Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
15 juillet 2015 3 15 /07 /juillet /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

15/07/2015 Sources EMA

 

Le 9 juillet 2015, le général de division pakistanais Masroor Ahmed a transmis le commandement de la force de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) au général de division Lhote lors d’une cérémonie de transfert d’autorité qui s’est tenue sur la place d’armes du quartier général de l’ONU à Abidjan.

 

Suite de l’article

 

 

Partager cet article
Repost0
10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

10/06/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 23 au 30 mai 2015, les forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont organisé et conduit dans la région de Toumodi un exercice de niveau GTIA (groupement tactique interarmes) auquel ont participé environ 200 soldats des forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et une trentaine de soldats de l’opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).

 

L’objectif de cet exercice était triple : entraîner l’intégralité du GTIA des FFCI avec tous ses soutiens dans des conditions réalistes de menace régionale nécessitant un engagement des forces françaises coordonnées avec celui des forces ivoiriennes et onusiennes, améliorer l’interopérabilité avec les FRCI et l’ONUCI en intégrant des sections de ces deux forces en renfort du GTIA, et enfin entraîner la compagnie de transport des FRCI qui doit être projetée au Mali au sein de la MINUSMA au cours de l’été 2015.

 

Près de 400 militaires des FFCI ont participé à cet exercice baptisé N’Zi,du nom de la rivière traversant la zone de déploiement. Un peloton d’une vingtaine de soldats du bataillon blindé des FRCI et une section du bataillon de commandos parachutistes des FRCI ont été intégrés en renfort respectivement d’un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) à dominante blindée équipé d’ERC90 et de VBL (véhicules blindés légers) et d’un second SGTIA à dominante infanterie équipé de VAB (véhicules de l’avant blindé). Les 120 militaires de la compagnie de transport des FRCI qui doit être projetée au Mali au sein de la MINUSMA ont pu, à cette occasion, restituer des savoir-faire acquis lors du détachement d’instruction opérationnelle (DIO) organisé par les FFCI quelques semaines plus tôt à leur profit. Enfin, une section héliportée du bataillon sénégalais de l’ONUCI a été ponctuellement intégrée au GTIA pour des phases particulières de l’exercice.

 

Organisé en deux séquences de 36 heures chacune, l’exercice N’Zia permis au GTIA des FFCI de s’entraîner dans la région de Toumodi (à 250 km au Nord d’Abidjan) dans des missions de reconnaissance, de contrôle de secteur, de raid et de couverture face à un adversaire fictif, dans des conditions très réalistes. L’exercice s’est conclu par un parcours de tir de niveau SGTIA sur les champs de tir de Lomo Nord.

 

Les FFCI, créées le 1er janvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et entretiennent la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont également en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI. En tant que base opérationnelle avancée, elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

photo EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terrephoto EMA / Armée de Terre
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

Partager cet article
Repost0
2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 07:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

01/06/2015 Source : État-major des armées

 

Du 18 au 20 mai 2015, les éléments français au Sénégal (EFS) ont assuré une formation en logistique au profit de l’armée togolaise, à Lomé au Togo.

 

L’objectif de cette formation était d’instruire des officiers et sous-officiers aux spécificités logistiques des bataillons engagés sous mandat ONU.

 

Au total, 11 officiers et 2 sous-officiers des armées togolaises ont suivi les cours dispensés par l’instructeur logistique des EFS. Les stagiaires se sont ainsi initiés aux procédures administratives spécifiques des missions « onusiennes ». Dans ce dispositif, les logisticiens administratifs sont des acteurs clés.

 

Le bon niveau des stagiaires, affectés dans les différents postes ayant trait à la logistique, a permis d’aborder toutes les dimensions de la logistique opérationnelle « onusienne ». Leur challenge reste désormais d’appliquer ces procédures aux missions dans lesquelles les armées togolaises sont engagées : la MINUSMA au Mali, et l’ONUCI en Côte d’Ivoire.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions de coopération militaire opérationnelle bilatérale et régionale visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective. Majoritairement tournés vers la coopération militaire opérationnelle en Afrique de l’Ouest, les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Partager cet article
Repost0
19 mai 2015 2 19 /05 /mai /2015 11:45
photo FFCI / EMA

photo FFCI / EMA

 

18/05/2015 Sources EMA

 

Du 21 au 23 avril 2015, les forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont effectué une mission d’escorte de convoi, depuis la frontière nord du pays jusqu’à Abidjan.

 

Le convoi consistait en un désengagement de matériels de Barkhane. L’objectif était de recueillir vingt camions porte-engins blindés transportant du matériel militaire et d’assurer la sécurité du convoi jusqu’au camp de Port Bouët, à Abidjan. Il aura fallu seulement trois jours aux hommes composant le peloton d’éclairage et d’investigation des FFCI et à ses huit véhicules blindés légers pour avaler les 800 kms de piste. Cette mission n’aurait sans doute pas été réalisée en si peu de temps sans le soutien logistique pourvu par les véhicules sanitaires, l’élément léger de maintenance et le camion-citerne qui accompagnaient le convoi. Elle a également été facilitée par la bonne connaissance du théâtre par le détachement blindé des FFCI ainsi que les contacts entretenus avec les autorités locales du pays.

 

Les FFCI, créées le 1er janvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et entretiennent la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont également en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI. En tant que base opérationnelle avancée, elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

photo FFCI / EMAphoto FFCI / EMA
photo FFCI / EMA

photo FFCI / EMA

Partager cet article
Repost0
3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 08:45
EFS : Stage logistique ONU au Bénin

 

02/03/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 2 au 5 février 2015, les éléments français au Sénégal (EFS) ont conduit une formation logistique à Cotonou visant à appuyer la préparation opérationnelle des soldats béninois qui seront prochainement projetés au sein des missions de maintien de la paix, notamment celles réalisées dans le cadre de l’organisation des nations unies (ONU).

 

L’objectif de cette formation était d’instruire le personnel officier et sous-officier aux particularités de la logistique opérationnelle des bataillons engagés sous mandat de l’ONU. Au total huit officiers et onze sous-officiers des armées et de la gendarmerie béninoises ont suivi les cours dispensés par l’instructeur logistique des EFS.

 

 La qualité des stagiaires, tous affectés dans des postes traitant de la logistique dans des domaines très différents, a permis d’aborder toutes les dimensions de la logistique opérationnelle « onusienne ». A l’issue de cette formation, ils pourront ainsi réemployer les savoir-faire acquis dans un esprit d’interopérabilité renforcée avec les autres contingents de l’ONU. Parmi les missions auxquelles contribuent les forces armées béninoises figurent la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), l’opération des Nations-Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et la Mission de l’organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC).

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation commune régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

Partager cet article
Repost0
23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 07:45
photos EFS

photos EFS

 

17/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 1 au 12 décembre, puis du 12 au 23 janvier 2015,  dans le cadre de l’engagement des nations de la communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest au sein de l’ONUCI et de la MINUSMA, le détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « Air » des éléments français aux Sénégal (EFS), s’est rendu au Burkina-Faso et au Sénégal, pour conduire deux formations au profit de 51 stagiaires, dont 35 burkinabé et 16 sénégalais.

 

Ces deux formations avaient pour objectifs, d’une part la formation à la fonction d’orienteur marqueur baliseur (OMB) du bataillon burkinabé projeté en République du Mali sous commandement MINUSMA, et de l’autre, la formation de guidage aérien tactique GATA du bataillon sénégalais projeté en République de Côte d’Ivoire sous commandement ONUCI.

 

La première semaine était consacrée à l’apprentissage théorique, et la seconde à la mise en pratique des savoirs acquis. Pour les deux stages, un hélicoptère MI 17, venant des camps de Ouagadougou et Thiès, a permis de qualifier des chefs d’équipes GATA, OMB et leurs équipiers.

 

 L’excellente coopération des hautes autorités militaires des deux pays, des chefs de corps des bataillons projetés, et l’engagement des unités navigantes ont concouru pleinement à la réussite de ces formations. Les cérémonies de fin de stage, se sont conclues par la traditionnelle cérémonie de remise de diplôme, illustrant ainsi les liens d’amitié entre les forces armées de ces deux pays et les EFS

 

.Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle  opérationnel  de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

Formations au Burkina-Faso et au SénégalFormations au Burkina-Faso et au Sénégal
Partager cet article
Repost0
23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 07:45
DIO artillerie du SENBAT15 ONUCI

 

17/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 16 janvier 2015, le détachement d’assistance opérationnelle « feu dans la profondeur » de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès au Sénégal afin de mener quinze jours de formation « artillerie » au profit de la section de mortiers lourds (SML) du bataillon sénégalais engagé au sein de l’ONUCI depuis le début février 2015.

 

Cette instruction avait pour objectif la remise à niveau du personnel de la SML du bataillon SENBAT15 ONUCI, ainsi que la formation des chefs de section des trois compagnies d’infanterie, de ce bataillon, aux techniques d’observation de tirs indirects.

 

La première semaine a été consacrée à l’instruction théorique sur le service de la pièce et le calcul des éléments de tir. La seconde semaine a quant à elle été réservée à la répétition d’exercices (« Drill »), afin de permettre au personnel de s’entraîner à la manœuvre et d’établir des procédures de travail communes.

 

Forts de cette expérience enrichissante et partagée, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé en fin de formation à la traditionnelle cérémonie de remise d’attestation de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de ‘l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

DIO artillerie du SENBAT15 ONUCI
Partager cet article
Repost0
5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 18:45
EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI

 

05/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 16 janvier 2015, un instructeur mortier de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès situé à l’Ouest du Sénégal, pour assurer une formation au profit de militaires sénégalais. Ces derniers ont été désignés pour armer le bataillon sénégalais (BATSEN) engagé dans le cadre de l’ONUCI en République de Côte d’Ivoire.

 

Ce stage participe à la mise en condition opérationnelle (MCO) avant engagement, et avait pour objectif la formation d’une section mortiers de 81 mm.

 

Pendant deux semaines, les stagiaires ont alterné remise à niveau théorique et pratique dans les domaines de l’emploi de l’armement et de la sécurité des tirs. Les cadres ont reçu un complément d’instruction sur les calculs d’éléments de tir et sur le réglage des « tubes » de mortier. Lors de mises en situations tactiques, le futur BATSEN ONUCI a pu travailler en unité constituée afin d’accommoder l’ensemble des militaires aux différents postes de la pièce mortier.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les Etats africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir, et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en 2013.

EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI
EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI
EFS : mise en condition opérationnelle d’un bataillon sénégalais pour l’ONUCI
Partager cet article
Repost0
5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 18:45
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

05 February 2015 by defenceWeb

 

It has emerged that Senegal is operating Israeli Ram Mk 3 high mobility light armoured vehicles and will use them on behalf of the United Nations Operation in Cote d’Ivoire (UNOC).

 

The French military spent over a week last month training two Senegalese motorised infantry companies ahead of their one year deployment with UNOCI. The training was carried out at Senegal’s request and, according to the French Ministry of Defence, gives the two companies the skills and expertise to be part of the UNOCI rapid reaction force in Ivory Coast’s political capital of Yamoussoukro. Some of the training carried out with French forces included using the vehicles to support troops, providing convoy escort, transiting urban areas, overcoming obstacles, establishing checkpoints and evacuating wounded. All these activities were carried out in accordance with UN rules of engagement. Since 2011 the French detachment in Senegal has assisted militaries in West Africa, especially with regard to peacekeeping and the launch of Operational Serval in January 2013.

 

 

Read more

 

 

Partager cet article
Repost0
3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 17:45
Formation du PC du bataillon sénégalais ONUCI

 

03/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 16 janvier 2015, un détachement de sept instructeurs de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès. Cette formation de niveau état-major était réalisée au profit du poste de commandement d’un bataillon sénégalais engagé au sein de l’ONUCI depuis le début février 2015.

 

Du 5 au 16 janvier 2015, un détachement de sept instructeurs de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS), s’est rendu au septième centre d’entraînement tactique de Thiès. Cette formation de niveau état-major était réalisée au profit du poste de commandement d’un bataillon sénégalais engagé au sein de l’ONUCI depuis le début février 2015.

 

Cette formation avait pour objectif de préparer l’état-major aux techniques de planifications et de conduite des opérations, centrée sur le domaine du commandement tactique des opérations au sein d’un bataillon de maintien de la paix engagé sous mandat de l’ONU en République de Côte d’Ivoire.

 

Après une remise à niveau théorique sur les procédures et les techniques de travail d’un centre opérations, les stagiaires présents ont élaboré un concept d’opération à partir d’un thème tactique basé sur les situations réelles de leur future zone d’intervention. Celui-ci a été ensuite appliqué lors d’un exercice de restitution de synthèse de quatre jours.

 

Forts de cette expérience enrichissante et partagée, les forces armées sénégalaises et le détachement des EFS ont procédé en fin de formation à la traditionnelle cérémonie de remise des attestations de stage.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Formation du PC du bataillon sénégalais ONUCI
Formation du PC du bataillon sénégalais ONUCI
Partager cet article
Repost0
2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 17:45
Sénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motorisé

 

02/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 5 au 15 janvier 2015, un détachement de l’unité de coopération régionale des éléments français au Sénégal (EFS) s’est rendu au centre d’entraînement tactique n° 7 de Thiès pour mener quinze jours de formation au profit des forces sénégalaises. Cette instruction tactique visait à préparer deux compagnies sénégalaises d’infanterie motorisée dans le cadre de leur préparation avant projection. Elles constitueront en effet pour un an la force de réaction rapide de l’ONUCI.

 

L’instruction délivrée par le détachement d’instruction opérationnelle (DIO) « Infanterie » des EFS a été réalisé à la demande des forces sénégalaises, afin de perfectionner deux compagnies au combat motorisé en vue de leur déploiement au sein de l’opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Equipées de véhicules RAM MK3, offrant une réelle plus-value en termes de mobilité et de blindage, les deux compagnies disposeront ainsi de toutes les capacités et savoir-faire requis pour armer, durant un an, la force de réaction rapide de l’ONUCI basée à Yamoussoukro, en République de Côte d’Ivoire.

 

Après la révision des fondamentaux du combat motorisé, les instructeurs se sont concentrés sur l’entraînement tactique sur le terrain, où les stagiaires ont été mis en situation avec le renfort d’une troupe de manœuvre et de plastrons. Lors de cette phase dynamique et riche en enseignements, les stagiaires se sont entraînés à divers scenarios : la reconnaissance d’un axe et de points particuliers, l’escorte de convoi, l’approche d’une zone urbaine, la conduite à tenir face à un obstacle sur la piste, l’évacuation des blessés, la mise en place d’un check point de fortune.

 

Toutes ces actions de formation ont été réalisées en suivant à la lettre les règles d’engagement de l’ONU, ce qui impliquait des consignes spécifiques en termes d’ouverture du feu, de conduite à tenir face à la population ou encore d’identification des combattants.

 

Les stagiaires se sont montrés particulièrement intéressés par la formation dispensée par le DIO. Leur sérieux et leur discipline ont permis d’avancer rapidement et efficacement dans l’instruction.

 

Depuis 2011, les EFS constituent un « pôle opérationnel de coopération à vocation régionale » en Afrique de l’Ouest. A ce titre, ils conduisent des actions bilatérales et régionales de coopération militaire opérationnelle visant à accompagner les États africains dans le renforcement de leur capacité de maintien de la paix. Les EFS ont par ailleurs la capacité d’accueillir, de soutenir et de commander une force projetée, comme cela a été le cas lors du lancement de l’opération Serval en janvier 2013.

Sénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motoriséSénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motoriséSénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motorisé
Sénégal : formation de deux compagnies de l’ONUCI au combat motorisé
Partager cet article
Repost0
24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 11:45
CEMA : entretien avec son homologue ivoirien

 

23/06/2014 Sources : EMA

 

Le 17 juin 2014, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a reçu son homologue ivoirien, le général de corps d’armée Soumalia Bakayoko.

 

Lors de leur entretien, les deux CEMA ont évoqué la coopération militaire bilatérale mise en œuvre depuis la signature d’un accord de partenariat de défense en 2012. Cette coopération, qui vise à accompagner la réforme de l’armée ivoirienne, se concrétise par la réalisation de formations au profit des forces armées ivoiriennes (FRCI) et la réalisation d’entraînements conjoints, le plus souvent dans le cadre de l’ONUCI. En 2014, 45 actions de coopération ont ainsi été réalisées par les forces françaises.

 

La montée en puissance des forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI), qui remplaceront la force Licorne à partir du mois de janvier 2015, a été évoquée. Forces prépositionnées, les FFCI continueront à entretenir la coopération militaire bilatérale avec les FRCI et à maintenir une présence militaire pour assurer la protection des ressortissants français si besoin. En tant que base opérationnelle avancée, elles constitueront un important point d’appui sur la façade Ouest-africaine et formeront  un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la sous-région.

 

Le général de Villiers a ensuite présenté au général Bakayoko la réorganisation de notre dispositif en Afrique, dans le cadre, notamment, de la stratégie de régionalisation dans la bande sahélo-saharienne (BSS). Enfin, le CEMA a salué la coopération opérationnelle visant à appuyer le déploiement des forces armées ivoiriennes dans des opérations de maintien de la paix. Ainsi, en mars 2013, la force Licorne avait mis en œuvre des détachements d’instruction opérationnelle permettant le déploiement d’une unité logistique ivoirienne au sein de la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA).

Partager cet article
Repost0
2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 11:45
Sécurité et défense : relève de 150 soldats français à Abidjan

 

1 avril 2014 Cyrille DJEDJED - L’Inter

 

La force Licorne présente à Abidjan a été renforcée. Samedi dernier, une compagnie du 2e Régiment d’Infanterie de Marine est arrivée à Abidjan, dans le cadre des relèves régulières cette force. En effet, 150 militaires ont atterri à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny, avant de rejoindre le camp de Port-Bouët par autobus. Il faut dire que tous les quatre mois, la Force Licorne procède à la relève de son personnel. Le 30 mars, la compagnie franc comtoise, arrivée en Afrique en décembre 2013, est repartie donc en France, comme prévu dans la programmation. Ainsi, le volume de la Force reste inchangé : 450 militaires arment un état-major tactique, une compagnie d’infanterie, une compagnie de commandement et de logistique, un escadron de combat, et des militaires issus de différentes entités, principalement dans le domaine du soutien. La France, à la demande des autorités ivoiriennes, accompagne la réforme de l’armée ivoirienne et maintient une présence militaire en Côte d’Ivoire pour assurer la protection des ressortissants français. La force Licorne veille, entre autres, à appuyer la mise en œuvre du processus de paix et à maintenir des éléments aptes à renforcer les unités de L’Onuci en cas de besoin.

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 12:45
Côte d'Ivoire : L’embargo sur les armes est-elle levé ?

 

21 novembre 2013 Le Democrate

 

Le chef de l'unité de contrôle de l'embargo de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), Gamaliel Ndaruzaniyé, a indiqué mardi à Abidjan qu'une "exemption" a été faite sur l'embargo de l'ONU sur les armes qui frappe la Côte d'Ivoire dans la perspective d'outiller les forces de sécurité ivoirienne.

 

L'expert de l'ONU qui intervenait lors d'un entretien avec des médias a noté que des questions sécuritaires qui persistent peuvent donner lieu à une exemption pour que l'Etat continue de fonctionner

 

"La Côte d'Ivoire est en train de procéder à une réforme de sa police et de ses services de sécurité. Dans ce cadre et dans la situation où des armes légères sont par exemple nécessaires à la police pour le maintien de l'ordre, le gouvernement peut faire une demande d'exemption", a expliqué M. Ndaruzaniyé.

 

A en croire celui-ci, le Conseil de sécurité peut donner son autorisation, si la procédure est correctement suivie.

 

Selon lui, le récent don de 500 armes légères par la France aux forces de sécurité de Côte d'Ivoire obéit à cette exemption.

 

"Dans ce cas, ces armes ont été soumises à une demande d’exemption et la France et la Côte d'Ivoire ont respecté cette procédure. Il n'y a pas eu d'entorse sur l'embargo", a-t-il assuré.

 

Un embargo sur les armes a été imposé à la Côte d'Ivoire en 2004, alors qu'une belligérance prévalait entre l'ex-rébellion et les ex-forces loyalistes.

 

La Résolution 2101 du Conseil de sécurité relative à l'embargo est en vigueur jusqu'au 30 avril 2014, mais des situations d’exemption sont prévues, concernant notamment la réforme du secteur de la sécurité.

 

Dans le contexte de cette réforme, la France a offert samedi aux autorités ivoiriennes 500 pistolets automatiques dont 250 à la police et 250 à la gendarmerie, en vue de lutter contre le "grand banditisme", deux ans après la crise postélectorale marquée par des violences.

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 12:45
Côte d’ivoire : opération de présence de moyenne durée à Abengourou

 

15/11/2013 Sources : EMA

 

Du 4 au 8 novembre 2013, la compagnie d’infanterie de la force Licorne a effectué une opération de présence de moyenne durée (OPMD) à Abengourou, à 210 kilomètres au nord-est d’Abidjan, dans la région du Moyen-Comoé.

 

Le détachement, composé de deux sections et d’un groupe commandement de la compagnie d’infanterie, fort d’une quinzaine de véhicules, s’est déployé aux environs d’Abengourou, chef lieu de région, non loin de la frontière ghanéenne.

 

Afin d’étendre le rayonnement de la force Licorne, les OPMD ont pour objectifs premiers de prendre contact avec les autorités civiles, militaires et coutumières locales, de nouer des liens avec la population et de permettre aux soldats de la force de renforcer leur connaissance du pays.

 

Ces opérations de présence menées par la force Licorne s'inscrivent dans une logique de sécurisation qui participent au processus de normalisation en cours en Côte d’Ivoire.

 

Cette OPMD a aussi été l’occasion de mener des actions civilo-militaires au profit de la population d’Abengourou. Les militaires de la force Licorne ont procédé à la distribution de kits scolaires pour les écoles de la région. Tout en assurant le soutien sanitaire du détachement, l’équipe médicale de l’unité a également effectué de nombreux soins et une distribution de médicaments.

 

La force Licorne comprend 450 hommes qui accompagnent la réforme de l’armée ivoirienne en soutien de l’ONUCI. Elle apporte également son soutien aux opérations logistiques réalisées au profit de la force SERVAL. En collaboration avec les autorités locales, la force Licorne réalise également des actions civilo-militaires au bénéfice de la population ivoirienne, comme des projets de réhabilitation dans les villages proches d’Abidjan, la distribution de kits scolaires et l’apport d’une aide médicale. Elle est, par ailleurs, en mesure d’assurer la protection des ressortissants français si besoin était.

Côte d’ivoire : opération de présence de moyenne durée à Abengourou
Côte d’ivoire : opération de présence de moyenne durée à Abengourou
Côte d’ivoire : opération de présence de moyenne durée à Abengourou
Partager cet article
Repost0
13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 11:45
Côte d’Ivoire : Visite de l’IDA à la Force Licorne

11/10/2013 Sources : EMA

 

Du 26 au 28 septembre 2013, le général de corps aérien (GCA) Lefebvre, inspecteur des armées (IDA), s’est rendu au camp de Port-Bouët accompagné d’une délégation.

 

Cette visite de l’IDA poursuivait différents objectifs : appréciation de la mise en œuvre des directives de l’EMA dans le cadre de la mission reçue ; évaluation de l’adéquation générale de la Force à la mission assignée et réflexion sur l’avenir.

 

Accueilli sur la place d’armes par un piquet d’honneur composé de légionnaires du 1er Régiment étranger de cavalerie, le GCA Lefebvre s’est ensuite entretenu avec le commandant de la Force (COMFOR) Licorne, le lieutenant-colonel Bouzereau. Après une présentation générale du théâtre, les missions de la Force ont été exposées à l’IDA. A cette occasion, le COMFOR a présenté l’importance du rôle de la force Licorne dans le soutien logistique et opérationnel dans la sous-région, principalement auprès de la force Serval.

 

La délégation s’est ensuite rendue auprès des différentes unités stationnées dans le camp de Port-Bouët et sur l’emprise de la Bourgerie. Plusieurs tables rondes catégorielles ont été organisées pour permettre à l’IDA d’apprécier le moral ainsi que les conditions de vie du personnel déployé sur le théâtre.

 

La force Licorne comprend 450 hommes qui accompagnent la réforme de l’armée ivoirienne, en soutien de l’ONUCI. Elle organise notamment des formations pour les militaires ivoiriens, des aides à la dépollution ou à la destruction de munitions, ainsi que des actions  civilo-militaires. Elle est par ailleurs en mesure d’assurer la protection des ressortissants français si besoin.

Côte d’Ivoire : Visite de l’IDA à la Force Licorne
Côte d’Ivoire : Visite de l’IDA à la Force Licorne
Côte d’Ivoire : Visite de l’IDA à la Force Licorne
Côte d’Ivoire : Visite de l’IDA à la Force Licorne
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories