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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:45
UN Force Intervention Brigade ready for robust action

 

 

14 January 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Amid talk of M23 rebels regrouping, the United Nations has warned that its Force Intervention Brigade (FIB) in the DRC is ready to take “robust action at any time”.

 

Briefing the UN Security Council this week, UN mission in the Democratic Republic of Congo (MONUSCO) head Martin Kobler said the review of UN military deployment across eastern DRC would be finalised in the coming weeks.

 

“We will then have a more flexible force. We need it to be more agile, ready to deploy when needed and where civilians are threatened to take on the threat.

 

“With the FIB and our unmanned aerial vehicles, all armed groups are aware we have the will and the means to take robust action at any time,” he said.

 

South Africa, one of three troop contributing countries to the FIB under the command of Tanzanian Brigadier James Mwakibolwa, has actively contributed to the withdrawal of the M23 from eastern DRC. This was, among others, via Rooivalk combat support helicopters and the skills of SA National Defence Force (SANDF) snipers deployed to the FIB, the first UN peacekeeping force ever to have an offensive mandate.

 

The M23 appears to be regrouping only two months after the Tutsi-led insurgency was defeated by Congolese troops and UN peacekeepers, Kobler told Reuters.

 

“There are credible reports to emerging M23 activities in Ituri in north-eastern Congo,” he said, adding the Congolese government has been asked to speed up disarmament, demobilisation and re-integration of ex-M23 fighters who ended a 20 month revolt in November.

 

“I am also calling on the governments of Uganda and Rwanda to do everything possible to prevent M23 elements from sheltering or training troops on their territory. We should tolerate no military re-emergence of M23.”

 

U.N. experts - who monitor violations of UN sanctions on Congo - have long accused neighbouring Rwanda and Uganda of backing the M23, claims both governments have rejected.

 

In a report to the Security Council's Congo sanctions committee in December, the experts said they had credible information blacklisted M23 leaders were moving freely in Uganda and the group was still recruiting fighters in Rwanda.

 

M23 is one of dozens of rebel groups in eastern Congo. Millions of people have died from violence, disease and hunger since the 1990s as armed groups fight for control of the area's deposits of gold, diamonds, copper, cobalt and uranium.

 

Regional Peace Deal

 

Mary Robinson, UN special envoy to the Great Lakes charged with implementing a regional peace deal, told the 15-member Security Council that the DRC and neighbouring countries needed to take some confidence-building steps.

 

These included showing “none is harbouring individuals responsible for grave human rights violations, none is giving any kind of support or assistance to armed groups and none is interfering in the affairs of a neighbouring country”.

 

“There is worrying evidence these commitments are not yet being fully implemented by Rwanda and Uganda,” she said.

 

Kobler said following the defeat of M23, Congolese troops and UN peacekeepers had turned their attention to tackling the FDLR (Democratic Forces for the Liberation of Rwanda).

 

“First operations against FDLR saw some positions cleared,” he said adding only joint operations would be successful.

 

“I encourage Congolese forces to do more and intensify joint planning and execution of operations against FDLR.”

 

He also said military action could be expected soon against the Islamist Allied Democratic Forces (ADF), a group that “continues to spread terror and horror” in the Ituri region of Congo's north-eastern Orientale province.

 

He supported this by saying: “On December 13, in an ADF controlled areas, 21 bodies, including eight babies, very young children and pregnant woman, were found dead and mutilated with some beheaded. Three of the children were reportedly raped before they were murdered”.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:45
RDC: accrochage entre l’armée et le M23

 

15 octobre, 2013 – BBC Afrique

 

Un accrochage a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi sur la ligne de front entre la rébellion du M23 et l'armée congolaise, dans l'Est de la RDC.

 

Les Forces armées de la RDC se sont heurtées brièvement aux rebelles du M23 dans la localité de Kanyamahoro située à 30 km au Nord de Goma.

 

Les deux camps se sont rejetés la responsabilité de l'incident.

 

Selon le porte-parole du M23, les FARDC les auraient attaqués à 2 heures du matin, le groupe n’aurait pas riposté, et l’armée aurait pris le contrôle de deux des positions du M23.

 

Le M23 dit avoir perdu un combattant sous les tirs ennemis.

 

Selon le lieutenant-colonel Olivier Hamuli, porte-parole des FARDC, ce sont les hommes du M23 qui ont tenté de les provoquer, sans succès, au milieu de la nuit, et l'armée aurait répondu par des tirs de sommation qui auraient fait fuir les rebelles.

 

Selon une source militaire à Kanyamahoro, les rebelles se seraient ensuite repliés vers la localité de Kibumba à quelques kilomètres au sud de là, et auraient commencé à tirer en l’air.

 

Plusieurs centaines de personnes auraient fui le village de Kimbuba cette nuit, toujours selon cette source.

 

Haussant le ton, le lieutenant-colonel Olivier Hamuli a déclaré à la BBC que si le M23 provoquait à nouveau les FARDC, elles riposteraient.

 

Il s’agit du deuxième accrochage entre le M23 et les FARDC depuis la reprise officielle des pourparlers à Kampala début septembre.

 

Les discussions sont toujours dans l’impasse depuis quelques semaines.

 

La médiation ougandaise a présenté la troisème version de projet d'accord, réclamé depuis des mois par le gouvernement congolais.

 

Les deux parties devraienet commencer à discuter du document mercredi.

 

Toutefois, selon un membre de la délégation congolaise, le projet d'accord ne répond pas aux exigences de la RDC.

 

Les principaux points d'achoppement restent la question de l'amnistie et de la réintégration dans l'armée des commandants du M23.

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 11:45
RDC: le M23 tire «par erreur» sur un hélicoptère de l’ONU

12/10/2013 45eNord.ca (AFP)

 

Les rebelles congolais du Mouvement du 23 mars (M23) ont tiré vendredi après-midi sur un hélicoptère militaire de l’ONU qui survolait l’espace sous son contrôle dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris de sources concordantes.

 

«Un hélicoptère de la MONUSCO [Mission des Nations unies pour la stabilisation de la RDC, NDLR] a essuyé des tirs des forces négatives du M23 au-dessus de Rumangabo» mais n’a pas été abattu, a appris l’AFP auprès d’une source officielle congolaise.

 

Située dans la province riche et instable du Nord-Kivu, la localité de Rumangabo abrite une importante base militaire occupée par les rebelles. Elle est située à une quarantaine de kilomètres au nord de Goma, la capitale provinciale.

 

Le M23 a reconnu qu’il y avait eu un «incident majeur».

 

«Cet hélicoptère est passé à basse altitude dans le camp de Rumangabo vers 16h00 (10h00, Montréal) [...] alors que d’habitude il passe à une dizaine de kilomètres de là à vol d’oiseau», a expliqué à l’AFP le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, porte-parole militaire de la rébellion.

 

«Quand j’ai interrogé les militaires (du M23), ils ont dit qu’ils pensaient que c’étaient des commandos des FARDC (armée gouvernementale) et de la MONUSCO qui voulaient lancer le combat, alors, ils ont tiré avec des mitrailleuses», a-t-il ajouté.

 

Il a précisé qu’il ne savait pas si l’appareil avait été endommagé.

 

Interrogée par l’AFP, une source de la MONUSCO a confirmé les tirs sur l’hélicoptère. «Il y a eu cette prise à partie» mais elle s’est déroulée «à environ 400 mètres de la base de Rumangabo», a-t-elle affirmé, soulignant qu’il n’y avait pas eu de blessé. L’appareil était en «mission de reconnaissance» et «ne volait pas à plus basse altitude que d’habitude» quand il a essuyé plusieurs dizaines de coups de feu, a ajouté cette source.

 

Pour le lieutenant-colonel Kazarama, «il y a eu erreur des deux côtés», tant de celui de la MONUSCO que du M23. «Selon mon analyse du terrain, je crois que le pilote a perdu sa ligne» et est arrivé sur le camp de Rumangabo, a-t-il dit.

 

L’armée congolaise combat le M23 depuis mai 2012 au Nord-Kivu. L’ONU accuse régulièrement le Rwanda et l’Ouganda de le soutenir, ce que ces deux voisins de la RDC démentent.

 

Le M23 est né de la mutinerie d’anciens rebelles qui avaient été réintégrés dans l’armée.

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 07:45
Des membres des forces spéciales tanzaniennes de la Brigade d'intervention de la MONUSCO, déployées dans le Nord-Kivu (Sylvain Liechti/MONUSCO)

Des membres des forces spéciales tanzaniennes de la Brigade d'intervention de la MONUSCO, déployées dans le Nord-Kivu (Sylvain Liechti/MONUSCO)

 

19/09/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

          

«Des cas de viols, enlèvements et autres exactions perpétrées par des hommes armés sont signalés » au Congo, a déclaré le porte-parole de la Mission de l’Organisation des Nations Unies (MONUSCO) en République démocratique du Congo, Madnodje Mounoubai, lors d’une conférence de presse.

 

La MONUSCO a indiqué mercredi que près de 80.000 personnes, se trouvant actuellement dans des conditions précaires, ont été déplacées depuis la reprise des affrontements armés dans l’est du pays le 22 août, rapporte le service d’Information de l’ONU.

Lors de la conférence de presse sur la Journée internationale de la Paix qui sera célébrée à travers le monde, ainsi qu’en République démocratique du Congo, le samedi 21 septembre 2013, le porte-parole de la Mission a fait le point de la situation militaire et de la situation humanitaire

 

Ituri

«Des villages entiers ont été vidés de leur population. De nombreux déplacés, craignant la violence des combats, se seraient réfugiés dans la brousse, à l’intérieur de zones encore inaccessibles», a-t-il affirmé, ajoutant que les agences humanitaires sont particulièrement préoccupées par la situation dans le district de l’Ituri, en Province Orientale, où des combats opposent l’armée gouvernementale aux miliciens du Front de Résistance Patriotique d’Ituri (FRPI).

Selon le porte-parole de la MONUSCO, 120.000 personnes sont touchées par le conflit dans le sud du territoire d’Irumu, en Ituri, notamment par les destructions de maisons et les pillages occasionnés par les combats.

Les 13, 14 et 15 septembre, des affrontements sporadiques entre l’armée gouvernementale et les insurgés du FRPI ont donné lieu à l’utilisation de part et d’autre de mitrailleuses, de mortiers et de lance-roquettes.

Les agences humanitaires ont l’intention de prêter assistance à 150.000 personnes et on estime que deux millions de dollars sont nécessaires pour répondre aux besoins additionnels, dit l’ONU.

Suite à cette situation, la Force de la MONUSCO a mis en alerte maximale toutes ses bases opérationnelles déployées dans ce secteur; dans le but de dissuader toute exaction contre les populations civiles et assurer leur protection.

 

Nord-Kivu

Quant au climat sécuritaire au Nord-Kivu, en dépit d’une tension observée dans les régions situées au nord de la ville de Goma, le climat sécuritaire, il est globalement stable et reste sous le contrôle des forces onusienne et congolaise, selon le porte-parole de la MONUSCO.

La récurrence des accrochages entre le M23 et le groupe Mayi-Mayi Nyatura du Mouvement Populaire d’Autodéfense (MPA) dans le territoire de Rutshuru, constitue toutefois une source de préoccupation majeure à la protection des populations civiles dans cette partie de la province.

Par ailleurs, le niveau de la menace sécuritaire pour la ville de Goma est demeuré moyen et la Force de la MONUSCO continue d’activer le Plan de Sécurité Interne de cette capitale provinciale, conformément à l’opération unilatérale «Wide awake» (Réveil total).

En effet, la Brigade de la Force de la MONUSCO déployée dans cette province y poursuit toujours avec détermination et engagement, la conduite de ses six opérations unilatérales dénommées: «Wide awake» (Réveil total), «Formidable» (Formidable), «Silent Guns» (Armes silencieuses), «Blue Redoubt I & II» (Forteresse bleue I & II), «Strong Flank» (Flanc rigide), et «Blue Eagle» (Aigle bleu); dans le but de dominer le terrain et d’interdire toute liberté d’action aux groupes armés.

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 16:45
Ukraine-UN-helicopter

Ukraine-UN-helicopter

August 28, 2013. David Pugliese - Defence Watch (AP)

 

KINSHASA, Congo – United Nations helicopters fired on rebels fighting Congolese troops just outside a city of nearly 1 million people in eastern Congo on Wednesday, a military spokesman for the U.N. mission said.

 

The fighting began just before 8 a.m. Wednesday in the hills of the Kibati area, about 9 miles (15 kilometres) north of the provincial capital of Goma.

 

The M23 rebels briefly seized the city late last year and then retreated to the north. The new upsurge in fighting has prompted fears the rebels could again assault the city.

 

Lt. Col. Felix Basse, the military spokesman for the U.N. peacekeeping mission, known as MONUSCO, said that U.N. forces were taking part in the fighting alongside the Congolese army Wednesday.

 

“MONUSCO has enlisted all of its attack helicopters and its artillery … to push back the M23 offensive that is under way right now on the hills of Kibati,” he told journalists in the capital of Kinshasa.

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