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11 octobre 2015 7 11 /10 /octobre /2015 11:20
Student sensor operators from the 6th Reconnaissance Squadron practice tactical operations during an MQ-1 Predator super sortie simulator mission. U.S. Air Force photo by Senior Airman BreeAnn Sachs.

Student sensor operators from the 6th Reconnaissance Squadron practice tactical operations during an MQ-1 Predator super sortie simulator mission. U.S. Air Force photo by Senior Airman BreeAnn Sachs.

 

HOLLOMAN AIR FORCE BASE, N.M., Oct. 8 (UPI)

 

The U.S. Air Force is expanding its training program for remotely piloted aircraft at the Holloman Air Force Base, including the MQ-1 Predator and the MQ-9 Reaper, officials announced Wednesday.

The announcement comes as the U.S. Air Force reports increased demand for its remotely piloted aircraft for surveillance, reconnaissance, and intelligence gathering operations. The Holloman Air Force Base is set to increase its rate of student production from 603 pilots and sensor operators in fiscal year 2015, to 818 students in fiscal 2016.

"By the time we are done with this expansion, Holloman will be the largest aircrew training base in the Air Force," said Maj. Christopher, the assistant director of operations for programmed flying training in a statement.

It will take a bout 18 months for the Air Force to train and expand the unit, taking into account training new instructors and expanding student facilities. Christopher added it takes about six months to train a new instructor. Air Force officials say the expansion will help fix manning and maintenance issues with the remotely piloted aircraft. Christopher says the solution is not a quick fix for the challenges students have had, however the easier workload will be better for the RPA community.

"This seems like leadership is truly focused on a long-term sustainable fix that is going to keep the RPA community healthy as a whole and keep us there," Christopher said. "It is going to hurt for a little while because we have got a lot of work to do, but the demand is still there and we need to do our best to meet that."

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 11:20
L’épuisement des pilotes de drones américains force le Pentagone à ralentir le rythme

La société CAE de Montréal continuera à former les équipages des drones MQ-1 Predator/MQ-9 Reaper de l’USAF de l’Armée de l’air américaine. Ici, un Predator (Archives/CAE/USAF)

 

17 juin 2015 par Bastien Duhamel – 45eNord.ca

 

Victime de l’enthousiasme des autorités militaires vis à vis de l’utilisation des drones en théâtre d’opération, les pilotes de ces appareils sont sujets à un épuisement professionnel qui pousse le Pentagone à revoir à la baisse le nombre de leurs sorties aériennes.

 

A l’image de l’attaque de drone qui a conduit à l’élimination du haut responsable yéménite d’Al-Qaïda au Mahgreb  islamique le 5 juin dernier, Washington a eu abondamment recours à l’utilisation de drones lors de ces dernières années afin de mener à bien ses missions à travers le Moyen-Orient.

Le déploiement de ces plateformes aériennes pour accomplir des éliminations présentées comme « ciblées » présente toutefois son lot de controverses et détracteurs. Incarnation technologique d’une guerre asymétrique, nombreux sont ceux qui dénonce la lâcheté de ces méthodes et l’ampleur de leurs dégâts collatéraux passés sous silence.

Insistant sur les limites opérationnelles, un ancien responsable de la CIA estimait en juin dernier que le recours massif aux drones revenait «au mieux à tondre la pelouse», c’est-à-dire priver les organisations terroristes visées de chefs remplaçables sans les désorganiser durablement.

La tendance à la substitution des forces armées au sol par des drones armés dans la lutte contre les organisations terroristes atteindrait-t-elle donc ses limites ?

C’est en tout cas ce que semble indiquer un article du New York Times du mercredi 17 juin, selon lequel l’armée de l’air américaine aurait commencé à réduire le nombre quotidien de sorties de ces aéronefs sans personne à bord.

Le nombre de sorties quotidiennes des drones américains serait passé de 65 à 60 selon cette source.

En cause, un épuisement professionnel de plus en plus prégnant chez les pilotes de drones qui doivent faire face à de plus en plus de sollicitations sans avoir vu leurs effectifs augmenter en conséquences.

Le colonel James Cluff, responsable de la base de Creech dans le Nevada d’où opèrent les pilotes de drone était déjà revenu sur cette diminution en mai expliquant qu’il s’agissait de maintenir les équipes de pilotes «en bon état».

En réalité, les opérateurs de drones sont surtout victimes des succès et de l’enthousiasme militaires entourant les appareils qu’ils contrôlent à distance.

Une diminution conjoncturelle des sorties américaines qui ne doit pas manquer de nous faire prendre conscience de la tendance structurelle de l’utilisation exponentielle de ces aéronefs sans pilotes à des fins de surveillances, d’assistance des troupes au sol ou d’élimination «ciblées».

En effet, il semble que les Etats-majors américains tout comme israéliens, également champions en la matière, développent une véritable addiction à ces plateformes aériennes qui minimisent les risques pour les soldats déployés à l’étranger.

Le nombre de missions américaines «Combat Air Patrol»  a quasiment doublé entre 2008 et 2014. Selon les chiffres donnés par le quotidien new-yorkais, les Predator et Reaper ont effectué 3 300 sorties et tiré 875 missiles depuis le mois d’août.

 

Stress et pressions psychologiques exacerbés pour les opérateurs de drone

Dans un rapport paru en 2013, le Pentagone avait montré que les pilotes de drones subissaient les mêmes pressions psychologiques que les pilotes d’avions de guerre.

Il semble qu’une nouvelle enquête interne pointe du doigt le stress chez les pilotes de drones lié aux risques de dommages collatéraux.

Par ailleurs, le décalage profond entre le vie quotidienne de l’opérateur demeurant dans son pays et ses missions de combats se déroulant à des centaines de kilomètres s’avère également être un véritable facteurs de déstabilisation psychologique

Ajoutons à cela un possible sentiment de culpabilité de se tenir si loin du théâtre d’opération et éloigné de ses frères d’armes et nous avons a un bref aperçu des tensions psychologiques auxquelles sont confrontées les opérateurs de drones.

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 07:20
photo USAF

photo USAF

 

20.05.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Depuis le 1er avril, l'US Air Force ne met plus en ligne que 60 CAP (combat air patrol) de MQ-1 Predator et de MQ-9 Reaper. Chaque CAP, c'est, en termes matériels, quatre drones, une station de contrôle, des paraboles et un réseau de communication satellitaire. En termes humains, ce sont des pilotes déportés, des analystes, des maintenanciers etc.

Dans un article paru sur le site DefenseOne, des porte-parole de l'USAF évoquent pêle-mêle des questions de sécurité, entraînement etc.

Le colonel James Cluff, qui commande la 432nd Wing et la 432nd Air Expeditionary Wing, est plus direct: "La réalité de la guerre que nous menons, c'est que 60 CAP, c'est insuffisant. Mais l'Air Force a du mal à faire mieux que 60". Et d'ajouter: "Nous n'avons pas assez de pilotes et d'opérateurs".

Effectivement, l'USAF dont le parc rassemble environ 300 drones Reaper et Predator, est sollicitée pour fournir davantage de vols mais les effectifs ne suivent pas.

Sur ce sujet et les solutions mises en œuvre, on lira le rapport du GAO de mai 2015; il est intitulé "Unmanned Aerial Systems. Actions Needed to Improve DOD Pilot Training" (à lire ici). Le GAO pointe des carences dans les effectifs (83% des besoins sont couverts en moyenne mais à Holloman AFB seuls 63% des besoins le sont), dans la formation (et surtout la formation continue) des pilotes

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 08:30
photo Syrian Arab News Agency (SANA)

photo Syrian Arab News Agency (SANA)

 

March 19, 2015 By: Beth Stevenson - FG

 

Images released by the Syrian Arab News Agency (SANA) depict a crashed General Atomics Aeronautical Systems unmanned air vehicle, which it claims was shot down over Latakia in Syria on 17 March. The “hostile UAV”, believed to be a US Air Force MQ-1 Predator, was brought down by a Syrian air defence system, and Syrian authorities are said to be carrying out investigations “to verify the side which the drone is affiliated to”.

 

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18 janvier 2015 7 18 /01 /janvier /2015 12:20
Pilotes de drone photo Chris Flahive - US Air Force

Pilotes de drone photo Chris Flahive - US Air Force

 

16 janvier 2015 Par Julien Bergounhoux - Usinenouvelle.com

 

L'US Air Force connaît une véritable pénurie de pilotes de drones. Une situation d'autant plus problématique qu'elle investit de plus en plus dans ces technologies et se repose sur elles pour un nombre sans croissant d'opérations.

 

L'US Air Force a annoncé lors d'un briefing jeudi 15 janvier que ses pilotes de drone allaient voir augmenter la prime spéciale dont ils bénéficient chaque mois. Elle passera de 600 dollars à 1500 dollars.

Le but de cette manoeuvre est d'endiguer le flot de départ parmi les pilotes d'aéronefs contrôlés à distance au sein de l'armée de l'air, qui se tournent de plus en plus vers le privé. Ils sont en effet moins bien rémunérés que les pilotes d'avions de chasse et ne bénéficient pas des mêmes avantages, malgré un nombre d'heures de vol trois fois supérieur à celui de leurs collègues.

 

Les équipes sont surmenées

Avec l'augmentation constante des demandes de renseignement, de surveillance et de support aérien, malgré le retrait des troupes américaines de l'Irak et de l'Afghanistan, les équipes sont surmenées. L'Air Force emploie actuellement 1000 pilotes de drones (principalement sur des MQ-1 Predator et des MQ-9 Reaper, en attendant le déploiement de l'Avenger), pour un besoin estimé supérieur à 1200 pilotes. Elle forme 180 nouveaux pilotes de drones chaque année, mais en aurait besoin de 300 et en perd 240.

 

Appel à des volontaires

Le département de la Défense américain prévoit par ailleurs d'investir 5 milliards de dollards dans les drones pour l'année fiscale 2015. Pour pallier la pénurie dans l'immédiat, l'armée a annoncé qu'elle va faire appel à la Garde Nationale, à ses réservistes, ainsi qu'à des volontaires.

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 06:50
Netherlands to host first European UAV training facility

 

12 Jan 2015 By: Beth Stevenson - FG

 

The Netherlands and aerospace services company Strat Aero have signed a letter of intent for the establishment of an unmanned air vehicle training facility focused on the General Atomics Aeronautical Systems MQ-1 Predator and MQ-9 Reaper.

The non-binding LoI was agreed between the company and Innovation Quarter – the economic development agency for the Dutch region of West Holland – Strat Aero announced on 12 January.

The parties involved hope to establish what they tout as northern Europe’s first UAV pilot training base; a location for which would be provided by the government.

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 20:20
An MQ-1 Predator takes off the runway at Holloman Air Force Base, N.M., Sept. 25. 2013

An MQ-1 Predator takes off the runway at Holloman Air Force Base, N.M., Sept. 25. 2013

 

31.10.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Un drone MQ-1B Predator de l’US Air Force s’est écrasé hier près de la AFB d’Holloman, au Nouveau-Mexique. L’appareil appartenait au 6ème escadron de reconnaissance et effectuait une mission d’entraînement de routine. Les causes de l’incident sont pour l’instant inconnues.

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 18:20
Improved Gray Eagle UAV Flies 45 Hours Non-Stop

 

Oct. 23, 2013 defense-unmanned.com

(Source: General Atomics Aeronautical Systems; issued October 22, 2013)

 

GA-ASI's Improved Gray Eagle Flies Over 45 Hours Non-Stop

 

 

AUSA ANNUAL, WASHINGTON --- General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI), a leading manufacturer of Remotely Piloted Aircraft (RPA), tactical reconnaissance radars, and electro-optic surveillance systems, today announced the successful completion of the first of two planned U.S. Army endurance demonstration flights with its Improved Gray Eagle (IGE) aircraft.

 

IGE, a next-generation derivative of the combat-proven Gray Eagle Unmanned Aircraft System (UAS), lifted off from GA-ASI's El Mirage Flight Operations Facility in Adelanto, Calif., at 6:56 a.m. on October 11th and landed 45.3 hours later at 4:16 a.m. on October 13th.

 

"This first endurance flight is a significant accomplishment for Improved Gray Eagle as it demonstrates the aircraft's game-changing potential for saving the lives of Army Soldiers abroad by providing extended surveillance coverage, along with the ability to self-transit to other remote distant locations," said Frank W. Pace, president, Aircraft Systems Group, GA-ASI.

 

IGE was developed by GA-ASI on Internal Research and Development (IRAD) funds to demonstrate the increased endurance potential and higher payload capacity with minor modifications to the existing Block 1 Gray Eagle platform. The Army Unmanned Aircraft Systems Project Office is supporting testing of the aircraft by funding two demonstration flights this year that are designed to validate the enhanced capabilities. The first endurance test was performed with the aircraft in a Reconnaissance, Surveillance, and Target Acquisition (RSTA) configuration. During the second demonstration, which is planned for later this year, IGE will carry a wing-mounted external payload and weapons.

 

IGE has a Max Gross Takeoff Weight (MGTOW) of 4,200 pounds, utilizing the 205HP Lycoming DEL-120 engine. Gray Eagle has a GTOW of 3,600 pounds with a 160HP rated engine. IGE's deep belly design and 500-pound centerline hard point allows for 850 pounds of internal fuel load, with an optional external fuel pod that can accommodate an additional 450 pounds (Gray Eagle's fuel load is 575 pounds). Use of this extra fuel would allow for RSTA missions in excess of 50 hours.

 

In addition, IGE has a maximum 540-pound internal payload capacity, compared to Gray Eagle's 400 pounds. This internal payload capacity, combined with the increased engine horsepower, provides growth capability for an improved airworthiness design, with the potential of incorporating lightning protection, damage tolerance, and Traffic Collision Avoidance System (TCAS) features.

 

General Atomics Aeronautical Systems, Inc., an affiliate of General Atomics, delivers situational awareness by providing remotely piloted aircraft, radar, and electro-optic solutions for military and commercial applications worldwide. The company's Aircraft Systems Group is a leading designer and manufacturer of proven, reliable remotely piloted aircraft systems, including Predator A, Predator B, Gray Eagle, the new Predator C Avenger, and Predator XP.

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 12:35
Afghan-Deployed US Troop Cost Rises

25/10/2013 by Paul Fiddian - Armed Forces International's Lead Reporter

 

Each Afghan-deployed US troop will cost some $2 million during the final months of the US military's campaign there, according to a newly-published Pentagon budget assessment.

 

Since 2008, the average cost, per troop, has remained at approximately $1.3 million but, factoring in a revised war budget, that figure is now set to rise significantly.

 

According to the US Defense Department, the increased per-troop cost mirrors changing circumstances and includes the finances involved in transporting/shipping personnel and equipment back to US soil.

 

Todd Harrison from the Center for Strategic and Budgetary Analysis contests that statement. In comments published by the Defence Once website, he stresses that such troop and equipment movements have been a part of earlier budget years.

 

US Troop Cost Rises

 

Besides commenting on the reported US troop cost rises, Harrison, the new Pentagon budget study's author, also describes the present moment as "a very chaotic time for the defense budget" and questions the ongoing need for certain military technologies in the post-Afghanistan era.

 

The likes of the MQ-9 Reaper and MQ-1 Predator have proved highly useful assets in Afghanistan's skies but don't necessarily have a role in the Asia-Pacific region - the US military's next key focus area - Harrison believes. Instead, he expects the emphasis to be more on stealth than reconnaissance.

 

Afghan-Deployed US Troops

 

Initiated in July 2011, the US Armed Forces' Afghan troop drawdown is scheduled to be finished by December 2014. After the Afghan-deployed US troops have left, explained US President Barack Obama in his most recent State of the Union Address: "...America's commitment to a unified and sovereign Afghanistan will endure, but the nature of our commitment will change."

 

Obama continued: "We're negotiating an agreement with the Afghan government that focuses on two missions - training and equipping Afghan forces so that the country does not again slip into chaos, and counter-terrorism efforts that allow us to pursue the remnants of al-Qaeda and their affiliates."

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 08:20
MQ-1 Predator armed with an AGM-114 Hellfire missile

MQ-1 Predator armed with an AGM-114 Hellfire missile

25/10/2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

L’US Air Force a dévoilé que ses flottes de drones MQ-1 Predator et MQ-9 Reaper avaient accumulé deux millions d’heures de vol depuis leurs débuts au milieu des années 90. « Il a fallu seize ans pour atteindre le million d’heures de vol et deux ans et demi pour les doubler » a indiqué l’USAF.

 

Le Predator a effectué son premier vol en 1994, le Reaper en 2001.

MQ-9 Reaper

MQ-9 Reaper

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