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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 14:45
Sangaris : point de situation du 25 septembre

 

 

25/09/2014 Sources : Etat-major des Armées

 

Les effectifs de la force Sangaris sont de l’ordre de 2 000 soldats.

 

La MISCA, force de l’Union Africaine, a été relevée le 15 septembre par la MINUSCA, force de l’Organisation des Nations Unies. Les effectifs de cette dernière sont de 6 700 hommes.

 

Depuis le 15 septembre, la force Sangaris multiplie, partout où elle est présente, les patrouilles communes avec la MINUSCA afin d’appuyer sa montée en puissance et faciliter son identification par la population. A l’ouest de Bangui, dans la ville de Boda, la situation sécuritaire s’est sensiblement améliorée. Sangaris y a donc allégé son dispositif. La situation s’est également apaisée à Dekoa, dans la région centrale du pays, où les autorités civiles sont revenues après trois semaines d’absence.

 

Le 19 septembre, à Bouar, une cérémonie a marqué la relève de la force Sangaris par la MINUSCA dans l’ouest du pays. Cette relève a été précédée le 16 septembre par une reconnaissance d’un échelon précurseur de militaires bangladais dont le bataillon s’est ensuite peu à peu installé dans le camp occupé jusqu’ici par Sangaris. A ce jour, le 25 septembre, ce contingent a pris en compte la mission pour laquelle la MINUSCA a été mandatée par la résolution 2149 du 10 avril 2014 du Conseil de sécurité des Nations-Unies (CSNU).

 

Le GTIA de Boissieu prépare désormais son retour, vers le Tchad pour une partie de ses éléments, et vers la France pour l’autre partie.

 

Une fois désengagé de cette zone, la force Sangaris s’appuiera sur deux GTIA dont les capacités seront densifiées afin de permettre l’évolution de sa mission vers des actions davantage orientées vers l’appui de la MINUSCA.

Sangaris : point de situation du 25 septembreSangaris : point de situation du 25 septembre
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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 09:30
Le Conseil de sécurité lance la chasse aux jihadistes étrangers

 

24 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - Un Conseil de sécurité extraordinaire présidé par Barack Obama a adopté mercredi une résolution contraignante pour endiguer le flot des jihadistes étrangers en Syrie et Irak et contrer la menace qu'ils représentent pour leurs pays d'origine.

 

Ce texte adopté à l'unanimité impose aux Etats, sous peine de sanctions, d'empêcher leurs citoyens de s'enrôler dans des organisations extrémistes comme l'Etat islamique (EI).

 

Cette rare réunion au sommet était présidée par le président américain Barack Obama et rassemblait 27 autres chefs d'Etat et de gouvernement, dont le président français François Hollande et le Premier ministre britannique David Cameron.

 

La Russie et la Chine se sont ralliées à la résolution mais n'étaient représentées que par leurs ministres des Affaires étrangères.

 

En ouvrant la séance, M. Obama a exprimé sa solidarité avec la France après la décapitation d'un otage français enlevé par un groupe jihadiste lié à l'EI. Nous sommes avec vous et avec le peuple français alors que vous faites face à une terrible perte et que vous vous êtes dressés contre la terreur pour défendre la liberté, a-t-il déclaré, s'adressant à François Hollande.

 

La Conseil a aussi adopté une déclaration pour condamner fermement le meurtre lâche et haineux de Hervé Gourdel.

 

M. Obama a souligné que quelque 15.000 combattants étrangers venus de plus de 80 pays avaient rejoint ces dernières années les organisations extrémistes en Irak et en Syrie.

 

Une résolution ne suffira pas, a-t-il affirmé, il faut que les paroles prononcées ici soient suivies d'actions concrètes pendant les années à venir.

 

Pour M. Hollande, cette résolution est un message de fermeté et d'unité de la communauté internationale toute entière. La réponse (à l'EI) est militaire mais aussi économique ou humanitaire, a-t-il estimé en soulignant la nécessité d'assécher les sources de financement du terrorisme.

 

David Cameron a rappelé que 500 Britanniques figuraient parmi les jihadistes étrangers et que le combattant de l'EI qui avait décapité devant la caméra deux journalistes américains parlait avec un accent anglais. Il faut certes renforcer les contrôles, a-t-il dit, mais aussi combattre ceux qui prêchent la violence et répandent l'idéologie toxique de l'extrémisme.

 

Plusieurs chefs d'Etat africains comme le Tchadien Idriss Déby, le Nigérian Goodluck Jonathan ou le Rwandais Paul Kagame ont mis l'accent sur les groupes extrémistes opérant en Afrique et qui recrutent eux aussi des étrangers comme Boko Haram, Al-Qaïda au Maghreb islamique ou les shebab somaliens.

 

La résolution concerne tous les combattants terroristes étrangers même si elle vise surtout l'EI.

 

Elle avait été proposée par les Etats-Unis qui s'efforcent depuis des semaines de rassembler une coalition internationale contre l'EI. Washington mène depuis le 8 août des frappes aériennes en Irak, puis depuis mardi à l'aube en Syrie contre les positions de l'EI avec l'aide de cinq alliés arabes.

 

Aux termes de la résolution, les gouvernements seront tenus de prévenir et empêcher le recrutement et les déplacements d'individus qui tentent de se rendre à l'étranger dans le but de planifier ou de participer à des actions terroristes ou d'y recevoir un entraînement.

 

Le texte est placé sous le chapitre 7 de la charte des Nations unies qui prévoit des sanctions en cas de non-respect du texte.

 

Elle demande que tous les Etats membres s'assurent que leurs lois et règles nationales instaurent de lourdes sanctions pénales à l'encontre des jihadistes étrangers et des responsables de leur recrutement et de leur financement.

 

Les Etats devront aussi empêcher l'entrée ou le transit sur leur territoire de ces combattants étrangers, une disposition qui concerne notamment la Turquie, point de passage vers la Syrie.

 

Plusieurs pays européens, dont la France et le Royaume-Uni, ont déjà pris ou annoncé des mesures dans ce domaine. Ils craignent de voir les jihadistes, une fois aguerris, revenir sur leur territoire pour organiser des attentats.

 

Le Premier ministre turc Recep Teyyip Erdogan a affirmé que la détermination de la Turquie dans ce domaine ne saurait être mise en doute. Il a souligné que son pays, régulièrement accusé de complaisance envers les jihadistes qui transitent sur son territoire, avait expulsé plus de 1.000 combattants étrangers de 75 pays depuis le début du conflit syrien en 2011.

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 12:45
Sangaris : les précurseurs bangladais en reconnaissance à Bouar

 

 

24/09/2014 Sources : EMA

 

Le 16 septembre 2014, dans le cadre de la mise en place de la mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA), une délégation de militaires bangladais est venue rencontrer les principales autorités militaires présentes à Bouar et reconnaître les bâtiments qui seront ceux des soldats bangladais après le départ du groupement tactique interarmes (GTIA) de Boissieu.

 

Le chef de corps du bataillon bangladais et ses principaux responsables sont allés au camp de la MINUSCA à la rencontre du commandant du bataillon camerounais déjà sur place. Après un briefing sur la situation sécuritaire de la région et de la ville, la délégation s’est dirigée vers le camp de Boissieu qui jouxte celui de la MINUSCA. Le colonel Armel Dirou, chef de corps du GTIA, leur a fait visiter les installations, en prévision de l’arrivée prochaine du reste de la troupe du bataillon bangladais.

 

Le bataillon camerounais de la MISCA est passé MINUSCA le 15 septembre à Bouar. A la fin du mois, le contingent bangladais viendra compléter ce dispositif déjà en place. La force Sangaris se réarticulera alors, et concentrera son action sur Bangui et le centre-Est du pays afin d’accompagner la prise en main progressive de la MINUSCA sur l’ensemble de sa zone de responsabilité.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 700 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:50
Kosovo, 15 ans déjà


23.09.2014 Ministère de la Défense


Dans les années 90, la République Fédérale de Yougoslavie est le théâtre d’assassinats et de crimes en tout genre. En 1999, une guerre multiethnique éclate au cœur de l’Europe. Deux communautés, Albanais et Serbes, s’affrontent au Kosovo. L’OTAN décide d’agir au nom de la paix.

Il aura fallu 78 jours de frappes aériennes sur la République fédérale de Yougoslavie pour stopper la guerre communautaire au Kosovo. Ces frappes ont permis la création d’une force multinationale mise en œuvre par l’OTAN, sous mandat de l’ONU : la KFOR ou Kosovo Force. Le 12 juin 1999, 8 000 français sont projetés au Kosovo.

Après 15 ans de consolidation de la paix, la France a rempli sa mission aux côtés de ses alliés. Des militaires racontent leurs missions dans ce qui fut appelé « la poudrière des Balkans ».

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:45
Sangaris : prêt de véhicules français au profit des contingents de la MINUSCA

 

23/09/2014 Sources : EMA

 

Le 16 septembre 2014, sur le camp de M’Poko, les 14 premiers véhicules de transport de troupe prêtés par la France ont été officiellement livrés au contingent gabonais de la MINUSCA. Ces véhicules jusqu’alors utilisés par la MISCA ont été remis en état par les soldats de Sangaris dans des délais courts afin d’être remis à la MINUSCA dès le lendemain de la création de cette force de l’ONU.

 

A compter du mois de juillet, une petite équipe de 6 personnes du DETMAINT Sangaris a travaillé sans relâche pour remettre en état les véhicules afin de les mettre aux normes ONU. Il s’agissait alors de réparer, parfois de reconstruire, des véhicules fortement sollicités par un usage intensif sur le théâtre. Les véhicules ont ensuite été convoyés jusqu’à un garage privé dans Bangui où ils ont été peints en blanc. Retirés du service MISCA en vue du transfert à la MINUSCA, ces véhicules ont ensuite été intégralement passés aux normes onusiennes : équipement de moyens de transmission, trousses de secours spécifiques, immatriculations et assurances. Enfin, une formation de plusieurs heures dispensée par le DETMAINT Sangaris a permis aux futurs utilisateurs gabonais de s’approprier les véhicules et le matériel de bord.

 

Au total 42 véhicules Français équiperont trois contingents africains de la MINUSCA. Le Gabon, le Cameroun et le Congo-Brazzaville disposeront à terme de parcs identiques composés de 14 véhicules chacun (des véhicules de l’avant blindé, des camions de transport de type GBC 180 ou TRM 2000 et véhicules de dépannage de type GBC LOT 7).

 

Parmi ces véhicules certains ont été acheminés par C130 depuis Douala pour permettre une réparation et une mise en peinture rapide afin de respecter la première échéance du 16 septembre. Le reste des véhicules, en provenance des éléments français du Sénégal (EFS) et du Gabon (FFG), viendront équiper, après leur mise aux normes ONU, les casques bleus camerounais et congolais début octobre.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 700 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission de l’ONU.

Sangaris : prêt de véhicules français au profit des contingents de la MINUSCASangaris : prêt de véhicules français au profit des contingents de la MINUSCA
Sangaris : prêt de véhicules français au profit des contingents de la MINUSCASangaris : prêt de véhicules français au profit des contingents de la MINUSCA
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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 11:45
photo EMA

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21-09-2014 Par RFI

 

Depuis le 15 septembre dernier, la Minusca a officiellement pris le relai de la Force africaine, la Misca. Sur le terrain, son déploiement se fait progressivement, entre attente de l’arrivée des nouveaux contingents et chantiers pour l’installation des équipes.

 

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 12:45
Photo MINUSMA Marco Dormino

Photo MINUSMA Marco Dormino

 

19 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Ndjamena (Tchad) - Le Tchad a dénoncé vendredi le traitement discriminatoire réservé à ses troupes au Mali, accusant la Mission de l'ONU (Minusma) de les utiliser comme bouclier, après la mort de dix de ses soldats en trois semaines dans le nord du pays.

 

Au Mali, des responsables du contingent tchadien ont exprimé les mêmes doléances, accusant la force de l'ONU de les traiter comme du bétail pour les jihadistes.

 

Le gouvernement tchadien constate avec regret que son contingent continue à garder ses positions au nord Mali et ne bénéficie d'aucune relève. Pire, notre contingent éprouve des difficultés énormes pour assurer sa logistique, sa mobilité et son alimentation, affirme-t-il dans un communiqué.

 

Selon le gouvernement, le contingent tchadien est utilisé comme bouclier aux autres forces de la Misnusma, positionnées plus en retrait.

 

Nous en avons marre ! La Minusma considère nos troupes comme du bétail pour les jihadistes. Ils nous considèrent vraiment comme des +moutons à sacrifier+. A Aguelhok, nos troupes dorment souvent dans leurs voitures, a déclaré au Mali un officier tchadien devant deux journalistes, dont celui de l'AFP.

 

A la date du 24 août, il n'y avait même pas une radio à Aguelhok pour communiquer avec les autres localités. C'est grave. Nous nous demandons si c'est parce que nous sommes des noirs que nous n'avons pas droit aux mêmes mesures de protection que les autres troupes, a ajouté cet officier.

 

Un autre officier tchadien a dénoncé une grande défaillance dans la chaîne de commandement de la Minusma.

 

Même la manière d'annoncer la mort des Tchadiens est différente de l'annonce des autres morts, a-t-il estimé, affirmant que les blessés de la dernière attaque jeudi avaient été trimbalés entre Aguelhok et Tessalit sans aucune coordination.

 

Le dernier mot reviendra à Ndjaména, mais si ça continue, nous allons plier bagages, a prévenu cet officier.

 

Dénonçant une situation de précarité et de discrimination, le gouvernement tchadien interpelle les responsables de la Minusma et les invite à un traitement juste et équitable de tous les contingents mobilisés dans cette opération.

 

Un délai d'une semaine est accordé à la Minusma pour opérer les relèves nécessaires et mettre à la disposition du contingent tchadien tous les moyens destinés à l'accomplissement de sa mission, selon le communiqué.

 

Passé ce délai, le Tchad se réserve le droit de prendre les mesures qui s'imposent, prévient-il, sans toutefois préciser de quelles mesures il s'agit.

 

Cinq soldats tchadiens de la Minusma ont été tués jeudi par l'explosion d'un engin improvisé au passage de leur véhicule dans le nord du Mali.

 

Un autre avait déjà été tué et quatre blessés par l'explosion d'une mine au passage de leur véhicule le 14 septembre dans la même zone d'Aguelhok, près de la frontière algérienne, moins de deux semaines après une attaque toute proche qui avait tué quatre Casques bleus tchadiens.

 

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon s'est déclaré vendredi outré, appelant les groupes armés maliens réunis à Alger à collaborer avec la Minusma dans la prévention de ces attaques lâches, conformément à leur engagement du 16 septembre.

 

Le Tchad est en première ligne dans la lutte contre les groupes islamistes armés du Nord Mali depuis son engagement en janvier 2013, d'abord aux côtés de la force française Serval puis au sein de la force onusienne.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 11:30
Des casques bleus en patrouille sur le plateau du Golan.

Des casques bleus en patrouille sur le plateau du Golan.

 

19 septembre 2014 ONU

 

Alors que la situation s'est détériorée dans la zone d'opérations de la Force des Nations Unies chargée d'observer le désengagement (FNUOD) sur le plateau du Golan, le Conseil de sécurité a estimé vendredi qu'il était nécessaire d'adapter le dispositif de la Force afin de réduire les risques encourus par le personnel.

 

Dans une déclaration de la Présidence du Conseil du sécurité, le Conseil « note avec préoccupation la détérioration de la situation de sécurité dans la zone d'opérations de la FNUOD en raison de la persistance du conflit syrien et des activités menées par plusieurs acteurs armés non étatiques, notamment le Front el-Nosra, et le risque que cela représente pour l'accord sur le désengagement et pour les Casques bleus des Nations Unies qui servent dans cette zone. »

 

Par conséquent, le Conseil de sécurité « estime nécessaire de déployer des efforts pour adapter en souplesse le dispositif de la FNUOD afin de réduire au minimum les risques encourus par le personnel de l'ONU alors que la Force continue de s'acquitter de son mandat, tout en soulignant que le but ultime est le retour des Casques bleus à leurs positions dans la zone d'opérations de la FNUOD dès que possible. »

 

La semaine dernière, 45 Casques bleus fidjiens de la FNUOD ont été libérés après avoir été retenus en otages par un groupe armé pendant deux semaines.

 

Le Conseil de sécurité souligne qu'il faut « maintenir l'effectif de la FNUOD et ses moyens de légitime défense au niveau nécessaire pour lui permettre de mener à bien son important mandat, et conserver ses capacités de réaction rapide. »

 

Le Conseil a demandé au Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, de lui présenter dans un délai de 30 jours un état des mesures à prendre pour maintenir la capacité de la FNUOD de s'acquitter de son mandat.

 

Les Casques bleus de la FNUOD surveillent l'accord de désengagement de 1974 entre la Syrie et Israël après leur guerre de 1973. En juin, le Conseil de sécurité a prorogé le mandat de la mission pour six mois, jusqu'au 31 décembre 2014. Fin juillet, la FNUOD comptait 1.223 soldats de la paix originaires de six pays (Fidji, Inde, Irlande, Népal, Pays-Bas, et Philippines).

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:30
Démonstration d'unité contre le groupe Etat islamique au Conseil de sécurité

Mr. Kerry (left) confers with Sheikh Abdullah Bin Zayed Al Nahyan (centre), Minister for Foreign Affairs of the United Arab Emirates (UAE), and Sameh Hassan Shokry Selim, Minister for Foreign Affairs of the Arab Republic of Egypt.  - UN Photo Eskinder Debebe

 

20 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Nations unies (Etats-Unis) - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry est parvenu vendredi à mobiliser l'ONU contre le groupe Etat islamique (EI), le Conseil de sécurité adoptant une déclaration unanime appelant à soutenir le gouvernement irakien dans sa lutte contre les jihadistes extrémistes.

 

Le chef de la diplomatie américaine présidait cette réunion du Conseil de sécurité qui a réuni trente ministres ou vice-ministres.

 

A cette occasion, le Conseil a adopté une déclaration unanime appelant à renforcer et étendre le soutien au gouvernement irakien dans sa lutte contre l'EI et les groupes armés qui lui sont liés.

 

Le Conseil condamne fermement les attaques menées par des organisations terroristes, dont celle opérant sous le nom de +Etat islamique en Irak et au Levant+ (EIIL, autre nom de l'EI) en Irak, en Syrie et au Liban.

 

Cette offensive de grande ampleur représente une menace majeure pour la région, ajoutent les 15 Etats membres.

 

Plusieurs des quelque 40 pays qui font partie de la coalition mobilisée par Washington contre l'EI (France, Canada, Australie, Qatar, Jordanie, Allemagne, Emirats arabes unis, Turquie, Egypte) avaient envoyé leurs chefs de la diplomatie.

 

L'aide militaire, économique et financière à l'Irak doit continuer (à affluer) pour soutenir la contre-offensive irakienne contre l'EI, a affirmé devant le Conseil le ministre irakien des Affaires étrangères Ibrahim al-Jaafari. Combattre ces terroristes en Irak et les empêcher d'y répandre le mal est dans l'intérêt du monde dans son ensemble.

 

John Kerry s'est déclaré absolument convaincu qu'à travers une campagne mondiale nous pouvons vaincre la menace de l'EI. Le fait que tant de pays sont représentés ici démontre la nécessité pour nous tous de soutenir le nouveau gouvernement irakien et de mettre fin à la barbarie absolue que représente l'EI.

 

Enumérant les engagements pris par les membres de la coalition anti-EI, M. Kerry a souligné qu'il y a un rôle pour presque tous les pays, y compris l'Iran, notant que son homologue iranien Mohammad Javad Zarif participait à la réunion.

 

M. Zarif était inscrit sur la liste des orateurs mais c'est finalement son vice-ministre Abbas Araqchi qui a pris la parole. Il a affirmé que l'EI n'était ni islamique ni un Etat mais une organisation terroriste, mais a aussi attribué la montée en puissance de l'EI aux aventures militaires --allusion à la guerre en Irak-- et au soutien de certaines parties dans la région, en référence aux pays du Golfe. L'EI s'est transformé en monstre qui menace désormais ses créateurs.

 

Pour Téhéran, toute offensive contre les jihadistes doit respecter la légalité internationale et être menée en coopération avec les autorités nationales: Toute stratégie qui affaiblit ces autorités, y compris le gouvernement syrien, est vouée à l'échec, a lancé le vice-ministre.

 

Les égorgeurs de Daech doivent être combattus et battus, a déclaré le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius, utilisant l'acronyme arabe pour l'EI.

 

Rappelant que la France a pris ses responsabilités en commençant vendredi à bombarder des positions des jihadistes en Irak, il a évoqué l'opposition résolue de Paris à la guerre en Irak lancée par le président américain George W. Bush en 2003.

 

En 2003, agir contre l'Irak avait divisé ce Conseil, en 2014, dans un contexte très différent, agir pour l'Irak et contre les terroristes de Daech est un devoir pour nous tous, a insisté M. Fabius.

 

La France est le premier pays à se joindre à la campagne aérienne américaine contre ce groupe.

 

Le président américain Barack Obama doit présider mercredi une réunion au sommet du Conseil axé sur la menace que font peser les jihadistes étrangers. Le Conseil doit adopter une résolution imposant aux gouvernements de prendre des mesures pour empêcher leurs citoyens de s'enrôler dans des organisations extrémistes.

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 07:30
UNIFIL - Deutsche Ausbilder im Libanon


18 sept. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 09/14 14E21701

 

Die UNIFIL-Mission ist eine der ältesten aktiven Beobachtermissionen der UN. Auch die Bundeswehr engagiert sich vor Ort. So werden an der Jounieh Naval School junge Kadetten von Deutschen ausgebildet. Punkte wie Navigation, aber auch Führungstraining stehen dabei auf dem Lehrplan. Für beide Seiten ist der Einsatz in Beirut geprägt vom gegenseitigen Lernen und neuen Erfahrungen.
 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
photo EMA

photo EMA


14.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Le marché d'équipement et de formation des casques bleus africains attise les convoitises. Exemple avec la MINUSCA.

Théoriquement, le 15 septembre, les casques bleus de la mission multidimensionnelle intégrée des nations unies pour la stabilisation en république centrafricaine (MINUSCA), prendront le relais de la mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA). Avec ses 10 000 militaires et ses 1 800 policiers, la MINUSCA aura pour mission de maintenir la paix en République centrafricaine.

A noter que dans le cadre de la montée en puissance de la MINUSCA, la force Sangaris, qui va se recentrer sur le centre et l'est du pays, lui apporte un soutien logistique et humain.

 

Marchés. Le déploiement de nouveaux contingents onusiens et la relève d'unités (camerounaises et gabonaises par exemple) constituent une bonne occasion pour les entreprises françaises de proposer leurs services. Il s'agit d'équiper, voire de former, les unités qui seront déployées sous le casque bleu.

Nexter, associé à Paul Boyé, lorge du côté du Gabon, terrain de chasse habituel du groupe Marck. Ce même groupe Marck, associés à Inéo Support Global, est, pour sa part, actif du côté du Cameroun et du Burundi.

Quant à Sovereign Global France, elle poursuit ses actions de formation au Tchad tout en négociant avec d'autres pays africains, comme le Congo Brazzaville, après avoir formé les contingents de casques bleus djiboutiens et mauritaniens.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
Central African Republic crisis: Minusca new peace mission

 

15 September 2014 BBC Africa

 

The UN is formally taking over peacekeeping operations in the Central African Republic (CAR), where about 25% of the population has fled their homes.

 

The new force will largely comprise 6,200 African troops already there. There are also 2,000 French troops, who will not be part of the UN force, but human rights groups say a bigger force is urgently needed to end the violence.

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:30
Liban : La Force Commander Reserve (FCR) patrouille en coordination avec les forces armées libanaises (FAL)

 

16/09/2014 Sources : EMA

 

Le 10 septembre 2014, la Force Commander Reserve (FCR) a mené ses patrouilles quotidiennes, en coordination avec les Forces Armées Libanaises (FAL), dans les secteurs Est et Ouest de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL).

 

Dans le cadre de l’opération Daman au Sud-Liban, la FCR effectue des missions d’observation et de reconnaissance quotidiennes avec les FAL, dans l’ensemble de la zone d’opération de la FINUL.

 

Chaque jour, les militaires français réalisent plusieurs patrouilles communes avec leurs homologues libanais. En véhicule, elles consistent notamment en la surveillance de la ligne bleue (Blue Line Patrols - BLP) et comprennent, le long de l’itinéraire, des phases d’observations aléatoires. La nuit, les militaires français tiennent des postes d’observations temporaires ou Night Observation point (NOP). D’autres patrouilles plus spécifiques comme les Counter Rocket Launching Operation (CRLO) permettent de renforcer le contrôle de zone en effectuant, lors de la progression, la vérification d’anciennes ou de potentielles zones de lancement de roquettes dans l’aire d’opération de la FINUL. Les soldats français et libanais réalisent également des patrouilles à pied qui mettent l’accent sur les villages et l’interaction avec la population locale.

 

Les militaires de l’opération Daman mandatXXI, mènent aussi des missions de reconnaissance et d’observation sans la présence des FAL (Area Domination Patrols - ADP) permettant ainsi l’accroissement de la présence de l’ONU et donc de la sécurité dans la zone d’opérations.

 

Forte de près de 850 hommes et femmes, la FCR est directement placée sous les ordres du général Luciano Portolano commandant la FINUL. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la force et est stationnée à Dayr Kifa, à 43 kilomètres au nord-est de Naqoura. Elle est en mesure d’intervenir sur court préavis dans toute la zone d’opération de la FINUL pour faire appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Réserve d’intervention opérationnelle, elle travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises.

Liban : La Force Commander Reserve (FCR) patrouille en coordination avec les forces armées libanaises (FAL)
Liban : La Force Commander Reserve (FCR) patrouille en coordination avec les forces armées libanaises (FAL)
Liban : La Force Commander Reserve (FCR) patrouille en coordination avec les forces armées libanaises (FAL)
Liban : La Force Commander Reserve (FCR) patrouille en coordination avec les forces armées libanaises (FAL)
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:30
45 Fijian peacekeepers from the UN Disengagement Observer Force (UNDOF) in Golan 11 sept 2014 - UN Photo Gernot Maier

45 Fijian peacekeepers from the UN Disengagement Observer Force (UNDOF) in Golan 11 sept 2014 - UN Photo Gernot Maier

 

16-09-2014 Par RFI

 

L’ONU annonce le retrait de plusieurs positions des casques bleus sur le plateau du Golan, face à l’avancée des rebelles syriens sur ce territoire. Une décision qui intervient après plusieurs incidents entre la Force des Nations unies chargée d’observer le désengagement (Fnuod) et des combattants liés à al-Qaïda.

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 11:20
Etat islamique: Barack Obama préoccupé par les jihadistes américains

 

16-09-2014 Par RFI

 

Les Etats-Unis lancent une campagne nationale de lutte contre l’enrôlement de citoyens américains par les groupes extrémistes. Ce plan d’action annoncé, hier, lundi 15 septembre, par le ministre de la Justice, Eric Holder, est destiné à prévenir les recrutements. Selon le département d’état une centaine de citoyens américains combattent aujourd’hui dans les rangs du groupe Etat islamique. Ce sera l’un des thèmes de la réunion présidée le 24 septembre par Barack Obama aux Nations unies.

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 09:45
Centrafrique : début de l’action militaire et policière de la MINUSCA

Un véhicule blindé marocain de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) (ONU)

 

16 septembre 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, s’est félicité du transfert d’autorité qui a eu lieu entre la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) et la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), rapporte le service d’information de l’ONU.

 

L’ONU a ainsi pris lundi le commandement des opérations de maintien de la paix en Centrafrique, succédant à des forces internationales — africaines, européennes et françaises — déjà déployées.

 

La force onusienne, créée en avril par la résolution 2149 du Conseil de sécurité, va déployer dans un premier temps 7.600 hommes (pour la plupart issus des rangs de la Misca) sur le terrain et doit compter 12.000 soldats et policiers à effectif plein.

 

«Ce transfert d’autorité représente la réussite complète du mandat de la MISCA et le commencement de l’action militaire et policière de la MINUSCA en République centrafricaine», a souligné quant à lui le porte-parole du Secrétaire général dans une déclaration à la presse.

 

Une cérémonie a eu lieu lundi dans la capitale Bangui pour marquer ce transfert d’autorité. Le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a assisté à cette cérémonie.

 

«Le Secrétaire général tient à réaffirmer sa préoccupation face aux attaques contre la population civile, qui continuent, particulièrement hors de Bangui, et appelle une nouvelle fois toutes les parties à cesser immédiatement les violences conformément à l’Accord de cessation des hostilités. Il exhorte les principaux acteurs concernés à maintenir leur engagement en faveur d’un processus politique inclusif afin d’assurer le succès complet de la transition du pays », a dit son porte-parole.

 

Les membres du Conseil de sécurité ont également salué le transfert d’autorité entre la MISCA et la MINUSCA, mais, dans une déclaration à la presse, le Conseil a déclaré qu’il restait «très préoccupé par la poursuite des violations des droits de l’homme et du droit humanitaire en République centrafricaine. »

 

Les membres du Conseil ont appelé les autorités de transition à prendre des mesures concrètes en faveur d’un processus de réconciliation nationale et de dialogue politique inclusif garantissant la participation pleine et effective des femmes, rapporte également le service d’information de l’ONU.

 

Ils les ont également appelé à lutter contre l’impunité et à développer une stratégie pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des anciens combattants.

 

Le Conseil a également appelé une nouvelle fois les autorités de transition à accélérer les préparatifs pour l’organisation d’élections présidentielle et législatives inclusives, libres, justes et transparentes qui sont prévues pour février 2015.

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 11:45
Mali: un soldat tchadien de l'ONU tué et quatre blessés par une mine

 

15 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Bamako - Un soldat tchadien de la Mission de l'ONU au Mali (Minusma) a été tué et quatre blessés dimanche par l'explosion d'une mine au passage de leur véhicule dans le nord du pays, ont annoncé l'ONU et des sources militaires dans la région.

 

Nous avons perdu un élément quand notre véhicule a sauté sur une mine près d'Aguelhoc (nord-est, près de la frontière algérienne, NDLR). Il y a aussi des blessés. C'est un bilan provisoire, a déclaré à l'AFP un militaire tchadien de la Minusma.

 

L'explosion a fait un mort et quatre blessés parmi les Casques bleus, a précisé l'ONU, dimanche soir à New York.

 

Dans un communiqué, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a condamné cette attaque avec la plus grande fermeté. Il a rappelé qu'une précédente attaque dans la région de Kidal (nord-est) le 2 septembre avait tué quatre Casques bleus tchadiens de la Minusma.

 

Ces attaques n'affecteront pas la détermination des Nations unies à soutenir le peuple malien dans sa recherche de la paix, souligne le communiqué de l'ONU.

 

Dans une déclaration unanime, le Conseil de sécurité a également condamné l'attaque dimanche et a appelé le gouvernement malien à enquêter rapidement et à poursuivre les responsables en justice.

 

Une source militaire malienne basée à Gao, la principale ville du nord du pays, a souligné le perfectionnement de la stratégie du combat par les mines mise en oeuvre par les jihadistes.

 

Ils ont tout un circuit d'approvisionnement de mines dans toute la région, et il s'informent sur les axes routiers qu'empruntent les véhicules de la Minusma pour mener des opérations, a ajouté cette source sous le couvert de l'anonymat.

 

Trois groupes jihadistes - Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Ansar Dine et le Mujao - ont contrôlé pendant près de dix mois le nord du Mali, d'où ils ont été en grande partie chassés par une intervention internationale en janvier 2013 initiée par la France.

 

Des attaques, visant en particulier les troupes étrangères, continuent néanmoins à se produire dans cette partie du pays.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 18:30
UN Photo Gernot Maier

UN Photo Gernot Maier

 

11/09/2014 JDD

 

Des Fidjiens prisonniers en Syrie. Les 45 Casques Bleus fidjiens qui avaient été enlevés le 28 août par un groupe armé sur le plateau du Golan en Syrie ont tous été libérés sains et saufs, a confirmé jeudi l'ONU. Ils ont été remis à la Force de l'ONU chargée de superviser le cessez-le-feu sur le Golan entre Israël et la Syrie (Fnuod) et sont "en bonne forme", ont précisé les Nations unies dans un communiqué.

Relâchés jeudi. Une ONG syrienne avait annoncé précédemment que les Casques bleus avaient été relâchées par leurs ravisseurs membres du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda. "Ils ont été relâchés aujourd'hui par al-Nosra", avait déclaré l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Annonce vidéo. Al-Nosra avait annoncé dans une vidéo diffusée dans la nuit de mercredi à jeudi qu'il allait prochainement libérer ses otages. Les 45 Casques bleus ont été capturés le 28 août à la suite de combats entre l'armée syrienne et des groupes rebelles dont Al-Nosra, près de Qouneitra, dans la zone de désengagement délimitée en 1974 entre Israël et la Syrie.

Cafouillage. Al-Nosra a depuis formulé un certain nombre de conditions pour leur libération, dont celle de sortir de la liste noire des organisations terroristes établie par les Nations unies, selon l'armée fidjienne. Le gouvernement des Fidji avait annoncé mercredi la libération prochaine des Casques bleus avant de se rétracter quelques heures plus tard, évoquant un cafouillage.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 07:45
Libye : appel à l'intervention étrangère

 

13 août, 2014 – BBC Afrique

 

Le parlement de la Libye a voté en faveur d'une intervention étrangère pour protéger les civils pris au piège dans les combats meurtriers entre milices rivales.

Les députés se sont réunis à Tobrouk dans l'est du pays à cause de la violence à Tripoli et à Benghazi, et 111 députés sur 124 ont voté pour l'appel.

Ni l'ONU, ni aucune autre puissance étrangère n'a pour le moment de plans d'intervention

 

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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 17:30
Liban : Visite du nouveau Force Commander de la FINUL à Dayr Kifa

 

13/08/2014 Sources : EMA

 

Le 31 juillet 2014, le général italien Luciano Portolano, nouveau Force Commander de la force intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL), s’est rendu à Dayr Kifa auprès de la Force Commander Reserve (FCR). Il succède au général Paolo Serra en poste depuis 2 ans et demi au Liban.

 

Le général Luciano Portolano a rencontré les éléments français du mandat XXI déployés depuis mars à Dayr Kifa, dans le cadre de l’opération Daman.

 

A cette occasion, les militaires du contingent français ont présenté au Force Commander les capacités de la force et les moyens uniques dont dispose la FCR au sein de la FINUL, qui assure notamment la surveillance aérienne et de trajectographie.

 

Forte de près de 900 militaires, la FCR est stationnée à Dayr Kifa, à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL, en mesure de se déployer sur court préavis, sur ordre direct du Force Commander. Elle peut intervenir dans toute la zone d’opération de la FINUL, au profit des bataillons de casques bleus de 36 nationalités différentes, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies.

 

Réserve d’intervention opérationnelle, la FCR travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL), tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints, et conduit également de nombreuses actions auprès de la population au sud du Liban.

 

La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Cette contribution de la France à cette mission de l’ONU prend le nom d’opération DAMAN. La FCR confère au Force Commander des capacités de surveillance terrestre et aérienne, de dissuasion et de réaction. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:30
Liban : Partage des connaissances entre contingents alliés

 

07/08/2014 International

 

Le 25 juillet 2014 à Shama, sur le camp ONU finno-irlandais, l’équipe EOD (Explosive OrdnanceDisposal) de la Force Commander Reserve (FCR) a participé à un échange avec ses homologues du secteur ouest de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL).

 

Lors de cette journée, les équipes EOD des contingents français, belges, italiens et finlandais se sont retrouvées autour de thèmes d’intérêts communs tels que le danger des engins explosifs improvisés (EEI), et la pollution du champ de bataille. En effet, le Liban est encore un pays particulièrement touché par des accidents liés aux UXO (unexploded ordnance).

 

Les équipes EOD ont ainsi pu échanger sur leurs connaissances, leur savoir-faire et leur expérience, tout en se familiarisant avec les techniques et matériels des autres nations, et en partageant leurs compétences avec les différents contingents présents.

Cette rencontre fut également l’occasion pour les militaires français de partager des données techniques en rapport avec la découverte d’un des derniers sites de lancement de roquettes.

 

Forte de près de 900 hommes et femmes, la FCR est directement placée sous les ordres du général Luciano Portolano commandant la FINUL. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la force et est stationnée à Dayr Kifa, à 43 kilomètres au nord-est de Naqoura. Elle est en mesure d’intervenir sur court préavis dans toute la zone d’opération de la FINUL pour faire appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Réserve d’intervention opérationnelle, elle travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL).

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 12:35
Défense : le Vietnam veut intensifier ses relations avec l'Allemagne

 

05/08/2014 Vietnam+

 

Le général de division Nguyen Trong Nghia, chef adjoint du Département général de la politique de l'Armée populaire du Vietnam, a proposé que le Vietnam et l'Allemagne parviennent rapidement à un consensus sur la signature d'un mémorandum de coopération dans la défense.

 

Lors d'une rencontre lundi à Hanoi avec une délégation du Centre de la gestion interne du ministère fédéral allemand de la Défense, conduite par le colonel Major Dirk Peddinghaus, Nguyen Trong Nghia a souhaité que l'Allemagne assiste le Vietnam dans l'enseignement de la langue allemande aux officiers militaires, dans la recherche et le sauvetage, ainsi que dans sa participation aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies.

 

Le ministère fédéral allemand de la Défense devrait envisager de nommer un attaché à la défense au Vietnam pour promouvoir la coopération bilatérale, a-t-il dit, ajoutant que le Vietnam souhaite que l'Allemagne appuie sa demande d'adhésion à l'Organisation hydrographique internationale (OHI).

 

Le colonel Dirk Peddinghaus, qui est aussi directeur du Département des relations internationales du ministère fédéral allemand de la Défense, a déclaré que le Vietnam et l'Allemagne cultivaient, depuis l'établissement de leurs relations diplomatiques en 1975, une amitié et une coopération fructueuses, notamment dans la défense.

 

Il a espéré que sa visite contribuerait au développement des relations bilatérales dans la défense conformément aux liens de partenariat stratégique entre les deux pays.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 11:30
Liban : Visite du général Chapa, commandant le secteur Est de la FINUL

 

30/07/2014 Sources : EMA

 

Le 17 juillet 2014, le général espagnol Chapa, commandant le secteur Est de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL), s’est rendu sur le camp français de Dayr Kifa, auprès de la Force Commander Reserve (FCR).

 

Le général Chapa a rencontré les éléments français mandat XXI de la FCR, déployés depuis le mois de mars à Dayr Kifa, dans le cadre de l’opération Daman. A cette occasion, les militaires du contingent français lui ont présenté les capacités militaires de la force, et les moyens uniques dont dispose la FCR au sein de la FINUL. Cette visite a permis de renforcer la connaissance mutuelle de la FCR et du secteur Est, mais également d’entretenir la coordination des actions dans le cas où la FCR devrait intervenir au profit des bataillons du secteur.

 

Forte de près de 900 militaires, la FCR est stationnée à Dayr Kifa, à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL, en mesure de se déployer sur court préavis, sur ordre direct du Force Commander. Elle peut intervenir dans toute la zone d’opération de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Réserve d’intervention opérationnelle, la FCR travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL), tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints, et conduit également de nombreuses actions auprès de la population au sud du Liban.

 

La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Les militaires français y sont déployés dans le cadre de l’opération DAMAN, et agissent au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR). Ce détachement confère au Force Commander des capacités de surveillance terrestre et aérienne, de dissuasion et de réaction. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les forces armées libanaises, tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints.

Liban : Visite du général Chapa, commandant le secteur Est de la FINUL
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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:40
Malaysia Airlines: le Conseil de Sécurité de l'ONU réclame une enquête "indépendante"


18.07.2014 LaTribune.fr
 

Le Boeing de Malaysia Airlines qui s'est écrasé jeudi 17 juillet en Ukraine avec 298 personnes à bord fait l'objet d'intenses échanges diplomatiques. Et pour cause: probablement abattu par un missile sol-air, l'avion survolait une zone de conflit à l'Est du pays. Les autorités de Kiev et les séparatistes pro-russes s'accusent l'un et l'autre d'être à l'origine du tir supposé qui aurait causé le crash. Voici, au fil de la journée, les principales annonces et commentaires concernant cette catastrophe.

 

  • L'ONU souhaite une enquête internationale "indépendante"

Le Conseil de sécurité des Nations unies a réclamé vendredi une enquête internationale "exhaustive, minutieuse et indépendante" sur la destruction du Boeing de la Malaysia Airlines. Dans une déclaration adoptée par consensus, il demande à toutes les parties de garantir aux enquêteurs un accès libre au site de l'accident et exige que les responsabilités soient établies.

Le court texte a été rédigé dès jeudi par la Grande-Bretagne, en vue d'une adoption dans la foulée, mais la Russie a requis du temps pour l'examiner avant de l'accepter.

 

  • L'avion "fonctionnait normalement" selon Malaysia Airlines

La compagnie aérienne malaisienne a déclaré lors d'une conférence de presse à l'aéroport d'Amsterdam-Schipholque que le Boeing 777 n'avait rencontré aucun problème et "fonctionnait normalement" au moment où le contact a été perdu.

 "La dernière vérification technique avait été effectuée le 11 juillet et cet avion, qui a un carnet d'entretien en ordre, a volé pendant 17 ans." 

 

  • Très atteints, les Pays-Bas envoient des enquêteurs 

Le MH17 de Malaysia Airlines a, "sur la base d'informations nos services, probablement été abattu", a déclaré le ministre néerlandais de la Justice Ivon Opstelten lors d'une conférence de presse tenue à la Haye.

Particulièrement touchés par cette tragédie (sur les 298 personnes à bord de l'avion, 189 étaient de nationalité néerlandaise), le Pays-Bas ont annoncé l'envoi d'une équipe sur place pour participer à l'enquête, "aussi vite que possible".

Les Pays-Bas sont soutenus dans cette démarche par l'Espagne. Le chef du gouvernement Mariano Rajoy s'est en effet prononcé en faveur "d'une enquête indépendante" pour déterminer les auteurs de "la monstruosité" perpétrée contre l'avion de la Malaysian Airlines. 

 

  • Moscou menace de répliquer en cas de tirs ukrainiens sur son territoire

La Russie répliquera en cas de tirs ukrainiens délibérés sur son territoire, a déclaré vendredi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"Nous avons déjà averti que si cela continuait, nous prendrions les mesures qui s'imposent. Au minimum, s'il est clair que cela a été fait de manière délibérée, je suis convaincu qu'il nous faut détruire le point à l'origine du tir", a indiqué Sergueï Lavrov qui s'exprimait à la télévision Rossia 24.

 

  • Angela Merkel pointe Moscou du doigt et appelle à une solution politique

Selon la chef du gouvernement allemand, il y a de bonnes raisons de penser que le Boeing 777, qui faisait la liaison entre Amsterdam et Kuala Lumpur, a été abattu, auquel cas les responsables devront être jugés.

"Nous devons entamer une enquête indépendante aussi vite que possible. Pour cela, un cessez-le-feu est indispensable et il est important que les responsables soient traduits en justice", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse à Berlin.

"Ces événements ont une nouvelle fois prouvé que ce qu'il faut, c'est une solution politique et que, par-dessus tout, la Russie est aussi responsable de ce qui se passe en Ukraine en ce moment", a ajouté Angela Merkel.

Elle a précisé qu'elle lançait "un appel très clair au président et au gouvernement russes pour qu'ils aident à trouver une solution politique".

 

  • Le système de missiles ukrainiens était actif le jour du crash selon Moscou

Le système de missiles ukrainiens était actif jeudi, le jour du crash de l'avion malaisien, qui transportait près de 300 personnes, dans l'est de l'Ukraine, a indiqué vendredi le service de presse du ministère russe de la Défense.

"Les moyens de détection radio russes ont enregistré le 17 juillet une activité au niveau de la station radar Koupol, travaillant en liaison avec les systèmes de missiles Bouk-M1", a indiqué le ministère, cité par les agences russes, ajoutant que cette station radar se situait non loin du lieu du crash.

 

  • Les pro-russes avaient bien des missiles Buk selon Itar-Tass

Les forces pro-russes ont affirmé ne pas avoir de missiles Buk, le modèle qui a été tiré sur l'avion de Malaysian Airlines. Pourtant, le 29 juin dernier, l'agence Itar-Tass avait rapporté la prise de contrôle de systèmes de défenses par missiles Buk par les forces d'auto-défense de la République Populaire de Donetsk. L'agence tenait cette information du service de presse de la République Populaire de Donetsk.

 

  • "Les Russes sont allés trop loin" pour le Premier ministre ukrainien

Les responsables du tir contre l'avion malaisien abattu jeudi dans l'Est de l'Ukraine doivent être jugés devant la Cour pénale internationale de La Haye, a déclaré vendredi le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk en accusant les Russes de ce "crime international".

"Les Russes sont allés trop loin. C'est un crime international dont les responsables doivent être jugés à La Haye", a-t-il déclaré, selon l'agence Interfax-Ukraine.

 

  • Poutine souhaite une "enquête impartiale"

Après Barack Obama, c'est le président russe, Vladimir Poutine qui a téléphoné au Premier ministre néerlandais Mark Rutte. Il a dit souhaiter une enquête "minutieuse et impartiale" sur le crash de cet avion qui partait d'Amsterdam. Dans un communiqué publié par le Kremlin à la suite de cet appel, le président russe 

"a souligné que cette tragédie mettait en lumière une nouvelle fois le besoin de trouver le plus vite possible un règlement pacifique à la grave crise en Ukraine."

 

  • Canberra critique le Kremlin

De son côté, le Premier ministre australien, Tony Abbott, juge "profondément insatisfaisante" la réponse de la Russie à cette crise. Selon lui, la première réaction côté russe a consisté à blâmer Kiev. Il a affirmé:

"L'idée que la Russie puisse d'une manière ou d'une autre dire que tout cela n'a rien à voir avec eux parce que cela s'est produit dans l'espace aérien ukrainien ne résiste franchement pas à un examen sérieux."

Le chef du gouvernement australien a par ailleurs jugé qu'il ne s'agissait "pas d'un accident mais d'un crime" avant d'appeler au lancement d'une enquête internationale impartiale. 

Vingt-sept ressortissants australiens feraient partie des disparus selon des propos de la ministre australienne des Affaires étrangères, Julie Bishop, rapportés par la presse du pays. 

 

  • Kiev ferme l'espace aérien à l'Est

Le ministère ukrainien des Infrastructures interdit les vols au-dessus des régions de Donetsk et de Louhansk. L'espace est partiellement fermé au dessus de la région de Kharkov. 

Dès jeudi soir, le secrétaire d'Etat français aux Transports, Frédéric Cuvillier, a prié officiellement les compagnies françaises d'éviter le survol de la zone. 

Le couloir aérien avait été déclaré sûr avant cette catastrophe par l'Association internationale du transport aérien qui dépend de l'ONU. Toutefois, une note de  la Federal Aviation Administration (FAA) américaine datant du 23 avril, mettait en garde les compagnies à propos du survol de Simféropol en Crimée. 

 

  • Une boîte noire retrouvée?

Un boîtier aurait été retrouvé ce vendredi matin dans les décombres de l'avion, selon l'AFP qui cite des secouristes. Mais les informations qu'il contient risquent de ne pas fournir de renseignements sur l'origine du missile supposé qui aurait abattu l'avion. 

 

  • Paris attend la liste des passagers

"On n'a pas encore la liste complète des passagers. En principe, la compagnie aérienne doit fournir la liste complète, ce qui n'est pas le cas", a indiqué la députée socialiste Elisabeth Guigou ce vendredi matin sur RMC. Selon un dernier décompte fourni par Malaysia Airlines vendredi matin, l'avion transportait 154 Néerlandais, 43 Malaisiens (dont 15 membres d'équipage), 27 Australiens, 12 Indonésiens, 9 Britanniques, 4 Allemands, 5 Belges, 3 Philippins, un Canadien.

La présence de passagers français à bord du Boeing 777 reste possible mais n'est toujours pas confirmée, a déclaré vendredi le ministre français des Transports, Frédéric Cuvillier, qui a ajouté:

"Trente-quatre passagers sont toujours sans nationalité confirmée. Donc il est possible que parmi ces personnes il puisse y avoir des Français"

Frédéric Cuvillier a par ailleurs estimé que les éléments semblaient converger vers le scénario selon lequel un missile sol-air aurait abattu cet avion qui reliait Amsterdam à Kuala Lumpur.

 

  • Les séparatistes promettent de laisser le passage

Les séparatistes ukrainiens ont accepté de coopérer à l'enquête sur la destruction de l'avion de Malaysia Airlines et de garantir la libre circulation et la sécurité des experts qui en seront chargés, a annoncé l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) après une téléconférence avec leurs représentants et des responsables russes et ukrainiens. 

 

  • Obama appelle au cessez-le feu

Washington est prêt à fournir "de l'aide immédiate en faveur d'une enquête internationale rapide, complète, crédible et sans entraves" en Ukraine, a assuré le Président américain. Pour cela, les Etats-Unis appellent "toutes les parties concernées - la Russie, les séparatistes prorusses et l'Ukraine - à un cessez-le-feu immédiat", a fait savoir la Maison Blanche ce vendredi. 

>>  "Toutes les preuves doivent rester sur le lieu du crash" exige Obama 

Jeudi soir, l'aviation civile américaine a interdit aux compagnies des Etats-Unis de survoler l'est de l'Ukraine. 

 

  • Onu: le Conseil de sécurité se réunit

Le Conseil de sécurité de l'Onu se réunira vendredi pour une séance extraordinaire sur la situation en Ukraine qui devrait donner lieu à l'adoption d'une déclaration réclamant "une enquête internationale exhaustive et indépendante" sur la destruction du Boeing de Malaysia Airlines.

 

  • Malaysia dévisse en Bourse

 L'action de la compagnie aérienne Malaysia Airlines a plongé de plus de 15% vendredi à l'ouverture de la Bourse de Kuala Lumpur. Elle est descendue jusqu'à 0,185 ringgit en matinée, soit une chute de 17,8% par rapport à la clôture de la veille, avant de se redresser pour perdre 13% en milieu de matinée. 

"Dans l'histoire de l'aviation, il n'y a jamais eu une compagnie qui traverse deux catastrophes en l'espace de quatre mois. On ne peut donc pas s'appuyer sur le passé pour imaginer qu'elle puisse s'en sortir", a déclaré Mohshin Aziz, analyste chez Maybank Investment Bank, à l'agence Dow Jones Newswires.

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 11:45
Mali: les Hollandais ont bien déployé des drones ScanEagle


16.07.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Hervé Ladsous, le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l'Onu, était à Gao, le 11 juillet. Il y a rendu visite au contingent onusien sur place. Les Hollandais lui ont présenté leurs Apaches et leurs drones ScanEagle (photo: Marco Dormino).

 

Ces drones sont mis en œuvre par le JISTARC (Joint Intelligence Target Acquisition Surveillance and Reconnaissance Commando), une unité créée en octobre 2010.

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