communication radio, une bouteille d’air auxiliaire et il peut recevoir des filtres optiques (IR, UV, etc.).

FRR

 

XQ 06 "FI" (KARTAL SavunnaTeknolojileri - Turquie)

La firme turque présentait pour la première fois le drone UAS XQ 06 « FI ». Ce système est de type « Hunter-Killer ».

Ce système permet à une équipe réduite d’effectuer un tir de précision à longue distance en l’absence de soutien d'artillerie ou d’appui aérien. Il est notamment capable de détruire un Pick-up à près de douze kilomètres.

XQ 06 « FI »

Ce système économique possède aussi l’avantage de posséder une signature sonore réduite. Le XQ 06 « FI »est conditionné dans un conteneur qui sert de tube de lancement, ce qui réduit son encombrement au transport.

Le système en vol pèse moins de 3,5 kilogrammes. Son envergure est de 150 centimètres et sa vitesse est comprise entre 75 et 112,5 km/h. Son altitude maximale est de 4 600 mètres et son autonomie est de 15 minutes. Il peut transporter jusqu’à 500 grammes d'explosif. L'acquisition de la cible s’effectue au moyen d’une caméra embarquée.

 

MRTP 45 (YOUNCA ONUK - Turquie)

La firme turque Younca Onuk spécialisée dans la construction de bâtiments de surface de type Fast Patrol et Fast Attack Craft présentait le MRTP 45.

Les bâtiments de type MRTP ont été conçus pour maximiser l'autonomie, le poids de l'équipement embarqué, la vitesse, la modularité, les capacités en mer, la fiabilité et une maintenance aisée. Dans le même temps, les études avaient pour but de réduire les coûts, les dimensions, le nombre de personnels embarqués et la signature radar du bâtiment.

Le MRTP 45 est la plus grande unité présentée par l'entreprise, avec une longueur de 48 mètres pour une masse de 270 tonnes. Selon la version, il est propulsé par trois moteurs diesels de 4300 kW ou par deux moteurs diesels de 1939 kW et de deux turbines à gaz de 7621 kW. La vitesse maximale est de 60 nœuds soit environ 111 km/h. Son autonomie est donnée pour 2 000 miles nautiques soit environ 3 700 kilomètres.

Le bâtiment sera configuré à la demande du client. La maquette présentée était armée d'une tourelle « stealth » de 57 mm à la proue, de tourelles télé-opérées STAMP sur les côtés, d'un lanceur de missiles anti-navires HARPOONBLOCK 2, de lanceurs de missiles anti-aériens IGLA et d'un lanceur RAMà la poupe.

MRTP 45

 

Torpille anti-torpille TORK (ASELSAN - Turquie)

La torpille anti-torpille TORK conçue par la compagnie turque ASELSAN était présentée pour la première fois.

Cette munition est destinée au missions de contre mesure et de destruction contre les torpilles lancées depuis les sous-marins, les bâtiments de surface ou les avions de patrouille maritime. Elle se distingue des torpilles de combat par sa manœuvrabilité et sa vitesse.

TORK

Elle peut être installée sur des bâtiments de surface et possède un système de guidage actif. La munition à vocation Hard-killmesure plus de 2 mètres, pour un diamètre de 200 mm et une masse de 200 kilogrammes.

Bien qu’il ne soit pas encore en service, ce nouveau produit démontre le dynamisme de la firme turque ASELSAN.

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1 juin 2015 1 01 /06 /juin /2015 16:55
Les drones : vers plus de furtivité

 

01/06/2015 Economie et technologie

 

Un drone est un appareil sans pilote, autonome programmé pour une mission ou télécommandé à distance. C’est à la fois l’aéronef et la station au sol qui permettent de le diriger. Sa fonction première, c’est de voir, de prolonger le regard, d’augmenter la distance de vue.

 

Il existe deux sortes de drones : les drones de moyenne ou haute altitude, avec longue autonomie, pour le renseignement ; ou bien des drones tactiques, plus petits, avec peu d’autonomie mais discrets, pour surveiller le champ de bataille et aider le soldat sur le terrain.

 

Avec l’arrivée du démonstrateur de drone de combat Neuron, la connaissance sur la furtivité a considérablement été améliorée. Pour atteindre ces performances, les ingénieurs ont notamment travaillé sur les matériaux et sur sa forme.

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 16:20
Premier vol du Sikorsky S-97 Raider

Avec une vitesse de 240 kt, Sikorsky vise les clients militaires... et civils. Avec ses deux rotors contrarotatifs et son hélice propulsive, ce combiné incarne une nouvelle génération d’hélicoptères. - photo Sikorsky

 

31.05.2015 par Aerobuzz.fr
 

Le Sikorsky S-97 Raider a débuté ses essais en vol. Successeur du démonstrateur X2, ce combiné possède deux rotors contrarotatifs et une hélice propulsive – mais pas de moignons d’ailes. Le constructeur américain vise d’abord des applications militaires mais n’exclut pas un usage civil.

Le premier vol a eu lieu à West Palm Beach, en Floride, a annoncé Sikorsky le 22 mai. Il a duré environ une heure, au cours de laquelle le pilote Bill Fell et son copilote Kevin Bredenbeck ont testé le vol stationnaire et les basses vitesses. Les évaluations à venir vont porter sur les performances liées à des missions de reconnaissance armée, d’attaque et d’opérations spéciales.

 

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 22:50
Pour le patron d'Airbus, le crash de l'A400M ne remet pas en cause sa conception

Des défauts de procédure de contrôle pourraient avoir causé le crash de l'A400M en Espagne, selon le patron d'Airbus, Fabrice Brégier. photo Airbus Military

 

30/05/2015 latribune.fr

 

Fabrice Brégier, le PDG d'Airbus estime que la faille à l'origine de l'accident d'un A400M début mai en Espagne est à chercher au niveau des procédures de test.

 

Pas d'erreur dans la conception de l'A400M. C'est ce que 'affirme le patron de la filiale aéronautique civile d'Airbus Group. "La conception de l'avion n'est pas à remettre en cause", a affirmé Fabrice Brégier lors d'une émission organisée par FranceInter, ITélé et les Echos ce samedi. Il était invité à donner son opinion sur les causes possibles de l'accident survenu le 9 mai à Séville qui a causé la mort de 4 personnes et fait 2 blessés graves.

 

Procédures de tests

Deux jours plus tôt, Marwan Lahoud, le directeur de la stratégie chez Airbus Group, a admis dans le quotidien allemand Handelsblatt qu'un problème au niveau de la production finale a pu provoquer un crash. "Il n'y a pas de défaut structurel" a-t-il néanmoins nuancé. Il serait question d'un problème dans l'installation du logiciel de contrôle des moteurs.

Réagissant à ces informations, Fabrice Brégier a indiqué:

"Ensuite, il y a eu, effectivement, soit une faiblesse dans les procédures de test des avions avant la mise en vol, car il s'agissait du premier vol d'un avion de série, soit un problème qui provenait de la mise en oeuvre de ces procédures".

 

"On tire l'ensemble des conséquences d'un tel accident"

Si la responsabilité du programme A400M donc d'une enquête sur les causes de l'accident échoit à la branche défense d'Airbus Group, le dirigeant de la branche civile à souligné:

Au niveau du groupe, on tire à chaque fois l'ensemble des conséquences d'un tel accident, ou même d'un incident".

Fabrice Brégier, qui s'exprimait quelques jours avant l'ouverture du salon du Bourget, a assuré: "on n'a pas eu, à Toulouse, de problème au cours des 20 dernières années."

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 11:50
Vente de 50 Caracal : Airbus Helicopters a passé une nouvelle étape en Pologne

Les négociations avec Airbus Helicopters pourraient débuter en juin et durer 90 jours (photo Airbus HC)

 

27/05/2015 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

L'appareil H225M Caracal du constructeur de Marignane a passé avec succès les essais en vol en Pologne, en vue de conclure un contrat d'acquisition de 50 exemplaires de cet appareil fabriqués localement.

 

 

C'est encore une bonne nouvelle pour Airbus Helicopters. L'appareil H225M Caracal du constructeur de Marignane a passé avec succès les essais en vol en Pologne, en vue de conclure un contrat d'acquisition de 50 exemplaires de cet appareil, a indiqué ce mercredi l'armée polonaise. "Je peux annoncer aujourd'hui avec certitude que cet hélicoptère a rempli toutes les exigences des forces armées, en conformité avec l'offre d'Airbus", a déclaré à la presse sur la base aérienne de Powidz, le général Miroslaw Rozanski, du ministère de la Défense.

Désormais, le dossier passe au ministère de l'Économie pour des négociations avec Airbus Helicopters d'un programme d'investissement et de transfert de technologies et, une fois cet accord acquis, au ministère de la Défense qui va "négocier les précisions à apporter au contrat final", a-t-il précisé. "Nous sommes à mi-chemin" sur ce dossier, a estimé le général Rozanski. Les négociations avec Airbus Helicopters pourraient débuter en juin et durer 90 jours, a-t-il indiqué.

 

Airbus Helicopters sélectionné

Varsovie avait annoncé fin avril avoir choisi l'offre d'Airbus pour des essais en vol, ce qui déjà laissait augurer une signature d'un contrat définitif, estimé par la presse polonaise à 13 milliards de zlotys (3,2 milliards d'euros). La Pologne a préféré l'offre d'Airbus Helicopters à celles de l'américain Sikorsky et du groupe italo-britannique AgustaWestland. Après la conclusion du contrat, les premiers appareils, encore montés en France, devraient arriver en Pologne en 2017, tandis que ceux assemblés en Pologne les suivraient en 2018, avait précisé par la suite le PDG d'Airbus Helicopters, Guillaume Faury.

Selon Guillaume Faury, Airbus Helicopters souhaite faire de la Pologne son "cinquième pilier" en Europe, après la France, l'Allemagne, l'Espagne et la Grande-Bretagne. La commande attendue de 50 hélicoptères Caracal devrait déboucher sur la création de 1.250 emplois directs et 2.000 indirects en Pologne, a-t-il indiqué. Il a déclaré que son groupe, qui emploie actuellement 900 personnes en Pologne, installerait une chaîne de montage de Caracal à Lodz (centre), où Airbus Group avait déjà ouvert récemment un centre de recherche.

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