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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:55
CCFI Paris. Forum Cyber Sécurité : Liste des Firmes d'Israël

 

21.03.2014 IsraelValley (Mitz)

 

Au sein des « Rencontres Economiques & Technologiques France-Israël », le Forum de cyber-sécurité présente chaque année les meilleures solutions israéliennes et décrypte les tendances futures du secteur. Côté français, la plupart des sociétés du CAC 40 ont déjà participé à cet événement unique, dans le cadre des rendez-vous d’affaires.

 

Environ un millier de rendez-vous qualifiés, organisés depuis 2006 ont conduit à de nombreux accords de partenariats, de distribution ou encore d’intégration.

 

Toute la chaîne de valeur de la sécurité des systèmes d’information est couverte : sécurité des infrastructures critiques, des télécommunications, des applications web, des réseaux, des postes de travail, des données, des tests d’intrusion, du cloud computing, etc.

 

En 8 éditions, le forum de cyber-sécurité s’est imposé comme une véritable passerelle bilatérale entre experts de sécurité français et israéliens. Les membres de l’élite de la sécurité israélienne font ainsi chaque année le déplacement à Paris pour démontrer leur savoir-faire.

 

Ainsi le 26 mars 2014, seront présentes, Radiflow leader israélien en matière de sécurité des SCADAs (systèmes de contrôle), CyberArk spécialisée dans la protection des comptes à privilèges, mais aussi Backbox, Comsigntrust, Cybertinel, Forescout, ObservIT, Promisec, Sasa Software, SenseCy, Smufs Mobile Biometric Solutions…

 

Les RSSI, intégrateurs et distributeurs français intéressés peuvent rencontrer sur place l’après-midi du mercredi 26 mars entre 14:30 et 18:00 les sociétés de cyber-sécurité israéliennes suivantes, par rdv de 15 mn:

1. ADALLOM SaaS security http://adallom.com/company/

2. BACKBOX automated backup and recovery http://www.backbox.co

3. CHECKPOINT internet security http://www.checkpoint.com

4. COMSIGNTRUST PKI-based digital signature http://www.comsigntrust.com

5. CYBERARK against cyber threats http://www.cyberark.com

6. CYBERTINEL the deepest threat protection http://www.cybertinel.com/

7. FORESCOUT network access control http://www.forescout.com

8. ISRAEL AEROSPACE INDUSTRIES cyber division http://www.iai.co.il/

9. OBERVE IT recording user activities on desktops and servers http://www.observeit.com

10. PROMISEC agentless endpoint management & control http://www.promisec.com

11. RADIFLOW secure solutions for critical infrastructure applications http://www.radiflow.com

12. SASA SOFTWARE malicious code detection scan http://www.sasa-software.com

13. SENSECY one-stop shop for all cyber intelligence needs https://www.sensecy.com/

14. SMUFS Mobile Biometric Solutions http://www.smufbio.com

Enfin, Mme Esti Peshin, directrice des programmes cybernétiques d’Israel Aerospace Industries (1er groupe aéronautique, spatial et défense israélien) et directrice générale du Groupe High-Tech de la Knesset, donnera une conférence exclusive et participera aux rendez-vous d’affaires de l’après-midi réservés aux professionnels.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 12:50
Au sommet de La Haye, 35 pays s'engagent à renforcer leur sécurité nucléaire

 

 

25 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

LA HAYE - Trente-cinq pays se sont engagés mardi à La Haye à renforcer leur sécurité nucléaire, notamment en appliquant des standards internationaux plus stricts, afin d'empêcher des terroristes de s'emparer de matériaux leur permettant de construire une bombe atomique.

 

Notre objectif est d'éliminer les maillons faibles de la sécurité nucléaire, a déclaré le ministre néerlandais des Affaires étrangères Frans Timmermans au second jour du sommet de La Haye.

 

Plus de cinquante dirigeants du monde entier participaient à ce 3e sommet destiné à s'assurer que des groupes terroristes ne puissent pas mettre la main sur des matériaux nucléaires.

 

Afin de ne pas freiner la volonté de certains pays à aller plus loin que d'autres dans les accords conclus, les Etats-Unis, les Pays-Bas et la Corée du Sud ont proposé aux participants qui le souhaitaient d'adhérer à une série de lignes de conduite basées sur celles de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

 

La France, la Turquie, l'Ukraine, le Japon et Israël font partie des 35 signataires du texte, qui n'a été signé ni par la Russie ni par la Chine.

 

Ce texte va de fait plus loin que le communiqué final du sommet, dont l'AFP a vu le projet, qui est perçu par de nombreux observateurs comme le plus petit dénominateur commun.

 

Les recommandations de l'AIEA représentent ce qui ressemble le plus à des standards internationaux, a soutenu le secrétaire américain à l'Energie Ernest Moniz.

 

L'accord conclu entre les 35 pays vise à construire une architecture mondiale garantissant la sécurité nucléaire, notamment en promouvant une plus grande transparence, l'échange d'informations et l'établissement de bonnes pratiques partagées par tous.

 

La sécurité nucléaire relève de la responsabilité nationale mais il est essentiel de la renforcer au niveau international, en apprenant des expériences des uns des autres ou en appliquant les lignes de conduite de l'AIEA, a soutenu M. Timmermans.

 

La sécurité nucléaire est au centre de l'héritage politique que Barack Obama souhaite laisser: il avait assuré en 2009 que le terrorisme nucléaire était la menace la plus immédiate et la plus extrême pour la sécurité mondiale.

 

Les premiers sommets nucléaires avaient été organisés en 2010 à Washington et en 2012 à Séoul. Après le sommet de La Haye, un sommet final doit être organisé en 2016.

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 17:30
M-346 israélien photo Alenia Aermacchi

M-346 israélien photo Alenia Aermacchi

 

 

20.03.2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

 

Alenia Aermacchi a organisé une cérémonie officielle de roll-out ce 20 mars afin de dévoiler le premier M-346 « Lavi », destiné à l’armée de l’air israélienne.

 

Ce premier exemplaire devrait être livré à l’été 2014 selon l’industriel italien. L’assemblage final avait débuté le 7 novembre 2013 en Italie.

 

Israël a commandé 30 exemplaires de cet avion d’entraînement en 2012 pour remplacer ses TA-4 Skyhawk.

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 12:30
Minimization, Improved Accuracy & C3

 

18/3/2014 Avigdor Klein - israeldefense.com

 

Brig. Gen. (Res.) Avigdor Klein, formerly the IDF Chief Armored Corps Officer, wishes to point out a few facts before the IDF proceed along the path leading to the purchase of a new self-propelled gun system
 

Almost no military organization intends to purchase a new self-propelled gun system. That is a fact. There are many reasons for it – from the costly maintenance of the arsenal (compared to the rocket launching systems adapted to providing accurate combat fire support) to the fire support needs that have changed. Accuracy and collateral damage restrict the use of tube artillery offering statistical performance, and a warhead adapted to the target and improved accuracy are required.

Modern armed forces are switching to tactical combat fire support within closer ranges, based on accurate mortars and rockets, and gradually minimize their self-propelled gun arsenals while upgrading the remaining ones. The trend is to provide more support to urban warfare operations.

Another fact – almost no military organization has purchased a new tracked self-propelled gun system. In recent years, the need for maneuvering in difficult traffic ability terrain has decreased (range will compensates for such needs, if they arise). The vehicle is problematic as far as civil infrastructure (roads, bridges and water conduits) is concerned. Its spare parts and maintenance are costly; it is restricted with regard to long journeys (e.g. between fronts) owing to the increased wear sustained by the track and suspension system in such journeys; it is costly owing to the high fuel consumption of the platform (owing to weight). Additionally, this vehicle requires specialized training for operation, servicing and driving (it is not similar to civilian vehicles), thereby necessitating a large crew per platform (for overcoming emergency malfunctions). Moreover, self-propelled guns do not enable rapid mobilization between fronts and theaters and necessitate a supporting arsenal of dedicated transporters.

A third fact – no military organization has purchased or upgraded an existing self-propelled gun system into a fully automatic system, as reducing the number of crewmen can be achieved through other improvements. Additionally, the required operational rate of fire can also be achieved through other improvements. For example, the modular propellant arsenal is not yet sufficiently mature to support, with the required degree of reliability, a responsible operational layout. Experience has shown that frequent cleaning of the breechblock, as well as clearing of malfunctions during actual firing are required, which necessitate that the turret remain manned. Primarily, however, a fully-automatic system will be costly relative to the expected operational benefit, and military authorities prefer to invest the budgets required for such upgrading in more suitable fire layouts.

So, what do the armed forces of friendly countries do? First of all, they reduce their arsenals. The armed forces of NATO have reduced their self-propelled gun arsenals to a minimum, and now rely on other fire layouts. At the same time, they have been addressing the aspects of range and accuracy. These armed forces are making serious efforts to improve the combat fire performance by making it more accurate (the M982 Excalibur extended range artillery shell already exists, other systems are still under development) and increasing its range (45, 47 and 52 caliber barrels).

At the same time, ammunition manufacturers are hard at work developing reliable modular propellants and shells offering extended range and improved accuracy. Gun manufacturers are improving the ability of their guns’ breechblocks/chambers to fire shells using more “aggressive” propellants.

In the context of this upgrading trend, manufacturers are also hard at work developing longer barrels. The efforts of developing, manufacturing and purchasing modern artillery systems by most armed forces focus on wheeled systems with long-barreled guns – 47 or 52 caliber barrels.

Most armed forces also place the emphasis on incorporating the combat support elements into a fast, reliable combat network, and then basing their fire processes on maximum automation, all the way to the actual trigger pull. Additionally, they address the entire fire cycle chain – from the Ammunition Supply Point (ASP) to the individual gun. Most armed forces also invest – having reduced their self-propelled gun arsenals – in extending the service life of the remaining arsenals, while introducing ammunition management systems that handle the ammunition from the logistic echelons to the chamber. When purchasing does take place, however scantily, it usually involves wheeled guns (Czech Republic, Sweden and Slovakia). The towed gun market is still attractive and still used by the “Western Club”, notably the USA.

But above all – nobody is purchasing any new tracked self-propelled gun system of any kind!

The fire support needs of armed forces generally and ground combat teams in particular in recent times have indicated drastic changes with regard to everything we knew in the past. There is a growing demand for immediate availability, for accuracy rates that are often uncompromising (selective and accurate engagement of pinpoint targets with minimum collateral damage), for extended ranges (in order to minimize relocating maneuvers and movement through threatened areas) and for diversified structure destruction and kill capabilities. These needs stem from the blurred nature of the enemy, the short exposure intervals of the enemy targets and mainly from the fact that the enemy often chooses to operate in a civilian environment.

Budget constraints alone necessitate that the remaining funds be invested in the most vital needs. Additionally, we should also address such considerations as the incomplete maturity and technological reliability of the aforementioned fully-automatic self-propelled gun system with no crewmen in the turret. We should ask ourselves whether we alone think differently when we opt for a new tracked and fully-automatic self-propelled gun system.

It is this writer’s opinion that the IDF units need organic close fire support, so the self-propelled gun system has a right to exist, not “at sufferance” but owing to an actual need. I urge the reader to bear in mind that in most western armed forces, the self-propelled gun system is associated, almost organically, with the brigade level – and this fact determines the system’s tactical designation. I expect that in the IDF, too, the designation and role of the brigade will intensify and change as it gradually evolves into an autonomous formation that may be mobilized between theaters, more intensively than today. Anyone who shares my view will agree that the examination of the type of self-propelled gun system and the type of chassis assigned to carry it should be based on a forward-looking, system analysis and the needs of the brigade: mobility between theaters and fronts and flexibility in particular.

I would recommend to the IDF Artillery Corps and the builders of the IDF ground force to invest in a new and modern weapon system from the category of the divisional, theater/regional fire layouts (including accurate rocket systems). I would mark the most essential things that need to be done in order to keep the existing or new self-propelled gun arsenal, so that in determining its contents and quality, the elements I have outlined are taken into consideration, including the integration of the self-propelled gun system with the introduction of mortars on the one hand and rockets on the other hand, so as to provide the much-desired operational flexibility.

In any case, a relevant and effective system should be selected, based on the criteria of range, accuracy, ammunition, auxiliary systems for ammunition management and operation and autonomy – “network self-propelled gun”.

A fully-automatic, tracked self-propelled gun system without crewmen in the turret? Absolutely not!

***
The
Third International Fire Conference on the topic "Network-Based Employment of Fire in a Dynamic Environment", which will take place on May 19th-22th. The conference is produced by IsraelDefense and the Israel Artillery Association in cooperation with the IDF Land Army HQ and IDF Artillery Corps.
For the conference website and registration Click Here

Brig
. Gen. (res.) Avigdor Klein is the owner of Avigdor K. Engineering Systems Ltd. Among the many positions he served in during his military career was that of the IDF Chief Armored Corps Officer.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 17:30
Israel AF Christens Hermes 900 UAV

March 20, 2014 defense-unmanned.com

(Source: Israel Air Force; issued March 20, 2014)

 

Star Is Born: A Name Is Chosen for the "Hermes 900" UAV

 

The Hermes 900 UAV, manufactured by the Israeli company Elbit Systems, received its official Hebrew name in the IAF: "Kochav" (star in Hebrew). The Kochav UAV strengthens the UAV arm of the IAF and is designed for HALE (High Altitude Long Endurance) reconnaissance missions

 

The UAV arm of the IAF continues to expand: this week, a Hebrew name for the "Hermes 900" UAV was chosen: "Kochav" (star, in Hebrew).

 

The Israeli-built UAV serves at the Palmachim airbase and takes part in all kinds of reconnaissance missions and special missions.

 

The Kochav UAV, which is manufactured by the Israeli company Elbit System, has joined the UAV Division of the IAF. It possesses a wide range of capabilities, including the ability to carry out missions in all weather conditions.

 

The Kochav has innovative UAV capabilities: automatic takeoff, landing and braking capabilities. Additionally, it has another operational advantage over older aircraft, as it can carry multiple payloads, allowing it to perform several missions during a single flight.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 13:35
photo Israel Aerospace Industries

photo Israel Aerospace Industries

 

18 Mar 2014 By: Arie Egozi– FG

 

The Indian air force is evaluating the purchase of additional Israel Aerospace Industries Harop loitering munitions, as deliveries continue under a previous order placed in 2012.

The ground-launched Harop has some of the same capabilities as a tactical unmanned air vehicle, and features a high performance electro-optical/infrared camera. Once airborne, the system searches for, detects and attacks time-critical land- or sea-based static or moving targets, with claimed "pinpoint accuracy". IAI says the weapon can be employed across a variety of scenarios, including low and high intensity conflicts, urban warfare and counter-terrorist operations.

Such activities are monitored by an operator in a mission control shelter, who can approve or abort an engagement in real time to avoid collateral damage. Strike activities can also be conducted using a second Harop simultaneously, with this unit providing a video-based battle damage assessment, before being used to perform a follow-on attack or returning to loitering mode.

"After launch the Harop knows to stay in the air for several hours at a time, and to do so at different altitudes, up to 10,000ft [3,050m]," Boaz Levy, general manager of IAI's Missile and Space Systems division says in an article about the Harop posted on the Israeli air force website. "The ability to change altitudes opens up the possibility of synchronising the time and direction to the target," he adds.

The Indian armed forces have used a previous version of the system, Harpy, for some years.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 13:30
Elbit Systems: Net Income Increased

19/3/2014 IsraelDefense

 

The company released its annual reports. Despite a decline in revenues in the last quarter of 2013, the annual net income rose compared to 2012. Machlis: "The results show growth in revenues and backlog”

 

Elbit Systems reported its consolidated results for the fourth quarter and full year ended December 31, 2013. According a press release, the net income in the fourth quarter of 2013 was $42.9 million (5.3% of revenues), as compared to $57.2 million (6.8% of revenues) in the fourth quarter of 2012. The non-GAAP net income in the fourth quarter of 2013 was $53.5 million (6.6% of revenues), as compared to $67.9 million (8.0% of revenues) in the fourth quarter of 2012.

 

However, the net income attributable to the company's shareholders for the year ended December 31, 2013 was $183.4 million (6.3% of revenues), as compared to $167.9 million (5.8% of revenues) in the year ended December 31, 2012. The non-GAAP net income in the year ended December 31, 2013 was $210.8 million (7.2% of revenues), as compared to $206.3 million (7.1% of revenues) in the year ended December 31, 2012.

 

Revenues for the year ended December 31, 2013 were $2,925.2 million, as compared to $2,888.6 million in the year ended December 31, 2012.

 

The leading contributors to the Company's revenues in 2013 were the airborne systems and C4ISR systems areas of operations. The increases in the airborne systems and C4ISR systems areas of operation were primarily due to increased revenues in Israel for avionic systems, command and control systems and maintenance services sold to the Israel Ministry of Defense ("IMOD"). The decrease in the land systems area of operations was mainly due to a decline in revenues for fire control and life support systems in Israel and North America.

 

The operating income for the year ended December 31, 2013 was $239.4 million (8.2% of revenues), as compared to operating income of $203.1 million (7.0% of revenues), in the year ended December 31, 2012. The non-GAAP operating income in 2013 was $278.6 million (9.5% of revenues) compared with $252.3 million (8.7% of revenues) in 2012.

 

Bezhalel (Butzi) Machlis, President and CEO of Elbit Systems, commented: “I am pleased with our 2013 full year results that show growth in revenues and backlog, as well as a continued trend of controlling operational costs. The record backlog provides us good visibility into 2014 and beyond. Our continued focus on maintaining an efficient operation, while taking advantage of synergies across the various parts of our organization, resulted in solid year over year improvements in our margins.

 

Recently, we implemented some organizational changes to enhance our market position in the areas of cyber and intelligence systems as well as commercial avionics systems. We consider both of these areas as growth engines for the Company and complementary to our traditional defense-based business lines. Looking back on last year, I believe Elbit Systems is well positioned financially, with diversification across our range of markets and business lines. We look forward to the opportunities ahead in 2014”.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:30
Raid israélien contre des sites militaires syriens sur le Golan

 

19.03.2014 Romandie.com (ats)

 

Israël a bombardé plusieurs sites militaires syriens, tuant un soldat et en blessant sept. Ces attaques ont été menées en représailles à l'explosion d'une bombe artisanale qui a blessé quatre militaires de Tsahal mardi sur le plateau du Golan.

 

Parmi les cibles visées durant la nuit par la chasse israélienne figuraient un poste de commandement, un centre d'entraînement et des batteries d'artillerie, a déclaré un porte-parole de l'armée israélienne. Le régime de Bachar al-Assad a condamné ces bombardements, mais n'a pas brandi la menace de représailles.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait averti dès mardi qu'Israël réagirait "avec force" après l'explosion de mardi. Le ministre de la défense Moshé Yaalon a mis en demeure mercredi le régime du président al-Assad de cesser de "coopérer" avec les ennemis d'Israël.

 

Présence du Hezbollah

 

Certaines zones du côté syrien du plateau du Golan sont contrôlées par des rebelles combattant l'armée syrienne, y compris des combattants jihadistes hostiles à Israël. Selon Jérusalem, le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié de Bachar al-Assad et ennemi de longue date d'Israël, est également présent dans cette région.

 

Les quatre soldats israéliens ont été blessés alors qu'ils patrouillaient sur la ligne séparant le territoire capturé par Israël à la Syrie lors de la Guerre des Six Jours en 1967 et annexé par la suite - annexion non reconnue par la communauté internationale - du territoire syrien.

 

Cet incident est le plus grave pour l'armée israélienne depuis le début du soulèvement contre Bachar al Assad il y a plus de trois ans.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:30
source LeFigaro

source LeFigaro

 

19 mars 2014 JDD (AFP)

 

En riposte à une explosion visant ses soldats sur le Golan qu'il occupe, Israël a mené dans la nuit de mardi à mercredi des raids contre des positions syriennes. Son ministre de la Défense a prévenu que le régime d'Assad paierait "un prix élevé" pour son soutien aux "agents terroristes" qui menacent l'Etat hébreu.

 

C'est une escalade de plus dans le conflit syrien. Israël a pilonné des positions syriennes dans la nuit de mardi à mercredi sur les hauteurs du Golan, à la frontière des deux Etats. Dans ce territoire occupé par Israël, une explosion avait blessé mardi quatre soldats israéliens, dont un grièvement. Ces soldats ont été touchés au moment où ils descendaient de leur jeep pour aller vérifier un engin suspect repéré près de la clôture qui longe la ligne de cessez-le-feu avec la Syrie.

"La nuit dernière, l'armée israélienne a attaqué des cibles en territoire syrien. Il s'agissait de cibles d'éléments syriens qui ont non seulement favorisé, mais aussi coopéré avec les attaques contre nos forces", a déclaré mercredi le chef du gouvernement israélien Benjamin Netanyahou en Conseil des ministres. "Nous attaquons ceux qui nous attaquent", a-t-il ajouté. Le Premier ministre avait déjà averti la veille que l'Etat hébreu réagirait "avec force" à cette attaque. L'artillerie israélienne a riposté une première fois contre des positions de l'armée syrienne, selon un communiqué militaire. Puis, dans la nuit, les raids de Tsahal, l'armée israélienne, ont touché une infrastructure d'entraînement de l'armée syrienne, des QG militaires et des batteries d'artillerie, selon un autre communiqué.

 

La "frontière syrienne fourmille d'éléments djihadistes et du Hezbollah"

Cette attaque aurait fait un mort et sept blessés, selon l'armée syrienne. Celle-ci a "mis en garde" Israël "contre les tentatives désespérées incitant à l'escalade et la tension". "La répétition de ces actes agressifs menacent la sécurité de la région", a indiqué l'armée dans un communiqué. Ces hostilités font en effet craindre une telle escalade entre les deux pays. Israël occupe depuis 1967 quelque 1.200 km2 du plateau du Golan qu'il a annexés, une décision que n'a jamais reconnue la communauté internationale, alors qu'environ 510 km2 restent sous contrôle syrien. Mais bien que ces Etats soient officiellement en état de guerre, la frontière israélo-syrienne, supervisée par une force des Nations unies, était considérée jusqu'à présent comme la frontière la plus calme depuis la fin de la guerre de Kippour en 1973.

Les attaques - tirs à l'arme légère ou au mortier auxquels l'armée israélienne a généralement répliqué - sont restées jusqu'à présent relativement mineures malgré une situation tendue depuis le début de la guerre civile en Syrie, en 2011. Les incidents se sont toutefois multipliés récemment entre Israël, d'une part, et la Syrie et le Hezbollah d'autre part. Samedi, des soldats israéliens ont tiré vers plusieurs "suspects" qui s'étaient approchés de la frontière israélo-libanaise. Le 5 mars, l'armée avait annoncé avoir tiré sur deux membres du Hezbollah - le puissant mouvement chiite libanais, allié de Bachar el-Assad -, et les avoir blessés, alors qu'ils installaient un engin explosif dans le nord du Golan. Certaines zones du côté syrien sont également contrôlées par des rebelles combattant l'armée syrienne, y compris des combattants djihadistes hostiles à Israël.

Mardi, le Premier ministre Benjamin Netanyahou avait déclaré que la "frontière syrienne fourmille d'éléments djihadistes et du Hezbollah, ce qui constitue un nouveau défi pour Israël". "Ces dernières années, nous avons réussi à maintenir le calme (sur le plateau) malgré la guerre civile en Syrie, mais là aussi, nous agirons avec force", a-t-il lancé. Son ministre de la Défense, Moshé Yaalon, a ainsi mis en demeure mercredi le régime de Bachar el-Assad de cesser de "coopérer" avec les ennemis d'Israël. "Nous considérons que le régime d'Assad est responsable de ce qui se passe sur son territoire et s'il continue à coopérer avec les agents terroristes qui cherchent à nuire à l'Etat d'Israël, il paiera un prix élevé", a-t-il menacé.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 08:30
Israeli Armor, Artillery Corps Shifting Emphasis

 

Mar. 9, 2014 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense News

 

Revamp Agendas in Common Bid To Boost Firepower, Maneuver

 

TEL AVIV — Tighter budgets and changing threats are forcing specialized Israeli Army corps to temper parochial ambitions to bolster a smaller, fire-fortified, combined arms maneuvering force.

Just a year ago, Israel’s Artillery Corps was crafting a new mission statement and doctrine to transition from its traditional role of fire support to the leading ground force provider of standoff attack. Its Fire2025 master plan aspired to one-shot, one-target accuracy at increasingly long ranges, with saturation fire relegated to second-tier status.

At the same time, the Armored Corps was championing its own agenda to sustain outyear production of main battle tanks, mitigate downsizing and preserve its capacity for conventional war.

But reassessments in recent months are accenting a more interdisciplinary strategy for training, organizing and equipping Israel’s future ground force, seeking benefits beyond corps-specific parochial agendas, officers here said.

“In the end, we determined that as an integral and central component of the ground forces, we needed to view ourselves first and foremost as a supporting organization to enable the Army to achieve its objectives,” said Brig. Gen. Roy Riftin, commander of the Israel Defense Forces (IDF) Artillery Corps. “In parallel, we will build capabilities to enable accurate means of standoff attack.”

In a late February interview, he acknowledged that the return to traditional support priorities “was not easy to swallow” by members of Israel’s gunner community.

For years, artillery proponents, including Riftin, had envisioned network-enabled ground-based systems as an option to airpower for a spectrum of scenarios demanding precision standoff attack.

“We’re still pursuing the vision,” Riftin said of revamped plans. “But in the end, I understood that the Corps will be much more significant if we continued to accent the element of support.”

Brig. Gen. Shmuel Olansky, IDF chief armored officer, conceded similar resistance among the close-knit armored community to downsizing armored reserve forces by several brigades. He also acknowledged that plans to infuse all armored battalions with organic infantry capabilities optimized for urban war has sparked accusations that the Corps was sacrificing its capacity for conventional war.

“It’s emotion and a matter of pride. ... I meet often with critics — many of them are my former commanders — and I admit there are no guarantees that what we’re doing now is correct,” Olansky said. “But I’m confident that the direction we’re going in today is most appropriate for reasonable scenarios.”

Nevertheless, Olansky noted, “If, in 10 years, we face concerted, mass attack from a combination of armies...” He intentionally declined to complete the thought.

 

Accent on Combined Arms

By the end of 2016, each active-duty armored battalion will have its own organic specialty company composed of reconnaissance, observation and mortar platoons. An identical plan will be implemented later for the reserve force, Olansky said.

New combat support specialty companies will replace older-model tank companies slated for retirement. They’ll be trained to operate “shoulder-to-shoulder” with main battle tanks as an integral part of armored forces optimized for maneuvering in urban and heavily forested arenas.

“We don’t need to build a force only for mass maneuvering war, but for what we call war between wars where the enemy is less visible, less likely to engage us directly, yet lethally equipped with advanced anti-tank missiles,” Olansky said. “This means our future force must be flexible to transition rapidly to different warfare scenarios. It means we need more precise tank rounds and the ability to respond in real time to targeting data coming from various sources.”

Col. Nadav Lotan, commander of the IDF’s 7th Armored Brigade, said new capabilities provided by specialty mortar platoons extend the battalion’s operational envelope.

“Mortars will be able to reach ranges that the tank doesn’t have. It’s a significant boost in operational effectiveness,” Lotan said during a recent interview in the Golan Heights.

Plans call for equipping the Armored Corps’ organic mortar forces with infantry-operated Keshet, an M113-based 120mm recoil mortar system by Elbit Systems.

Riftin is evaluating upgraded infantry maneuvers with Humvee-mounted ELM-2106 Windshield tactical radars, the IDF’s choice over the US AN/TPQ-48. Radar producer Elta Systems, a subsidiary of state-owned Israel Aerospace Industries, is expected to deliver demonstration radars by summer, and Riftin’s Artillery Corps is forming teams to operate the system alongside Keshet against rocket and mortar threats.

 

Good-Enough Precision Rockets

The Artillery Corps has designated a new precision rocket by state-owned Israel Military Industries (IMI) as its weapon of choice for bridging immediate needs with future plans for standoff strike.

Known here as Romach, the rockets are designed to strike within 5 meters of targets some 35 kilometers away. Once fully deployed, Romach will offer an accurate alternative to unguided rockets and artillery shells whose use — while legal under international law — is increasingly ill-suited for urban war.

Launched from a standard multiple launch rocket system (MLRS), Riftin hailed Romach as “an excellent, pragmatic solution” to shift from so-called statistic weaponry, which constitutes 95 percent of his force and is much more prone to inflicting collateral damage.

“Our need to operate in built-up areas demands across-the-board shift from statistic weaponry toward a new inventory based on precision,” Riftin said. “But since the best precision weaponry is very expensive, we need to go with cost-effective capabilities that may not be the best, but are good enough.”

Multiyear plans call for mass procure-ment of the IMI-developed system. The firm is working on supplying some 1,000 rockets to support deployment of the IDF’s first Romach battery in November.

Riftin said his organization is crafting the operational concept for Romach operations following its successful conclusion of rigorous field tests.

“It’s proven itself in terms of precision,” he said. “The range is a little shorter than we would have liked, but it still fires more or less to the boundaries of a division. And since it uses a common MLRS launcher, we don’t need to change platforms or people. The only thing we’re changing is the certification process.”

He said Romach meets parallel requirements to provide fire support for maneuvering forces and for accurate targeting of two-story structures in urban, anti-terror operations. “It’s the ideal ‘good enough’ option that allows us to straddle both worlds at a reasonable cost.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 08:30
Drop Zone Is Ready at Nevatim airbase

 

20.02.2014 Shani Pomes - IAF

 

A special parachuting zone that will serve ground troops was inaugurated at Nevatim airbase. The new zone will reduce flight times and in so doing, will save money on future training costs. "The use of parachuting capabilities will be a surprise in terms of place, time and technique"

 

One of the most familiar capabilities of the Hercules C-130 is the airdropping of paratroops. A new parachuting zone, which will strengthen the ties between ground forces and the IAF, was inaugurated at Nevatim airbase in the Negev, the home of the Hercules C-130 planes.

"The parachuting zone that we are inaugurating will be called "Machbesh" (Hebrew for steamroller) named after the parachuting operation executed at the Mitle Pass during the Sinai campaign in 1956", explained Brigadier General Lihu Hacohen, commander of the Nevatim airbase. "The inauguration of this parachuting zone presents a big opportunity for improvement in the parachuting training in the IDF. But beyond that, it gives the army more avenues for tightening the cooperation between ground forces and the IAF".

 

"It's so relevant"

 

The inauguration began with a flyover of Hercules C-130 planes that flew from the horizon towards the guests attending the ceremony. On board were Infantry and Paratrooper Officer Chief, Brigadier General Itai Virov and Brigadier General Amir Baram, the "Fire Division" Commander. Together with additional paratroopers, they demonstrated a parachuting in the new parachuting zone.

Afterwards, Red Brigade paratroopers and the parachuting course instructors jumped, providing the audience with an image of the future of the landing strip and the tightening relations.

 

"The use of parachuting seems archaic to quite a few people and that's why it's so relevant", said Brigadier General Virov. "The use of parachuting capabilities will be a surprise in terms of place, time and technique. I think that we are building together a tool that has the ability to produce the next surprise or the next decision".

 

The purpose of the move is to shorten the flight path of parachuting planes: until now, the Hercules C-130 planes left their home base at Nevatim, picked the paratroopers up at the Tel Nof airbase, which is next to the Flying and Special Training Center, airdropped them at the parachuting zone in Palmachim and returned to Nevatim. The new parachuting zone will shorten the journey and, in so doing, save money on future training costs.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 08:30
Regain de tensions entre Israël et le Hezbollah autour du Golan

 

18/03/2014 Par Cyrille Louis, Service infographie du Figaro

 

INFOGRAPHIE - Pour l'État hébreu, une nouvelle confrontation avec la milice chiite, qui dispose de 100.000 roquettes et missiles, est inéluctable dans cette zone frontalière.

 

Trois ans après le début de la guerre en Syrie, le plateau du Golan a cessé d'être la frontière la plus paisible d'Israël. Sur ses reliefs vert tendre retentit désormais le vacarme des tirs d'artillerie qu'échangent, quelques kilomètres plus à l'est, rebelles et loyalistes syriens. Au cours des derniers mois, plusieurs frappes ont en outre visé des positions israéliennes à la frontière avec le Liban, sur les sommets enneigés du mont Hermon. Ce mardi, trois soldats ont également été blessés lors d'une explosion au passage de leur Jeep près de Majdal Chams. Le premier ministre Benyamin Nétanyahou s'est empressé de déclarer que l'État hébreu réagirait «avec force» et selon la radio militaire, Tsahal a, dans la foulée, riposté par des tirs d'artillerie en direction du territoire syrien. «La situation se tend inexorablement, s'inquiète le général Yaïr Golan, qui commande la région Nord. Nous avons dû édifier une nouvelle barrière de sécurité, remplacer nos troupes de réserve par des forces plus opérationnelles et renforcer nos capacités de renseignement.»

 

Le conflit syrien, d'abord lointain, s'est peu à peu propagé à l'ex-zone démilitarisée tracée, après l'armistice de 1967, le long de la frontière avec l'État hébreu. Selon les militaires israéliens, ce corridor serait aujourd'hui contrôlé à 70 % par les rebelles. «Ces deux dernières années, des dizaines de projectiles ont atterri sur notre territoire, fort heureusement sans faire de victime», souligne Yaïr Golan, l'un des plus hauts gradés israéliens. Le risque de débordement de la guerre en Syrie est jugé d'autant plus élevé que plusieurs groupes djihadistes ont pris position dans cette zone. «Ils ne sont encore que 100 à 300 combattants et se gardent jusqu'à présent de nous attaquer, précise le commandant de la région Nord, mais il ne faut pas se tromper sur leur idéologie: après le régime Assad, Israël sera leur prochaine cible…»

 

    « Nous utiliserons toutes nos capacités, y compris maritimes et terrestres... »

    Yaïr Golan, général dans l'armée israélienne

 

Des multiples bouleversements induits par le conflit syrien, le regain de tension avec le Hezbollah est celui qui inquiète le plus les militaires israéliens. Le calme qui régnait depuis la fin de la guerre de 2006 à la frontière israélo-libanaise paraît en effet plus précaire depuis que la milice chiite s'est engagée, début 2013, au côté de Bachar el-Assad. «Le Hezbollah a déployé près de 5000 combattants en Syrie et y a perdu entre 200 et 300 hommes, estime Yaïr Golan, mais il n'est pas affaibli pour autant. Au contraire, ses combattants sont en train d'acquérir une précieuse expérience opérationnelle tandis que la milice se dote d'armes de plus en plus sophistiquées.»

 

Les stratèges israéliens redoutent tout particulièrement que le Hezbollah ne profite du désordre syrien pour convoyer, vers ses bases libanaises, des missiles de longue portée provenant d'Iran ou de Russie. «Le mouvement cherche ainsi à combler l'écart qualitatif avec notre arsenal et à augmenter sa capacité de dissuasion», affirme le général Golan. Une menace que l'armée de l'air israélienne a tenté de conjurer en frappant secrètement, à six reprises au moins depuis janvier 2013, des dépôts ou des convois d'armes sophistiquées en territoire syrien. Au risque de provoquer une escalade difficilement maîtrisable…

 

Fin janvier, le Hezbollah a ainsi haussé le ton lorsqu'une frappe attribuée à ­Israël a, pour la première fois depuis le début du conflit syrien, visé une de ses bases sur le sol libanais. «Cette nouvelle attaque est une agression flagrante (…) qui ne restera pas sans riposte», a réagi le parti chiite, promettant de choisir «le moment opportun et l'endroit approprié pour répondre». La menace a sans doute reçu un commencement d'exécution jeudi dernier, lorsque deux engins piégés ont explosé dans le nord du Golan, blessant légèrement trois soldats israéliens. L'État hébreu a aussitôt répliqué en tirant des obus de mortier sur une position supposée de la milice chiite. «La situation est désormais hautement inflammable et une étincelle pourrait précipiter une confrontation, met en garde le général Yaïr Golan, même si celle-ci n'est pas forcément souhaitée par les parties.»

 

Échaudés par la guerre de juillet 2006, durant laquelle le Hezbollah continua à tirer des roquettes durant 34 jours et revendiqua finalement la victoire, malgré les lourdes pertes infligées par les frappes ennemies, les stratèges israéliens disent se préparer cette fois à un conflit «décisif». Selon leurs renseignements, la milice chiite dispose de 100.000 roquettes et missiles, dont plusieurs dizaines d'une portée supérieure à 250 kilomètres. «La troisième guerre du Liban ne se limitera pas à des raids aériens, promet Yaïr Golan, et nous utiliserons toutes nos capacités, y compris maritimes et terrestres, pour supprimer la capacité de nuisance de l'ennemi.» Une prédiction aux accents de mise en garde. «Le fait que le Hezbollah prenne refuge dans les villes et villages chiites situés dans le sud du Liban, assure-t-il, ne nous empêchera pas d'utiliser la force pour protéger nos civils.»

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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 17:30
Cooperation On The Southern Front

 

17.03.2014 Noa Fenigstein - IAF

 

Last week, aircrews from the "Desert Birds" squadron operating "Blackhawk" helicopters met with the Division handling Gaza Strip and discussed continued cooperation between the two sides on the volatile southern front. "The cooperation during the fighting would be better if we knew each other personally"

 

The "Knights of Round Table" were the military aides of King Arthur. The armor-wearing heroes sat around the round table and made decisions together with trust and equality.

 

Last week, aircrews from the "Desert Birds" squadron and the Gaza strip Division sat down together, in the tradition of the "Knights of the Round Table" and discussed tightening cooperation between both sides on the southern front.

 

The home of the "Desert Birds" is Hatzerim airbase and it is often called to missions on the border of the Gaza Strip with the Gaza Division. "Because we are a southern transport-helicopter squadron, the relationship with the Gaza Division forces includes daily interactions", explains Captain Itzik, a pilot in the "Desert Birds" squadron. "We feel that cooperation during fighting periods would be better if we knew each other personally".

"Usually, the Cooperation Unit of the IAF mediates between ground forces and helicopters squadrons", he adds. "But for the first time, we decided to establish direct contact. We received an intelligence briefing, talked about future cooperation and concentrated on lessons from recent events, face-to-face".

 

True Friendship

 

The cooperation between the Gaza Division and the "Desert Birds" squadron is extensive and its objectives diverse: from casualty evacuation to transporting combat forces to secret missions that cannot be disclosed. Recently, the two sides began cooperating on" surprise exercises", in which the participants had to execute missions under the psychological pressures at the moment of truth.

The squadron and the Division look forward to future cooperation. "Roundtable Discussions represent a change in communication between us", adds Captain Itzik. "Now that we plan together, there is a push to improve the process and not just the mission".

Cooperation On The Southern Front
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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 12:30
F-16I photo  Guy Ashash

F-16I photo Guy Ashash

 

25.02.2014 Shir Cohen - iaf.org.il

 

Ten years ago, the first F-16I fighters landed in Israel in their new home at the "Negev" squadron in Ramon Airbase. Last week, the aircrews that greeted the first F-16I upon their arrival ten years ago, gathered at Ramon airbase and reenacted the first flight

 

Despite the inclement weather outside, February 19th, 2004 was a day of great significance for the IAF. Two new F-16I fighter planes landed at Ramon airbase and began a new era for the force.

 

Last week, the participants of the event in 2004 gathered at the exact same spot to mark the decade anniversary of the advanced aircrafts. The participants included generations of aircrews from the "Negev" squadron, people involved in the F-16I squadrons and Brigadier General Amikam Norkin, the Head of Air Division, who at the time served as commander of the first F-16I squadron.

 

The highlight of the day was the reenactment of the first flights of the planes: two of the original planes met the aircrews that had flown them that winter day in February 2004.Lieutenant Colonel Amir, commander of the squadron, said at the end of the busy day: "There is excellent synergy among all the F-16I squadrons that you can clearly see that that is the way the founders of the division had intended it to be".

 

In addition to the reenactment flights, the soldiers of the squadron also gathered to preserve the tradition of F-16I in the IAF and held a special quiz on the operations of the past decade. "Looking back at our heritage is of tremendous importance", said Lieutenant Colonel Amir in his speech at the event. "However, we need to continue developing and leading, as well as learning from others and working as one with our sister squadrons".

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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 12:30
New Training Center

 

 

19.02.2014 Shani Pomes - IAF

 

The Heavy Transport Division's new training center opens at the Nevatim airbase. The new center will train and instruct aircrews from the division, which is comprised of four different types of aircrafts and dozens of missions. The vision: a full squadron of heavy transport simulators

 

Nevatim airbase, located in the Negev, inaugurated a new training center for the IAF's Heavy Transport Division, which will be responsible for training from the basics to qualification maintenance.

The division currently consists of different squadrons: the "Hercules C-130" squadron, the "Boeing 707" squadron, the "Gulfstream" squadron and the soon-to-be operational "Hercules C-130J" squadron.

Yet, despite their numbers, until now there has not been a single body that concentrated the training and each squadron had to take care of its aircrews without professional assistance.

"The reason the Heavy Transport Division didn't have a training center until now was that the simulators were located abroad, outside of Israel", explains Colonel P', Head of the Training Department. "Over time, we realized that in order to operate with the correct training culture we were aiming for, we need to have a training center that would handle these issues".

 

"Pure training center"

 

The missions of the Heavy Transport Division are quite varied and as such, the new training center will have to provide an instructional, diverse and satisfactory response. To this end, a research and development section was established within the training center: a section comprised of non-commissioned officers and multimedia producers who will be responsible for the design of the training.

"Until the summer, the first aircrews will complete the construction of the work plan and starting in the summer, the center will begin working with a premade work plan. Every section of the division will start enjoying the achievements of the center and will take part in the training process", said Lieutenant Colonel Eitan, commander of the "Desert Giants" squadron which operates "Boeing 707". "This site is a pure training center, which will provide a solution to all relevant squadrons".

 

Coming Soon: A Training Squadron

 

The inauguration of the center is actually the first step among many in a long-term process of developing the instructional training in the Heavy Transport Division.

"This is only the beginning. We envision this center being part of a training squadron", adds Lieutenant Colonel Eitan.

"Even though, we currently don't have any simulators, this center is looking a few years ahead. I hope that in the future we'll see upgraded Hercules C-130 and Hercules C-130J simulators, maybe someday even a "Boeing 707" aerial refueling simulator", said Brigadier General Lihu Hacohen, commander of the Nevatim airbase. "At the end of the day, this professional training will put us, as a division, in a much better place".

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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 12:30
photo Israel Ministry of Economy

photo Israel Ministry of Economy

 

16/03/2014 Pascal Lacorie, à Jérusalem – LaTribune.fr

 

Tsahal, l'armée israélienne, va regrouper plusieurs de ses bases dans le Néguev. Parallèlement, un parc industriel sera créé à Beer-Sheva, chef-lieu de ce Sud déshérité et semi-désertique. Des dizaines d'entreprises, ainsi que des institutions publiques et universitaires, y seront réunies.


 

« Faire fleurir le désert du Néguev. »

Ce vieux rêve de David Ben Gourion, le père fondateur d'Israël, resté longtemps à l'état de mirage, va devenir réalité. L'armée israélienne s'est en effet lancée dans une des plus grandes opérations d'aménagement du territoire de l'histoire du pays. La moitié des bases installées dans la région de Tel Aviv, surpeuplée, vont déménager avec armes et bagages vers un Sud semi-désertique, qui s'étend sur la moitié du pays, mais qui abrite moins de 10% de la population.

Cet exode va concerner 30.000 soldats et officiers avec leurs familles. Une vingtaine de bases installées dans le centre du pays vont être évacuées. Dans un premier temps, l'aventure se matérialisera dès 2015 par l'ouverture d'une « mégabase » d'entraînement. Puis viendront deux autres bases réservées à des unités d'élite spécialisées dans les renseignements militaires, la cyberguerre, les écoutes et l'espionnage.

Bref, le nec plus ultra de la haute technologie militaire, dont une partie des installations seront souterraines, à titre de précaution.

Pour compléter le tableau de ce qui pourrait se transformer à terme en une nouvelle Silicon Valley, Beer-Sheva, la capitale du Néguev, va devenir la « cybercapitale » d'Israël, selon l'expression de Benjamin Netanyahu, le Premier ministre. Un parc industriel va être créé dans cette ville regroupant des dizaines d'entreprises privées israéliennes et étrangères, ainsi que des institutions publiques et universitaires.

Ce site abritera également une nouvelle École supérieure de la science et de la technologie, ainsi qu'un centre de développement spécialisé dans les « cyberétudes ». Plusieurs entreprises ont joué le rôle de pionniers en s'installant d'ores et déjà à Beer-Sheva, tels EMC, un groupe informatique américain, et l'allemand Deutsche Telekom.

D'autres devraient suivre. IBM et Lockheed Martin ont ainsi annoncé leur intention d'ouvrir des centres de R&D dans ce parc technologique, qui emploiera à terme 10.000 salariés. Pour financer cette opération qui comprend la construction de logements, d'infrastructures, de routes, Citicorp et Morgan Stanley, deux banques d'affaires américaines, se sont déjà mises sur les rangs. L'enjeu est de taille : 9 milliards de dollars d'investissements.

 

"Les multinationales font la queue"

Un pactole, qui a de quoi attiser bien des appétits locaux, mais aussi étrangers. Le gouvernement israélien veut d'ailleurs jouer la carte de l'ouverture.

« Nous sommes bien conscients des problèmes de sécurité liés à des contrats passés avec des firmes étrangères, mais nous souhaitons avant tout stimuler la concurrence et attirer le maximum d'expertises et de savoir-faire dans tous les domaines », souligne le lieutenant-colonel Zvi Peleg, qui supervise les appels d'offres du ministère de la Défense.

« Les multinationales ont compris qu'il y avait des occasions à saisir et elles commencent à faire la queue », observe Moshe Yaalon, le ministre de la Défense.

Sur le terrain, tout a été pensé pour attirer les officiers de carrière. La base d'entraînement aura des allures de « vraie » ville, avec un auditorium, trois synagogues, des terrains de sport et, bien entendu, toutes les installations militaires traditionnelles, tels des stands de tir et des sites de simulation de combats. Selon le lieutenant-colonel Shalom Alfassy, un des responsables du projet, les classes d'enseignement et les bibliothèques seront équipées du dernier cri en matière d'informatique.

 

35.000 logements, dont 9.000 habitations sociales

Écologie oblige, l'armée s'est engagée à construire le plus vert possible. Résultat : les installations, qui s'étendront sur 250.000 m2, ont été conçues de telle façon qu'elles seront pratiquement autosuffisantes, grâce à une énergie solaire disponible à profusion et à une isolation des bâtiments qui devrait permettre de «
réduire l'utilisation de l'air conditionné au minimum », précise le lieutenant-colonel Shalom Alfassy.

Le déménagement ne constituera toutefois pas seulement une manne pour le Néguev. Le gouvernement veut faire d'une pierre deux coups en tentant de casser la spéculation immobilière effrénée dans et autour de Tel Aviv. Les bases évacuées vont libérer des terrains à construire. Une aubaine dans un pays où les prix de logements ont grimpé de 72% en sept ans, devenant inabordables pour la majorité des classes moyennes, qui se sont révoltées durant l'été 2011.

Plusieurs centaines de milliers de manifestants étaient descendus dans les rues lors de la plus impressionnante vague de contestation sociale qui a déferlé dans le pays, pour dénoncer la forte spéculation provoquée par la pénurie d'habitations à prix abordables. Un appartement de taille modeste peut ainsi attendre le demi-million d'euros.

 

Le Néguev sera d'ailleurs financée en partie par la vente des terrains

Yaïr Lapid, le ministre des Finances, espère que 35.000 logements, dont 9.000 habitations sociales, pourront ainsi être érigés, ce qui devrait en principe se solder par une baisse des prix. Les experts restent toutefois sceptiques, tant la demande est forte. Quitter la région de Tel Aviv n'est toutefois pas du goût de tous les officiers de carrière.

Nombre d'entre eux veulent rester au coeur de la capitale économique et culturelle, de l'endroit le plus « branché » du pays. Selon un récent sondage réalisé auprès des officiers des renseignements militaires, 53% d'entre eux ne souhaitent pas émigrer vers le Sud. Certains ont prévenu qu'ils n'hésiteraient pas à abandonner l'uniforme pour pantoufler dans la myriade d'entreprises de high-tech, autour de Tel Aviv, qui ne demandent qu'à embaucher ces militaires d'élite.

Les critiques viennent aussi des organisations de défense des droits de l'homme à propos du sort réservé aux Bédouins du Néguev, qui représentent un tiers de la population.

Ceux-ci redoutent d'être une fois de plus les laissés-pour-compte de ce vaste plan d'aménagement.

« Nous habitons ici, mais personne ne daigne nous consulter », déplore Rawia Abourabia, une avocate bédouine installée à Beer-Sheva.

L'armée répond que les Bédouins vont eux aussi bénéficier de l'arrivée en masse des militaires. Selon le lieutenant-colonel Shalom Alfassy, les travaux de construction vont permettre de donner du travail à 20.000 ou 30.000 salariés, tandis que 2.000 à 2.500 autres emplois devraient être créés ensuite par les entreprises. Bref, l'aubaine est censée l'être pour tous...

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:55
Cyberguerre : L’INSS, Think-Tank de l’Université de Tel-Aviv, Scrute la France.

 

Mar 11 Isreal Valley (Mitz)

 

L’INSS est un think-tank de l’université de Tel-Aviv, spécialisé sur le terrorisme et la cyberguerre. Ce cercle d’études est dirigé par Amos Yadlin, ancien patron d’Aman, les renseignements militaires israéliens. Le département cyberguerre de l’INSS fonctionne par ailleurs en intégration avec la Blavatnik School of Computer Sciences de l’Université de Tel-Aviv, qui compte une vingtaine de laboratoires de recherche cybernétique, de renommée mondiale.

 

Dans l’un de ses derniers rapports l’INSS passe en revue la situation en matière de cybersécurité en chaque zone du Globe. Et pointe à chaque fois, sans concession, forces, faiblesses, opportunités et menaces. En Israël, aux USA, en Russie, dans les pays Arabes, en Chine, et enfin en Europe avec un zoom particulier sur la France.

 

L’INSS raconte l’inauguration le 20 février dernier du nouveau quartier général de la cyberdéfense française. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) emploierait aujourd’hui 357 experts. Le Pentagone français aurait traité pour sa part 790 incidents cybernétiques en 2013. 1400 cyberguerriers hexagonaux auraient été recrutés par le ministère qui en souhaiterait 350 de plus d’ici à 2019.

 

L’INSS note également que si le développement de cyber armes françaises est resté fort discret, l’offensive cybernétique serait en fait, bien en place depuis 2008 avec la production de virus destinés aux ennemis de l’Hexagone. Le programme de cyberattaque français aurait donc démarré selon les israéliens deux ans avant Stuxnet (un ver informatique américain, issu du programme d’espionnage US olympic games aussi surnommé “bug”).

 

Selon l’INSS : "en dépit de ces efforts, la France est toujours en retard en termes de cyberdéfense si on la compare à d’autres nations de premier plan comme le Royaume-Uni. En réalité, les ressources humaines de la France, affectées à la lutte contre les cyberattaques, sont faibles comparées à celles d’autres nations.

 

Ce manque de ressources humaines est du à plusieurs facteurs. Tout d’abord, la France manque d’experts en sécurité, et deuxièmement, les français n’ont pas anticipé le problème de la protection contre les cyberattaques, ni la protection de leurs systèmes informatiques".

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 20:30
United States and Israel Sign Agreement on Iron Dome Weapon System

 

 

Mar 8, 2014 ASDNews Source : Missile Defense Agency (MDA)

 

The United States and the State of Israel concluded an agreement on March 5 to continue support of the production of the Iron Dome weapon system.

 

The Iron Dome system is capable of intercepting and destroying short-range rockets, and mortar and artillery shells, and is an invaluable component of Israeli missile defense. During Operation Pillar of Defense in 2012, Iron Dome was credited with saving countless Israeli lives, and was called a "game-changer" by many Israeli policy-makers. Yesterday's agreement ensures continued U.S. funding for procurement of Iron Dome systems and interceptors, and provides for significant co-production opportunities for U.S. industry. Under the terms of the agreement, $429 million will be transferred immediately to Israel to support Iron Dome procurement.

 

The agreement represents strategic value for both nations. Israel will obtain valuable resources to contribute to its defense and U.S. industry will receive meaningful co-production opportunities for Iron Dome components.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 19:30
Bande de Gaza : cessez-le-feu entre le Djihad islamique et Israël

 

13/03/2014 - JDD


Le Djihad islamique annonce jeudi avoir conclu un cessez-le-feu avec Israël après plusieurs jours de tension marqués par des tirs de roquettes. Les tirs visaient des villages israéliens proches de la bande de Gaza, sans faire de victimes. En représailles, Tsahal, l'armée israélienne, a mené des raids aériens dans l'enclave palestinienne.

 

Médiation égyptienne. Un responsable du ministère israélien de la Défense avait dit plus tôt dans la journée s'attendre à une baisse de l'intensité des combats dans la région mais l'accord, conclu grâce à la médiation de l'Egypte, n'a pour l'instant pas été confirmé par l'Etat hébreu.

"A la suite de contacts et d'efforts égyptiens intensifs, l'accord d'accalmie a été restauré conformément aux arrangements adoptés en 2012 au Caire", écrit Khaled al Batch sur Facebook. Il évoque ainsi la trêve conclue il y a deux ans, après huit jours de combats dans la bande de Gaza. Le mouvement islamiste s'y tiendra tant qu'Israël fera de même, ajoute-t-il.

Les activistes du Djihad islamique ont tiré plusieurs dizaines de roquettes après la mort de trois des leurs, tués la veille par Tsahal. Les raids de l'aviation auraient blessés trois Palestiniens, selon des témoins. L'armée israélienne a indiqué de son côté que "sept sites terroristes" avaient été touchés.

 

Le Hamas resté en dehors. Cette opération du Djihad islamique était la plus importante depuis près de deux ans. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyhau a déclaré qu'Israël "répliquerait avec une force croissante" contre ceux qui tenteront de perturber les festivités de Pourim prévues samedi et dimanche.

Le Hamas, qui administre la bande de Gaza, n'a pas pris part aux opérations du Djihad islamique, signe qu'il cherchait sans doute à éviter une extension du conflit. Le groupe et parti politique islamiste n'est toutefois pas intervenu immédiatement pour faire cesser les tirs du groupe islamiste proche de l'Iran et deuxième mouvement en importance du territoire côtier.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:35
Information Warfare: Major Cyber War Powers

 

 

March 13, 2014: Andrew Lisa  - Strategy Page

 

The head of Israel's military intelligence recently called cyber warfare the biggest revolution in warfare, more than gunpowder and the utilization of air power in the past century. The most formidable nations on Earth currently have militaries - as well as power grids, nuclear arsenals, commercial flight systems and countless other vital entities - that are wholly dependent on computers. Defending them - and attacking those of other countries - is major business, a major part of national security strategies and a major fear of anyone who understands the vulnerabilities of their own country's machines. The best-equipped nations have enormous cyber defense - and offense - departments.

 

Here are the top dogs of global cyber warfare.

 

#4: United States of America. The U.S. has an enormous cyber-intelligence apparatus that is widely considered to be tied for the fourth most powerful in the world. America's greatest strength lies in its ability to collect and retain colossal amounts of digital data regarding the abilities of other countries - often gleaned in a fashion that has come under recent global scrutiny.

 

#3: Russia. Russia is widely believed to have a massive state-sponsored cyber warfare program that infiltrates the official apparatuses of foreign countries as well as domestic "enemies." Russian cyber attacks target economic, military and commercial entities of nations across the world, including the United States. Several Russian defectors outlined Russian misinformation campaigns, as well as infiltrations into private companies that service the U.S. government and military.

 

#2: Israel. Outspoken in its assertion that the country is the target of constant cyber attacks, Israel has established its own "cyber gym" to train hackers in defending the Jewish state's digital networks. But Israel doesn't only play defense. It is widely believed to have sabotaged the heart of Iran's controversial nuclear program, its uranium enrichment center, with the notorious Stuxnet virus in 2010.

 

#1: China. Although it is next to impossible to determine how much is the work of private companies or individuals, and how much is state sponsored, experts point to China as the undisputed leader in global cyber warfare. China is believed to have hacked the Australian intelligence apparatus, Indian government networks and departments within the Canadian government. The U.S. suspects China of both sabotage and espionage of American defense networks, private corporations, industrial organizations, research facilities and industrial assets. Congressional panels have called China the greatest existing threat to America's digital security.

 

Defending against cyber attacks is a top priority for the most sophisticated nations. Whether it's espionage, sabotage, investigative strikes, menacing or simply creating a culture that allows their best private hackers to target sovereign nations, the most powerful countries in the world all realize the power of cyber warfare. With water supplies, air traffic, power grids and countless other vital infrastructure relying on computers, cyber warriors spare no expense building their capabilities to both attack and defend.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 22:30
En réponse aux tirs de roquettes, Tsahal cible des infrastructures terroristes dans la bande de Gaza

 

 

mars 12, 2014 Tsahal

 

Il y a quelques instants, suite aux nombreux tirs de roquettes qui ont eu lieu en début de soirée aujourd’hui (03/12/2014), l’Armée de l’Air de Tsahal a ciblé 29 sites d’activités terroristes dans la bande de Gaza. Des frappes directes ont été confirmées.

 

Aujourd’hui, 41 roquettes ont été tirées contre Israël. 5 d’entre-elles ont frappé des zones habitées et 3 d’entre-elles ont été interceptées par le système de défense antimissiles Dôme de Fer. Cette salve représente l’attaque de roquettes la plus massive depuis l’Opération “Pilier de Défense” en novembre 2012.

 

Depuis le début de l’année 2014, plus de 80 roquettes ont été tirées sur Israël depuis la bande de Gaza.

 

Le lieutenant-colonel Peter Lerner, porte-parole de Tsahal pour la presse internationale, a déclaré : “cette riposte était précise et rapide. Nous avons ciblé les infrastructures dans lesquelles les terroristes s’entraînent, planifient et mènent leurs immondes attaques. Tsahal ne les laissera pas conspirer dans leurs temples terroristes en toute sécurité.”

 

Tsahal ne tolérera aucune tentative de nuire aux soldats et aux citoyens israéliens et continuera à opérer avec force et détermination contre tout élément qui utilise le terrorisme contre Israël. Tsahal tient le Hamas pour responsable de toute activité terroriste émanant de la bande de Gaza.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 22:30
Gaza strip - M302 source Tsahal

Gaza strip - M302 source Tsahal

 

12 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

GAZA (Territoires palestiniens) - L'armée de l'air israélienne bombardait mercredi soir plusieurs sites dans la bande de Gaza, après une attaque massive de roquettes du mouvement radical palestinien Jihad islamique, ont rapporté des témoins.

 

L'armée israélienne a confirmé à l'AFP une frappe sur Gaza, gouverné par le mouvement islamiste Hamas, mais sans autre détail.

 

Ces frappes aériennes n'ont pas fait de victimes dans l'immédiat, a indiqué un porte-parole des services d'urgences de Gaza, Achraf al-Qoudra.

 

Les bombardements aériens se poursuivaient dans la soirée, selon une journaliste de l'AFP.

 

Selon les témoins, dont un photographe de l'AFP, l'aviation israélienne a procédé à neuf frappes, dont au moins sept dans le sud du territoire palestinien, le reste dans le nord. Les raids ont visé des camps d'entraînement des Brigades Al-Qods, la branche militaire du Jihad islamique, et des Brigades Ezzedine Al-Qassam, le bras armé du Hamas.

 

Les activistes du Hamas, y compris les combattants de sa branche armée, avaient évacué dans la soirée toutes leurs bases, selon des sources de sécurité locales.

 

Le groupe radical palestinien Jihad islamique a tiré mercredi des dizaines de roquettes sur Israël en représailles à la mort de trois de ses combattants dans un raid israélien, le Premier ministre israélien menaçant d'une riposte ferme à cette salve.

 

Il s'agit de la plus grande attaque contre Israël depuis l'opération Pilier de défense (14-21 novembre 2012) dans le territoire palestinien, a souligné l'armée israélienne.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 19:30
50 roquettes tirées sur le sud d'Israël par les Brigades Al-Qods

 

12.03.2014 Romandie.com (ats)

 

Plus de 50 roquettes tirées depuis la bande de Gaza ont visé mercredi le sud d'Israël. Le mouvement radical palestinien Jihad islamique a revendiqué l'attaque, en représailles à la mort de trois de ses combattants. Aucun blessé n'a été signalé dans l'immédiat.

 

"On a passé la barre des 50 et ils continuent à tirer", a affirmé à l'AFP une source proche de la sécurité, en référence à une salve de roquettes revendiquée par les Brigades Al-Qods, branche armée du mouvement radical palestinien Jihad islamique. Il s'agit de la plus importante attaque à la roquette depuis deux ans.

 

"Les Brigades Al-Qods ont riposté à l'agression par une salve de roquettes", selon l'organisation, dont trois membres ont été tués mardi par un raid israélien dans le sud de la bande de Gaza. Ils avaient tiré au mortier sur des troupes israéliennes à la frontière.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a promis de "continuer à frapper ceux qui veulent nous faire du mal", assurant qu'Israël "agirait contre eux de manière très forte", selon un de ses porte-parole, Ofir Gendelman, sur son compte Twitter.

 

"Les Brigades Al-Qods ne renoncent pas à la trêve (avec Israël, en vigueur depuis novembre 2012) mais ont le droit de riposter à l'agression sioniste au moment et à l'endroit adéquats", avait affirmé dans un communiqué leur porte-parole Abou Ahmad.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 18:25
Mexico Buys Two Dominator UAVs

 

 

March 10, 2014 defense-aerospace.com

(Source: Defensa; published March 10, 2014)

(Published in Spanish; unofficial translation by Defense-Aerospace.com)

 

Israeli manufacturer Aeronautics Defense Systems (ADS) has confirmed a report in the Spanish website Defensa.com that it has signed a contract to supply two air Dominator XP unmanned systems to the Armed Forces of Mexico.

 

Based on the Diamond DA42 twin-engined private aircraft, the Dominator XP has a flight range of 28h and a payload of 300 kg.

 

The modified aircraft can be flown at altitudes of up to 30,000 feet (9,150 m) and has a maximum speed of 190kt (351 km/h).

 

In mid-2011, after it obtained permission from the Israeli Ministry of Defense, ADS made the first export sale of the system, signing a contract to supply two Dominator XP UAVs to Turkey.

 

Mexico currently operates two Schweizer SA-2-37s donated by the United States and integrated into the Integrated Air Surveillance System (SIVA) of the Mexican Air Force, along with 3 Embraer 145, the Fairchild C-26A and Hermes 450 UAVs.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 08:30
Israel drone crashes in Gaza

 

March 11, 2014 Spacewar.com (AFP)

 

Jerusalem - An unmanned aircraft of the sort Israel uses for surveillance and missile strikes in Gaza crashed in the south of the territory early on Tuesday, sources on both sides said.

 

"A Sky Rider drone crashed in the southern Gaza Strip due to a technical malfunction," an Israeli army spokeswoman told AFP. "An investigation is under way."

 

The Al-Rai news agency, run by the territory's Islamist rulers, Hamas, said the drone came down east of the southern city of Khan Yunis.

 

Hamas's armed wing, the Ezzedine al-Qassam Brigades, said its fighters had retrieved the drone.

 

The incident was followed by an Israeli air strike, also east of Khan Yunis, which killed three Islamic Jihad fighters, the militant group said.

 

It was unclear if the two incidents were related.

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