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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 16:35
Die Quick Reaction Force (QRF) Afghanistan - Trailer zur Miniserie

 

02.07.2014 Bundeswehr

 

In der neuen Miniserie begleiten wir die Schnelle Eingreiftruppe oder auch Quick Reaction Force (QRF) des Regionalkommandos Nord (RC North) in Masar-i-Scharif, Afghanistan.

Die QRF unterstützt dort wo sie gebraucht wird, ob ISAF, afghanische Armee oder andere Sicherheitskräfte.

 

Die neue Miniserie auf dem YT-Kanal der Bundeswehr jeweils am Freitag ab der 27.KW 2014

 

Quelle: Zentralredaktion der Bundeswehr 14E20204 07/14

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:35
Lithuanian special operations forces personnel headed home having completed their task in the province of Zabul, Afghanistan, successfully

Photo credits: I.Budzeikaitė and LITHSOF

 

2014.06.30 kam.lt

 

On June 29 personnel of the Lithuanian Special Operations Force’s Aitvaras squadron departed from the province of Zabul of Afghanistan. The Lithuanian military have transferred the responsibility for security in the province to local security forces thus successfully completing the task entrusted to them by NATO and leadership of the Lithuanian Armed Forces. Since 2007 Lithuanian Special Operations Squadron has been completing high-intensity combat assignments in Zabul province of Afghanistan as part of NATO’s ISAF (International Security Assistance Force) and trained for carrying out its duties a special rapid response company of Afghan National Police in Zabul.

 

Having left Zabul the Lithuanian Special Operations Forces personnel are still acting as part of NATO operation in Afghanistan and are completing combat tasks in Kandahar province where their assignment is to provide training for the special rapid response company of the Afghan National Police in Kandahar.

 

The formal transfer of responsibility for security ceremony y was held in Zabul on June 4. “The fact that we are able to finalise the training we have been providing for local security forces and to transfer the responsibility for security for the special company of the Afghan National Police in Zabul is a clear evidence that our Special Operations Forces troops are successful with reaching the objectives of the multinational operation in Afghanistan,” Commander of the Lithuanian Armed Forces Lieutenant General Arvydas Pocius said at the ceremony.

 

While completing the tasks of NATO operation in Zabul Lithuanian military received plenty of praises from allies for their readiness level and the ease with which they were fulfilling the most complex of the tasks.

 

The tasks of the Lithuanian Special Operations Forces troops in Zabul was to train officers of the special company of the Afghan National Police and to prepare them for independent completion of their duties: from operational planning and completion of tasks to operational control.

 

Also, Lithuanian troops were completing special operations of different spectra (special reconnaissance, identification and neutralisation of enemy commanders) to enhance the effect of training and contribute to the improvement of the security situation in the province. While delivering training Lithuanians not only delivered their experience for their Afghan students but also earned the trust of the local security forces.

 

Lithuanian special operations forces personnel headed home having completed their task in the province of Zabul, Afghanistan, successfully
Lithuanian special operations forces personnel headed home having completed their task in the province of Zabul, Afghanistan, successfully
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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 12:35
Nato foreign ministers finalise plans for Operation Resolute Support

 

27 June 2014 army-technology.com

 

Nato foreign ministers have finalised operational plans for the launch of a new Nato-led mission to train, advise and assist the Afghan National Security Forces (ANSF).

 

Established in December 2001, the Nato-led international security assistance force (ISAF) combat mission in Afghanistan, also known as Operation Enduring Freedom (OEF), is scheduled to stop at the end of this year, making Afghan troops and police fully responsible for security across the country. As such, a new mission has now been agreed.

 

During the meeting in Brussels, Belgium, Nato secretary general Anders Fogh Rasmussen said: "Today, we endorsed the detailed operational plan for that new mission, called Resolute Support. But it is the Afghans who must take the next step. The necessary security agreements must be signed soon. Otherwise, we will not be able to keep any troops in Afghanistan from next year."

 

"This is not what we want, but unless we have the agreements in place, it will be the only option available."

 

In addition, the ministers reconfirmed their commitment to provide funding to the ANSF, while making clear that the Afghan Government should also fulfil their commitment to combat corruption and contribute an increasing amount to the funding of their own forces.

 

Expected to begin on 1 January 2015, the non-combat training and advisory effort will use between 8,000 to 12,000 soldiers to train, advise and assist Afghan forces.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 17:35
Vaste assaut des talibans dans le sud de l’Afghanistan

 

25 juin 2014 par Nicolas Laffont

 

Des centaines de talibans ont lancé une grande offensive dans le sud de l’Afghanistan et affrontent l’armée nationale dans ce qui est désormais LE test pour des soldats locaux appelés à sécuriser leur pays sans l’aide des troupes de l’OTAN d’ici six mois.

 

C’est dans le bastion taliban d’Helmand que 800 talibans, selon les autorités afghanes, combattent l’armée depuis cinq jours.

 

Omar Zwak, porte-parole du gouverneur de la province de Helmand, a indiqué que les combats avaient d’ores et déjà fait plus de 150 morts, dont environ 100 talibans, plus 21 soldats et une quarantaine de civil, dont des femmes et enfants.

 

Les affrontements se déroulent dans quatre districts du nord du Helmand: Sangin, Nowzad, Kajaki et Musa Qala. Ils ont déjà provoqué l’exode de plus de 2.000 familles, soit entre 10.000 et 20.000 personnes.

 

Les talibans ont placé des bombes artisanales sur les routes et dans plusieurs villages pour gêner la progression des forces afghanes, selon les autorités locales.

 

Des renforts ont été envoyés sur place, a indiqué le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Siddiq Siddiqi, en affirmant que les forces afghanes n’avaient déploré aucune «perte importante de territoire».

 

Suite de l’article

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:35
Afghanistan : transfert de gouvernance de l’aéroport de KAIA aux autorités afghanes

 

 

12/06/2014 Sources : EMA

 

Le 4 juin 2014, le docteur Rassouli, Président de l’aéroport civil de Kaboul, et le général de division Olivier Taprest, commandant l’aéroport international de Kaboul (COMKAIA), ont cosigné une attestation marquant la finalisation de la formation des techniciens afghans dans le domaine des communications, des systèmes de surveillances et d’aide à la navigation aérienne.

 

Cette signature marque une étape importante dans le processus de transfert de responsabilité de l’aéroport de Kaboul à l’aviation civile afghane, transfert qui constitue l’une des missions principales du COMKAIA. Ce processus devrait se poursuivre à l’automne 2014 par une prise en compte par les autorités afghanes de la météorologie et de la sécurité aérienne.

 

Le transfert progressif de l’aéroport aux autorités afghanes s’étendra jusqu’en 2015, notamment en ce qui concerne les services du contrôle aérien et de secours plateforme.

 

Fin 2014, une centaine de personnels afghans auront été formés par la coalition, en particulier depuis le 1er octobre 2012, sous le commandement français de l’aéroport. Néanmoins, pour prendre en charge la responsabilité complète de l’aéroport de la capitale, l’aviation civile afghane devra recourir à l’externalisation de certaines prestations comme la supervision du personnel formé par la coalition, la maintenance des matériels, ou encore l’entretien des pistes.

 

Cette transition par paliers constitue un enjeu à la fois pour l’Afghanistan, qui doit recouvrer son autonomie dans ce domaine et pour la communauté internationale, qui doit réussir ce transfert en parallèle de son désengagement.

 

350 militaires sont chargés de poursuivre l’engagement français jusqu’à la fin de la mission de l’ISAF en 2014, à travers notamment le commandement de l’aéroport de KAIA, le fonctionnement de l’hôpital médico-chirurgical militaire français de KAIA, l’appui à la formation de l’armée nationale afghane, la participation aux fonctions d’état-major dans les structures de l’ISAF et le commandement du laboratoire européen contre-IED.

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 16:35
Afghanistan : dernière participation des mentors à une graduation de l’ABS

 

03/06/2014 Sources : EMA

 

Le 14 mai 2014, sur le camp de Pol E. Charkhi, situé à environ 20 km de Kaboul, s’est déroulé la cérémonie de fin de formation du 6e kandak( bataillon) de l’Armor Branch School (ABS), l’école des blindés afghane.

 

Le général de division aérienne Olivier Taprest, commandant l’aéroport international de Kaboul (KAIA) et la force Pamir, le colonel Philippe Sagon, commandant le détachement EPIDOTE 34 ainsi que les mentors de l’ABS étaient présents à cette cérémonie, présidée par le chef d’état-major de l’armée afghane, le général Karimi.

 

Le 6e kandak de l’ABS fait partie du programme Mobile Strike Force (MSF). Celui-ci a été mis en place en février 2012 afin de former sept bataillons mécanisés de réaction rapide et dix-sept sections de forces spéciales d’ici janvier 2015. Plus de 600 militaires afghans arment ce kandak qui est équipé de 58 véhicules blindés (MSF-V) de différentes versions: tourelle, mitrailleuse et ambulance. Après avoir formé les instructeurs, puis supervisé leur travail, le détachement Epidote a assuré le mentoring de l’encadrement et du commandement de l’ABS. Les mandats d’Epidote 33 et 34 ont ainsi participé à son accompagnement sur les volets de la gestion administrative et logistique, de la planification et de la coordination. Selon les normes de l’OTAN, l’école sera autonome cet été, période à laquelle les militaires français la quitteront.

 

Au terme de sa formation, qui a duré vingt-deux semaines, le 6ekandaks’est illustré à l’occasion d’une démonstration interarmées le 30 avril dernier. Le lendemain de la cérémonie, il a été déployé dans la région de Jalalabad, à l’est de Kaboul.

 

La France accompagne depuis 2002 dans le cadre de la mission EPIDOTE, la montée en puissance de l’armée nationale afghane en assurant la formation et le conseil des militaires afghans. Depuis 2010, 289 soldats français ont participé à la formation des Kandaksau sein de la Tank School, puis de l’ABS.

Afghanistan : dernière participation des mentors à une graduation de l’ABSAfghanistan : dernière participation des mentors à une graduation de l’ABS
Afghanistan : dernière participation des mentors à une graduation de l’ABS
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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 09:35
Afghanistan: 5 soldats de l'Otan tués par un bombardement allié accidentel

 

 

10 juin 2014 Romandie.com(AFP)

 

Kaboul - La force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) enquêtait mardi sur les circonstances de la mort de cinq soldats de la coalition, qui serait due, selon des responsables afghans, à un bombardement accidentel des forces étrangères.

 

Cinq soldats de la force internationale ont été tués hier (lundi) dans le sud de l'Afghanistan, a annoncé l'Isaf dans un communiqué ne précisant ni les circonstances de leur mort ni leurs nationalités.

 

Deux responsables afghans ont toutefois affirmé qu'ils avaient été tués par une frappe aérienne de la coalition ayant touché par erreur les alliés lors d'une opération contre les insurgés talibans dans la province de Zabul (sud).

 

Nos forces étaient engagées dans des combats contre les insurgés (...) lorsque les soldats étrangers ont sollicité un soutien aérien qui (les) a bombardés par erreur, a déclaré à l'AFP un porte-parole local de l'armée afghane, Mohsin Khan.

 

Un soldat afghan a été également été tué par ce bombardement, a-t-il dit.

 

Cinq soldats de l'Otan ont été tués par un bombardement de leurs propres forces, a confirmé le chef de la police provinciale, Ghulam Sakhi Roghlewani.

 

Interrogé à ce sujet, un porte-parole de la coalition a refusé de confirmer que les soldats de l'Otan avaient été victimes d'une frappe aérienne accidentelle. Une enquête est en cours, a-t-il dit.

 

S'il était confirmé que les soldats de l'Otan lors d'un même incident, il s'agirait de la plus grosse perte pour l'Isaf depuis la mort de cinq soldats britanniques en avril dernier à la suite d'un accident d'hélicoptère Lynx dans la province de Kandahar, bastion des rebelles talibans dans le sud du pays.

 

Les troupes de l'Otan ont achevé en juin 2013 de transférer le contrôle de sécurité du pays aux forces afghanes, n'assurent plus depuis que des missions de formation et de soutien, notamment aérien.

 

Selon le site indépendant icasualities.org, quelque 3.444 soldats de l'Isaf ont été tués depuis le début des opérations en Afghanistan, fin 2001, déclenchées dans la foulée des attentats du 11-Septembre aux États-Unis.

 

La majorité des 50.000 soldats de la coalition quitteront l'Afghanistan d'ici à la fin de l'année, un retrait qui fait craindre une nouvelle flambée de violences dans un pays où les talibans restent forts, malgré plus de douze ans de présence militaire occidentale.

 

Les États-Unis, qui dirigent la coalition militaire depuis le début de cette guerre devenue la plus longue de leur histoire, ont proposé de maintenir 9.800 soldats dans le pays après 2014, avant un retrait graduel d'ici à la fin 2016.

 

La mise en oeuvre de ce plan dépendra toutefois de la signature par le futur président afghan du Traité bilatéral de sécurité (BSA) encadrant les conditions d'une présence militaire américaine après 2014.

 

Le président afghan Hamid Karzaï, en fin de mandat, a refusé jusqu'à présent de parapher cet accord, au grand dam de Washington, mais les deux candidats en lice pour lui succéder, Ashraf Ghani et Abdullah Abdullah, qui s'affronteront samedi lors du second tour, se sont déjà engagés à le signer.

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 06:35
Afghanistan : transfert d’autorité du contingent jordanien.

 

28/05/2014 Sources : EMA

 

Le 10 mai 2014, à Kaboul, le général de division aérienne Olivier Taprest, commandant l’aéroport international (KAIA), a présidé la cérémonie de transfert d’autorité du contingent jordanien.

 

Rattachés au service de la force protection de KAIA, quelque 300 jordaniens sont en charge d’assurer la protection au sein de la base et à proximité de l’aéroport. Equipés de véhicules blindés, ils gardent notamment toutes les portes d’entrée du site et assurent le contrôle des accès.

 

Une quarantaine de militaires français participe à la mission de protection du camp.

 

L’objectif de la force protection est d’assurer la protection des militaires et de garantir un niveau de sécurité permettant de mener les opérations aériennes et terrestres depuis l’emprise de KAIA. Il s’agit d’une mission au spectre large, dont le succès repose sur la maîtrise de l’ensemble des facteurs pouvant avoir un impact sur la sécurité des hommes ou des infrastructures de l’aéroport.

 

La France s’est engagée à assurer le commandement de KAIA jusqu’au 31 décembre 2014. Cette fonction consiste à commander l’activité aérienne de l’aéroport civil et militaire, à garantir la protection de l’emprise de l’ISAF implantée sur l’aéroport international, et à diriger le soutien nécessaire aux 5 000 civils et militaires de la coalition stationnés sur cette emprise. Parallèlement, le commandant de KAIA concourt au transfert de responsabilité de l’aéroport civil aux autorités afghanes, dont l’échéance est elle aussi fixée au 31 décembre 2014.

 

Pour remplir sa mission, le général commandant l’aéroport dispose de près de 750 militaires et civils de 18 nationalités différentes, dont environ 75 français.

Afghanistan : transfert d’autorité du contingent jordanien.Afghanistan : transfert d’autorité du contingent jordanien.
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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 20:35
Afghanistan: la présence des troupes dépendra de la signature du traité

 

27 mai 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Barack Obama a officialisé mardi une présence de troupes américaines en Afghanistan jusqu'à fin 2016, mais prévenu que ce calendrier dépendrait de la signature du traité bilatéral de sécurité (BSA) par le futur président afghan.

 

Lors d'une intervention depuis la Maison Blanche, le président des Etats-Unis a indiqué avoir décidé de maintenir 9.800 militaires américains en Afghanistan à l'issue de la mission de combat de l'Otan à la fin de l'année, avant un retrait complet deux ans plus tard, soit juste avant la fin de son second mandat.

 

Mais, a-t-il souligné, nous ne maintiendrons cette présence militaire après 2014 que si le gouvernement afghan signe l'accord (...) que nos deux gouvernements ont déjà négocié.

 

Cet accord est essentiel pour donner à nos soldats l'autorité dont ils auront besoin pour remplir leur mission, tout en respectant la souveraineté afghane, a ajouté M. Obama.

 

Le président Hamid Karzaï, qui est en fin de mandat, a refusé de parapher le BSA, au grand déplaisir de Washington. Toutefois, les deux candidats qualifiés pour le second tour de la présidentielle afghane du 14 juin, Ashraf Ghani et Abdullah Abdullah, ont annoncé qu'ils le signeraient.

 

M. Obama a relevé ces engagements et fait part de son espoir d'y parvenir.

 

Plus largement, M. Obama a dit vouloir tourner la page de plus d'une décennie pendant laquelle notre politique étrangère a été surtout consacrée aux guerres en Afghanistan et en Irak.

 

Le président, qui doit évoquer mercredi ses priorités de politique étrangère lors d'un discours à l'académie militaire de West Point (New York, est), a espéré que ce nouveau chapitre de la politique étrangère américaine nous permettra de rediriger certaines des ressources que nous économiserons en mettant fin à ces guerres pour répondre de façon plus agile à une menace terroriste en évolution.

 

Je pense que les Américains ont compris qu'il était plus difficile de mettre fin aux guerres qu'à les déclencher, a ajouté le président, qui s'était fait un nom sur la scène politique nationale en 2002 en s'opposant aux projets de son prédécesseur républicain George W. Bush d'envahir l'Irak.

 

Alors que l'Irak reste la proie de graves violences et que le doute plane sur la viabilité du pouvoir central afghan après le départ des forces de l'Otan, M. Obama a aussi concédé que l'Afghanistan ne sera pas un endroit parfait, et ce n'est pas aux Etats-Unis de le rendre ainsi.

 

Toutefois, les Etats-Unis tiendront toujours leurs engagements vis-à-vis des amis et partenaires qui prennent leurs responsabilités, et nous ne laisserons jamais à Al-Qaïda le sanctuaire dont (la nébuleuse extrémiste) jouissait avant le 11-Septembre en Afghanistan, a encore promis le dirigeant américain.

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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 19:36
Afghanistan: Obama va proposer le retrait des forces américaines d'ici fin 2016

 

27 mai 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Barack Obama va proposer mardi de réduire à 9.800 le nombre de soldats américains en Afghanistan début 2015 avant leur retrait complet d'ici fin 2016, a indiqué un haut responsable.

 

Le président des Etats-Unis devait s'exprimer sur ce dossier mardi après-midi, a-t-on précisé de même source.

 

L'objectif affiché par l'exécutif américain est de passer à 9.800 soldats début 2015, puis de réduire ce chiffre de moitié d'ici fin 2015 pour arriver à un retrait complet un an plus tard.

 

D'ici fin 2016, nous reviendrons à une présence diplomatique normale, a ajouté ce haut responsable. Selon un autre responsable américain, cela signifie que 200 soldats américains environ resteraient dans le pays pour la coopération militaire bilatérale traditionnelle.

 

Ce calendrier de retrait deviendra effectif si le Traité bilatéral de sécurité (BSA) est signé.

 

Cette question fait l'objet de vives tensions entre Kaboul et Washington, le président afghan Hamid Karzaï ayant repoussé la signature de ce traité encadrant le maintien d'un contingent américain dans le pays après le retrait des 51.000 soldats de l'Otan d'ici à la fin 2014.

 

Les atermoiements de M. Karzaï sur le BSA ont provoqué l'exaspération de Washington qui a, par le passé, brandi la menace de l'option zéro: ne laisser aucune troupe dans le pays après 2014.

 

Le maintien de troupes américaines sur le sol afghan permettrait aux forces afghanes de continuer à bénéficier d'un soutien militaire, notamment dans le domaine aérien, parent pauvre de l'armée afghane, face aux insurgés talibans.

 

Chassés en 2001 par une coalition militaire internationale menée par les Etats-Unis, les rebelles islamistes mènent une guérilla meurtrière que plus de douze ans d'intervention occidentale n'ont pas réussi à mater.

 

M. Obama a effectué dimanche un bref déplacement surprise sur la base de Bagram, où il a rendu hommage aux soldats américains engagés en Afghanistan.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 11:35
photo ISAF

photo ISAF

 

 

11/05/2014 Nicolas Ropert, avec Charles Haquet  - lexpress.fr

 

Longtemps moqués pour leur amateurisme, les militaires afghans impressionnent désormais par leur aplomb et leur ténacité. Au point que certains s'interrogent, à l'approche du second tour de la présidentielle, en juin : leur popularité risque-t-elle de faire de l'ombre au pouvoir civil ?

 

Dans la province orientale du Nangarhar, frontalière du Pakistan, le long convoi s'ébranle vers le sud. Une cinquantaine de pick-up Ford aux couleurs de l'armée nationale afghane (ANA), progresse dans cette base arrière des talibans. La veille, le général de brigade Dadan Lawang a assigné leur mission à ses 250 soldats : "Défendre l'Afghanistan contre les ennemis qui détruisent nos mosquées et brûlent nos écoles."

Il est rare que l'armée autorise un reporter étranger à suivre une opération. C'est l'occasion, peut-être, de répondre à une question qui, en ces temps d'élections, taraude tous les observateurs de la vie afghane : après le départ des troupes américaines, à la fin de 2014, l'armée nationale sera-t-elle capable de tenir tête aux talibans? La guérilla de ces soi-disant islamistes n'a jamais cessé depuis la chute du régime du mollah Omar et la fuite de ses alliés d'Al-Qaeda, dans les derniers mois de 2001. 

 

Le soir, des fonctionnaires deviennent talibans

"Les zones que nous allons traverser sont acquises aux extrémistes, explique le sergent Tarooz, dans sa voiture blindée. Ils vont se manifester, c'est sûr." S'il vient tout juste de rejoindre les rangs de l'armée afghane, l'officier est un habitué des opérations à risques. Trois ans durant, il a été employé comme traducteur auprès des forces américaines, dans le sud du pays. Il sait que la plupart des soldats, comme les talibans eux-mêmes, est issu de l'ethnie pachtoune, majoritaire dans le pays. 

Face à nous, les sommets enneigés de Tora Bora dominent l'horizon. Oussama ben Laden aurait trouvé refuge ici, dans les jours qui ont suivi la fuite des talibans de Kaboul. Bombardé par les avions américains, traqué par les troupes d'élite de Washington, le chef d'Al-Qaeda a pu fuir cette forteresse inexpugnable sans être inquiété (1). 

Après plusieurs heures de route, une détonation sourde couvre le bruit des moteurs. Une épaisse fumée noire s'élève dans le ciel, à l'avant de la colonne : les démineurs ont fait sauter une bombe radiocommandée. Un cratère de 1 mètre de diamètre montre la puissance de la charge. "Si nous ne l'avions pas détectée, les insurgés l'auraient déclenchée par téléphone à notre passage, affirme le lieutenant Feroz. Ces lâches n'ont pas les moyens de nous affronter en face, alors ils posent des mines qui tuent des civils. Ce ne sont pas de bons musulmans." Depuis le début de l'insurrection, ces engins auraient tué près de 3000 civils afghans, selon l'Organisation des Nations unies. 

Une vieille Toyota grise, qui tente de se faufiler entre les véhicules militaires, est arrêtée par des soldats. Le père de famille, vêtu d'un shalwar kamiz, l'habit traditionnel afghan, blanc cassé, sort craintivement de la voiture. Le sergent Ahmad Qais, tee-shirt marron sous son gilet pare-balles, effectue une fouille au corps minutieuse, puis lâche : "C'est bon, vous pouvez repartir." L'automobiliste ne demande pas son reste : il est déconseillé, dans la région, de sembler fraterniser avec des militaires afghans. Sans trop d'illusions, le sergent Qais cale son fusil-mitrailleur sur son épaule et remonte dans son pick-up. Par ici, il n'est pas rare que les fonctionnaires du gouvernement se transforment, à la nuit tombée, en talibans... 

 

Des embuscades sanctionnées par un déluge de feu

A l'heure où le soleil commence à disparaître derrière les montagnes, les véhicules parviennent enfin au district de Sherzad. Pour en arriver là, il aura fallu désamorcer six bombes, sur cette route désertique, bordée de champs verdoyants - du pavot. C'est dans ces petites fleurs blanches bourgeonnantes, dont la résine sert à fabriquer l'opium, que les talibans puisent leur force : une bonne part du financement de l'insurrection provient du trafic de drogue. 

L'Afghanistan est le premier producteur d'opium, et concentre 90% du marché mondial. Dans ce district, où les champs de pavot colonisent de vastes étendues jusqu'au bord des routes, les militaires semblent indifférents. "Cette année, nous n'avons pas reçu l'ordre de lancer de campagne d'éradication", confie le général de brigade Dadan Lawang, avant d'ajouter, "à titre personnel", que des destructions massives auraient permis d'affaiblir les talibans. Pour autant, tenter d'éradiquer cette culture risquerait de déstabiliser toute la région et de pousser davantage de paysans dans les bras des talibans. Un hectare de pavot rapporte, selon la Banque mondiale, entre 8 et 20 fois plus que 1 hectare de blé. Une réalité implacable, que les millions de dollars investis par les Occidentaux dans des programmes antidrogue n'ont jamais gommée. 

 

Les militaires afghans plus forts que jamais

Soudain, des tirs en rafales éclatent. Les talibans sont en face, sur le flanc de la colline. Le sergent Qais fait poser les mortiers sur le sol. Pendant plus de deux heures, l'artillerie afghane déchaîne un déluge de feu. La précision n'est pas de mise, mais peu importe. "Nous n'avons subi aucun dommage et infligé de lourdes pertes à l'ennemi", fanfaronne, après l'assaut, le colonel Shirin Agha, porte-parole de l'armée, qui accompagne cette mission. De telles embuscades, la brigade en essuiera trois en deux jours. Et toujours, le même constat : les militaires sont confrontés à des talibans peu nombreux, manifestement incapables d'affronter une armée nationale bien préparée et bien équipée, même si la riposte de celle-ci se révèle, chaque fois, aveugle et disproportionnée. 

Politiques, diplomates et militaires se sont longtemps interrogés sur la capacité de l'armée afghane de prendre le relais des forces de l'Otan. Or non seulement l'institution en paraît tout à fait capable, mais certains se demandent même si les militaires afghans ne seraient pas devenus trop puissants... Certes, il aura fallu, durant cette opération, un appui aérien américain pour faire cesser les tirs des insurgés. Certes, les Afghans ont, à plusieurs reprises, appelé les forces spéciales américaines en renfort pour débusquer les francs-tireurs. Il n'empêche : les militaires afghans sont plus forts qu'ils ne l'ont jamais été. 

D'abord, ils sont nombreux: 350000, en incluant toutes les forces de police. Préparée durant plus d'une décennie par les Etats-Unis, qui ont investi plus de 60 milliards de dollars dans sa formation, l'armée afghane est, par ailleurs, bien entraînée. En déployant 190000 hommes dans les jours précédant le premier tour de l'élection présidentielle, le 5 avril, n'a-t-elle pas montré qu'elle avait les capacités de repousser les talibans? Ces derniers n'ont pas réussi à perturber le scrutin, comme ils l'avaient pourtant annoncé. Alliés objectifs du Pakistan voisin, qui leur a longtemps offert un sanctuaire dans la zone frontalière, les partisans armés du djihad apparaissent désunis, à l'image du régime d'Islamabad lui-même, où civils et militaires se disputent ouvertement sur de nombreux sujets. 

Comme souvent tout au long de l'histoire de l'Afghanistan, le destin de ce territoire enclavé, aux confins de l'ex-Union soviétique, de l'Iran, de la Chine et du Pakistan, semble dépendre de forces étrangères qui l'ont placé au centre d'un "grand jeu". Or le "joueur" américain, pour l'heure, déploie largement plus de moyens que les autres... Au début de mars, le Pentagone a annoncé qu'il comptait consacrer, en 2015, plus de 79 milliards de dollars au conflit afghan et à la lutte contre le terrorisme dans ce pays.  

De toute évidence, le prochain président - qu'il s'agisse de l'ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah, en tête du scrutin, ou de l'économiste Ashraf Ghani - signera l'accord bilatéral de sécurité avec Washington. Celui-ci fixe les modalités d'une présence militaire américaine après le départ des 50000 soldats de l'Otan. Or, si les soldats américains continuent d'épauler leurs homologues afghans, comme ils le font jusqu'à présent, il y a peu de chances que ceux-ci se fassent balayer par une insurrection talibane. 

Vingt ans après la guerre civile, qui marqua la lente dissolution du pouvoir central et ouvrit la voie à l'instauration du régime taliban, l'armée est désormais l'une des rares institutions nationales en bon état de marche. Trop, peut-être ? Foreign Affairs, une revue américaine de politique internationale qui fait autorité, soulignait, il y a peu, que les militaires afghans risquent de prendre goût à leur force retrouvée et à la sympathie qu'ils suscitent (2). Une étude conduite en 2013 par l'ONG Asia Foundation montre que la population considère à 93 % que son armée est "honnête et juste", tandis que 1 Afghan sur 2 seulement fait confiance au Parlement de Kaboul et à l'action menée par le gouvernement. Peut-il en être autrement dans un pays qui serait l'un des trois plus corrompus du monde, selon le classement de l'ONG Transparency International ? 

Un équilibre entre Tadjiks et Pachtouns

Depuis l'invasion soviétique, en décembre 1979, le peuple afghan a connu, au fil des ans, l'occupation militaire et le djihad, une guerre civile sanglante et destructrice puis la dictature aveugle de radicaux extrémistes, avant de se voir soumis aux soldats de l'Otan et aux foucades de Hamid Karzaï, le président sortant, aux prises avec la guérilla talibane. Nul doute que la société civile, ou ce qu'il en reste, applaudirait l'instauration d'un régime militaire et la promesse de stabilité qu'il représenterait à court terme. Mais la lune de miel ne durerait pas. Car l'armée, comme le souligne Foreign Affairs, est équitablement répartie entre les ethnies tadjike et pachtoune. Des officiers formés par les Soviétiques y côtoient d'anciens moudjahidin et des soldats, souvent plus jeunes, entraînés par les Américains. En cas de coup d'Etat, ces forces se neutraliseraient. 

Voilà pourquoi, au pied des montagnes du Nangarhar, la détermination des militaires impressionne. Ces derniers l'ignorent sans doute, mais l'armée révèle au grand jour le meilleur atout de l'Afghanistan : les Afghans eux-mêmes. 

 

(1) Un rapport du Sénat américain décrit en détail cet épisode à la manière d'un roman d'aventures (en anglais) : "Tora Bora Revisited: How We Failed to Get Bin Laden and Why it Matters Today" (www.foreign.senate.gov/imo/media/doc/Tora-Bora-Report.pdf). 

(2) "Afghan's Coming Coup?", par Paul D. Miller, www.foreignaffairs.com 

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7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 19:35
Afghanistan : exercice EOD

 

06.05.2014 Crédit : EMA / ECPAD

 

Le 11 avril 2014, à 09 h 30, au marché afghan de l’aéroport international de Kaboul (KAIA), fin d’exercice pour Mugshot, chien spécialisé en recherche d’explosifs, son maître et deux militaires français de l’équipe EOD (Explosive Ordonance Disposal).

Cet exercice a permis de vérifier la coordination des différents services intervenant dans le cadre d’une menace EEI (Engins Explosifs Improvisés) au sein du camp de KAIA, où sont installés les 350 militaires français engagés en Afghanistan jusqu’à la fin de la mission de l’ISAF en 2014.

 

Reportage photos

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35
Apache flies 50,000 hours on operations in Afghanistan

An Apache attack helicopter landing at Camp Bastion (library image) [Picture: Petty Officer (Photographer) Mez Merrill, Crown copyright]

 

14 April 2014 Ministry of Defence

 

The British Army's Apache attack helicopters, operated by the Army Air Corps, flew their 50,000th hour on operation in Afghanistan recently.
 

This represents a third of all UK Apache flying, a huge proportion of the total. Apache helicopters have been conducting operations in Afghanistan since 2006, deploying initially with 16 Air Assault Brigade, shortly after being introduced into service with the British Army. Since then the aircraft have been constantly deployed on Operation Herrick, the UK’s name for operations in Afghanistan, where they provide support to ground forces, tactical strike, reconnaissance, and armed escort to other helicopters.

To maintain Apache’s high tempo of operations, the aircraft are fully supported by air and ground crews from the Army Air Corps (AAC), and technicians from the Royal Electrical and Mechanical Engineers (REME). All these soldiers perform a vital function, keeping the aircraft serviceable and airborne.

Ground crew prepare to refuel an Apache helicopter
Army Air Corps ground crew prepare to refuel an Apache helicopter at Camp Bastion (library image) [Picture: Corporal Jamie Peters, Crown copyright]

The current detachment, 664 Squadron AAC, part of 4 Regiment AAC, is commanded by Major Simon Wilsey, who actually flew the 50,000th hour. Major Wilsey said:

The operational tempo we have maintained over the last 8 years has been challenging, but the resilience of our soldiers, and especially that of their families supporting them, is outstanding. I am proud and lucky to command such high calibre, professional soldiers and such an amazing capability as the Apache.

The Apache will continue to play a key role with 16 Air Assault Brigade once operations in Afghanistan draw to a close and the brigade starts to focus on readiness for contingency operations.

Aircraft technicians service an Apache helicopter
Aircraft technicians from the Royal Electrical and Mechanical Engineers service an Apache helicopter in Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Mark Webster, Crown copyright]

Commander of the Joint Aviation Group, Colonel Jaimie Roylance of the Royal Marines, said:

This immaculately versatile machine has, for nearly 8 years, been the most clinically precise and effective attack helicopter when it has needed to be. But, equally, and sometimes at the same time, it has been the most wonderfully effective keeper of the peace, and protector of the vulnerable in its escort and deterrent roles.

There is a vital role for the Apache now, but I am just as sure that there will be an essential role for this exceptional helicopter, and for the force which flies and maintains her, in the years to come after Afghanistan.

Ground crew reload ammunition onto an Apache
Army Air Corps ground crew reloading ammunition onto an Apache attack helicopter in Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Jamie Peters, Crown copyright]
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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 11:35
Afghanistan: the view from the US

 

Alerts - No25 - 11 April 2014 Eva Gross

 

The Afghan presidential election that took place on 5 April marks the first democratic transition of power since current President Hamid Karzai took office. It also represents an important milestone for Afghanistan and for international actors operating in the country since the fall of the Taliban. The elections were of particular significance for the US, with Washington having been the primary driver of international engagement – military and otherwise – in the country for over a decade.

Washington views the Afghan elections from the vantage point of post-Karzai US-Afghan relations but, perhaps more importantly, also against the backdrop of shifting strategic and domestic priorities, which renders Afghanistan less central to the country´s foreign policy than it once was. Still, the election and its outcome promises clarity on the future of US troop strength – and their purpose – in the years to come. This, in turn, will determine the future presence of both NATO and the EU as well.

 

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 07:35
British service personnel arriving at Camp Bastion in Afghanistan

British service personnel arriving at Camp Bastion in Afghanistan

 

3 April 2014 Ministry of Defence

 

The next deployment of UK armed forces to Afghanistan is due to take place in June 2014, Defence Secretary Philip Hammond has announced.

 

This week saw the UK’s military headquarters in Helmand disbanded and the functions integrated into Regional Command (South West).

Around half of the units due to deploy in June will come under the command of a UK one-star within the United States Marine Corps commanded headquarters. The remainder will deploy elsewhere within Camp Bastion and in Kandahar and Kabul as part of the UK’s overall contribution.

Members of the reserve forces will continue to deploy to Afghanistan as part of this integrated force.

This will be the final phase of the UK’s combat operations in Afghanistan, known as Operation Herrick, which will come to an end on 31 December 2014.

The forces deploying include:

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 07:20
MV-22B Ospreys Photo by Capt. Lauren Schulz

MV-22B Ospreys Photo by Capt. Lauren Schulz

 

April 01, 2014 Spacewar.com (AFP)

 

Bucharest - Romania has approved an increase in American troops at its military airbase on the Black Sea as Washington continues to shift its main transit base for Afghanistan away from Kyrgyzstan, a report said Tuesday.

 

Romanian President Traian Basescu sent a letter to parliament approving the US request for 600 more troops at the Mihail Kogalniceanu airport in the southeast of the country, the Agerpres news agency said.

 

"The request... refers to the deployment of a unit of Marines called the Special Purpose Marine Air-Ground Task Force Crisis Response, with up to 600 soldiers and a number of military aircraft needed to fulfil specific missions," the letter said.

 

The US is due to abandon by July the Manas airbase in Kyrgyzstan that has been the main transit point for its military personnel and cargo in and out of Afghanistan, after the Kyrgyz government refused to extend the lease last year.

 

The Mihail Kogalniceanu base, where around 1,000 troops are currently stationed, is due to become the main transit point as the US prepares for a major withdrawal of forces and equipment from Afghanistan later this year.

 

The US inaugurated the new transit centre in February.

 

Between 20,000 and 30,000 troops are expected to transfer through the base on their way back from Afghanistan this year.

US increases troops at Afghan transit base in Romania
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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 16:35
U.S. Closes 290 Bases In Afghanistan, Less Than 33,000 Troops Left

 

April 1, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

Michelle Tan of Army Times has this:

 

The U.S. has closed nearly 290 bases across Afghanistan as of March 1 and fewer than 80 bases remain.

When it comes to personnel, there are still about 33,000 U.S. troops in Afghanistan, but there’s also “a steady path to reduce throughout the year,” said Marine Brig. Gen. Daniel O’Donohue, the chief operations officer for the International Security Assistance Force Joint Command.

O’Donohue provided an overview of U.S. troops still serving downrange during a March 18 phone interview with Army Times.

“We’ve reduced our forces from about 100,000, by about 67 percent,” said he said. “We are truly in a support role.”

 

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 07:35
Retrait/ISAF: des terroristes afghans pourraient s'infiltrer en Russie (FSB)

 

 

TACHKENT, 28 mars - RIA Novosti

 

Le départ de la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF) d'Afghanistan pourrait provoquer une infiltration de groupes de terroristes afghans en Russie, la déclaré vendredi le directeur adjoint du Service fédéral de sécurité (FSB) Sergueï Smirnov.

 

"A la suite du retrait des forces de la coalition d'Afghanistan, qui aura lieu cette année, il y a un risque d'affaiblissement du régime de contre-espionnage  dans ce pays. Nous constatons un risque d'infiltration de groupes ou d'individus terroristes en Russie et dans les pays voisins", a indiqué le responsable russe à l'issue d'une réunion du Conseil antiterroriste régional des pays membres de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) qui s'est déroulée à Tachkent, la capitale de l'Ouzbékistan.

 

Le responsable a souligné que le FSB, conjointement avec les services spéciaux des pays membres de l'OCS, envisageait  actuellement des mesures visant à contrecarrer ces risques.

 

"Nous envisageons de prendre des mesures importantes, dont la surveillance de la situation tant en Afghanistan que dans ses pays frontaliers", a conclu le directeur adjoint du FSB.

 

L'OCS comprend la Russie, la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l'Ouzbékistan et le Tadjikistan.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 20:18
L'Embuscade : retour dans l'enfer d'Uzbin ce mardi soir sur France 2

 

25.03.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord

 

Après les épisodes 3 et 4 d'Apocalypse, consacrée aux images de la Première Guerre mondiale, le téléspectateur de France 2 va replonger à 22 h 50 ce mardi soir dans l'enfer d'Uzbin, le 18 août 2008, où 10 soldats français du 8e RPIMa et du régiment de marche du Tchad perdent la vie (21 blessés aussi).

Ce documentaire de Jérôme Fritel mêle des témoignages saisissants d'anciens militaires qui partagent leur cauchemar afghan et des images animées remarquables (image Brotherfilms), créées par Sébastien Dupouey et Laurent Him, pour simuler le combat (aucun document militaire n'a été révélé). Cela donne un style très particulier au film et à un événement marquant de l'histoire récente de l'armée française. Car pour les Français, ce retour à Uzbin est celui du retour de la guerre et de la mort possible de ses soldats. Une choc qui laisse des traces.

Pour Bénédicte Chéron, chercheuse associée à Paris I, qui s'intéresse particulièrement aux relations entre la défense et les médias, le réalisateur de L'Embuscade montre à la fois " l'impossible récit épique " et " s’efface derrière la parole des quatre survivants et la forme particulière de son film. Sur un sujet aussi délicat, dans un contexte aussi particulier, cette humilité dans l’approche de l’événement rend ce documentaire utile. " Son texte complet est par ici.

En prime, voici le teaser d'un documentaire à ne pas manquer...

source France 2

 

Documentaire. 
Créé par
Jérome Fritel. 
Réalisation des animations par Sébastien Dupouey. Illustrations de Laurent Hirn.
Réalisé par Jérome Fritel. Produit par Brotherfilms. 
Avec la participation de France Télévisions, LCP La chaîne Parlementaire et Le Centre National du Cinéma et de l'Image Animée.

 

Le 18 août 2008, en Afghanistan, une section de parachutistes du 8e RPIMA tombe dans une embuscade tendue par des combattants talibans dans la vallée d’Uzbin. Le bilan est terrible, 10 morts et 21 blessés. Jamais autant de soldats français n’avait été tués au combat depuis la guerre d’Algérie. L’embuscade d’Uzbin devient le symbole d’une sale guerre qui menace de devenir un bourbier. Elle traumatise la hiérarchie militaire, la classe politique et la société française qui refuse de payer le prix du sang. Les familles des victimes déposent plainte contre l’armée et, pour la première fois, la justice civile obtient un droit de regard sur la conduite de la guerre. Cinq ans après, que sont devenus les survivants d’Uzbin ? Que se rappellent-ils de cette journée en enfer ? Comment vivent-ils la polémique qui oppose les familles à l’armée ? Et enfin, quel regard jettent-ils sur cette guerre d’Afghanistan au moment où les troupes françaises achèvent leur retrait. Pour la première fois, quatre soldats témoignent, face à une caméra. Ils s’appellent Julien, Jean-Christophe, Gregory et Mayeul, ont tous quitté l’armée et refait leur vie depuis. Ils racontent l’embuscade : comment ce jour-là ils sont partis en patrouille à 30 et revenus à 20. Ils ont également ouvert leurs archives personnelles, photos et vidéos et, soudain c’est l’ensemble de leur section Carmin 2, composée de jeunes d’une vingtaine d’années, qui reprend vie à l’écran. Mais L’Embuscade n’est pas qu’un film de paroles. Il mélange images réelles et séquences d’animation qui donnent vie aux témoignages des survivants. Ainsi, leurs récits dégagent un réalisme, une intensité et une émotion qui permettent de revivre au plus près la terrible journée du 18 aout 2008, dans la vallée d’Uzbin.

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 13:35
Afghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaire

 

 

21/03/2014 Sources : EMA

 

Les 12 et 14 mars, à Kaboul, ont eu lieu les deux cérémonies de passation de commandement dans le cadre des relèves du détachement Epidote et de l’hôpital militaire de KAIA.

 

Le 12 mars, le colonel Philippe Vervaeke, a transmis le commandement du détachement Epidote au colonel Philippe Sagon. Au cours du 33e mandat, tout en accompagnant la formation du dernier Kandak (bataillon afghan) à l’Armor Branch School (ABS), le détachement du colonel Vervaeke s’est ré-organisé conformément à la planification opérationnelle de désengagement du théâtre afghan. Il a ainsi planifié et conduit son regroupement sur l’aéroport international de Kaboul depuis le camp américain PHOENIX en février 2014. Au terme du 33e mandat de la mission Epidote, ce sont plus de 2100 militaires afghans qui ont été formés par l’armée française.

 

Le 14 mars, le médecin-en-chef Puidupin a transmis le commandement de l’hôpital militaire français de Kaboul au médecin-en-chef Merat. Durant son mandat, l’équipe médicale du médecin-en-chef Puidupin aura conduit la transition de l’hôpital d’un niveau de ROLE 3 (traitement de toutes les pathologies et traumatismes) à un niveau de ROLE 2+ (uniquement chirurgie viscérale, orthopédique et anesthésie/réanimation) au profit de la FIAS. Cette transition s’est effectuée, là encore, conformément à la planification des désengagements militaires de la France en Afghanistan.

 

Actuellement, une cinquantaine de militaires français poursuivent la formation des cadres militaires afghans (mandat EPIDOTE 34). L’équipe médicale de l’hôpital se compose elle aussi d’une cinquantaine de médecins et infirmiers, parmi laquelle une vingtaine de militaires des services de santé d’autres nationalités de la coalition (hongroises, tchèques, bulgares).

Afghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaireAfghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaire
Afghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaire
Afghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaireAfghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaireAfghanistan : transferts d’autorités à EPIDOTE et à l’hôpital militaire
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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 12:35
Afghanistan: the view from Pakistan

 

Alerts - No12 - 21 February 2014 Eva Gross

 

Pakistan will arguably be the most crucial regional player in post-2014 Afghanistan. Close religious and cultural links notwithstanding, its links to the Taliban give Islamabad considerable leverage and influence over any peace process. However, the protection and support granted to insurgent groups ­operating in Afghanistan over the past decade has had unintended domestic consequences for Pakistan, with the growing number of terrorist attacks now posing a ­significant threat to the country’s internal stability. Failure to reach a political settlement in Kabul is therefore likely to have a spill-over effect that would further weaken Islamabad’s ability to contain extremist groups operating inside Pakistan.

Despite the complexity of US-Pakistan relations, a complete US withdrawal by the end of 2014 – with the concomitant risk of a security vacuum developing along Pakistan’s border – is not in Islamabad’s interest. However, the implications of even a reduced transatlantic footprint are bound to contribute to a reckoning with extremism, and the forces that encourage it, inside Pakistan itself.

 

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 12:20
Les derniers soldats canadiens sont rentrés d’Afghanistan

 

19 mars 2014 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Le moment était historique, les retrouvailles touchantes, les discours émouvants, simples et efficaces. C’est ce mardi 18 mars 2014 que sont rentrés au pays les derniers soldats canadiens de l’Opération ATTENTION, mettant ainsi fin à plus de 12 ans de présence dans ce pays d’Asie centrale.

 

La mission en Afghanistan a représenté pour le Canada le plus important déploiement militaire depuis la Seconde Guerre mondiale. Il s’agissait également du plus long déploiement de son histoire.

Depuis la première intervention du Canada en Afghanistan en 2001, plus de 40.000 soldats, marins et aviateurs canadiens ont été affectés à des missions au pays. De ce nombre, environ 25% ont pris part à plus d’une mission, certains effectuant jusqu’à cinq, six, voire sept «tours»!

Le dernier contingent de soldats canadiens a fait le trajet entre l’Afghanistan et Ottawa (avec une escale à Chypre) à bord d’un avion de transport C-17, escorté par deux avions de chasse CF-18 de la base de Bagotville.

Les militaires ont été accueillis par le Premier ministre, le Gouverneur général, le chef d’état-major de la défense et le ministre de la Défense nationale avant de pouvoir enfin embrasser et étreindre leurs proches.

Rappelant l’engagement et le dévouement dont ont fait preuve chaque soldat déployé en Afghanistan, le Premier ministre Stephen Harper a annoncé qu’afin de «rendre hommage à leur service exemplaire [...] je suis très heureux d’annoncer que le 9 mai 2014 a été déclaré ‘Journée nationale de commémoration’ par proclamation royale, en reconnaissance et commémoration de la mission militaire du Canada en Afghanistan. Pendant cette Journée nationale, les Canadiens auront l’occasion de rendre hommage au courage dont ont fait preuve nos soldats ainsi qu’aux sacrifices que ceux-ci ont consentis.»

«Vous avez servi avec courage, sacrifié votre vie, enduré des conditions climatiques extrêmes et toléré d’être séparés de votre famille et vos amis. Malgré cela, vous avez prouvé votre diligence, votre résilience et votre compassion devant la détresse des autres», a déclaré le Gouverneur général du Canada, David Johnston dans un discours particulièrement touchant.

Le ministre de la Défense nationale Rob Nicholson a souhaité exprimer sa «gratitude aux hommes et aux femmes des Forces armées canadiennes qui rentrent chez eux aujourd’hui ainsi qu’à leur famille pour leur soutien indéfectible. Nous vivons aujourd’hui une période charnière de force dans l’histoire de notre nation», a dit le ministre.

Le chef d’état-major de la Défense nationale, le général Tom Lawson, a, quant à lui, pris un moment pour penser «aux milliers de militaires qui ont participé à cette mission et à ceux qui ont fait le sacrifice ultime et qui ne sont pas revenus. Nous nous souviendrons d’eux», a-t-il sobrement déclaré.

Dans l’assistance, plusieurs officiers et haut-gradés n’avaient cependant pas le cœur à la fête, ayant en tête le récent suicide du caporal Alain Lacasse, du Royal 22e Régiment. «C’est un geste incompréhensible», nous a dit un général, tandis qu’un capitaine à qui nous avons appris la nouvelle puisqu’il était dans l’avion qui le ramenait d’Afghanistan quand s’est produit l’événement, a paru accuser le choc. Un caporal nous disait qu’il trouvait cela «vraiment triste», tandis qu’une caporale soulignait que la communauté était une nouvelle fois ébranlée.

 

 

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 17:35
photos UK MoD

photos UK MoD

Soldiers of 2nd Battalion The Royal Anglian Regiment were the last UK forces to be based at MOB Lashkar Gah

 

16 March 2014 Ministry of Defence

 

UK forces have now closed or handed over to Afghan forces all but 2 of their bases in Helmand province.


 

In a complex and well-planned operation spanning more than a month, Main Operating Base (MOB) Lashkar Gah and Patrol Base (PB) Lashkar Gah Durai have been handed over to Afghan control. A third base, MOB Price, has also been closed.

From a peak of 137 UK bases, just Camp Bastion, which remains the main base for UK personnel, and Observation Post Sterga 2 are now under UK control. The majority of the former UK bases are now in the hands of the Afghan National Security Forces (ANSF).

Afghan forces are now leading 97% of all security operations across the country and are carrying out over 90% of their own training.

Defence Secretary Philip Hammond said:

The handover and closure of our bases across Helmand underlines the progress UK forces have made to increase security and stability across the province but also to build up the capability of the Afghan forces who will carry that work forward.

Those service personnel who have served in Lashkar Gah and Lashkar Gah Durai and at MOB Price as part of successive UK brigades have made a huge contribution to the campaign which has safeguarded our national security at home.

UK combat operations will cease by the end of this year but our support for the Afghan people will continue. Meanwhile, our troops will continue the mammoth task of getting our people and equipment home by Christmas.

MOB Lashkar Gah being handed over to the Afghan National Security Forces
MOB Lashkar Gah being handed over to the Afghan National Security Forces

MOB Lashkar Gah was handed over to the Afghans on 24 February 2014 during a ceremony attended by civilian and military leaders from the district centre. It opened in 2006 and served as the headquarters of UK military forces in Afghanistan until August 2013 when Task Force Helmand moved to Camp Bastion.

PB Lashkar Gah Durai, handed over to the Afghans on 8 March 2014, commands an important junction in Helmand. MOB Price, which has been closed, was formerly home to Danish armed forces and was the UK’s largest forward location for most of Operation Herrick.

Each base provided a strategic location in Helmand for International Security Assistance Force personnel supporting the ANSF.

Brigadier James Woodham, Commander Task Force Helmand, said:

The handover of 3 of the largest British bases in Helmand represents a historic moment in the UK’s military campaign in Afghanistan. This was a complex and significant operation requiring detailed planning and much hard work during its execution.

That we are no longer required to operate from these bases is a sign of the progress made by Afghan forces delivering security for their own people.

While the Afghans are firmly in the lead, UK personnel will continue to serve in Helmand throughout this year supporting the Afghan security forces where necessary.

Vehicles from 2 Logistic Support Regiment take equipment back to Camp Bastion
Vehicles from 2 Logistic Support Regiment take equipment back to Camp Bastion [All pictures: Corporal Ross Fernie, Crown copyright]

The gradual operation to remove infrastructure from each base and make the move back to Camp Bastion took around 6 months, with dozens of journeys via road and air, including combat logistic patrols. In the final stages of the operation there were 10 such patrols, involving nearly 600 vehicles.

This month’s handovers come as the ANSF prepare for their second summer in the lead for security operations in Helmand.

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 17:35
USA – Afghanistan: un départ difficile

 

14 mars, Boris Pavlichtchev - La Voix de la Russie

 

Les Américains peuvent rester an Afghanistan au-delà de 2014 sur un fondement légitime même en l’absence du Pacte bilatéral de sécurité, a fait savoir aux agences occidentales Manuel Superville, ancien conseiller juridique des forces armées américaines en Afghanistan.

 

Selon le juriste, il y a actuellement 33600 militaires américains en Afghanistan. Les conditions de leur séjour dans ce pays sont spécifiées par l’accord sur le statut du contingent militaire SOFA (status-of-forces agreement, SOFA) conclu avec Kaboul. Cet accord est à durée indéterminée et s’applique jusqu’à son abrogation par une des parties.

 

En ce qui concerne le Pacte, ce texte doit déterminer le statut, le nombre et les lieux de stationnement des forces américaines qui pourraient se trouver en Afghanistan pendant au moins 10 ans au-delà de 2014. Après 6 mois d’atermoiements, le leader afghan Hamid Karzaï a fini par laisser la décision au bon vouloir de son successeur dont on saura le nom à la suite les élections du 5 avril. Une question se pose cependant : si les Américains ont déjà l’accord SOFA, à quoi leur sert un accord parallèle? La parole est à Nikita Mendkovitch, expert du Centre d’études afghanes :

 

« Les forces internationales stationnées en Afghanistan agissent dans le cadre du mandat de l’ONU. Elles prennent des engagements déterminés sans rapport direct avec les intérêts des États-Unis dans la région. D’un autre côté, les Américains pourraient être intéressés à installer en Afghanistan des radars du système antimissile. C’est possible, s’ils ont un accord bilatéral avec Kaboul. Pourtant, il serait très difficile de le faire dans le cadre d’autres accords qui déterminent le séjour des forces internationales en Afghanistan Certes, ils peuvent rester en Afghanistan mais n’ont pas le droit de s’y installer à des fins purement militaires, par exemple, pour contrecarrer l’Iran. »

 

Mais on peut aussi comprendre la logique de Karzaï, poursuit l’expert :

 

« Compte tenu des sentiments antiaméricains très forts en Afghanistan à la veille de l’élection, Karzaï est réticent à signer ce genre de document pour ne pas jouer un bien mauvais tour aux candidats qu’il soutient. »

 

Dans ce contexte, bien des choses dépendent de la figure de son successeur. Or, il n’existe pas de favori manifeste dans la course électorale qui se joue actuellement, y compris parmi hommes de Karzaï. Un second round est fort probable et dans ce cas l’Afghanistan restera sans président jusqu’à l’automne. Les analystes du Pentagone estiment que le mois de septembre est la date critique pour prendre la décision sur le retrait total ou « l’option zéro ».

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 22:35
Photo: Here’s How You Stop Green on Blue in Afghanistan

 

March 8, 2014. David Pugliese - Defence Watch

 

The so-called Green on Blue attacks in Afghanistan pose a danger to ISAF troops. During my recent trip to the Kabul training centre, the French commandos accompanying me, had an answer to that issue.

 

We were filming the Afghan National Army’s new armoured vehicle unit, the Mobile Strike Force, for a new documentary (details about that below)

 

The French commandos were there for protection if the ANA crews tried anything against the ISAF trainers or foreign journalists. Each French soldier had a rifle equipped with a anti-tank grenade and all were ready to fire at the Afghan vehicles if the heavily armed turrets point in the direction of the foreigners.

 

“We don’t expect a problem, but I told them if those guns swing around towards us then we’ll kill them,” a French officer told me.

 

For those who are interested, some of the Mobile Strike Force footage is included in the documentary, Afghanistan: Outside the Wire: End Game, which aired Friday night and continues over this weekend.

 

It takes a look at Canada’s achievements in Afghanistan and what the future holds for that country. It is being broadcast on the Cable Public Affairs Channel (CPAC).

 

Myself and former Australian soldier Sasha Uzunov were cameramen for the documentary, which was filmed in Afghanistan in December. The documentary features Esprit de Corps publisher Scott Taylor and is a sequel to his previous documentary Afghanistan: Outside the Wire, which also aired on CPAC.

 

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