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13 novembre 2015 5 13 /11 /novembre /2015 13:55
Raid contre Jihadi John: les jours des terroristes de l'EI sont comptés

 

13 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Tunis - Le secrétaire d'Etat John Kerry a prévenu vendredi que les jours des terroristes associés au groupe Etat islamique (EI) étaient comptés, après un raid ayant visé en Syrie un responsable britannique de l'organisation, Jihadi John, dont la mort reste à confirmer.

 

Nous continuons d'évaluer les résultats de cette frappe aérienne menée jeudi soir à Raqa, dans l'est de la Syrie, mais les terroristes associés à Daech (un acronyme en arabe de l'EI) doivent savoir ceci: vos jours sont comptés et vous serez vaincus, a déclaré M. Kerry lors d'une conférence de presse à Tunis.

 

Il n'y a aucun futur, aucune perspective d'avenir pour Daech, a-t-il ajouté.

 

Jihadi John, de son vrai nom Mohammed Emwazi, est visible sur des vidéos exécutant des otages occidentaux. Vendredi matin, le Premier ministre Britannique David Cameron a confirmé qu'il était bien la cible du raid aérien de l'armée américaine, tout en soulignant que sa mort n'était pas encore certaine.

 

Aux Etats-Unis, un haut responsable militaire américain cité par Fox News a de son côté déclaré: Nous sommes sûrs à 99% de l'avoir eu.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 23:30
Secretary Kerry Poses for a Photo With Russian Foreign Minister Lavrov Before Their Meeting at UN Headquarters in New York City (Sept. 28, 2015) - photo US gov

Secretary Kerry Poses for a Photo With Russian Foreign Minister Lavrov Before Their Meeting at UN Headquarters in New York City (Sept. 28, 2015) - photo US gov

 

01 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - Les Etats-Unis et la Russie, qui effectuent chacun des frappes en Syrie, se sont mis d'accord pour organiser au plus vite une rencontre entre leurs militaires afin d'éviter tout incident entre leurs aviations, ont annoncé mercredi les chefs de la diplomatie des deux pays.

 

Nous sommes tombés d'accord sur le fait que les militaires devraient se mettre en contact très bientôt, a déclaré le Russe Sergueï Lavrov, tandis que l'Américain John Kerry confirmait la nécessité d'une discussion entre militaires, aussi vite que possible, peut-être même demain.

 

Les deux ministres s'exprimaient devant la presse à la sortie d'une réunion du Conseil de sécurité, quelques heures après les premiers bombardements russes en Syrie.

 

La réunion entre militaires des deux armées doit porter sur ce que M. Kerry a appelé en anglais la deconfliction.

 

Il s'agit d'éviter un incident militaire entre les avions russes et ceux de la coalition pilotée par les Etats-Unis et qui mène depuis un an des frappes contre les positions du groupe Etat islamique.

 

Le mot deconfliction peut se traduire en français par le fait que les parties prenantes à un conflit communiquent et échangent des informations pour éviter des incidents entre leurs aéronefs qui interviennent sur un même théâtre d'opération.

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14 août 2015 5 14 /08 /août /2015 16:30
Les Etats-Unis vont accélérer leurs ventes d'armes aux pays du Golfe

"Nous sommes tombés d'accord pour accélérer certaines ventes d'armes qui sont nécessaires et qui ont pris trop de temps par le passé", a déclaré John Kerry lors d'une conférence de presse au Qatar.

 

04/08/2015 Par latribune.fr

 

Les États-Unis vont "accélérer" leurs ventes d'armes aux pays arabes du Golfe, a annoncé lundi le secrétaire d'État John Kerry, les monarchies s'inquiétant des ambitions régionales de leur rival iranien chiite et de l'accord sur le nucléaire.

 

Déjà très présents militairement, les États-Unis vont "accélérer" leurs ventes d'armes aux pays arabes du Golfe, a annoncé lundi le secrétaire d'État John Kerry, les monarchies sunnites s'inquiétant des ambitions régionales de leur rival iranien chiite et de l'accord sur le nucléaire. "Nous sommes tombés d'accord pour accélérer certaines ventes d'armes qui sont nécessaires et qui ont pris trop de temps par le passé", a déclaré John Kerry lors d'une conférence de presse au Qatar.

John Kerry était à Doha pour rassurer ses homologues des monarchies du Golfe sur les bienfaits de l'accord international sur le nucléaire iranien pour la sécurité de la région. Il a participé à une réunion exceptionnelle des ministres des Affaires étrangères des pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) : Arabie saoudite, Bahreïn, Émirats arabes unis, Koweït, Oman, Qatar. "Nous sommes tombés d'accord pour engager des formations très particulières (...) pour échanger et partager des renseignements", a poursuivi le chef de la diplomatie américaine.

 

Missiles balistiques

Il a également évoqué une poursuite des discussions entre les États-Unis et leurs alliés du Golfe, engagées à Camp David en mai, sur l'intégration des systèmes de missiles balistiques des pays de la région, ainsi que "l'augmentation du nombre d'exercices" militaires conjoints. "Ce sont quelques exemples de la manière dont nous pensons que la sécurité de la région peut être renforcée et la coopération améliorée", a plaidé John Kerry au côté du ministre des Affaires étrangères du Qatar, Khaled al-Attiya.

Ce dernier, parlant au nom de son pays, a assuré que l'accord sur le nucléaire iranien était "la meilleure option parmi d'autres". Les monarchies du Golfe, conduites par l'Arabie saoudite, ont accueilli avec prudence l'accord historique conclu le 14 juillet à Vienne entre l'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (États-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni, Allemagne), sous l'égide de l'Union européenne.

D'une durée de dix ans, le compromis doit garantir que Téhéran ne se dotera pas de la bombe atomique en échange d'une levée progressive et conditionnelle des sanctions internationales qui étouffent son économie. Mais les puissances sunnites redoutent que leur rival chiite ne cherche dorénavant à élargir encore son influence dans le monde arabe et à s'imposer comme la puissance régionale.

 

- "un bon accord" -

Un diplomate américain s'est félicité que le chef de la diplomatie saoudienne, Adel al-Jubeir, ait "exprimé publiquement la satisfaction du gouvernement saoudien devant un bon accord". Mais le même Adel al-Jubeir avait dénoncé la semaine dernière des "déclarations agressives" émanant de responsables iraniens, après que Téhéran a accusé Bahreïn, allié de Ryad, d'exacerber les tensions en portant des accusations infondées contre Téhéran. Dimanche au Caire, John Kerry avait déjà assuré que le règlement avec l'Iran renforcerait la sécurité des pays arabes, inquiets des ambitions de Téhéran. Des propos quelque peu contradictoires avec la volonté des États-Unis d'accélérer les ventes d'armes dans les pays du Golfe.

Au même moment, dans une déclaration télévisée, le président iranien Hassan Rohani affirmait que l'accord nucléaire allait créer un "nouveau climat" régional afin de régler des conflits armés comme au Yémen et en Syrie. Poids lourd du Golfe, l'Arabie saoudite dirige une coalition arabe qui mène depuis fin mars au Yémen des frappes aériennes contre les rebelles chiites Houthis, afin d'empêcher cette rébellion soutenue par l'Iran de s'emparer de tout le pays. En Syrie, l'Iran est le principal allié régional du régime du président Bachar al-Assad, alors que l'Arabie saoudite soutient l'opposition.

 

La Syrie évoquée

John Kerry a rencontré à Doha ses homologues russe et saoudien, Sergueï Lavrov et Adel al-Jubeir, pour parler essentiellement du conflit syrien. A l'issue de cette réunion tripartie inédite, Sergueï Lavrov a dénoncé comme "contre-productives" les mesures supplémentaires annoncées par Washington pour défendre ses alliés combattant en Syrie. John Kerry s'est envolé en soirée pour Singapour.

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 13:30
source IISS

source IISS

 

21 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Lausanne - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a vanté samedi l'unité des grandes puissance sur le dossier nucléaire iranien, après une semaine de négociations avec l'Iran à Lausanne, assurant aussi que Washington ne se précipitait pas pour sceller un accord.

 

Je souligne que nous sommes unis dans notre objectif, approche et détermination pour faire en sorte que le programme de l'Iran soit pacifique. Cette union a continué de jouer un rôle central, a insisté John Kerry à Lausanne, sur fond de rumeurs de tensions au sein du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni, Allemagne) où Paris est considéré comme le plus intransigeant face à Téhéran.

 

Nous ne voulons pas n'importe quel accord (...) Nous ne nous précipitons pas, a martelé le chef de la diplomatie américaine après que des diplomates européens eurent exprimé ces dernières semaines leur scepticisme quant à la volonté prêtée aux Etats-Unis de conclure au plus vite un règlement sur le programme nucléaire controversé de Téhéran.

 

Les parties ont tenté de trouver un accord politique à Lausanne durant une semaine et ont une date butoir fixée au 31 mars.

 

Il est temps de prendre des décisions difficiles. Nous voulons le bon accord qui rende le monde, les Etats-Unis et leurs plus proches alliés et partenaires, plus sûrs et plus en sécurité, a insisté John Kerry dans une courte déclaration à la presse.

 

Vendredi, l'Iran et les Etats-Unis avaient annoncé la reprise des négociations internationales à partir du 25 mars -- peut-être le 26 mars, après une semaine de tractations marathon qui n'ont pas permis de sceller d'accord avant l'échéance du 31 mars.

 

M. Kerry a réaffirmé qu'il serait de retour à Lausanne la semaine prochaine, sans être plus précis.

 

Il a passé près d'une semaine dans un palace de la ville suisse avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif, et doit arriver samedi vers 16H00 à Londres pour consulter ses homologues français, allemand et britannique.

 

Les grandes puissances et Téhéran font tout pour trouver d'ici fin mars un accord de principe dit politique qui garantirait que l'Iran n'ait jamais la bombe atomique, en échange d'une levée des sanctions.

 

Ils se sont ensuite donné jusqu'au 30 juin-1er juillet pour finaliser tous les détails techniques d'un texte complet.

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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 11:30
Washington devra "au final" négocier avec Assad, affirme John Kerry

 

15.03.2015 Romandie.com (ats)

 

Les Etats-Unis devront "au final" négocier avec Bachar al-Assad pour une transition politique en Syrie, a annoncé dimanche le secrétaire d'Etat américain John Kerry. Le conflit est entré dimanche dans sa cinquième année.

L'administration américaine soutient de longue date que M. Assad doit quitter le pouvoir au terme d'une transition politique négociée. Mais l'émergence d'un ennemi commun, l'Etat islamique (EI), semble atténuer l'attitude de Washington vis-à-vis du maître de Damas.

Dans une interview diffusée dimanche par CBS, John Kerry n'a pas repris la formule habituelle de l'administration Obama sur le fait que M. Assad a perdu toute légitimité et qu'il doit partir. "Nous devons négocier à la fin", a-t-il dit. "Nous avons toujours voulu négocier dans le contexte du processus de Genève I."

Les discussions de Genève I et Genève II, l'an dernier, entre une délégation du gouvernement syrien et des représentants de l'opposition ont échoué. Depuis, la diplomatie patine et aucune rencontre de type Genève III n'a été programmée.

Marie Harf, une porte-parole du département d'Etat, s'est toutefois empressée de préciser sur Twitter que John Kerry avait "réitéré la ligne que nous suivons depuis longtemps. Nous avons besoin d'un processus de négociations avec la participation du régime. Il n'a pas parlé de négociations directes avec Assad".

 

Nouveaux raids

Sur le terrain, l'armée syrienne a mené dimanche des raids aériens sur Douma, bastion rebelle à quelques kilomètres au nord-est de Damas. Ces attaques ont fait 26 morts, dont sept enfants, et une centaine de blessés, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG proche de l'opposition.

Selon les médias officiels syriens, les forces gouvernementales ont également tué dans la nuit de samedi à dimanche des dizaines de combattants affiliés au groupe djihadiste Al Nosra, dont trois commandants de haut rang, dans le sud du pays.

Dans un communiqué, l'armée syrienne a également fait allusion à des opérations en cours dans la province de Kouneïtra, sans fournir de précisions sur d'éventuelles victimes.

L'OSDH rapporte pour sa part que les hélicoptères des forces gouvernementales ont largué des barils d'explosifs dans le centre de la région. L'attaque a visé une zone où les brigades islamiques et le Front Al Nosra combattent le Hezbollah et les milices progouvernementales depuis des semaines.

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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 08:30
La coalition antidjihadistes devra relever le défi au sol, insiste l’Arabie saoudite

Le Secrétaire d'État américain, John Kerry, se rend avec le ministre des Affaires étrangères d'Arabie saoudite Saoud al-Fayçal, à laréunion du Conseil de coopération du Golfe le 5 mars à Riyad (U.S. Department of State)

 

5 mars 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Le ministre saoudien des Affaires étrangères a estimé jeudi que la coalition internationale contre les djihadistes du groupe État islamique (EI) devrait relever le défi au sol, lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d’État américain John Kerry.

 

Évoquant les actions de cette coalition, conduite par les États-Unis, en Syrie et en Irak, le prince Saoud Al-Fayçal a déclaré: « Le royaume saoudien souligne l’importance de favoriser les moyens militaires nécessaires pour relever ce défi au sol ».

Le ministre saoudien, dont le pays participe aux opérations de la coalition en Syrie, a déploré l’implication en Irak de l’Iran, son rival régional aux ambitions hégémoniques selon Ryad.

Il a cité notamment le rôle de l’Iran et des milices chiites dans l’offensive menée depuis lundi par les forces irakiennes pour reprendre à l’EI Tikrit, une ville clé au nord de Bagdad.

« Tikrit est un excellent exemple de ce dont nous nous inquiétons. L’Iran est en train de prendre le contrôle du pays », a commenté le prince Saoud Al-Fayçal.

« L’offensive de Tikrit marque l’implication iranienne la plus manifeste en Irak depuis 2004, avec de l’artillerie et d’autres moyens », a déclaré mardi le général américain Martin Dempsey, chef d’état-major inter-armées, devant la commission des forces armées du Sénat.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:30
photo  U.S. Department of State

photo U.S. Department of State

 

26/02/2015 Le Point.fr (AFP)

 

Le secrétaire d'État s'exprimait mercredi devant une commission du Congrès américain. Washington avait déjà reconnu le "rôle" de Téhéran dans la région.

 

Les États-Unis et l'Iran ont de facto "un intérêt commun" à lutter contre le groupe radical sunnite État islamique, a admis mercredi le secrétaire d'État John Kerry, même s'ils ne coopèrent pas militairement contre cette organisation. "Nous avons au moins un intérêt commun, mais pas de coopération", a déclaré M. Kerry devant une commission du Congrès américain, à propos de la lutte contre l'EI en Irak et en Syrie, au moment où Washington et Téhéran sont dans la dernière ligne droite de leurs négociations sur le programme nucléaire iranien.

 

Suite de l’article

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 08:50
John Kerry jeudi à Londres pour coprésider une réunion sur le groupe Etat islamique

 

19 janvier 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry coprésidera jeudi à Londres avec son homologue britannique une réunion avec les pays membres de la coalition contre les jihadistes de l'Etat islamique (EI), a annoncé dimanche un porte-parole du département d'Etat.

 

Une vingtaine de ministres des Affaires étrangères, y compris de pays arabes, doivent participer à cette rencontre d'une journée, organisée coinjointement avec le chef de la diplomatie britannique Philipp Hamond et dont l'entourage avait fait état dès samedi.

 

L'objectif est de faire le point sur les efforts communs des pays participants dans leur combat pour affaiblir et défaire l'EI, qui avait conquis de vastes régions en Irak et en Syrie l'an dernier, a précisé le porte-parole de M. Kerry, Jen Psaki.

 

Cette réunion intervient dans la foulée d'une rencontre à Washington entre Barack Obama et le Premier ministre britannique David Cameron qui ont alors fait part de leur détermination à lutter contrer le fléau du terrorisme après les attentats qui ont endeuillé la France.

 

Trois jihadistes ont tué 17 personnes dans plusieurs actions à Paris en se revendiquant d'Al-Qaïda et du groupe Etat Islamique.

 

Selon un haut responsable britannique, la réunion de Londres aura lieu à Lancaster House, dans le centre de la capitale.

 

Il est vital de réfléchir à tout ce que nous pouvons encore faire pour venir à bout de la problématique des combattants étrangers, pour arrêter les financements de l'EI, d'améliorer l'assistance humanitaire et pour continuer notre campagne militaire coordonnée, avait expliqué ce responsable au quotidien Daily Telegraph.

 

Les discussions porteront essentiellement sur cinq sujets: les combattants étrangers, la campagne militaire contre des cibles de l'EI, ses sources de financement, ses communications stratégiques et l'assistance humanitaire, a précisé le haut responsable britannique.

 

Après la réunion de Londres, M. Kerry se rendra en Suisse pour participer au 45e Forum Economique Mondial (WEF) de Davos, a précisé son porte-parole.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 11:35
US prepared to increase pressure on N. Korea: Kerry

 

Aug 12, 2014 Spacewar.com (AFP)

 

Sydney - US Secretary of State John Kerry said Tuesday he was prepared to improve relations with North Korea, but warned of further pressure and isolation if it chose the path of confrontation.

 

Kerry, in Sydney for joint security talks with his Australian counterpart Julie Bishop, said both sides had discussed hopes for a peaceful move towards a denuclearised Korean peninsula.

 

"The United States, I want to make this clear, is absolutely prepared to improve relations with North Korea if North Korea will honour its international obligations. It's that simple," he said.

 

"But make no mistake, we are also prepared to increase pressure, including through strong sanctions and further isolation, if North Korea chooses the path of confrontation."

 

Last month, a top-ranking North Korean military official threatened a nuclear strike on the White House and Pentagon after accusing Washington of raising military tensions on the peninsula.

 

"If the US imperialists threaten our sovereignty and survival... our troops will fire our nuclear-armed rockets at the White House and the Pentagon -- the sources of all evil," Hwang Pyong-So, director of the military's General Political Bureau, said in a speech.

 

Hwang, who holds the rank of vice marshal in the Korean People's Army, said a recent series of South Korea-US military drills, one of which included the deployment of a nuclear-powered US aircraft carrier, had ramped up tensions.

 

The UN Security Council last month condemned North Korea for recently launching a series of short-range ballistic missiles.

 

The North often test-fires missiles and rockets into the sea as a show of force or to express anger at perceived provocations, but the frequency of recent tests has been unusual.

 

UN resolutions bar North Korea from conducting any launches using ballistic missile technology. The North has defended the launches as a legitimate exercise in self-defence and a response to US war manoeuvres.

 

Already under crippling sanctions since 2006, Pyongyang was hit by fresh UN punitive measures in March 2013 over its third nuclear test.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:30
Irak: Kerry veut un gouvernement d'union, exclut l'envoi de troupes au sol

 

12 août 2014 Romandie.com (AFP)

 

Sydney - Les Etats-Unis veulent un gouvernement d'union en Irak, condition d'un élargissement de leur aide politique, économique et militaire, ont indiqué mardi le secrétaire d'État John Kerry et son homologue de la Défense Chuck Hagel, en visite à Sydney.

 

Le chef de la diplomatie américaine a exhorté le nouveau Premier ministre irakien Haïdar al-Abadi, nommé lundi, à former un nouveau gouvernement dès que possible pour faire face à la profonde crise que traverse l'Irak.

 

Les Etats-Unis sont prêts à soutenir un gouvernement d'union en Irak et en particulier son combat contre l'EIIL, l'Etat islamique en Irak et au Levant dont les insurgés sunnites ont lancé le 9 juin une offensive ayant permis de s'emparer de larges pans de territoires en Irak.

 

Washington cherche à éviter une aggravation des divisions à Bagdad alors que le Premier ministre sortant, Nouri al-Maliki, refuse de céder sa place après huit ans au pouvoir. M. Maliki, chiite de 63 ans, est mis en cause depuis plusieurs mois par l'administration américaine qui estime qu'il a alimenté l'offensive des jihadistes sunnites par sa politique confessionnelle.

 

Que les choses soient claires, nous avons toujours appelé de nos voeux un gouvernement d'union qui représente (...) tous les Irakiens. c'est l'objectif, a insisté John Kerry.

 

Au plan militaire, le patron du Pentagone Chuck Hagel a confirmé que Washington transférait des armes, via le gouvernement irakien, aux Kurdes qui se battent contre les jihadistes et qui ont repris récemment deux villes du Nord, Makhmour et Gwer, tout en perdant le contrôle de Jalawla.

 

Le président Barack Obama a donné son vert au bombardement de positions des insurgés pour protéger les civils pris au piège ainsi que les personnels américains, évoquant un risque de génocide.

 

M. Kerry a toutefois exclu tout envoi de troupes américaines au sol.

 

Il a par ailleurs indiqué que les Etats-Unis et l'Australie allait saisir les Nations unies sur la question des jihadistes étrangers qui combattent en Irak ou en Syrie, dans le but d'obtenir le soutien des pays d'origine (des jihadistes) et des pays concernés.

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 11:20
Espionnage: Berlin, réaliste, invite Washington à appuyer sur «reset» au lieu de se vexer!

 

12 juillet 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

La chancelière allemande Angela Merkel a incité ce samedi 12 juillet les USA à changer de comportement en matière d’espionnage, à la veille d’une rencontre entre les chefs de la diplomatie des deux pays pour régler leurs différends en la matière en marge du sommet à Vienne sur le nucléaire iranien où Washington, Londres parie et Berlin discuteront aussi du conflit entre Israël et Gaza.

 

Déjà choquée par le piratage du portable d’Angela Merkel, l’Allemagne était en émoi vendredi dernier après l’arrestation d’un premier agent allemand soupçonné d’avoir espionné, pour le compte des États-Unis, les parlementaires de son pays chargés… d’une enquête sur l’espionnage de la NSA…

Puis, cette semaine, la justice allemande a annoncé mercredi enquêter sur un nouveau cas d’espionnage au profit des États-Unis, un officier de la Bundeswehr cette fois, selon le quotidien Die Welt.

Les observateurs s’accordaient à juger la crise grave, mais, voulant avant tout préserver les liens qui unissent leurs deux pays, les chefs de la diplomatie allemande et américaine vont tenter dimanche à Vienne de régler leurs différends, après que le chef des services secrets américains pour l’Allemagne se soit fait expulsé dans le cadre d’une affaire d’espionnage de responsables allemands au profit de Washington.

«J’espère naturellement que quelque chose va changer«, a déclaré Angela Merkel, interrogée sur le fait de savoir si la réaction allemande aux récents soupçons d’espionnage allait pousser les États-Unis à adopter une attitude différente dans ce domaine.

«Nous avons ici visiblement des points de vue différents et nous devons en parler», a poursuivi Mme Merkel lors d’une interview à la télévision publique ZDF enregistrée samedi et qui devait être diffusée dimanche.

Mais la chancelière allemande a clairement rejeté une nouvelle fois toute idée de remettre en question les négociations sur le traité de libre-échange transatlantique (TTIP) à cause de l’affaire d’espionnage.

Merkel, qui a vécu jusqu’à la chute du Mur de Berlin en RDA –un pays où beaucoup de citoyens étaient espionnés par la Stasi–, a déclaré: «nous ne vivons plus à l’époque de la Guerre froide où chacun s’est probablement méfié de chacun. [...] Je crois que les services secrets du XXIe siècle doivent se concentrer sur les choses importantes et nous travaillons très étroitement avec les Américains. Je souhaite que cela continue».

La chancelière allemande a toutefois déploré un effritement de la confiance entre les deux pays: «l’idée que l’on doive toujours se demander, quand on travaille ensemble, si celui qui me fait face travaille peut-être en même temps pour quelqu’un d’autre, pour moi ce n’est pas une relation de confiance».

 

Appuyez sur le bouton «reset»!

Pour sa part, le chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier, qui doit rencontrer dimanche à Vienne en marge de la réunion sur le programme nucléaire iranien, son homologue américain John Kerry, a déclaré dans une entrevue parue dans l’édition dominicale du quotidien allemand Die Welt qu’il veut «redynamiser» l’amitié avec les USA, ce qui contraste avec la déclaration de son collègue ministre des Finances, Wolfgang Schäuble , qui déclarait en commentant cette affaire que «Les États-Unis sont bêtes à pleurer».

Le ministre allemand des Affaires étrangères a donc plutôt appelé à un redémarrage des relations transatlantiques.

«Naturellement, nous attendons pour cela des Américains une contribution énergique», a-t-il toutefois précisé, soulignant qu’il fallait une «confiance» et un «respect mutuel« entre les deux partenaires et soulignant qu’il « [...] est facile de les perdre, on ne peut pas en tout cas les décréter et cela met longtemps à les regagner».

Vendredi, Wahington avait laissé entendre qu’ils n’appréciaient pas la réaction des autorités allemandes sur l’affaire d’espionnage.n«Des alliés dotés de services de renseignement sophistiqués, comme les États-Unis et l’Allemagne, comprennent avec un certain degré de détails ce que ces relations et ces activités de renseignement impliquent exactement», avait déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Josh Earnest, ajoutant que «La façon la plus efficace de régler les différends est de passer par les canaux privés établis, pas par les médias».

Mais, cette fois, il semble bien que la balle soit dans le camp des Américains au moment où, dans un monde en crise, les alliés ont plus que jamais besoin les uns des autres.

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 18:45
Les Etats-Unis et l'Algérie veulent lutter ensemble contre le terrorisme

 

 

03 avril 2014 Romandie.com (AFP)

 

Alger - Alger et Washington se sont engagés jeudi à lutter ensemble contre le terrorisme, à l'occasion de la première visite en Algérie du secrétaire d'Etat américain John Kerry.

 

L'Algérie, qui a payé un lourd tribut au terrorisme, ne pliera jamais devant ce fléau, a affirmé le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, à l'ouverture des négociations stratégiques entre les deux pays.

 

Le terrorisme ne connaît pas de frontière, est sans foi ni loi, et vise toutes les nations, a-t-il ajouté.

 

La vaste région du Sahel-Sahara est devenue l'un des terrains de jeu des jihadistes depuis la chute du régime libyen de Mouammar Kadhafi en 2011.

 

Des jihadistes, dont Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), ont occupé le nord du Mali en 2012 avant d'en être chassés fin janvier 2013 par des soldats français et africains.

 

Des insurgés islamistes sont également présents au Niger, en Tunisie et en Algérie, où ils ont mené l'an passé une prise d'otages ayant conduit à la mort d'une quarantaine de captifs.

 

M. Lamamra a indiqué que son pays était déterminé à travailler avec tous ses partenaires pour éradiquer ce fléau.

 

L'une des principales préoccupations de l'Algérie est le Sahel où le terrorisme, le trafic d'être humains, de drogue et toutes sortes d'activités criminelles ont tissé leur toile, menaçant la stabilité et l'existence des peuples et des Etats de la région, a-t-il souligné.

 

M. Kerry est arrivé mercredi, sous haute protection, en Algérie, sa première visite dans ce pays depuis qu'il est devenu secrétaire d'Etat en février 2013.

 

Il a évoqué une période où la paix est confrontée à plus de menaces complexes que jamais et estimé que l'une des façons de lutter contre le terrorisme était d'aider à créer des emplois et d'améliorer le système éducatif.

 

Salu(ant) le leadership de l'Algérie dans la région, M. Kerry a souligné que les Etats-Unis voulaient travailler en coordination avec Alger, établir une relation plus solide avec ce pays, et aider à sécuriser les frontières dans la région.

 

La visite de M. Kerry en Algérie intervient en pleine campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril, suscitant les interrogations de la presse algérienne, qui considère qu'elle constitue une caution au président sortant Abdelaziz Bouteflika.

 

Agé de 77 ans dont 15 ans au pouvoir, M. Bouteflika, brigue un quatrième mandat, malgré ses problèmes de santé, et est donné favori.

 

Nous attendons des élections transparentes et conformes aux standards internationaux, a déclaré M. Kerry.

 

Les USA travailleront avec le président que le peuple algérien choisira, pour dessiner l'avenir que l'Algérie et ses voisins méritent, a-t-il ajouté, en évoquant notamment un avenir où les citoyens peuvent exercer librement leurs droits civiques, politiques et humains.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 10:50
Troupes russes: Washington salue le retrait annoncé par Moscou (Kerry)

 

BRUXELLES, 2 avril - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis saluent la décision de Moscou de retirer les troupes massées dans la zone frontalière avec l'Ukraine et attendent d'autres démarches capables d'atténuer les tensions dans la région, a déclaré mardi le secrétaire d'Etat américain John Kerry.  

"La question est de savoir si cette initiative aura des suites et si les troupes seront retirées afin de calmer la situation", a déclaré John Kerry à l'issue d'une réunion du Conseil de l'Otan au niveau des ministres des Affaires étrangères des pays membres de l'Alliance.  

Plus tôt dans la journée de mardi, le secrétaire général de l'Alliance, Anders Fogh Rasmussen, avait déclaré que l'Otan ne possédait aucune preuve attestant le retrait des troupes russes de la frontière.  

Lundi, le Département de l'Information et de la Presse du ministère russe de la Défense a annoncé que le 15ème bataillon d'infanterie motorisée du district militaire du centre avait terminé ses manœuvres dans la zone du polygone Kadamovski, non loin de la frontière ukrainienne, et allait retourner dans la région de Samara.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 10:50
source voxthunae

source voxthunae

 

02 avril 2014 Romandie.com (AFP)

 

BRUXELLES - Les Etats-Unis veulent empêcher l'utilisation de l'énergie comme une arme politique et un instrument d'agression, a affirmé mercredi le secrétaire d'Etat John Kerry, alors que la Russie fait pression sur l'Ukraine avec les prix du gaz.

 

Les difficultés actuelles soulignent la nécessité d'assurer la sécurité énergétique, pas seulement de l'Ukraine, mais aussi de l'Europe, a déclaré M. Kerry à l'issue d'un Conseil énergie USA-UE à Bruxelles.

 

Aucun pays ne devrait utiliser l'énergie pour s'opposer aux aspirations des peuples. (...) On ne peut pas permettre qu'elle soit utilisée comme une arme politique ou un instrument d'agression, a-t-il ajouté.

 

La Russie a augmenté mardi de plus d'un tiers le prix du gaz qu'elle vend à l'Ukraine.

 

M. Kerry a souligné que les Etats-Unis et l'UE apportaient une aide à l'Ukraine pour s'approvisionner en gaz naturel en Pologne et en Hongrie, et pour développer une voie d'approvisionnement à travers la Slovaquie.

 

Il a rappelé que dans le cadre du plan d'aide du FMI, l'Ukraine devait réduire les subventions pour le gaz et rendre le marché plus compétitif.

 

Après le président américain Barack Obama la semaine dernière à Bruxelles, le secrétaire d'Etat a insisté sur la nécessité pour les Etats-Unis et pour l'UE de diversifier leurs sources d'énergie. Nous devons tous faire en sorte de ne pas dépendre d'une seule source d'énergie, a-t-il insisté.

 

Il a évoqué notamment le gaz en provenance d'Azerbaïdjan, la construction de terminaux de gaz naturel liquéfié à travers l'Europe et la possibilité d'exporter du gaz de schiste américain en Europe.

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 19:40
photo State Department

photo State Department

 

30.03.20 Romandie.com (ats)

 

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue russe Sergueï Lavrov ont entamé dimanche à Paris des discussions, ont constaté des journalistes sur place. Ils doivent tenter de trouver un compromis sur la crise ukrainienne.

 

Ces négociations d'urgence ont été organisées en quelques heures après un entretien téléphonique vendredi soir entre Barack Obama et Vladimir Poutine. Ce contact était le premier entre les deux chefs d'Etat depuis l'annonce par Washington de sanctions économiques visant l'entourage proche du président russe, jugées dimanche "pas trop douloureuses" par M. Lavrov.

 

Lavrov et Kerry ont convenu de la nécessité de pourparlers rapides pour mettre fin à l'escalade qui a replongé la planète dans une quasi Guerre froide et menace de gagner en intensité. Ce alors que selon Washington et Kiev, Moscou a massé des troupes le long de la frontière avec les régions orientales de l'Ukraine, russophones et théâtre de manifestations séparatistes, en vue d'une possible invasion.

 

Compromis fédéraliste

 

Le fossé à combler semble gigantesque entre les deux grandes puissances. Dimanche, le ministre russe des Affaires étrangères a de nouveau émis l'idée d'un compromis sur la base d'une "fédéralisation" donnant une plus grande autonomie aux régions de l'est et du sud de l'ex-république soviétique.

 

Selon Moscou, les russophones voient leurs droits bafoués par les autorités pro-européennes au pouvoir depuis la destitution fin février de Viktor Ianoukovitch. Il a appelé à un dialogue national et il a dénoncé l'attitude de Kiev qui rejette cette idée.

 

Médiation suisse précieuse

 

Dans ce contexte, la Suisse peut se profiler comme médiatrice dans les crises internationales comme en Crimée et en Ukraine, assure l'ancien haut diplomate suisse Michael Ambühl dans une interview parue dans la "Schweiz am Sonntag".

 

Les bons offices en la matière constituent un "marché compétitif", déclare M. Ambühl. "La Confédération présente certains avantages par rapport à ses concurrents: elle est neutre, n'est membre ni de l'Union européenne (UE) ni de l'OTAN, n'a pas de passé colonial, et pas de programme caché", a-t-il souligné.

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 07:40
Crimée: réunion Kerry-Lavrov dimanche à Paris

 

29/03/2014 – JDD

 

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry rencontrera le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dimanche à Paris pour des discussions sur la crise ukrainienne, a annoncé samedi à Shannon, en Irlande, le département d'Etat.

 

"La rencontre a lieu à Paris demain soir", a déclaré aux journalistes la porte-parole du département d'Etat, Jen Psaki, lors d'une escale technique de l'avion de John Kerry. Elle avait annoncé peu auparavant que John Kerry, dans un changement de programme de dernière minute, était en route pour Paris en vue d'un éventuel entretien sur la crise ukrainienne avec Sergueï Lavrov.

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 12:30
Abbas rejette le plan américain prévoyant une présence militaire d'Israël

 

 

13 décembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

RAMALLAH (Territoires palestiniens) - Le président palestinien Mahmoud Abbas a rejeté les propositions présentées par le secrétaire d'Etat américain John Kerry sur la sécurisation des frontières d'un futur Etat palestinien prévoyant le maintien d'une présence militaire israélienne, a indiqué vendredi une source palestinienne proche du dossier.

 

Lors d'une rencontre jeudi soir à Ramallah (Cisjordanie), le président Abbas a rejeté les idées présentées par le secrétaire d'Etat Kerry à cause de la présence de l'armée israélienne, a-t-on précisé.

 

M. Abbas lui a remis une lettre exposant les positions palestiniennes et fixant les lignes rouges pour les Palestiniens, selon la même source, citant en particulier le refus de reconnaître Israël comme Etat juif.

 

Le président palestinien a dit rejeter les idées sur la sécurité parce qu'il n'y a pas de tierce partie et accepter la lettre de James Jones (précédent conseiller à la sécurité nationale américain) prévoyant le déploiement d'une tierce partie à la frontière est de la Palestine, avec la Jordanie, a-t-on expliqué.

 

M. Abbas a insisté sur la nécessité de régler toutes les questions du conflit, selon la même source.

 

Les médias arabes et israéliens rapportent que le plan envisagé par l'administration américaine prévoit un maintien de la présence militaire israélienne aux frontières d'un futur Etat palestinien, même après un accord de paix.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu exige qu'un Etat palestinien soit démilitarisé et qu'Israël puisse y garder des troupes à long terme dans la vallée du Jourdain, à la frontière avec la Jordanie.

 

Les Palestiniens refusent toute présence militaire israélienne sur leur territoire après un accord de paix mais acceptent une force internationale, une option rejetée par Israël.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 18:46
Syrie : ce ne sera pas l'Irak, promet Kerry

30/08/2013 - 19:15 JDD

 

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry s'est engagé vendredi à ce que les Etats-Unis ne "répètent" pas l'expérience de la guerre en Irak s'ils devaient agir militairement contre la Syrie accusée d'avoir utilisé des armes chimiques. "Nous ne répéterons pas ce moment", a-t-il déclaré devant la presse à Washington. "Ce que feront les États-Unis ne ressemblera pas à l'Irak, à l'Afghanistan ni même à l'intervention en Libye, a-t-il poursuivi.

 

Une éventuelle action aura une durée déterminée, a précisé le secrétaire d'Etat, et prendra la forme d'une action "ciblée" sans troupes au sol.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 19:40
Bouclier: pas de concessions américaines envers la Russie (Kerry)

WASHINGTON, 3 juin - RIA Novosti

 

La décision des Etats-Unis de renoncer à la quatrième étape de déploiement du système de défense antimissile en Europe ne constitue pas une concession faite à Moscou, a déclaré lundi le secrétaire d'Etat américain John Kerry  à l'issue d'une rencontre avec le ministre polonais Radoslaw Sikorski à Washington.

 

"En ce qui concerne la défense antimissile, les Etats-Unis ont consenti zéro de concessions à la Russie. Aucune discussion n'a été engagée avec Moscou concernant la décision que nous avons prise relativement à la quatrième étape. Ceci a été fait spécialement pour éviter les accusations d'arrangements ou de concessions", a répondu M. Kerry interrogé par un journaliste polonais.

 

Les Etats-Unis avaient auparavant notifié à la Russie leur décision de ne pas réaliser la quatrième étape de déploiement du bouclier antimissile en Europe, tout en indiquant qu'ils pouvaient accélérer la mise en place de la troisième étape.

 

Moscou estime que le projet américain de défense antimissile constitue une menace pour la sécurité nationale de la Russie, car il peut avoir pour but de neutraliser le potentiel stratégique russe et non de contrer le programme balistique iranien.

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 18:22

Predator over Afghanistan photo USAF

 

24 janvier 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Le sénateur américain John Kerry, nommé secrétaire d'Etat par le président Barack Obama, a affirmé jeudi lors de son audition de confirmation devant le Sénat que la diplomatie américaine ne se cantonnait pas au déploiement de soldats et de drones à l'étranger.

 

La politique étrangère américaine ne se définit pas seulement par les drones et les déploiements de soldats, a déclaré M. Kerry devant la commission des Affaires étrangères du Sénat.

 

Faisant écho au discours du président Obama lundi lors de sa prestation de serment publique, M. Kerry a également déclaré que la question vitale du changement climatique devait être une priorité de la diplomatie américaine.

 

Le sénateur démocrate a aussi martelé que Washington ferait tout pour que l'Iran n'ait jamais la bombe atomique.

 

Le président l'a dit de manière définitive: nous ferons tout ce que nous devons faire pour empêcher l'Iran d'obtenir l'arme nucléaire. Je le répète ici aujourd'hui: notre politique n'est pas d'endiguer mais de prévenir et l'heure tourne, a déclaré M. Kerry.

 

Les grandes puissances et Israël soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran nie.

 

La communauté internationale, Etats-Unis en tête, privilégient une stratégie à double voie avec l'Iran, mêlant des sanctions économiques et des négociations diplomatiques.

 

Le président Obama l'a affirmé et réaffirmé, il préfère une solution diplomatique et je travaillerai pour donner à la diplomatie toutes les chances de réussir. Mais personne ne doit se tromper sur notre détermination à réduire la menace nucléaire, a encore déclaré M. Kerry.

 

Le président Obama avait nommé fin décembre John Kerry pour prendre la succession de Hillary Clinton à la tête du département d'Etat, saluant en lui un candidat parfait pour diriger la diplomatie de la première puissance mondiale.

 

M. Kerry, 69 ans, ancien candidat malheureux du parti démocrate à la présidentielle de 2004 contre George W. Bush, dirigeait depuis quatre ans la prestigieuse commission des Affaires étrangères au Sénat, celle-là même qui l'auditionne avant que le Sénat n'approuve dans les prochains jours sa nomination.

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