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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 15:20
L’ex-directeur de la NSA créé une société de conseil en cybersécurité

 

12 mai 2014 Jerome Saiz - magazine.qualys.fr

 

« Le renseignement, ça mène à tout à condition d’en sortir » , entend-on régulièrement. Mais en réalité c’est encore mieux si la sortie se fait dans la continuité !

 

Et c’est le cas pour l’ex-patron de la NSA, le général en retraite Keith Alexander, également ex-commandant du US Cyber Command, qui vient de créer une société de conseil en cybersécurité.

 

Suite de l’article

 

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 22:20
Le futur chef de la NSA veut maintenir la collecte des données téléphoniques

 

11 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Le candidat choisi par Barack Obama pour diriger la NSA a expliqué mardi vouloir plus de transparence dans les actions de l'agence de renseignement américaine mais il a jugé vital de poursuivre la collecte de métadonnées d'appels téléphoniques.

 

S'il est confirmé par le Sénat, le vice-amiral Michael Rogers remplacera le général Keith Alexander, qui part à la retraite au moment où la NSA est dans la tourmente en raison de l'ampleur de ses programmes de collecte de renseignements sur la vie privée des Américains, des pratiques révélées par Edward Snowden.

 

Face aux sénateurs de la commission des forces armées qui l'auditionnaient, le vice-amiral Rogers a dit vouloir mettre l'accent sur la transparence dans les activités de l'agence. Mais il a aussi plaidé pour le maintien en l'état de la possibilité pour les services de renseignement d'obtenir les métadonnées d'appels téléphoniques (numéro appelé, durée...).

 

Il est vital de pouvoir être en mesure d'examiner rapidement les connexions téléphoniques liées aux terroristes afin de déterminer si un réseau existe, a estimé le vice-amiral.

 

La collecte de métadonnées par la NSA avait provoqué la levée de boucliers d'une partie de la population américaine et des alliés des Etats-Unis. Face à cette colère, Barack Obama a annoncé en janvier son intention de mieux encadrer les pouvoirs de l'agence.

 

Nous devons lancer un dialogue sur ce que nous faisons et sur la raison pour laquelle nous agissons de la sorte, a assuré le haut gradé qui, s'il est confirmé, coiffera la double casquette de chef de la NSA et du Cyber Command, le commandement chargé de la sécurité informatique pour l'armée.

 

Evoquant à mots couverts le torrent de critiques qui s'est abattu sur la NSA, Michael Rogers a également dit vouloir s'assurer que la NSA rende pleinement des comptes. Nous devons faire en sorte que les procédures soient scrupuleusement respectées. Et, lorsque nous faisons une erreur, si nous ne respectons pas ces procédures, nous devons en exposer les raisons ouvertement, a-t-il expliqué.

 

Le patron de la CIA lui aussi a tenu des propos quasi-similaires mardi, au cours d'un forum organisé par le Council on Foreign Relations, un centre de réflexion américain: La vie privée, les libertés civiles, les libertés individuelles doivent être respectées, a jugé John Brennan.

 

Dans la communauté du renseignement, nous essayons de faire les choses correctement. Croyez-moi, on essaie de faire les choses bien. Et c'est un vrai défi. Certaines de nos lois, en fait, n'ont pas évolué en même temps que le secteur privé, a-t-il poursuivi.

 

Michael Rogers dirige actuellement les activités de l'US Navy dans le cyberespace, après avoir été à la tête de la section renseignement de l'état-major interarmées.

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:20
Le patron de la NSA gardera la charge de la défense du cyberespace

 

14.12.2013 Le Monde.fr

 

La Maison Blanche a décidé de ne pas scinder la direction de la NSA, l'agence de renseignement chargée des interceptions de communications, de celle du Cyber Command, qui protège les réseaux militaires des attaques informatiques, a affirmé vendredi une porte-parole de la présidence.

Le prochain départ à la retraite de Keith Alexander, aujourd'hui à la tête de la NSA et du Cyber Command, aurait pu être l'occasion de séparer les deux postes. Une option envisagée à la suite des révélations de l'ancien consultant de la NSA, Edward Snowden, sur l'ampleur des programmes de surveillance de l'agence et à la faveur de la retraite annoncée de son patron.

 

Lire notre portrait : Keith Alexander, « l'empereur » de la NSA

 

Le poste sera de nouveau attribué à un militaire après le départ du général, en poste depuis 2005, selon un haut responsable de l'administration. L'hypothèse d'une division des rôles avait provoqué de vives résistances, notamment au sein du Pentagone, qui mettait en avant les économies que permet cette double casquette. Selon la porte-parole de la Maison Blanche, la NSA joue « un rôle unique » en soutien du Cyber Command, notamment par ses moyens en cryptologie, linguistiques et son infrastructure technique.

Cette décision s'inscrit dans le cadre d'une réflexion sur les moyens de mieux encadrer les programmes de surveillance de la NSA. Ses conclusions doivent être remises à la Maison Blanche d'ici dimanche et la presse américaine a laissé entendre vendredi que la présidence n'envisagerait pas de changement majeur dans l'architecture actuelle.

 

Lire notre décryptage : La « déferlante Snowden » oblige la NSA à rompre avec le culte du secret

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 17:50
Espionnage: Europe et États-Unis s’accusent mutuellement

31/10/2013 45eNord.ca (AFP)

 

Accusations d’espionnage, démentis et ripostes, appels à la discussion: Européens et Américains se sont à nouveau livrés mercredi à une partie de ping-pong autour de la question des interceptions de communications par la NSA qui empoisonne leurs relations.

 

Sur le front de la collecte d’informations auprès des fournisseurs d’accès à internet, la NSA a fait les frais de nouvelles révélations du Washington Post. Selon le quotidien, elle intercepte les données des serveurs de Yahoo! ou Google depuis l’étranger, contournant ainsi l’obligation qui lui est faite d’obtenir des injonctions de la justice américaine. Des informations qualifiées de «fausses» par le directeur de la NSA, le général Keith Alexander.

Mercredi, lors d’une conférence à Washington, le puissant patron de l’agence chargée des interceptions de communications a une nouvelle fois démenti avoir intercepté des dizaines de millions de communications de citoyens européens.

«La perception que la NSA a intercepté 70 millions d’appels téléphoniques en France, en Espagne ou en Italie est factuellement incorrecte. Ce n’est pas nous», a-t-il asséné.

Ces interceptions, réalisées selon lui par les services européens puis fournies à la NSA, concernaient des «opérations militaires» dans des pays hors d’Europe. Ces alliés de l’Otan travaillent avec les États-Unis, a-t-il ajouté sans plus de précision

«Cela n’a rien à voir avec des interceptions visant l’Europe, point», a-t-il lancé.

Cette ligne de défense n’a pas semblé convaincre les Européens. À Paris, la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkcacem, a jugé «peu vraisemblables» les propos du général américain et appelé à «davantage de clarté sur les pratiques des services secrets américains».

De son côté, Berlin a démenti les affirmations américaines selon lesquelles l’Allemagne espionnerait les États-Unis chez eux.

 

 

Le Vatican visé par les écoutes ?

 

Le responsable du renseignement extérieur (BND), Gerhard Schindler, a assuré dans l’hebdomadaire Die Zeit qu’il n’y avait «pas d’opérations de surveillance de télécommunications menées depuis l’ambassade allemande à Washington».

Dans ce contexte électrique, le patron de la NSA a appelé à «s’asseoir» avec les Européens afin de mieux coopérer en matière de cybersécurité et d’antiterrorisme. «Ce partenariat avec l’Europe est absolument important. Mais cela doit s’effectuer avec tout le monde autour de la table en mettant de côté tout sensationnalisme», a-t-il plaidé.

À la suite de la révélation de l’écoute présumée d’un téléphone portable d’Angela Merkel, deux hauts fonctionnaires allemands de la chancellerie se sont déjà rendus mercredi à la Maison Blanche pour rencontrer la conseillère à la sécurité nationale Susan Rice et le directeur national du renseignement James Clapper, a confirmé Josh Earnest, un porte-parole de la présidence américaine.

Dans les prochains jours, ce sera au tour des présidents des services secrets (BND) et des renseignement intérieurs allemands d’être reçus dans la capitale américaine.

Washington a également garanti aux Nations unies qu’il n’interceptait pas les communications de l’organisation, a annoncé le porte-parole de l’ONU, Martin Nesirky.

«Les autorités américaines ont assuré que les communications des Nations unies n’étaient pas écoutées et ne le seraient pas à l’avenir», a-t-il déclaré, refusant de dire si les États-Unis avaient espionné les communications de l’ONU dans le passé.

Mais en dépit des efforts pour gérer les dégâts et de l’annonce par la Maison Blanche qu’elle révisait ses pratiques en matière d’espionnage de dirigeants étrangers, les révélations sur l’ampleur de l’espionnage américain ont continué à déferler: les écoutes téléphoniques américaines auraient même visé le Vatican et le pape, affirme l’hebdomadaire italien Panorama à paraître jeudi.

L’hebdomadaire allemand Stern à paraître jeudi affirme quant à lui qu’une trentaine d’entreprises américaines font de d’espionnage en Allemagne, aidant notamment à l’analyse d’écoutes ou à la coordination de missions d’agents secrets.

Et selon le magazine, elles participent probablement à la coordination de missions de drones de combat en Afrique, à partir de la ville de Stuttgart (sud-ouest), où se trouve le siège du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM).

Sur le plan intérieur, la révélation du Washington Post selon laquelle la NSA a intercepté des données de centaines de millions d’utilisateurs de Google et Yahoo!, pourrait s’avérer embarrassante pour l’administration Obama puisqu’elle concernerait également des citoyens américains.

Ce programme baptisé «MUSCULAR», et opéré avec l’homologue britannique de la NSA, permet depuis l’étranger aux deux agences de renseignement de récupérer des données depuis les fibres optiques utilisées par les géants d’internet, selon des documents obtenus auprès de l’ex-consultant de la NSA Edward Snowden.

Agir en dehors des États-Unis permettrait à la NSA d’avoir plus de latitude que dans le pays, où des décisions de justice seraient nécessaires pour ces actions, précisément pour s’assurer que les citoyens américains ne sont pas visés, selon le quotidien.

Des interceptions, réalisées selon lui par les services européens puis fournies à la NSA, concernaient des «opérations militaires» dans des pays hors d’Europe (Vidéo: Euronews)

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 20:20
La NSA défend la légalité des programmes de surveillance américains

12 juin 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Le général Keith Alexander, directeur de l'Agence nationale de sécurité (NSA), a défendu mercredi la légalité des vastes programmes de surveillance américains révélés la semaine dernière, en rappelant qu'ils fonctionnaient sous supervision rigoureuse.

 

Etant donné la nature de notre travail, bien sûr, peu de personnes en dehors des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire peuvent connaître les détails de ce que nous faisons ou voir que nous fonctionnons tous les jours selon des règles strictes, et que nous rendons des comptes dans le cadre d'un des régimes de supervision les plus rigoureux du gouvernement, devait-il dire devant une commission du Sénat américain, selon le texte de sa déclaration transmis à la presse au début de son audition.

 

Tout dépend de la confiance. Nous fonctionnons de façon à conserver la confiance des Américains car cette confiance est une exigence sacrée, devait-il expliquer. Nous ne voyons pas de compromis entre sécurité et liberté. Ce n'est pas un choix, et nous pouvons et devons accomplir les deux simultanément.

 

Il y a de multiples mécanismes de supervision en place, devait-il ajouter.

 

La participation de l'espion en chef américain à cette audition, prévue depuis longtemps et consacrée à la cybersécurité, intervient six jours après les révélations sur deux programmes secrets de surveillance téléphonique et électronique, aux Etats-Unis et à l'étranger.

 

Ces programmes hautement secrets ont été dévoilés par Edward Snowden, un ex-consultant informatique de la NSA, qui s'est réfugié à Hong-Kong avant de transmettre des documents au Washington Post et au Guardian.

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