30 mai 2013 FORCESFRANCAISES
Décollage et atterrissage à bord d'un Transall C160 de l'escadron de transport Poitou.
- Atterrissage sur la piste sommaire de Kidal
- Décollage depuis le poste de pilotage
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30 mai 2013 FORCESFRANCAISES
Décollage et atterrissage à bord d'un Transall C160 de l'escadron de transport Poitou.
- Atterrissage sur la piste sommaire de Kidal
- Décollage depuis le poste de pilotage
#Mali : P. #Buyoya, chef de la #Misma, s’est rendu à #Kidal - #Afrique #Défense #Africa #Defence http://t.co/QLmaPzNJUA
April 17, 2013
Mali: Pierre Buyoya, chef de la Misma, s'est rendu à Kidal
L'ancien président burundais, Pierre Buyoya, chef de la Misma, s'est rendu mardi 16 avril à Kidal, dans le nord du Mali, pour rencontrer les troupes tchadiennes. Présentation de condoléances pour le dernier attentat suicide à Kidal, qui a causé la mort de quatre personnes, mais l'autre objectif de la Misma était de pouvoir compter sur les troupes peules.
#Mali: Vives tensions entre les forces tchadiennes et les rebelles de #MNLA à #Kidal - #Chad #Tchad #Défense #Defence http://t.co/hJYbcMC5lw
April 16, 2013
Mali: Vives tensions entre les forces tchadiennes et les rebelles de MNLA à Kidal | Mali Actualités
" Le MNLA a reproché à la force tchadienne sa volonté de favoriser l'arrivée de l'armée malienne, alors que l'attentat kamikaze perpetré vendredi contre les militaires tchadiens, a fait comprendre qu'il ne faudrait faire aucune distinction entre les mouvements terroristes, notamment MIA, MNLA et Ancardine ", a expliqué cette source.
#Mali: le chef de la #Misma , Pierre Buyoya, en visite à #Kidal - #Afrique #Défense #Africa #Defence http://t.co/eCzaJydrev
April 16, 2013
Mali: le chef de la force africaine, Pierre Buyoya, en visite à Kidal | Mali Actualités
Le chef de la force africaine au Mali (Misma), Pierre Buyoya, est arrivé mardi à Kidal (nord-est du Mali), pour " discuter de la sécurité " dans cette région où sont retranchés des combattants jihadistes, a constaté un journaliste de l'AFP. " Nous sommes à Kidal pour une visite de travail.
27 February 2013 at 00:44 GMT BBC Africa
A car bomb has exploded in the northern Mali town of Kidal, killing seven people, reports say.
The attack is thought to have targeted a checkpoint manned by a Tuareg group which has come out in support of France's military intervention.
Islamist militants were driven out of Kidal and other strongholds but have continued to stage raids and bombings.
A senior UN humanitarian official has said hundreds of thousands of displaced Malians are too afraid to return home.
More than 430,000 people who fled the militant takeover of northern Mali last year did not feel confident enough to return to their homes despite the security situation improving, said John Ging, from the UN Office for the Co-ordination of Humanitarian Affairs.
Those who had stayed feared the conflict was not yet behind them, he added, amid reports of amputations and rape carried out by militants against women and children.
There were also fears among ethnic Tuaregs of reprisal attacks by Malian security forces, because Tuareg rebels took part in last year's rebellion before it was hijacked by Islamist militants, the UN official said.
The army has been accused of carrying out extra-judicial killings in areas where it has regained control.
Mr Ging said he had told Mali's government it should show it could protect civilians and secure cities in order for people to feel safe enough to come back.
'Wrong policies'
Tuesday's powerful car bomb exploded at a checkpoint in Kidal belonging to the secular Tuareg MNLA.
A statement from the group said seven MNLA fighters had been killed as well as a suicide bomber.
The MNLA was originally allied with Mali's militant Islamist groups when they seized control of northern Mali in April 20123 but it later fell out with them and backed the French-led offensive to drive them out.
When French troops seized Kidal's airport a month ago, the MNLA took control of the town itself. Chadian troops have also moved into the area.
Two people died in car bomb attacks in Kidal last week. The town is close to the Ifoghas mountains, where members of al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM) are thought to be hiding.
Clashes in the area, close to the Algerian border, led to the deaths of 13 Chadian soldiers and dozens of militants at the end of last week, the Chadian army said.
In a separate development, a document left by AQIM in northern Mali has indicated that disagreements between the Islamists may have led to their defeat.
The document, found by journalists in Timbuktu and published by a French newspaper, is said to contain advice by the head of al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM), Abdel Malek Droukdel.
In it, the AQIM leader criticised the Mali militants for implementing Islamic law too quickly and predicted France's intervention.
France - the former colonial power in Mali* - launched a military operation last month after the militants appeared to be threatening the south.
* Note RP Defense : astonishing the way BBC Africa treat Mali, as a former colony. Just keep in mind this is Mali's President who requested France's help... Do BBC news treat India or other UK former colonies the same way they treat Mali ?
01/02/2013 à 07:34 Le Point.fr (AFP)
La dernière grande ville du Nord malien, objectif stratégique et cible délicate, est désormais l'objet de toutes les attentions.
Otages, frappes aériennes sur les combattants islamistes, discussions avec les rebelles touareg : dans l'extrême nord-est du Mali, la localité de Kidal, où des soldats maliens sont entrés jeudi après que les Français eurent pris le contrôle de l'aéroport et ses environs, focalise toutes les attentions dans le pays et à Paris. Après Gao et Tombouctou, reprises en moins de trois jours du 26 au 29 janvier, Kidal est la dernière grande ville du nord encore aux mains des groupes d'insurgés. Mais cette fois, la France privilégie la négociation, évoquant une "situation particulière".
Des militaires maliens sont arrivés jeudi dans la ville, a affirmé à Bamako le porte-parole de l'armée malienne, le colonel Souleymane Maïga, qui parle d'une "petite unité de reconnaissance, partie préparer le terrain au reste de la troupe". Longtemps tenue par le groupe islamiste Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), allié à al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), Kidal venait de passer sous le contrôle du Mouvement islamique de l'Azawad (MIA, dissident d'Ansar Dine) et du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) quand les Français y sont arrivés dans la nuit de mardi à mercredi. Le MIA a fait savoir mercredi qu'il s'opposait à la venue à Kidal, à 1 500 kilomètres au nord-est de Bamako, de soldats maliens et ouest-africains. Le Burkina Faso, médiateur dans le conflit malien, est en contact avec le gouvernement de Bamako et les groupes armés MNLA et MIA pour de futures "négociations", mais elles ne sont pas prévues "dans l'immédiat", a indiqué jeudi soir une source proche de la médiation.
Lieu de détention des otages
Kidal et sa région, le massif des Ifoghas, près de la frontière algérienne, sont le berceau des mouvements indépendantistes touareg. Et un lieu de détention "probable" pour les sept otages français au Sahel, selon Paris. "Il est probable" que les otages "soient dans la région" du massif des Ifoghas au nord de Kidal, a déclaré jeudi sur la radio France-Inter Jean-Yves Le Drian, ministre français de la Défense, ajoutant : "Nous ne perdons jamais de vue, ni d'esprit ni de sensibilité, le fait qu'il y a des otages français dans ce territoire". Sept Français ont été enlevés par des islamistes au Niger et au Mali en 2011 et 2012. Leurs ravisseurs ont menacé de les tuer en cas d'intervention militaire française.
Le massif des Ifoghas est aussi le dernier refuge des combattants islamistes chassés des villes du nord qu'ils occupaient depuis près de dix mois. L'aviation française a d'ailleurs procédé ces derniers jours à des frappes aériennes "assez importantes" dans la région d'Aguelhok, à une centaine de kilomètres au nord de Kidal, selon Paris. "Les objectifs visés étaient des centres de commandement, des dépôts logistiques, des centres d'entraînement", a précisé le porte-parole de l'état-major français, le colonel Thierry Burkhard. La région d'Aghelhok est, selon le colonel Burkard, "assez logiquement une zone de repli des groupes terroristes qui sont en train de remonter vers le nord". Un détachement d'environ 1 400 militaires tchadiens remonte par ailleurs par la route de la frontière nigérienne, où il était positionné, en direction de Kidal, selon Paris.
Que "mijote" l'adversaire ?
Sur Radio France International (RFI), le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, s'est de son côté interrogé sur la stratégie des groupes islamistes, se demandant "pourquoi il n'y a pas eu de combats, ce que l'adversaire mijote". Les islamistes "se sont retirés des grandes villes pour ne pas se trouver coincés et ils ont dû se retirer pas très loin de ces agglomérations", a-t-il ajouté.
Concernant le volet politique de la crise et la perspective de l'après-guerre, Traoré a déclaré : "le seul groupe avec lequel nous pouvons envisager des négociations c'est certainement le MNLA, à condition que le MNLA renonce à toutes ses prétentions territoriales". Rébellion laïque, le MNLA a renoncé à sa revendication d'indépendance du nord du Mali, d'où il avait été totalement évincé en juin 2012 par Aqmi et ses alliés, Ansar Dine et Mujao. Dioncounda Traoré a estimé que le président burkinabé Blaise Compaoré, médiateur ouest-africain, se "trompe" en pensant pouvoir négocier avec Ansar Dine, à l'origine de l'offensive du 10 janvier vers le sud du Mali qui a déclenché l'intervention française. "Ansar Dine s'est disqualifié, il n'est plus éligible au dialogue, quel que soit par ailleurs le masque que certains d'entre eux ont décidé de porter désormais", a affirmé Traoré, allusion au mouvement dissident MIA.
De son côté, le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, a salué jeudi l'action "rapide et efficace" de la France, mais a indiqué que l'Alliance n'avait pas de rôle à jouer dans la stabilisation du Sahel. Et à Bruxelles, les ministres européens des Affaires étrangères se sont déclarés "alarmés" des "allégations de violations des droits de l'homme" au Mali et ont demandé aux autorités de ce pays d'"enquêter immédiatement" sur d'éventuelles représailles contre les Touareg ou les autres minorités ethniques. Les tensions sont fortes dans le nord du pays entre, d'un côté, les minorités arabe et touareg, dont les membres sont largement majoritaires dans les groupes islamistes armés, et de l'autre les Noirs majoritaires au Mali.