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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 10:56
Crotale-NG photo Armée de l'Air

Crotale-NG photo Armée de l'Air

 

21/06/2015 Armée de l'air

 

En ce dernier jour du salon international de l’aéronautique et de l’espace, le dispositif particulier de sûreté aérienne ne désemplit pas. Derrière le show international se cache une organisation complexe où l’armée de l’air joue un rôle primordial.

 

Priorité des militaires, surveiller le ciel francilien. Pendant toute la durée du salon une « bulle de protection », appelée dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA), a été mise en place.  Ce dispositif s’appuie notamment sur la création de zones interdites et réglementées temporaires. L’accès au terrain du Bourget est soumis à la délivrance d’une accréditation du préfet de la Seine-Saint-Denis. Du 15 au 21 juin, le suivi des mouvements aériens dans les zones a été particulièrement renforcé. Une cellule de coordination de l’activité aérienne (C2A2) est mise en place au sein du Salon du Bourget. Elle est charge d’instruire toutes les demandes impromptues de vol à l’intérieur de la zone.

 

Du matériel de défense sol-air (Crotale NG, Mamba, trépied Mistral et CMD3D) est implanté tout autour du salon. Des centaines d’aviateurs des quatre escadrons de défense sol-air (Saint-Dizier, Avord, Istres et Mont-de-Marsan) sont déployés aux côtés des hommes du 54e régiment d’artillerie, qui déploient le trépied mistral, pour intervenir en cas de menace. « C’est le plus gros dispositif sol-air déployé pour un DPSA en terme d’effectif et de matériel », confie le commandant du détachement sol-air. De plus, pour la toute première fois de manière opérationnelle, les aviateurs utilisent la liaison de données tactiques (Liaison 16) entre le centre de management de la défense dans la 3e dimension (CMD3D) et le système d’arme moyenne portée (Samp). Plusieurs points de guets à vues en région parisienne participent également à la sécurité du ciel, et notamment à la vigilance contre la menace drone. Des hélicoptères Fennec à bord desquels des tireurs d’élite appliquent les mesures actives de sureté aérienne (MASA) sont en alerte dans les airs et au sol. Sans oublier les avions de chasse de la permanence opérationnelle qui sont également en alerte pour faire de cette 51e édition du salon du Bourget une réussite et un événement à la hauteur de sa réputation.

DPSA - photo Armée de l'Air

DPSA - photo Armée de l'Air

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 16:55
 [Salon du Bourget] SAMP/T Mamba


15/06/2015  DICoD

 

Pour cette 51e édition du Salon du Bourget, le ministère de la Défense a décidé de mettre en avant quelques-uns de ces équipements-phares. Aujourd’hui, focus sur le SAMP/T Mamba. Rôle : clé de voûte de la défense anti-missile balistique de théâtre. Mission principale : agir comme bulle de protection d’une force terrestre en mouvement et de forces déployées sur le théâtre.

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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 17:57
[Paris Air Show] SAMPT Mamba

11.06.2015MINDEF Fr

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 11:55
Armée de l'air. Les militaires réalisent un exercice dans la Hague

 

11 Avril ouest-france.fr

 

Pendant quinze jours, l'Armée de l'air réalise un exercice dans la Hague. But de l'opération : tester le dernier système de défense, baptisé Mamba, autour des sites sensibles.

 

Pendant quinze jours, les militaires investissent les hauteurs de Vauville, dans la Hague. De là, ils ont une place de choix pour surveiller le chantier de l'EPR de Flamanville et l'usine Areva de retraitement des déchets nucléaires. L'Armée de l'air est venue ici pour tester son dernier système de défense sol-air, lancé en 2010 et baptisé Mamba.

 

Objectif de cette opération : s'assurer de la bonne protection des sites sensibles en cas d'intrusion, comme le prévoit le plan Ammonite. « L'idée, c'est d'être capable de faire face à un événement, comme par exemple l'attentat du 11 septembre 2001 à New York », résume Frédéric Hourdé, commandant de l'escadron sol-air Tursan, de la base aérienne de Mont-de-Marsan.

 

A tour de rôle, les équipes testent le matériel de radio, s'assurent que les communications sont bien transmises aux autres postes, regardent si les radars, d'une portée de 100 km, fonctionnent bien etc. Un exercice en conditions réelles, avec les vrais missiles en moins, qui permet aussi de vérifier que les moindres recoins du secteur n'échappent pas à la vigilance de l'armée de l'air.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 12:55
Le module d'engagement de la section SAMP exposé au Bourget

Le module d'engagement de la section SAMP exposé au Bourget

19/06/2013 Armée de l'air

 

Une fois n’est pas coutume! D’habitude, les spécialistes de la défense sol-air œuvrent dans l’ombre, à la protection des forces. Durant le 50esalon du Bourget, ils sont placés en pleine lumière, répondant aux sollicitations des visiteurs et de la presse.

 

Jusqu’au dimanche 23 juin, un module d’engagement d’une section de défense sol-air moyenne portée (SAMP) est exposé sur le stand Défense du salon du Bourget. «Le module d’engagement est le cerveau du SAMP Mamba, détaille l’ingénieur en chef de l’armement Truffin, directeur de programme à la direction générale de l’armement (DGA). Nous y présentons une capacité particulière du Mamba qui consiste à traiter simultanément des missiles balistiques et des cibles «classiques» (missiles de croisière ou aéronef). Le SAMP a l’avantage de se reconfigurer instantanément face à l’évolution de la menace.»

 

En règle générale, sept véhicules composent une section de tir, auxquels s’ajoutent des véhicules dédiés au soutien. Jusqu’à quatre modules de lancements terrestres, équipés chacun de huit missiles Aster 30, peuvent être implémentés. Une section dispose aussi d’un radar associé à un module de génération électrique.

 

«Nous sommes à la fin du processus de qualification opérationnelle, détaille le directeur de programme. D’ici la fin de l’année, la qualification finale du système doit être prononcée, notamment dans sa mission anti-missile balistique de théâtre (ATBM).»

 

Quatre escadrons de défense sol-air sont actuellement équipés de SAMP: Luxeuil, Mont-de-Marsan, Avord, Saint-Dizier. L’escadron «Servance» de la base aérienne 116 de Luxeuil fut le premier à recevoir la capacité opérationnelle initiale en octobre 2011. Présents au Bourget, quatre opérateurs de cette unité partagent avec le public certaines de leurs connaissances du système. Utilisateurs depuis deux ans, ces spécialistes maîtrisent parfaitement le SAMP. «Nous avons pris part à toutes les phases de qualification opérationnelle, notamment d’accompagnement d’une force terrestre lors de l’exercice Nawas en 2012 ou d’interception de missile anti-balistique en mars 2013», explique un opérateur.

 

Le passage en pleine lumière ne sera que bref. Dès la fin du salon, les aviateurs doivent se mettre en place pour une autre échéance: le dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA) du 14 juillet 2013.

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 10:55
Tir opérationnel sur le système d’arme "Mamba"

Tir opérationnel sur le système d’arme "Mamba"

04/06/2013 Armée de l'air

 

Le 3 juin 2013, l’escadron de défense sol-air (EDSA) 2/95 «Sancerre» d’Avord a validé son premier tir opérationnel sur le système d’arme «Mamba», lors d’une campagne de tir multi-système sur le site d’essais missile des Landes, à Biscarosse.

 

Après une année de préparation et de prise en main du système sol-air moyenne portée "Mamba", l’EDSA 2/95 «Sancerre» et l’escadron de soutien technique sol-air 2E950 d’Avord ont validé à 11h30, leur 1er tir ASTER à partir du "Mamba". Ce tir a été réalisé dans un environnement complet mettant en œuvre l’ensemble de la chaine de commandement de théâtre avec le déploiement, à côté de la section Mamba, d’un centre de détection et de contrôle déployable (CDC/D) d’Évreux et d’un centre de management de la défense dans la troisième dimension (CMD3D), tous communicant par liaison 16 (L16).

 

Validation du tir au cœur d’un scénario complexe

 

Le scénario d’engagement reposait sur les capacités de discrimination ami-ennemi du système. La séquence mettait alors en œuvre deux cibles simulant un chasseur «ami» menacé par un chasseur «ennemi», les deux évoluant à une altitude de 2000 mètres et à 450 nœuds (environ 230 mètres par seconde). L’identification et la classification des cibles ont été transmises du CDC/D au CMD3D, lequel ordonna le tir. Au départ du missile, la cible ennemie se trouve à 50km. Elle sera interceptée à 40 km. Le tir est validé.

Système sol-air moyenne portée (SAMP) "Mamba"

Système sol-air moyenne portée (SAMP) "Mamba"

L’EDSA 2/95 «Sancerre» d’Avord est donc le nouvel escadron opérationnel sur "Mamba". Il a démontré le parfait fonctionnement du système dans une chaine de commandement complète sous L16.

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 07:55
photo Armee de l Air

photo Armee de l Air

07/05/2013 Par Alain Dulucq - SudOuest

 

L’escadron sol-air 12.950 Tursan de la base aérienne 118, ayant pour ville marraine Geaune, sera présenté au public demain avec tout le matériel dont il dispose pour effectuer ses missions de défense.

 

C’est donc sous le regard de la Tour des Augustins que le Mamba (Moyen anti-missiles balistiques) trouvera son site en ce 8 mai, à proximité de la salle des fêtes et des arènes, de 12 h 30 à 16 heures, après les cérémonies officielles de la matinée. Les concitoyens de Geaune et du Tursan pourront juger des efforts engagés dans des forces nouvelles pour garantir la liberté et la sécurité nationales.

 

Lanceurs sur camion

 

Attachée à la défense des points fixes tels que les infrastructures stratégiquement sensibles, la défense sol-air assure désormais la protection de zone de défense des forces projetées. Elle interviendra donc au profit d’une autre armée, sous commandement tactique du chef des opérations aériennes. La menace a évolué mais le but reste de frapper l’adversaire avant qu’il ne délivre son armement : il a donc fallu donner de l’allonge aux radars et aux munitions. Le Mamba (lanceur de missiles montés sur camion) répond à cette double attente.

 

Développé par le consortium franco-italien Eurosam, le Mamba permet de protéger une zone contre toute attaque aérienne, missiles balistiques tactiques compris. Le système est capable de détecter une cible dans un rayon de 3 à 80 kilomètres, voire 120 kilomètres s’il bénéficie d’informations délivrées par un Awacs via les liaisons de données tactiques. Il repose sur le missile Aster 30, dont la portée théorique est de 100 kilomètres pour une vitesse de mach 4,5, qu’il atteint 3 secondes et demie après avoir été lancé. Ce projectile détruit sa cible en explosant à proximité.

 

L’EDSA 12.950 a pour nom de baptême Tursan. Un nom qui évoque le terroir du Sud-Ouest. Et si les 50 ans de l’appellation du Tursan ont été fêtés en 2008, l’EDSA 12.950, avec plus de trente ans d’existence, reste une unité de combat jeune qu’il convient de faire vieillir pour en tirer toute la puissance et la dynamique que son nom lui confère.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 19:04

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/module-de-lancement-du-samp/2220257-1-fre-FR/module-de-lancement-du-samp.jpg

Module de lancement du SAMP

 

11/03/2013 Armée de l'air-  Economie et technologie

 

L’armée de l’air française a réussi le 6 mars 2013, avec l’armée de terre italienne, pour la première fois dans une architecture impliquant l’Otan, l’interception d’une cible représentative d’un missile balistique de théâtre par le système sol-air moyenne portée SAMP, appelé Mamba. Après environ 300 kilomètres de vol balistique, et avec une vitesse relative d'environ Mach 8 lors de l'impact, la cible a été détruite par un missile intercepteur ASTER 30.

 

Le système SAMP était connecté à l’Otan et à un radar d’alerte via un réseau de liaison de données L16 représentatif d’un dispositif opérationnel.

 

Ce tir d’évaluation technico-opérationnelle a été réalisé au centre DGA Essais de missiles de Biscarrosse, conjointement par le quatrième régiment d’artillerie de Mantoue (Italie) et l’équipe de marque de défense sol-air du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) de Mont-de-Marsan, appuyée par du personnel et du matériel de la brigade aérienne du contrôle de l'espace (BACE) du commandement des forces aériennes (CFA) ; plus particulièrement de l’escadron de défense sol-air (EDSA) 12/950 « Tursan » de Mont de Marsan ainsi que du commandement du soutien des forces aériennes (CSFA).

 

Ce succès fait suite aux deux tirs réussis en octobre 2010 et novembre 2011 contre le même type de menace. Il constitue une étape supplémentaire franchie dans la montée en puissance du SAMP au sein de l’armée de l’air et dans la démonstration des capacités du système d’arme et du personnel qui le servent à pouvoir contrer une menace balistique de théâtre dans un cadre Otan.

 

Les atouts du SAMP, baptisé Mamba par l’armée de l’air française, sont notamment la défense de zone à 360°, sa portée, sa puissance de feu, l’agilité du missile, la modularité, la capacité à traiter simultanément tout type de cibles aériennes modernes, la capacité à s’intégrer dans différentes chaines de commandement et l’aptitude à protéger des forces déployées grâce à sa mobilité.

 

Le déploiement du système se poursuit au sein de l’armée de l’air. Après les EDSA de Luxeuil, Mont de Marsan et Avord, c’est aujourd’hui celui de Saint-Dizier qui reçoit le système SAMP. L'escadron d’Istres sera, quant à lui, équipé d’ici 2014.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/sequence-de-tir-du-mamba/2220141-1-fre-FR/sequence-de-tir-du-mamba.jpg

Séquence de tir du Mamba

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 13:52

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/dossiers/2012/airex-bapex-volcanex/logo-de-l-exercice/2006999-1-fre-FR/logo-de-l-exercice.jpg

 

23 octobre 2012 Audrey BENZAKEN - lunion.presse.fr

 

Elle n'a jamais aussi bien porté son nom. Au cœur d'un exercice aérien d'une envergure inédite, la base militaire de Séchault est le théâtre d'une simulation de crise internationale avec évacuation de population.

 

BRANLE-BAS de combat jusqu'à la fin de la semaine à Séchault. Depuis une dizaine de jours, la base militaire est le théâtre d'une simulation de crise internationale au cœur de l'exercice Airex 2012.

 

« Le scénario imaginé est celui d'un conflit armé entre deux États à la suite de la découverte de pétrole dans une poche revendiquée par l'un mais qui appartient à l'autre », explique le capitaine Jean-Marie Le Douarin, officier de communication et relations internationales. « Face à cette situation, Airex 2012 est un exercice multinational d'ensemble qui met en œuvre trois volets : une opération aérienne réelle comportant l'activité de nuit, le déploiement d'une base opérationnelle protégée par une force multinationale et une vaste opération d'évacuation de ressortissants avec le soutien sanitaire associé. »

 

Huit nations rassemblées

 

Et autant dire que l'armée de l'air et le Groupe aérien européen, à l'origine de l'opération, n'ont pas lésiné sur les moyens déployés, avec la bagatelle de 1.400 militaires participants, dont 42 % d'étrangers venus d'Italie, Espagne, Belgique, Allemagne, Suède, Royaume-Uni et Pays-Bas.

 

« En première semaine, toutes les équipes ont pu travailler sur le terrain et apprendre à se connaître et l'exercice vise à coordonner l'ensemble des moyens humains et matériels interalliés, qui sont complémentaires », souligne le lieutenant-colonel Olivier Ribette, commandant des opérations de défenses et protection.

 

« À la suite de l'opération Unified Protector au-dessus de la Libye qui s'est terminée l'an passé (et visait à empêcher l'usage de la force aérienne libyenne sur la population), on a tiré les enseignements de cette opération et cet exercice multinational permet de les mettre en application et d'améliorer les processus », précise le capitaine François Nolot, officier de communication.

 

Sur place, la logistique donne le tournis. Tentes et matériels ont été déployés en divers endroits pour accueillir les différentes cellules, du poste de commandement à la surveillance du site, en passant par les analyses de données et communications, ou autres cantine, dortoirs et encore hôpital de campagne.

 

campagne-de-guerre-electronique-01.jpg

 

Notons que l'exercice intègre aussi la mise en œuvre du dispositif d'arme sol-air de moyenne portée Samp Mamba, de protection contre toutes les menaces aériennes dans un rayon de 80 km.

 

« Le site de Séchault est très approprié. On dispose de l'espace nécessaire et son environnement permet à l'exercice de se dérouler avec un grand réalisme, et sans trop affecter la population locale », souligne le capitaine Le Douarin.

 

La manœuvre n'est tout de même pas passée totalement inaperçue dans le secteur, vu les moyens aériens mobilisés, dont une cinquantaine d'avions de chasse et autres ravitailleurs et avions de transports. Admettons que quand un Mirage met les gaz, les tympans ont du mal à le snober…

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 07:50

campagne-de-guerre-electronique-01.jpg

 

09/05/2012 Armée de l'air

 

Du 9 au 16 mai 2012, le commandement des forces aériennes organise une campagne de guerre électronique dans le nord-est de la France et en Allemagne. Il s’agit  d’un exercice interallié et interarmées qui a pour but d’entraîner, non seulement, le personnel naviguant à faire face à une situation tactique sol-air, mais également les opérateurs de défense sol-air à mettre en œuvre leur système.

L’objectif de cette campagne de guerre électronique consiste à proposer aux unités navigantes un dispositif de menace sol-air le plus représentatif possible des théâtres sur lesquels la France pourrait être engagée. Du côté des moyens au sol, le polygone de guerre électronique déploie des systèmes de défense sol-air, parmi lesquels des SA-6 et SA-8 d’origine russe ou des missiles inertes de type «Smokey-sams». Un système de moyenne portée Mamba de l’escadron de défense sol-air «Servance» d’Avord est également déployé sur le terrain afin de compléter le dispositif simulant de manière ultra-réaliste un maillage de menaces modernes.

photo Armée de l'air

photo Armée de l'air

Dans les airs, Mirage 2000, Rafale, ravitailleurs C-135, avions radar E-3F, avions de transport tactique Transall et Casa réalisent des missions variées telles que frappes en profondeur, tirs simulés de missile SCALP, missions de défense aérienne, de renseignement, de reconnaissance, d’évaluation et de suppression de la menace sol-air, d’appui aérien rapproché (CAS-Close air support), de ravitaillement en vol etc. Des hélicoptères de l’armée de terre et de nombreux moyens aériens allemands, américains, belges et otaniens sont, eux aussi, quotidiennement engagés pour participer à cette campagne biannuelle de grande ampleur.

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