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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 18:35
Inde: tir réussi d'un missile balistique Prithvi-II

 

NEW DELHI, 7 janvier - RIA Novosti

 

Les forces armées indiennes ont tiré mardi avec succès un missile balistique Prithvi-II d'une portée d'environ 350 km, rapporte la chaîne de télévision Zee News. 

 

Le missile a été tiré depuis le polygone de Chandipur situé dans l'Etat de l'Orissa (ouest). "Le tir a réussi à 100%. Toutes les cibles ont été atteintes", a déclaré M.V.K.V Prasad, directeur du site d'essais du polygone. 

 

Selon  l'Organisation militaire pour la recherche et le développement (DRDO),  de tels essais ont pour objectif de "démontrer clairement l'état de préparation opérationnelle de l'Inde" et sa capacité à "réagir à toute éventualité".

 

Elaborés depuis le début des années 1980, les Prithvi sont des missiles balistiques à courte portée capables de transporter une ogive nucléaire, dont la version sol-sol équipe l'armée de terre indienne depuis 2003. Le Prithvi-II est capable de transporter une charge allant de 500 à 1.000 kg.

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 17:30
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

La signature du contrat Mark 3 est désormais une décision politique de l'Arabie Saoudite en faveur de la France

 

29/12/2013 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

L'un des enjeux de la visite de François Hollande en Arabie Saoudite est l'obtention d'un contrat de 4 milliards d'euros pour Thales... à condition que le roi confirme son accord. Au-delà, les deux chefs d'Etat vont évoquer les dossiers chauds de la région : Iran, Liban, Syrie, Egypte...

 

Le suspense va donc durer jusqu'au bout... pour Thales, qui aurait bien voulu éviter cette attente insoutenable. Le groupe électronique va-t-il ou non obtenir lors des entretiens entre François Hollande, qui se rend en Arabie Saoudite ce dimanche et lundi, et le roi Abdallah, la promesse de ce dernier de signer un contrat estimé à 4 milliards d'euros en vue d'équiper le royaume d'un système de défense aérienne de courte portée ? C'est l'un des enjeux de la visite du Chef de l'Etat, qui évoquera, outre la situation politique de la région (Iran, Liban, Syrie, Egypte...), ce dossier commercial lors de ses entretiens avec le roi, selon nos informations. Mais le souverain saoudien n'a pas pour habitude de participer à des cérémonies de signature lors de ce type de visite. Bien que chez Thales, on garde encore un petit espoir...

Initialement, pourtant, il était plutôt question que François Hollande remercie le roi pour la signature de ce contrat baptisé Mark 3, découpé en deux tranches (2,5 milliards puis 1,5 milliard d'euros pour les missiles). Ce ne sera vraisemblablement pas le cas puisqu'il manque toujours au bas du contrat la signature du ministre de la Défense, Salmane ben Abdelaziz Al Saoud,qui est également depuis juin 2012, le prince héritier de la dynastie saoudienne. Le document est prêt - le prix et les spécifications techniques ont été arrêtés début septembre - et a même été paraphé par les deux parties, le ministère de la Défense (Moda) et la société ODAS, qui représente dans le royaume les intérêts des grand industriels de l'armement français, dont Thales.

 

Une décision politique

A la fin de l'été, le roi, interrogé par son cabinet, avait donc donné son accord à la signature de Mark 3. Mais peu de temps après, le prince Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud, chef des services de renseignements, avait lancé cet automne un audit sur toutes les négociations en cours et les contrats à la signature"Ils sont en train de revoir leur politique d'acquisition pour optimiser leurs achats", assurait alors un industriel à "La Tribune". Notamment en raison des relations actuelles très fraîches entre l'Arabie Saoudite et les États-Unis, précisait-il. C'est peut-être la raison de ce contre-temps. D'autres industriels rivaux (MBDA-EADS) estiment quant à eux que les Saoudiens ne veulent plus des systèmes Crotale NG proposés par Thales.

En tout cas, l'Elysée a une nouvelle fois tranché lors de la préparation de cette visite pour l'offre du groupe d'électronique. Et François Hollande, qui a adressé un courrier au roi Abdallah en ce sens, devrait évoquer ce dossier avec le monarque saoudien. D'autant que c'est le seul contrat dans le domaine de la défense qui peut être signé à tout moment. Aussi, la discussion entre les deux chef d'Etat va être disséquée par Thales et ses concurrents. "C'est le roi qui va trancher", résume une source proche du dossier. S'il promet à François Hollande une signature du contrat, ce ne sera plus question de temps. Ce geste en faveur de la France est désormais une décision politique, estime-t-on.

 

Liban, Syrie et Egypte au centre des discussions 

A la veille du Nouvel An, François Hollande sera surtout en Arabie saoudite pour évoquer les crises qui secouent le Moyen-Orient, à commencer par le Liban, la Syrie ou l'Egypte. Un an après s'être entretenu avec le roi Abdallah lors d'une brève escale entre Beyrouth et le Laos, le président français retrouvera le souverain saoudien dimanche lors de cette visite officielle, en plein désert, à Rawdat Khurayim, à 60 km au nord-est de Ryad.

François Hollande sera accompagné de quatre ministres, Laurent Fabius (Affaires étrangères), Arnaud Montebourg (Redressement productif), Nicole Bricq (Commerce extérieur) et Jean-Yves Le Drian (Défense) ainsi que d'une trentaine de dirigeants d'entreprises parmi lesquelles EDF, Areva, Alstom et Thales.

 

L'Arabie Saoudite partenaire de référence pour Paris

Au chapitre diplomatique, l'Arabie saoudite, souligne-t-on à Paris, "prend des responsabilités croissantes" au Moyen-Orient où elle fait désormais figure de "partenaire de référence" pour la France. Mais le royaume est devenu aussi le premier client de la France dans la région avec des échanges qui ont dépassé 8 milliards d'euros en 2013 dont 3 milliards d'exportations françaises, même si la balance reste structurellement déficitaire compte tenu des importations de pétrole saoudien.

Le Liban s'invitera sans nul doute dans les conversations, deux jours après l'attentat à la voiture piégée commis vendredi à Beyrouth et qui a coûté la vie à un proche conseiller de l'ex-Premier ministre Saad Hariri, hostile au régime syrien et à son allié le Hezbollah. Les dirigeants français et saoudien devraient discuter des moyens de conjuguer leurs efforts dans deux domaines jugés "cruciaux" par l'Elysée : le soutien à l'armée libanaise et la question des réfugiés syriens.

 

Convergence sur l'Iran

Ryad s'inquiète des interférences iraniennes dans les affaires arabes et notamment au Liban où son influence s'exerce également via le Hezbollah, tandis que la France s'oppose à un accord sur le nucléaire iranien aux conditions de Téhéran et qui conduirait à une normalisation des relations avec Téhéran. Paris soupçonne le programme nucléaire iranien de dissimuler des finalités militaires. François Hollande devrait ainsi réitérer sa volonté de présenter des "exigences fortes à l'égard de l'Iran sur le dossier nucléaire mais aussi, et de manière plus générale, sur son comportement dans la région", dit-on encore à l'Elysée.

Après leur rencontre à Rawdat Khurayim, les dirigeants français et saoudien se retrouveront pour un dîner de travail avant que le président français ne gagne l'ambassade de France à Ryad pour y tenir une conférence de presse et y recevoir la communauté française. Le lendemain, le chef de l'Etat français poursuivra ses entretiens avec les dirigeants saoudiens et participera à un déjeuner d'hommes d'affaires des deux pays.

Au-delà du Liban, François Hollande et les dirigeants saoudiens devraient balayer le champ complet des crises régionales. S'ils estiment de la même manière, selon Paris, qu'il "n'y a pas de solution politique autour de Bachar al-Assad", le numéro un syrien, ils divergent en revanche sur l'Egypte. Ryad apporte un soutien inconditionnel au nouveau pouvoir égyptien alors que Paris prône un large dialogue national.

 

Perspectives commerciales

Ce rapprochement diplomatique avec Ryad devrait aussi être l'occasion de marquer des points sur le plan économique. Les relations commerciales ont été marquées par "de beaux résultats en 2013" avec le métro de Ryad revenu à Alstom, l'équipement de la Garde nationale saoudienne par la France par le missilier MBDA ou la mise à niveau d'une partie de la flotte saoudienne par DCNS et Thales, souligne-t-on à l'Elysée où l'on s'attend encore à de "brillantes" perspectives l'an prochain.

Outre ses gigantesques besoins en infrastructures qui font rêver les géants du BTP comme Vinci ou Bouygues, le pays poursuit la modernisation de ses équipements militaires qui pourrait déboucher sur d'importants contrats pour Paris. Outre Mark 3, la France s'intéresse de près aux besoins de la marine du royaume. Avec l'aval de l'Arabie Saoudite, François Hollande abordera le contrat de Sawari 3, qui portent sur la vente de six frégates multimissions Fremm de DCNS et la création d'une force sous-marine. Soit entre 15 et 20 milliards d'euros. "Il existe une forte volonté de Ryad d'avancer rapidement sur ce dossier, assure-t-on à La Tribune. C'est en plus un projet fédérateur pour la France et les groupes DCNS, Thales, EADS et MBDA".

 

Paris vise des investissements saoudiens en France

Paris aimerait participer au programme nucléaire saoudien et livrer ses Airbus à la compagnie Saoudia, mais aussi attirer davantage d'investissements "productifs" saoudiens en France, comme ceux qui ont permis le sauvetage du volailler Doux.

"Les grands programmes d'équipement saoudiens correspondent aux domaines d'excellence des entreprises françaises. La France offre, quant à elle, des opportunités pour les investissements saoudiens qui peuvent y trouver le savoir-faire, les technologies et les services qu'ils recherchent", explique ce dimanche François Hollande dans une interview au quotidien saoudien Al Hayat.

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 17:30
Crotale - photo Thales

Crotale - photo Thales

Le président français fonde beaucoup d'espoir dans l'accord de coopération économique et financier signé entre les deux Etats dont les échanges commerciaux ont atteint 8,7 milliards d'euros en 2012. "Huit milliards d'euros, c'est beaucoup, mais ce n'est pas assez", a déclaré le chef de l'Etat lors d'un forum économique franco-saoudien organisé dans la capitale.

 

30/12/2013 latribune.fr 

 

François Hollande a quitté lundi l'Arabie saoudite sans "méga-contrat" dans ses valises, mais il espère récolter bientôt les fruits de son positionnement comme allié privilégié du royaume, dans les domaines nucléaire et militaire. Une dizaine de contrats prospectifs ou d'accords de coopération ont ainsi été annoncés.

 

Au terme de deux jours de visite officielle, le président français s'est félicité d'avoir resserré les liens avec la famille royale mais n'a pas transformé l'essai diplomatique en commandes immédiates. Une dizaine de contrats prospectifs ou d'accords de coopération ont été annoncés, mais les grandes commandes militaires ou civiles attendues restent en suspens.

Le contrat MK3, pour la livraison du système de défense anti-aérien français de l'équipementier Thales, évalué à plusieurs milliards d'euros, n'a pas été conclu, pas plus que Sawari 3, un programme d'achat de frégates et de sous-marins.

A noter par ailleurs que l'Arabie saoudite s'est engagée ce dimanche à octroyer trois milliards de dollars à l'armée libanaise, faiblement équipée. L'objectif étant que celle-ci puisse se procurer des armes françaises dans les "plus brefs délais", a indiqué le président de la République libanais, Michel Sleimane.

 

"Huit milliards d'euros, c'est beaucoup, mais ce n'est pas assez"

Le président français fonde beaucoup d'espoir sur l'accord de coopération économique et financier signé entre les deux Etats dont les échanges commerciaux ont atteint 8,7 milliards d'euros en 2012. "Huit milliards d'euros, c'est beaucoup, mais ce n'est pas assez", a déclaré le chef de l'Etat lors d'un forum économique franco-saoudien organisé dans la capitale.

En 2013, a-t-il encore souligné, "de grands succès" ont été remportés par les entreprises françaises sur le marché saoudien. Les exportations françaises se sont élevées à 3 milliards d'euros, même si la balance reste structurellement déficitaire compte tenu des importations de pétrole saoudien. "Total a construit la plus grande raffinerie du monde avec Aramco (la compagnie nationale saoudienne d'hydrocarbures, NDLR), Sanofi a ouvert une usine pour la production d'insuline, Veolia assure la gestion de l'eau à Ryad et construira une usine de dessalement d'eau de mer...", a égrené François Hollande.

La déclaration commune adoptée par les deux pays est teintée d'optimisme au vu du rapprochement diplomatique en cours. "Le niveau exceptionnel de ces relations doit aboutir à des projets prometteurs et fructueux", indique le document.

 

EDF et Areva ont signé des accords de partenariats

EDF et Areva ont signé des accords de partenariat avec des entreprises saoudiennes afin d'être en première position quand l'Arabie saoudite se décidera à lancer son programme nucléaire, un investissement massif qui pourrait concerner jusqu'à 16 réacteurs nucléaires dans les prochaines années. "Dès lors que le royaume voudra préciser ses objectifs, la France sera prête à y répondre", a déclaré François Hollande au cours de sa visite, faisant valoir qu'elle coopérait "depuis 30 ans" avec la Chine dans ce domaine.

EDF ou Areva espèrent décrocher tout ou partie de ce futur appel d'offres évalué entre 70 et 100 milliards de dollars, alors que la réputation des installations nucléaires japonaises a été durablement affectée par l'accident de Fukushima et que les relations entre Ryad et Washington sont assombries par les positions américaines sur la Syrie et l'Iran.

Par ailleurs, le chef de l'Etat a estimé que les programmes d'infrastructures saoudiens, comme de nouveaux métros ou des lignes de train à grande vitesse, correspondaient aussi aux profils des entreprises françaises. "Ce programme d'investissement correspond aux offres d'excellence des entreprises françaises, une heureuse coïncidence", a dit le chef de l'Etat, qui a cité les transports, l'environnement ou l'agroalimentaire comme autant de secteurs prometteurs.

 

Selon le patron de Veolia, "Il ne faut pas s'en inquiéter (...) "L'économie, cela ne fonctionne pas à la nanoseconde"

L'absence de contrats importants n'a pas entamé la confiance des industriels qui accompagnaient le chef de l'Etat. "Il ne faut pas s'en inquiéter", a estimé le patron de Veolia, Antoine Frérot, devant des journalistes.

"L'économie, cela ne fonctionne pas à la nanoseconde, c'est un processus continu", a ajouté le dirigeant qui a remporté un contrat en 2013 pour une usine de dessalement d'eau et qui attend de prochaines commandes en 2014.

 

Se démarquer de la "diplomatie de contrat"

François Hollande a souhaité dès le début de son quinquennat se démarquer de la "diplomatie de contrat" que menait selon lui son prédécesseur Nicolas Sarkozy, "On ne demande pas aux entreprises de réserver les contrats" pour les déplacements du président à l'étranger, assure-t-on dans l'entourage du président.

Enfin, le président de la République a aussi lancé un appel aux entrepreneurs saoudiens pour que ces derniers fassent le choix de l'investissement productif en France plutôt que d'achats de prestige comme l'immobilier.

Cependant, il n'a pas manqué de "saluer" parallèlement les investisseurs saoudiens qui viennent en France, et tout particulièrement le groupe Al-Munajem qui a participé au sauvetage du groupe français Doux, l'un des leaders mondiaux de la production de volailles. Son fondateur, Abdelaziz Munajem, a du reste été décoré dimanche de la Légion d'honneur par François Hollande.

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 08:40
Iskander-M

Iskander-M

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

Les missiles Iskander seront déployés là où Moscou le jugera utile, a indiqué mercredi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou, commentant la préoccupation de l'Otan suite à l'apparition de ces missiles près des frontières de l'UE.

"Un grand bruit s'est récemment élevé suite aux informations concernant le déploiement d'Iskander au "mauvais" endroit. Sur le territoire de la Russie, nous en déployons là où bon nous semble", a déclaré M.Choïgou devant les étudiants à l'Université technologique Tsiolkovski (MATI)

Et d'ajouter que la Russie était en mesure de contrebalancer le projet américain de défense antimissile en Europe (ABM).

"Nous ne restons pas les bras croisés, en observant (le déploiement du bouclier antimissile, ndlr). Notre science, nos concepteurs et nos usines travaillent, croyez-moi, très efficacement. Nous avons avec quoi riposter", a souligné le ministre.

Le déploiement de systèmes de missiles de courte portée Iskander-M dans la région de Kaliningrad (enclave russe sur la Baltique) a été signalé samedi dernier par le quotidien allemand Bild.

Le ministère russe de la Défense a pour sa part affirmé lundi que le déploiement des batteries d'Iskander-M sur le territoire de la Région militaire Ouest (dont Kaliningrad fait partie) ne constituait pas une violation des traités internationaux.

Les missiles tactiques de haute précision Iskander-M sont destinés à détruire différentes cibles terrestres: rampes de lancement de missiles, pièces d'artillerie longue portée, systèmes de défense antimissiles ou antiaérienne.

Fin 2011, Dmitri Medvedev, alors président de la Russie, a promis de déployer des missiles Iskander dans la région de Kaliningrad afin de contrebalancer le projet américain prévoyant la mise en place d'un bouclier antimissile en Europe.

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 08:20
Raytheon building 12th radar for ballistic missile defense

 

TEWKSBURY, Mass., Dec. 18 (UPI)

 

Raytheon announced Wednesday it has begun building the 12th AN/TPY-2 ballistic missile defense radar for the U.S. Missile Defense Agency.

 

The AN/TPY-2 is a mobile X-band radar that provides long-range acquisition, precision tracking and discrimination of short-, medium- and intermediate-range ballistic missiles.

 

It can be deployed in either terminal or forward-based mode.

 

"Beginning production of a 12th AN/TPY-2 ballistic missile defense radar is so important because this X-band sensor is the backbone of U.S. missile defense around the globe," said Dave Gulla, vice president of Global Integrated Sensors in Raytheon's Integrated Defense Systems business. "The U.S., our warfighters, allies and security partners can count on the AN/TPY-2 because it has performed flawlessly in every test to date against all categories of ballistic missiles."

 

Production of the 12th AN/TPY-2 comes under a $172.2 million contract from the U.S. Department of Defense awarded this month.

 

Raytheon has delivered eight of the radars to the U.S. military under an earlier contract.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 22:50
Saab to integrate Meteor missiles onto Gripen E fighters

 

LINKOPING, Sweden, Dec. 18 (UPI)

 

Saab of Sweden is integrating MBDA's Meteor missile system on Gripen E fighter aircraft under a contract from the Swedish Defense Materiel Administration.

 

The order from FMV for integration of the beyond-line-of-sight, air-to-air weapon system is worth nearly $29.3 million.

 

Saab said the order is in addition to an FMV contract issued in February for development and modification of the Gripen E, a multi-role fighter produced by Saab.

 

"The additional order secures the implementation of integration of the weapon system Meteor for Gripen E," said Ulf Nilsson, head of Saab's Gripen product unit. "It also confirms Gripen's position as the leading fighter system with a flexible design that offers great possibilities to integrate new capabilities."

 

Meteor, manufactured by France-based MBDA, was developed under a collaborative project involving Sweden, France, Italy, Spain, Germany and Britain. At the end of June 2013 Saab, in cooperation with FMV, conducted the first test firing of the serial production configuration of Meteor.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 17:40
Russie: les Troupes balistiques rééquipées à 80% d'ici 2018

 

MOSCOU, 17 décembre - RIA Novosti

 

Les Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN) seront équipées à 80% d'armes et matériels militaires et spéciaux modernes d'ici 2018, a déclaré mardi à Moscou le commandant des troupes, Sergueï Karakaïev.

 

"Les troupes RVSN reçoivent de nouveaux matériels comme prévu. Cela permettra de les équiper d'armes et matériels militaires et spéciaux modernes à plus de 80% d'ici 2018", a indiqué le général Karakaïev devant les journalistes.

 

La production d'éléments de missiles stratégiques prend parfois trois ans en raison de leur complexité, selon lui.

 

"Dans ce contexte, le ministère russe de la Défense a signé des contrats à long terme (de cinq ans et plus) avec les producteurs d'armements sur la livraison d'armes, de matériels militaires et spéciaux aux Troupes balistiques stratégiques", a ajouté le commandant.

 

L'armée russe sera équipée d'armes et matériels militaires de nouvelles générations à 30% d'ici la fin de 2015 et à 70% d'ici 2020, selon le ministère de la Défense.

 

Le chef d'Etat-major général des Forces armées russes Valeri Guerassimov a déclaré en septembre dernier que les armes et matériels modernes représenteraient 19% de l'arsenal russe à la fin de 2013.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 17:40
Russie: le nouveau train lance-missiles sera équipé de Iars

Missile Iars Photo Service de presse du ministère de la Défense

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

La plate-forme ferroviaire lance-missiles (BJRK) russe, qui sera créée en 2014, sera équipée de missiles intercontinentaux mirvés Iars, a annoncé mercredi à Moscou le commandant des Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN) Sergueï Karakaïev.

 

"Il sera doté d'un missile à combustible solide, de type Iars, avec une ogive à têtes multiples. Le nouveau missile pèsera 47 tonnes alors que le missile du BJRK précédent pesait 110 tonnes", a indiqué le général Karakaïev devant les journalistes.

 

La décision russe de créer un nouveau système BJRK s'explique notamment par la conception, par les Etats-Unis, d'un système de frappe planétaire rapide (Prompt Global Strike), selon le général. Les dirigeants américains ont déclaré que le système serait capable de frapper avec une charge conventionnelle en moins d'une heure une cible située n'importe où sur la surface du globe.

 

Le système BJRK précédent, de fabrication soviétique, a été retiré du service en 2005 conformément au Traité russo-américain de réduction des armes stratégiques offensives (START) signé en janvier 1993 par les présidents George W.Bush et Boris Eltsine. Le nouveau traité START-3 n'interdit pas la création de plateformes ferroviaires porte-missiles.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 17:40
Le missile sur rail soviétique RT-23 Molodets

Le missile sur rail soviétique RT-23 Molodets

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

Le nouveau train lance-missiles (BJRK), qui sera créé en Russie en 2014, vaudra une division de missiles stratégiques dotée de missiles en silos, a annoncé mercredi le commandant des Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN) Sergueï Karakaïev.

"La puissance de ce train doté de missiles à têtes multiples sera égale à celle d'une division équipée de missiles en silos. Selon nos prévisions, ce projet peut rendre plus efficace nos frappes préventives et de riposte, surtout celles de riposte, et augmentera le potentiel des Forces nucléaires stratégiques", a indiqué le général Karakaïev devant les journalistes.

L'Institut de technologie thermique (MIT) de Moscou doit achever la conception expérimentale d'un nouveau train BJRK au premier semestre de 2014.

Toutefois, les dirigeants russes n'ont pas encore pris de décision définitive sur la production des trains lance-missiles, selon le général. Le président du pays a chargé le ministère russe de la Défense et les Troupes balistiques stratégiques d'analyser les paramètres économiques de ce projet et le préjudice que la circulation d'un train militaire lourd peut porter aux voies ferrées russes.

D'après le général Karakaïev, le nouveau train lance-missiles sera équipé de missiles intercontinentaux Iars pesant seulement 47 tonnes contre 110 tonnes pour le missile précédent utilisé pour le BJRK de fabrication soviétique.

La Russie a retiré du service le système BJRK précédent en 2005 conformément au Traité russo-américain de réduction des armes stratégiques offensives (START) signé en janvier 1993 par les présidents Boris Eltsine et George W.Bush. Le nouveau traité START-3 n'interdit pas la création de plateformes ferroviaires porte-missiles.

La décision russe de créer ce nouveau système BJRK s'explique notamment par la conception, par les Etats-Unis, d'un système de frappe planétaire rapide (Prompt Global Strike), selon le général Karakaïev. Washington a déclaré que le système serait capable de frapper avec une charge conventionnelle en moins d'une heure une cible située n'importe où sur la surface du globe.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 17:40
Russie: 15 missiles intercontinentaux Iars mis en service d'ici la fin de l'année

 

MOSCOU, 17 décembre - RIA Novosti

 

Quinze missiles intercontinentaux Iars seront livrés aux divisions des Troupes de missiles stratégiques russes de Nijni Taguil et de Novossibirsk d'ici la fin de l'année, a annoncé mardi à Moscou le commandant des troupes Sergueï Karakaïev.

 

"Les régiments de missiles des régions de Novossibirsk et de Nijni Taguil se rééquipent en rampes mobiles de lancement de missiles Iars. Quinze missiles Iars seront mis en service opérationnel dans ces divisions d'ici la fin de 2013 en cas de succès des tests d'homologation", a indiqué le général Karakaïev.

 

Les unités en question ont déjà reçu les missiles, les rampes de lancement et d'autres éléments de systèmes Iars et se préparent à les mettre en exploitation.

 

La Russie célèbre la Journée des Troupes balistiques stratégiques (RVSN) le 17 décembre. Créées en 1959, ces Troupes constituent un élément clé des Forces nucléaires russes.

 

Le RS-24 Iars (code OTAN SS-X-29), missile à propergol solide et à trois étages, est une version modernisée du missile monobloc RS-12M2 Topol-M. Il est doté d'ogives multiples de 150 à 300 kt à guidage individuel et a une portée de 11.000 km. Selon ses concepteurs, aucun système de défense antimissile n'est actuellement capable de parer une attaque de missiles Iars.

Russie: 15 missiles intercontinentaux Iars mis en service d'ici la fin de l'année
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:40
Russie: la défense antimissile regroupée en une seule structure

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

L'agence fédérale spatiale russe (Roskosmos) collabore avec l'état-major des forces armées russes pour créer un groupe réunissant les intérêts des forces de défense aérospatiale (VKO) et des troupes de missiles stratégiques (RVSN), écrit mercredi le quotidien Kommersant.

 

Le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine a déclaré récemment que début 2014, la commission militaro-industrielle préparerait et présenterait au président des propositions pour la gestion de la base technique des forces de défense aérospatiale et des troupes de missiles stratégiques (RVSN).

 

Selon certaines informations, ce projet inspiré par Roskosmos et l'état-major des forces armées russes est pratiquement achevé. "Roskosmos est pressentie comme structure dirigeante de ce groupe, dont trois autres grands holdings feront partie – Almaz-Anteï, Missiles tactiques et la corporation unifiée balistique et spatiale en cours de création", déclare une source au sein du gouvernement.

 

Cette dernière affirme que ce projet vise à renforcer la coordination du potentiel de recherche et technique entre les producteurs d'armements. "Il est nécessaire d'établir une politique technique commune aussi bien dans les entreprises en particulier que dans l'ensemble de l'industrie de la défense", a souligné la source.

 

Il était prévu de présenter ce projet à Vladimir Poutine le 29 novembre lors des réunions à Sotchi avec les représentants de l'industrie spatiale de missiles et du ministère de la Défense, cependant en raison de l'emploi du temps chargé du président personne n'a insisté sur le règlement de cette question le plus rapidement possible.

 

Almaz-Alteï s'est refusé à tout commentaire. Une source de Roskosmos a déclaré que le projet du groupe avait encore besoin d'être mis au point mais que la direction soutenait la formation d'une telle structure.

 

Cette intégration n'est pas vraiment appréciée par la direction des Missiles tactiques. Le holding a déclaré hier qu'il était au courant de l'intention de les intégrer au groupe, mais qu'il n'avait pas participé directement à l'élaboration du projet. "Nous ne sommes absolument pas d'accord avec un tel scénario, déclare une source proche du holding. Nous visons un certain résultat et des changements structurels pourraient y faire obstacle."

 

Les experts sont sceptiques en ce qui concerne les perspectives de fusion des quatre structures et soulignent que cette idée a besoin d'être réfléchie plus en profondeur. "La passion pour le gigantisme héritée de l'époque soviétique pourrait rendre cette structure incontrôlable tôt ou tard, estime Rouslan Poukhov, directeur du Centre d'analyse stratégique et technologique.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 12:40
BJRK Système de lancement de missiles sur rail Photo RVSN

BJRK Système de lancement de missiles sur rail Photo RVSN

 

MOSCOU, 18 décembre - RIA Novosti

 

L'Institut de technologie thermique (MIT) de Moscou créera un nouveau système ferroviaire lance-missiles (BJRK) au premier semestre de 2014, a annoncé mercredi à Moscou le commandant des Troupes balistiques stratégiques russes (RVSN) Sergueï Karakaïev.

"Le ministère de la Défense a présenté un rapport au Chef suprême des armées où il se propose de créer un système de lancement de missiles installés sur une plateforme ferroviaire. L'Institut MIT doit achever les travaux de conception au premier semestre de 2014", a indiqué le général Karakaïev.

La décision russe de créer ce nouveau système BJRK s'explique notamment par la conception, par les Etats-Unis, d'un système de frappe planétaire rapide (Prompt Global Strike), selon le général. Les dirigeants américains ont déclaré que le système serait capable de frapper avec une charge conventionnelle en moins d'une heure une cible située n'importe où sur la surface du globe.

Le système BJRK précédent, de fabrication soviétique, a été retiré du service en 2005 conformément au Traité russo-américain de réduction des armes stratégiques offensives (START) signé en janvier 1993 par les présidents George W.Bush et Boris Eltsine. Le nouveau traité START-3 n'interdit pas la création de plateformes ferroviaires porte-missiles. 

L'Institut MIT, qui crée le nouveau BJRK, compte parmi ses conceptions les missiles balistiques intercontinentaux russes Iars, Topol et Boulava.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:40
Missiles Iskander à Kaliningrad: la Lettonie préoccupée

 

RIGA, 17 décembre - RIA Novosti

 

La décision russe de déployer des missiles sol-air Iskander-M à Kaliningrad, à la frontière avec les pays baltes, nuit au climat de confiance dans la région, a déclaré mardi le ministère letton des Affaires étrangères.

 

"Le ministère letton des Affaires étrangères est préoccupé face à cette décision russe, qu'elle considère comme infondée", a indiqué le ministère dans un communiqué.

 

Le ministre letton de la Défense Artis Pabriks a antérieurement déclaré que le déploiement de missiles russes à Kaliningrad ne créait pas de menace supplémentaire pour la Lettonie.

 

Le quotidien allemand Bild a rapporté lundi, se référant à des images satellite obtenues par les services secrets du pays, que la Russie aurait installé plusieurs batteries de missiles Iskander-M aux frontières de l'Union européenne. Selon le journal, "au moins dix" batteries de missiles se trouvaient à Kaliningrad, le long de la frontière avec les pays baltes.

 

Selon le ministère russe de la Défense, le déploiement de missiles Iskander dans le district militaire de l'Ouest de la Fédération de Russie, et notamment dans la région russe de Kaliningrad, n'est contraire à aucun accord international.

 

Moscou a promis à maintes reprises de déployer des missiles Iskander dans la région de Kaliningrad en réponse à la création du bouclier antimissile américain en Europe. La Lituanie, la Lettonie et l'Estonie sont membres de l'OTAN depuis 2004.

 

Les missiles opérationnels tactiques Iskander-M de haute précision sont destinés à détruire différentes cibles terrestres, qu'il s'agisse de missiles, d'artillerie à longue portée ou de systèmes antimissiles et de DCA. La portée des Iskander en version pour l'exportation est de 280 km, en version pour l'Armée russe - 500 km.

Missiles Iskander à Kaliningrad: la Lettonie préoccupée
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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 17:30
Téhéran attend la livraison des S-300 russes (ambassadeur)

 

MOSCOU, 17 décembre - RIA Novosti

 

Téhéran considère comme légitime le contrat pour la livraison de missiles russes S-300 et insiste sur sa mise en œuvre, a déclaré mardi l'ambassadeur iranien en Russie Mahdi Sanaï.

 

"L'Iran estime toujours que le contrat prévoyant la fourniture de ses armes défensives est légitime. Conformément à ses termes, les systèmes en question doivent nous être livrés", a indiqué le diplomate.

 

Conclu en 2007, le contrat de livraison de missiles sol-air S-300 à l'Iran engageait la Russie à fournir cinq batteries complètes de cet armement pour un montant d'environ 800 millions de dollars. Or, l'exécution du contrat a été suspendue en septembre 2010 par le président russe Dmitri Medvedev en application de la résolution 1929 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui interdisait de fournir des missiles, des chars, des hélicoptères d'assaut, des avions de combat et des bâtiments de guerre à Téhéran.

 

L'Iran a intenté à la Russie un procès d'arbitrage pour annulation du contrat. La République islamique réclame quatre milliards de dollars d'indemnités.

 

Le PDG du consortium Almaz-Antei, constructeur des S-300, a affirmé fin août que les systèmes destinés à l'Iran avaient été démontés et partiellement recyclés.

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:50
source BBC

source BBC

 

MOSCOU, 13 décembre - RIA Novosti

 

L'Otan n'a pas rempli une seule des conditions posées par Moscou concernant le déploiement du système de défense antimissile en Europe, a déclaré le représentant de la Russie auprès de l'Alliance Alexandre Grouchko.

 

"Le dispositif qui sera mis en place en tant qu'élément du système mondial de défense antimissile - et je parle du segment européen de ce système - doit être proportionné aux menaces réelles, qui ne sont plus évidentes, car le problème iranien est résolu. Ce dispositif ne doit pas être physiquement capable d'intercepter les armes de dissuasion nucléaires russes. Ces deux conditions sont fondamentales pour notre coopération avec les Etats-Unis et l'Otan en matière de défense antimissile. Aucune d'entre elles n'est pour le moment remplie", a déclaré M. Grouchko.

 

Selon le diplomate, "ni un dialogue ni, à plus forte raison, une coopération ne seront possible dans le cadre du Conseil Russie-Otan tant que nos partenaires ne fourniront pas de garanties juridiques contraignantes attestant que le système en gestation ne sera pas en mesure de torpiller la stabilité stratégique".

 

Les Etats-Unis sont en train de déployer en Europe un bouclier antimissile comprenant des radars d'alerte haute fréquence et des missiles intercepteurs basés au sol et en mer. Selon les responsables américains, ce bouclier vise à protéger les Etats-Unis et leurs alliés européens contre les attaques balistiques et nucléaires qui pourraient émaner de "pays-voyous": la Corée du Nord et l'Iran.

 

Moscou demande aux Etats-Unis de signer un accord garantissant que la future capacité de défense antimissile balistique ne menacera pas les forces nucléaires russes. Washington refuse de conclure un tel document.

 

Selon le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, avec la conclusion des ententes sur le programme nucléaire iranien, la raison invoquée par l'Otan pour justifier le déploiement d'un système de défense antimissile en Europe a cessé d'exister.

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:50
Source BBC

Source BBC

 

MOSCOU, 13 décembre - RIA Novosti

 

Les ententes avec l'Iran ayant modifié la situation géopolitique, l'Otan devrait modifier ses projets concernant le bouclier antimissile européen, a déclaré vendredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexeï Mechkov dans une interview accordée aux journalistes russes.

 

"Nous estimons que les ententes avec l'Iran créent une situation géopolitique complètement différente. Nous avons toujours entendu nos partenaires dire que la raison de leurs démarches visant la création du bouclier antimissile européen était leurs préoccupations concernant le programme nucléaire iranien. A présent, il nous semble que ces préoccupations sont en train de diminuer.  Il serait logique que cela se répercute sur les projets de l'Otan afin de créer le bouclier européen ainsi que sur l'ABM global américain. Nous verrons comment agiront nos partenaires", a indiqué le diplomate russe.

 

Les Etats-Unis et les autres pays de l'Otan, sous prétexte de défense contre une éventuelle attaque de missiles iraniens, ont annoncé leur intention d'installer un bouclier antimissile en Europe et de déployer ses éléments à proximité des frontières russes. Moscou estime que ces projets visent la Russie et que le bouclier européen est susceptible de détruire l'équilibre de forces stratégiques de dissuasion nucléaire entre la Russie et les Etats-Unis.

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 17:30
S-300: Téhéran appelle Moscou à respecter le contrat

 

MOSCOU, 11 décembre - http://fr.ria.ru/world/20131211/199993350.htmlRIA Novosti

 

Téhéran insiste sur l'exécution par Moscou des contrats sur la livraison de  missiles sol-air S-300, a déclaré mercredi le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue russe Sergueï Lavrov.

 

"Nous insistons toujours sur la mise en application de nos ententes précédentes", a indiqué le ministre, interrogé sur le refus de la Russie de livrer à l'Iran des S-300 et sa proposition de fournir à la place des S-300VM Anteï-2500 (version modifiée du S-300V prévue pour l'exportation, ndlr).

 

Conclu en 2007, le contrat de livraison de missiles sol-air S-300 à l'Iran engageait la Russie à fournir cinq batteries complètes de cet armement pour environ 800 millions de dollars. Or, l'exécution du contrat a été suspendue en septembre 2010 par le président russe de l'époque Dmitri Medvedev en application de la résolution 1929 du Conseil de sécurité de l'Onu, qui interdisait de fournir des missiles, des chars, des hélicoptères d'assaut, des avions de combat et des bâtiments de guerre à Téhéran.

 

L'Iran a intenté un procès à la Russie pour l'annulation du contrat. La République islamique réclame quatre milliards de dollars d'indemnités.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 12:30
Iran nuclear accord means NATO missile defence unnecessary: Russia

 

 

December 11th, 2013 defencetalk.com (AFP)

 

The accord with Iran to curb its nuclear program means a planned NATO anti-missile system in Europe, hotly opposed by Moscow, is no longer necessary, Russian Foreign Minister Sergei Lavarov argued Wednesday.

 

Moscow fears the system would compromise its own defences while NATO says the project is meant only to protect Europe from Iranian development of long-range missiles.

 

The prospect that Iran would also develop a nuclear weapon — strongly rejected in Tehran — added to the momentum for the NATO defence system.

 

Now, if the agreement with Iran “is fully implemented… then there will no reasons to create a missile defence system in Europe,” Lavrov said.

 

Lavrov reiterated that, for Russia, the system is a major problem in relations with NATO, the military alliance set up by Washington to counter the Soviet Union in the Cold War.

 

Last month, the five permanent members of the UN Security Council — Britain, China, France, Russia and the United States — plus Germany agreed an accord with Iran to curb its nuclear programme in return for an easing of sanctions.

 

The initial deal is supposed to lead to a comprehensive accord which would bring Iran’s nuclear programme back under full international oversight to ensure it is a civilian not military project, with crippling sanctions progressively lifted.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:40
Russie: les forces nucléaires rééquipées à 45% d'ici la fin de 2013

 

 

MOSCOU, 10 décembre - RIA Novosti

 

Les forces nucléaires russes seront rééquipées à plus de 45% d'ici la fin de 2013, a annoncé mardi à Moscou le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"Les Forces nucléaires stratégiques russes seront rééquipées en nouveaux armements et matériels à 45%, l'Armée de terre à 21%, l'Armée de l'air à 42%, la Marine à 52% et les Troupes de défense aérospatiale à 62% d'ici la fin de l'année dans le cadre de la réalisation de la commande militaire d'Etat", a indiqué M.Choïgou lors d'une réunion élargie du collège du ministère de la Défense.

 

Le ministère de la Défense œuvre en outre pour limiter le nombre des types d'armements et de matériels ayant des fonctions et paramètres techniques similaires ou identiques. "Cela permet de réduire les dépenses publiques pour l'achat et la maintenance des armements et matériels", a expliqué le ministre.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:40
La Biélorussie reçoit une batterie de missiles russes Tor-M2

 

MINSK, 10 décembre - RIA Novosti

 

La troisième batterie de missiles sol-air russes Tor-M2 achetée par Minsk est arrivée mardi en Biélorussie, a annoncé l'agence publique biélorusse Belta.

 

"La batterie est arrivée en Biélorussie, elle se trouve actuellement à Minsk", a indiqué le commandant de l'Armée de l'air et des Troupes de défense antiaérienne Oleg Dvigalev cité par l'agence.

 

Les missiles seront ensuite transférés à Baranovitchi, dans la région de Brest. L'arrivée de la troisième batterie de missiles Tor-M2 permettra de former une division équipée de ces armes en Biélorussie, selon le commandant.

 

Les deux autres batteries de missiles Tor-M2 biélorusses sont aussi déployées à Baranovitchi, sur le territoire de la 102e brigade de missiles sol-air.

 

Le système tactique Tor assure la protection de sites d'importance contre les frappes de missiles antiradars, de croisière, de drones, de bombes guidées, d'avions et d'hélicoptères. Le système Tor-M2 n'a pas d'équivalent au monde.

 

Une batterie de missiles Tor-M2 comprend quatre rampes de lancement mobiles capables d'abattre 16 cibles évoluant de tous côtés à une vitesse de 700 m/s, à une distance de 12 km et à une altitude de 10 km. Ce système est opérationnel par tout temps, de jour comme de nuit.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:30
U.S. to boost Israel defense missile funding by $173M

 

TEL AVIV, Israel, Dec. 10 (UPI)

 

U.S. lawmakers have approved boosting funding for Israel's missile defense program by $173 million in fiscal 2014 as the Jewish state's military establishment draws up a new defense doctrine to protect cities from Hezbollah's growing missile arsenal.

 

The Jerusalem Post reported that Israeli military intelligence now believes that the Iranian-backed Lebanese movement now possesses around 5,000 long-range missiles that can reach Tel Aviv, the country's largest conurbation, and carry warheads packing between 1,300 pounds and one ton of explosives.

 

On Monday, leaders of the Senate and House of Representatives Armed Services Committees unveiled a cut-down defense authorization bill for the coming fiscal year that would boost U.S. missile defense spending by $358 million to $9.5 billion.

 

The legislation also authorizes additional funding of $173 million for joint missile defense projects underway with Israel.

 

Funds for collaborative missile projects with Israel are separate from the $3.1 billion in military aid the United States provides Israel annually.

 

The bill must now go before Congress for a final vote. The legislation's promoters called for a vote before the Legislature recesses for the end of the year.

 

The proposed funding includes nearly $34 million for the improving the high-altitude Arrow 3 system currently being developed by state-run Israel Aerospace Industries and the Boeing Co. of the U.S.

 

Arrow 3 comprises the upper level of a planned four-tier Israeli missile shield.

 

The system is designed to intercept Iran's Shehab-3b and Sejjil-2 ballistic missiles, including any armed with nuclear warheads, beyond Earth's atmosphere on the second half of their trajectory.

 

Ynet news, the English-language website of Israel's Hebrew daily Yediot Ahronot, has reported that two recent Arrow 3 trials demonstrated the system's "high reliability" and exceeded expectations.

 

Inbal Kreiss, who until recently headed the Arrow 3 program, told a seminar at Tel Aviv University that "the missile's ability to change course while reaching the targeted missile was proven beyond all doubt as the accuracy of interception high above the State of Israel was improved."

 

He said further tests will be conducted over the next 18 months, including at least one launch into space and "an experimental interception of a missile that simulates a long-range enemy missile with a range of about 1,250 miles."

 

Some $22 million of the $34 million the armed services committees earmarked for Arrow 3 will for developing the system's "kill vehicle," the interceptor designed to hit and destroy hostile missiles.

 

The earlier Arrow 2 variant remains in service, with batteries deployed in northern and central Israel. It operates at a lower altitude.

 

Once Arrow 3 is deployed, it will be used as a back-up for that system to pick off any missiles that get past it.

 

Additional back-up for Arrow 3 will come from David's Sling, a system to counter medium-range threats, now being developed by Israel's state-owned Rafael Advanced Defense Systems and the Raytheon Co. of the U.S. for the U.S. Missile Defense Agency and Israel's Missile Defense Organization.

 

The MDA requested further funding for Arrow 3 in April as part of a $220 million package for fiscal 2014.

 

The authorization bill now before the U.S. Congress includes an appropriation of $117.2 million for David's Sling, according to details released by the bill's sponsors.

 

This system will cover the gap between Arrow 2 and Rafael's Iron Dome system, designed to counter short-range missiles and rockets. It constitutes the bottom lawyer of Israel's missile shield.

 

Iron Dome became operational in early 2011 and by official count has successfully intercepted 84.6 percent of the targets it engaged in several clashes with Palestinian rockets.

 

The Israeli military currently has five batteries deployed, but it needs as many as 20 to ensure complete coverage of the country.

 

The compromise bill proposed by the two armed services committees supported a request by U.S. President Barack Obama for $200 million for Israel to buy additional Iron Dome batteries.

 

It also added $15 million to establish a co-production capability for Iron Dome components by Israel and the U.S., a move apparently intended to consolidate U.S. efforts to achieve greater joint production of the Israeli-designed missiles.

 

The renewed funding push also underlines U.S. efforts to ensure U.S. defense budget cuts do not affect military aid to Israel.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:20
United Launch Alliance Atlas V rocket - photo US Army

United Launch Alliance Atlas V rocket - photo US Army

 

HUNTSVILLE, Ala., Dec. 10 (UPI)

 

BAE Systems has gained eligibility to compete for task orders to provide various support services for the U.S. Army's space and missile defense programs.

 

The services, for the Army Space and Missile Defense Command and the Army Forces Strategic Command, will be delivered under a three-year indefinite-delivery/indefinite-quantity contract with a total value of as much as $220 million.

 

BAE Systems said the contract is called the Test Execution Services and Launch Augmentation award, or TESTLA and is designed to help the Army meet testing objectives in areas such as integrated missile defense, warfighter weapon development, homeland security, cyber technology, and intelligence, surveillance, and reconnaissance.

 

Four other companies also have been awarded the contract, under which they will compete for task orders.

 

"Winning TESTLA builds on our long-standing relationship with SMDC," said Tom White, senior director of Mission Support Solutions at BAE Systems. "The work will also position us for additional growth in the military space market."

 

BAE Systems has provided engineering and technical services under SMDC's Concepts and Operations for Space and Missile Defense Integration Capabilities contract since 2006.

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 17:55
French DGA orders initial MMP missiles from MBDA

 

 

9 December 2013 army-technology.com

 

MBDA has received a contract from the French Defence Procurement Agency (DGA) for production and delivery of Missile Moyenne Portée (MMP) medium-range missile to the French Army.

 

The contract will see the company will manufacture a total of 400 launchers and 2,850 missiles. The value of the deal has not been disclosed.

 

The missiles delivered under the contract are expected to replace the army's existing MILAN wire-guided anti-tank system from 2017, and will be employed by both front-line combat units and Special Forces.

 

MBDA CEO Antoine Bouvier said the contract will contribute to maintaining important skills in the French missile sector with its numerous sub-contractors, including Sagem for MMP.

 

"Calling on its 40 years of experience in the ground combat missile domain, MBDA has conceived a new generation missile, which combines all the requirements expressed by the French Army and highlighted by the unique operational experiences gained from its activities in Afghanistan, as well as in Africa and Asia," Bouvier said.

 

''I am confident in the export potential of this new programme, which in the next ten years should represent several times the size of the order concluded with France.''

 

Under development by MBDA Systems since 2009, the MMP is a lightweight, next-generation surface attack missile system designed for destruction of both stationary and moving ground targets, including tanks, armoured and non-armoured vehicles and infrastructures with minimum collateral damage.

 

The man portable missile can be fired from portable firing posts, battlefield vehicles and army aviation platforms, and feature both fire and forget, and man in the loop capabilities, which enable the operators to immediately move to another position after firing, and accurately neutralise various types of targets encountered on all theaters of operation, respectively.

 

An initial batch comprising 175 launchers and 450 missiles will be handed over to the French Army by 2019, while delivery of remaining units remains undisclosed.

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 17:50
Astrium, Raytheon team to compete for NATO ballistic missile defense work

 

TUCSON, Ariz., Dec. 9, 2013 /PRNewswire

 

Astrium, the world's second largest space company, and Raytheon Company (NYSE: RTN) signed a teaming agreement that formalizes the companies' plans to compete for the role as lead system engineers and integrators for the North Atlantic Treaty Organization's Ballistic Missile Defense Program.

 

NATO's BMD Program oversees the development and execution of ballistic missile defense capabilities, which expanded in 2012 to include the defense of European populations and territories.

 

"This transatlantic team has a proven, successful track record supporting national and NATO missile defense," said Yannick Devouassoux, Astrium's Head of Missile Defense and NATO Programmes. "The Astrium-Raytheon team will provide sound, innovative, and cost-effective solutions to help develop NATO's future ballistic missile defense capability."

 

The NATO BMD System Engineering and Integration contract will establish the contractual requirements for territorial defense, while helping create a NATO command and control network architecture for Europe. It will also provide a test infrastructure for the new architecture.

 

"With more than 30 years' experience in ballistic missiles development and production, ballistic battle analysis, and threat modeling, Astrium is a leader in European missile defense," said George Mavko, Raytheon Missile Systems' Director of European Missile Defense. "Combined with Raytheon's decades of experience in ballistic missile defense interceptors, radars and space sensors, this partnership will provide Europe the best, most affordable missile defense protection."

 

Once awarded, the contract will call for a 7-year period of performance with an estimated value of 67.6 million Euros (US $91 million).

 

About Raytheon

Raytheon Company, with 2012 sales of $24 billion and 68,000 employees worldwide, is a technology and innovation leader specializing in defense, security and civil markets throughout the world. With a history of innovation spanning 91 years, Raytheon provides state-of-the-art electronics, mission systems integration and other capabilities in the areas of sensing; effects; and command, control, communications and intelligence systems; as well as a broad range of mission support services. Raytheon is headquartered in Waltham, Mass. For more about Raytheon, visit us at www.raytheon.com and follow us on Twitter @Raytheon.

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 17:30
Saudi Arabia requests TOW missiles sale from US

 

9 December 2013 army-technology.com

 

The US Defense Security Cooperation Agency (DSCA) has notified Congress of two potential foreign military sales (FMS) of tube-launched, optically tracked wire-guided (TOW) missiles to Saudi Arabia.

 

Under the first $170m FMS, Saudi Arabia has requested for supply of 750 BGM-71 2B TOW missiles, seven fly-to-buy TOW2B missiles, 1,000 BGM-71 2A TOW missiles, seven fly-to-buy TOW2A missiles, spare and repair parts, support equipment, and other related elements of logistics and programme support.

 

Besides supporting the Royal Saudi Land Forces' (RSLF) defence and counter-terrorism missions, the package will also contribute to stability in the Kingdom and the region, increase the country's overall deterrence capability, while enhancing the RSLF's compatibility with US forces.

 

The second estimated $900m sale covers supply of 9,650 BGM-71 2A TOW radio-frequency (RF) missiles, along with 4,145 BGM-71 2B tube-launched, optically-tracked wire-guided aero RF missiles, 91 TOW-2A fly-to-buy missiles, and 49 TOW-2B fly-to-buy missiles.

 

In addition, the sale is expected to enhance Saudi Arabia's capability to address and defeat threats from enemy armoured vehicles.

 

Both sales contribute to the foreign policy and national security of the US by improving the security of Saudi Arabia, which provide an important force for political stability and economic progress in the Middle East.

 

Raytheon Missile Systems and Raytheon will serve as prime contractors for the first and second sales, respectively.

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