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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:30
Israël teste le système anti-missile Arrow 3 pendant la visite de Kerry

 

03 janvier 2014 Romandie.com (AFP)

 

JERUSALEM - Israël a procédé vendredi avec succès à un deuxième test de son système Arrow 3, mis au point avec les Etats-Unis pour intercepter les missiles balistiques, a indiqué un porte-parole du ministère de la Défense.

 

Cet essai a eu lieu en pleine visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry en Israël et dans les Territoires palestiniens, où il s'efforce de faire avancer le processus de paix.

 

Un deuxième test en vol de l'intercepteur Arrow 3 a été mené avec succès (...) au-dessus de la mer Méditerranée le matin, a précisé le ministère dans un communiqué. Il a effectué une trajectoire extra-atmosphérique dans l'espace, conformément aux plans.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a revu M. Kerry vendredi après une première série d'entretiens jeudi, a salué la réussite de l'essai du système Arrow 3, fruit de la coopération israélo-américaine.

 

De son côté, le sénateur républicain John McCain, en visite en Israël et proche de la droite au pouvoir, a qualifié le test de succès historique.

 

M. McCain a estimé que ce système défensif atteste amplement (...) du meilleur de la technologie israélienne et américaine.

 

Arrow 3 (Hetz en hébreu), testé une première fois en février 2013, comporte un radar qui détecte les missiles, puis transmet les informations à un centre de contrôle, lequel déclenche le lancement d'un missile après avoir analysé et calculé la trajectoire de celui à intercepter.

 

Il est en partie financé par les Etats-Unis, avec notamment la participation de l'avionneur Boeing.

 

Le lancement du projet Arrow remonte à 1988, dans le cadre du programme antibalistique américain connu sous le nom de Star Wars. Il a été accéléré après le bombardement du territoire israélien par des missiles Scud irakiens durant la première guerre du Golfe, en 1991.

 

Israël accuse en outre l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique, et craint qu'il équipe ses missiles balistiques de têtes nucléaires, ce que dément Téhéran.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:30
Israel moves closer to anti-missile shield with Arrow 3 test

 

TEL AVIV, Israel, Jan. 6 (UPI)

 

Israel's latest test-firing of its high-altitude Arrow 3 anti-ballistic missile system marks a major step toward the Jewish state's plan to build a multilayer missile defense shield against everything from Iranian intermediate-range ballistic weapons to home-made rockets built by Palestinian militants.

 

The Arrow, under development by state-run Israel Aerospace Industries and the Boeing Co. of the United States, will be Israel's primary defense against ballistic missiles when it's declared operational. That's currently expected to be some time in 2015.

 

The system's upgraded missile underwent its second flight test Friday over the eastern Mediterranean although it did not involve an interception, officials reported.

 

The test took place at the Palmahim air force base on the coast south of Tel Aviv. The two-stage Arrow reached its operational altitude outside Earth's atmosphere where it is designed to shoot down ballistic missiles high enough to disintegrate chemical, biological or nuclear warheads.

 

Yair Ramati, head of the Israel Missile Defense Organization, said the test, which was attended by U.S. officials, involved the solid-fuel exo-atmosphere interceptor jettisoning its booster rocket.

 

"The kill vehicle continued to fly in space and conducted various maneuvers ... for a couple of minutes" using thrust vectors, Ramati reported.

 

The interceptors do not carry explosives, but destroy their targets by ramming them at closing speeds of thousands of feet per second and vaporizing them.

 

The Arrow 3 system will constitute the topmost tier of the planned Homa -- Hebrew for The Wall -- defense shield and will be dedicated to intercepting ballistic missiles held by Iran, the embattled Syrian regime of President Bashar Assad, and, increasingly, Hezbollah in Lebanon.

 

U.S. officials are reported to believe Hezbollah, which is backed Tehran and Damascus, is smuggling the components of advanced missile systems into Lebanon from Syria where the systems were delivered by Russia in the last two years to build up their arsenal of long-range weapons capable of hitting anywhere in Israel.

 

Shipments already in Lebanon are believed to include several supersonic P-800 Yakhont anti-ship missiles. Seventy-two of these weapons were delivered to Syria in 2012-13.

 

The Yakhont, considered the most advanced missile of its type in the world, "represents a new type of threat," Vice Adm. Eliezer Maron, Israel's former navy commander, warned Sunday, since defense systems to counter such missiles are subsonic.

 

He said Israel has defenses in place against the sea-skimming Yakhont, but gave no details. The Israelis say their offshore natural gas fields likely would be a prime target for the Yakhont.

 

The 33-month-old civil war in Syria has raised questions about Assad's control over his military's Russian Scud B and C ballistic missiles. Israel estimates the regime, which is decommissioning its chemical weapons, has used about half of its several dozen Scuds against rebel forces.

 

Arrow 3, which underwent its first flight test Feb. 25, 2012, is the latest variant of the system IAI, flagship of Israel's defense industry, which has been developing it with the Americans since 1988 at a cost well in excess of $1 billion.

 

Arrow 1 was first deployed in 2000. Arrow 2, with at least two batteries operational, will back up Arrow 3 at lower altitudes when the new variant becomes operational, picking off any ballistic missiles that get through the first line of defense in space.

 

The next tier down in the missile shield is the David's Sling system defense under development by Rafael Advanced Defense Systems and the U.S. Raytheon Co. to counter medium-range missiles and rockets.

 

The bottom layer is Rafael's upgraded Iron Dome system, primarily designed to intercept short-range rockets.

 

It was deployed in early 2012 and the Israeli military boasts it has destroyed 84.6 percent of the targets it engaged in clashes with Palestinian militants.

 

That claim has been questioned by some Israeli missile experts, who say it has been highly inflated to boost the morale of Israelis who have been repeatedly warned they face the prospects of sustained weeks-long missile bombardment by their adversaries if a new war breaks out.

 

This has fueled concerns the multi-tier defense system might not be able to cope with a major missile attack on all fronts, which single-interception trials cannot simulate.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:25
Le Brésil, nouvel eldorado de l’optronique

6 janvier 2014 par Optro & Défense

 

Le Brésil devrait devenir selon les projections des experts la quatrième économie mondiale d’ici 2030. Avec une superficie équivalente à celle de l’Europe entière et 17 000 kilomètres de frontière, le pays compte 380 000 militaires qu’il faut équiper selon les orientations définies par la Política de Defesa Nacional issue du Livro Branco de Defesa Nacional. C’est dans ce contexte que le pays établit des partenariat internationaux divers, sans privilégier une Nation en particulier.

Ainsi dans le domaine de l’optronique, deux acteurs ont récemment dirigé leurs efforts vers le Bresil : l’européen Airbus Defense & Space et l’israelien ELOP (Elbit) . Ils rejoignent en cela Sagem (groupe Safran) qui a engagé la même démarche six mois plus tôt avec le rachat d’Optovac ltda, dont on a parlé ici en détail.

Optovac Ltda, filiale au Bresil de Sagem groupe Safran

 

Optronbras pour Airbus Defense & Space (Cassidian Optronics)

L’ex-Carl Zeiss Optronics GmbH fait preuve de vitalité depuis qu’il a été intégré à EADS Cassidian, lui-même réorganisé au sein d’Airbus Defense & Space. L’entreprise a annoncé en novembre dernier ouvrir une filiale au Brésil afin de s’y créer un débouché pour le marché d’avenir que représentent les appareils optiques et optroniques. Sous la direction de Hans-Peter Jungbauer, Optronbras Ltda entend jouer à Belo Horizonte le rôle de premier interlocuteur des clients brésiliens en mettant en place des compétences technologiques dans le pays même.

optronbras ltda, filiale de Cassidian optronics de Airbus Defense & Space

M. Jungbauer déclare : « Le Brésil est un des plus grands marchés en croissance au monde. Une présence locale est la condition de base pour une participation aux projets publics, qu’il s’agisse de la surveillance aux frontières, de la protection des richesses naturelles ou des programmes de modernisation des forces armées. Le gouvernement brésilien est intéressé au premier chef par une coopération à long terme avec les entreprises technologiques étrangères. Pour les programmes actuels de protection des frontières et des côtes, il est en effet indispensable de mettre en place la technologie et d’en poursuivre le développement au Brésil même. »

Optronbras érigera donc ses propres structures d’ingénierie et de fabrication pour une création de valeur locale. Des capacités technologiques y seront développées, des emplois directs créés. Les possibilités locales en matière de service après-vente permettront de plus rapidement moderniser et remettre les systèmes à disposition pour les tâches à exécuter.

Airbus Defense and Space logo

« La création d’une filiale que l’on dote non seulement d’un savoir-faire pour le service technique après-vente, mais qui assurera aussi la fabrication de caméras thermiques non réfroidies, affiche très clairement notre ferme volonté d’établir un partenariat de longue durée. En outre, le Brésil constitue pour nous un excellent site de base pour le développement du marché sud-américain », souligne de son côté Ralf Klädtke, gérant de Cassidian Optronics.

 

AEL Sistemas SA pour ELOP (Elbit)

Un accord de transfert de technologie a été signé le 16 octobre dernier entre Elbit Systems Electro-Optics (ELOP) et AEL Sistemas SA, sa filiale brésilienne à Porto Alegre achetée en 2001. Cette dernière produira, suite au contrat attribué fin avril 2013, des équipements optroniques destinés au système SISFRON de surveillance et de sécurisation des frontières au profit de Savis Tecnologia e Sistemas S.A, elle-même filiale de l’avionneur brésilien Embraer S.A avec lequel ELBIT a fondé un partenariat stratégique pour le Brésil.

AEL sistemas filialse Brésil elop (elbit)

Inclus dans le contrat, ce transfert de technologie amène Elbit Systems à investir au Brésil en termes d’actifs, d’infrastructure et de savoir-faire en optronique. Mr. Bezhalel (Butzi) Machlis, Elbit Systems’ President and CEO, commentait à l’époque : « Nous considérons comme importante cette récompense qui marque une avancée pour nos activités électro-optiques au Brésil, un marché significatif pour des Systèmes Elbit. [...] Ceci est encore une occasion supplémentaire pour nos filiales brésiliennes de fournir nos technologies de pointe, cette fois dans le domaine de l’observation, au Brésil, un pays qui mérite les technologies d’avant-garde dans chacun des domaines d’opération. »

Sources :
- communiqué de presse du 20 novembre 2013 d’Airbus Défense & Space
- communiqué de presse du 29 avril 2013 d’ELOP

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 07:35
Editorial: South Korea to Purchase Israeli Spike Missiles

 

08 January 2014 By Zachary Keck – Pacific Sentinel

 

According to news reports, South Korea will buy additional precision-guided missiles from Israel.

 

South Korea is purchasing additional Israeli-made Spike missiles local newspaper Chosun Ilbo reported, citing a statement released by South Korea’s Defense Acquisition Program Administration (DAPA).

“We’ve recently struck a deal with the Israeli manufacturer of the missile” the report cited DAPA as saying.

It went on to say that the missiles will be equipped on AgustaWestland’s Wildcat maritime choppers that South Korea intends to purchase. According to Chosun Ilbo, Spike missiles are capable of hitting a window-sized target from 25 kilometers away.

South Korea has previously purchased Spike missiles from Israel. The Republic of Korea (ROK) military began deploying the missiles back in May and first tested one of them in October of last year. Seoul also displayed them at a military parade in October. They are currently stationed on the Yeonpyeong and Baengnyeong Islands in the Yellow Sea near North Korea. 

 

Read the full story at The Diplomat

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 17:30
New UAV Operators Get Their Wings

 

22.12.2013 Noa Fenigstein and Naomi Tzoref - iaf.org.il

 

Last Wednesday evening, a graduation ceremony for the graduates of the Unmanned Aerial Vehicle Operator Course was held at the Palmachim airbase, in the presence of the Commander of the IAF, Major General Amir Eshel. At the ceremony, another generation of operators received their operator wing pins and their officer insignia and made their way to the UAV squadrons of the force. "The Israeli UAV Division is considered the best UAV Division in the world"

 

The graduation ceremony for the UAV Operator Course was held last Wednesday evening at the Palmachim airbase, in the presence of the Commander of the IAF, Major General Amir Eshel, and was led by the commander of the base, Brigadier General Yoav Lior, and the commander of the Tel-Nof airbase, Brigadier General Tomar Bar. At the ceremony, officer insignia and operator "wings" were presented to the graduates. At the end of the ceremony, as per tradition, the graduates threw their officer hats high in the air.

 

Along the parade grounds, different UAV Division vehicles were put on display. The moment the new operators made an entrance, a "Heron" plane circled the sky, a sight that excited the guests. "The UAV division constitutes an important part of the connection between the air and the ground", said Commander of the IAF in his speech to the graduates. "In the frenetic and turbulent environment in which we find ourselves, the key to victory lies in the combining of forces and teamwork. The operators of the division bear much responsibility and they do so with honor. Nowadays, the Israeli UAV Division is considered the best UAV division in the world".

 

The new UAV operators in the IAF recently completed a seven month period of study of advanced UAVs at the UAV School at the Palmachim airbase. Only soldiers whose participation in the pilot course has been suspended for at least a year may join the course, so that they receive their platoon commander pin before their admission into the course at the Palmachim airbase. Now, at the end of the training period, the graduate operators will be placed in one of the UAV squadrons of the force where they will carry out visual reconnaissance missions for the IAF and all other security branches.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 20:30
photo ONU

photo ONU

 

NEW YORK (Nations unies), 18 décembre - RIA Novosti

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a prorogé mercredi de six mois la présence de la Force des Nations unies chargée d'observer le désengagement entre Israël et la Syrie (FNUOD) sur le plateau du Golan.

 

La résolution ad hoc soumise conjointement par la Russie et les Etats-Unis a été adoptée à l'unanimité.

 

Les effectifs de la FNUOD comptent 1.250 personnes. Déployé en 1974, ce contingent veille au cessez-le-feu entre la Syrie et Israël.

 

La partie du Golan contrôlée par la Syrie est depuis longtemps le théâtre d'affrontements entre les troupes fidèles au président Bachar el-Assad et les groupes armées de l'opposition. Les belligérants utilisent du matériel blindé et l'artillerie.

 

Les casques bleus sont déployés dans la "zone tampon" créée au lendemain de la guerre arabo-israélienne de 1973 pour séparer physiquement les troupes syriennes et israéliennes. La zone tampon constitue de facto une partie du territoire syrien occupée et annexée par l'Etat hébreu.

 

L'appartenance du plateau du Golan est au cœur du conflit entre Israël et la Syrie.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:30
MEKO 200T series of the Turkish Navy

MEKO 200T series of the Turkish Navy



HAIFA, Israel, Dec. 17 (UPI)

 

The Israeli navy is getting two German-built frigates under a $1.37 billion contract that will build up its maritime firepower, officials said.

Their primary mission is expected to be protecting the Jewish state's rich natural gas fields in the eastern Mediterranean.

The warships, which the Israelis are expected to pack with their own weapons and electronic systems, such as the Barak 8 medium-range air defense system produced by Israel Aerospace Industries, will be the most advanced surface vessels in the Israeli navy.

The frigates will reinforce three advanced Super Dvora Mark III missile corvettes, known as Sa'ar 5s, currently on order from state-run IAI's shipyards in Haifa. These ships will join four already in service and will be primarily deployed to shield the offshore fields that currently contain an estimated 30 trillion cubic feet of natural gas, with more expected that will earn an estimated $150 billion in export revenue over the next two decades.

That makes the gas fields, and the attendant production infrastructure, a high-value strategic asset that will transform the country's economy after decades of dependence on imported energy.

The German vessels are believed to be MEKO class F221 frigates developed by Blohm + Voss at their Hamburg yards equipped with 76mm guns, surface-to-air missiles, torpedoes and Harpoon anti-ship missiles.

Defense sources say the Israelis were split between buying four low-end corvettes or two high-end frigates, but opted for the more advanced vessels because they can undertake other missions, such as countering the growing submarine threat in the Mediterranean and the Red Sea.

Iran has said it will deploy its Russian-built Kilo-class submarines in these waters, while Egypt is negotiating with Germany to acquire at least two Type-209 diesel-electric attack submarines produced by Howaldtswerke-Deutsche Werft AG of Kiel.

HDW also builds the advanced Dolphin-class submarines deployed by the Israeli navy, with four operational and two more under construction. The Dolphin is based on the Type-209 but with classified Israeli missiles and electronic systems.

The 7,000-strong Israeli navy, long the Cinderella service of the armed forces, has been expanding at a time when Israel's defense budget is being heavily cut.

That situation could change once gas exports get underway, possibly via underwater pipelines to Turkey or Europe, or via liquefied gas terminals from which exports are shipped by tanker.

The Israeli press has reported on more than one occasion that the cost of bolstering the navy's capabilities could be partly underwritten by state-owned companies involved in constructing and operating the gas field infrastructure.

In April, Capt. Ilan Lavi, director of the Israeli navy's planning division, said the new offshore gas industry offers Israel's adversaries a tempting target whose destruction would have a strategic impact on Israel's economy.

"We have to build an entirely new defensive envelope," he said.

The navy has been gradually building up patrols around the gas fields, primarily the largest fields, Leviathan and Tamar off the coast of northern Israel.

Tamar, with some 8.4 trillion cubic feet of gas, began production in March. Leviathan, which covers around 125 square miles and contains around 17 trillion cubic feet of gas, is expected to follow in 2016.

Security concerns grew this year when Russia supplied Syria with 72 supersonic Yakhont anti-ship missiles, some of which the Israelis fear could be handed over the regime's Lebanese ally Hezbollah.

The Yakhonts have the range to reach the Israeli gas fields, particularly if fired from south Lebanon.

"Another danger is a proximity attack, by frogmen, by boats, by terrorists in some fashion," Gen. Giora Eiland, a former Israeli national security adviser, told the Globes business daily recently.

Hezbollah, backed by Iran and Syria, is viewed as a particular threat.

Its guerrillas drove Israeli forces out of south Lebanon in May 2000 to end 22 years of occupation and fought Israel's vaunted military to a standstill in a 34-day war in 2006. Hezbollah is currently believed to have an arsenal of more than 60,000 missiles and rockets.

In February 2012, the Israeli navy seized an Iranian arms shipment that authorities said was bound for the Palestinian Hamas group in the Gaza Strip bordering southern Israel. It contained 50 tons of arms, including six Nasr-1 radar-guided anti-ship missiles.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:30
photo IMI

photo IMI

 

17.12.2013 Dr Daniel Rouach et Dr Michael Bickard, - Israel Valley

 

Ses diverses particularités ont permis à Israël de développer une industrie de défense parmi les plus dynamiques au monde

 

L’industrie israélienne de l’armement est surdimensionnée par rapport à la taille du pays et fait figure de leader mondial dans de nombreux secteurs dont la production de systèmes électroniques et électrooptiques pour l’amélioration des plates-formes militaires air, sol et mer.

 

Ces produits incluent par exemple le matériel de vision nocturne, les drones, les produits lasers, les systèmes de photographie aérienne ainsi que les systèmes de management des données et de communication. L’industrie militaire israélienne est cependant également présente dans d’autres secteurs, tels que la production aérospatiale et le marketing des composantes du satellite spatial « Amos 1 », la production de munitions, d’équipement militaire et de matériel de protection.

 

Le degré d’internationalisation de l’industrie israélienne de défense est remarquable. En effet, celle-ci réalise 80% de son chiffre d’affaire à l’exportation (contre moins de 50% pour les autres pays) ce qui explique comment Israël peut avoir une industrie de défense aussi développée par rapport à la taille de son économie.

 

Fort de son expérience du terrain, Israël sait mettre en valeur son savoir-faire pour conquérir des parts de marché. Le montant des exportations de l’industrie israélienne de défense avait atteint il y a sept ans 4,4 milliards de Dollars. Ce chiffre représentait 10% des ventes d’armes dans le monde. Le pays est ainsi devenu le quatrième exportateur d’armes après les Etats-Unis, la Russie et la France.

 

L’Inde est le premier marché d’exportation des entreprises israéliennes de défense. Le géant asiatique en plein boom économique ne fait pas face aux mêmes restrictions que son grand concurrent la Chine. Du coup, elle est devenue une cible privilégiée des exportateurs israéliens. Les ventes vers le sous-continent atteignent par an environ la somme de 2 milliards de Dollars. Autrement dit : l’Inde représente un quart de l’activité militaire israélienne – c’est-à-dire autant que ce que l’état hébreu consomme lui-même pour sa propre défense. La plus grosse vente (connue et non couverte par la censure) vers l’Inde a été celle du système naval anti-missile Barak pour 450 millions de Dollars.

 

Les Etats-Unis constituent un partenaire privilégié d’Israël. Les armes sont souvent co-produites, voire développées ensemble comme par exemple le système anti-missile Arrow, les missiles « Popeye » ou encore la production d’une version de l’avion de combat F16. De nombreuses synergies sont recherchées en R&D entre les deux pays. Les Etats-Unis représentent également le deuxième marché d’exportation de l’industrie israélienne de défense. (A savoir : Les Américains ont acheté en 2006 pour 1 milliard de Dollars de technologies militaires israélienne ; ce qui correspond à une multiplication par plus de 3 depuis les 300 millions de Dollars de ventes réalisées en 1999).

 

Le secteur est à la fois constitué d’entreprises publiques et privées. Les plus connues d’entre elles se nomment “RAFAEL Armament Development Authority Ltd.”, “Israel Aircraft Industries Ltd.” (IAI), “Israel Military Industries Ltd.” (IMI), et “ELTA Systems Ltd.”. Le nombre d’employés par les entreprises publiques du secteur israélien de la défense a atteint des dizaine de milliers de dollars et les actifs de ces entreprises atteignaient la valeur de plusieurs milliards de dollars.

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 12:30
Abbas rejette le plan américain prévoyant une présence militaire d'Israël

 

 

13 décembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

RAMALLAH (Territoires palestiniens) - Le président palestinien Mahmoud Abbas a rejeté les propositions présentées par le secrétaire d'Etat américain John Kerry sur la sécurisation des frontières d'un futur Etat palestinien prévoyant le maintien d'une présence militaire israélienne, a indiqué vendredi une source palestinienne proche du dossier.

 

Lors d'une rencontre jeudi soir à Ramallah (Cisjordanie), le président Abbas a rejeté les idées présentées par le secrétaire d'Etat Kerry à cause de la présence de l'armée israélienne, a-t-on précisé.

 

M. Abbas lui a remis une lettre exposant les positions palestiniennes et fixant les lignes rouges pour les Palestiniens, selon la même source, citant en particulier le refus de reconnaître Israël comme Etat juif.

 

Le président palestinien a dit rejeter les idées sur la sécurité parce qu'il n'y a pas de tierce partie et accepter la lettre de James Jones (précédent conseiller à la sécurité nationale américain) prévoyant le déploiement d'une tierce partie à la frontière est de la Palestine, avec la Jordanie, a-t-on expliqué.

 

M. Abbas a insisté sur la nécessité de régler toutes les questions du conflit, selon la même source.

 

Les médias arabes et israéliens rapportent que le plan envisagé par l'administration américaine prévoit un maintien de la présence militaire israélienne aux frontières d'un futur Etat palestinien, même après un accord de paix.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu exige qu'un Etat palestinien soit démilitarisé et qu'Israël puisse y garder des troupes à long terme dans la vallée du Jourdain, à la frontière avec la Jordanie.

 

Les Palestiniens refusent toute présence militaire israélienne sur leur territoire après un accord de paix mais acceptent une force internationale, une option rejetée par Israël.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:30
U.S. to boost Israel defense missile funding by $173M

 

TEL AVIV, Israel, Dec. 10 (UPI)

 

U.S. lawmakers have approved boosting funding for Israel's missile defense program by $173 million in fiscal 2014 as the Jewish state's military establishment draws up a new defense doctrine to protect cities from Hezbollah's growing missile arsenal.

 

The Jerusalem Post reported that Israeli military intelligence now believes that the Iranian-backed Lebanese movement now possesses around 5,000 long-range missiles that can reach Tel Aviv, the country's largest conurbation, and carry warheads packing between 1,300 pounds and one ton of explosives.

 

On Monday, leaders of the Senate and House of Representatives Armed Services Committees unveiled a cut-down defense authorization bill for the coming fiscal year that would boost U.S. missile defense spending by $358 million to $9.5 billion.

 

The legislation also authorizes additional funding of $173 million for joint missile defense projects underway with Israel.

 

Funds for collaborative missile projects with Israel are separate from the $3.1 billion in military aid the United States provides Israel annually.

 

The bill must now go before Congress for a final vote. The legislation's promoters called for a vote before the Legislature recesses for the end of the year.

 

The proposed funding includes nearly $34 million for the improving the high-altitude Arrow 3 system currently being developed by state-run Israel Aerospace Industries and the Boeing Co. of the U.S.

 

Arrow 3 comprises the upper level of a planned four-tier Israeli missile shield.

 

The system is designed to intercept Iran's Shehab-3b and Sejjil-2 ballistic missiles, including any armed with nuclear warheads, beyond Earth's atmosphere on the second half of their trajectory.

 

Ynet news, the English-language website of Israel's Hebrew daily Yediot Ahronot, has reported that two recent Arrow 3 trials demonstrated the system's "high reliability" and exceeded expectations.

 

Inbal Kreiss, who until recently headed the Arrow 3 program, told a seminar at Tel Aviv University that "the missile's ability to change course while reaching the targeted missile was proven beyond all doubt as the accuracy of interception high above the State of Israel was improved."

 

He said further tests will be conducted over the next 18 months, including at least one launch into space and "an experimental interception of a missile that simulates a long-range enemy missile with a range of about 1,250 miles."

 

Some $22 million of the $34 million the armed services committees earmarked for Arrow 3 will for developing the system's "kill vehicle," the interceptor designed to hit and destroy hostile missiles.

 

The earlier Arrow 2 variant remains in service, with batteries deployed in northern and central Israel. It operates at a lower altitude.

 

Once Arrow 3 is deployed, it will be used as a back-up for that system to pick off any missiles that get past it.

 

Additional back-up for Arrow 3 will come from David's Sling, a system to counter medium-range threats, now being developed by Israel's state-owned Rafael Advanced Defense Systems and the Raytheon Co. of the U.S. for the U.S. Missile Defense Agency and Israel's Missile Defense Organization.

 

The MDA requested further funding for Arrow 3 in April as part of a $220 million package for fiscal 2014.

 

The authorization bill now before the U.S. Congress includes an appropriation of $117.2 million for David's Sling, according to details released by the bill's sponsors.

 

This system will cover the gap between Arrow 2 and Rafael's Iron Dome system, designed to counter short-range missiles and rockets. It constitutes the bottom lawyer of Israel's missile shield.

 

Iron Dome became operational in early 2011 and by official count has successfully intercepted 84.6 percent of the targets it engaged in several clashes with Palestinian rockets.

 

The Israeli military currently has five batteries deployed, but it needs as many as 20 to ensure complete coverage of the country.

 

The compromise bill proposed by the two armed services committees supported a request by U.S. President Barack Obama for $200 million for Israel to buy additional Iron Dome batteries.

 

It also added $15 million to establish a co-production capability for Iron Dome components by Israel and the U.S., a move apparently intended to consolidate U.S. efforts to achieve greater joint production of the Israeli-designed missiles.

 

The renewed funding push also underlines U.S. efforts to ensure U.S. defense budget cuts do not affect military aid to Israel.

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 13:30
L'Allemagne vend deux destroyers à Israël pour un milliard d'euros

 

07 décembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

BERLIN - L'Allemagne a convenu de vendre à Israël deux destroyers pour un milliard d'euros, affirme le quotidien allemand Bild samedi, sans citer de sources.

 

Ces bateaux de guerre équipés de torpilles doivent être utilisés pour protéger des pipelines israéliens, croit savoir le journal. Il souligne que Yossi Cohen, conseiller à la sécurité nationale d'Israël, était à Berlin la semaine passée pour discuter armement.

 

Interrogée par l'AFP, une porte-parole du gouvernement allemand a simplement confirmé la visite de M. Cohen à Berlin. Elle n'a donné aucun détail sur le contenu des discussions.

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 08:30
Tsahal: Pertes en 1 an de $14 millions en Vols d'Armements

 

02.12.2013 Eric Hazan – Israel Valley

 

L’armée israélienne actuellement en restructuration totale, suite à d’importantes coupes budgétaires, a perdu pour l’année 2012 plus de 14 millions de dollars en vols d’armements divers. La direction de la logistique de Tsahal s’attend à une progression de ce chiffre en 2013, rapporte le journal israélien Haaretz.

 

Si le vol d’armement a toujours existé au sein de l’armée israélienne, et se limitait à des vols de cartouches et d’armes légères, ces dernières années, les voleurs, souvent avec la complicité de soldats dans les bases, sont passés au vol d’armes lourdes et de pièces détachées de blindés militaires ou de moteurs d’avions de combat.

 

Selon Haaretz, pour se prémunir contre ces vols, l’armée israélienne a installé des radars sur certaines bases pour protéger ses soutes à munitions. L’armée a également lancé une campagne pour exhorter les Israéliens à retourner le matériel militaire, qu’ils peuvent avoir dans leurs maisons.

 

ISRAELVALLEY PLUS

L’Armée de défense d’Israël, nom également traduit en français par Forces de défense d’Israël, est le nom officiel de l’ensemble des forces armées de l’État d’Israël. Elle est couramment désignée par l’acronyme Tsahal.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 08:35
BARAK Naval Point Defense Missile System  photo Rafael

BARAK Naval Point Defense Missile System photo Rafael

 

 

TEL AVIV, Israel, Dec. 2 (UPI)

 

India, long one of the biggest markets for Israel's defense industry, is expected soon to finalize the purchase of the Barak anti-aircraft missile built by Rafael Advanced Defense Systems and is reportedly considering the company's Spike ant-tank missile as well.

 

Meantime, India's state-run Defense Research and Development Organization is getting ready to collaborate with Israelis companies to produce man-portable high-tech battlefield systems for Indian troops, a market with a reported potential of $3 billion.

 

Israel Aerospace Industries, flagship of Israel's defense sector, won a $1.1 billion contract with the Indian navy in 2009 to provide the advanced Barak-8 tactical air-defense missile for its warships.

 

The Indian army is jointly funding a project to adapt the Barak-8 into a multi-purpose weapons system.

 

The sale of the actual missiles was put on hold by Indian authorities because of an investigation into alleged corruption involving Israel Aerospace Industries, the prime contractor and the flagship of Israel's defense industry, and the then Indian defense minister, George Fernandes.

 

He has been indicted following the probe by India's Central Bureau of Investigation, but the agency has not released any findings regarding state-owned IAI.

 

In March 2012, India blacklisted Israel Military Industries, then state-owned and now being privatized, barring it from bidding on Indian defense contracts for 10 years on suspicion of involvement in a 2009 corruption scandal.

 

India's leading arms purchasing authority, the Defense Acquisition Council, announced Nov. 11 that it had referred the Barak deal to an internal committee for evaluation.

 

However, the U.S. weekly Defense News reported that the CBA is likely to close the case against the Israeli company and proceed with the Barak purchase.

 

The Indian navy, which is being heavily expanded to counter China's growing naval power, has been pressing the Defense Ministry to clear the Barak missile purchase because it had three warships equipped with the Barak system that have no missiles.

 

The navy had requested the purchase of some 300 Baraks to arm the Brahmaputra-class guided missile frigates Ranvir, Brahmaputra, Betwa and Beas at a cost of around $100 million.

 

These warships are intended for anti-surface warfare in the Indian Ocean, a strategic shipping route that carries much of China's oil supplies from the Persian Gulf.

 

The supersonic Baraks, with a range of around 44 miles, are designed to shoot down aircraft and missiles.

 

New Delhi is also reported to be considering the acquisition of Rafael's Spike anti-tank guided missile, or the U.S. FGM-148 fire-and-forget Javelin built by Raytheon and Lockheed Martin.

 

Defense News says both systems will be discussed by Indian's Defense Acquisition Council when it convenes next.

 

The weekly reported that purchasing the Spike was put on hold in April. But the Indian army, currently short of advanced anti-tank guided missiles, is now pressing hard to purchase a third-generation variant in a deal that would include 8,356 missiles and 321 launchers.

 

Other sources reported that plans to acquire 6,000 man-portable Javelins were put on hold because Washington was reluctant to agree to a transfer of technology so India could build up its indigenous defense industry and manufacture the missiles in large numbers.

 

The Pentagon finally agreed to a deal in September, probably spurred by the need to boost arms exports amid major cuts in domestic defense spending.

 

It's not clear what provisions regarding technology transfer IAI has made with New Delhi, but exports are as crucial for Israel's defense industry as they are for the Americans.

 

Israeli electronics companies are currently understood to be consulting with India's Defense and Research and Development Organization to manufacture a range of systems for battlefield management, command and control, sensors and weapons for New Delhi's Futuristic Infantry Soldier As A System program, known as F-INSAS.

 

The DRDO and the Israelis have agreed to jointly develop portable command-and-control, or C2, systems for the Indian army.

 

This will include an encrypted computer and monitor able to operate in the India's diverse weather conditions, ranging from the heat and humidity of the southern regions to the icy storms of the northern mountains bordering longtime rival Pakistan.

 

The C2 system is being designed to eventually link up 1.1 million Indian soldiers deployed across the vast Asian subcontinent.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 08:30
Bulgarian Air Force Commander visit to the IAF

 

 

28.11.2013 Michal Khayut - iaf.org.il

 

Bulgarian Air Force Commander arrived at Israel last week, with the aim of strengthening the cooperation between the Israeli and Bulgarian Air Forces. During the visit he attended the “Blue Flag” exercise

 

Major General Konstantin Popov, Bulgarian Air Force Commander, landed in Israel last week as part of the growing cooperation between the Israeli and Bulgarian Air Forces. "I believe the cooperation has two parts: First we should get a better understanding of each other's lives, traditions and training methods", explained the Bulgarian Air Force Commander during his visit to the "Scorpion" squadron in Hatzor Airbase. "The second and main purpose is to enhance military cooperation in perspective of aerial training activities. We are in good relations with the Israeli Air Force Commander, Major General Amir Eshel and I'm impressed with his work and vision".

 

This is not the first time the two forces meet: the first joint training of the forces took place two years ago. The "Scorpion" squadron, which uses the F-16 aircraft, went to Bulgaria. That was the first time the Israeli air force landed in Bulgaria during training.

 

"The Bulgarian and Israeli Air Forces have short but very fruitful bilateral training history", said the Bulgarian Air Force Commander. "In the future, the Bulgarian Air Force is interested on including more platforms and missions in the bilateral trainings with the Israeli Air Force".

 

During his stay in Israel, the Bulgarian Air Force Commander watched the international "Blue Flag" exercise that took place in Ovda Airbase last week. "I am really impressed with the exercise", he said after watching it. "It is an international exercise that is being held for the first time in Israel and the execution is perfect. It was a great opportunity to be here and to observe how the leading forces in military aviation perform advance and realistic pilot training".

 

The primary mission of the Bulgarian Air Force is to guarantee the sovereignty and security of the country. "The experience gained during large number of multinational and bilateral trainings, can offer the Israeli Air Force a very realistic environment in which to train against potential threats", Explained the Bulgarian Air Force Commander. "From the Israeli side, the Israeli Air Force offered us opportunity to train against and learn from one of the worlds' high level trained and equipped forces with real combat experience".

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:30
Largest International Exercise in IAF History

 

26.11.2013 Shani Poms - iaf.org.il

 

The "Blue-Flag" international aerial combat training exercise is being held for the first time in the IAF history. For two intensive weeks the Greek, Italian and US air forces are flying complex and intensive combat scenarios with the Israeli fighters Formation

 

For the last two weeks Greek, Italian and US fighter jets have been landing in Ovda Airbase as part of a broad exercise with the IAF fighters formation. This is the first time a wide and intricate exercise as the "Blue Flag" is conducted in Israel and it demands plenty of preparations from the Israeli Air Force, which has been working on the project for months.

 

This week is the most important week of the exercise, in which the four air forces practice joint flights and complex battle scenarios: the Israeli F-16C/D, F-16I and F-15C/D aircrafts alongside the foreign fighter jets.

"The Americans brought the F-15E, one of the best F-15 aircrafts in the world. The Italians came with the AMX and Tornado aircrafts and the Greeks brought a very modern F-16 aircraft", explained Lieutenant colonel Ziv, commander of the "Flying Dragon" squadron which leads the "Red" force in the Drill, and in charge of simulating the aerial and ground enemy throughout it. "During this exercise, a mixed group of air forces has a mission and they need to fly together in one big mass in order to execute it".

 

The participants from the various countries landed in Israel two weeks ago. During the last week they explored the Israeli airspace by introductory flights and also had a few tactical flights. In addition to the aerial introduction, the Participants got to know each other on ground at a special event organized in honor of them, attended by the airbase commander, Colonel A'.

 

Today at the Blue Flag: Delegates from 22 countries

22 delegates from all over the world congregated in Ovda Airbase today to watch the international exercise. Among the guests were representatives from Canada, Britain, Germany and also the commander of the Bulgarian Air Force. Based on their impression they will decide whether or not to participate in future exercises.

"One of our top goals is that foreign air forces will know that practicing in Israel is very effective", said Lieutenant colonel Ziv. "We want them to see the great power of the IAF reflected in the organization of the exercise and understand the Professionalism and strength of our force".

IAF commander, Major General Amir Eshel, arrived earlier this week at the southern Ovda Airbase to witness the progress of the exercise and joined to a flight with the "Blue" forces.

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 17:50
Scorpene photo DCNS

Scorpene photo DCNS

 

29/11/2013, Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Accompagné d'une trentaine de chefs d'entreprise, François Hollande est ce vendredi en Pologne pour une visite très politique. Une occasion pour Paris de pousser les dossiers des industriels de la défense qui visent trois contrats majeurs.

 

Et si c'était enfin le déclic entre la Pologne et la France. La plupart des industriels de l'armement français auront leurs yeux rivés ce vendredi vers la Pologne, où se rend François Hollande pour une visite très politique. Trois à quatre contrats en cours de négociations les intéressent au plus haut point : un système de défense aérienne, des hélicoptères de transport et des sous-marins, voire plus tard des corvettes. Ce sera l'occasion de pousser ces dossiers lors des discussions entre le président français et son homologue polonais, Bronislaw Komorowski.

Selon des sources concordantes, Jean-Yves Le Drian - à condition qu'il parvienne à s'extraire du débat à l'Assemblée nationale - pourrait signer ce vendredi trois LOI (Letter of Intent) avec le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak : naval (sous-marins et corvettes), aéroterrestre (hélicoptères) et, enfin, aérospatiale (spatial, avions ravitailleurs, avions de transport et défense aérienne). Trois LOI qui vont permettre aux industriels français de travailler dans un cadre formalisé, l'objectif étant qu'ils parviennent à travailler étroitement avec les groupes de défense polonais.

 

Rapprochement franco-polonais dans la défense

La signature de ces LOI découle de la visite le 8 mai dernier à Paris de Bronislaw Komorowski, invité à commémorer le 68e anniversaire de la victoire des alliés sur le nazisme lors de la Seconde Guerre mondiale. François Hollande, en compagnie du président polonais, avait déposé une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle. Puis, ils avaient remonté l'avenue des Champs Elysée entourés de la garde républicaine pour ranimer, ensemble, la flamme du Soldat inconnu au pied de l'Arc de triomphe. A cette occasion François Hollande et Bronislaw Komorowski avaient signé une LOI générale fixant le cadre d'une coopération dans la défense entre la Pologne et la France.

Ce rapprochement franco-polonais dans le domaine de la défense pourrait mettre fin à une période de disette pour les industriels français, qui font régulièrement un « bide » commercial à Varsovie. Sur la période 2007 et 2011, la Pologne, qui préfère acheter américain, allemand ou israélien, a ainsi royalement commandé à l'industrie tricolore 54,7 millions d'euros d'équipements militaires, selon le dernier rapport au Parlement sur les exportations d'armement de la France publié en octobre 2012. D'une façon plus générale, Paris souhaiterait opérer un rééquilibrage des relations commerciales avec la Pologne dont l'Allemagne est devenu le premier partenaire avec près de 26 % du marché polonais contre 6 % seulement pour la France.

 

Modernisation des forces armées polonaises

La Pologne, engagée dans un vaste programme de modernisation de ses forces armées, entend dépenser à cette fin 140 milliards de zlotys (33,3 milliards d'euros) au cours des prochaines années.

Contrairement aux autres pays européens, la Pologne, membre de l'Otan depuis 1999, n'a rien sacrifié de son budget Défense à la crise. En vertu d'une loi de 2001, ce budget reste fixé à 1,95 % du PIB. Cette année, il s'élève à 31,17 milliards de zlotys (7,4 milliards d'euros), dont plus du quart est consacré à la modernisation.

 

La Pologne proche de l'Allemagne

Les Allemands restent toutefois très présents en Pologne, qui a prévu de consacrer un budget de 2 milliards d'euros jusqu'à 2022 à l'achat de blindés. Ainsi, Varsovie va acheter 119 chars d'assaut Leopard d'occasion vendus par l'armée allemande, une transaction estimée à 180 millions d'euros, a annoncé vendredi dernier le ministère polonais de la Défense dans un communiqué. Les ministres polonais et allemand de la Défense, Tomasz Siemoniak et Thomas de Maizière, ont signé à Poznan (ouest) ce contrat portant sur 105 chars en version 2A5 et 14 chars en version 2A4, ainsi que sur 200 autres véhicules et pièces d'armements de soutien logistique, technique et d'entrainement.

L'armée polonaise dispose déjà de 128 chars Leopard 2A4, fabriqués dans les années 80 et modernisés en Pologne pour l'équivalent de plus de 200 millions d'euros. Après l'acquisition du nouveau matériel, "la Pologne sera parmi les plus importants utilisateurs de cette marque dans le monde", selon le communiqué. La Pologne, ancien pays du Pacte de Varsovie devenu membre de l'Otan en 1999, dispose actuellement d'environ 900 chars d'assaut, dont les 128 Leopard 2A4, et des véhicules de conception soviétique PT-91 et T-72.

 

Des contrats majeurs

Par ailleurs, Berlin lorgne avec insistance la vente de trois sous-marins à la Pologne (plus de 1,5 milliard d'euros). Le ministère de la Défense polonais est en train de préparer un appel d'offre favorable au groupe naval allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS). Car après une étude, le ministère s'est rendu compte que les U212A ne satisfont pas à toutes les exigences obligatoires de la marine polonaise, dont notamment le système de propulsion du sous-marin et le système de sauvetage.

Outre l'appel d'offre pour l'acquisition de trois sous-marins visé par DCNS avec le Scorpène, la Pologne a prévu de consacrer un budget de plus de 6 milliards jusqu'à 2022 à l'acquisition de systèmes de missiles de courte et moyenne portée (défense aérienne). En concurrence, l'américain Raytheon associé au norvégien Kongsberg, l'israélien Rafael et le missilier européen MBDA, associé au polonais Polish Defense Holding (PHO), ex-Bumar.

 

Eurocopter vise un contrat de 3 milliards

Eurocopter met les gaz en Pologne. La filiale hélicoptériste d'EADS est en compétition pour remporter un appel d'offre estimé à 3 milliards d'euros environ pour la fourniture de 70 hélicoptères multirôles (versions tactique, navale et de sauvetage). Si Eurocopter gagne ce contrat face à l'italien AgustaWestland et l'américain Sikorsky, le constructeur européen et le motoriste Turbomeca installeront respectivement deux chaînes d'assemblage pour l'EC725 chez l'industriel polonais WZL 1 basé à Lodz.

DCNS surveille également un appel d'offre pour l'acquisition de trois corvettes et de trois OPV (Offshore patrol vessel), qui pourrait être lancé en 2014. Un contrat estimé à 1 milliard d'euros, qui intéresse aussi TKMS associé à son compatriote Lürssen, le néerlandais Damen et l'italein Fincantieri. Enfin, Nexter attend de son côté l'arme au pied la modernisation de l'artillerie polonaise. Varsovie souhaiterait consacrer un budget de plus de 1,5 milliard d'euros mais n'a pas lancé de processus d'acquisition pour des canons de 155 mm, des lanceurs MLRS (lance-roquettes multiple)...

 

La Pologne prête à coopérer dans les drones

Plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la France et la Pologne, se sont engagés la semaine dernière à lancer des programmes communs sur les drones, avec l'ambition de produire la prochaine génération d'avions sans pilote à partir de 2020 à l'échelle européenne. Réunis à Bruxelles, les ministres de la Défense ont approuvé une série de projets de développement de drones MALE (moyenne altitude, longue endurance), l'une des lacunes les plus criantes de l'industrie européenne de défense.

Le lancement de ces programmes devrait être validé par les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE au cours de leur sommet de décembre, consacré en partie à la défense. "Si l'Europe veut garder une capacité stratégique, il faut que les pays mutualisent, de manière pragmatique, leurs capacités et leurs actions", a expliqué le ministre Jean-Yves Le Drian à l'issue de la réunion. Il s'est félicité de la création du "club des pays utilisateurs de drones", qui entendent coopérer dans l'entraînement, la certification, la logistique, la maintenance et le développement des avions pilotés à distance. Ce "club" est formé initialement de sept pays: Allemagne, France, Espagne, Grèce, Italie, Pays-Bas et Pologne.

 

Israël pris la main dans le sac en Pologne

Le général Waldemar Skrzypczak, vice-ministre polonais de la Défense, responsable des contrats d'armements, a annoncé jeudi avoir présenté sa démission, suite aux accusations d'irrégularités concernant les appels d'offres. "Je fais l'objet d'attaques injustes qui sont devenues un poids trop lourd pour le Premier ministre, son gouvernement et le ministre de la Défense", a affirmé le général Skrzypczak, 57 ans, pour justifier sa démission, dans une déclaration publiée sur le site de son ministère.

Le général fait l'objet depuis septembre d'une enquête du parquet suite à des soupçons de corruption qu'il a toujours rejetés. Le quotidien polonais "Gazeta Wyborcza" a toutefois publié récemment le facsimilé d'une lettre adressée en mars à un haut responsable du ministère israélien de la Défense, où il semblait favoriser une société israélienne dans un appel d'offres pour l'achat de drones par l'armée polonaise.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 13:32
Israël: privatisation des Industries militaires israéliennes (ministre)

 

27/11 LesEchos.fr (AFP)

 

Le groupe des Industries militaires israéliennes (IMI), qui produit notamment le célèbre pistolet mitrailleur Uzi, va être privatisé, a annoncé mercredi le ministre israélien de la Défense Moshé Yaalon dans un communiqué.

 

"Je me félicite du feu vert donné à la privatisation des IMI. C'est une mesure qui aurait du être prise depuis des années", a affirmé M. Yaalon, soulignant que "l'IMI est une entreprise enregistrant d'importantes pertes, qui ne permettent pas sa survie, tout en produisant d'excellents équipements".

 

La décision a été prise par le comité ministériel de privatisation, qui a adopté un plan prévoyant que le groupe soit scindé, a précisé le quotidien économique Globes. Pour protéger les "intérêts nationaux vitaux", une partie de l'activité sera reprise par une nouvelle entreprise publique que le gouvernement va créer, tandis que le reste du groupe sera cédé.

 

Les terrains où se trouvent actuellement les unités de production de Tel-Aviv et de ses environs vont être évacués et vendus pour d'importants projets immobiliers privés, a ajouté Globes.

 

Il n'a pas été précisé quelle entreprise étrangère pourrait être intéressée par la reprise d'une partie des activités d'IMI, qui a accumulé des centaines de millions de dollars de pertes ces dernières années.

 

IMI produit l'Uzi, considéré comme le pistolet mitrailleur le plus populaire dans le monde, produit à plus de 10 millions d'exemplaires. Parmi les autres produits du groupe figurent le fusil d'assaut Galil, des mitrailleuses, des munitions, des roquettes, des explosifs, des véhicules blindés, des systèmes de déminage, ou encore des armes à fragmentation.

 

Le groupe forme également des agents de sécurité et gardes du corps israéliens et étrangers.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 08:30
La cyberguerre, nouveau défi majeur pour Tsahal

 

octobre 10, 2013 Tsahal

 

Depuis 1948, l’armée israélienne a combattu sur trois types de champ de bataille: la terre, la mer et les airs. Aujourd’hui, en 2013, la cyberguerre dématérialise l’ennemi, qui cherche à nuire à l’État d’Israël non plus physiquement mais virtuellement depuis les quatre coins du monde. Découvrez les soldats de Tsahal qui sont déjà sur le front de la guerre de demain.

 

Une révolution est en cours dans Tsahal, mais vous n’en avez sûrement pas entendu parler dans vos médias. L’armée israélienne se transforme en une armée qui est prête à se défendre contre des ennemis sur un nouveau type de champ de bataille: la cyberguerre. Le Corps de Télégestion est au cœur de cette révolution dont le but est de fortifier la cyberdéfense de l’armée contre les menaces de pirates, tout en développant des technologies de pointe qui rendront plus facile la défense du pays sur le terrain.

 

L’unité chargée de la cyberdéfense et le développement des technologies les plus avancées est la division technologique Lotem-C4i. Composée d’experts de l’armée et du monde universitaire, la division est devenue l’une des plus grandes organisations de sécurité en Israël. Ses soldats viennent de domaines comme l’ingénierie, les mathématiques ou encore les technologies de l’information.

Le lieutenant-colonel Eric, chef des technologies de la division Lotem, a la responsabilité d’adapter les technologies existantes pour une utilisation dans l’armée. “Comment puis-je sélectionner une cible, ou des dizaines, des centaines ou des milliers de cibles, identifier l’ennemi en temps réel, et faire que l’arme le vise, lui, au bon moment ?” demande t-il. “Comment puis-je m’assurer  qu’un commandant reçoit les informations complètes sur le terrain dans les plus brefs délais ?” ajoute t-il. Ces questions représentent les défis majeurs qui se présentent à la division Lotem et sont une source d’inspiration pour continuer à innover.

Le lieutenant Colonel Eric explique que les nouvelles technologies militaires sont développées selon deux approches. “Nous regardons les technologies qui sont disponibles et essayons d’imaginer des scénarios où elles seraient utiles”, dit-il. “D’autres fois, nous utilisons une approche opposée en examinant les problèmes auxquels nous sommes confrontés pour créer des technologies qui permettront de les résoudre.”

 

Réalité virtuelle

Les prévisions pour l’avenir sont infinies et vont se réaliser beaucoup plus rapidement que dans le passé. “Les jeunes de 18 ans qui intègre cette unité arrivent avec des connaissances beaucoup plus avancés que ce que Tsahal possédait il y a 10 ans”, explique le lieutenant-colonel Eric.

La division Lotem cherche les moyens d’apporter un entraînement efficace et bénéfique à ses soldats de terrain, tout en supprimant la probabilité d’accident. En utilisant des innovations telles que la réalité augmentée, technologie qui fournit des informations sur les caractéristiques physiques des objets sur le terrain, l’armée économise le coût de déploiement de main-d’œuvre et d’équipements, ce qui n’est pas négligeable dans un contexte de coupes budgétaires massives. Les Google Glass, dispositif de réalité augmentée qui devrait se démocratiser dans les années avenirs, est une technologie qui pourrait être utilisée sur le champ de bataille dans un futur proche.

L

 

La Cyberdéfense

Les menaces qui pèsent sur l’armée israélienne, sous la forme de piratage et de terrorisme virtuel, sont prises très au sérieux par Tsahal. L’armée israélienne repose en grande partie sur des systèmes informatiques aussi bien pour ses opérations au jour le jour que dans les situations d’urgence. Le général de brigade Eyal Zelinger, commandant de la Division technologique C4i, explique que sa division qui fonctionne comme un centre de commandement et de contrôle, est devenu la force motrice pour guider les opérations sur le terrain. “Si notre système tombait en panne, l’armée serait face à un gros problème”, dit-il.

Tsahal a prit certaines mesures afin de se protéger et minimiser les risques d’attaques contre son système informatiques. En 2011, l’armée israélienne a crée une division officiel de cyberdéfense. Une salle  a été crée et fonctionne 24h sur 24 et 7 jours sur 7 afin de faire face aux nombreuses menaces contre le système. Des officiers de la Division de Cyberdéfense sont présents partout dans l’armée. De plus, les futurs soldats du C4i doivent suivre une formation de cyberdéfense de trois mois.

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Récemment, en mai 2013, Tsahal a réintégré deux grandes entreprises informatiques qui ont fait leurs débuts dans l’armée et qui ont, par la suite, quitté le domaine militaire.Ces entreprises se trouvent aujourd’hui sous l’unité Matzpan, acronyme en hébreu pour Commandement de l’Armée pour le Contrôle et la Gestion des Systèmes.

Les progrès constants de la division ont permis à l’armée israélienne de faire avancer ses capacités de cyberdefense très rapidement. “Aujourd’hui, nous avons la capacité de frapper dix fois plus de cibles que ce que nous avons pu faire durant la deuxième guerre du Liban. De plus il est possible d’achever ces opérations plus rapidement” affirme le général de brigade Zelinger.

“Ce que nous faisons peut ressembler à de la fiction, mais de plus en plus cela devient réalité”.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 08:30
photo Israel Aerospace Industries

photo Israel Aerospace Industries

 

Nov. 26, 2013 defense-unmanned.com

(Source: Israel Aerospace Industries; issued Nov. 25, 2013)

 

Israel Aerospace Industries' Unmanned Aerial Systems Surpass One Million Operational Flight Hours - an Unprecedented Accomplishment

 

Israel Aerospace Industries' (IAI) Unmanned Aerial Systems (UAS) have accumulated over one million operational flight hours worldwide – an unprecedented accomplishment.

 

IAI will present its UAS and Unmanned Ground Vehicles (UGVs) at the AUS&R 2013 Expo of Autonomous, Unmanned Systems & Robotics, which will be held tomorrow, Tuesday November 26, 2013, in Reshon Lezion, Israel.

 

Regarding the AUS&R Expo, Joseph Weiss, IAI's president & CEO said: "IAI has long been a leading pioneer in the field of unmanned aerial systems. With over forty years of operational experience and fifty customers worldwide, I am proud to announce that IAI's unmanned aerial systems have accumulated over one million flight hours.

 

“The Heron UAS has been the leading system in its class in the international markets for over a decade and has been sold to 20 customers worldwide. Heron has accumulated over 200,000 operational flight hours with extensive use in combat in Afghanistan and in other hot spots around the world.

 

“As a result of the lessons learned from the Heron’s exceptional history and extensive experience, we continue to refine and upgrade the Heron and our UAS's design."

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 18:30
Elbit Systems Mission Training Center Goes Operational, Serving the Israeli F-16 AF Fighter Pilots

 

Nov 26, 2013 ASDNews Source : Elbit Systems Ltd

 

    The center incorporates a ''Mission Training'' system that allows fighter pilots to fly operational and tactical missions

 

Elbit Systems announced today that the Mission Training Center (MTC) for the Israeli Air Force's (IAF) pilots of F-16C/D and F-16I fighter aircraft is now operational and currently being used by the IAF.

 

The MTC, operating through a PFI (Private Financing Initiative) concept, successfully completed the development phase and is now operational, with Elbit Systems performing the instruction, operation and maintenance services.

 

The new operational MTC marks a significant breakthrough in the operational training sector. The system enables training in various mission scenarios in different theaters with the relevant threat environment for each theater. The MTC brings an advanced training capability that was not available to the IAF in the past.

 

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 13:30
Former Israel Air Chief Eyes Dogfighting Drones

An Israel Aerospace Industries Heron UAV flies past. Experts say unmanned air systems may keep supplanting the missions of manned aircraft, including air-to-air combat one day. (iHLS)

 

Nov. 26, 2013 - By BARBARA OPALL-ROME -  Defense news

 

Israeli Expo Highlights Unmanned Systems

 

TEL AVIV — Unmanned aerial systems (UAS) have already superseded patrol and reconnaissance aircraft and are rendering gunships obsolete. But until they engage enemies in the air, it’s premature to speak about the end of manned platforms, according to a former Israel Air Force commander.

 

“The [unmanned] air-to-air mission is not a fantasy but part of the future,” said retired Maj. Gen. Eitan Ben-Eliahu at a Nov. 26 unmanned vehicles conference and air exhibition in Rishon Lezion, south of Tel Aviv.

 

In an address devoted to UAS trends and their prospects for replacing manned platforms, Ben-Eliahu said leading air forces are phasing out costly fixed-wing and rotary aircraft for a spectrum of unmanned reconnaissance, surveillance and targeting missions. In terms of future force planning, he said, “The attack helicopter is finished.”

 

But unmanned aircraft cannot replace manned transports, the former Israeli air chief insisted. “I don’t see human beings being transported by unmanned vehicles.”

 

While unmanned systems offer considerable savings in acquisition, life-cycle and training costs, they lack deterrent power.

 

“UAVs will not contribute enough to deterrence to prevent war,” he said.

 

“When the F-35 is operational in Israel, it will have a dramatic effect on deterring our enemies. ... So even if we have hundreds of UAVs, it won’t impact the balance of power as much as a single squadron of F-35s.”

 

The former air chief also said UAVs are highly dependent on networked command and control, which renders them more vulnerable to cyber attack than manned fighters, “which know how to perform their mission in total silence.”

 

Despite these disadvantages, Ben-Eliahu said he could envision a time when UAS platforms will replace manned fighters, provided they are sufficiently equipped to perform traditional fighter missions.

 

“We pilots are the decision makers ... and the claim to fame of fighter pilots are dogfights. So in the future, part of the process of replacing jet fighters with UAVs will be the ability to start dogfights between drones,” he added.

 

Shaul Shahar, general manager of the Malat Division of Israel Aerospace Industries, said unmanned air-to-air combat is a realistic prospect within 15 years.

 

Speaking at the same event organized by Israel Homeland Security (iHLS), Shahar, a retired colonel with 3,000 hours operating UAVs on behalf of Israeli military intelligence, said Ben-Eliahu’s support for dogfighting drones reflected a serious, albeit embryonic research-and-development trend.

 

“It was the first time someone at his level spoke about it,” Shahar said of the prospect of unmanned air-to-air missions.

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 13:50
Visite en Israël du directeur général de l'armement de la Suisse

 

 

Berne, 26.11.2013 – news.admin.ch

 

 Le 26 novembre 2013, le directeur général de l'armement Ulrich Appenzeller a été reçu à Tel-Aviv par son homologue israélien, le général de brigade Shmaya Avieli, pour des entretiens bilatéraux en matière d'armement.

 

Les entretiens ont porté sur les défis dans le domaine de l'armement, les processus de planification de l'armement et les projets d'acquisitions en cours entre la Suisse et Israël.

 

La délégation suisse a saisi l'occasion de cette visite de trois jours pour acquérir une vue d'ensemble sur les nouveaux produits et prestations de services offerts par des entreprises israéliennes. La prochaine rencontre devrait avoir lieu en Suisse, en 2015.

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 12:30
The "Defenders of the West" Squadron Meets the French Navy

 

25.11.2013 Noa Fenigstein - iaf.org.il

 

The IAF Maritime Patrol Squadron –The "Defenders of the West" – and its French equivalent met last week for a brainstorming aimed to enrich each other's instructional knowledge. "Being a unique squadron, it is very important for us to learn from other air forces around the world"

 

The AS-565 "Panther" (AKA "Bat" in the IAF) maritime patrol Helicopters Squadron, located in Ramat-David Airbase had a special meeting last week: teams from the equivalent French Maritime Patrol Squadron joined them at Haifa port for an enriching instructional gathering.

 

"The French "Panther" helicopters squadron is a sister-squadron to the Israeli "Defenders of the West" and we've met with it before", says Captain M., the squadron's second-in- command, in charge of the squadron's instructional field. "The purpose of the meeting is creating a mutual learning process and to form a base of optional cooperation between the forces".

 

This time, unlike previous cooperation sessions, soldiers from the squadron's technical division also took part in the project. "The "Panther" helicopter's technicians have many unique and complex missions", says Captain M. "The technical maintenance regulations are an integral part of the squadron's development, and it's important to learn from the aerial and marine capabilities of the French Navy".

 

AS-565 Panther photo IAF

AS-565 Panther photo IAF

The "Defenders of the West" Squadron is one-of-a-kind in the IAF and has many designated missions combining air and sea and often working with foreign air forces and navies. "We see great importance in learning from different forces, practicing with them and comparing work methods for the joint missions", adds Captain M. "The main objective is to expand and improve the squadron and simultaneously tighten the IAF's relations with air forces and navies all around the globe".

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:30
Nucléaire - L'Iran et les grandes puissances scellent un accord historique

 

 

25.11.2013 Romandie.com (AWP)

 

Genève (awp/afp) - L'Iran et les grandes puissances ont scellé dimanche un premier accord historique pour contenir le programme nucléaire de Téhéran, mais ont souligné qu'il ne s'agissait que d'une "première étape" franchie.

 

Après cinq jours d'âpres négociations, les grandes puissances et l'Iran ont annoncé un accord au terme duquel la république islamique acceptera de limiter son programme nucléaire en échange d'un allègement des sanctions économiques, ouvrant une nouvelle période de pourparlers sur le fond pendant six mois.

 

Plus précisément l'accord prévoit que "sur le stock d'uranium existant enrichi à 20%, l'Iran en retiendra la moitié en oxyde d'uranium pour fabriquer du combustible destiné au (réacteur de recherche civil iranien) TRR. Il diluera le (stock) restant à 20% d'UF6 (hexafluorure d'uranium, un gaz qui alimente directement les centrifugeuses d'uranium) à moins de 5%".

 

De plus Téhéran s'engage à ne pas enrichir de l'uranium à plus de 5% pendant six mois et à ne pas se doter de nouveaux sites d'enrichissement.

 

SUCCÈS ET PREMIÈRE ÉTAPE IMPORTANTE

 

L'accord a été qualifié de "succès" par le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei et de "première étape importante" par le président des Etats-Unis Barack Obama.

 

Le président français François Hollande y a vu "une étape vers l'arrêt du programme militaire nucléaire iranien".

 

Cet accord pourrait être "le début d'un accord historique pour les peuples et nations du Moyen-Orient et au-delà", a estimé le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon.

 

"Une percée a été réalisée, mais seulement un premier pas sur un chemin long et difficile", a nuancé le président russe, Vladimir Poutine.

 

Dans le même sens le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré dimanche soir que "maintenant, la partie vraiment difficile commence". Tout juste arrivé de Genève à Londres il a précisé qu'il faudra faire "un effort pour obtenir un accord complet qui demandera d'énormes engagements en termes de vérification, de transparence et de responsabilité."

 

Ainsi le Congrès américain a déjà annoncé qu'il était favorable à de nouvelles sanctions renforcées contre l'Iran, sanctions qui n'entreraient en vigueur que si Téhéran ne respectait pas l'accord conclu à Genève. Selon le résumé d'un conseiller d'un sénateur américain, "les sanctions prendraient effet s'ils trichent ou si le démantèlement n'est pas entamé d'ici six mois".

 

L'accord constitue une avancée pour les experts car il établit une gamme plus importante de contraintes et vérifications sur le programme nucléaire iranien.

 

Selon Bruno Tertrais, de la Fondation pour la Recherche Stratégique, basée à Paris, "c'est un accord qui permet de gagner du temps, puisqu'une grande partie du programme nucléaire iranien va être gelé pour six mois".

 

Le texte laisse toutefois une part d'ambiguïté qui permet des interprétations divergentes.

 

D'un côté le président iranien Hassan Rohani a affirmé que "le droit à l'enrichissement d'uranium sur le sol iranien a été accepté". De l'autre, John Kerry a assuré au contraire que l'accord "ne dit pas que l'Iran a le droit à l'enrichissement, quoiqu'en disent certains commentaires en l'interprétant".

 

OBAMA ASSURE

 

"Ce que dit (le document), c'est que dans le cadre d'une solution complète, si nous atteignons le stade suivant de cette solution complète, l'Iran sera en mesure de jouir de ses droits fondamentaux à disposer de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, ce qui impliquera ce que nous appelons un programme d'enrichissement mutuellement défini et limité aux besoins pratiques", a expliqué le chef de la diplomatie britannique William Hague.

 

A Washington, le président Barack Obama a assuré que cet accord "barre le chemin le plus évident" de la république islamique vers une bombe atomique.

 

Il a pris soin de souligner les "énormes difficultés" persistant dans ce dossier qui empoisonne la communauté internationale depuis une décennie ajoutant que les sanctions "les plus sévères continueront d'être appliquées".

 

Les Occidentaux et Israël soupçonnent Téhéran de dissimuler un volet militaire derrière son programme civil, ce qu'il nie.

 

Cette question est au coeur des inquiétudes des pays occidentaux et d'Israël, qui craignent que l'uranium enrichi à 20% soit utilisé par l'Iran pour obtenir de l'uranium à 90% pour un usage militaire, malgré les dénégations de Téhéran.

 

L'Iran affirme que cet uranium est destiné à son réacteur de recherche et à des fins médicales.

 

M. Kerry a également voulu rassurer Israël, en affirmant qu'un accord nucléaire "complet rendra le monde (...), les partenaires de la région et l'allié Israël plus sûrs".

 

Mais le Premier ministre Benjamin Netanyahu a dénoncé "une erreur historique" après que son bureau a évoqué un "mauvais accord qui offre ce que l'Iran voulait: la levée significative des sanctions et le maintien d'une partie significative de son programme nucléaire".

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
Séoul teste avec succès un missile israélien (agence)

 

 

SEOUL, 22 novembre - RIA Novosti

 

L'armée sud-coréenne a testé avec succès un missile israélien de haute précision Spike, a annoncé vendredi l'agence Yonhap se référant au commandement de la Marine sud-coréenne.

 

"Le missile a frappé avec précision une cible maritime se trouvant à 20 kilomètres au sud-ouest de l'île  de Yeonpyeong", indique un porte-parole de la Marine, cité par l'agence.

 

Les missiles Spike téléguidés par satellite ont été déployés dans l'île de Yeonpyeong (mer Jaune) afin de parer d'éventuelles provocations de la part de la Corée du Nord. La portée de ces missiles destinés à détruire tant des cibles mobiles que stationnaires est de 20 kilomètres.

 

La situation dans la péninsule coréenne s'est nettement détériorée suite au bombardement nord-coréen de l'île de Yeonpyeong, qui avait fait trois morts et dix-sept blessés le 23 novembre 2010. Pyongyang avait alors justifié son attaque en évoquant une riposte aux manœuvres de Séoul

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