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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:50
photo Marine Belge

photo Marine Belge

 

12/11/2013 Marine nationale

 

Le vice amiral d’escadre Verwaerde, major général de la Marine, a assisté les 7 et 8 novembre 2013 à la réunion annuelle du Channel Committee (CHANCOM) à Bruges.

 

La première journée a été dédiée à la mémoire de la fin de la Première Guerre mondiale, notamment à travers la visite du musée « In Flanders Fields » à Ypres. La seconde journée a été consacrée aux échanges autour de sujets d’intérêt commun entre les pays membres du CHANCOM. Le cadre restreint de cette réunion permet une discussion ouverte et un partage d’idées. Cette année, les sujets principaux étaient les enjeux de sûreté aux frontières européennes, la dimension maritime de l’Union Européenne et de l’OTAN, la communication stratégique ainsi que la mutualisation (Pooling & Sharing).

 

Le major général de la Marine à la conférence annuelle du Channel Committee à Bruges

La Belgique, l’Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas sont membres du CHANCOM. En observateurs, participent l’Espagne, l’Italie et le Portugal, ainsi que des représentants de l’Union Européenne et de l’OTAN. Instance dotée d’une présidence annuelle tournante, la Belgique a passé le relais à l’Allemagne dès la fin de la réunion.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 00:43
AH-64D de la force aérienne hollandaise engagé dans l’exercice CJPRSC à Cazaux, le mois dernier. (photo F. Lert)

AH-64D de la force aérienne hollandaise engagé dans l’exercice CJPRSC à Cazaux, le mois dernier. (photo F. Lert)

 

8 novembre, 2013 FOB

 

La Hollande s’apprête à renforcer la Minusma  au Mali, avec un contingent de 380 hommes. Plus important encore, Amsterdam va déployer au Mali quatre hélicoptères AH-64D Apache du 301 Squ. de la force aérienne hollandaise. De quoi apporter un sérieux punch aux troupes déployées dans le pays, à condition toutefois que les règles d’engagement permettent d’utiliser de façon efficace ces appareils.

 

La Hollande dispose depuis le début des années 2000 de 29 appareils (30 achetés moins un détruit en 2004 en Afghanistan) au standard block II le plus récent. Huit de ces appareils sont basés en permanence aux Etats Unis à Fort Hood, où ils servent à la formation des équipages hollandais, en lien étroit avec l’US Army.  Ces hélicoptères sont équipés de missiles Hellfire, de roquettes Hydra de 70mm et de leur canon de 30mm. Les Hollandais étudient actuellement l’intégration de roquettes guidées sur leurs appareils. Dommage pourtant que ces Apache ne soient pas équipés du radar Longbow comme le sont leurs homologues de l’US Army. Un radar qui aurait pu se révéler très utile pour la surveillance des vastes espaces du nord Mali, mais dont l’achat fut repoussé lors de l’achat de l’hélicoptère pour des raisons économiques.

 

Depuis leur mise en service, les Apache hollandais ont été engagés dans plusieurs opex : en 1998-1999 en Bosnie Herzégovine avec la SFOR. Puis en 2001, à Djibouti pour appuyer les militaires hollandais engagés dans les opérations de paix en Ethiopie et en Erythrée. Ils ont ensuite été envoyés en Irak pour y soutenir la SFIR (Stabilization Force in Iraq). De 2004 à 2010, les hélicoptères ont ensuite été longuement engagés en Afghanistan. Six appareils ont été basés dans un premier temps sur l’aéroport de Kaboul. Après la destruction d’un appareil sur accident, les cinq appareils restant ont ensuite été déplacés vers Kandahar puis  « Kamp Holland » dans la région de Tarin Kowt, dans le sud du pays. Ils y ont été utilisés pour appuyer les troupes de la coalition au sol, escorter les convois routiers et les autres hélicoptères. Les appareils sont finalement rentrés en Hollande à la mi novembre 2010, après avoir accumulé 7000 heures de vol en Afghanistan.

 

Dans le cadre de l’exercice CJPRSC qui se tenait à Cazaux en septembre dernier, le 301 Squadron de la force aérienne hollandaise a déjà pu travailler avec les hélicoptères de l’armée de l’air française sur des scénarios complexes de récupération de personnel et de sauvetage au combat. Le déploiement au Mali sera sans doute l’occasion de peaufiner la coopération avec l’Alat, dont trois Tigre restent à ce jour actifs au Mali. Il est prévu à ce stade que les troupes hollandaises restent dans le pays au moins jusqu’en 2015, et peut-être même au-delà.

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 18:45
photo defensie.nl

photo defensie.nl

 

06.11.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Dans le cadre de la MINUSMA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali), les Pays-Bas ont annoncé le 1er novembre l’envoi de quatre hélicoptères AH-64D Apache, de drones de surveillance ainsi que 380 militaires - dont des forces spéciales - sur le sol malien. Les premiers personnels devraient être sur place d’ici la fin de l’année et le déploiement devrait durer jusqu’à la fin de l’année 2015.

 

Les principales missions du contingent néerlandais consisteront à effectuer des missions de renseignement et de protection des troupes au sol pour les Apache. Des officiers de police seront également envoyés sur place afin d’aider à la formation des forces de police maliennes.

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 08:45
Source korpscommandotroepen.nl

Source korpscommandotroepen.nl

 

November 1, 2013. David Pugliese Defence Watch

 

THE HAGUE, Netherlands (AP) – The Dutch government is sending 368 troops to join a U.N. peacekeeping force in the conflict-torn West African nation of Mali, Prime Minister Mark Rutte announced Friday.

 

In a letter sent to Parliament, Foreign Minister Frans Timmermans said the Dutch contingent will include 220 troops, including 90 special forces commandos, who will take part in intelligence gathering and operate four Apache helicopters. Ten police officers and a small group of civilian support staff also will join the mission.

 

Sending soldiers to U.N. peacekeeping missions is an emotionally charged decision for the Dutch, who suffered a national trauma when the country’s soldiers were unable to prevent Bosnian Serb forces from storming the Srebrenica enclave in Bosnia in July 1995, and killing some 8,000 Muslim men and boys in the worst massacre on European soil since World War II.

 

Rutte said the decision to deploy Dutch troops was a tough one, but that “all lessons from previous missions have been learned.”

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 17:50
Généraux (belge et néerlandais) recherchent coopération

 

30/10/13 Stijn Verboven – mil.be

 

Le général-major Claude Van de Voorde, commandant de la Composante Air, et son homologue néerlandais, le lieutenant-général Alexander Schnitger, rendent visite à diverses unités aériennes belges et néerlandaises ces 30 et 31 octobre 2013.   

 

Photos(Jürgen Braekevelt)  >>

 

Pour ces généraux, ces visites sont l'occasion de manifester l'importance qu'ils accordent à une collaboration internationale. « Nous voyageons deux jours à un rythme soutenu afin de constater la situation en matière de coopération entre nos composantes aériennes, tout en évaluant d'autres possibilités pour la poursuivre », explique Schnitger. Un exemple de collaboration actuelle entre nos deux pays est la concrétisation de l'accord  binational relatif à l'école SERE (Survive, Evade, Resist, Extract) prévue sur la base aérienne de Beauvechain. Les deux nations planifient l'achèvement de sa construction en 2016.

 

Raison pour laquelle, les généraux confirment leur engagement dans une déclaration d'intention remise au capitaine Tom De Wilde, commandant du Combat Survival Centre (CSC). Cette entreprise est l'un des points majeurs de la future école SERE. Van de Voorde et Schnitger visitaient les bases de Glons, Beauvechain et Melsbroek ce 30 octobre. Le 31, la délégation se rendra aux Pays-Bas pour inspecter les principales installations aériennes du pays.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 11:55
L’«Île-de-France» participe à l’exercice CASALPS

Des pilotes de l'escadron de chasse 2/5 "Ile de France"

 

26/09/2013 Droits : Armée de l'air

 

Du 9 au 13 septembre 2013, l’escadron de chasse 2/5 «Île-de-France» a participé à CASALPS, exercice interarmées et interallié bi-annuel, consacré à l’appui aux troupes au sol en région montagneuse.

 

Organisée par le 93e régiment d’artillerie de montagne de Varces, cette édition automnale se tenait dans la zone du col du Galibier, au nord du massif des Écrins. Le scénario opposait, au sol, des troupes «savoyardes» à des troupes «haut-alpines», appuyées par des aéronefs des escadrons de chasse, notamment des Mirage 2000C du 2/5 «Ile-de-France».

 

CASALPS a permis d’entraîner les forces aériennes et terrestres au Close Air Support (CAS - appui aérien rapproché), dans un terrain de haute montagne typique des engagements récents (Afghanistan ou nord Mali).

 

Au total, près d’une vingtaine de patrouilles ont participé à la manœuvre, réalisant plus de 60 guidages au profit des forces terrestres françaises, italiennes et néerlandaises.

 

L’«Île-de-France» a, pour sa part, fourni un quart des sorties allouées à l’exercice, re-qualifiant une dizaine de pilotes, et démontrant ainsi, une nouvelle fois, les capacités du Mirage 2000C dans les missions air-sol.

L’«Île-de-France» participe à l’exercice CASALPS

Les troupes italiennes, néerlandaises et françaises ont participé à cet exercice

L’«Île-de-France» participe à l’exercice CASALPS

Des moyens de défense sol-air étaient également déployés

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:50
Le premier vol du premier F-35 hollandais a eu lieu le 6 août 2012

Le premier vol du premier F-35 hollandais a eu lieu le 6 août 2012

23 septembre 2013 par Pierre Sparaco – Aerobuzz.fr

 

Les Pays-Bas vont commander trente-sept F-35A Lightning II, alias Joint Strike Fighter. La Belgique en fera autant l’année prochaine, deux commandes qui confirmeront les grandes ambitions mondiales de l’avion de combat de Lockheed Martin.

 

C’est au terme d’une longue valse-hésitation que les autorités de La Haye ont décidé de consacrer 4,5 milliards d’euros au F-35A pour assurer le remplacement d’une partie de leurs F-16. Une commande complémentaire de plusieurs dizaines d’exemplaires est envisagée en un deuxième temps, pour autant que le budget de la Défense le permette.

Ce choix ne constitue en aucun cas une surprise, les Hollandais ayant de la suite dans les idées et ne résistant jamais à l’appel du grand large : ils ont en effet successivement commandé le Lockheed F-104G Starfighter, le Northrop F-5 puis le F-16, écartant systématiquement les propositions françaises qui leur étaient soumises. Les Belges ont été très influencés par cette manière de faire, aux dépens de l’Europe de la Défense, au point de multiplier les occasions manquées, à commencer par la possibilité qui leur avait été offerte par Dassault Aviation de prendre une participation de 10 % dans le développement et la production du Rafale.

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Le Pentagone et Lockheed Martin conduisent des négociations avec d’autres acheteurs potentiels, notamment le Canada, où le dossier est à l’origine d’une violente polémique politique. photo Lockheed-Martin

En Belgique, la situation est plus complexe qu’aux Pays-Bas. Sans indiquer le nombre d’exemplaires qui seraient commandés, Pieter De Crem, ministre de la Défense, a exprimé une préférence pour le F-35A, toute autre possibilité semblant écartée, Super Hornet, Rafale, Eurofighter ou Gripen NG. Mais il va se heurter à l’opposition du parti socialiste et, explique notre confrère Patrick Anspach, aux réticences de la Flandre. Ce qui revient à dire que l’inextricable fracture politico-linguistique qui mine la Belgique n’épargnera pas ce dossier.

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Le Pentagone prévoit de commander environ 2 400 F-35, dans ses trois versions, dans le cadre d’une opération d’une durée d’une cinquantaine d’années. photo Lockheed-Martin

Sabca, première entreprise aéronautique du royaume, va logiquement défendre les couleurs du Rafale, Dassault étant son actionnaire. Mais Asco, très influente, bénéficie de commandes de sous-traitance de Lockheed Martin et fera évidemment le choix contraire. D’où la perspective d’un affrontement violent qui, dans une certaine mesure, pourrait rappeler l’épique marché du siècle de 1975 : les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et la Norvège, après avoir renoncé au Tornado trop coûteux, avaient décidé de commander conjointement 348 avions pour tenter d’obtenir des conditions favorables et, notamment, des compensations économiques généreuses. Avec l’appui de Pratt & Whitney, General Dynamics l’avait emporté avec le F-16, qui n’était alors qu’un démonstrateur technologique, une défaite cuisante pour l’Europe.

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Ce mois-ci, Lockheed Martin a célébré le début de l’assemblage du 100e avion à Fort Worth, jadis siège de General Dynamics, créateur du F-111 puis du F-16. photo Lockheed-Martin

Le F-35, programme d’une ampleur considérable, a déjà été retenu par le Royaume-Uni, l’Australie, l’Italie, la Norvège, Israël et le Japon, le Pentagone prévoyant pour sa part d’y consacrer 857 milliards de dollars. En retard, hors budget, mais bénéficiant d’efforts de redressement impressionnants, le prix catalogue du F-35 serait descendu, semble-t-il, à environ 85 millions de dollars. Trois versions sont mises au point, F-35A « classique », F-35B à décollage vertical, F-35C destiné à être embarqué sur porte-avions.

La production est lancée, le centième exemplaire est actuellement visible sur la chaîne d’assemblage final de Fort Worth, dans le Texas, dans le grand hall de 1 600 mètres de longueur d’une usine propriété de l’Etat fédéral, vestige de l’effort de guerre de la Seconde Guerre mondiale. Une chaîne d’assemblage sera mise en place par Alenia Aermacchi, consacrant l’ancrage européen de l’opération.

 

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 11:50
Two Cougar helicopters in a mountainous area - source defensie NL

Two Cougar helicopters in a mountainous area - source defensie NL

Londres, le 24 septembre Turbomeca (Safran)

 

Turbomeca (Safran) a signé un contrat d’une valeur de 25 millions d’euros avec les Forces aériennes royales néerlandaises, portant sur la réparation, la révision et l’inspection de leurs moteurs Makila.

 

Ce contrat couvre les moteurs Makila 1A2, équipant actuellement les 17 hélicoptères AS532 Cougar des Forces aériennes royales néerlandaises. Ces hélicoptères ont notamment démontré toute leur capacité lors de missions en Afghanistan, de missions anti-pirates au large de la Corne africaine et de missions de luttes anti-incendie.

 

Comparé au Makila 1A1, le Makila 1A2 offre de meilleures performances et un taux de puissance continu grâce au calculateur électronique de régulation, l’EECU (Electronic Engine Control Unit).

* * * * *

 

Turbomeca (Safran) est le motoriste leader pour hélicoptères, avec la plus large gamme de moteurs au monde et 70 000 turbines de sa conception produites depuis l’origine de la société. Pour 2 500 clients répartis dans 155 pays, Turbomeca assure un service de proximité grâce à 16 établissements, 30 centres de maintenance certifiés et 18 centres de réparation & révision, et 90 représentants commerciaux et techniques. Le siège social est basé à Bordes (Pyrénées-Atlantiques). Microturbo, la filiale de Turbomeca, est leader européen des turboréacteurs pour missiles, engins-cibles et groupes auxiliaires de puissance.

Plus d’informations sur www.turbomeca.fr et www.safran-group.com

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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 07:50
Netherlands cuts F-35 fleet plan to 37 fighters

Sept. 17, 2013 by Craig Hoyle – FG

 

London - The Netherlands’ government has confirmed the selection of the Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighter to replace the nation’s aged F-16s, but its purchase is likely to be for fewer than half of the number of aircraft previously anticipated.

 

Included as part of a budget announcement made on 17 September, the decision will lead to the introduction of the nation’s first frontline examples at Volkel air base from 2019.

 

“The replacement will be carried out entirely within the previously reserved investment budget of €4.5 billion [$6 billion] and the current operating budget for the F-16, which amounts to €270 million per year,” the government says. “Based on the current insights, the available financial room is sufficient for the purchase of 37 aircraft.

 

“The defence organisation will from now on base its plans on that number, and will inform its partners in the F-35 programme accordingly.”

 

Previous plans had called for the Royal Netherlands Air Force to eventually receive up to 85 Joint Strike Fighters, but this total has for some time exceeded the size of its now-dwindling F-16 inventory. In its announcement, the government says a further seven of the current type will be withdrawn in 2014, cutting the fleet size to 61 aircraft, with three squadrons. The type will leave Dutch use in the mid-2020s.

 

Citing the need for “careful consideration and astute choices” during a time of budget pressure, the government notes: “Opting for a modest number of the best aircraft attests to a sense of reality.” The F-35 was selected on “operational, financial and economic grounds”, and “is also the most future-proof option”, it adds.

 

Noting that the unit price for its conventional take-off and landing F-35As is not yet known, it comments: “Should any unexpected major changes occur in terms of product, time or money, the project will be reviewed within the given financial parameters, if those changes exceed the margins of the project budget.”

 

However, the statement notes: “If, within the given financial parameters, room is created in the coming years to purchase more aircraft, the defence organisation will do so. This may be the case if the [10%] contingency reserve is not used in full and if the price per unit of the F-35 turns out to be lower than is currently expected.”

 

The air force should be able to manage effectively with its more capable F-35s, says the government, which is also eyeing potential savings to be made through “international co-operation in areas such as training, sustainment and deployment”. A proposed bilateral quick reaction alert agreement already being discussed with Belgium would also reduce the impact of maintaining such an air policing capability in both nations, it adds.

 

Pointing to a more than 30-year relationship established with the air force via the F-16, Lockheed says the F-35 will provide “the very best aircraft capabilities possible for the Netherlands’ national security”.

 

The positive decision should also clear the way for two test aircraft already delivered to support initial operational test and evaluation activities to be returned to flight status. The pair were grounded earlier this year, pending the outcome of the formal selection decision.

 

Other potential candidates for the Dutch F-16 replacement had included offers of the Eurofighter Typhoon and Saab Gripen.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 18:50
JSF Jet Fighter Purchase Gets Green Light After 18 Years: Telegraaf

Sept. 17, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Dutch News; published Sept. 17, 2013)

 

The Netherlands will go ahead with the purchase of the controversial JSF jet fighter, despite objections, the Telegraaf reports on Tuesday. The decision brings to an end 18 years of political dithering about the wisdom of spending so much money on an aircraft when the defence ministry is struggling to find €1.33bn in cuts, the paper says.

 

The Netherlands will buy 37 JSF jets which will keep the cost within the €4.5bn special budget set aside for the purpose. They will cost an additional €270m a year to keep in the air, the Telegraaf reports, quoting sources in The Hague.

 

Vision

 

Defence minister Jeanine Hennis-Plasschaert will confirm the buy when she unveils her vision for the future of the armed forces later on Tuesday, the paper says. Because of the careful budgeting, it is possible the Netherlands will buy more JSFs at a later stage, the Telegraaf said.

 

The JSF will gradually replace the aging F-16 fleet between 2019 and 2023. Earlier this month, sources said the Labour party, which had opposed the purchase of the JSF, was now in favour of the plan, clearing the way for cabinet approval. One Dutch jet is currently undergoing test flights and a second test aircraft is due to be delivered this year.

 

The issue has divided parliament for years, because of the high cost of the new American-built aircraft. There has also been criticism in the US over the mounting costs and delays.

 

Missions

 

A report by the Clingendael foreign policy institute earlier this year said an armed forces which includes the controversial JSF jet fighter is the least attractive scenario for the future of the Dutch military.

 

Clingendael says the JSF will only be needed if the Netherlands wants to take part in the opening phase of military interventions. The Netherlands rarely takes an active role.

 

But the high cost of the JSF will lead to ‘serious limitations’ to the country’s maritime operations – such as the role the Netherlands currently plays in protecting commercial shipping against pirates.

 

 

(EDITOR’S NOTE: If the Dutch budget of €4.5 billion will buy 37 aircraft, the average unit price works out to €121.6 million (approx. $158 million) per aircraft.

On the basis of annual operating costs of €270 million, the total operating cost of the fleet over 30 years works out to €8.1 billion, plus 30 years’ worth of inflation.

Of course, the Telegraaf story did not mention how any flight hours are included in the operating costs, so a more detailed analysis of the Netherlands’ cost estimates will have to wait for the defense minister’s official announcement.

It should be noted that the Netherlands originally planned to buy 85 F-35s.)

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 16:20
F-35A Lightning II joint strike fighters from the 33rd Fighter Wing at Eglin Air Force Base, Fla.,

F-35A Lightning II joint strike fighters from the 33rd Fighter Wing at Eglin Air Force Base, Fla.,

17/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En dépit des énormes surcoûts et des graves problèmes techniques du F-35, les Pays-Bas vont pourtant acheter 37 avions de combat de Lockheed Martin pour équiper leur armée de l'air.

 

En dépit des énormes surcoûts financiers et des graves problèmes techniques du F-35, les Pays-Bas vont finalement acheter 37 avions de combat de Lockheed Martin pour équiper leur armée de l'air, ont indiqué ce mardi à l'agence Reuters deux sources proches du dossier. La ministre néerlandaise de la Défense, Jeanine Hennis-Plasschaert, doit annoncer cette décision dans la journée de mardi dans un document définissant sa vision à long terme pour l'armée néerlandaise, qui tourne le dos à l'Europe. Initialement, La Haye devait acheter 85 F-35 pour remplacer une flotte vieillissante de F-16AM. Une décision qui sonne comme un nouvel échec politique pour les partisans d'une Europe de la défense et alors que même le Canada, fidèle allié des Etats-Unis, s'interroge sur l'achat de cet appareil.

Le gouvernement néerlandais a prévu 4,5 milliards d'euros dans son budget pour le renouvellement de sa flotte de chasse, auxquels il faut ajouter 270 millions d'euros de coûts d'entretiens d'annuels. Le F-35 Joint Strike Fighter a été conçu pour devenir le chasseur de nouvelle génération de l'US Air Force et des alliés des Etats-Unis, mais son développement a pris plusieurs années de retard en raison de problèmes techniques et d'une hausse des coûts, 70 % plus élevés que prévu. Si la commande de F-35 est confirmée, les Pays-Bas seraient le septième pays à faire confiance à Lockheed Martin après la Grande-Bretagne, l'Australie, l'Italie, la Norvège, Israël et le Japon. Washington essaie de convaincre le Canada de rejoindre cette liste. 

 

Le F-35, un appareil pour tuer l'industrie aéronautique européenne

Cet appareil devait remiser tous ses rivaux dans les musées, Rafale compris. Ce qui est loin aujourd'hui d'être le cas compte tenu de ses graves problèmes techniques. Et le F-35 avait également une mission officieuse : torpiller l'industrie aéronautique militaire européenne, notamment en France, seul pays à maîtriser l'ensemble des technologies pour développer et industrialiser un avion de combat, à l'exception de la Russie. "Pour mieux la vassaliser", rappelle un expert du ministère de la Défense.

"Il faut bien savoir que les Américains souhaitent casser notre industrie de défense pour accroître leur domination mondiale, car nous sommes leur seul concurrent ", expliquait dans l'indifférence générale en mai 2002 Serge Dassault dans une interview accordée à "La Tribune".

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 11:50
Les Pays-Bas vont acheter 37 chasseurs américains F-35

17/09/2013 Capital.fr

 

Les Pays-Bas vont acheter 37 chasseurs F-35 de Lockheed Martin pour équiper leur armée de l'air, ont indiqué mardi à Reuters deux sources proches du dossier.

 

La ministre néerlandaise de la Défense, Jeanine Hennis-Plasschaert, doit annoncer cette décision dans la journée de mardi dans un document définissant sa vision à long terme pour l'armée néerlandaise, ont-elles ajouté.

 

Le F-35 Joint Strike Fighter a été conçu pour devenir le chasseur de nouvelle génération de l'US Air Force et des alliés des Etats-Unis, mais son développement a pris plusieurs années de retard en raison de problèmes techniques et d'une hausse des coûts, 70% plus élevés que prévu.

 

Anthony Deutsch; Tangi Salaün pour le service français

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 07:50
AEHF Expands Global Communications for Allied Missions

Sep 12, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

    Netherlands Makes Call On Protected Communications Satellite

 

The Netherlands has become the second Advanced Extremely High Frequency (AEHF) international partner to communicate using the Lockheed Martin-produced [NYSE: LMT] satellite system. During July testing, for the first time three nations used the system simultaneously as The Netherlands connected to U.S., Canadian and domestic terminals.

 

AEHF provides vastly improved global, survivable, jam-proof, protected communications for strategic and tactical users on ground, sea and air platforms.

 

“AEHF’s ability to securely connect allies together is vital to current and future operations,” said Mark Calassa, vice president of Protected Communications Systems at Lockheed Martin. “We are hard at work delivering this global capability: Our fixed-price production builds are on schedule, we will launch a third satellite next week, and those users testing the system are extremely satisfied with this leap forward in capability.”

 

The U.S.-Canada-Netherlands team engaged AEHF-1 and AEHF-2 while completing test calls between international terminals. In separate tests, Dutch forces exchanged voice and data communications with the U.S. and Canada by connecting to the AEHF-2 satellite, crosslinking with AEHF-1 and downlinking to the U.S. Navy terminal in San Diego and a Canadian terminal at Shirley’s Bay, Ontario. By connecting with AEHF-2, The Netherlands also completed their first local AEHF call from ship to shore. Radios used in the tests include domestic and international versions of the Navy Multi-Band and Secure Mobile Anti-Jam Reliable Tactical (SMART-T) terminals.

 

The U.S. Air Force has been allowing select groups to use AEHF for testing as it fields the system, and the system has performed well as its user base grows with different terminal types. The Netherlands achievement follows Canada’s successful call in May. Both countries will continue testing for several months as they move toward initial operational capability. The United Kingdom is also scheduled to complete their first connection by the end of the year.

 

A single AEHF satellite provides greater total capacity than the entire legacy five-satellite Milstar constellation. Individual user data rates will increase five-fold, permitting transmission of tactical military communications, such as real-time video, battlefield maps and targeting data. In addition to its tactical mission, AEHF provides the critical survivable, protected and endurable communications links to national leaders, including presidential conferencing in all levels of conflict.

 

Lockheed Martin is under contract to deliver six AEHF satellites and the Mission Control Segment. Both AEHF-1 and AEHF-2 are on orbit, AEHF-3 was shipped for a September 18 launch and AEHF-4 is progressing on schedule. All satellites are assembled at the company’s Sunnyvale, Calif., facility.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:45
photo Royal Netherlands Navy

photo Royal Netherlands Navy

12 septembre 2013, Portail des Sous-Marins

 

La visite à Dakar du navire Le Rotterdam revêt des aspects diplomatique, économique et de défense avec la Marine nationale qui va bénéficier d’un entraînement sur les techniques tactiques et procédures militaires, a assuré l’ambassadeur des Pays-Bas, Pieter Jan Kleiweg De Zwaan.

 

Référence : Agence de presse Sénégalaise

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:50
Thales introduces new communications system for vehicle Sotas Lite

10 September 2013 Thales

 

Thales introduces Sotas Lite as a new member of the well-known family of Sotas vehicle systems. Sotas Lite is an innovative voice and data communications system and is especially suited for use in space constrained vehicles.

The proliferation of C4I components, sensors, effectors and peripherals is bringing new capabilities to the highly mobile vehicle domain. The open architecture of the Sotas product family is specifically designed to turn these added capabilities into a real operational advantage by supporting the integration and interworking of the vehicle-borne systems over a high bandwidth, open standards IP network infrastructure.

Requiring a minimal installation footprint, Sotas Lite provides users with a comprehensive set of tactical voice and data services. The smallest Sotas Lite system consists of a single User Station. Larger systems are created by simply connecting additional User Stations using Ethernet.

“Sotas Lite completes the Sotas family,” says Hervé Derrey, Vice-President for Radio Communications Products within Thales. “It is a complete family with an open architecture enabling customers to build complete and effective operational solutions in a cost-effective way.”

Developed by Thales in The Netherlands, Sotas systems are fielded in more than 30 countries, Thales is committed to the continuous development of new capabilities to increase mission effectiveness.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 11:45
Le navire amphibie de la marine des Pays-Bas a jeté l’ancre dimanche dernier à Casablanca.

Le navire amphibie de la marine des Pays-Bas a jeté l’ancre dimanche dernier à Casablanca.

 

 

2 Septembre 2013 - Abdelhakim Hamdane, LE MATIN

 

Les faits : La visite du navire s’inscrit dans le cadre des relations bilatérales entre les Pays-Bas et le Maroc. Au programme, des manœuvres exceptionnelles et des exercices conjoints entre les Marines des deux bords.

 

«HNLMS Rotterdam», un nom qui semble directement sorti d’un centre de recherche scientifique. Ce n’est ni plus ni moins que le nom d’un navire de guerre appartenant à la Marine royale néerlandaise. Entré en service en 1998, ce navire de transport amphibie de la marine des Pays-Bas a jeté l’ancre dimanche dernier à Casablanca. Plusieurs activités sont programmées durant la visite de ce monstre des mers. Les relations bilatérales entre le Maroc et les Pays-Bas seront également à l’ordre du jour à travers des conférences et des rencontres prévues en marge de cette visite.

«Les objectifs de la visite du HNLMS Rotterdam s’inscrivent dans le cadre des excellentes relations entre les Pays-Bas et le Maroc.

 

Celles-ci seront également à l’ordre du jour, tout comme les opportunités de développement futures au niveau des relations économiques entre les deux pays», indique un communiqué de l’ambassade du Royaume des Pays-Bas.

À cet effet, une conférence était programmée hier, lundi, à bord du HNLMS Rotterdam. Conférence qui devait traiter de l’objet de la visite du navire en question, mais aussi des différents aspects de la coopération économique maroco-néerlandaise. Les organisateurs ont également concocté un «Special Hollande 2013» pour l’occasion. «La Division économique de l’ambassade présentera à cette occasion ses activités et ses missions réalisées à ce jour, ainsi que les opportunités de développement futures au niveau des relations économiques avec le Maroc», souligne la même source.

 

Parallèlement, en marge de cette visite, des exercices conjoints de la Marine marocaine et de son homologue néerlandaise sont au menu, et ce, le 5 septembre prochain. On annonce que des manœuvres exceptionnelles se dérouleront ce jour-là, et auxquelles se livreront les Marines des deux bords.

«Toutes les unités participant à ce déploiement vont s’entraîner et s’exercer dans l’environnement porteur de défis du littoral de l’Afrique de l’Ouest. Elles vont aussi agir en support de l'African Partnership Station qui est un programme initié par les USA. La Marine néerlandaise est un partenaire attitré de ce programme et nous attendons avec impatience de continuer notre contribution à l’APS», indique-t-on.

 

À ce titre, il est à rappeler que les Pays-Bas sont partisans des engagements préventifs en vertu des lois et règlements internationaux, et grâce aux organisations régionales pour la sécurité et la sûreté et pour la promotion d’une plus grande stabilité au moyen d’une approche compréhensive pour la paix, la sécurité et le développement économique. «De par la loi, les forces armées néerlandaises, et donc aussi la Marine, sont un instrument pour supporter cette politique. Le HNLMS Rotterdam et les unités embarquées ont toutes les capacités nécessaires pour supporter l’APS et assister pour la construction d’une capacité maritime régionale en Afrique de l’Ouest pour arriver à une sécurité maritime réelle et veiller à un environnement maritime sûr», souligne la même source.

 

La sécurité en haute mer

 

«Les Pays-Bas collaborent avec les partenaires internationaux aussi bien militaires que civils. La Marine royale est rodée à ce genre de collaborations avec différents départements, agences et ONG, comme le NABC (Netherlands African Business Council), ce qui contribue à atteindre un bon résultat dans des programmes d’assistance comme l’APS (African Partnership Station), ainsi qu’à la réalisation des objectifs de African Winds 2013. Le HNLMS Rotterdam ne va pas seulement entraîner les partenaires africains, mais va aussi servir de plateforme pour des événements commerciaux de haut niveau dans les principaux ports de l’Afrique de l’Ouest, afin d’améliorer les opportunités entre commerciaux africains et néerlandais et ainsi accroître la prospérité régionale. À travers le déploiement de l’African Winds, la Marine néerlandaise et ses partenaires internationaux participent à la sécurité mondiale sur mer et depuis la mer. C’est pourquoi la mission du déploiement African Winds 2013 est définie comme “3D” (défense, développent et diplomatie) depuis la mer».

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 11:25
Mexico Orders Fourth Damen Patrol Boat

Aug. 23, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Damen Shipyards Group; issued Aug. 22, 2013)

 

Fourth Damen Stan Patrol for Mexican Navy

 

In the first week of August the Mexican Navy (Secretaria de Marina) and Damen Shipyards Group signed a contract for a fourth Damen Stan Patrol 4207. The Dutch ship design and shipbuilding company will supply the Mexican Navy with the design and material package with which ASTIMAR 1 (the Mexican Navy yard in Tampico) will build the patrol vessel.

 

In addition, Damen will assist ASTIMAR 1 with technical support in order to optimize the delivery time and quality of the vessel.

 

The Damen Stan Patrol 4207 is designed to perform patrol duties in coastal areas and the economic exclusive zone. Other clients who operate similar vessels in the region include navies and coast guards of Jamaica, Barbados, the Dutch Caribbean, Honduras, the Canadian Coast Guard and the US Coast Guard. The USCG recently received five Fast Response Cutters for the Sentinel Class, out of a series of 58, which are based on the same Damen Stan Patrol design.

 

Two previous patrol vessels, ARM Tenochtitlan (PC-331) and ARM Teotihuacan (PC-332) are already deployed by the Mexican Navy.

 

This Mexican patrol vessel is the fourth of this class to be built in Mexico. As with other clients, Damen puts its DTC-program (Damen Technical Cooperation) to use. This service is offered to both young and experienced shipyards and aims, if and when the client so desires, to develop their shipbuilding capabilities with respect to Damen vessels. With technical, operational and logistical assistance Damen shares its extensive knowledge on shipbuilding with many yards worldwide.

 

 

Damen Shipyards Group (est. 1927) operates more than 55 shipyards, repair yards and related companies worldwide. Damen employs 8,000 people in 35 countries, has delivered over 5,000 vessels since 1969 and delivers some 150 vessels annually to worldwide customers. Based on its unique, standardised ship-design concept and short delivery times, Damen is able to guarantee consistent quality.

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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 07:50
Les Pays-Bas prennent possession de leur premier F-35A

25/07/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Ce jeudi 25 juillet 2013, le premier des deux avions d’essai F-35 néerlandais a été transféré par le gouvernement américain au ministère de la Défense des Pays-Bas. Il est également le premier avion à décollage et atterrissage tactiques (CTOL) livré à un partenaire international.

 

Les Pays-Bas ont commandé cet avion en 2009 afin de participer à la phase d’essai opérationnel du programme F-35. Après que l’avion ait été entièrement vérifié, il a donc été officiellement transféré au ministère néerlandais de la Défense. Ce transfert a lieu à la sortie de la ligne de production de Fort Worth, au Texas.

 

Les Pays-Bas ont donc pris possession de l’appareil et les autorités du pays seront désormais responsable de l’entretien et de la sécurité. Lockheed Martin annonce par conséquent, que «certains employés de la défense néerlandais suivront une formation technique, après quoi ils superviseront les travaux d’entretien par les Américains et les comptes respectifs».

 

À présent, la production du deuxième avion d’essai commandé en 2011 est finalisé et l’avion passe divers «tests et vols d’acceptation».

 

Lockheed Martin s’attend à ce que le premier avion d’essai soit piloté d’ici quelques jours par un pilote américain de la base aérienne américaine d’Eglin en Floride, où l’avion restera jusqu’à ce qu’une décision ait été prise sur le remplacement du F-16 dans le cadre du mémorandum sur l’avenir des forces armées néerlandaises. Au cours de cette période de «stockage de l’appareil», il sera utilisé pour des essais techniques au sol.

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 11:50
Hot Blade 2013: Preparing Together for Operations
Ovar, Portugal | Jul 17, 2013 European Defence Agency
 

Starting today, Portugal hosts the multinational helicopter exercise HOT BLADE 2013 (HB13) at Ovar Military Airfield, near Porto. More than 700 military personnel, 26 helicopters and seven fixed wing aircraft from Austria, Belgium, Germany, the Netherlands and Portugal participate in the exercise, which lasts until 31 July 2013. HB13 is part of the European Defence Agency's Helicopter Training Programme.

 

HB13 allows European helicopter crews to practice operations in a hot, high and dusty environment, simulating the challenge and the dynamic conditions that participating forces encounter if they deploy to current theatres of operation.
Besides the focus on flying in challenging environmental conditions, the exercise is developed to train joint interoperability tasks including Air Assault (AA), Special Operations Aviation (SOA), Combat Service Support (CSS), Close Air Support (CAS) including Urban CAS and Emergency CAS, Convoy/helicopter escorts, Reconnaissance and Security (R&S) operations, Combat Search and Rescue (CSAR), Personnel Recovery (PR), Military/Non Military extractions (NEO Ops), Medical Evacuation (MEDEVAC) and Casualty Evacuation (CASEVAC).
The exercise is developed on a building block approach design, starting with cross-training activities on small COMAO missions, in order to build a mutual understanding of each participant’s equipment and standard operational procedures. As the exercises progresses the complexity and numbers of assets in each COMAO missions increase. Crews from all nations will use for the first time standing operating procedures.
 

Helicopter Training Programme

HB13 builds on EDA’s Helicopter Training Programme which is consisting of the HEP (Helicopter Exercise Programme), HTC (Helicopter Tactics Course), EHTIC (European Helicopter Tactics Instructors Course), OELC (Operational English Language Course), DisSim CCD (Distributed Simulation Capability Concept Demonstrator) and the Basic Helicopter Flying Training (BHFT) projects/programmes.
The exercise programme has so far delivered five multinational exercises with 123 helicopters, 227 crews and over 5,000 personnel participating. Over 50% crews that have attended these exercises later subsequently deployed to Afghanistan. In November 2012, defence ministers of thirteen nations signed a ten years programme arrangement for the Helicopter Exercise Programme. This commitment is a concrete indication that training together is an integral part of European capability and interoperability.

“HB13 is the 6th EDA helicopter exercise, but it is also the first in many ways. It is the first exercise in a 10-year programme agreed by thirteen countries, it is the first exercise where we are flying to commonly agreed procedures, and most excitingly for me, it is the first exercise where we have been able to introduce instructors – who themselves are graduates from the first European Helicopter Tactics Instructors Course. These instructors drawn from Germany, Sweden and UK are the ‘best of the best’ and I am looking forward to seeing them mentor some of the less experienced crews, as they meet the planning and flying challenges of the exercise”, said Wing Commander Andy Gray, in charge of EDA’s Helicopter Training Programme.

For further information, visit our HB13 web page.

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 12:50
TenCate Advanced Armour supplies materials for vehicles Commando Corps

08.07.2013 TenCate - army-guide.com

 

TenCate Advanced Armour supplies antiballistic materials for 50 new vehicles for the Dutch Commando Corps, the so-called Air Transportable Tactical Vehicles. Wednesday, July 3 the Defence Materiel Organization signed a contract with the Dutch company Defenture.

 

Apart from better road capability, the new Air Transportable Tactical Vehicles (ATTV) have more payload than the current vehicles. This is essential in view of the mandate of the Special Operations Forces. Explorations and attacks on enemy targets may need to be performed deep in enemy territory. At times there are severe geographical and climatic conditions, without logistical support from outside.

 

Because the Commando Corps can also be dropped by helicopters, the special forces vehicles can be transported in and under Chinook transport helicopters. ATTV vehicles can be equipped with several armor solutions of TenCate Advanced Armour.

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 16:50

25 juin 2013 belgiandefence

Nous n'avons pas rencontré que des pilotes lors de l'exercice international canadien Maple Flag, mais également des pathfinders belges et néerlandais. Ces para-commandos chargés de la reconnaissance et du marquage des zones de largage ont profité de l'occasion pour approfondir leur entraînement et renforcer le travail d'équipe pendant deux semaines.

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 12:50
Une partie de l’armée néerlandaise passe sous tutelle allemande

11 juin 2013 par: Romain Mielcarek - ActuDéfense

 

La 21ème brigade aéromobile néerlandaise va être directement intégrée à une unité binationale. Une perte d’autonomie conséquente pour les Pays-Bas qui créent ainsi un précédent historique en Europe.

 

Au cours d’un discours à Berlin, le 28 mai dernier, la ministre néerlandaise à la Défense s’est montrée parfaitement claire : «la coopération militaire n’est plus un choix, c’est une nécessité !». Jeanine Hennis-Plasschaert annonçait alors un événement historique pour son pays : toute une partie de son armée va être directement fusionnée avec celle de l’Allemagne.

Ce partenariat, parfaitement inédit en Europe, va mixer au sein d’unités communes plusieurs pans de la défense des deux pays. La 21e brigade aéromobile néerlandaise, soit quelque 4 500 hommes, vont ainsi rejoindre à partir de 2014 une division binationale aux côtés de la Division de réaction rapide allemande (DSK). Les Pays-Bas fournissent ainsi leur contingent le plus opérationnel, accompagné de ses hélicoptères, tandis que les Allemands gardent d’autres unités capables de se déployer en toute autonomie.

Militaires allemands et néerlandais doivent de plus collectiviser leurs formations et certains choix d’équipements. Des experts militaires seront échangés entre Berlin et Amsterdam. Enfin, par la suite, d’autres unités devraient être mixées, comme la défense anti-aérienne ou la défense anti-missile ainsi que les forces sous-marines néerlandaises.

 

Rupture stratégique et perte de souveraineté

«C’est une vraie rupture, analyse Etienne de Durand, directeur de recherche à l’Institut français des relations internationales (IFRI). Les Néerlandais ont toujours été très atlantistes et donc interventionnistes, alors que les Allemands sont politiquement plus réservés à l’égard des interventions.» C’est effectivement une «mauvaise nouvelle pour les Américains», confirme Joseph Henrotin, rédacteur en chef du magazine Défense et Sécurité internationale.

Les instances de commandement de cette nouvelle division seront en effet basées en Allemagne. Les Néerlandais risquent de voir leurs choix politiques dans les domaines stratégiques soumis à la nécessité d’un aval allemand. «Il est facile de bien s’entendre tant qu’on ne va pas sur le terrain», remarque Joseph Henrotin. Ce fin observateur des armées à travers le monde remarque ainsi que les forces néerlandaises ont souvent été un vrai appui pour les Américains, au cours de leurs différentes interventions de l’Irak à l’Afghanistan. A l’inverse, les Allemands ont toujours fait en sorte de ne pas exposer leurs propres forces.

Cette division, dont l’objectif annoncé est de pouvoir secourir des ressortissants néerlandais et allemands n’importe où dans le monde, sera donc soumise à la décision politique des deux pays. Ce sont les fondements de la puissance néerlandaise qui risquent, à terme, d’être fondus dans la stratégie allemande. Dans le cas des sous-marins, «ces bâtiments ont par exemple été très utiles pour recueillir du renseignement au large de l’Iran ou pour lutter contre la piraterie en surveillant les ports du Golfe d’Aden», explique Joseph Henrotin. Autant de missions pour lesquelles les forces néerlandaises perdent leur autonomie de décision.

 

Pas forcément positif pour l’Europe de la Défense

Pour Jeanine Hennis-Plasschaert, ces inquiétudes sont sans fondement. «Devons-nous vraiment craindre une perte de souveraineté ?», interroge-elle dans son discours de Berlin. «Ou ne devrions-nous pas plutôt redéfinir ce concept ?» Si la ministre néerlandaise voit dans cette réforme une manière différente de défendre l’Europe, beaucoup s’inquiètent surtout de voir ici un effet pervers des réductions budgétaires.

«Cela ne traduit aucun plan, remarque ainsi Etienne de Durand. Personne n’est d’accord sur l’emploi de la force dans la gestion des crises internationales ou même sur les priorités stratégiques communes.» «C’est dans l’ère du temps, tout le monde réduit ses budgets de défense», constate également Joseph Henrotin. Pour ce dernier, d’autres pays pourraient suivre le mouvement. Reste à savoir à quelle logique stratégique et culturelle ils pourraient vouloir se rattacher. Tandis que les pays les plus à l’est s’inquiètent du réarmement russe, les Allemands défendent l’idée d’une sanctuarisation et d’un repli sur soi stratégique. Là-dedans, Français et Britanniques pourraient se retrouver bien seuls à tâcher tant bien que mal de défendre des capacités de projection.

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 11:50

12 juin 2013 belgiandefence

 

La Marine a procédé aux derniers tests relatifs à ses navires de patrouille la semaine dernière. Ils se sont déroulés sur modèle réduit à l'institut d'enquêtes néerlandais afin d'analyser leur comportement en mer ainsi que leur vitesse maximale à la surface de l'eau. Les résultats ont été très concluants pour la délégation de la Défense en visite sur les lieux le 7 juin 2013.

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 16:50
Work on Cyber Ranges Initiated

Brussels | Jun 07, 2013 European Defence Agency

 

On 30 May, Austria, the Czech Republic, Estonia, Greece, Finland, and the Netherlands signed a letter of intent to work towards the Pooling & Sharing of available and future resources for cyber defence training, exercise and testing. The project, called cyber ranges, aims at maintaining and improving cyber resilience as well as the levels of awareness, insight and expertise of personnel Member States. 
 
By signing the letter of intent, the Member States confirmed to participate and cooperate in the development of a Common Staff Target which will for example determine the functional requirements for cyber ranges. These requirements will have to be agreed by the EDA Steering Board at a later stage. The initiative on cyber ranges has also been recommended by the recently presented EDA cyber defence landscaping study as a viable opportunity with respect to the practical implementation of Pooling and Sharing.
 
Cyber ranges are multipurpose environments supporting three primary process: knowledge development, assurance and dissemination. Under the Pooling & Sharing initiative, cyber ranges may consist of three complementary functionality packages: Cyber Research Range, Cyber Simulation & Test Range as well as Cyber Training & Exercise Range. 

 

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 16:50
Work on Cyber Ranges Initiated

Brussels | Jun 07, 2013 European Defence Agency

 

On 30 May, Austria, the Czech Republic, Estonia, Greece, Finland, and the Netherlands signed a letter of intent to work towards the Pooling & Sharing of available and future resources for cyber defence training, exercise and testing. The project, called cyber ranges, aims at maintaining and improving cyber resilience as well as the levels of awareness, insight and expertise of personnel Member States. 
 
By signing the letter of intent, the Member States confirmed to participate and cooperate in the development of a Common Staff Target which will for example determine the functional requirements for cyber ranges. These requirements will have to be agreed by the EDA Steering Board at a later stage. The initiative on cyber ranges has also been recommended by the recently presented EDA cyber defence landscaping study as a viable opportunity with respect to the practical implementation of Pooling and Sharing.
 
Cyber ranges are multipurpose environments supporting three primary process: knowledge development, assurance and dissemination. Under the Pooling & Sharing initiative, cyber ranges may consist of three complementary functionality packages: Cyber Research Range, Cyber Simulation & Test Range as well as Cyber Training & Exercise Range. 

 

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