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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 14:30
MILAN-Einweisung der Peschmerga in Hammelburg


2 oct. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 10/2014 14Z27501

 

Im Kampf gegen die ISIS unterstützt Deutschland die Peschmerga unter anderem mit 30 Panzerabwehrwaffensystemen vom Typ MILAN. Die kurdischen Soldaten werden in einer einwöchigen Einweisung an die treffsichere Bedienung der MILAN herangeführt.

 

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 11:30
Footage of a strike on an ISIL armed pick-up truck, using a Brimstone missile.


1 oct. 2014 Royal Air Force

 

As announced by the Defence Secretary Michael Fallon, Royal Air Force Tornado GR4 aircraft were in action over Iraq this afternoon, 30 September 2014, as part of the international coalition’s operations to support the democratic Iraqi Government in the fight against ISIL.

In the course of an armed reconnaissance mission from RAF Akrotiri, two Tornados were tasked to assist Kurdish troops in north-west Iraq who were under attack from ISIL terrorists.

This footage shows a Brimstone missile strike on an ISIL armed pick-up truck in Iraq.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 19:50
Mistral: la Pologne fait pression sur la France

 

MOSCOU, 30 septembre - RIA Novosti

 

La Pologne pourrait renoncer aux services des constructeurs français pour son système de défense aérienne si Paris livre les BPC Mistral à la Russie, a annoncé le ministre polonais de la Défense Tomasz Siemoniak dans une interview au journal Rzeczpospolita.

"Je ne peux vous cacher que le contexte des Mistral n'aide pas à prendre des décisions positives concernant les fournisseurs français du bouclier antimissile", a indiqué le ministre polonais.

"Je ne veux pas jouer le rôle de quelqu'un qui pose des conditions à la France, mais j'ai confiance dans le fait que Paris prendra une décision sage et responsable, sachant qu'elle est membre de l'Otan et compte tenu de l'opinion des autres alliés", a déclaré M.Siemoniak.

En juin dernier, le consortium français Eurosam, formé du missilier MBDA et de l'électronicien Thales, et l'américain Raytheon ont été retenus par Varsovie comme les deux candidats en lice dans l'appel d'offres pour son nouveau système de défense aérienne. Le contrat en question, dont la réalisation est étalée sur dix ans, est estimé au total à 5,8 milliards d'euros.

Le 3 septembre, l'administration du président français François Hollande a annoncé que les conditions pour la livraison du premier BPC de classe Mistral à la Russie n'étaient pas réunies compte tenu de la situation en Ukraine. Plus tard, un porte-parole de l'Elysée a expliqué que la livraison du navire n'était pas suspendue.

Le président Hollande a plus tard déclaré qu'il prendrait une décision concernant la remise du navire à Moscou fin octobre.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 18:50
Mistral : comment la Pologne met la pression sur la France pour empêcher leur livraison à la Russie

"Je ne peux vous cacher que le contexte des Mistral n'aide pas à prendre des décisions positives" en faveur d'un fournisseur français pour le système de défense aérienne (photo DGA)

 

30/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La livraison des deux Mistral à la Russie "n'aide pas" la Pologne à choisir un fournisseur français - MBDA et Thales - pour son système de défense aérienne.

 

Comment Varsovie met la pression sur Paris sur la livraison des deux porte-hélicoptères Mistral à la Russie (1,2 milliard d'euros) ? En jouant avec les nerfs des groupes tricolores sur les contrats en cours de négociations. La livraison des Mistral à la marine russe "n'aide pas" la Pologne à choisir un fournisseur français pour son système de défense anti-aérienne, a expliqué le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak, dans une interview publiée lundi par le quotidien "Rzeczpospolita".

Fin juin, le GIE Eurosam, composé du missilier MBDA et de l'électronicien Thales, et l'américain Raytheon ont été retenus par le gouvernement polonais comme les deux seuls candidats en lice dans l'appel d'offres pour ce système, un contrat estimé au total à 24 milliards de zlotys (5,8 milliards d'euros), étalé sur dix ans. Contrairement aux autres pays européens, la Pologne, membre de l'OTAN depuis 1999 et de l'Union européenne depuis 2004, n'a rien sacrifié de son budget de la défense à la crise. Engagée dans un vaste programme de modernisation de ses forces armées, elle entend dépenser à cette fin 140 milliards de zlotys (33,3 milliards d'euros) au cours des dix prochaines années.

 

Varsovie critique la livraison des Mistral

"Je ne peux vous cacher que le contexte des Mistral n'aide pas à prendre des décisions positives", a précisé le ministre de la Défense. "Nous sommes critiques à l'égard de cette transaction. Personne ne l'a jamais caché, y compris devant nos partenaires français", a expliqué le ministre de la Défense. Il a toutefois souligné que la Pologne ne faisait pas de "lien" entre ce contrat, actuellement suspendu jusqu'à la fin octobre, et le choix du fournisseur de son système de défense anti-aérien.

"Je ne veux pas jouer le rôle de quelqu'un qui pose des conditions à la France. Je suis confiant que la France prendra une décision sage et responsable, sachant qu'elle est membre de l'OTAN et connaissant l'opinion des autres alliés", a encore affirmé Tomasz Siemoniak. Sévèrement critiquée en pleine crise ukrainienne par Washington et les autres membres de l'OTAN, dont les pays baltes et la Pologne, la décision de livrer le premier bâtiment à la Russie a été repoussée par le président français François Hollande à la fin octobre, conditionnée par le respect du cessez-le-feu entre Kiev et les rebelles ukrainiens soutenus par Moscou.

 

Raytheon trouve un partenariat polonais

MBDA et Thales, qui proposent le système SAMP/T armé de missiles Aster 30, se sont associés au groupe d'armement polonais Polska Grupa Zbrojeniowa PGZ (PHO). Ils ont offert un partenariat de haut niveau à la Pologne via un transfert de technologies (ToT) très élevé qui concerne aussi bien le missile que les fonctions Commande et Controle, les radars, les lanceurs et les communications (développement, production, intégration, tests, maintenance, formation...). Ce qui induira des milliers d'emplois à la clé pour Varsovie selon le degré du ToT négocié in fine. Ils proposent aussi un partenariat sur le long terme avec l'industrie polonaise, notamment la possibilité de rejoindre la feuille de route Aster grâce à la modernisation du système (Aster B1NT).

De son côté, Raytheon, qui propose ses Patriots déjà déployés dans le nord de la Pologne, se serait associé à l'électronicien de défense polonais WB Electronics pour remporter le contrat de fabrication d'un système antimissile en Pologne, a rapporté ce week-end une radio polonaise.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 11:40
S-400 photo Russian Defence Ministry

S-400 photo Russian Defence Ministry

 

MOSCOU, 29 septembre - RIA Novosti

 

Douze régiments des Troupes de défense aérospatiale russes seront dotés de missiles sol-air S-400 d'ici 2020, a annoncé lundi à Moscou le porte-parole des troupes, Alexeï Zolotoukhine.

 

"Les militaires d'un régiment de missiles sol-air des Troupes de défense aérospatiale russes déployé dans la région de Moscou sont prêts à accueillir de nouveaux missiles S-400 Triumph. Au total, 12 régiments des Troupes de défense aérospatiale seront équipés de missiles S-400 Triumph d'ici 2020", a indiqué le colonel Zolotoukhine.

 

La Russie compte déjà deux régiments équipés de missiles S-400 dans la région de Moscou (à Dmitrov et à Elektrostal), ainsi que des régiments sur la mer Baltique, à Nakhodka et dans la région militaire du Sud.

 

Le S-400 Triumph (code Otan: SA-21 Growler) est un système de missiles sol-air de grande et moyenne portée destiné à abattre tout type de cible aérienne: avions, drones et missiles de croisière hypersoniques. Le système est capable de tirer simultanément 72 missiles sur 36 cibles éloignées à une distance de 400 km.

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 04:55
Tir de missile mer mer 40 pour la frégate Primauguet

 

28 Septembre 2014 Marine nationale

 

Le 27 septembre 2014, la frégate anti-sous-marine Primauguet a procédé à un tir de missile anti navire de type Mer Mer 40. Un avion de patrouille maritime Atlantique 2 avait auparavant "blanchi" la zone (vérification de l'absence de navires et d'aéronefs).

Tir de missile mer mer 40 pour la frégate Primauguet
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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 13:30
U.S. Navy conducts strikes against ISIL targets

 

RED SEA (Sept. 23, 2014) U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 2nd Class Carlos M. Vazquez II/Released

 

The guided-missile destroyer USS Arleigh Burke (DDG 51) launches Tomahawk cruise missiles to conduct strikes against ISIL targets. Arleigh Burke is deployed in the U.S. 5th Fleet area of responsibility supporting maritime security operations and theater security cooperation efforts. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 2nd Class Carlos M. Vazquez II/Released) 140923-N-WD757-267

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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 11:40
L'Ukraine présente son premier missile sol-air

 

KIEV, 26 septembre - RIA Novosti

 

L'Ukraine a présenté vendredi à Kiev le premier missile sol-air de conception nationale baptisé Alta, rapporte le consortium public ukrainien Ukroboronprom qui réunit des entreprises de défense du pays.

 

"Le missile polyvalent Alta, le premier missile entièrement conçu en Ukraine qui utilise un système de guidage double, a suscité le plus grand intérêt" des visiteurs du salon international Armes et sécurité 2014 qui se déroule à Kiev du 24 au 27 septembre, a annoncé le consortium dans un communiqué.

 

Long de 2 m et pesant 55 kg, le missile Alta a une portée de 7,5 km. Selon le consortium, ce missile est capable de détruire des cibles blindées en mouvement et fixes au moyen d'un laser et d'un système d'autoguidage.

 

Ukroboronprom a en outre présenté à Kiev le module de combat Sarmat destiné à équiper les blindés, petits navires et vedettes des garde-côtes. Sarmat est doté de quatre missiles d'une portée de 5 km.

 

Dans le même temps, le consortium n'a rien annoncé sur ses projets de remise de nouvelles armes aux forces armées ukrainiennes.

 

Les médias ukrainiens ont déploré à plusieurs reprises les problèmes de l'équipement des troupes régulières qui mènent une opération "antiterroriste" d'envergure dans l'est du pays depuis le 15 avril. L'opération militaire de Kiev est appelée à réprimer la révolte qui a éclaté dans le Donbass suite au renversement du régime du président Viktor Ianoukovitch. Selon l'Onu, les hostilités ont déjà fait plus de 3.200 morts et plus de 8.000 blessés parmi les civils.

 

Le président ukrainien Piotr Porochenko a annoncé jeudi, lors de sa première grande conférence de presse, que l'Ukraine porterait ses dépenses militaires de 1,02% à 5% du PIB d'ici 2020.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 16:20
Navy Successfully Tests Norwegian Missile from LCS 4

 

Sep 25, 2014 ASDNews Source : US Navy

 

The U.S. Navy successfully performed a live-fire demonstration of a Kongsberg Naval Strike Missile (NSM) from USS Coronado (LCS 4) Sept. 23, scoring a direct hit on its intended target, a Mobile Ship Target (MST).

 

Program Executive Office Integrated Warfare Systems (PEO IWS), together with Program Executive Office Littoral Combat Ships (PEO LCS), coordinated the demonstration for purposes of testing the capabilities of the Norwegian-made missile from a ship.

 

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 16:30
USS Philippine Sea launches TLAMS against ISIL targets


23 sept. 2014 US Navy

 

ARABIAN GULF (Sept. 23, 2014) The guided-missile cruiser USS Philippine Sea (CG 58) launches Tomahawk Land-Attack Missiles (TLAM) against ISIL targets. U.S. military and partner nation forces are undertaking military action against ISIL terrorists in Syria using a mix of fighter, bomber and Tomahawk Land Attack Missiles. Philippine Sea is deployed as part of the USS George H.W. Bush (CVN 77) Carrier Strike Group supporting maritime security operations and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of responsibility. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 3rd Class Benjamin Kelly/RELEASED)

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:40
R-36M2 SS-18

R-36M2 SS-18

 

23.09.2014 Natalia Kovalenko La Voix de la Russie

 

Vers 2020, la Russie aura entièrement renouvelé l'armement des forces stratégiques nucléaires, a déclaré le vice Premier ministre Dmitri Rogozine en charge du complexe militaro-industriel du pays. C'est nécessaire pour l'exécution du but principal – la création en Russie de l'armée professionnelle, compacte et mobile qui pourra résoudre efficacement les tâches sur n'importe quel théâtre d’hostilités.

 

Le programme du réarmement de l'armée, adopté dans le cadre de la réforme militaire russe, est réalisé suivant des rythmes accélérés. Comme le vice Premier ministre Dmitri Rogozine l’a communiqué, vers 2020, la Russie aura renouvelé l'armement des forces stratégiques nucléaires non à 70 %, comme il était supposé, mais à 100%. De plus, on mise non sur la quantité, mais sur les qualités principalement nouvelles des armes qui permettront d'augmenter la capacité défensive du pays sur fond de la réduction des effectifs, a indiqué Dmitri Rogozine.

 

« Il ne faut pas avoir beaucoup d’armes. A quoi bon créer une montagne d’armes et ensuite ne pas comprendre que faire avec, comme c’était le cas en URSS ? Mais nous devons créer une armée compacte pour qu'elle puisse être transférée vers n'importe quel théâtre d’hostilités. Nous avons un pays immense, le plus grand du monde et la population est assez petite – comme celle de la France et de l'Allemagne prises ensemble. C'est pourquoi, notre tâche est de créer une arme qui permettra à chaque soldat et à officier d’en remplacer cinq au combat. En outre, l'arme doit être capable de permettre aux soldats de ne pas se trouver sous le feu. »

 

Pour le rééquipement de l'armée, l'État a octroyé une grosse somme d'argent. Rien qu’en 2014, les dépenses du ministère de la Défense feront 2,3 trillions des roubles (60 milliards de dollars). Un rouble sur cinq sert à moderniser le bouclier antimissile de la Russie, affirme le commentateur militaire, le colonel en retraite Victor Litovkine.

 

« Aujourd'hui, les nouveaux croiseurs stratégiques sous-marins de la classe de Iouri Dolgorouki entrent en service. Il y aura 8 croiseurs pareils au total. Sur chacun d’eux, il y aura 16 missiles Boulava avec 6 ogives nucléaires. Au total, aujourd'hui, nous comptons 423 missiles stratégiques avec 1494 ogives nucléaires. Et comme d’après le Traité de Prague sur la réduction des armements stratégiques offensifs, nous devons avoir 700 missiles montées et encore 100 en stocks et 1550 ogives sur eux, il est clair que nous n'avons pas d’objectif de réduire les forces stratégiques nucléaires. »

 

Mais il est nécessaire de les moderniser. Par exemple, le missile balistique intercontinental légendaire Voïvode (selon la classification de l'OTAN – Satan) peut rester en service jusqu'à 2026. Les délais du service des missiles Sotka (d’après la classification occidentale - SS-19 Stiletto) touchent à leur fin. Pour les remplacer, on élabore en Russie le nouveau missile lourd au combustible liquide ICMB Sarmat, plus performant que Voïvode. Les missiles RC-24 Iars au combustible solide remplaceront les Sotkas. D’ici à la fin de l’année, trois divisions les recevront. L'arme moderne, y compris nucléaire, un produit des technologies de pointe, aidera à augmenter la capacité défensive de l’armée, ce qui correspond aux objectifs de la réforme militaire en Russie en général.

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 11:50
Le satellite d’étude de l’Environnement Sentinel-1A (programme Copernicus) photo Airbus DS

Le satellite d’étude de l’Environnement Sentinel-1A (programme Copernicus) photo Airbus DS

 

16 septembre 2014 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

ANALYSE  Le groupe d'aéronautique dit vouloir se concentrer sur les activités de défense où il peut être leader mondial d'ici à dix ans. Les cessions dans le domaine de l'électronique de défense et des communications sécurisées devraient attiser les convoitises, notamment de la part de Thales.

 

Au moment de la création de la division Defence and Space du groupe Airbus en début d'année, son PDG Tom Enders avait promis une révision du portefeuille d'activités. Les fuites sur les projets en cours ont précipité cette annonce et poussé le groupe à réunir,  ce mardi 16 septembre dans la matinée, un comité européen pour informer représentants du personnel et syndicats.

La ligne de démarcation entre les activités cédées ou non répond à deux critères. Primo, fidèle à son ADN, le groupe se spécialise dans ce qu'il sait faire de mieux : des objets qui volent. Secundo, il entend conserver les activités où il est ou peut devenir numéro un ou numéro deux mondial dans les dix ans à venir.

 

Lire l’article

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 11:20
USS Coronado (LCS 4) - photo US Navy

USS Coronado (LCS 4) - photo US Navy

 

Sep 18, 2014 ASDNews Source : Kongsberg Gruppen

 

Kongsberg Defence & Aerospace AS (KONGSBERG) is contracted by the US Navy to test fire KONGSBERG`s Naval Strike Missile (NSM) from the Littoral Combat Ship (LCS) under the Foreign Comparative Testing program. The firing was requested by the US Navy to demonstrate the capability to engage a surface target at a range of 100 nautical miles from an LCS class ship. The test is planned to be conducted during September this year from the USS Coronado, an Independence-class LCS.

This demonstration follows a successful NSM live fire event from the Royal Norwegian Navy´s Fridtjof Nansen-class frigate witnessed by the US Navy during the recently completed Rim of the Pacific 2014.

 

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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 13:30
L'Espagne déploiera des missiles Patriot en Turquie

 

MADRID, 18 septembre - RIA Novosti

 

L'Espagne s'apprête à déployer en Turquie une batterie de missiles anti-aériens Patriot accompagnée de 130 militaires, a annoncé mercredi le ministre espagnol de la Défense Pedro Morenes.

 

Selon le ministre, cette mesure s'inscrit dans le cadre de l'opération de l'Otan visant à protéger les civils résidant à la frontière entre la Turquie, l'Irak et la Syrie contre les éventuelles attaques aériennes et les frappes de missiles balistiques.

 

Les Patriot espagnols seront implantés en janvier prochain dans la région d'Adana (sud-ouest de la Turquie), a-t-il fait savoir.

 

Toujours d'après M.Morenes, le déploiement des missiles et l'envoi de soldats qui remplaceront le contingent néerlandais en place ne sont pas liés à la formation de la coalition internationale chargée de combattre les djihadistes de l'Etat islamique (EI), qui se sont emparés de vastes territoires en Irak et la Syrie.

 

Auparavant, l'Espagne a déclaré que son armée ne participerait pas directement aux bombardements des positions de l'EI.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:50
Airbus fait le tri dans ses activités militaires et spatiales

 

16.09.2014 Alain Ruello - LesEchos.fr
 

Airbus se focalise sur les avions militaires, les satellites et Ariane, et les missiles. Pour le reste - radio sécurisée, électronique ou encore sécurité des frontières - ce sera la vente ou un partenariat. Bernhard Gerwert, le patron d’Airbus Defence & Space, explique pourquoi il tire un trait sur 2 milliards d’activités.

 

Pour le reste, c’est à dire radio sécurisée professionnelle (PMR), services commerciaux par satellites, ou encore radars sous-marins, ce sera la vente. Au passage, un certain nombre de filiales ou de participations dans des filiales vont changer de main. Parmi elles, on recense Fairchild Controls aux Etats-Unis, Rostock System-Technik, ESG ou Atlas Elektronik en Allemagne, AvDef en France. A ce stade, « nous n’avons pas encore engagé de discussion » avec des repreneurs potentiels, poursuit Bernhard Gerwert.

 

Numéro un ou deux

La branche équipements électroniques, l’une des quatre qui a émergé du rapprochement de Cassidian, d’Astrium et d’Airbus Military pour donner naissance à Airbus Defence & Space, ainsi que certaines activités de sécurité, contrôle des frontières par exemple, vont bénéficier d’un traitement spécial. Trop critiques, notamment car ses produits se retrouvent dans la plupart des plate-formes militaires ou spatiales conservées, elles ne peuvent pas être cédées d’un bloc. Mais comme elles ne sont pas assez dominantes sur leurs différents segments de marché, le groupe n’a pas jugé possible de les conserver dans son cœur de métier. Il va donc probablement s’appuyer sur des partenaires pour les développer.

Car c’est bien ce critère de la taille critique qui a prévalu pour parvenir à ce grand tamisage en ces temps de baisse des budgets militaires en Europe et de concurrence exacerbée dans le reste du monde. « Pour chaque activité nous voulons être le numéro un mondial, où au moins le numéro deux », explique Bernhard Gerwert. En clair : toute activité qui ne répondait pas à ce critère ou pour laquelle il a été jugé impossible d’y parvenir, sort du groupe. Quitte pour Airbus & Space à tirer un trait sur 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires, exception faite des équipements électroniques. Et quitte à supprimer combien de postes ?

 

Impact social pas chiffré

Sur ce point, Bernhard Gerwert botte en touche. Voulant éviter toute mauvaise interprétation, il met en avant que certaines sociétés appelées à être cédées n’étant pas consolidées, il est difficile de chiffrer l’impact social précis. Réunis ce matin en comité européen, les syndicats, eux, ne devraient pas manquer de sortir leurs calculettes. D’autant que la branche Defence & Space est née dans la douleur puisqu’elle a dû consentir à perdre 13 % de ses effectifs .

Pour ce qui est du calendrier en revanche, les choses sont plus claires : Bernhard Gerwert veut disposer d’une première liste de repreneurs pour les actifs cédés en fin d’année, et aimerait avoir clôturé tout cela mi 2015. Les candidats ne devraient pas manquer.

Hervé Bry, délégué central CFTC de l’ex-Astrium, souligne d’abord que la « vérité éclate » au sujet des services de télécommunications civils, logés principalement dans Vizada, société achetée 673 millions à Apax en août 2011, la plus importante acquisition de l’ex-EADS. « On nous avait promis monts et merveilles, mais on a toujours eu des doutes », réagit-il, d’autant plus que la mariée s’est révélée moins belle que promise... Plus globalement, le syndicat craint que cette logique de recentrage n’appauvrisse la capacité du groupe à innover. Et que sur le plan social, le modèle de la co-entreprise mis en avant par Bernhard Gerwert dans sa lettre aux salariés, comme celle en cours de constitution avec Safran pour Ariane, ne soit défavorable à l’emploi. « Tout ces arbitrages se sont faits sans les syndicats », déplore-t-il.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:50
Airbus Group lance un grand ménage dans ses activités Défense

 

16/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Airbus Group a annoncé ce mardi une réorganisation de ses activités de défense et spatiales qui se traduira par des cessions de filiales ou de participations jugées non stratégiques. Elle permettra également au groupe aéronautique de se recentrer sur les avions militaires, les missiles, les lanceurs et les satellites.

 

C'est un vrai leitmotiv chez Airbus Group : "Nous ne sommes pas encore assez rentable". C'est donc à l'aune de cet objectif financier en grande partie que Airbus Defence and Space (ADS) prévoit "de céder certains secteurs d'activité ne correspondant pas à ses objectifs stratégiques et pour lesquels un meilleur développement serait possible dans des structures différentes", a confirmé ce mardi le géant européen de l'aéronautique. Beaucoup de ces activités sont basées en Allemagne. Ces cessions pourraient représenter jusqu'à 2 milliards d'euros pour le groupe. Le patron de ADS, Bernhard Gerwert, compte recueillir les premières marques d'intérêts pour les actifs à céder d'ici à la fin de l'année et finaliser les premières cessions au premier semestre 2015.

Cette restructuration constitue également un test des relations entretenues par le groupe avec le gouvernement allemand. Le PDG d'Airbus, Tom Enders a récemment mis en garde Berlin contre les effets sur l'emploi et l'investissement de sa politique restrictive en matière d'exportations d'armements. Bernhard Gerwert a toutefois relativisé l'impact sur l'emploi de cette restructuration. "Il ne s'agit pas seulement de supprimer des emplois et de fermer d'autres sites, c'est même plutôt le contraire, a-t-il expliqué à Reuters. Nous avons ciblé certaines activités, pour lesquelles nous cherchons des investisseurs qui sont prêts à mettre de l'argent et à développer ces activités".

 

Airbus trie ses activités

Il s'agit tout d'abord des activités de communications commerciales et parapubliques (dont les radiocommunications mobiles professionnelles ainsi que des services commerciaux de communication par satellite), qui "auront de meilleures perspectives de croissance en intégrant d'autres structures industrielles", a précisé le groupe. En outre, ADS envisage de céder certaines de ses filiales et participations, dont Fairchild Controls (équipementier et support), Rostock System-Technik (ingénierie, formation...), AvDef (société de transport privé, formation,), ESG l(systèmes et logiciels) et Atlas Elektronik (systèmes électroniques de sécurité et de défense maritime).

ThyssenKrupp, qui dispose d'un droit de préemption sur les 49 % d'Airbus Group dans Atlas Elektronik, va discuter avec le groupe européen de l'éventuel rachat de sa participation dans le spécialiste des systèmes électroniques de sécurité et de défense maritime. "Nous allons engager des discussions avec Airbus à propos de sa participation dans Atlas afin de trouver la meilleure solution", a assuré le président du directoire du conglomérat allemand, Heinrich Hiesinger lors d'une conférence de presse organisée ce mardi.

Enfin, "toutes les alternatives industrielles seront explorées pour les secteurs sécurité et électronique de défense de la division afin d'assurer leur croissance future et la création de valeur", a ajouté ADS. Les nouvelles activités d'Airbus Group, Sécurité/communications et Electronique, ont respectivement réalisé 2,7 milliards et 1,2 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2013. Bernhard Gerwert a souligné qu'Airbus Group ne souhaitait plus investir dans l'électronique de défense et la sécurité, des activités qui nécessitent des moyens importants pour devenir leader sur ce marché, actuellement dominé en Europe par Thales.

 

Airbus Group reste dans la défense

Pour autant, Airbus Group, à l'issue de son "évaluation exhaustive et détaillée" de son portefeuille d'activités, a décidé de continuer d'investir dans les activités espace - lanceurs et satellites (3,8 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2013) -, avions militaires (5,7 milliards d'euros), missiles ainsi que les systèmes et services associés. Des "cœurs de métier" que la division ADS devra renforcer pour rester dans ses positions de leader. ADS a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 13,7 milliards d'euros en 2013, hors missiles.

"Les décisions concernant le portefeuille d'activités d'Airbus Defence and Space sont la conséquence logique de la revue stratégique d'Airbus Group de 2013. Ces décisions renforceront les atouts de la division et permettront de nous recentrer encore plus sur les cœurs de métier du groupe que sont l'aéronautique et l'espace", a expliqué le président exécutif d'Airbus Group, Tom Enders.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:35
Project 633 diesel submarine. KCNA Photo

Project 633 diesel submarine. KCNA Photo

 

September 16th, 2014 defencetalk.com (AFP)

 

North Korea appears to be developing a new weapons system capable of launching submarine-based ballistic missiles, the South’s defence ministry said Monday.

 

“Based on recent US and South Korean intelligence, we have detected signs of North Korea developing a vertical missile launch tube for submarines,” a ministry official told AFP.

 

Ministry spokesman Kim Min-Seok told a regular press briefing Monday that the North’s 3,000-ton Golf-class submarine could be modified to fire medium-range ballistic missiles.

 

“However, there is no confirmed information yet that a North Korean submarine capable of launching ballistic missiles is in operation,” Kim stressed.

 

North Korea’s small submarine fleet is comprised of largely obsolete Soviet-era and modified Chinese vessels.

 

The US-Korea Institute at Johns Hopkins University said in June that North Korea appeared to have acquired a sea-based copy of a Russian cruise missile.

 

Arms control expert Jeffrey Lewis of the US think-tank said the missile would mark “a new and potentially destabilizing addition” to North Korea’s military arsenal.

 

He identified the weapon as a copy of the Russian-produced KH-35 — a sea-skimming anti-ship cruise missile developed during the 1980s and 90s.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 07:50
Dual Mode Brimstone- Afghanistan & Libya Combat Footage


15 sept. 2014 MBDAInc

 

Authentic combat footage of MBDA's Dual Mode Brimstone striking targets in Afghanistan and Libya

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:40
Moscou songe à créer un système de frappe planétaire rapide

 

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

La Russie pourrait à terme être contrainte de se doter d'un système de frappe planétaire rapide, a déclaré mercredi à Moscou le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov.

 

"La Russie pourra et sera obligée de le faire, mais nous créerons des systèmes de défense contre ces nouvelles armes, parce que la doctrine principale de notre pays est défensive et nous n'allons pas la modifier", a indiqué M.Borissov au terme d'une réunion consacrée au programme d'armement russe pour 2016-2025.

 

Selon M.Borissov, les décisions des dirigeants russes ne visent pas à entraîner une course aux armements ou à augmenter le budget militaire russe. "Cela ne fait pas partie de nos projets et j'espère que cela n'arrivera jamais", a-t-il ajouté.

 

"Nous ne souhaitons pas faire gonfler le budget, mais garantir la sécurité de l'Etat et protéger la population contre d'éventuelles attaques", a noté le vice-ministre de la Défense.

 

Les Etats-Unis ont lancé un programme de création d'un système de frappe planétaire conventionnelle rapide (Conventional Prompt Global Strike, CPGS) en 2001, sous la présidence de George Bush. Ce programme n'a pas été remis en cause par l'administration de Barack Obama.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 11:35
Armement : MBDA pourrait perdre très gros en Inde

Le programme SRSAM développé en partie par le missilier MBDA pourrait être annulé en Inde (Crédits : MBDA)

 

12/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Un contrat de 1,8 milliard d'euros en Inde pourrait échapper au missilier européen et à son partenaire Thales. Faute de financement, New Delhi pourrait annuler le programme SRSAM, un missile sol-air. En revanche, MBDA revient en cour en Turquie.

 

 

Ce serait une grosse tuile pour MBDA et son partenaire Thales en Inde. Selon plusieurs sources concordantes industrielles et étatiques, le nouveau gouvernement indien pourrait annuler le programme SRSAM (Short Range Surface to Air Missile) faute de trouver un financement. Ce missile sol-air de nouvelle génération devait être co-développé avec la DRDO (Defence Research and Development Organisation) et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited. Le missilier européen était associé ainsi que son fournisseur, Thales, à ce programme.

"Nous sommes inquiets pour ce projet", explique-t-on aujourd'hui à Paris à La Tribune. Quant aux industriels, ils confirment à demi-mot qu'il règne une certaine confusion en Inde sur ce dossier. D'autant que les Israéliens tentent le tout pour le tout pour faire annuler ce contrat dans ce pays qui reste un de leur meilleur client export.

Pour autant, les autorités françaises poursuivent leurs actions en Inde. "Tant que le programme n'est pas annulé officiellement, nous nous battrons", indique-t-on à Paris. Deux réunions de haut niveau ont ainsi eu lieu lors des deux dernières semaines, selon nos informations. En parallèle, MBDA poursuit également ses actions auprès de la DRDO notamment. Le missilier rappelle que le besoin opérationnel reste évident et les autorités ont conscience des atouts majeurs que représente son offre, qui donne la part belle à l'industrie locale avec un transfert de technologies important.

Vers une annulation ?

Le projet est estimé à 4,5 milliards d'euros (6 milliards de dollars), dont 1,8 milliard d'euros devait revenir à MBDA, qui attend depuis des années ce très beau contrat. En tant que sous-traitant, Thales aurait gonflé son carnet de commandes d'environ 400 millions d'euros. Les deux groupes négocient ce contrat depuis près de dix ans. Depuis décembre 2011, les négociations sont même terminées. En février 2013 à l'issue de la visite de François Hollande, un communiqué de l'ancien Premier ministre indien, Dr Manmohan Singh's avait par ailleurs annoncé avoir conclu avec les industriels les négociations sur le missile SRSAM.

Pour quelles raisons l'Inde pourrait-elle annuler le SRSAM ? Initialement conçu par l'armée de Terre, de l'air et la Marine, ce système ne devait in fine équiper que la seule marine. L'armée de terre et de l'air ont quitté le programme et se sont dirigés vers d'autres programmes... et des budgets concurrents. Notamment le missile Akash développé par la DRDO pour le compte de l'armée de terre et de l'air. Un programme qui a été testé dix fois  par les deux armées depuis le début de l'année. "Les tests ont été conduits dans des configurations d'engagement et de cibles différentes", avait expliqué début août le ministère de la Défense indien.

Retour en grâce en Turquie

La Turquie, qui a fin août prolongé les négociations jusqu'à la fin 2014, mène des discussions avec la France pour l'achat d'un système antimissile (programme T-Loramids) après les difficultés rencontrées dans les négociations avec une société chinoise placée sur liste noire par les États-Unis, a annoncé le président turc cité par la presse dimanche. "Certains désaccords sont survenus avec la Chine sur la question de la fabrication conjointe et du savoir-faire pour le système antimissile", avait déclaré le président Recep Tayyip Erdogan en marge du sommet de l'Otan aux Pays de Galle, selon la télévision privée NTV.

"Malgré cela, les discussions se poursuivent, mais la France, deuxième sur la liste (ndlr: des fournisseurs éventuels) nous a fait une nouvelle offre" et "actuellement nous menons des discussions avec la France", a précisé le chef de l'Etat. Plus précisément avec le GI Eurosam composé de MBDA et Thales. Les deux industriels tricolores, qui étaient arrivés devant le Patriot américain, proposent le système SAMP/T, armé de missiles Aster 30 (MBDA) et équipé des radars Arabel et/ou GM400 (Thales). Pour ce contrat, "la production conjointe est importante pour nous", a expliqué le président turc.

Ankara discutait exclusivement avec Pékin

En septembre 2013, la Turquie avait retenu la compagnie chinoise China Precision Machinery Export-Import Corporation (CPMIEC) pour la livraison de missiles sol-air de longue portée, provoquant la préoccupation de Washington. CPMIEC, qui fabrique le système antimissile HQ-9, est la cible de sanctions américaines pour avoir vendu des armes et de la technologie liée aux missiles à l'Iran et à la Syrie. L'initiative turque avait également irrité les alliés d'Ankara au sein de l'Otan, pour qui les systèmes d'armes des membres de l'Alliance doivent être compatibles entre eux.

CPMIEC avait été retenue au détriment des américains Raytheon et Lockheed Martin, du russe Rosoboronexport et du consortium franco-italien Eurosam (MBDA et Thales) pour ce contrat estimé entre 3 et 4 milliards d'euros. Ankara aurait dû normalement confirmer sa décision à l'été 2014.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 12:40
Missile Boulava - Photo Service de presse de la flotte Du nord

Missile Boulava - Photo Service de presse de la flotte Du nord

 

11 September 2014 naval-technology.com

 

Russia has successfully tested the new Bulava (SS-NX-32) intercontinental ballistic missile (ICBM) from the White Sea aboard the yet to be commissioned new-generation nuclear-powered Borei-class submarine, Vladimir Monomakh, Russian Defence Ministry spokesman Igor Konashenkov has said.

 

Conducted as part of the submarine's weapons and systems testing, the missile was launched from an underwater position and its warheads reached the Kura firing range in Kamchatka, Russian Far East.

"In October and November of this year, the naval fleet will carry out two more launches with two rocket cruisers equipped with ballistic missiles."

 

Russia Naval commander-in-chief admiral Viktor Chirkov was quoted by Interfax as saying: "In October and November of this year, the naval fleet will carry out two more launches with two rocket cruisers equipped with ballistic missiles."

 

The Moscow Institute of Thermal Technology-built Bulava missile, which has a range of more than 8,000km, is designed to replace the R-39UTTH Bark missile on-board the submarines and is capable of carrying up to ten MIRV warheads.

 

Russia has conducted about 20 Bulava tests; eight were successful; four partially successful and the rest were failures, including the one that was executed last September in the White Sea.

 

The latest test launch is aimed at making the ICBM R-30 Bulava a key nuclear warhead for ballistic missile submarines of the Borei-class, which would replace the Russian Navy's ageing Delta III, Delta IV and Typhoon classes.

 

The Vladimir Monomakh submarine is the third of eight vessels that are expected to be delivered to the navy by 2015.

 

The first in the class of the submarines, Yury Dolgoruky, was formally inducted into the service in January 2013, while the second vessel Alexander Nevsky was commissioned in late December 2013.

 

Knyaz Vladimir, the fourth submarine was laid down in 2012.

 

Recently, France had reportedly pulled out from its earlier plans to deliver two controversial Mistral-class warships to the Russian Navy next month, citing conditions for delivery as being 'not right' amid growing conflicts in Ukraine.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 11:40
MH17 : l’hypothèse d’un tir de missile implicitement confirmée

La dernière position du 777 du vol MH17 donnée par le FDR - Localisation des débris groupée par éléments de l’avion. Photo Dutch Safety Board

 

10 septembre 2014 par Pierre Sparaco - Aerobuzz.fr

 

Avec d’infinies précautions, Duch Safety Board met en évidence, dans son rapport d’étape sur la destruction du 777 de Malaysia Airlines (vol MH17), la présence de nombreuses perforations à l’extérieur du fuselage. Selon les enquêteurs hollandais, l’éparpillement des débris indique que l’avion s’est désintégré en vol.

 

Publié avec un retard de plusieurs semaines, le rapport d’étape hollandais consacré à la catastrophe du 17 juillet du vol MH 17 de Malaysia Airlines se veut factuel, au point de laisser les experts sur leur faim. Il est vrai que ce n’est pas un accident « ordinaire », le Boeing 777-200 immatriculé 9M-MRD ayant été abattu en plein vol au-dessus de l’Ukraine. Désormais, le doute n’est plus permis mais la lumière n’est pas entièrement faite pour autant. L’enquête a été confiée à l’Onderzoeksraad voor Veilingheid, Duch Safety Board en anglais, dont le siège est établi à La Haye.

 

Suite de l’article

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 16:20
Tomahawk Block IV TACTOM

Tomahawk Block IV TACTOM

 

10 September 2014 naval-technology.com

 

The US Navy has successfully completed back-to-back flight trials of the Raytheon-built Tomahawk Block IV missile cruise missile to demonstrate its recent software improvements.

 

During the first test, a Tomahawk Block IV missile was launched from the US Navy's Los Angeles-class submarine USS Hampton (SSN-767) vertical capsule launch system, flew in a pre-planned mission until directed to a new target by strike control personnel.

 

Prior to striking the updated target at the Naval Air Warfare Center Weapons Division, China Lake weapons range, the missile successfully demonstrated its enhanced flex retargeting.

 

During the second flight test, a Tomahawk Block IV missile was launched by the guided missile cruiser USS Lake Champlain (CG 57), following which the missile flew a series of pre-planned high altitude manoeuvres and validated its improved performance.

"These flight tests demonstrate how Raytheon and the US Navy are working together to enhance this already sophisticated weapon."

 

Following a pre-planned vertical dive, the missile successfully intercepted a target on San Nicolas Island off the Southern California coast.

 

Raytheon Air Warfare Systems vice-president Mike Jarrett said: "These flight tests demonstrate how Raytheon and the US Navy are working together to enhance this already sophisticated weapon.

 

"By constantly improving Tomahawk, we are helping to ensure that US and allied warfighters have this critical capability far into the future."

 

Since 2006, the US navy has carried out more than 70 successful Tomahawk Block IV flight tests.

 

The cruise missile, which has been deployed in combat more than 2000 times to date, is the key weapon used for defeating integrated air defence systems and striking heavily defended high value targets.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:40
Boulava: tir d'essai depuis le SNLE Vladimir Monomakh dans un jour ou deux

Le sous-marin nucléaire russe du projet 955 Boreï, Vladimir Monomakh - Photo Bureau central d'étude et d'ingénierie maritime Rubin

 

MOSCOU, 9 septembre - RIA Novosti

 

Le sous-marin nucléaire russe du projet 955 Boreï, Vladimir Monomakh, a quitté les chantiers navals Sevmach pour effectuer un tir d'essai d'un missile balistique intercontinental Boulava, a annoncé mardi à RIA Novosti une source au sein de Sevmach.

 

Auparavant, le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov a fait savoir que deux tirs d'essai étaient programmés en 2014, le premier tir d'un missile Boulava serait effectué depuis le sous-marin nucléaire Vladimir Monomakh en septembre et le second en novembre. D'autres tirs d'essai de missiles Boulava auront lieu en 2015 depuis des sous-marins des flottes du Nord et du Pacifique.

 

L'échec d'un tir de Boulava survenu en septembre 2013 lors des tests du sous-marin nucléaire Alexandre Nevski, dû à un défaut de fabrication des matériaux utilisés pour la construction d'un déflecteur amovible, a amené le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou à ordonner la tenue d'au moins cinq autres tirs d'essai.

 

Le missile R30 3M30 Boulava-30 (code OTAN SS-NX-30, dénomination internationale RSM-56) doit constituer l'arme principale des forces stratégiques navales russes. Le Boulava est un missile à trois étages à propergol solide destiné à équiper des sous-marins. D'une portée de 8.000 km, il peut intégrer dix ogives nucléaires hypersoniques de 100 à 150 kilotonnes ayant chacune une trajectoire indépendante.

 

Les SNLE de 4e génération du projet 995 Boreï ont un déplacement de 14.700/24.000 tonnes et peuvent plonger à 450 mètres de profondeur. Leur vitesse est de 15 nœuds en surface et de 29 nœuds en plongée. Chaque SNLE du projet Boreï sera doté de 16 missiles balistiques intercontinentaux R-30 Boulava-30 à dix têtes à trajectoires indépendantes.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:40
BUK M1 missiles

BUK M1 missiles

 

September 9, 2014: Strategy Page

 

It turns out that very detailed, and workable, “how to” instructions on how to operate a Russian Buk anti-aircraft missile system are available on the Internet. This discovery came about because on July 17th pro-Russian rebels shot down a Malaysian airliner that was passing over Ukraine. The official Russian line was that the destruction of the Malaysian airliner was all a CIA plot to discredit Russia and justify NATO expansion and that the rebels did not have people competent to operate the Buk. But satellite photos showed a BUK vehicle hastily moving towards the Russian border after the 17th, with two of its four missiles missing. Ukraine also captured radio traffic featuring rebels talking about shooting down a Ukrainian transport on the 17th.

 

There was no evidence that Russia ordered the airliner shot down. The rebels who fired the missiles appear to have believed they were firing at another Ukrainian military aircraft. One of those (an An-26) had been shot down in June by the rebels using Buk. Ukraine did later record some rebel radio chatter of the “oops” variety when the rebels realized that an airliner carrying 298 people had been brought down rather than another An-26. That was obvious when the wreckage, which fell into a rebel controlled area of Donbas, was examined by rebel gunmen.  

 

Russia claimed a Ukrainian fighter shot down the airliner, which may be why the rebels kept international investigators away from the crash site for so long. Russian aviation experts knew that when the wreckage was carefully examined parts of the missile that brought down the airliner would be found and identified. Photos of the wreckage soon appeared showing damage characteristic of what a 9&<052;38 BUK missile warhead would inflict. The 9&<052;38 has 1 70 kg (154 kg) warhead and a proximity fuze that detonates the warhead close to the target and sprays the target with a unique form of metal fragments

 

Western intelligence services believe the Buk M1 anti-aircraft vehicle that fired the two missiles was one of the 60 BUK self-propelled systems Ukraine was known to own. It was believed that some of these were captured by the rebels in Donbas and put to use with the help of Russian experts. Later it was found that instructions could be downloaded from the Internet. The catch here was that while these instructions allowed anyone with access to the equipment, and willing to spend a few hours learning the drill (what buttons to push and when) could actually use the radar and fire control system to fire the missile so that it would bring down an aircraft within range. Normally it takes over two months of formal training for a Buk operator. But the formal course also teaches useful things like how to tell a civilian airliner from a military transport. Faster isn’t always cheaper.

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