5 décembre 2015
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27/11/2015 Armée de Terre
Je pèse en moyenne 40 kilos et je peux parcourir plusieurs kilomètres. Pour assurer mon bon emploi, toute une équipe appelée « servants de pièce » est nécessaire. Je suis d'une robustesse extrême, léger et facilement projetable.
A travers cette vidéo tournée à l’occasion de l’exercice CERCES de la 27e BIM, découvrez mon parcours, de la bâche de stockage à la bouche des canons du 93e régiment d’artillerie de montagne.
17 juillet 2015
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17/07/2015 armée de Terre
Le centre d’entraînement de l’infanterie au tir opérationnel – 122e régiment d’infanterie (CEITO - 122e RI) a organisé pour la première fois sur le camp du Larzac un rallye mortier 81 mm LLR* du 21 au 25 juin 2015.
Cette épreuve a permis d’évaluer les savoir-faire techniques et tactiques de six groupes mortier de régiment d’infanterie. Durant une semaine, ils se sont confrontés lors des différents ateliers et ont partagés leurs experiences.
Pour cette première édition, c’est le groupe du 92e régiment d’infanterie (92e RI) qui a remporté la victoire. Le lieutenant-colonel Dubon leur a remis la coupe et le bouclier, symbole du rallye.
Le groupe du 16e bataillon de chasseur termine lui deuxième. Il reçoit la coupe des mains du colonel Faivre, chefs de la division des études et de la prospective de l’école d’infanterie de Draguignan. Le groupe du régiment de marche du Tchad finit troisième.
*Le mortier de 81 mm léger long renforcé (81 mm LLR) modèle F1 équipe, à raison de deux pièces, le groupe mortier de la 4e section des compagnies de combat de l’infanterie. Il est servi par une équipe de 5 hommes (chef de pièce, pointeur, tireur-chargeur, pourvoyeur, artificier).
2 juillet 2015
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02/07/2015 armée de Terre
Les « groupes mortier » du 13e bataillon de chasseurs alpins ont effectué en mai 2015 une formation d’adaptation pour obtenir leur certificat de qualification initiale et leur certificat de qualification élémentaire.
Pendant plusieurs jours, ces spécialistes ont mis en œuvre l’ensemble de leurs savoir-faire. Ce système d’arme technique, précis et puissant, est une découverte pour les plus jeunes, contrairement aux anciens. En tant que chasseurs alpins, ils évoluent dans un milieu très exigeant. C’est pourquoi les cadres insistent sur la formation malgré une programmation très dense avec l’opération Sentinelle. Tous les jours, l’instruction et l’entraînement se poursuivent pour maintenir le haut niveau opérationnel du bataillon Savoie.
7 février 2015
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06/02/2015 Sources : Etat-major des armées
Du 24 au 31 janvier 2015, Lomo Nord, au sud de la République de Côte d’Ivoire, a été le théâtre d’exercices au tir pour la section d’appui mortier du 35ème régiment d’infanterie. Ces exercices étaient réalisés dans le cadre du maintien en conditions opérationnelles des forces françaises prépositionnées sur la façade ouest africaine.
Cet entrainement avait pour objectif l’entretien des savoir-faire et connaissances techniques des stagiaires afin de mieux appréhender les phases de tirs, dans des mises en condition réelles. Sur ordres du chef du groupe mortier, les deux pièces, chacune armée par 5 soldats, ont été mises en œuvre pour la séquence de tir. Leur mission était de détruire des cibles placées jusqu’à 4 km. Au cours de cette semaine, les manouvres de tir ont été réalisées de jour comme de nuit, avec, pour le tir nocturne, un équipement spécifique composé de caméras thermiques de type « Sophie ».
Véritable prouesse technique, le tir mortier nécessite sang-froid et précision. Le groupe mortier profite avant tout aux autres membres de la compagnie d’infanterie qui, en cas de besoin, sollicitent un appui feu.
Les Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), créées le 21 janvier, continueront à assurer la protection des ressortissants français et à entretenir la coopération militaire régionale, notamment bilatérale, avec les forces de la République de Côte d’Ivoire (FRCI). Elles seront en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI, conformément aux dispositions des résolutions du Conseil de la sécurité. Ces forces constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la sous-région.
5 février 2015
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05/02/2015 Sources : État-major des armées
Du 5 au 16 janvier 2015, un instructeur mortier de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès situé à l’Ouest du Sénégal, pour assurer une formation au profit de militaires sénégalais. Ces derniers ont été désignés pour armer le bataillon sénégalais (BATSEN) engagé dans le cadre de l’ONUCI en République de Côte d’Ivoire.
Ce stage participe à la mise en condition opérationnelle (MCO) avant engagement, et avait pour objectif la formation d’une section mortiers de 81 mm.
Pendant deux semaines, les stagiaires ont alterné remise à niveau théorique et pratique dans les domaines de l’emploi de l’armement et de la sécurité des tirs. Les cadres ont reçu un complément d’instruction sur les calculs d’éléments de tir et sur le réglage des « tubes » de mortier. Lors de mises en situations tactiques, le futur BATSEN ONUCI a pu travailler en unité constituée afin d’accommoder l’ensemble des militaires aux différents postes de la pièce mortier.
Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.
23 janvier 2015
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23/01/2015 Sources : État-major des armées
Le 17 janvier 2015, dans le cadre de son maintien en condition opérationnelle, la section appui mortier (SAM) du groupement tactique désert Est (GTD-E), armée par le 35e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) de Tarbes, a effectué une séquence d’entraînement visant à mécaniser la technique du « sling », technique d’emport du mortier par hélicoptère de manœuvre (HM).
Cette séquence d’entraînement s’est déroulée sur la zone technique opérationnelle (ZTO) du camp Kosseï de N’Djamena. Elle a mis en œuvre deux équipes mortiers de 120 mm, ainsi qu’un hélicoptère de manœuvre Caracal.
L’exercice a débuté par l’arrimage du lot sling (des sangles) sur les pièces, suivi d’un contrôle de leur état qualitatif par le mécanicien navigateur. Une fois l’hélicoptère au sol, l’équipage de pièce embarque puis la machine décolle afin de tendre l’élingue. La pièce mortier, le lot sling et la charge de munitions représentent près d’une tonne à soulever pour le Caracal. A l’atterrissage, le mortier est déposé puis immédiatement mis en batterie afin d’effectuer des tirs dans les plus brefs délais.
Durant son mandat, la SAM du GTD Est aura été intégrée durant plus de 75 jours au groupement tactique désert Ouest, qu’elle aura renforcé au cours de plusieurs opérations majeures menées au nord Mali, durant lesquelles elle aura tiré 30 obus. Elle aura ainsi incarné la notion de bascule d’effort d’un fuseau à l’autre, notion qui constitue l’un des principes d’action de l’opération Barkhane.
L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.
7 septembre 2014
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Crédits : EMA / Armée de terre
4 août à 12h20, en République centrafricaine, le groupement tactique interarmes (GTIA) de Boissieu est pris à partie à l'entrée de la ville de Batangafo. Les militaires de la force Sangaris ripostent à l'aide de mortier de 80 mm. Une fois les tirs terminés, le nettoyage des tubes canon est effectué avec des écouvillons par le groupe mortier du 2ème Régiment étranger de parachutistes (2e REP).
Engagé au sein de la force Sangaris, le GTIA de Boissieu assure la libre circulation sur l’axe Cantonnier-Boali, et transmet progressivement la sécurisation de la province ouest de la RCA à la MISCA, créant ainsi les conditions optimales pour la mise en place de la mission internationale des Nations-Unies de soutien en Centrafrique (MINUSCA).
Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine.