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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 16:50
Royal Navy to build laser cannon by end of the decade

The US Navy has already deployed a drone-killing laser cannon to the Gulf Photo: Mass Communication Specialist 2nd Class Daniel M. Young

 

15 Sep 2015 By Ben Farmer, Defence Correspondent

 

The “directed energy weapon” will be able to fire high energy beams to damage and burn up targets at the cost of only pence per shot.

 

Britain will test a prototype laser cannon on its warships by the end of the decade, the head of the Navy has said. The “directed energy weapon” will be able to fire high energy beams to damage and burn up targets at the cost of only pence per shot. It will see Britain join the laser arms race after America has already deployed a laser to the Gulf on one of its own warships. The announcement by Admiral Sir George Zambellas, the First Sea Lord, comes after the Ministry of Defence said it was looking for defence firms to build a military laser weapon.

 

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 08:30
Laser Weapon System Successfully Deployed Aboard USS Ponce

11 déc. 2014 US Navy

All Hands Update December 11, 2014 #3
The Office of Naval Research announced the laser weapon sytem, or LAWS, successfully deployed and operated aboard a Naval vessel in the Arabian Gulf.

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 12:20
LaWS Photo John F. Williams U.S. Navy

LaWS Photo John F. Williams U.S. Navy

 

MOSCOU, 11 décembre - RIA Novosti

 

Les tests d'une nouvelle arme laser montée sur un navire de guerre américain ont "dépassé toutes les attentes", a déclaré le contre-amiral Matthew Klunder, responsable de la recherche navale de la Marine US.

 

Auparavant, les médias ont rapporté que les forces navales des Etats-Unis avaient mis au point un système de laser en mer capable de neutraliser les petits vaisseaux ennemis et d'abattre les drones de surveillance. Selon les concepteurs, le laser est destiné notamment à protéger les navires de guerre contre les menaces asymétriques dans le golfe Persique.

 

Le système a été implanté sur le bâtiment de débarquement USS Ponce.

 

"Les tests sont terminés, le système fonctionne. Il se trouve sur un navire déployé dans le golfe Persique. Il ne s'agit pas de quelque chose que nous gardons pour un moment spécial. Il est utilisé de façon quotidienne", a déclaré M.Klunder.

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 21:20
Laser Weapon System (LaWS) demonstration aboard USS Ponce

 

9 déc. 2014 US Navy

 

Laser Weapon System (LaWS) Operational demonstration aboard USS Ponce (AFS(I) 15). (U.S. Navy video/Released)

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 19:50
Le drone de combat X-47B de Northrop Grumman (Northrop Grumman)

Le drone de combat X-47B de Northrop Grumman (Northrop Grumman)

 

23 juin 2014 par Benoît Maraval – 45e Nord.ca

 

Communément appelés « robots tueurs », les systèmes d’armes létaux autonomes (SALA) suscitent de nombreuses interrogations et inquiétudes sur lesquelles l’ONU travaille actuellement.

Une autonomie progressive qui pose question

 

Contrairement aux drones qui restent télé-opérés par l’homme, les SALA doivent permettre, une fois programmés – d’identifier, de sélectionner et d’engager n’importe quelle cible sans intervention humaine.

Si les SALA n’existent pas encore, des armes intègrent déjà des applications dotées d’un certain degré d’autonomie parmi lesquelles :

- “Phalanx” pour le système de combat Aegis (Etats-Unis) qui combine un radar de detection et d’acquisition de cible avec un calculateur de position associés à un canon multitube.

- Le système autonome « Harpy » de détection et de destruction d’émetteurs radars, développé par Israël.

-  Le drone britannique Taranis (toujours en stade de développement)

-  Le drone de combat X-47B de Northrop Grumman

-  Les robots de surveillance Techwin par Samsung, déployés dans la zone démilitarisée entre la Corée du Nord et la Corée du Sud.

La multiplication de l’usage des drones ainsi que la progression de la robotique pourraient donc rapidement faire de ces technologies émergentes une réalité opérationnelle. Or, ces technologies soulèvent de nombreuses problématiques qui restent pour l’instant sans réponse :

-  Aucune définition précise et officielle des SALA n’a été agréée au niveau international

- Bien que de nombreux travaux sont en cours, le stade de développement technique des SALA est incertain

- La compatibilité de ces technologies avec le droit international (notamment avec le droit international humanitaire) est largement contestée

-  L’interrelation homme-machine et les questions éthiques – déjà problématiques dans le cas de l’utilisation des drones – soulevées par le développement des SALA n’a pas non plus fait l’objet d’études approfondies

- Les risques d’un recours à la force accru, d’une dissémination des technologies et d’une prolifération des SALA restent des sujets de réflexion théoriques.

 

Genève au travail

C’est justement pour tenter de répondre à ces questions que les Etats Parties à la Convention sur certaines armes classiques (CCAC) adoptée en 1980, ont décidé fin 2013 d’organiser une réunion d’experts sur le sujet afin de progresser sur ces différents sujets. Cette réunion s’est tenue du 13 au 16 mai dernier au siège des Nations unies à Genève et constituait le premier rassemblement international officiel d’Etats consacré au SALA.

Si toutes les interrogations précitées n’ont bien entendu pas reçu de réponse précise et définitive, certains éléments potentiels d’une future définition ont été évoqués, notamment la nécessité pour l’homme de conserver une forme de contrôle sur le système d’armes. D’un point de vue technique, la question de la marge d’erreur d’un « robot tueur » a également été soulevée.

Sujet de désarmement potentiel, les SALA pourraient également, selon certains responsables militaires invités à s’exprimer, être encadrés par des mécanismes de contrôle des armements – à l’image de certains dispositifs existants : registre des armes classiques des Nations unies, document de Vienne, traité sur les forces armées conventionnelles en Europe (FCE) – ce dernier étant malheureusement loin de représenter un « modèle » comme évoqué dans une chronique précédente.

Le président de la réunion d’experts, l’Ambassadeur Jean-Hugues Simon-Michel, représentant permanent de la France auprès de la conférence du désarmement, doit désormais élaborer un rapport de compte-rendu des débats qu’il soumettra à la prochaine réunion des Etats parties à la CCAC, prévue en novembre prochain.

 

La société civile en première ligne

La réunion a également offert l’occasion aux représentants de la société civile de présenter leurs positions sur les SALA. Outre le comité international de la croix rouge (CICR), de nombreuses autres ONG ont pu faire valoir leurs inquiétudes quant à la perspective de voir ces technologies naissantes être utilisées sur des cibles humaines de manière incontrôlée et imprévisible.

Afin de mieux faire entendre leur voix, 53 ONG venant de 25 pays se sont rassemblées depuis avril 2013 au sein d’une coalition intitulée « Campaign to stop killer robots », répétant ainsi le mode d’action qui a fait le succès de négociations passées sur le désarmement ou le contrôle des armements (campagne internationale pour l’interdiction des mines antipersonnel, campagne « contrôlez les armes », etc.).

Leurs principales préoccupations portent sur le droit international et sur la dimension morale de l’utilisation de « robots » armés dont l’autonomie leur conférerait droit de vie ou de mort sur un individu. Les ONG impliquées craignent également que l’emploi de SALA modifie le rapport des autorités politiques au recours à la force. « Envoyer des robots plutôt que des personnes sur la ligne de feu […] reviendrait à faciliter la décision d’entrer en guerre, générant ainsi davantage de conflits » s’inquiète Ian Kerr, directeur de la Chaire de recherche en éthique, droit et technologie de l’Université d’Ottawa et membre de la coalition « Stop killer robots ». Pour la section canadienne du mouvement, le gouvernement canadien doit prendre une part active dans l’interdiction préemptive des « robots tueurs », notamment en décrétant un moratoire national sur leur utilisation et en s’assurant que les activités liées au développement de SALA respectent le droit international humanitaire.

 

Le droit international au cœur des débats

Le débat juridique et la question des droits de l’Homme sont sans doute les points centraux des discussions en cours et à venir dans la mesure où, en l’état actuel de la recherche, il semble difficile pour un système d’armes automatisé de respecter en toutes circonstances le droit international humanitaire, en particulier les principes de distinction (discrimination entre cible militaire et populations civiles), de proportionnalité et de précaution.

Il y a 11 jours, le Rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires des Nations unies a présenté son rapport à Genève dans lequel il préconise au Conseil des droits de l’Homme de « rester saisi de la question des systèmes d’armes autonomes, et en particulier pour ce qui a trait aux droits à la vie et à la dignité », compte tenu du « risque que ces armes soient utilisées en dehors du champ géographique des conflits armés existants. ». En 2013, le Rapporteur spécial avait spécifiquement suggéré la mise en place de moratoires nationaux sur le test, la production, l’assemblage, le transfert, l’acquisition, le déploiement et l’utilisation de SALA.

En tout état de cause, une interdiction totale est sans doute difficilement envisageable. La nature duale de la robotique amène déjà de nombreux Etats à mettre en garde contre toute mesure ou décision trop ambitieuse sur les SALA susceptible de remettre en cause la recherche et le développement d’applications civiles potentiellement révolutionnaires dans les domaines de la santé, des opérations de sauvetage ou de l’agriculture.

Selon les sources, entre 4 et 8 pays développeraient actuellement des SALA ou auraient déjà déployé des systèmes aux degrés d’autonomie divers (Allemagne, Chine, Corée du Sud, Etats-Unis, Inde, Israël, Royaume-Uni, Russie). Rappelons cependant qu’au titre de l’article 36 du Protocole additionnel I aux Conventions de Genève de 1949, un Etat partie à l’obligation de déterminer si l’emploi d’une nouvelle arme est interdit par ces engagements internationaux. L’Iran, le Pakistan et l’Inde, entre autres, ne sont pas tenus par cette obligation.

De son côté, le Canada est le seul Etat partie à la CCAC dont la déclaration liminaire n’a pas été rendue publique lors de la réunion d’experts à Genève. Un éventuel rôle de premier plan du Canada dans les discussions onusiennes mériterait en premier lieu un niveau de transparence accru sur ce sujet.

Nous sommes donc loin d’assister à la réalisation du « complexe de Frankenstein » et les « robots tueurs » restent du domaine du fantasme pour certains, du cauchemar pour d’autres. Sarah Connor peut encore dormir tranquille, mais pour combien de temps ?

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 07:20
The Laser Weapon System (LaWS) installed aboard USS Dewey. Photo U.S. Navy

The Laser Weapon System (LaWS) installed aboard USS Dewey. Photo U.S. Navy

 

9 April 2014 naval-technology.com

 

US Navy engineers are performing final adjustments to a new laser-weapon prototype that will be installed onboard an operational US Navy vessel for the first time later this summer.

 

The prototype, an improved version of the Laser Weapon System (LaWS), will be deployed on the US Navy's Austin-class amphibious transport dock, USS Ponce, for at-sea testing in the Persian Gulf.

 

During tests aboard the Arleigh Burke-class destroyer USS Dewe, the LaWS system was successfully used against a surveillance drone and fast boats.

 

Naval research chief Rear Admiral Matthew Klunder said that the LaWS is a revolutionary capability.

 

"Spending about $1 per shot of a directed-energy source that never runs out gives us an alternative to firing costly munitions at inexpensive threats," Klunder said.

 

The US Office of Naval Research, the Naval Sea Systems Command and the Naval Research Laboratory have worked together to make ship-borne laser weapons a reality.

 

A team of navy engineers and scientists, working under the ONR Quick Reaction Capability programme, have upgraded LaWS for its deployment on USS Ponce. They have also demonstrated that targets tracked with the existing Phalanx Close-In weapon can be handed over to the laser's systems easily.

 

During the USS Ponce deployment, data will be gathered on accuracy, lethality and other factors, which will guide the development of further laser weapons for the US Navy under ONR's Solid-State Laser - Technology Maturation (SSL-TM) programme.

 

ONR SSL-TM programme manager Peter Morrison said: "We are in the midst of a pivotal transition with a technology that will keep our sailors and marines safe and well-defended for years to come.

 

"We believe the deployment on Ponce and SSL-TM will pave the way for a future acquisition programme of record so we can provide this capability across the fleet."

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 12:33
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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 11:20
US Navy laser cannon shoots down drone in latest test

 

09 Apr 2013 telegraph.co.uk (AFP)

 

The US Navy says it is preparing to roll out a sea-based laser weapon capable of disabling small enemy vessels and shooting down surveillance drones in what is being hailed as a potential "game-changer".

 

 Washington - The laser system will be deployed in 2014, two years ahead of schedule, aboard the USS Ponce, an amphibious transport ship retrofitted as a waterborne staging base, the Navy said Monday.

 

Chief of Naval Research Admiral Matthew Klunder said the cost of one blast of "directed energy" could be less than $1.

 

"Compare that to the hundreds of thousands of dollars it costs to fire a missile, and you can begin to see the merits of this capability," he said in a US Navy statement.

 

The Office of Naval Research (ONR) and Naval Sea Systems Command successfully tested high-energy lasers against a moving target ship and a remotely piloted drone.

 

"The future is here," ONR official Peter Morrision said.

 

"The solid-state laser is a big step forward to revolutionizing modern warfare with directed energy, just as gunpowder did in the era of knives and swords."

 

The laser runs on electricity, so the weapon "can be fired as long as there is power," and is a lot safer than carrying explosives aboard ships.

 

The New York Times, which said the USS Ponce would deploy to the Gulf, noted the Pentagon had a "long history of grossly inflating" claims for experimental weapons.

 

Navy officials had acknowledged that the prototype laser was not yet strong enough to bring down a jet fighter or a missile, although those remained the long-term targets, the newspaper reported.

 

A March 14 report from the non-partisan Congressional Research Center said the new weapon was a potential game-changer in naval warfare.

 

"Compared to existing ship self-defense systems, such as missiles and guns, lasers could provide Navy surface ships with a more cost effective means of countering certain surface, air, and ballistic missile targets," the report read.

 

Equipping Navy ships with lasers "could lead to changes in naval tactics, ship design and procurement plans for ship-based weapons, bringing about a technological shift for the Navy - a 'game changer' - comparable to the advent of shipboard missiles in the 1950s," it added.

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