A la Légion étrangère, on ne pleure pas ses morts, on les honore!
Ce fut chose faite, le vendredi 24 avril 2015.
Les stagiaires FG1 ont reçu leur nouveau galon de sous-officiers des mains du général commandant la Légion étrangère.
Long parcours de 4 mois de stage ponctué par cette prestigieuse cérémonie ! Dès le départ, les jeunes sergents ont choisi d'honorer la mémoire du sergent Kalafut décédé au combat au Mali très récemment!
Ce choix a permis de réunir les groupes commando parachutistes du 2°REP et de la brigade qui étaient à ses côtés au cours de l'opération !
Les galons du major de stage sont arrivés par les airs avec une mise en place par saut par les GCP du 2°REP!
Honneur au sergent Kalafut ! Honneur aux hommes des troupes d'assaut ! MORE MAJORUM
FIGAROVOX/TRIBUNE- On dit des 18-30 ans, que l'on appelle génération Y, qu'ils sont une génération désabusée, individualiste et sans repères. Pourtant, ce sont eux qui acceptent aujourd'hui de donner leur vie pour leur pays.
«Mon fils se bat en Afghanistan pendant que le tien va à l'université». C'est par ce slogan que certains parents de soldats américains affichent leur soutien à leurs enfants, et plus généralement aux militaires en opération. D'un point de vue français, il est vrai que le patriotisme très affiché des Américains peut sembler excessif et surjoué.
Un récent sondage avance que les armées sont l'une des institutions dans laquelle les Français ont le plus confiance. Pourtant, dans le même temps, la fin de la conscription et le déplacement des conflits hors de nos frontières ont éloigné le soldat de la société française. Sans y être hostiles, nos concitoyens se trouvent de fait moins concernés par la chose militaire et les enjeux de défense.
Il peut donc sembler paradoxal aujourd'hui, dans une société où l'individualisme et l'hédonisme sont quasiment érigés en dogme, que de jeunes français fassent le choix courageux et engageant du métier des armes.
Ces jeunes français appartiennent à ce que l'on appelle la génération Y. Ils sont nés entre le début des années 80 et la fin des années 90, et ce nom viendrait du Y que forme le fil de leur lecteur MP3 sur le torse. Autre explication avancée, Y se prononce why (pourquoi) en anglais et correspondrait bien à cette génération, qui aurait besoin en permanence de réponses et de comprendre pour agir.
Sociologues et DRH s'accordent généralement sur certaines caractéristiques de cette génération: les 18-30 ans sont souvent en rupture avec leurs aînés, la génération «mai 68», celle du plein emploi, responsable selon eux du chômage de masse qu'ils subissent. D'autre part, l'éclatement du modèle traditionnel de la famille, le délitement du respect envers des institutions comme l'école républicaine, les ont peu à peu conduits à remettre en cause toute forme d'autorité.
Il peut donc sembler paradoxal aujourd'hui, dans une société où l'individualisme et l'hédonisme sont quasiment érigés en dogme, que de jeunes français fassent le choix courageux et engageant du métier des armes.
Génération hyper-connectée, que le philosophe Michel Serres nomme «Petite Poucette», parce qu'elle utilise agilement ses pouces pour envoyer des SMS, elle est aussi génération du zapping et de l'instantanéité. Parfois de la superficialité. Napoléon, le général de Gaulle ou Jean Moulin ne font plus le buzz. Ils leur préfèrent les stars éphémères et siliconées de la télé-réalité, nouveaux héros des temps modernes.
Cette génération subit également de plein fouet la fragilisation de notre cohésion nationale. La crise de la citoyenneté et l'effritement du sentiment national ne contribuent pas à donner une visée et un sens collectif à la nation française.
Exemple caricatural mais symptomatique des doutes de cette génération, notre jeune équipe de France de football, a contrario de ces aînés de 1998, a du mal à chanter la Marseillaise et à s'imposer comme le visage populaire d'une France qui gagne et qui rassemble.
Ce malaise se traduit enfin par des difficultés à intégrer dans la nation une partie de cette génération, française mais issue de l'immigration. Confrontés à un pays dans lequel ils ne se reconnaissent pas toujours, certains jeunes français font le choix du fanatisme et de l'extrémisme, bafouant ainsi les valeurs universelles défendues par la France: quoi de plus inquiétant que de voir plusieurs centaines de jeunes français, dont certains sont mineurs, mener aujourd'hui le djihad en Syrie?
Pourtant, et à rebours de ce que pourrait laisser croire ce constat initial, la génération Y a vite trouvé les limites de cet individualisme obsessionnel. Elle montre le besoin de s'engager et de donner du sens à son existence.
Ainsi, chaque année, près de 20 000 jeunes font le choix d'abandonner une vie confortable et réglée pour rejoindre les armées françaises.
Elles ne sont pas les seules à proposer un métier exigeant, où la disponibilité, le désintéressement, l'abnégation et le courage se vivent au quotidien: ces valeurs sont partagées par beaucoup d'autres corps de métier.
à rebours de ce que pourrait laisser croire ce constat initial, la génération Y a vite trouvé les limites de cet individualisme obsessionnel. Elle montre le besoin de s'engager et de donner du sens à son existence.
Mais ces jeunes signent un contrat de travail très particulier, et unique: il est écrit noir sur blanc dans leur statut que l'état militaire exige en toute circonstance un esprit de sacrifice, pouvant aller jusqu'au sacrifice suprême.
Dans une société où l'on pense d'abord à ses droits avant de se rappeler que l'on a également des devoirs, des jeunes gens de vingt ans, font le choix, consenti et profondément altruiste, de servir leur pays, et de lui donner leur vie, si nécessaire.
Depuis vingt ans, les conflits dans lesquels la France est engagée ont évolué. Les missions de maintien de la paix sous l'égide de l'ONU ont été remplacées par des guerres dures et longues, contre des insurgés ou des terroristes ne respectant pas les règles du droit international. Les armées françaises ont payé un lourd tribu durant ces engagements.
Depuis 2002, près de 130 soldats ont donné leur vie en opération. Récemment, trois jeunes soldats sont morts en République Centrafricaine, lors de l'opération Sangaris, déclenchée en décembre 2013. Ils s'appellent Nicolas Vokaer (23 ans), Antoine Le Quinio (22 ans) et Damien Dolet (26 ans).
Le sergent Marcel Kalafut (26 ans), sous-officier de la Légion Etrangère d'origine slovaque avait lui aussi choisi librement de servir le drapeau français. Le 8 mai 2014, il lui a donné sa vie, sur une piste du massif du Tigharghar, au Mali.
Ces hommes ordinaires, capables de choses extraordinaires, ne doivent pas être considérés comme des victimes, car ils sont des héros. Personne n'a pris leur vie. Au contraire, ils l'ont donnée, en homme libre, et dans un acte d'une extrême générosité. Pour leurs camarades, pour leur chef, pour la France, ou pour protéger des innocents d'un massacre. Peut être aussi pour prouver à ces fanatiques qui magnifient la mort, que la vie sera toujours plus forte.
La génération Y, si on le lui explique, adhère au projet proposé par l'institution militaire, qui semble pourtant très éloigné des préoccupations de la jeunesse actuelle.
Peut être que cette jeunesse n'a en fait besoin que de repères clairement établis, au sein d'une organisation où l'Homme a une place centrale, et où l'ascenseur social fonctionne toujours.
Cette année aura lieu le centenaire de la Grande Guerre et nous rendrons hommage au courage et au sacrifice des Poilus. Nous allons voir également entrer au Panthéon des grands Hommes, quatre figures de la Résistance. Ces deux générations ont lutté et souffert pour protéger leur Terre et conserver leur liberté.
Les Français célébreront avec enthousiasme ces figures héroïques de la patrie, qui ont forgé la nation française.
Mardi 13 mai 2014. Calvi, camp Raffali, 2e régiment étranger de parachutistes.
Recueillement et dignité au cours de la cérémonie d'hommage au sergent-chef Marcel Kalafut. Une cérémonie présidée par le ministre de la Défense, monsieur Jean-Yves Le Drian, qui lui a remis, à titre posthume, la médaille de chevalier de la légion d'honneur. Une reconnaissance de la nation et un signe de solidarité pour celui qui est tombé au combat au Mali.
Le 13 mai, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a présidé dans la matinée, la cérémonie d'hommage funèbre au sergent-chef Marcel Kalafut, au 2e Régiment étranger de parachutistes (2e REP) de Calvi.
Le sergent-chef Kalafut a été tué le 8 mai lors d'une mission d'infiltration dans le nord-est du Mali. Le véhicule léger dans lequel il se trouvait a sauté sur un engin explosif à une vingtaine de kilomètres à l'est de Tessalit, le blessant ainsi que deux autres militaires. Le sergent-chef Kalafut n'a pas survécu à ses blessures.
Le sergent-chef Kalafut est le 8e soldat français tué au Mali depuis le déclenchement de l'opération Serval.
Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a présidé ce matin, mardi 13 mai, la cérémonie d'hommage funèbre au sergent-chef Marcel Kalafut, du 2e Régiment étranger de parachutistes (2e REP), mort pour la France jeudi 8 mai au Mali.
Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a présidé mardi 13 mai dans la matinée la cérémonie d'hommage funèbre au sergent-chef Marcel Kalafut, au camp Raffalli (Calvi) où est basé le 2e Régiment étranger de parachutistes (2e REP).
Le sergent-chef Kalafut a été tué le 8 mai lors d'une mission d'infiltration dans le nord-est du Mali. Le véhicule léger dans lequel il se trouvait a sauté sur un engin explosif à une vingtaine de kilomètres à l'est de Tessalit, le blessant ainsi que deux autres militaires. Le sergent-chef Kalafut n'a pas survécu à ses blessures.
Lundi, les honneurs militaires lui ont été rendus. Le cortège allant aux Invalides est passé par le pont Alexandre III où de nombreuses personnes sont venues rendre hommage au légionnaire de 27 ans mort pour la France et manifester ainsi leur soutien à ses proches.
Le sergent-chef Kalafut est le 8e soldat français tué au Mali depuis le déclenchement de l'opération Serval.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, effectuera un déplacement au 2e REP de Calvi pour y rencontrer et apporter son soutien aux hommes de ce régiment qui vient de perdre l’un des siens en mission au Nord du Mali
C’est officiel, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense sera en visite ce mardi 13 mai, au camp Raffali de Calvi pour y rencontrer le colonel Benoît Desmeulles, chef de corps du 2e REP de Calvi et son Etat-major ainsi que l’ensemble des légionnaires du régiment.
Cette visite intervient après la mort du sergent Marcel Kalafut, membre du groupe commando parachutiste (GCP) du 2e REP de Calvi, dans la nuit du 7 au 8 mai dernier au Nord-Est du Mali.
Rappelons les faits.
Au cours d’une opération contre les groupes armés terroristes, dans le massif du Tigharghar, un véhicule léger d’une unité de la force Serval a sauté sur un engin explosif à une vingtaine de kilomètres à l’est de Tessalit. Les militaires français étaient engagés dans une mission d’infiltration. Cette explosion n’a pas été suivie de combat au sol.
Trois soldats français ont été blessés. Ils ont immédiatement été transportés vers Tessalit par hélicoptère, pour être pris en charge par une équipe médicale française présente sur ce site. L’un d’entre eux est mort de ses blessures. Son corps, ainsi que les deux blessés plus légers ont été transportés vers Gao en fin de nuit.
Le militaire français tué au cours de cette mission on l’a dit est un légionnaire, sous-officier du 2ème Régiment Etranger de Parachutistes de Calvi, le sergent Marcel Kalafut, 27 ans, 7 ans de service, membre du groupe commandos du régiment.
Le sergent Kalafut est le 8ème soldat français tué au Mali au cours de l’opération Serval.
Né le 19 novembre 1987 en Ex-Tchécoslovaquie, le sergent Marcel Kalafut de nationalité slovaque, aura servi les armes de la France depuis quasiment 7 ans.
A 20 ans, le 10 mai 2007, il s’engage pour cinq ans au titre de la Légion étrangère. A l’issue de sa formation au 4e régiment étranger de Castelnaudary, il intègre le 2e régiment étranger de parachutistes, en qualité de grenadier-voltigeur, le 19 septembre 2007.
Légionnaire sérieux et motivé, il se révèle compétent et efficace, se montrant particulièrement rigoureux dans l’exécution des missions confiées. Le 1er mars 2008, il obtient la distinction de légionnaire de première classe. Nommé caporal le 1er juillet 2009, énergique et déterminé, il se distingue par son remarquable investissement et son excellente condition physique.
Manifestant un fort potentiel, le caporal Kalafut intègre alors la section des commandos parachutistes et est rapidement orienté vers le corps des sous-officiers. Il est nommé sergent le 1er septembre 2011. Il se perfectionne alors dans le domaine des transmissions et devient un technicien confirmé.
Faisant preuve depuis toujours d’un remarquable dévouement pour son métier et d’une disponibilité sans faille le sergent Kalafut a effectué plusieurs missions extérieures : au Gabon (2008), en Afghanistan (2010), en République centrafricaine (2013) et au Mali (2013).
Le 7 mars 2014, il est projeté de nouveau au Mali dans le cadre de l’opération SERVAL, en qualité d’équipier spécialiste en radiographie. D’une fiabilité sans faille, il se révèle être un élément moteur pour le groupe dans des missions opérationnelles qui lui sont assignées.
Dans la nuit du 07 au 08 mai un peu avant minuit, au cours d’une mission d’infiltration dans le massif du TIGHARGHAR, le véhicule léger dans lequel il se trouve saute sur un engin explosif à une vingtaine de kilomètres à l’est de Tessalit. Grièvement blessé, le sergent Kalafut décède des suites de ses blessures.
Le sergent Kalafut était titulaire de 3 citations (dont une sans croix) avec attribution de la croix de la valeur militaire. Il était également titulaire de la médaille commémorative française avec agrafe « Afghanistan » et de la médaille outre-mer avec agrafes «République centrafricaine» et « Sahel », de la croix du combattant et de la médaille de la défense nationale – échelon argent.
Le sergent Kalafut est mort au service de la France, le 8 mai 2014.
Il était célibataire sans enfant.
L'armée de Terre présente ses condoléances à sa famille, ses proches et ses camarades du 2e régiment étranger de parachutistes (2eme REP).
Les honneurs militaires seront rendus au sergent-chef Marcel Kalafut le lundi 12 mai 2014 en l’Hôtel national des Invalides à Paris. Une cérémonie intime d’honneurs militaires, réservée à la famille, sera présidée par le général d’armée Bertrand Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de Terre, à l’Hôtel national des Invalides à partir de 10h45.
Auparavant, le cortège funèbre passera sur le pont Alexandre III entre 10h30 et 10h45.
En cette circonstance, le général de corps d’armée Hervé Charpentier invite le plus grand nombre de nos concitoyens à manifester leur hommage et leur solidarité avec le sergent-chef Kalafut, mort pour la France dans l’accomplissement de sa mission, par une présence digne, silencieuse et fraternelle sur le pont Alexandre III, à partir de 10h00.
Un sous-officier français du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi a été tué en opération dans la nuit de mercredi à jeudi au Nord du Mali, a annoncé l'Élysée dans un communiqué jeudi matin. Le président de la République, François Hollande, a exprimé sa "profonde tristesse", saluant le "sacrifice de ce légionnaire français". Il a exprimé sa "totale confiance" aux forces françaises engagées dans la lutte "contre les groupes armés terroristes". La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.
Il a été tué par un "engin explosif improvisé" placé par un groupe djihadiste, a précisé le ministre français [de la Défense] Jean-Yves Le Drian. "Il est mort pour la liberté du Mali, la sécurité du Mali, mais aussi pour la liberté, la sécurité de l'Europe et de la France", a-t-il dit sur BFM TV et RMC. "Nous sommes en train de nous réorganiser pour avoir une conception régionale du contre-terrorisme", a expliqué le ministre, précisant que 1000 soldats français allaient être concentrés près de Gao et 3000 autres sur la "bande sahélo-saharienne".
Selon le ministre, "il restait au Nord la volonté d'un certain nombre de groupes de jihadistes de se reconstituer, ils sont beaucoup moins nombreux mais ils n'ont rien à perdre, ils laissent leur vie et donc il faut lutter de manière extrêmement précise contre toute forme de regroupement, de recrudescence des groupes jihadistes dans cette partie du Mali, bien au Nord et dans l'Adrar des Ifoghas". La France est intervenue militairement en janvier 2013 aux côtés des forces maliennes pour déloger les combattants islamistes qui contrôlaient alors les deux tiers du pays et menaçaient la capitale Bamako.
Le communiqué de l'Elysée : " Le Président de la République a appris avec une profonde tristesse la mort en opération, cette nuit au Nord du Mali, d'un sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi. Le chef de l'Etat exprime son grand respect pour le sacrifice de ce légionnaire français.
Il adresse avec émotion ses condoléances à sa famille comme à ses proches, et les assure de la solidarité de la Nation dans ces douloureuses circonstances.
En ce jour de commémoration de la victoire du 8 mai 1945, il renouvelle sa totale confiance aux forces françaises engagées aux côtés des Maliens et des forces des Nations-Unies pour continuer à lutter contre les groupes armés terroristes qui tentent de soumettre les populations à leur idéologie destructrice en les privant de leur droit à la sécurité et au développement. "
Les précédents soldats de Serval morts au Mali :
11 janvier 2013 : chef de bataillon Damien Boiteux (4e RHFS).
19 février 2013 : adjudant Harold Vormezeele (2e REP).
2 mars 2013 : caporal-chef Cédric Charenton (1er RCP).
6 mars 2013 : maréchal des logis Wilfried Pingaud (68e RAA).
16 mars 2013 : caporal-chef Alexandre Van Dooren (1er RIMa).
29 avril 2013 : sergent Stéphane Duval (1er RPIMa).
30 juillet 2013 : brigadier-chef Martin-Vallet (515e RT).
24 juin 2024 Safran Safran annonce être entré en discussions exclusives en vue d’acquérir 100 % du capital de Preligens, l’un des leaders de l’intelligence artificielle (IA) dédiée aux industries de l’aérospatial et de la défense, pour une valeur d’entreprise...
Paris, le 18 juin 2024 À l’occasion du salon Eurosatory 2024, Safran Electronics & Defense a annoncé le lancement de sa solution de lutte anti-drones Skyjacker. Ce système répond à la menace croissante des drones, aussi bien sur le champ de bataille qu’à...
Paris, le 19 juin 2024 À l’occasion du salon Eurosatory 2024, Safran Electronics & Defense lance l’intelligence artificielle ACE, pour « Advanced Cognitive Engine ». Son objectif est d’intégrer des capacités IA dans l’ensemble des produits de Safran Electronics...
photo Thales
07/06/2024 Thales Group Sous l’égide du ministère des Armées français, le ministère de la Défense ukrainien a signé un contrat pour la fourniture d’un second système complet de défense aérienne Thales pour protéger l’Ukraine. Ce système de...
Depuis 27 éditions, le salon Eurosatory accompagne les mutations mondiales du secteur de la Défense et de la Sécurité. Notre décennie est marquée par une accélération de l’histoire et l’instauration progressive d’un nouvel ordre mondial. Ainsi, dans un...
22.06.2020 source DCSSA À l'occasion de la fête nationale, qui aura lieu le mardi 14 juillet 2020, une collecte de sang exceptionnelle en soutien aux armées sera organisée, à Paris, Hôtel national des Invalides Paris 7e, de 10h à 17h30. Rendez-vous annuel,...
source: FED Manifestation biennale créée en 1989 à l’initiative conjointe de la CCI Val-d’Oise/ Yvelines et de la DCMAT (Direction Centrale du Matériel de l’Armée de Terre) devenue en 2010 la SIMMT (Structure Intégrée du Maintien en condition opérationnelle...
18.06.2019 Ministère des Armées A l’occasion de la 53ème édition du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace, nous vous proposons de découvrir la maquette grandeur réelle du futur hélicoptère interarmées léger, exposée sur le stand du ministère...
photo Thales
17 juin 2019 CP Thales Thales lance IVEN, la première plateforme digitale assurant la mise en relation entre industriels de l’aéronautique et de la défense et fournisseurs de pièces détachées. Avec IVEN, l’acheteur bénéficie d’un tiers de...
Spy’Ranger 550 photoThales
18 juin 2019 CP Thales Thales présente le Spy’Ranger 550, son nouveau système de mini drones tactiques de surveillance et de renseignement. Il complète la gamme de systèmes de mini drones proposée par Thales. Déployable en vingt...