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28 novembre 2017 2 28 /11 /novembre /2017 14:00
Credits Simthetiq

Credits Simthetiq

 

Montreal, November 27, 2017 PR Simthetiq

 

Simthetiq is pleased to announce that it will be presenting key elements of its comprehensive libraries of mission-ready 3D simulation models and terrains in Station IX, an immersive display system, at the I/ITSEC 2017 conference in Orlando.

Simthetiq is proud to partner with Station IX in order to showcase its high quality products and solutions in a compelling virtual environment designed to offer a true-to-life experience and which is ideally suited to the military simulation and training industries.

During the conference, attendees will have the opportunity of being transported into a virtual hangar to inspect a complex industrial vehicle before being dropped into the middle of a real-time JTAC environment rendered in Unity. With an extended field of view and true depth perception, Station IX is a visual system that allows Simthetiq to showcase tomorrow's simulation solutions in an immersive and collaborative environment.

“We look forward to presenting Simthetiq’s high quality visual content in Station IX at I/ITSEC as this will offer attendees a powerful visual experience that brings realism to a whole new level” said, Vincent Cloutier, CEO.

 

About Simthetiq

Founded in 2005, Simthetiq brings together a team of experienced professionals in the training and simulation fields to serve the civil aviation and defense markets. We provide one of the largest mission-ready simulation entity library to major corporations and governments around the world.

For more information about Simthetiq, visit www.simthetiq.com .

 

About Station IX

Station IX is a unique immersive environment that enables professionals working with high value 3D content to leverage the full potential of their data. Station IX is built to answer the requirements of multiple industries for simulation, training and visualization applications.

For more information about Station IX, visit www.stationix.com .

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12 avril 2017 3 12 /04 /avril /2017 12:55
photo Ministère de la Défense

photo Ministère de la Défense

 

12 avr. 2017 Ministère de la Défense

A Nancy, les stagiaires passent leur examen final au centre de formation à l’appui aérien (CFAA). Ils tentent de décrocher le fameux sésame : la qualification du contrôleur aérien avancé ou Joint Terminal Attack Controller (JTAC).
Sur le terrain, le contrôleur aérien avancé guide les pilotes de combat pour appuyer la manœuvre terrestre. Leur rôle est souvent déterminant pour la réussite des missions des troupes au sol ou pour soutenir les forces alliées.
Cette formation de pointe est labellisée par l'Otan et est assurée par le CFAA de Nancy qui forme chaque année 70 stagiaires "JTAC".

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:20
Persistent Close Air Support (PCAS)

Persistent Close Air Support (PCAS)

 

Nov 8, 2015 ASDNews Source : Raytheon

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) has successfully completed the flight test phase of the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA)'s Persistent Close Air Support (PCAS) program.

 

PCAS is a package of technologies designed to speed close air support to soldiers on the battlefield, enabling ground troops, Joint Terminal Attack Controllers (JTACs) and combat aircrews to share real-time situational awareness and weapons systems data. Executed in three phases, the four-and-a-half year program included flight testing during the first six months of 2015.

 

"The PCAS program was able to reduce close air support response times from nearly one hour to less than six minutes," said Tom Bussing , Raytheon vice president of Advanced Missile Systems. "By speeding critical information to decision makers, PCAS could save lives in the battlespace."

 

During the U.S. Marine Corps' Talon Reach V exercise in March, the program demonstrated end-to-end, fully digital weapons release of a Griffin missile from a modified MV-22 Osprey tiltrotor aircraft. In May, an A-10C Thunderbolt II attack aircraft and a joint terminal attack controller (JTAC) on the ground, both using PCAS' real-time digital communications and situational awareness capabilities, successfully employed 10 GPS- and laser-guided weapons in a second series of flight tests.

 

The PCAS system is designed to be platform-, digital radio-, sensor-, and weapons-class agnostic, and to be portable from platform to platform. The two main parts of the system are PCAS-Air, which consists of smart launcher electronics and a pilot tablet, and PCAS-Ground, which comprises the equipment used by the JTAC.

 

Raytheon is the systems integrator for PCAS. The company leads an industry team comprised of Rockwell Collins, General Electric, BAE Systems, Northrop Grumman and 5-D Systems. Raytheon brings its expertise in overall systems integration, weapons, aircraft integration and unmanned aircraft system ground control stations to PCAS.

 

As part of its conclusion of the program, DARPA is now focusing on transitioning PCAS technology demonstrated on both the A-10C and the MV-22 to different military platforms. DARPA is also working with the Army on other PCAS transition activity relevant to ground forces and manned and unmanned aircraft.

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 17:50
93e RAM : Exercice CASALPS en montagne


24 mars 2015 Armée de Terre

 

Le 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM) a organisé, du 23 février au 6 mars 2015, un exercice hivernal de coordination des appuis feux (type canons) et des guidages aériens (type avions de chasse) dans la région de Valloire (Savoie).


CASALPS (Close Air Support in the ALPS) est l’unique exercice européen interallié et interarmées de mise en situation. Il permet de perfectionner le guidage effectué par les Forward Air Controler (FAC) de l’OTAN en profitant des moyens aériens déployés. Les équipes sont amenées à se déplacer, stationner et combattre en milieu montagneux avec leur matériel. Cela leur permet de se mettre en condition pour d’éventuels engagements en opérations extérieures.
Quatre équipes étrangères (Italie, Allemagne, Pays-Bas, Grande-Bretagne) ont participé à cet exercice et des moyens conséquents pour sa réalisation ont été déployés : véhicules (Véhicule de l’Avant Chenillé), hélicoptères de combat (1 Tigre + 4 Gazelles), avions de chasse (Mirage 2000 + Tornado), drones, et bien d’autres encore.
Découvrez l’exercice en images.

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 12:57
photo BA118 -Armée de l’Air

photo BA118 -Armée de l’Air

 

09/03/2015 L. Picard  - DICoD

 

Tantôt appelés « J-TAC » (pour « Joint Terminal Attack Controller »), « FAC » (pour « Forward Air Controller ») ou encore « TAC-P » (pour « Tactical Air Control Party »), suivant leur spécialité, leur armée et leur pays d'appartenance, les contrôleurs aériens avancés ont pour mission en tous temps et tous lieux, y compris sur le front et sous le feu, de permettre l'engagement d'un appui avancé par le biais d’un vecteur aérien. Si leur nom varie, tous sont formés par une seule et même structure : le Centre de formation à l’appui aérien (CFAA). Suivez en images, le dernier stage de formation des apprentis-JTAC, lors de l’exercice de fin de formation qui s’est déroulé dans le Gers, près de Condom, du 2 au 13 février 2015.

 

Voir le diaporama

photo BA118 -Armée de l’Airphoto BA118 -Armée de l’Air

photo BA118 -Armée de l’Air

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 15:45
French 3rd Maine Artillery Regiment members provide over watch during a bilateral close air support training exercise in Arta, Djibouti, Feb. 4, 2015

French 3rd Maine Artillery Regiment members provide over watch during a bilateral close air support training exercise in Arta, Djibouti, Feb. 4, 2015

 

27.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

La lecture des sites web des cousins d'outre-Atlantique réserve parfois de bonnes surprises.

Sur le site du CJTF-HoA (Combined Joint Task Force Horn of Africa) a été mis en ligne un article, en date du 23 février, intitulé: "CAS training prepares coalition forces for future operations".

L'article est à lire ici.

On y apprend qu'entre le 31 janvier et le 4 février, à Djibouti, des JTAC de la 24th MEU et du 3e RAMa ont œuvré ensemble au profit d'hélicoptères HH-60 Pave Hawks et de Rafale-M. Précision: les JTAC français provenaient aussi du 40e RA et du COS.

Au menu: des exercices de CAS (close air support) et de SAR (search and rescue). Interviewé par les Américains, un pilote britannique, le Lt. Cmdr. Ian Sloan (entre anglophones, c'est plus facile). Ce capitaine de corvette est actuellement détaché au sein de la 11F et vole sur SEM. Le site navynews.co.uk lui a d'ailleurs consacré en décembre dernier une double page (à voir ici).

"This is the first significant stop that we've made, conducting a live firing exercise in coordination with the U.S., preparing the French Naval Airway pilots for upcoming operations," a-t-il déclaré, anticipant l'entrée en guerre du GAN lundi.

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:55
Contrôleur aérien avancé : une formation de pointe pour un métier d’élite

 

24/02/2015 Loïc Picard  -  DICOD

 

Aviateurs, terriens, marins ou encore membres des forces spéciales. Ils progressent le plus souvent aux côtés des unités conventionnelles. Au plus près des lignes de front et parfois même en territoires hostiles, ils sont les yeux indispensables à la mise en action des outils militaires de la « troisième dimension »  qui regroupent les appuis aériens et d’artillerie. Ce sont les contrôleurs aériens avancés.

 

Tantôt appelés « J-TAC » pour Joint Terminal Attack Controller, « FAC » pour  Forward Air Controller, ou encore « TAC-P » pour Tactical Air Control Party, suivant leur spécialité, leur armée et leur pays d'appartenance, les contrôleurs aériens avancés ont pour mission en tous temps et tous lieux, y compris sur le front et sous le feu, de permettre l'engagement d'un appui avancé par le biais d’un vecteur aérien. Si leur nom varie, tous sont formés par une seule et même structure : le Centre de formation à l’appui aérien (CFAA).

Créé en Allemagne suite à la Seconde Guerre mondiale, et aujourd’hui implanté sur la Base aérienne 133 de Nancy-Ochey, le CFAA est depuis le début des années 2000 l’unique école de formation à l’appui aérien. Fort de sa bi-nationalité franco-allemande, il reçoit chaque année de 60 à 80 candidats pour la formation de contrôleur aérien avancé. Parmi eux, les militaires allemands représentent plus du tiers des effectifs.

« Cette formule franco-allemande fonctionne très bien, souligne le lieutenant-colonel Rodolphe Wiese, commandant du CFAA. L’association des moyens nous permet de bénéficier d’avantages notables en termes d’entrainement et d’enseignement. » Ainsi, les allemands fournissent de nombreux moyens civils, comme des avions Learjet, et les français davantage de chasseurs, parmi lesquels des Alfajet, Mirage 2000 et Rafale. Des moyens que l’on retrouve majoritairement déployés en opérations extérieures actuellement.

Si ce travail interallié est aujourd’hui possible, c’est grâce à l’accréditation « OTAN » qu’a reçu le centre en 2010 pour la formation qu’il délivre. Une formation standardisée par l’Organisation du Traité de l’Atlantique nord qui est uniquement enseignée dans sept centres accrédités au sein de l’Alliance, le plus important d’entre eux se trouvant aux Etats-Unis.

« Nous avons déjà formé des militaires étrangers par le passé, précise le capitaine Robin Marlier, pilote d’Alfajet et responsable de la cellule instruction du CFAA. Aujourd’hui, nous travaillons principalement avec les allemands, mais nous pourrions tout à fait former les J-TAC de n’importe quel pays membre de l’OTAN. » Et pour cause. L’intégralité de la formation est délivrée en langue anglaise ; langue traditionnellement appliquée aux opérations aéronautiques. Pour l’intégrer, tous les candidats passent d’ailleurs une batterie de tests de pré-qualification (niveau d’anglais, orientation, connaissance du milieu aéronautique 2D/3D). A cet effet, la plupart des candidats sélectionnés sont déjà des militaires aguerris et rompus aux opérations interarmées.

Contrôleur aérien avancé : une formation de pointe pour un métier d’élite

Soutien des forces au sol, appui feu, missions de renseignement, ou encore frappes ciblées… aujourd’hui, la majorité des opérations militaires incluent l’utilisation de moyens aériens. Si les contrôleurs aériens avancés sont l’outil essentiel au bon déroulement des opérations interarmées, le droit à l’erreur leur ait presque interdit. « La moindre faute en terme de guidage et de contrôle peut en effet avoir des conséquences dramatiques, tant pour l’équipe J-TAC elle-même et les ˝amis˝, que pour d’éventuels éléments environnants comme la population alentour », rappelle le lieutenant-colonel Wiese. La formation délivrée au CFAA en est d’autant plus pointue. D’ailleurs, sur la quarantaine de candidats retenus pour suivre la formation à l’issue des présélections, près 30% échouent. Une statistique en constante amélioration et qui se veux rassurante, gage de la qualité de la qualification des contrôleurs aériens avancés qui œuvrent quotidiennement au profit des forces engagées.

 

>>> Retrouvez les J-TAC à l’action, lors de leur dernière session de formation pratique qui s’est déroulée début février 2015 dans le Gers (vidéo)

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:45
photo USAF

photo USAF

Joint terminal attack controllers from the 24th Marine Expeditionary Unit’s Maritime Raid Force and French 3rd Maine Artillery Regiment observe the exercise during a bilateral close air support training exercise in Arta, Djibouti, Feb. 4, 2015. The event was part of a scheduled bilateral CAS exercise between a contingent of MEU Marines and French soldiers and sailors. (U.S. Air Force photo by Staff Sgt. Kevin Iinuma)

 

Arta, Djibouti, February 24, 2015 By Staff Sgt. Kevin Iinuma - CJTF-HOA

 

French and U.S. coalition forces conducted a live and simulated close air support exercise in Arta, Djibouti, Jan. 31-Feb. 4, 2015.

 

The five-day event involved the U.S. 24th Marine Expeditionary Unit and the French 3rd Marine Artillery Regiment joint terminal attack controllers guiding U.S. Air Force HH-60 Pave Hawks and French Air Force Rafale-M multirole combat fighters to specified targets during the day and night CAS exercise.

 

"This is the first significant stop that we've made, conducting a live firing exercise in coordination with the U.S., preparing the French Naval Airway pilots for upcoming operations," said Lt. Cmdr. Ian Sloan, British Royal Navy exchange pilot to the French Naval Airway.

 

To increase partner nation interoperability, each exercise day was separated into three sections with two aircraft guided by both nations' JTACs, illustrating the different operating conditions they may encounter in future operations.

 

These exercises introduced both military partners to integrating and refining work tactics for time-sensitive procedures. A JTAC instructor evaluated the teams in locating targets on different terrain and communication skills between one another.  This exercise ensured that all aerial munitions called in by coalition JTACs and delivered by both nations' aircraft were on target and on time.

 

According to Sloan, it is easy to conduct training inside your comfort zone when you are doing it in a familiar environment.  However, working with coalition nations using different languages and procedures, in unfamiliar terrain, is when the real benefits come out of the training/exercise/event.

 

English was the designated language for both U.S. and French forces, their conduct of all CAS missions became successful by working through the language barriers and completing specific directions that are unique to each country.  Communication challenges included different military language being used over the radio from both nations and the available light.

 

"There were mostly similarities controlling the aircraft, especially procedural control," said U.S. Marine 1st Lt. Ashley McMillan, 24th MEU senior air director and Air Support Element officer-in-charge. "It can only be done one way. It's almost like having a universal language, the pilots knew what to expect from the JTAC and exactly what they had to do."

 

By the end of the exercise, both JTAC parties gained valuable experiences by working through friction points during the exercise, in turn helping strengthen relations and improving security amongst participating partner nations.

 

"It's always a benefit to train with our coalition partners, and any opportunity you get to do that is worth taking," said Sloan. "Even if you think you have learned all the lessons and you're on top of your game, there is always something to take away from the way other people do business."

 

The 24th MEU is currently embarked on the ships of the Iwo Jima Amphibious Ready Group and deployed to maintain regional security in the U.S. 5th Fleet area of operations.

photo USAF
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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 15:45
Weapons Co. conducts TRAP exercise with French forces photo USMC

Weapons Co. conducts TRAP exercise with French forces photo USMC

Marines with Weapons Company, Battalion Landing Team 3rd Battalion, 6th Marine Regiment, 24th Marine Expeditionary Unit, run to security positions during a Tactical Recovery of Aircraft and Personnel drill in Djibouti, Feb. 2, 2015. During the TRAP training event, the MEU teamed up with French Marines and Sailors. The MEU is embarked on the ships of the Iwo Jima Amphibious Ready Group and deployed to maintain regional security in the U.S. 5th Fleet area of operations. (U.S. Marine Corps photo by Cpl. Joey Mendez/Released)

 

25 February 2015 by CJTF-HOA - defenceWeb

 

French and U.S. coalition forces conducted a live and simulated close air support (CAS) exercise in Arta, Djibouti, between January 31 and February 4.

 

The five-day event involved the U.S. 24th Marine Expeditionary Unit and the French 3rd Marine Artillery Regiment joint terminal attack controllers guiding U.S. Air Force HH-60 Pave Hawks and French Air Force Rafale-M multirole combat fighters to specified targets during the day and night CAS exercise.

 

"This is the first significant stop that we've made, conducting a live firing exercise in coordination with the U.S., preparing the French Naval Air Arm pilots for upcoming operations," said Lt. Cmdr. Ian Sloan, British Royal Navy exchange pilot to the French Naval Air Arm.

 

To increase partner nation interoperability, each exercise day was separated into three sections with two aircraft guided by both nations' JTACs (Joint Terminal Attack Controllers), illustrating the different operating conditions they may encounter in future operations.

 

These exercises introduced both military partners to integrating and refining work tactics for time-sensitive procedures, Combined Joint Task Force – Horn of Africa (CJTF-HOA) said. A JTAC instructor evaluated the teams in locating targets on different terrain and communication skills between one another. This exercise ensured that all aerial munitions called in by coalition JTACs and delivered by both nations' aircraft were on target and on time.

 

According to Sloan, it is easy to conduct training inside your comfort zone when you are doing it in a familiar environment. However, working with coalition nations using different languages and procedures, in unfamiliar terrain, is when the real benefits come out of the training/exercise/event.

 

English was the designated language for both U.S. and French forces, their conduct of all CAS missions became successful by working through the language barriers and completing specific directions that are unique to each country. Communication challenges included different military language being used over the radio from both nations and the available light.

 

"There were mostly similarities controlling the aircraft, especially procedural control," said U.S. Marine 1st Lt. Ashley McMillan, 24th MEU senior air director and Air Support Element officer-in-charge. "It can only be done one way. It's almost like having a universal language, the pilots knew what to expect from the JTAC and exactly what they had to do."

 

By the end of the exercise, both JTAC parties gained valuable experiences by working through friction points during the exercise, in turn helping strengthen relations and improving security amongst participating partner nations.

 

"It's always a benefit to train with our coalition partners, and any opportunity you get to do that is worth taking," said Sloan. "Even if you think you have learned all the lessons and you're on top of your game, there is always something to take away from the way other people do business."

 

The 24th MEU is currently embarked on the ships of the Iwo Jima Amphibious Ready Group and deployed to maintain regional security in the U.S. 5th Fleet area of operations.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 12:50
[Vidéo] J-TAC : un élément indispensable des opérations interarmées


 24/02/2015 DICoD

 

Avec leur spécialité de maitrise de l'utilisation des outils de la troisième dimension (composante aérienne et artillerie), les contrôleurs aériens avancés, plus connus sous le nom de "J-TAC" pour "Joint Terminal Attack Controller"  sont indispensables à la réalisation d'une opération interarmées.

 

Ils ont différentes appellations suivant leur spécialité, leur armée et leur pays d'appartenance. On les appelle tantôt "FAC" pour "Forward Air Controller", ou encore "TAC-P" pour "Tactical Air Control Party". Ils sont contrôleurs aériens avancés. Aviateurs, terriens, marins ou membres des forces spéciales, ils sont intégrés à des unités conventionnelles déployées sur le terrain. Leur mission ? Gérer en tout temps et tout lieu, y compris sur le front et sous le feu, l'engagement d'un appui aérien avancé.

Chaque année, le centre de formation à l'appui aérien (CFAA), école franco-allemande implanté sur la base aérienne de Nancy-Ochey, forme une trentaine de militaires pour cette mission d'élite qu'est le contrôle aérien avancé. Du 2 au 13 février, les stagiaires français et allemands du CFAA réalisaient le dernier stage de qualification de leur formation, en plein cœur du Gers, à mi-chemin entre Agen et Mont-de-Marsan.

 

* Dans le cadre de l'exercice, les militaires allemands étaient en tenue civile

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27 novembre 2014 4 27 /11 /novembre /2014 07:30
Opération Chammal : L’ATL2 étend son champ d’action

 

26/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 21 novembre 2014, l’avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL2) de la Marine nationale a effectué son premier vol de SCAR-C (Strike Coordination and Reconnaissance – Coordinator) au-dessus de l’Irak.

 

L’ATL2, et son FAC-A (Forward Air Controller Airborne), a ainsi été désigné chef de mission d’un dispositif d’Air Interdiction composé de deux patrouilles de F16 américains et danois. Cette mission, qui a déjà prouvé son efficacité lors des opérations Harmattan et Serval, permet d’optimiser les capacités de l’avion et de son équipage dans la conduite des opérations de Dynamic Targeting contre le groupe terroriste Daech.

 

Lors de cette première sur le théâtre des opérations en Irak, le FAC(A) a coordonné l’action de l’Atlantique 2, des avions de chasse de la coalition et des JTAC (Joint Terminal Attack Controller) du CAOC (Combined Air and space Operation Center) au Qatar afin de détecter, d’identifier et de frapper d’éventuelles cibles d’opportunités.

 

En complément des missions d’ISR (Intelligence, surveillance and reconnaissance) réalisées depuis le début de l’opération Chammal, l’ATL2 a obtenu la responsabilité de la mission de SCAR-C et devrait régulièrement se voir confier ce type de mission par le CAOC.

 

Les militaires de la force Chammal poursuivent quotidiennement leurs missions de reconnaissance armée et de renseignement, afin d'appuyer l’action des forces armées irakiennes au sol.

 

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:35
L’exercice «Malfrench Daggert» en préparation

 

 

25/04/2014 Armée de l'air

 

Du 7 au 11 avril 2014, l’Initial Planning Conference (IPC - conférence de planification initiale) de l’exercice « Malfrench Daggert 2014 » s’est tenue sur la base aérienne 106, dans les locaux du commando parachutiste de l’air (CPA) n°30.

 

Le chef d’état-major de l’armée de l’air a initié en 2010 une coopération franco-malaisienne dans les domaines GRS (groupe de récupération au sol), JTAC (Joint Tactical Attack Controller - équipes de contrôle et d’appui aérien) et survie au combat dans la jungle.

 

Les fusiliers commandos parachutistes de l’air issus du CPA 30 et les Paskau (fusiliers commandos de l’air malaisiens) ont ainsi construit l’exercice « Malfrench Daggert ». La première édition s’est déroulée dans la jungle malaisienne, du 18 novembre au 1er décembre 2012. Les Malaisiens, très intéressés par cette activité de coopération, ont demandé la participation de leurs troupes à un exercice similaire, cette fois-ci sur le territoire métropolitain.

 

L’édition 2014 de l’exercice aura donc lieu au cours du dernier trimestre de l’année. L’IPC conduite début avril a permis de définir ses principaux objectifs, qui seront validés lors de la prochaine rencontre entre les deux nations, en septembre 2014.

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché

 

 

19/02/2014 Sources : EMA

 

Du 25 janvier au 9février 2014, les Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) ont accueilli une délégation franco-allemande du centre de formation à l’appui aérien (CFAA) de Nancy, dans le cadre d’un exercice d’entraînement CASEX (Close Air Support Exercice) avec les FAC (Forward Air Controler) en milieu désertique.

 

Au plus près de l’action, les FAC sont les spécialistes du combat aéroterrestre air-sol. Ils ont pour mission de guider les aéronefs sur les objectifs, afin d’assurer l’appui des unités engagées dans la manœuvre : on parle de CAS (Close Air Support) ou « appui aérien rapproché ». Les FFDJ sont idéalement implantées pour permettre toutes les combinaisons possibles : appui aérien rapproché, manœuvres dynamiques en terrain ouvert,opération amphibie, poser d’assaut, livraison par air,héliportage, évacuation médicale, tirs combinés des aéronefs et de l’artillerie sol-sol, menace sol-air, etc. CASEX a réuni 150 militaires issus des Forces Françaises stationnées à Djibouti,toutes armées confondues.

 

Trois équipes de l’US Marine Corps (USMC), soit une douzaine de militaires, ont aussi été engagées sur l’exercice. Cette présence a permis de croiser les expertises et les savoir-faire indispensables aux FAC dans un environnement interarmées et international réaliste les préparant au mieux à leurs futurs engagements.

 

Résultat concret d’une coopération interarmes, interarmées et interalliée, CASEX est un exemple parfait de partenariat entre les FFDJ et les unités de métropole venues chercher les conditions d’un entraînement exceptionnel à Djibouti.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré-positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapprochéFFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché
FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché
FFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapprochéFFDj : Exercice interalliés d’appui aérien rapproché
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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 12:56
Mirage 2000D au décollage en Corse

Mirage 2000D au décollage en Corse

 

06/12/2013 Armée de l'air

 

Perché à 730 mètres d’altitude, dans le canton de Zicavo, en Corse du sud, le village de Cozzano (Cuzzà en langue corse) est l’un des terrains d’entraînement mis en place pour l’exercice Serpentex 2013.

 

Bénéficiant d’une vue imprenable sur une vallée en contrebas, une équipe de contrôleurs «air» avancés (Forward Air Controller - FAC) composée de Britanniques, de Canadiens et de Français guide un Mirage 2000D pour un show of force (démonstration de puissance).

 

Chaque jour, plusieurs vagues d’aéronefs effectuent des missions d’appui aérien au-dessus du ciel corse. Par le biais de scénarios de plus en plus complexes, les FAC s’entraînent aux procédures avec des F18 canadiens, ainsi que des Rafale et des Mirage 2000D français. Les avions de chasse vont même jusqu’à délivrer leur armement sur le champ de tir de Diane, alternant largages de bombes et passes canon, sous le guidage de FAC situés à proximité.

 

Ligne d'avions sur la base aérienne 126 de Solenzara

Ligne d'avions sur la base aérienne 126 de Solenzara

Rafale sur la base aérienne 126 de Solenzara

Rafale sur la base aérienne 126 de Solenzara

 

«C’est très enrichissant pour nous de pouvoir bénéficier de l’expérience et du savoir-faire de la France dans le domaine de l’appui aérien, explique le capitaine Alan Lockerby, FAC Supervisor (superviseur) de l’armée de l’air canadienne. Serpentex est une occasion formidable pour s’entraîner avec des nations que nous côtoyons lors des déploiements en opération.»

 

Organisé du 25 novembre au 13 décembre 2013, sur la base aérienne 126 de Ventiseri-Solenzara (Corse), Serpentex met en œuvre de nombreux moyens pour entraîner les troupes aux procédures CAS (Close Air Support – appui aérien rapproché) avant le déploiement sur les théâtres d’opérations extérieurs. Il a été initialement créé pour répondre aux besoins des troupes avant leur départ en Afghanistan. Aujourd’hui, l’exercice évolue et prend en compte les récentes opérations comme la Libye et le Mali.

 

Contrôleurs "air" avancés britannique et américains

Contrôleurs "air" avancés britannique et américains

Équipement d'un contrôleur "air" avancé

Équipement d'un contrôleur "air" avancé

De nouveaux modes d’action sont mis en place cette année. Ainsi, les procédures DACAS (Digital Added CAS - CAS assisté par l’emploi d’outils numériques) sont employés, éprouvés et testés dans un environnement dense. De même, des missions de type SCAR (Strike Coordination and Reconnaissance – coordination de frappe et reconnaissance) sont programmées dans certains scénarios concoctés par les animateurs de l’exercice. Le SCAR est une mission qui allie la recherche et le traitement d’objectifs dans une zone délimitée, sans le guidage de FAC. Le travail avec des moyens ISR (Intelligence, Surveillance and Reconnaissance) comme le drone Reaper italien et l’avion CP-140 canadien ont également permis des scénarios plus conformes à la réalité opérationnelle.

 

 Serpentex 2013 a pris une belle envergure avec plus de 700 militaires provenant de neuf nations différentes, notamment du Canada. Fort de 200 personnes, le contingent canadien participe pour la première fois à cet exercice d’ampleur.

 

F18 canadien au décollage depuis la base aérienne de Solenzara

F18 canadien au décollage depuis la base aérienne de Solenzara

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 13:55
photo Matelot-chef Steeve Picard FAC

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27/11/2013 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Ils ont fait le déplacement tout spécialement pour l'occasion : 195 aviateurs de la force aérienne canadienne ont franchi l'Atlantique pour un séjour en Corse, sur la base aérienne de Solenzara, du 25 novembre au 6 décembre. La plateforme héberge en effet l'exercice interalliés Serpentex, essentiellement consacré aux missions d'appui-feu rapproché et à l'intégration air-sol.

 

Les Canadiens ont ainsi déployés six CF-188 Hornet du 4 Wing, rattaché à la base de Cold Lake. Ils ont été soutenus dans leur déploiement par un CC-150 Polaris (A310-300 de transport stratégique) du 8 Wing ainsi qu'un CC-130J Hercules, selon la force aérienne canadienne. Celle-ci déploie par ailleurs un CP-140 Aurora du 14 Wing qui devrait participer aux exercices mais qui restera stationné sur la base italienne de Sigonella.

 

L'armée de l'Air rappelle de son côté qu'une trentaine d'avions de combat au total devraient être engagés dans l'exercice : Mirage 2000D et Rafale côté français, mais aussi des EF-18 espagnols qui se joindront aux CF-188 canadiens. Des hélicoptères Gazelle de l'Aviation légère de l'armée de Terre (Alat) sont également attendues.

 

Le participation d'un drone Reaper italien depuis sa base nationale d'Amendola doit constituer une grande première dans l'histoire de ces exercices Serpentex, initiés à l'origine pour préparer les équipages et contrôleurs aériens avancés (JTAC) français à leurs déploiements sur le théâtre afghan. Pour l'heure, le désengagement français de ce théâtre ne semble pas remettre en question la tenue de cet exercice majeur, qui devrait réunir cette année environ 800 militaires de huit nations.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 13:55
photos Matelot-chef Steeve Picard/FAC

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26/11/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca
 

Le cadre de leadership et le soutien logistique de l’Aviation royale canadienne pour l’exercice multinational SERPENTEX 2013 en Corse sont fournis par la 2e Escadre établie à la BFC Bagotville, au Québec et c’est le lieutenant-colonel Luc Girouard, qui commandera la Force opérationnelle aérienne SERPENTEX.

 

L’exercice multinational SERPENTEX 2013 qui se déroule à la base aérienne Solenzara, en Corse (France) du 25 novembre au 6 décembre met à l’épreuve les capacités expéditionnaires de l’Aviation royale canadienne.

SERPENTEX permet aussi de renforcer ses liens professionnels avec les Forces aériennes alliées de l’OTAN et d’en créer de nouveaux.

L’exercice réunira cette année, au plus fort de son activité, près de 800 militaires de 9 pays (Canada, France, Royaume-Uni, Etats-unis, Espagne, Italie, Belgique, République Tchèque, Slovénie) qui s’entraîneront ensemble dans le relief montagneux corse.

«Dédié originellement à la mise en condition opérationnelle du personnel projeté sur le théâtre Afghan, cet exercice a pour objectif principal d’entraîner, dans un environnement tactique complexe, les unités aériennes et les équipes de contrôleurs aériens avancés (FAC, Forward Air Controller) aux missions d’appui feu.»

Son contenu évolue cette année pour prendre notamment en compte les enseignements des dernières opérations (Lybie, Mali) et mettre en œuvre de nouveaux modes d’action.

Ainsi, l’édition 2013 verra l’introduction de missions type SCAR (Strike Coordination and Reconnaissance) et le développement de l’emploi des outils de liaisons de données de type DACAS (Digital Aided Close Air Support), initié lors du précédent SERPENTEX.

Le Canada y déploiera un dispositif de quelques 200 personnes et 7 aéronefs qui proviendront des quatre coins du pays.

Le cadre de leadership et le soutien logistique sont en effet fournis par la 2e Escadre mise sur pied en juin 2012, et établie à la BFC Bagotville, au Québec.

Constituant une capacité de disponibilité opérationnelle élevée et délibérée, l’Escadre possède une structure opérationnelle, une structure de commandement et contrôle, une structure logistique et une structure de soutien qui assurent l’autosuffisance de l’ARC et lui permettent de déployer des troupes dans le monde entier.

Le soutien aux communications essentielles sera, lui, assuré par le 2e Escadron de soutien expéditionnaire aérien de la 2e Escadre Bagotville (Québec) et le 8e Escadron de communications et de contrôle aérien de la 8e Escadre Trenton (Ontario).

«La participation de l’ARC à l’exercice SERPENTEX atteste notre engagement envers la collaboration et la coopération avec nos alliés internationaux, souligne le major-général Pierre St.-Amand, commandant de la 1re Division aérienne du Canada. Il nous serait impossible de reproduire nous-mêmes le contexte d’instruction réaliste, global et multinational qu’offre l’exercice SERPENTEX.»

L’ARC affecte les ressources suivantes à l’appui de l’exercice :

  • Six CF-188 Hornet de la 4e Escadre Cold Lake (Alberta);
  • Un CP-140 Aurora de la 14e Escadre Greenwood (Nouvelle-Écosse), qui sera basé à Sigonella, en Italie.

Eu les aéronefs suivants appuient la participation de l’ARC :

  • CC-130J Hercules de la 8e Escadre Trenton (Ontario) – soutien en transport;
  • CC-150 Polaris de la 8e Escadre Trenton (Ontario) – ravitaillement air-air et soutien en transport;

«C’est un honneur pour l’ARC d’être conviée à prendre part à l’exercice SERPENTEX 2013, un entraînement multinational de premier plan visant à accroître la participation à l’échelle internationale et à favoriser la collaboration et la compréhension entre pays partenaires», déclare le lieutenant-colonel Luc Girouard, commandant de la Force opérationnelle aérienne SERPENTEX.

«Nous nous réjouissons à l’idée de mettre à l’épreuve nos capacités organisationnelles outre-mer, et ainsi vérifier si nous sommes en mesure d’offrir un soutien logistique et opérationnel aux forces déployées.», ajoute le lieutenant-colonel Girouard.

Au cours de l’exercice SERPENTEX, 195 membres de l’équipe de l’ARC auront l’occasion d’explorer les différentes facettes du soutien logistique et opérationnel du déploiement d’une force opérationnelle aérienne outre-mer, notamment:

  • capacité d’appui aérien rapproché;
  • entraînement relatif aux opérations aériennes multinationales;
  • ravitaillement stratégique en vol;
  • renseignement, surveillance et reconnaissance;
  • transport aérien stratégique (longue portée);
  • planification et exécution d’opérations de déploiement;
  • établissement d’un centre des opérations de combat en déploiement.
photos Matelot-chef Steeve Picard/FACphotos Matelot-chef Steeve Picard/FAC

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 11:20
Advanced targeting technology enables efficient tactical engagements while reducing fratricide and collateral damage

Sep 9, 2013 ASDNews Source : BAE Systems PLC

 

    New Integrated Targeting Device will support U.S. forces as part of DARPAaEUR(tm)s Persistent Close Air Support program

 

BAE Systems will lead the development of an advanced technology that seeks to detect and identify targets at tactically significant ranges, providing accurate location of long-range targets for weapons engagement. This technology is intended to enable U.S. ground forces to execute air-ground missions close to friendly forces, more quickly and accurately.

 

The new Integrated Targeting Device (ITD) will be designed as a lightweight, handheld day-and-night system that will support the Persistent Close Air Support (PCAS) program. It will allow Joint Tactical Air Controllers (JTACs) on the ground to simultaneously visualize, select, and employ weapons against multiple moving targets in a specified area.  At the same time, the JTACs will be able to digitally task close air support assets to engage with enemy targets. The device will provide either GPS coordinates or laser guidance for targeting to enable faster mission implementation by U.S. ground forces, while reducing collateral damage and potential fratricide.

 

"BAE Systems’ expertise and significant investment in advanced electro-optic and packaging technology is evident in our approach to the ITD, allowing us to achieve the program’s challenging size and performance goals," said Mark Meisner, PCAS technical adviser for BAE Systems. "Through the PCAS program, we are continuing to innovate sensors, lasers, optics, and human factors that open the door to an entirely new set of mission capabilities for the warfighter."

 

Raytheon Missile Systems selected BAE Systems to develop the ITD under a contract with the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) to support the PCAS program. The ITD will be integrated with a handheld tablet computer to help the warfighter visualize, select, and employ weapons as needed. The system will initially be demonstrated with the A-10 Warthog.

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 07:20
Joint Tactical Air Controller system Photo Matt Kryger, The Indianapolis Star

Joint Tactical Air Controller system Photo Matt Kryger, The Indianapolis Star

  

Immersive technology demonstrations to take attendees inside the mission at all-new Raytheon exhibit pavilion

 

WALTHAM, Mass., June 11, 2013 /PRNewswire/ -- Raytheon Company (NYSE: RTN) will meet with its increasing range of international customers, demonstrate innovative new systems and upgrade solutions designed for today's threat scenarios and market environment, and share the deep subject matter expertise of its senior leaders, at the 50th International Paris Air Show (June 17-23, Le Bourget, France).

 

Attendees visiting Raytheon's exhibit pavilion (behind Raytheon Chalet A294 at Exhibit Pavilion ST-D166) will experience lifelike mission scenarios that place them in the heart of the action. Features of the highly interactive Raytheon pavilion will include:

 

  • The Joint Tactical Air Controller (JTAC): A wearable, computerized vest and thin companion display that transform aviators separated from their aircraft into dismounted soldiers who can share information and support remote targeting within the battlespace. Attendees will be able to wear the situational awareness system and get a first-hand demo of its mission capabilities.

 

  • An F-16 Flight Console: Provides pilots with integrated battlefield information that fits seamlessly into flight operations. This hands-on demonstration will allow users to experience powerful upgrade capabilities as would be experienced by military pilots. Users will be offered realistic scenarios, including the ability to digitally reproduce mission-enabling images in degraded visual environments.

 

  • Additional Demonstrations and Displays: Devoted to Raytheon's leadership position in air and missile defense; global intelligence, surveillance and reconnaissance; precision weapons; and more.

On June 21st, Raytheon will once again welcome student rocketeers from France, the United Kingdom and the United States to Le Bourget as they compete for the global championship in the annual international rocketry challenge. Raytheon is underwriting the participation and travel of the Georgetown 4-H team from Georgetown, Texas, which prevailed in the Team America Rocketry Challenge (TARC) finals held May 11 in Virginia. Georgetown 4-H bested 99 teams for the chance to represent the United States at Paris.

 

Raytheon has sponsored the winning U.S. team's trip to the international show since the program's inception in 2005 -- as part of the company's ongoing commitment to encourage student interest in math and science. The company's support of the international rocketry challenge and TARC is part of Raytheon's MathMovesU® program, an initiative designed to support and inspire the engineers and technologists of tomorrow.

Beginning June 16 and running throughout the week of the Paris Air Show, Raytheon will spotlight key news, features and multimedia on its website (www.raytheon.com) and social media channels. To connect with Raytheon on social media, visit http://www.raytheon.com/newsroom/social_media/.

 

About Raytheon

 

Raytheon Company, with 2012 sales of $24 billion and 68,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, security and civil markets throughout the world. With a history of innovation spanning 91 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems; as well as a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @raytheon.

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