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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 17:55
Web-série : À l’école des nageurs de combat (Épisode 2)
 
26 Mars 2014 Marine Nationale
 

Bienvenu au cours des nageurs de combat. Fin de la sélection des candidats et début des cours pour les élèves retenus. Le programme qui les attend est dense : le nageur est le seul combattant qui est formé à intervenir à partir de tous les vecteurs, qu’il soit terrestre, aérien ou maritime.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 16:55
Web-série : À l’école des nageurs de combat

 

19 Mars 2014 Marine nationale

 

Depuis 1957 l’école de plongée de la Marine à Saint Mandrier (Var) forme les candidats nageurs de combat. Cette année, le 1000ème nageur sera breveté. Exceptionnellement, l’école nous a ouvert ses portes pour les 7 mois du cours et nos équipes ont suivi l‘apprentissage physique et intellectuel de ces futurs membres des commandos marine ou agents de la DGSE.  Navigation, démolition, génie sous-marin, plongée profonde, secourisme… tout au long du cours, l’élève peut être éliminé à l’issue de chaque phase pour résultats insuffisants. Dans les dix épisodes que compte la série, nous avons choisi de vous dévoiler les coulisses de cette formation des forces spéciales, de la sélection des candidats à la remise des brevets en juillet prochain. Retenez votre souffle !

 

Bonus : entretien avec Bob Maloubier, « l’espion aux pieds palmés »

 

Bob Maloubier est sans doute le plus célèbre des espions français. L’homme qui collectionne les fausses identités et les décorations a été successivement résistant, saboteur, parachutiste et nageur de combat. En janvier 1952, il fonde l’unité des nageurs de combat dans une commune d’Algérie proche d’Oran. A propos de la création de l’unité, il écrit dans son dernier ouvrage  L’espion aux pieds palmés* : « Tout ce qu’il nous passe par la tête nous le mettons à l’épreuve. Nous n’observons qu’une seule règle mais inconditionnelle celle-là : nous n’exigeons de nos hommes rien que nous n’ayons expérimenté en les premiers ». Entretien avec le premier des nageurs de combat.

 

* L’espion aux pieds palmés

Bob Maloubier, Éditions du Rocher

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 12:55
Nageurs de combat - L’école du silence

11/10/2013 LTN E. Barnier / SIRPA Terre

 

Fin mai 2013, après cinq mois passés à l’école de plongée de Saint-Mandrier-sur-Mer, près de Toulon, 11 stagiaires terriens et marins sont encore en lice pour le prestigieux certificat de nageur de combat. Il leur reste deux mois d’efforts avant d’obtenir le précieux sésame qui leur permettra de rejoindre entre autres les rangs de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Immersion en eaux sombres.

 

Lundi de Pentecôte, jour chômé pour certains, 8h. En salle d’instruction, 11 stagiaires terriens du cours des nageurs de combat écoutent attentivement les consignes. Le rythme est donné : une semaine compte 7 jours, une journée dure 24 heures. Le stage est dense. « Messieurs, votre mission : dans la nuit du 20 au 21, neutraliser en discrétion et sans signature les objectifs à haute valeur ajoutée », annonce le premier maître (PM) S.T. Les élèves sont jeunes, 26 ans en moyenne. Ils sont marins ou terriens et viennent d’unités commandos marine ou de différents régiments de l’armée de Terre. Mais ils suivent ensemble, à Saint-Mandrier, la même formation : celle de nageur de combat. Exigeant, fatigant, ce stage est la promesse d’un sésame ouvrant les portes, pour les uns, du commando Hubert, pour les autres, du service Action de la DGSE.

 

Réputation surévaluée

 

L’appellation « centre parachutiste d’entraînement aux opérations maritimes » (CPEOM) cache, en réalité, un des centres du service Action de la DGSE. Les agents affectés au CPEOM sont tous spécialistes des opérations maritimes. Unité clandestine, discrète et mystérieuse, elle est la promesse de missions singulières et d’entraînements hors normes. Pour rejoindre ce « club fermé », la formation est longue et éprouvante. Le cours nageur souffre cependant d’une réputation d’inaccessibilité surévaluée. « Beaucoup de candidats se mettent une barrière et c’est dommage, regrettent les instructeurs. Sans tomber dans l’excès inverse et être surpris que ce soit dur, il faut juste savoir que c’est possible. » En pratique, le taux de sélection est comparable à n’importe quelle unité des forces spéciales. « Il faut mettre le chauffe-eau sur marche forcée pendant quelque temps, plaisante le PM R.D., avant d’ajouter plus sérieusement, et, surtout, il faut avoir la volonté d’aller au bout. »

« C’est une parenthèse de vie », explique le second maître J.T., un des stagiaires. « C’est un investissement personnel dans la durée, on se coupe de tout, on n’a le temps pour personne. C’est une vie de moine pendant la formation, avec le risque de ne pas terminer, mais ça vaut le coup. »

 

>>> Lire la suite dans le TIM n°248

Nageurs de combat - L’école du silence
Nageurs de combat - L’école du silence
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