1 juillet 2014
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Visite à Gao d'une délégation du ministère des affaires étrangères guidé par un officier du CIAE, chef APEO. Photo J.Bardenet AdeTerre EMA
27/06/14 par Grégory Charvieux - portail-ie.fr
Parler d’influence dans les forces armées, c’est avoir à l’esprit « la guerre au sein des populations ». Certains alliés utilisent aussi l’influence pour faciliter la signature de contrats économiques. De fait, l’actuel déficit commercial de la France et les opportunités offertes aux militaires en opérations pourraient entraîner le développement d’une nouvelle stratégie d’influence au sein des armées et ce, dans un cadre interministériel.
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18 juin 2014
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Source ANAJ-IHEDN
Le transfert de savoir-faire de nos armées, vecteur d’influence de la France à l’international ?
Par Jean-Michel PALAGOS, Président-Directeur Général de Défense Conseil International
18 octobre 2013
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17 octobre 2013 ActuDéfense
Pour les lecteurs, fidèles ou simples passants, qui passent encore par les pages d’ActuDéfense, sachez que j’ai ouvert un nouveau blog. Guerres et Influences n’est pas un site d’information, comme l’était ce blog-ci, mais un lieu de réflexion et de débat sur les stratégies d’influence dans le cadre des conflits armés.
Vous pourrez y trouver des informations et des analyses sur des problématiques liées à la communication, à la stratégie d’influence, aux médias, à l’information et à la désinformation.
N’hésitez pas à venir y jeter un oeil et à en parler autour de vous : Guerres et Influences.
25 septembre 2013
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24.09.2013 IHEDN
Le professeur Michel Foucher, géographe et ancien directeur du département de la formation, des études et de la recherche de l’Institut, nous propose au travers son dernier ouvrage de découvrir l’influence française sous un nouveau jour.
« Notre pays a de l’avenir. En voici la démonstration, cartes à l’appui.
En des domaines aussi divers que la gastronomie, le droit international, l’archéologie, le code civil, l’art de vivre, la culture ou le luxe, la France exerce depuis des siècles une influence incontestable dans le monde.
L’atlas analyse la place réelle de notre pays dans le concert international, mais aussi la façon dont il est perçu d’une nation à l’autre. C’est ainsi que la France peut aussi bien évoquer le romantisme pour un Chinois que le positivisme pour un Brésilien.
Au-delà d’un simple état des lieux, cet atlas affirme et démontre, cartes à l’appui, l’ampleur du pouvoir d’influence “ à la française ” à travers le monde. Il trace les contours futurs de ce pouvoir et les moyens de le redéployer pour le rendre le plus efficace possible. Il ne s’agit plus, comme la France l’a trop longtemps fait, de dispenser des leçons aux autres pays, mais bien plutôt de devenir une référence, une nation créative, un lieu d’initiative qui inspire et entraîne nos partenaires mondiaux. »
Fort de ses activités de formation et de sensibilisation et de son département des activités internationales, l’IHEDN participe activement au rayonnement de la France sur la scène internationale, ce rôle est par ailleurs souligné dans cet ouvrage aux pages 60 et 61.
Pour feuilleter le livre, cliquez-ici : http://fr.calameo.com/read/0009135448bd408584323
24 juillet 2013
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24.07.2013 Bruno Racouchot - COMES COMMUNICATION
La montée en puissance de l'affaire Snowden début juillet n'aura surpris que ceux qui s'évertuent à nier la réalité des jeux de pouvoir à l'échelle planétaire. Oui, les Etats-Unis ont mis la planète sur écoute. Oui, ils surveillent leurs alliés, l'Europe au premier chef. Oui, leurs pôles d'intérêt dépassent de loin la guerre contre la drogue ou le terrorisme. Oui, ils se servent de leur puissance pour vaincre dans une guerre économique où tous les coups sont permis, pour faire gagner leurs entreprises. Mais cela n'est pas nouveau. Par angélisme ou par faiblesse, nous préférons ignorer ces réalités, résultat d'une combinaison subtile entre hard et soft power.
Dans l'entretien qu'il m'a accordé, Bernard Carayon dénonce notre aveuglement. Aujourd'hui avocat, maître de conférences à Sciences Po Paris et président de la Fondation Prometheus qui entend défendre les intérêts stratégiques des entreprises françaises, Bernard Carayon est connu pour avoir été un parlementaire extrêmement actif dans le domaine de l'intelligence économique. Depuis des années, il ne cesse de tirer le signal d'alarme. Finissons-en avec l'angélisme. Ouvrons les yeux. Soyons réalistes et déterminés. La France et l'Europe ont des atouts, nous pouvons gagner la bataille de la mondialisation. A condition toutefois de ne pas nous faire imposer les règles par d'autres et de bien maîtriser les techniques de l'influence.
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25 juin 2013
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Juin 2013 par Bruno Racouchot - Communication & Influence N° 45
La revue Communication & Organisation (Presses universitaires de Bordeaux) consacre son 42ème numéro au thème : La communication, dimension oubliée de l'intelligence économique. Avec Alain Juillet, ancien Haut responsable à l'intelligence économique, nous y cosignons un article portant sur le rôle-clé de l'influence. Car l’intelligence économique et la communication sont deux univers qui, en France, se connaissent mal. Un constat d’autant plus paradoxal qu’à l'origine, la competitive intelligence a pour objet non seulement la recherche et la sécurisation de l’information, mais aussi sa diffusion en interne et en externe, auprès de cibles dûment identifiées.
Cette communication peut se faire ouvertement ou sur un mode plus subtil et transverse, via les stratégies d’influence. Sans coercition, l’influence vise à modifier le paradigme de pensée de la cible, à modifier ses fondamentaux, par la raison ou la séduction. Pour rayonner et influer sur ceux qui nous observent, il faut avoir une identité puissante et assumée, savoir qui l’on est et où l’on va. Ce qui implique de savoir questionner et donner du sens. En s’imposant tout à la fois comme faculté de création - via le questionnement ontologique - et faculté d’action pure dans la guerre économique, l’influence peut légitimement apparaître comme le "noble art" de l’intelligence économique.
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