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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 08:20
Northrop starts production of Global Hawk UAS for NATO

 

MOSS POINT, Miss., Dec. 4 (UPI)

 

NATO's first Global Hawk unmanned surveillance vehicle is starting to take shape on a Northrop Grumman production line, the company reports.

 

The NATO Alliance Ground Surveillance Block 40 Global Hawk has a cruise speed of 357 miles per hour, a range of 8,700 miles, a service ceiling of 60,000 feet and a flight endurance of more than 30 hours.

 

Once operational with NATO it will provide near real-time terrestrial and maritime situational awareness information throughout the full range of NATO military and civil-military missions.

 

NATO has ordered five of the aircraft, which will feature enhancements to meet the alliance's requirements for performing intelligence, surveillance and reconnaissance missions, Northrop said.

 

"The variety of sensors and ability to support a wide range of missions will revolutionize how NATO collects ISR," said Jim Edge, general manager of NATO's Air, Ground Surveillance Management Agency. "It was an honor to witness the start of production for the first NATO aircraft, and I'm excited at being one step closer to delivering the AGS system."

 

Production was kicked off with a ceremony at Northrop's facility in Mississippi, which was attended by representatives of the alliance, state government officials, community leaders and Northrop employees.

 

"Mississippi excels at advanced manufacturing, and the sophisticated aircraft that will be built at Northrop Grumman's Moss Point facility are a testament to the quality of the area's workforce," Gov. Phil Bryant said at the event. "Our state is also building a strong presence in the aerospace industry, and this operation will certainly bolster our reputation."

 

The NATO AGS system will be equipped with the multi-mode, Multi-Platform Radar Technology Insertion airborne ground surveillance radar sensor to provide all-weather, day or night intelligence. The system a suite of network-centric enabled line-of-sight and beyond-line-of-sight long-range, wide-band data links.

 

It also features European-sourced ground assets to provide in-theater support to commanders of deployed forces. Mobile ground stations, for interface between the AGS core system and a wide range of interoperable NATO and national command, control, intelligence, surveillance and reconnaissance systems are also part of the system.

 

"With the ability to fly up to 60,000 feet and for more than 30 hours, the NATO AGS system is uniquely suited to support NATO missions worldwide," said Jim Culmo, vice president, High-Altitude, Long Endurance Enterprise, Northrop Grumman Aerospace Systems.

 

Northrop said NATO is acquiring the system with 15 nations participating in the program. They are: Bulgaria, Czech Republic, Denmark, Estonia, Germany, Italy, Latvia, Lithuania, Luxembourg, Norway, Poland, Romania, Slovakia, Slovenia and the United States.

 

Companies participating in the project with Northrop include Cassidian, Selex ES, Kongsberg and defense companies from participating countries.

 

Details of the production/delivery schedule for the first and subsequent Global Hawks was not disclosed.

Northrop starts production of Global Hawk UAS for NATO
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 17:50
Kosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationaux

 

 

04/12/2013 Sources : EMA

 

Les 20 et 21 novembre 2013, l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI) français a participé à deux instructions dans un cadre multinational.

 

Le mercredi 20 novembre, l’équipe médicale américaine du camp de Bondsteel a été héliportée sur le camp de Novo Selo pour mener une instruction au profit de brancardiers secouristes français et allemands. Le scénario a simulé l’impossibilité pour un hélicoptère de se poser pour récupérer un blessé. Les brancardiers secouristes, aux ordres d’un médecin américain, se sont donc entraînés à évacuer ce dernier par hélitreuillage.

 

Le 21 novembre, les militaires portugais du camp de Slim Line, près de Pristina, se sont rendus auprès de l’EEI pour leur enseigner les réactions à adopter en cas de manifestation et de lancers de « cocktails Molotov ». L’exercice a permis aux militaires français de s’entraîner en mettant en œuvre les méthodes de l’OTAN pour la gestion de conflit.

 

L’EEI, dans le cadre de son mandat de la KFOR, participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en coopération avec la Mission des Nations unies au Kosovo (MINUK) et la mission de l’Union européenne (EULEX). Environ 320 militaires français sont engagés dans l’opération TRIDENT, nom de la participation française à la KFOR, avec une unité de manœuvre (l’EEI) et un élément de soutien national (ESN).

Kosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationauxKosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationaux
Kosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationaux
Kosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationauxKosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationauxKosovo : l’EEI participe à deux exercices multinationaux
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 08:50
Cyberdéfense  : Les états-Unis signent un partenariat avec l'Estonie

 

04/12 Par Les Echos

 

Le secrétaire d'Etat John Kerry a signé, hier, un partenariat en matière de cyberdéfense avec l'Estonie. Tallinn étant un fer de lance dans ce domaine depuis qu'elle a subi une attaque massive en 2007. « L'Estonie est une alliée fondamentale des Etats-Unis et un leader reconnu sur les questions de cybersécurité et de liberté sur Internet », a indiqué le département d'Etat. L'Otan a organisé la semaine dernière en Estonie un vaste exercice de cyberdéfense.

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 08:35
L'Otan appelle Karzaï à signer sans délai le traité Afghanistan/Etats-Unis

 

04 décembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

BRUXELLES - Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'Otan ont appelé mardi le président afghan Hamid Karzaï à signer sans délai le traité de sécurité entre Kaboul et Washington, dont dépend la mission de l'Alliance atlantique après 2014.

 

Le plus tôt sera le mieux pour la signature par M. Karzaï, a déclaré le secrétaire d'Etat américain John Kerry, à l'issue d'une réunion avec ses homologues à Bruxelles.

 

Il n'a cependant pas fixé de date limite alors que la Maison Blanche insiste depuis des semaines pour une signature d'ici à la fin de l'année 2013.

 

M. Kerry a également laissé entendre que le paraphe de M. Karzaï sur ce traité bilatéral de sécurité (BSA) n'était pas une obligation absolue.

 

Son ministre de la Défense peut le signer, son gouvernement peut le signer, quelqu'un peut en prendre la responsabilité, a dit le chef de la diplomatie américaine.

 

Mais ce n'est pas une plaisanterie, c'est une affaire sérieuse, a-t-il martelé, rappelant que les 50 pays de la coalition internationale actuellement en Afghanistan avaient des impératifs de planification et des exercices budgétaires à respecter pour préparer une éventuelle présence militaire dans ce pays après 2014.

 

Il est clair que s'il n'y a pas de signature (...), il ne peut y avoir de déploiement et que les projets d'aide deviendront incertains, a pour sa part déclaré le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen.

 

J'espère que le BSA sera signé, a-t-il plaidé.

 

Le président Karzaï a refusé jusqu'à présent de parapher ce traité -- pourtant agréé entre les deux pays en novembre -- qui définira les modalités d'une présence militaire américaine après le départ des 75.000 soldats de l'Otan, fin 2014.

 

Jusqu'à présent, le président afghan ne veut pas signer avant l'élection présidentielle d'avril prochain, à laquelle il ne pourra pas se représenter.

 

De la signature du BSA dépend aussi la mise en place du cadre juridique pour la mission d'assistance, de soutien et de formation des forces de sécurité afghanes que prépare l'Otan. Cette dernière espère prendre une décision en février 2014 sur les contours de cette mission, dont les effectifs sont actuellement évalués entre 8.000 et 12.000 hommes.

 

Avec des pays partenaires comme le Japon, l'Otan prévoit également de financer partiellement les forces afghanes, dont les besoins évalués à 4,1 milliards de dollars par an.

 

Le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle, a appelé M. Karzaï à ne pas jouer avec la montre et de décider sans délai. Nous avons des planifications à faire, des décisions logistiques à prendre, a-t-il ajouté.

 

Ce message devrait être relayé mercredi au cours de la réunion ministérielle de l'ensemble des pays présents en Afghanistan en présence du ministre intérimaire afghan des Affaires étrangères, Zarar Ahmad, et du ministre de l'Intérieur Mohammed Daudzai, selon un responsable du département d'Etat.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:50
Engagée au Mali et en Centrafrique, la France retire ses militaires du Kosovo

 

03.12.2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca (AFP)

 

La France a décidé de retirer ses derniers militaires, environ 300, qui participent à la force de l’Otan au Kosovo, la KFOR, en mettant en avant les impératifs de ses autres opérations, en particulier au Mali et en Centrafrique, a-t-on appris mardi de sources diplomatiques, rapporte aujourd’hui l’AFP.

 

Le retrait de la France de la Kfor, se fera progressivement jusqu’en juin 2014 dans le cadre du processus régulier de renouvellement des effectifs de cette mission qui compte encore environ 5.000 hommes.

«Nous savons tous que la France a de nombreux engagements sur d’autres théâtres d’opération», a réagi à l’annonce du retrait de la France le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, avant une réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de l’Alliance à Bruxelles.

Elle «a contribué de manière significative à la Kfor» et «je crois que, sur la base du principe de solidarité, nous serons en mesure de combler le départ» des soldats français, a-t-il ajouté.

Alors que le Kosovo avait accédé à la pleine souveraineté, le 10 septembre 2012, la Kfor déployée par l’Otan en 1999 était alors passée en force de dissuasion, afin de pérenniser la stabilité et la sécurité de ce pays situé aux portes de l’Union européenne.

La KFOR participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en coopération avec la Mission des Nations unies au Kosovo (MINUK) et la mission de l’Union européenne (EULEX), compétente, elle, dans les domaines de la police, de la justice et des douanes.

Présente dès le début de l’intervention menée par l’Otan, à partir de 1999, la France était toujours activement investie au Kosovo aux côtés de ses alliés.

 

Du 30 septembre au 3 octobre 2013, une délégation de l’inspection des armées (IDA), conduite par le général de division Pinel, adjoint au général inspecteur des armées, s’est rendue au Kosovo pour inspecter le contingent français de la KFO (Archives/EMA/Armée de terre française)

 

Cinquième contributrice de la Kfor, sur un total de trente nations, plus de 300 soldats français étaient aujourd’hui déployés sur ce théâtre, principalement au nord, ainsi que certains éléments insérés à l’état-major.

Les forces françaises avaient plus spécifiquement la responsabilité de la sécurité à des postes administratifs et frontaliers particulièrement sensibles, qu’ils soient officiels ou sauvages, de démanteler les barrages routiers, de monter des points de contrôle des véhicules, ainsi que d’effectuer des patrouilles.

Les forces françaises participaient ainsi à la lutte contre le terrorisme, en empêchant l’approvisionnement en armement et en explosifs des groupes extrémistes installés dans le nord du pays par la Serbie qui n’a jamais accepté l’indépendance du Kosovo jusqu’à la conclusion en avril 2013 d’un accord de normalisation par lequel la Serbie ne reconnaît toutefois pas formellement l’indépendance de ce qui reste, pour elle, une province serbe.

Paris a justifié son retrait par son implication au Mali, et prochainement en Centrafrique, qui sollicitent d’importants moyens en terme d’hommes et de matériel.

La France continuera cependant à participer à l’état-major de la Kfor, et sera prête à envoyer des renforts si la situation sécuritaire l’exigeait au Kosovo.

Certains pays, dont l’Allemagne, premier contributeur à la Kfor avec près de 700 militaires, mettent en garde contre un désengagement trop rapide alors que la situation reste «tendue» dans le nord du Kosovo, malgré la signature de l’accord de normalisation.

M. Rasmussen a donc insisté mardi sur la nécessité de maintenir «un niveau suffisant» de soldats de la Kfor «pour assurer le succès de l’accord entre Belgrade et Pristina».

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:40
Russie et Otan pourraient recycler les munitions obsolètes

 

BRUXELLES, 3 décembre - RIA Novosti

 

La Russie et l'Otan pourraient lancer un projet-pilote de recyclage des munitions obsolètes, a annoncé mardi le secrétaire général de l'Alliance Anders Fogh Rasmussen en prévision d'une réunion du Conseil Russie-Otan qui doit avoir lieu le 4 décembre à Bruxelles.

 

"Nous discuterons de nouveaux domaines de notre coopération et initierons un projet-pilote prévoyant la destruction de vieilles munitions dangereuses dans la région de Kaliningrad", a déclaré M. Rasmussen.

 

Selon des informations diffusées auparavant, Moscou envisage d'associer des entreprises des pays membres de l'Otan au recyclage de munitions obsolètes russes.

 

Le vice-ministre russe de la Défense Alexeï Mechkov a confié mardi à RIA Novosti que les aspects financiers de la participation de l'Otan à ce projet étaient à l'étude. Selon M. Mechkov, la destruction de munitions doit être effectuée dans la région de Kaliningrad (enclave russe sur la Baltique). Il s'agit de créer à cet effet un fonds fiduciaire spécialisé. D'après le vice-ministre, "toutes les parties sont en principe intéressées par le lancement d'un tel fonds".

 

Le Conseil Russie-Otan doit se réunir le 4 décembre à Bruxelles au niveau des chefs de diplomatie. La Russie sera représentée par le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 18:50
Sweden Providing Jets to NATO Military Force

 

 

December 2nd, 2013 By Swedish Radio - defencetalk.com

 

Sweden will contribute eight Gripen fighter jets and one mine-hunting boat next year to NATO’s Response Force, the alliance’s most elite military unit, news agency TT reports.

 

Sweden deepen its cooperation earlier this fall with the military alliance’s reserve force and the Swedish government decided on Thursday to make available eight JAS 39 Gripen planes, which includes a crew of 120 men, and one boat to sweep for mines.

 

“They will remain in Sweden, but they will be ready,” said Defense Minister Karin Enström. “They are sufficiently well-trained so that they are up-to-date.”

 

The main reason for Sweden’s contribution is so the country can take part in advanced exercises by NATO. At least one major exercise is planned for next year and Enström says participating will “strengthen our defense capabilities.”

 

The NATO Response Force is a multinational force that acts as a stand-alone unit for rapid deployment to support NATO missions as needed.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:50
photo Diliff

photo Diliff

 

21 November 2013 by Hajnalka Vincze

 

(sur la base d’un court entretien accordé à BBC Radio, l’émission 5 Live Drive, le 20 novembre 2013)

 

En quoi la posture antinucléaire du SNP (Scottish National Party) devrait-elle constituer un problème pour une Ecosse indépendante mais soucieuse de garder sa carte de membre à l’OTAN ?* En pas grand-chose, pour faire bref. Le fait d’exiger le retrait des armes nucléaires UK de son territoire et de se proclamer Etat non nucléaire n’est pas a priori en contradiction avec le statut de membre de l’OTAN. Pour rappel : à présent 20 pays membres sur les 28 ne possèdent ni n’hébergent d’armes atomiques sur leur sol.

 

Par ailleurs, la distinction (entre possession et hébergement) a tout lieu d’être. Alors que seuls trois pays membres sont des puissances nucléaires reconnues comme telles (les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni), cinq autres (l’Italie, l’Allemagne, la Turquie, les Pays-Bas et la Belgique) laissent stationner sur leur territoire des armes nucléaires américaines (quoique de manière de plus en plus controversée, certes).

Source: www.cagle.com

Par contre, faire partie de l’OTAN implique mécaniquement de participer au soi-disant partage nucléaire au sein de l’Alliance. Lequel est censé faire croire que la politique nucléaire de l’OTAN est un travail d’équipe. Dans cet esprit, les Etats membres non nucléaires deviennent eux-mêmes mouillés à plus d’un titre : à travers les concepts et les exercices, ils sont priés de contribuer, par le biais de leurs capacités conventionnelles (comme le ravitaillement en vol par exemple), au bon déroulement des éventuelles opérations nucléaires de l’Alliance.

 

En réalité, ce n’est qu’une mascarade. Malgré toutes les structures et procédures qui y sont consacrées pour entretenir l’illusion, la pratique du « partage » nucléaire de l’OTAN reste soumise, in fine, au bon-vouloir de Washington. Autrement dit, à l’humeur du jour dans la capitale des Etats-Unis. Inutile de préciser que la crédibilité de tels arrangements est nulle. Les Etats membres mouillés deviennent effectivement complices de la politique nucléaire de l’Amérique, mais sans avoir le moindre droit (à la consultation, à l’influence) garanti.

 

Pour illustration, cet incident survenu en 1973 avec, comme figurant principal, le Premier ministre britannique Edward Heath. Imaginons la scène. Le chef du gouvernement du Royaume-Uni débat tranquillement à la Chambre des Communes lorsqu’il apprend, par la voie d’une dépêche d’agence de presse, que son grand allié US vient de déclarer l’alerte nucléaire globale. C’est la douche froide. Loin d’avoir été consulté auparavant, le fidèle britannique n’a même pas été informé correctement.

 

Tous les arrangements et discours sur le « partage » dans l’OTAN n’ont donc été que des usines à gaz et des paroles en l’air. L’Amérique n’en faisait, en n’en fera, qu’à sa tête. S’agissant de ses bombes à elle, c’est d’ailleurs le minimum qu’elle doit à ses propres citoyens.

 

*Les Ecossais seront appelés aux urnes pour décider de leur séparation (ou pas) du "rUK" (reste du Royaume-Uni) lors d'un « référendum sur l'indépendance » le 18 septembre 2014. Dans cette perspective, le SNP avait changé sa position traditionnelle anti-OTAN lors de son Congrès en octobre 2012 (avec une courte majorité de 394 contre 365 votes des délégués), et propose maintenant qu'une Ecosse indépendante reste dans l'Alliance.

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 13:50
Un groupe de l’OTAN s’entraîne avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement Var

 

29/11/2013 Marine nationale

 

Le 23 novembre 2013, le Standing NATO Maritime Group2 (SNMG2) a mené un exercice d’abordage du bâtiment de commandement et de ravitaillement Var, point culminant de 4 mois d’entraînement intense qui a montré l’interopérabilité des trois bâtiments du groupe.

 

Le navire-amiral du groupe, la frégate espagnole Alvaro  de  Bazan, et les 2 autres membres, les frégates allemande Sachsen et turque Salihreis, ont agi comme une unité unique au cours d’un exercice coordonné sur le pétrolier-ravitailleur, faisant la démonstration des compétences nécessaires pour faire face aux défis existant en Méditerranée pendant les opérations de sécurité maritime.

 

Les trois bâtiments ont réagi fortement et rapidement au scénario, atteignant en toute sécurité la position proche nécessaire pour mener la visite et la saisie d’un navire soupçonné de conduire des activités illégales. Le scénario a été conçu pour suivre l’application typique de la convention de la Loi de la mer.

 

Pendant que des embarcations approchaient du navire suspect, un hélicoptère et des tireurs d’élite gardaient un œil attentif sur les menaces visant l’équipe de visite. En moins de 45 minutes, le navire de commerce suspect était sécurisé.

 

« Je suis très satisfait que cette équipe de trois navires soit devenue capable d’agir comme une unité unique, » a déclaré le commandant du SNMG2, le contre-amiral Eugenio Diaz del Rio.

 

Le SNMG2 vient de terminer six mois de participation à l’opération Active Endeavour de lutte contre le terrorisme en Méditerranée, et va bientôt prendre le commandement de l’opération Ocean Shield de lutte contre la piraterie en océan Indien.

Un groupe de l’OTAN s’entraîne avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement Var
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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 13:50
Un groupe de l’OTAN s’entraîne avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement Var

 

29/11/2013 Marine nationale

 

Le 23 novembre 2013, le Standing NATO Maritime Group2 (SNMG2) a mené un exercice d’abordage du bâtiment de commandement et de ravitaillement Var, point culminant de 4 mois d’entraînement intense qui a montré l’interopérabilité des trois bâtiments du groupe.

 

Le navire-amiral du groupe, la frégate espagnole Alvaro  de  Bazan, et les 2 autres membres, les frégates allemande Sachsen et turque Salihreis, ont agi comme une unité unique au cours d’un exercice coordonné sur le pétrolier-ravitailleur, faisant la démonstration des compétences nécessaires pour faire face aux défis existant en Méditerranée pendant les opérations de sécurité maritime.

 

Les trois bâtiments ont réagi fortement et rapidement au scénario, atteignant en toute sécurité la position proche nécessaire pour mener la visite et la saisie d’un navire soupçonné de conduire des activités illégales. Le scénario a été conçu pour suivre l’application typique de la convention de la Loi de la mer.

 

Pendant que des embarcations approchaient du navire suspect, un hélicoptère et des tireurs d’élite gardaient un œil attentif sur les menaces visant l’équipe de visite. En moins de 45 minutes, le navire de commerce suspect était sécurisé.

 

« Je suis très satisfait que cette équipe de trois navires soit devenue capable d’agir comme une unité unique, » a déclaré le commandant du SNMG2, le contre-amiral Eugenio Diaz del Rio.

 

Le SNMG2 vient de terminer six mois de participation à l’opération Active Endeavour de lutte contre le terrorisme en Méditerranée, et va bientôt prendre le commandement de l’opération Ocean Shield de lutte contre la piraterie en océan Indien.

Un groupe de l’OTAN s’entraîne avec le bâtiment de commandement et de ravitaillement Var
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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 17:50
Visite de l’ambassadeur de France au Centre d’Excellence de Cyber-défense de l’OTAN à Tallinn, le 8 novembre 2013

Visite de l’ambassadeur de France au Centre d’Excellence de Cyber-défense de l’OTAN à Tallinn, le 8 novembre 2013

 

 

26 novembre 2013 ambafrance-ee.org

 

Le 8 novembre, l’ambassadeur a visité le Centre d’Excellence de Cyber-défense de l’OTAN à Tallinn. Il était accompagné du commissaire capitaine Pascal Brangetto, officier français affecté au centre en tant que conseiller juridique, et d’une délégation d’élèves de l’école de Saint-Cyr. Le directeur du centre, le colonel Artur Suzik, a conduit la visite et a répondu à leurs questions.

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 13:35
photo  UK MoD

photo UK MoD

 

GRAFENWOEHR, Germany, Nov. 29, 2013 – By Denver Beaulieu-Hains / 7th U.S. Army Joint Multinational Training Command

 

In 2014, Operation Enduring Freedom becomes a new operation called Resolute Support and during Europe's recent combat training conference, the top brass of more than 35 nations outlined a way ahead that involves combined and joint training provided by the Joint Multinational Training Command here.

 

' There was a lot of discussion about the coming ISAF [International Security Assistance Force] and NATO operational transition in Afghanistan,' said Army Col. Thomas S. Matsel, the G3 or chief of operations at the JMTC.

 

"NATO is going to transition" from its ISAF operations centered in Afghanistan to a contingency force, Matsel said.

 

Since JMTC's training events regularly include multinational participation, the discussion is different at other Army combat training centers, Matsel said.

 

'They are mainly concerned with Title 10 training [training for U.S. troops]. Their focus is on U.S.-based Army units and their ability to conduct combat or contingency operations,' he said. 'We have that responsibility with our Title 10 forces also, but JMTC, the training command for the U.S. Army Europe also has the task to make sure U.S. Army units are well integrated with our NATO and multinational partners and the place where that happens, and is tested, is here in Europe during our multinational training and exercises.'

 

Simultaneously, at the Hohenfels Training Area in Germany, the exercise Combined Resolve looks at the post-ISAF relationship and the potential for future coalition operations. The training brought U.S. forces and those of Bulgaria, Croatia, the Czech Republic, France, Norway, Poland, Serbia, Slovenia, and Sweden together to challenge systems and develop cultural understanding and trust.

 

'The training … is exactly in harmony with what we want to attain in the whole of NATO. After years of training concentrated on Afghanistan, we again want to pay attention to the training of fundamental military activities,' the Czech Republic's chief of staff Petr Pavel said about the training. 'For us this means training in an environment that we are by no means capable of replicating in domestic conditions."

 

Pavel said his Army benefits by training with the modern equipment and training facilities available at Hohenfels, as well as the professional cadre of observers, coaches, and trainers.

 

"We do not have the technical means to assess the training available here [in the Czech Republic] and we aren't capable of ensuring the multinational participation,' he said.

 

A multinational exercise is planned every month for the next year. The next exercise is slated for Dec. 7-17. The New Jersey National Guard will train at the Hohenfels Training Area with more than seven multinational partners.

 

'It's important to remember some of the best and most capable security forces in the world are right here in Europe and we must build on the past 10 years of combat operations with our NATO and multinational partners so we are ready for the next emergency or contingency,' Matsel said.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:50
Baltic Air Policing 2013 - Belgische F-16's

28 nov. 2013 Belgian Defense

 

Depuis le 3 septembre 2013, quatre de nos F-16 font respecter l'espace aérien de l'Estonie, de la Lettonie et de la Lituanie. Présents jusqu'au 3 janvier 2014, nos 50 militaires sont basés à Siauliai, dans le nord de la Lituanie, pour l'opération Baltic Air Policing.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:40
Russie-Otan: rencontre ministérielle le 4 décembre (Alliance)

 

BRUXELLES, 27 novembre - RIA Novosti

 

L'Alliance atlantique confirme la tenue d'une rencontre ministérielle du Conseil Russie-Otan le 4 décembre et s'attend à la participation des chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry, a annoncé mercredi à RIA Novosti un porte-parole de l'Otan.

 

"Je confirme qu'une réunion ministérielle du Conseil Russie-Otan aura lieu le 4 décembre à Bruxelles. Nous y attendons le ministre (russe des Affaires étrangères Sergueï) Lavrov et le secrétaire d'Etat (américain John) Kerry, mais cette dernière information doit être confirmée par les représentations diplomatiques", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

 

Lors de la prochaine réunion ministérielle des pays membres de l'Otan, il s'agira de la préparation du futur sommet de l'Alliance prévue en Grande-Bretagne en septembre 2014.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 08:50
Building the Shield

Is there a project manaEuropean Protection: The Medium Extended Air Defense System is one candidate for Poland's proposed new air defense system. (MEADS International)

 

Nov. 26, 2013 - By JAROSLAW ADAMOWSKI and TOM KINGTON – Defense News

 

European Nations Cooperate With US, NATO Allies On Missile Defense

 

WARSAW AND ROME — As NATO intensifies its efforts to shield Europe from airborne threats, numerous countries are aiming to bolster their missile defense capabilities at the national level and as part of collective allied efforts. Those plans are centered on NATO’s missile defense shield and the Medium Extended Air Defense System (MEADS).

 

Poland plans to modernize its anti-aircraft and anti-missile system by 2022 by adding short- and middle-range missiles. The program is estimated to be worth as much as 26.4 billion zloty (US $8.4 billion), according to figures obtained by local daily Gazeta Wyborcza, which makes it the country’s largest armament program.

 

With multibillion-dollar procurements in the pipeline, Defense Min­ister Tomasz Siemoniak announced that US Secretary of State John Kerry’s Nov. 4-6 visit to Poland was related to Poland’s military modernization prog­ram and potential arms acquisitions.

 

The two countries’ missile defense cooperation was also high on the agenda, with SM-3 Block IIA interceptor missiles planned to be deployed at Poland’s air base in Redzikowo.

 

Kerry and Siemoniak visited the Polish military’s 32nd Tactical Air Base in Lask, in central Poland. During his visit, Kerry said the US did not intend to abandon its missile defense plans in Europe, and that in 2018, the Poland-based component of the missile shield would be operational.

 

“Poland and Europe need the United States to be strong and present, leading an [alliance] which is based on collective reliability of its members and the development of real military capacities,” Siemoniak said. “This is why we support the missile defense program by hosting on our soil a base which is to be set up in 2018 in Redzikowo.”

 

For its national missile defense efforts, the Polish Army wants local manufacturers to cooperate on the program with foreign defense players.

 

One of the first of a series of procurements for the Polish missile program will be a midrange anti-aircraft and anti-missile system, dubbed Wisla.

 

With the planned purchase in mind, in June the Defense Ministry invited companies to participate in a dialogue on technical and strategic requirements for the procurement.

 

Fourteen foreign and domestic manufacturers expressed interest in participating in the Wisla project, including Northrop Grumman, Raytheon and Boeing of the US; France’s Thales; Italy’s Selex; Turkey’s Aselsan; Spain’s Indra and Sener; Israel’s SIBAT; and a consortium led by the Polish Defense Holding.

 

Poland Could Join MEADS

 

MBDA submitted two bids, one based on the Aster-30 medium-range air-defense missile and one developed around the MEADS, a partnership of the US, Italy and Germany. With the US Army withdrawing from the project, Poland could become the third European partner should it hand the missile defense contract to MBDA.

 

Acquisition of the MEADS anti-missile system was canceled by the US, but officials with the industrial team behind it, comprising Lockheed Martin and MBDA, said Poland could yet sign up to join Rome and Berlin.

 

Polish officials attended a test firing against two simultaneous targets in the US in November, which marked a climax of the program’s development phase before the US ends its funding.

 

A MEADS team also gave officials in Poland a briefing at the end of August, one of a number of briefings given by competitors that wrapped up on Sept. 30 and could lead to a selection by Poland in January of anti-missile systems, said Marty Coyne, business development director for MEADS International.

 

Although it is unclear whether Italy and Germany will push on with acquisition after the departure of the US from the program, Coyne said the two countries were planning to “transition to European development” work by the end of 2014.

 

“We have offered Polish industry the chance to be a partner in that development, which involves software work and qualification,” he said.

 

The cost of that development work would run 10 to 15 percent of the $4 billion cost of the program., Coyne added.

 

According to the scenario in which Poland, Italy and Germany wrap up development together, Lockheed would remain an “active participant,” and the US government would remain a “signatory” to the program, Coyne said.

 

Aegis Ashore in Romania

 

Romania is another key country in NATO’s missile defense plans. In late October, construction of a facility to host the Aegis Ashore missile defense system was launched in Deveselu, in the country’s south.

 

Aegis Ashore is the land-based component of the Aegis ballistic missile defense (BMD) system. The Romania-based facility will be part of NATO’s missile shield over Europe, with the Aegis BMD and SM-3 Block IB set to provide ballistic missile coverage of southern Europe, according to the Pentagon’s Missile Defense Agency.

 

Under the plan, the missile interceptors in Deveselu are expected to be operational in 2015. The project is worth about $134 million

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:50
Conférence des Commandeurs Maritimes de l’OTAN – interventions françaises a MARCOMET 2013

 

 

26/11/2013 Marine nationale

 

Les 20 et 21 novembre derniers se tenait à Londres la conférence des commandeurs maritimes de l’OTAN. Il s’agissait pour tous les commandants de forces et de théâtre des nations maritimes, comme des commandants des principaux états-majors, de l’Alliance Atlantique, de faire le point sur les grands défis de la maritimisation. Après avoir évoqué les principaux théâtres d’intérêt pour l’OTAN, les participants ont analysé l’impact des enjeux maritimes sur des marines aux moyens toujours plus comptés.

 

La France y était représentée par le vice-amiral d’escadre Yves Joly, en sa qualité de commandant en chef pour la zone Méditerranée ainsi que le vice-amiral d’escadre Philippe Coindreau, commandant de la Force d’action navale. Ce dernier était l’un des orateurs attendus sur la préparation au combat des équipages. L’amiral Coindreau y a rappelé les principes sur lesquels fonder l’entraînement afin que nos forces soient prêtes à l’action même dans les circonstances extrêmes.

 

Cette conférence était pour la première fois organisée par le commandement maritime de l’OTAN (MARCOM). Ce dernier est, depuis le 1er décembre 2012, le point focal de l’action et de la réflexion maritime de l’Alliance Atlantique. Situé dans la banlieue ouest de Londres, cet état-major interalliés dirige les opérations maritimes de l’OTAN, notamment la lutte contre la piraterie dans l’océan Indien (opération OCEAN SHIELD) ainsi que la lutte contre le terrorisme en Méditerranée (opération ACTIVE ENDEAVOUR). Il se tient prêt à prendre le commandement de la composante maritime d’opérations interarmées qui viendraient à être décidées par le Conseil de l’Atlantique Nord. Le MARCOM est placé sous l’autorité d’un amiral Britannique dont le commandant en second est un amiral français, le vice-amiral d’escadre Christian Canova.

 

35 officiers et officiers mariniers français y sont affectés formant le deuxième contingent de cet état-major de 300 personnes. « Plus que jamais, les marines alliées doivent apprendre à opérer ensemble, le MARCOM est une place de choix pour les marins Français qui y sont affectés : ils apportent une contribution opérationnelle remarquée tout en se formant », rappelle l’amiral Canova.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:45
Piracy in the Gulf of Guinea not given the attention it deserves

Nigerian Navy Rear Admiral Emmanuel Ogbor at the MCSA conference

 

26 November 2013 by Dean Wingrin - defenceWeb

 

Despite the rise in piracy in the Gulf of Guinea and the west coast of Africa, international attention is still focused on Somalia and the Horn of Africa on the east African coast, with experts saying West Africa is not attracting the type of attention that it deserves.

 

This was the thread of the opening keynote speakers at the two-day Maritime and Coastal Security Africa 2013 conference which commenced at the Cape Town International Convention Centre on Monday. The conference is being attended by 500 local and international naval, academic and industry members to discuss the price of piracy in Africa and approaches towards maritime governance, risk and defence in the African maritime environment.

 

R Adm Ben Bekkering (Netherlands Navy) was Commander of Task Force 508, NATO's contribution to the international counter piracy effort in the waters around Somalia, during 2012. He noted that the last successful pirate attack on a commercial ship off Somalia was on 10 May 2012. However, small fishing dhows are still being hijacked, principally for use by pirates as mother ships.

 

“If you talk about complex maritime security issues,” Bekkering told the conference, “then I would say that the waters of the Gulf of Guinea are far more complex than the piracy problem we face off Somalia.”

 

R Adm Emmanuel Ogbor, Chief of Policy and Plans of the Nigerian Navy, provided a detailed overview of the piracy threat in the Gulf of Guinea. He noted that seafarers are becoming increasingly weary of using the seas in the Gulf of Guinea, with piracy levels comparable to that off the Somali coast.

 

While all the major powers of the world are mobilised in a concerted effort to clear the coast of Somalia of piracy, Ogbor observed that there exists the need for the member States of the Gulf of Guinea not to allow their territorial waters to repeat that of Somalia and to forge a concerted effort to stem piracy.

 

As R Adm Hanno Teuteberg, Chief Director Maritime Strategy for the SA Navy said in his opening address on behalf of V Adm Johannes Mudimu (Chief of the SA Navy), security remains a State activity.

 

This, Ogbor explained, will call for member states to strengthen their capacities.

 

Both the Gulf of Aden and the Gulf of Guinea are crucial transit areas for international shipping and both are vulnerable to pirate attacks. However, Ogbor explained that the root causes of piracy in the two areas were different. Whilst the cause of piracy around the Gulf of Aden can be traced to the collapse of the Somali central government following years of civil war, that off the West African coast is due to weak and bad governance, precarious legal frameworks and poor law enforcement.

 

The Somali pirates are able to anchor their hijacked vessels along the Somali coastline and keep their crew in plain sight for long periods. The pirates are only interested in returning the hijacked vessel, its cargo and crew back to the shipping company in return for ransom.

 

The situation in the Gulf of Guinea is very different. As West African governments still have control of their territorial coastlines, pirate attacks cannot take place in plain sight. The main driver of piracy in this area is the regional oil black market, where the vessels are not taken, just the cargo. Illegal oil buyers and arms traders make the region more dangerous for oil tankers and general cargo vessels.

 

James Fisher, CEO of Paramount Naval Systems, told defenceWeb that piracy threatens more than just oil and gas assets, with criminal gangs at sea responsible for drug trafficking, arms smuggling, dumping of toxic waste, illegal bunkering and illegal fishing.

 

Indeed, it is estimated that one piracy attack a day has occurred in Gulf of Guinea in 2013. This figure is set to rise to two a day in 2014.

 

To combat this increasing threat, the Nigerian Navy is obtaining additional off-shore patrol vessels as well as instituting a local ship building programme.

 

As a result of the Nigerian Navy’s enhanced presence at sea, Ogbor was delighted to announce that over 14 vessels had been arrested in the last ten months whilst engaged directly or indirectly in acts of piracy.

 

Whilst numerous local and regional agreements to combat the piracy threat have been signed by West African states, there still remain a number of challenges. Chief amongst these is a lack of capacity to detect or gather timely intelligence about pirate or other illegal activities in the maritime environment and the lack of inter-operability and synergy amongst regional countries to share information.

 

Other challenges include inadequate capability and vessels, infrequent patrols and lack of training or equipment for boarding operations.

 

The varying legal frameworks and procedures amongst counties was also hampering law enforcement.

 

All was not bad news. Nigeria and Benin have signed a bi-lateral agreement for combined patrols, whilst the Economic Community of West African States (ECOWAS) has established a Maritime Zone to combat piracy. Agreement has been reached for the establishment of a Joint Operations Coordination Centre in the pilot Zone E (Benin, Niger, Nigeria and Togo) to coordinate all maritime security activities. This, together with a new multi-national headquarters and a Code of Conduct on the prevention of piracy shows a growing commitment in West Africa to counter piracy in the Gulf of Guinea.

 

ECOWAS is also working with the Economic Community of Central African States (ECCAS) in terms of maritime domain awareness.

 

Whilst the East African response to piracy has relied on international assistance, West Africa has seen more regional cooperation.

 

“We are seeing a good African led response to dealing with the matters at sea in the Gulf of Guinea,” said Prof Francois Vrey of the Faculty of Military Science, Stellenbosch.

 

Whilst the international community is focused in the Horn of Africa, attention is slowly shifting to the west, with the International Maritime Organisation (IMO) set to discuss piracy and the maritime security threat in West Africa this week.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:35
Afghanistan: sans signature de traité, plus de soldats ni d'aide (USA)

 

WASHINGTON, 26 novembre - RIA Novosti

 

Les Etats-Unis entendent commencer à prévoir un après-2014 où les troupes américaines ou de l'Otan ne seraient plus présentes en Afghanistan si le président Hamid Karzaï ne signe pas sans tarder un traité bilatéral de sécurité (BSA), annonce mardi la Maison-Blanche.

 

"Le président Karzaï a posé de nouvelles conditions à la signature du traité et a laissé clairement entendre qu'il n'était pas prêt à le signer immédiatement", lit-on dans le communiqué.

 

Lors d'une rencontre lundi, le président afghan et la conseillère à la Sécurité nationale du président américain Barack Obama, Susan Rice, en visite à Kaboul, n'ont pas réussi à s'entendre sur la signature d'un traité de sécurité entre les deux pays qui doit définir les modalités d'une présence militaire américaine en Afghanistan après le départ des 75 000 soldats de l'Otan, fin 2014, qui fait craindre une flambée de violences dans le pays, en partie contrôlé par les talibans.

 

Mme Rice "a répété que sans signature rapide, les Etats-Unis n'auraient pas d'autre choix que de commencer à prévoir un après-2014 où les troupes américaines ou de l'Otan ne seraient plus présentes en Afghanistan". Elle a également laissé planer une menace sur les promesses d'aide faites auparavant par l'Otan à l'Afghanistan.

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 19:50
L'Otan lance son plus important exercice de cyber-défense en Estonie

 

26/11/13 - 7sur7.be (Belga)

 

L'Otan a lancé mardi en Estonie un vaste exercice de cyber-défense, le plus important du genre destiné à contrer des cyber-attaques massives et simultanées contre les Etats membres et leurs partenaires.

 

"Les cyber-attaques sont une réalité quotidienne et elles sont de plus en plus sophistiquées et complexes", a déclaré dans un communiqué Jamie Shea, Secrétaire général adjoint délégué pour les défis de sécurité émergents à l'Otan. "L'Otan doit faire face à cette menace en évolution", a-t-il dit.

 

Quelque 400 experts des technologies de l'information et spécialistes juridiques ainsi que les représentants des gouvernements participent à cet exercice qui a pour nom de code "Cyber coalition 2013", prévu pour durer trois jours.

 

Au total, plus de 30 pays européens sont représentés.

 

La cyber-défense fait partie des quatre secteurs prioritaires identifiés par la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton pour renforcer la défense européenne dans la perspective du sommet de l'UE les 19 et 20 décembre, consacré à la défense dans un contexte de baisse générale des budgets militaires.

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 08:35
US-Afghan Security Deal Covers More Than Military Cooperation

 

Nov. 25, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Deutsche Welle German radio; issued Nov. 24, 2013)

 

After four days of debate, an overwhelming majority of Afghanistan's Loya Jirga voted to endorse allowing US troops to stay in the country after the end of the NATO mission there in 2014. The security agreement required for such a move calls for some 18,000 US troops to remain in Afghanistan to continue training and consulting Afghan military and security forces. The deployment of the German army to Afghanistan after 2014 also depends on the agreement being enacted.

 

Some of the conditions set by the United States created a stir, including the demand that US soldiers answer to their own courts rather than the Afghan justice system when charged with human right violations or other crimes.

 

The 2,500 members of the Loya Jirga represent Afghanistan's most important political and social leaders. But the council's decisions are not legally binding and the security agreement will require approval of both houses of parliament and the president's signature before it can go into effect.

 

"I expect parliamentary approval to be a formality," Nils Wörmer of the Konrad Adenauer Foundation in Kabul told DW. While the Loya Jirga carries a great deal of influence in Afghanistan, it remains unclear how President Hamid Karzai will act, Wörmer added.

 

In a speech at the end of the council meeting, Karzai said he accepted the gathering's decision but also set clear conditions on what it would take for him to agree to a security deal with the United States. "Only when Afghanistan has a lasting peace and the Americans stop raiding Afghans' homes will I sign the agreement," he said.

 

The United States had called on Karzai to sign the agreement immediately so US forces would be able to confidently lay out their future plans in the country. There are currently about 48,000 troops in Afghanistan with some 27,000 more in the country as part of an international mission to the country.

 

A spokesman for the US embassy in Kabul said the United States was of the opinion that "both countries would benefit" when the security agreement is enacted as quickly as possible.

 

In addition to the United States, the chair of the Loya Jirga is also pushing for the deal to go into effect quickly. Council head Sibghatullah Mojaddedi pulled no punches expressing his views. "If Karzai does not sign the security agreement, I will resign from all my offices and leave Afghanistan in matter of two to three days."

 

The decision made by the council of tribal chieftains and elders sends a clear signal, Wörmer said. "The endorsement of the Loya Jirga is so strong that Karzai would have a difficult time defying it."

 

It remains unclear to many observers just what policy Karzai is aiming for, according to Wörmer. He added that many Afghan observers were left shaking their heads over an interview Karzai gave to the BBC in early October, in which the president said NATO did not bring stability to Afghanistan and questioned the military alliance's mission in his country.

 

Ahead of the Loya Jirga, Karzai set a number of new conditions for a security deal and went as far as to say there was no guarantee that such a deal would even come into effect. Wörmer said he thought Kazai's statement was aimed at getting the best deal possible from the US while at the same time emphasizing Afghanistan's sovereignty.

 

Who bears responsibility?

 

There was, however, another reason Karzai wanted to hear from the Loya Jirga on the issue of a security pact, according to Marion Regina Müller, head of the Heinrich Böll Foundation's office in Kabul.

 

"Karzai did this because he wanted to spread responsibility for this on to many other people," she said.

 

Many countries have expressed their approval for the Loya Jirga's decision. "For the security and further development of the country, particularly the financing of the security forces, the agreement represents a very important step," said Müller.

 

A security agreement will also prove important for civilian life in Afghanistan. "The decision is primarily important for many participants in civil society, like the groups that fight for human rights," she said. "This decision makes it possible for them to continue their work."

 

"Supporters see that additional civilian aid, as well as the financing of their own security forces, depends on the military deployment," Wörmer added.

 

But there are also those who oppose the deal endorsed by the Loya Jirga. Critics have said the prolonged presence of US troops in Afghanistan would extend the war raging in the country.

 

Mixed feelings in Pakistan

 

There were mixed reactions to the decision from Pakistan. As Afghanistan's neighbor and a haven for Taliban fighters, Pakistani leaders were playing close attention to the Loya Jirga.

 

"We want all US and NATO military forces to leave Afghanistan," said a spokesman for the conservative Jamaat-e-Islami party. "The decision of the Loya Jirga was dictated by the Americans."

 

Afghanistan expert Usman Qazi denied that in statement. "It's laughable to claim that hundreds of delegates to the Loya Jirga, which represents different clans in Afghanistan, could be forced into making a decision by the United States. There is no reason for Islamabad to oppose this decision. Like every sovereign state, Afghanistan has a right to make its own decisions."

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 13:35
Afghanistan : focus sur le « Combined Air Terminal Operations »

 

 

25/11/2013 Sources : EMA

 

Parmi les 500 militaires français présents en Afghanistan, près de 80 sont employés au sein des services de l’aéroport militaire international de Kaboul (KAIA), commandé par le général de brigade aérienne Olivier Taprest. Dirigé par un officier français de l’armée de l’air, le Combined Air Terminal Operations (CATO) est un service de transit aérien multinational dont le commandement de l’aéroport ne peut se passer.

 

Le CATO est un service qui opère dans le périmètre militaire de l’aéroport de KAIA. Sa mission est de prendre en charge les passagers civils et militaires, ainsi que le fret de la force, au départ et à l’arrivée des vols. Le CATO a en charge trois secteurs : le contrôle opérationnel, la gestion du fret, le transbordement au sein de l’aérogare.

 

    Le contrôle opérationnel pour lequel il fait la liaison entre les opérations militaires de l’aéroport d’un côté, les spécialistes cargo et l’aérogare passagers de l’autre. Il veille à coordonner les informations qu’il reçoit des deux parties. Cinq personnes, dont un Français, y travaillent en permanence.

    La gestion du fret avec les spécialistes cargo (CATO Cargo). Composée de dix-sept spécialistes européens, dont un Français, l’équipe travaille sur les parkings et taxiways de l’aéroport pour peser, charger et décharger le fret des avions civils et militaires de l’ISAF. A l’équipe de spécialistes s’ajoute huit Afghans en formation permanente. Ces derniers seront amenés, à agir de façon autonome, dans la logique de transition du fonctionnement de l’aéroport.

    Le transbordement au sein de l’aérogare passagers. L’aérogare est le point d’entrée et de sortie du théâtre pour une grande partie du personnel de toutes les nations travaillant au service de l’ISAF. Une équipe multinationale est en charge du transbordement des passagers et de l’enregistrement comme le ferait un aéroport civil. Au total, 650 passagers par jour transitent par l’aérogare et sont ainsi pris en charge.

 

Le CATO est dirigé par un officier français, intégré au sein de l’ISAF. Son rôle est de coordonner l’ensemble des secteurs d’action du CATO, en tant qu’officier de liaison transit. Dès qu’un avion est sur zone, il doit également faire l’interface entre l’équipage et les autorités aéroportuaires.

 

500 militaires sont chargés de poursuivre l’engagement français jusqu’à la fin de la mission de l’ISAF en 2014, à travers notamment le commandement de l’aéroport de KAIA, le fonctionnement de l’hôpital médico-chirurgical militaire français de KAIA, des missions de formation au profit de l’armée nationale afghane, la participation aux fonctions d’état-major dans les structures de l’ISAF et le commandement du laboratoire européen contre-IED.

Afghanistan : focus sur le « Combined Air Terminal Operations »
Afghanistan : focus sur le « Combined Air Terminal Operations »
Afghanistan : focus sur le « Combined Air Terminal Operations »
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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 12:50
Des éléments du 2è régiment de dragons

Des éléments du 2è régiment de dragons

 

17 novembre 2013 Par Olivier Fourt

 

La lutte contre les armes nucléaires et chimiques n'appartient pas au passé. Principale menace durant la Guerre froide, elle prend aujourd'hui de nouvelles formes. En France un régiment spécialisé, le 2ème RD, s'est entraîné il y a quelques jours en Pologne avec ses partenaires de l'OTAN, dans le cadre de l'exercice Stead Fast Jazz.

Chronique Défense NRBC 17.11.13
(02:26)
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:35
Pas de décision sur la présence de soldats en Afghanistan après 2014

 

21 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Les Etats-Unis ont affirmé jeudi qu'ils n'avaient pas encore pris de décision sur le maintien ou non de soldats en Afghanistan après 2014, malgré l'accord de sécurité conclu avec Kaboul.

 

Nous n'avons pas encore déterminé si des soldats continueraient à être présents en Afghanistan à l'issue de la mission de combat de l'Otan fin 2014, a indiqué le porte-parole adjoint de la Maison Blanche, Josh Earnest.

 

Cette décision reviendra au président Barack Obama, et c'est une décision que le président n'a pas encore prise, a affirmé M. Earnest lors du point de presse quotidien de l'exécutif américain.

 

Il a remarqué qu'en février prochain, il y aurait environ 34.000 soldats américains en Afghanistan, et le retrait en cours continuera à descendre sous 34.000. Donc, nous parlons pour après 2014 de quelques milliers de soldats environ éventuellement maintenus sur place.

 

Ces soldats, si décision est prise de les maintenir, auront une mission très précise de formation et de lutte contre l'insurrection, a rappelé M. Earnest.

 

Le secrétaire d'Etat John Kerry et le président afghan Hamid Karzaï se sont mis d'accord mercredi sur un texte régissant la présence de soldats américains à partir de 2015.

 

Mais jeudi, les Etats-Unis ont prévenu l'Afghanistan qu'ils souhaitaient signer cet accord d'ici à la fin de l'année.

 

Nous devons avancer le plus vite possible pour signer cet accord bilatéral de sécurité (BSA), a déclaré la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki, répétant la nécessité de conclure d'ici à la fin de l'année 2013.

 

Le président Karzaï a de son coté déclaré jeudi que le traité, s'il est approuvé la Loya Jirga, grande assemblée traditionnelle, ne serait promulgué qu'après l'élection présidentielle du 5 avril.

 

Nous en sommes en train de chercher à y voir clair sur la signification et l'objectif de ces commentaires, a dit Mme Psaki à propos des déclarations du président afghan.

 

Pour nous, il n'est ni pratique, ni possible de retarder encore (la signature du BSA) en raison des incertitudes que cela provoquerait et parce qu'il serait impossible pour les Etats-Unis et leurs alliés de planifier leur présence après 2014, a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine.

 

Jusqu'à 15.000 soldats étrangers pourraient rester en Afghanistan après le retrait de la force de l'Otan fin 2014 si Kaboul signe un traité de sécurité avec Washington, avait annoncé auparavant le président Karzaï en estimant que cet accord pourrait ramener la stabilité dans le pays.

 

Quelque 75.000 soldats étrangers sont actuellement présents en Afghanistan dans le cadre la Force internationale de l'Otan (Isaf) dirigée par Washington, mais la grande majorité de ces troupes doit se retirer d'ici la fin 2014. Ce départ fait craindre une flambée de violences dans le pays, en partie contrôlé par les insurgés talibans.

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 17:50
Missile defence: state of play - SEDE

21-11-2013 SEDE

 

The SEDE subcommittee will hold an exchange of views with Roberto Zadra, Head of the Ballistic Missile Defence Section, NATO and Nikolay Korchunov, Acting Permanent Representative of Russia to NATO, on the state of play of missile defence.

 

When: 27 November 2013


Further information meeting documents

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 17:35
Afghanistan : jusqu'à 15'000 soldats étrangers pourraient rester après 2014

 

21.11.2013 Romandie.com (ats )

 

Le président afghan Hamid Karzaï a annoncé jeudi qu'entre 10'000 et 15'000 soldats étrangers pourraient rester en Afghanistan après le retrait de l'OTAN, fin 2014, si le traité bilatéral de sécurité avec les États-Unis est signé. Ce traité sera examiné jusqu'à dimanche par les 2500 délégués de la Loya Jirga.

 

Au total, "si (ce traité) est signé, entre 10'000 et 15'000 soldats (étrangers) resteront. Quand je dis "soldats", je ne parle pas seulement des Américains, mais également de troupes venant d'autres pays de l'OTAN, de pays comme la Turquie, ou d'autres pays musulmans", a dit M. Karzaï.

 

Le président afghan s'exprimait devant les 2500 délégués de la Loya Jirga, grande assemblée traditionnelle afghane, qui examinera jusqu'à dimanche à Kaboul un traité bilatéral de sécurité (BSA). Le texte a été négocié laborieusement pendant des mois entre les États-Unis et l'Afghanistan.

 

"Votre décision est attendue au-delà des frontières de l'Afghanistan", a lancé devant les délégués le président Karzaï, lors du discours d'ouverture de la Jirga.

 

Cette assemblée traditionnelle a lieu dans une vaste salle dans l'ouest de Kaboul. En raison des risques d'attentat des insurgés talibans, farouchement hostiles au maintien de troupes étrangères dans le pays, un dispositif de sécurité exceptionnel a été mis en place dans la capitale afghane.

 

Immunité de juridiction

 

Le traité bilatéral de sécurité doit établir les modalités d'une présence militaire américaine en Afghanistan au terme de la mission de combat de l'OTAN fin 2014. Mercredi, le secrétaire d'État américain, John Kerry, a annoncé s'être entendu avec le président afghan Hamid Karzaï sur les "termes" du BSA.

 

Kaboul a publié de son côté un projet d'accord selon lequel les soldats américains qui resteraient en Afghanistan après 2014 bénéficieraient de l'immunité de juridiction, principal point d'achoppement entre les deux pays.

 

S'il est approuvé par la Loya Jirga, le BSA sera ensuite transmis au Parlement, avant son éventuelle promulgation par le président Karzaï.

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