There has been lots of media coverage of unannounced Russian aircraft being intercepted by RAF Typhoon fighter jets in recent weeks. Today, the flight of a Russian military Antonov aircraft over the UK this weekend has also attracted lots of media attention.
Quick Reaction Alert (QRA) flights by RAF Typhoons are scrambled in response to unidentified aircraft approaching the UK. These are in direct contrast to flights by foreign militaries under an international ‘Open Skies’ agreement which take off from the UK and have RAF personnel on board.
This weekend’s Antonov flight was one such Open Skies flight. Pilot Officer Leo Collins, who works in the Arms Control and Counter Proliferation team at the MOD and was on the flight, outlines the facts.
I work as part of a team which basically looks after the wide range of international conventional arms control agreements and confidence building measures that the UK is party to. One of the long-standing treaties we administer is called ‘Open Skies’ which came into force in January 2002 and currently has 34 signatory nations.
Open Skies establishes a program of unarmed aerial surveillance flights over the territory of its participants and is aimed at building confidence and familiarity through participation in over flights. It was under this agreement that the Russian military deployed an Antonov 30 (unarmed photography aircraft) to RAF Brize Norton in Oxfordshire and it was there that I joined the aircraft, with several of my RAF colleagues, to monitor the flight as it flew across the UK.
The flight in question was pretty routine. The route was first pre-approved by the MOD and RAF and then flown as per the flight plan. Such sorties are commonplace, reciprocal and have been going on for many years. Indeed, at the same time as we were hosting the Russians, representatives from the RAF were conducting a similar flight over Russia.
When Open Skies flights occur over the UK, we always have RAF representatives onboard – and the UK always gets to see all the photos which were taken on the flight.
So why do we do it? The opportunity to observe each others’ territories is invaluable for transparency and the development of international trust between nations. In addition, aside from observing their work in the sky, we also get to interact professionally and to learn more about the culture of the nation in question; in this instance interacting with our Russian counterparts.
So, was this a dark and shady intelligence gathering exercise mounted by our enemies? No - instead it was a hugely valuable and professional experience for both nations – and long may that continue.
Du 16 au 21 mars 2015, la Fédération russe a effectué un vol d'observation au-dessus du territoire du Benelux et de l'Allemagne. Cela s'est déroulé dans le cadre du traité Open Skies.
Open Skies est un traité signé en 1992 par l'OTAN et les anciens États membres du pacte de Varsovie afin d'ouvrir l'espace aérien à leurs avions d'observation. En prenant des images des territoires de chacun, les participants tentaient de maintenir la paix et d'éviter les conflits.
Le lundi 16 mars à 16 heures, l'avion russe Antonov 30B atterrissait à la base de Melsbroek, l'unique terrain d'aviation belge à partir duquel les avions d'observation peuvent décoller. Mardi, les spécialistes de la Benelux Arms Control Agency (BACA) ont contrôlé le plan de vol prévu et l'ont coordonné avec les contrôleurs du trafic aérien belge, néerlandais et allemand. Mercredi, jeudi et vendredi, les vols d'observation ont eu lieu.
Un premier vol est parti de Melsbroek vers la base aérienne allemande d'Ingolstadt en passant par les Pays-Bas. Un deuxième depuis Ingolstadt vers Cologne-Bonn et un troisième et dernier depuis Cologne-Bonn pour revenir à Melsbroek.
Les collègues russes ont été dirigés par le personnel de la Benelux Arms Control Agency (BACA) et quelques collègues allemands.
Trois semaines avant le vol russe Open Skies, plusieurs membres de la BACA ont été préparés au cours d'un vol d'entraînement avec des militaires provenant des États-Unis et du Royaume-Uni.
Samedi 21 mars dernier, à 10 heures, l'avion d'observation russe quittait à nouveau le territoire belge.
L’aéroport militaire de Melsbroek accueillait un avion américain le 9 février dernier. L’appareil est à la disposition de la Benelux Arms Control Agency (BACA) pour une semaine. Via cette agence, les pays du Benelux prennent part au traité Open Skies, dans lequel 34 pays ouvrent leur espace aérien à des vols d’observation.
Il est 13 heures précises, lorsque l’avion de transport américainatterrit sur le sol belge. L’équipage anglo-américain débarque et serre chaleureusement les mains du personnel de l’équipe de la BACA. Cette agence accompagne les équipes étrangères qui viennent effectuer des observations aériennes en Belgique dans le cadre du traité Open Skies.
Cet accordest d’application depuis 1996. Chaque année, la Belgique doit autoriser environ six vols d’observation au-dessus de son territoire. Des pays comme la Russie en nécessitent davantage. Un appareil suit une route selon divers points que l’équipe observe en vol. Les casernes militaires les plus importantes ponctuent invariablement un tel itinéraire.
« Les Américains ne sont pas ici pour effectuer des vols de reconnaissance », clarifie l’adjudant-major Johan Temmerman. Il travaille depuis 15 ans pour la BACA et connaît tous les aspects du traité Open Skies. « Ils prêtent leur appareil pour effectuer un entraînement bilatéral visant à aguerrir l’équipe de la BACA aux procédures à appliquer lors d’un vol réel d’observation. Un tel avion américain est partout prioritaire. De plus, la coopération se passe sans anicroche. »
La tâche de l’équipe de contrôle du Benelux est importante. Ses membres examinent le plan de vol et la route de l’appareil. L’avion vole-t-il à la bonne altitude ? Les caméras et capteurs travaillent-ils selon les attentes ? La résolution des images prises n’est-elle pas trop haute ? Telles sont les questions que doivent traiter les collaborateurs de la BACA au cours d’un vol d’observation.
L’appareil américain survolera notre territoire jusqu’au 13 février. L’équipe de la BACA sera, dès lors, prête à effectuer un vol d’observation réel.
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