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11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 07:45
Sangaris : point de situation du 10 septembre

 

10/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Le mandat Sangaris IV est en cours d’achèvement. Il a permis d’amener le plan de campagne stratégique quasiment à son terme. Pour rappel, la force Sangaris s’est engagée en décembre 2013 avec un double objectif :

- faire cesser les massacres et rétablir un niveau de sécurité minimal ;

- préparer et faciliter le déploiement de la communauté internationale, seule capable de régler la crise centrafricaine dans la durée et dans sa globalité (dimensions politique, économique et juridique).

 

La situation semble désormais stabilisée même si elle peut être encore fragilisée par l’existence de troubles ponctuels, dont certains relèvent toutefois d’actes de banditisme. Pour y faire face, la MINUSCA est désormais pleinement opérationnelle. Son action contribue à la stabilisation du pays, comme en témoigne la montée en puissance du processus électoral qui suit son cours. De leur côté, les éléments de Sangaris, qui depuis juillet 2015 sont déployés en force de réaction rapide, poursuivent leur mission d’appui aux opérations conduites par la force internationale.

 

Le dispositif de la force Sangaris s’articule autour de 900 militaires environ. La MINUSCA compte pour sa part près de 10 500 militaires et policiers ainsi qu’environ 1 500 agents civils responsables du volet politique du règlement de la crise.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 09:45
photo EMA / Armée de Terre

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03/09/2015 Sources : État-major des armées

 

Contexte :

La situation est aujourd’hui globalement stabilisée. La fin du mois d’août a cependant été marquée par la réapparition de tensions à l’est du pays.

Désormais pleinement opérationnelle et responsable de la stabilisation de la Centrafrique, la MINUSCA est intervenue pour apaiser la situation en particulier dans les villes de Bambari et de Bria. La détermination des forces internationales ainsi que le message de fermeté du nouveau chef de la Mission de l'ONU en Centrafrique (MINUSCA), M. Parfait Onanga-Anyanga, ont permis de ramener les différentes parties dans une logique de dialogue.

 

Action de la force :

La force Sangaris, est aujourd’hui constituée en force de réaction rapide, en mesure d’intervenir à la demande de la force onusienne. En août, alors que les unités de la force française se sont recentrées sur une mission de contrôle de zone aux abords de la capitale, une partie des éléments du GTIA Centurion se sont déployés au contact des éléments de la MINUSCA dans le couloir central.

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28 août 2015 5 28 /08 /août /2015 14:45
photo EMA / Armée de Terre

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28/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Fort de 900 hommes, le dispositif de la force Sangaris,désormais recentré sur la capitale centrafricaine, Bangui, continue d’appuyer les 10 800 hommes de la MINUSCA en tant que « force de réaction » rapide. Ce format s’appuie sur les implantations de Bambari et Sibut toutes deux dotées de moyens robustes. Il s’articule autour d’un poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT), un groupement tactique interarmées (GTIA), des unités d’appui et de soutien (transport, logistique, renseignement et sous-groupement aéromobile (SGAM)).

 

Le 11 août 2015, les sapeurs du 1er régiment étranger de génie du GTIA Centurion ont détruit par fourneau près de six tonnes de munitions inaptes au service. Ces munitions étaient fortement oxydées en raison des caractéristiques du climat. Elles étaient devenues sujettes à des dysfonctionnements.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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05/08/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 3 août 2015, la force Sangaris a cédé la base opérationnelle avancée (BOA) de Bambari au bataillon congolais de la MINUSCA.

 

Au cours d’une cérémonie co-présidée par le colonel Seiler, chef du Groupement tactique inter-armées (GTIA) Centurion, le drapeau français a laissé place à celui de l’Organisation des Nations-Unies (ONU), marquant ainsi symboliquement la cession à la MINUSCA.

Parallèlement au déploiement de la MINUSCA, la force Sangaris achève la réarticulation de son dispositif. Elle constitue désormais une force de réaction rapide en appui des Casques bleus.

Le rôle de Sangaris à Bambari s’est avéré déterminant depuis le début de l’opération. C’est la déclinaison régionale des propos tenus par Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, lors de sa visite en Centrafrique le 22 juillet 2015: «  l’action décisive de Sangaris (…) a permis d’éviter une crise humanitaire et de nombreux massacres dans le pays mais aussi le plein déploiement de la MINUSCA ».

 

Suite de l’article

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31 juillet 2015 5 31 /07 /juillet /2015 12:45
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31/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Jeudi 23 juillet 2015, les militaires de l’opération Sangaris ont reçu la visite du ministre de la Défense alors qu’ils sont depuis peu réarticulés en un dispositif de force de réaction rapide. Après avoir reçu les honneurs militaires à Bangui, Jean-Yves Le Drian s’est déplacé à Sibut, pour y rencontrer des éléments du groupement tactique interarmes (GTIA) Centurion. Il s’est ensuite entretenu avec la chef d’État de transition (CET), Catherine Samba Panza, à la Présidence.

 

Suite de l’article

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 16:45
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21/07/2015 Armée de Terre

 

Depuis juillet 2015, la force SANGARIS intervient en appui de la MINUSCA* dans le cadre de l’intervention des nations unies en Centrafrique. Leur mission : stabiliser le pays.

 

Suite à cette réorganisation du dispositif, la force SANGARIS s’organise autour d’un groupe tactique interarmes (GTIA) unique, le GTIA Centurion. Au total, plus de 900 soldats français sont déployés dans ce nouveau dispositif tandis que 10 000  hommes composent la MINUSCA.  Ainsi, la force MINUSCA et SANGARIS travaillent en parfaite coopération pour le maintien de la paix en Centrafrique.

 

*MINUSCA : Mission multidimensionnelle intégrée de stabilisation des Nations unies en Centrafrique.

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 12:45
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24 juil. 2015 par Armée de Terre

 

Au rythme de la montée en puissance de la MINUSCA*, la force SANGARIS continue son remaniement, notamment en resserrant son dispositif sur la capitale centrafricaine.
Le défi logistique représente une tâche conséquente : il faut réduire les effectifs tout en gardant une capacité de réaction rapide. Pour cause, la force française est passée de 1 700 à 900 soldats engagés sur le territoire centrafricain. Explications en images.

*MINUSCA : Mission multidimensionnelle intégrée de stabilisation des Nations unies en Centrafrique.

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16 juillet 2015 4 16 /07 /juillet /2015 16:45
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16/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Fort de 900 hommes, le dispositif de la force Sangaris,désormais recentré sur la capitale centrafricaine, Bangui, poursuit l’appui à la MINUSCA.

 

Ainsi, du 11 juin au 4 juillet 2015, les militaires français ont appuyé la MINUSCA dans une opération de contrôle de zone dans la région de Kaga Bandoro. Quelques jours seulement après son arrivée sur le théâtre, le groupement tactique interarmes (GTIA) Centurion, a engagé 200 hommes aux côtés du bataillon pakistanais déployé dans cette ville du Nord de la Centrafrique. Sur un terrain rendu difficile en saison des pluies et face à un adversaire furtif évoluant dans son milieu, les militaires ont mené des missions de reconnaissance de zone et d’axes. Pour mener à bien cette opération, ils ont utilisé tous les moyens de la force (des Véhicules blindés de combat d’infanterie - VBCI, des Véhicules de l’avant blindé - VAB, des blindés ERC 90 et des Véhicules blindés légers - VBL) et ceux qui lui sont associés (hélicoptères Puma, Gazelleet Tigre, commandos parachutistes).

 

Le 14 juillet a été célébré à Bangui par une prise d’armes qui s’est déroulée sur le camp de M’Poko et présidée par le général Gillet, commandant la force Sangaris.

 

Depuis le 1erjuillet 2015, environ 900 militaires sont déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangarisvise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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9 juillet 2015 4 09 /07 /juillet /2015 16:45
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09/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Au rythme de la montée en puissance de la MINUSCA, la force Sangaris poursuit le resserrement de son dispositif débuté en juin 2015. Elle compte désormais 900 soldats. S’appuyant sur des moyens robustes et un dispositif recentré sur l’emprise  de M’Poko à Bangui, le format de Sangaris permet d’offrir une capacité rapide de réaction au profit des forces de l’ONU. La force s’articule autour d’un poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT), d’un groupement tactique interarmées (GTIA) et d’unités d’appui et de soutien (transport, logistique, renseignement et sous-groupement aéromobile – SGAM – disposant de 7 hélicoptères dont 2 TIGRE).

 

900 militaires sont déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

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06/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Du 25 mai au 8 juin 2015, au cours d’une nomadisation, le détachement d’hélicoptères Fennec (DETFENNEC) de l’opération Sangaris a passé le cap des 800 vols cumulés depuis son déploiement sur le théâtre centrafricain.

 

Rattachés au sous-groupement de renseignement multicapteurs (SGRM), ces hélicoptères de combat de l'armée de l'Air sont engagés sur l’ensemble du théâtre d’opération pour effectuer des missions d’appui-renseignement et d’appui-feu au profit des troupes au sol, mais également des missions de reconnaissance et d'évacuation sanitaire. Ces appareils multifonctionnels ont été une nouvelle fois déployés en autonomie totale (concept de nomadisation) sur le terrain avec les capteurs au sol. "Par cette manœuvre, nous démontrons une fois encore notre capacité de projection tactique, au plus prêt de l’intérêt renseignement, en interopérabilité avec nos camarades de l’armée de Terre. Ceci revêt le double avantage de renseigner la force sur des régions rarement visitées et d’appuyer les troupes au sol dans leur progression", explique le commandant Cédric, chef du DETFENNEC.

 

L'intégration d'un élément "Air" dans une manœuvre "Terre" est aussi un challenge pour les mécaniciens, amenés à intervenir sur les hélicoptères dans des conditions de travail rustiques : Lors de ce type de projection, nous devons rapidement nous approprier notre environnement qui diffère largement de notre espace habituel de travail. Entretenir une machine en pleine campagne exige beaucoup de vigilance. Nous devons gérer la fatigue car de notre réactivité dépend la remise en ligne de vol rapide de l’hélicoptère, et ce, tout en gardant à l’esprit la sécurité des vols, insiste le caporal-chef Matthieu, un des mécaniciens du détachement. C'est une riche expérience, tant sur le plan humain que professionnel. Au-delà des défis qu'impose le terrain, passer une semaine avec mes camarades de l'armée de Terre m'a permis d'apprendre davantage sur leur quotidien. Cela m'a également donné l’occasion d'aller à la rencontre de la population centrafricaine.

 

Présent en RCA depuis le 5 décembre 2013 et stationné sur le camp de M’Poko, ce détachement est constitué de 18 personnels incluant les pilotes, les mécaniciens et le spécialiste chargé d'exploiter le renseignement. Il a atteint, au début du mois de juin 2015, le nombre de 800 vols, soit l'équivalent de 1 700 heures de vol en 19 mois de présence, ce qui a généré plus de 1 000 comptes rendus d'informations prises sur le terrain. Avant de quitter le sol de Bangui fin juin 2015, le détachement a effectué son dernier vol au-dessus de la capitale le 14 juin 2015.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 11:45
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06/07/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 19 et 23 juin 2015, dans le cadre de l'opération Sangaris, ont eu lieu les dernières cérémonies de transfert d'autorité (TOA) de différents sous-groupements de la force française, marquant ainsi la fin de la période de relèves.

 

Le 19 juin 2015, le lieutenant-colonel Mange a pris le commandement du sous-groupement aéromobile (SGAM) Barracuda et succède au lieutenant-colonel Schmidt. Pour ce nouveau mandat, les soldats du 5e régiment d'hélicoptères de combat (5e RHC) relèvent ainsi ceux du 3e RHC.

 

Le 23 juin 2015, les transmetteurs du 28e régiment de transmissions (28e RT) succèdent à ceux du 53e RT. Le lieutenant-colonel Schiratti a transmis le commandement du sous-groupement de transmissions (SGTRS) Hermes au chef de bataillon Siodniak.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 15:45
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02/07/2015 Sources : État-major des armées

 

La force Sangaris poursuit son désengagement progressif, débuté début juin 2015. Le déploiement, qui compte aujourd’hui environ 1 000 militaires français, sera porté à 900 au 14 juillet 2015.

 

Le dispositif s’articule autour d’un sous-groupement aéromobile (3 Puma, 2 Gazelle et 2 Tigre) et d’un centre de commandement et de soutien. Suite au départ du GTIA (groupement tactique interarmes) Turco et du GTIA Vercors, il s’appuie désormais sur un GTIA unique (comprenant 16 VBCI, 61 VAB et 46 VBL), en force de réaction rapide au profit de la MINUSMA, à présent pleinement opérationnelle.

 

Cette semaine, la situation sécuritaire est restée globalement calme. Robuste et réversible, la force Sangaris conduit simultanément la poursuite des opérations de relèves et d’appui à la MINUSMA. En parallèle, les manœuvres de désengagements continuent. Le détachement Fennec a ainsi quitté le théâtre et les appareils ont été rapatriés le 25 juin 2015.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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26 juin 2015 5 26 /06 /juin /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

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25/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La force Sangaris poursuit actuellement son désengagement progressif, entamé début juin. Cette décroissance s’est pour le moment traduite par le désengagement de sept hélicoptères (2 Gazelle, 3 Puma et 2 Fennec) et le départ d’un GTIA complet. Sangaris aura atteint le format de 900 militaires au 1er juillet 2015. Elle assurera alors une posture de « force de réaction » mobile au profit de la MINUSMA.

 

Au 1er juillet 2015, environ 900 militaires seront déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 10 800 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise dorénavant à appuyer la MINUSCA, chargée de maintenir le niveau de sécurité atteint dans le pays.

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 11:45
Le PPLD en action en Centrafrique

 

Crédits : Etat-major des armées / armée de Terre

 

4 juin 2015, à la sortie de la ville de Bambari, les militaires de la force Sangaris viennent en aide à un conducteur routier centrafricain dont le camion a basculé sur le flanc après une sortie de route. A cette occasion, un équipage du 8e régiment du matériel (8e RMAT) a mis en œuvre le porteur polyvalent lourd de dépannage (PPLD) afin de lever le poids-lourd sur la chaussée.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

 

Reportage photos

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 06:45
L’Aravis peint aux couleurs de l’ONU tel qu’il a été présenté au Gabon (Crédits photo : Nexter)

L’Aravis peint aux couleurs de l’ONU tel qu’il a été présenté au Gabon (Crédits photo : Nexter)

 

16 juin, 2015 Pierre Brassart (FOB)

 

Alors que l’attention est portée sur le salon du Bourget, une petite présentation a eu lieu aujourd’hui de l’autre côté de Paris. En effet, Nexter Systems a révélé son premier Aravis au ministre de la Défense du Gabon. En octobre 2014, le Gabon s’était porté acquéreur de douze de ces véhicules blindés afin d’équiper son bataillon déployé dans le cadre de la mission des Nations Unies en Centrafrique (MINUSCA).

 

Plus qu’un véhicule, c’est tout un système que le Gabon a décidé d’acquérir car, en plus du véhicule blindé proprement dit, il peut compter sur la tourelle téléopérée ARX 20 (là où la France a équipé les siens de tourelleaux téléopérés Kongsberg en 12,7 mm), sur le système anti-RPG PG-Guard (Slat Armor) et sur les mini-drones Nerva-LG (développés par Nexter Robotics). À partir de cette automne, les Aravis équiperont comme prévu le contingent gabonais de la MINUSCA, ce qui devrait leur offrir de nouvelles capacités en plus d’une protection accrue. Ce sera la première fois que l’Aravis est déployé dans le cadre d’une mission de maintien de la paix. Ceux achetés par la France servent dans les unités du génie, particulièrement dans le cadre des missions d’ouverture d’itinéraire.

 

Les Aravis gabonais semblent être équipés d’équipements supplémentaires par rapport à ceux livrés à la France. On peut notamment distinguer 3 lance-grenades fumigènes sur le côté gauche (probablement autant sur le côté droit) et deux projecteurs directionnels à l’avant du véhicule.

 

L’Aravis rejoint le cercle fermé des véhicules Nexter ayant servi dans le cadre de missions de maintien de la paix de l’ONU, les seuls autres membres de ce cercle étant le Leclerc, le VBCI et le CAESAR, tous ayant servi, ou servant encore, dans la FINUL au Liban.

 

L’Aravis est un véhicule 4×4 de 12,5 tonnes, aérotransportable, doté d’un très haut niveau de protection contre les mines et les engins explosifs improvisés (niveau 4 maximal du STANAG).

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 09:45
photo EMA / Armée de Terre

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18/06/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Dimanche 7 juin 2015, le GTIA Turco, commandé par le colonel Espitalier depuis début février 2015, a été relevé par le GTIA Centurion, commandé par le colonel Bouzerau.

 

Le détachement des hélicoptères Fennec a poursuivi ces derniers jours des missions d’appui, de reconnaissance et de renseignement au profit des troupes au sol. A cette occasion, il a passé le cap des 600 heures de vol cumulées depuis la mise en place des appareils sur le théâtre centrafricain, le 7 décembre 2013.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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16 juin 2015 2 16 /06 /juin /2015 11:45
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12/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 6 juin 2015, le commandant de la force Sangaris est allé, avec plusieurs autorités centrafricaines et françaises, à la rencontre des habitants de Boda, pour constater les progrès accomplis dans le processus de paix et de reconstruction.

 

Accompagné du ministre résident de la ville de Boda, de l'ambassadeur de France et du ministre conseiller à la présidence centrafricaine, le général Gillet a été accueilli par les autorités et les principaux acteurs locaux. Après avoir visité un camp de réfugiés, la délégation s'est entretenue avec le comité des sages, les représentants religieux, les chefs de villages, les délégués du commerce local, les artisans miniers et les ONG, sur les thèmes de la sécurité, de la réconciliation et du développement. L'objectif était d'évaluer les progrès réalisés et d'identifier les problèmes résiduels qui pourraient entraver l'accomplissement du processus de paix. « C'est la quatrième fois que je viens à Boda. Je constate à chaque fois l'évolution que connaît cette ville grâce à la détermination de la population à vouloir reprendre une vie normale. Il y a beaucoup à faire encore pour que le calme revienne. Nous allons engager tous les moyens possibles pour reconstruire la ville et aider la population. Il faut que "Boda la belle" redevienne "Boda la belle" » a déclaré monsieur Malinas, ambassadeur de France en Centrafrique, lors de ces entretiens.

 

Depuis que les éléments français de Sangaris ont quitté cette ville, il y a près de huit mois, une compagnie congolaise de la MINUSCA a pris le relais afin de sécuriser la région et aider les habitants à continuer à œuvrer pour la cohésion sociale, le développement et le retour de la paix.

 

Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 16:45
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04/06/2015 Source : État-major des armées

 

La force Sangaris poursuit son désengagement progressif, qui devrait l’amener à un format de 900 militaires d’ici fin juin 2015.

 

Le dispositif français se resserre ainsi progressivement autour de la capitale, tout en conservant une posture de « force de réaction » mobile au profit des forces de l’ONU. Les emprises militaires française à Bria et N’Délé ont ainsi été transférée à la MINUSCA les 22 et 28 mai 2015. Pour ce qui est du dispositif français, trois hélicoptères Puma ont été désengagés du théâtre fin mai.

Les 800 militaires qui seront désengagés du théâtre dans les semaines à venir passeront par un sas de décompression en Crète. Cette nouvelle structure remplace celle de Dakar, qui avait accueilli les précédents mandats de retour de République centrafricaine.

En parallèle, la force Sangaris reste active en appui de la MINUSCA. Elle a ainsi appuyé le bataillon pakistanais de l’ONU dans le couloir central du pays, au Nord-Est de Dékoa, dans une zone de tensions liées à la transhumance. Dans le même temps, les militaires français ont appuyé un bataillon burundais de la MINUSCA dans des opérations de contrôle d’axe routier au Nord de Bangui, entre Damara et Sibut.

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 12:45
photo Armée de Terre

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04 juin 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - La force française Sangaris, engagée en Centrafrique depuis décembre 2013, va passer de 1.700 à 900 hommes d'ici la fin du mois de juin, a annoncé jeudi l'armée française.

 

Le volume des forces dans le mois à venir passera de 1.700 à 900 militaires, a déclaré le porte-parole de l'armée, le colonel Gilles Jaron, soulignant que ce retrait s'inscrivait dans un processus de désengagement amorcé il y a plusieurs mois.

 

De plus en plus notre dispositif va se recentrer sur la capitale Bangui. A partir de Bangui nous serons capables de nous déployer extrêmement rapidement en appui des forces de l'Onu mobilisées dans le pays, a ajouté l'officier, précisant qu'un certain nombre de sites où étaient présents les soldats français allaient passer sous l'autorité de l'Onu.

 

L'opération Sangaris a été déclenchée en 2013, sous mandat de l'Onu, pour stabiliser la situation en Centrafrique alors en proie au chaos total, et tenter d'enrayer les tueries entre communautés chrétienne et musulmane.

 

Au plus fort de sa présence elle a compté 2.000 hommmes.

 

Une force onusienne de maintien de la paix de quelque 10.000 hommes est déployée dans le pays, censé organiser des élections avant la fin 2015.

 

La Centrafrique a plongé dans la tourmente après le renversement du président François Bozize par une rébellion à dominante musulmane, la Seleka, en mars 2013.

 

Cette rébellion a été évincée du pouvoir en janvier 2014 après l'intervention de l'armée française, consécutive à un cycle sanglant de violences et de représailles entre combattants de la Séléka et milices anti-balaka à dominante chrétienne.

 

Paris, qui au départ misait sur une intervention de six mois, n'a jamais fait mystère de sa volonté de se désengager, notamment pour renforcer son dispositif anti-terroriste Barkhane déployé dans cinq pays du Sahel.

 

L'opération Sangaris a été entachée par des accusations de viols sur des enfants qu'auraient commis des militaires français.

 

Une enquête est ouverte en France sur cette affaire où 14 soldats ont été mis en cause, dont trois identifiés, par les témoignages de six enfants dénonçant des faits commis entre fin 2013 et début juin 2014.

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 10:45
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Crédit: Etat-major des armées / armée de Terre

 

18 mai 2015, dans le cadre de l'opération Sangaris, le détachement d'hélicoptères Gazelle, du sous-groupement aéromobile (SGAM) Barracuda, a effectué plusieurs reconnaissances d'axes au profit des GTIA Vercors et Turco qui menaient des missions de contrôle de zone avec la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

 

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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 11:45
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28/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans le cadre du Forum de Bangui, qui a eu lieu du 4 au 11 mai 2015, le sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) réserve de théâtre, armé par le GTIA Vercors, s’est déployé au sud-est de la ville afin de maintenir une présence continue mais discrète dans cette zone.

 

En appui de la MINUSCA et des forces de sécurité centrafricaines, le SGTIA a patrouillé, de jour comme de nuit, dans les 6e et 7e arrondissements de Bangui. Pour cette opération de sécurisation, un poste de commandement provisoire (PCP) a été déployé à 15 km de la capitale, dans la commune de M'Boko. La compagnie véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) du 1errégiment de tirailleurs, avait pour mission d'occuper le secteur sud-ouest, du quartier de la Fatima jusqu'à PK 9. Parallèlement, les éléments du 7e bataillon de chasseurs alpins occupaient le secteur sud-est, entre les rives du L'Oubangui et M'Boko.

 

Ces patrouilles avaient pour objectif de prendre contact avec la population et de veiller au bon déroulement du Forum de Bangui en dissuadant d’éventuels fauteurs de troubles. Le SGTIA s’est désengagé le 12 mai 2015 pour revenir au camp de M’Poko.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 11:45
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28/05/2015 Source: État-major des armées

 

La force Sangaris resserre progressivement ses troupes et matériels autour de Bangui pour densifier la « force de réaction » mobile au profit des forces de l’ONU. Les emprises militaires française à Bria et N’Délé ont ainsi été transférées à la MINUSCA les 22 et 28 mai. Cette semaine, trois hélicoptères Puma ont été désengagés du théâtre.

 

Lors des prochaines relèves, les militaires de Sangaris qui quitteront la RCA passeront par un sas de décompression en Crète. Cette nouvelle structure remplace celle de Dakar qui avait accueilli les précédents mandats de retour de République centrafricaine.

 

Parallèlement, la force Sangaris reste active en appui de la MINUSCA. Elle a ainsi appuyé le bataillon pakistanais de l’ONU dans le couloir central du pays, au Nord-Est de Dékoa, dans une zone de tensions liées à la transhumance. Dans le même temps, les militaires français ont appuyé un bataillon burundais de la MINUSCA dans des opérations de contrôle d’axe routier au Nord de Bangui, entre Damara et Sibut.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 16:45
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27/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 20 mai 2015, la MINUSCA et la force Sangaris ont mené une opération conjointe de contrôle de zone de grande amplitude entre Kaga Bandoro et Mbrès. Baptisée Dragon 2, elle visait à exercer une pression dissuasive sur les groupes armés qui peuvent encore sévir dans la région.

 

Pendant plusieurs jours, dans des conditions climatiques défavorables, les éléments de la MINUSCA et du groupement tactique interarmes (GTIA) Turco ont effectué plusieurs reconnaissances d’axes. L’escadron du 1er régiment de spahis du GTIA agissait en appui du détachement d’un bataillon pakistanais. Les patrouilles mixtes, à pied et en véhicules sur les pistes et dans les villages, ont contribué à rassurer la population.

 

Durant cette opération, le général Gillet, commandant la Force Sangaris, et le général Chaudry, commandant le secteur centre de la MINUSCA, se sont rendus sur la position de déploiement du poste de commandement tactique de Turco et ont assisté à une action conjointe.

 

L’opération Dragon 2 a permis au contingent pakistanais de la MINUSCA, stationné à Kaga Bandoro et Mbrès, d’affirmer son implication dans la sécurisation de sa zone de responsabilité.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 05:45
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22/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 19 mai 2015, dans le cadre de l’opération Sangaris, a eu lieu le transfert de la BOA (base opérationnelle avancée) de Bria par les militaires français au profit de la MINUSCA.

 

Une cérémonie en présence des autorités civiles et militaires a officialisé le désengagement de la force Sangaris de la BOA de Bria, dans le cadre de la poursuite du déploiement de la MINUSCA en province. Celui-ci a été rendu possible du fait de l’amélioration de la situation sécuritaire. En effet, le dispositif de la force Sangaris s’articule désormais autour du principe d’une force de réaction au profit de la MINUSCA, avec un GTIA (groupement tactique interarmes blindé) déployé dans Bangui, le couloir central et l’est du pays, et un second déployé selon les besoins, en appui des forces internationales.

 

Après quelques échanges de cadeaux pour marquer la parfaite collaboration entre les deux forces, le colonel-major Elfahmi, commandant le contingent marocain, a signé le procès-verbal de transfert.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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21 mai 2015 4 21 /05 /mai /2015 12:45
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21/05/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La situation est restée calme dans l’ensemble du pays. La semaine a été principalement marquée par la clôture du forum de Bangui, le 11 mai 2015. La capitale a par ailleurs connu quelques agitations de faible ampleur les 11 et 12 mai 2015, entièrement résorbées par la MINUSCA qui a engagé sa force de police de réaction rapide (QRF). La force Sangaris n’a pas eu besoin d’intervenir en appui. Dans le même temps, quelques patrouilles conjointes avec la MINUSCA ont été conduites dans les régions de Kaga Bandoro, Damara et Sibut.

 

Le mardi 19 mai, la base opérationnelle de Bria été transférée à la MINUSCA.

 

Environ 1 700 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 9 500 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République centrafricaine et à appuyer la mission de l’ONU, désormais pleinement opérationnelle.

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